Aston Martin !
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Aston Martin !
CES RÉPLIQUES SONT DÉSORMAIS CULTE ! James Bond : « Où est ma Bentley ? » Q : « Elle a fait son temps, j’en ai bien peur » James Bond : « Elle ne m’a jamais lâchée » Q : « C’est M qui ordonne double 07. On vous octroie cette Aston Martin DB5 modifiée ». VOITURE Dans Opération Tonnerre, Sean Bond muni d’un jetpack s’échappe et récupère son Aston fétiche. Elle réapparaitra dans Goldeneye et dans Demain ne meurt jamais ! Comme elle ! De surcroît, dans Casino Royale, Skyfall et 007 Spectre. Les films se suivent et se modernisent comme le héros. De nouveaux visages apparaissent ainsi que les modèles d’Aston Martin. La DBS VANTAGE Au secret de sa majesté, une V8 Volante pour Tuer n’est pas jouer, la V12 Vanquish Meurs un autre jour, la DBS dans Quantum of Solace ou encore la DB 10 fabriquée exclusivement pour Spectre. My Name is Aston Par Ariane Dufourny Aston Martin ! Considéré comme étant le fournisseur officiel de James Bond, la marque britannique ne laisse personne indifférent. A l’image de son « célèbre propriétaire », elle impose admiration et respect. Lors de sa sortie, en 1958, elle fait sensation aux salons de Londres et de Paris. Une ligne élégante, un moteur puissant et une finition parfaite ! La GT ZAGATO s’est démarquée des traditionnels DB4 par sa ligne signée ERCOLE SPADA. Editée en quelques exemplaires, elle se voit convoitée par les collectionneurs. Le modèle DB4, tout en légèreté, se compose de panneaux d’aluminium reposant sur une armature tubulaire. Conçue par l’ingénieur automobile polonais, Tadek Marek, elle cache un moteur six cylindre sous son splendide capot. Développant une puissance de 240 chevaux, elle vous emmènera à 100 miles à l’heure (ou 160 km/h) en 21 secondes. En 1963, elle cédera sa place à la DB 5. La chérie de 007 ! L’agent secret, sous les traits de Sean Connery, enquêtera sur les méfaits de Goldfinger. De parties de golf en poursuites tumultueuses, saupoudrés de conquêtes extra-féminines, l’agent triomphera du mal. 114 115 VOITURE Prestance et performance ! Le spécialiste automobile d’EGOLF MAG l’a testée pour vous ! Voici une de mes voitures préférées ! L’Aston Martin DB4 SÉRIE 4 - 1963 Dès le premier coup d’œil, je suis tombé sous le charme de sa carrosserie typique des années ’60. Une voiture d’une grande distinction aux courbes élégantes et raffinées. Personnellement, je la trouve plus féminine que la DB5 de Bond, avec ses phares avant ronds au lieu des phares ovales. De préférence, il vaut mieux ne pas dépasser le mètre 90 pour entrer dans la voiture et ne pas être gêné dans sa conduite. Par contre, la banquette arrière peut accueillir deux (petits) passagers, que vous serez ravi de pouvoir emmener avec vous en promenade. Il est fortement conseillé de bien laisser préchauffer la voiture avant de s’aventurer sur les petites routes. Le moteur fait un beau bruit avec son 3,7 L six cylindres qui développe plus de 240 chevaux. Une fois parti, attendez que l’huile du moteur soit bien chaude pour mettre les gaz et les chevaux à rude épreuve, car c’est juste à ce moment-là que vous vous rendrez compte qu’à l’époque des sixties on faisait déjà des GT impressionnants qui pouvaient procurer beaucoup de sensations et de plaisir. Ces petits plaisirs ont tout de même un certain prix. A l’époque, une Aston Martin DB4 coutait neuve 9000 euros. Maintenant, une DB4 série 4 vaut aux alentours des 600.000 euros. Sa cousine, la DB4GT revient aujourd’hui à environ 2.500.000 euros, alors qu’elle s’achetait neuve 10.000 euros. Puisque ce qui compte le plus est incontestablement le plaisir de conduire une voiture, il est toujours agréable de savoir que celui-ci ne vous fait pas perdre d’argent ! Amaury de la Croix d’Ogimont AD Sportscars - www.adsportscars.be - +32 475 71 26 42 116