Maître chien dans l`armée de terre
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Maître chien dans l`armée de terre
Corentin C Maître chien dans l'armée de terre Activité : Ce métier consiste à dresser des chiens pour différents buts : missions de sauvetage, recherche de drogues, de mines ou des surveillance sur le terrain Il se pratique avec un jeune chiot que l'on va garder plusieurs années et du matériel de dressage : cerceaux, poteaux, sacs etc. Conditions de travail : On pratique ce métier dans un centre civil ou militaire, ou sur le terrain Ce métier nessecite un travail mobile et en équipe car on travaille avec son chien Les horaires de ce travail sont irréguliers. Qualités requises – Le sens de l'adaptation – être en parfaite santé – Formation : - CAP (d'agent cynophile de sécurité) - BAC pro (propensions sécurité) - brevet de maître-chien sauveteur aquatique – diplôme d'éducateur de chiens guides d'aveugles Débouchés : Il y a très peu de postes à pourvoir On peut évoluer au-bout de 2 ans, on devient alors officiellement dresseur de chien les avantages : – Le maître et son chien entretiennent une réelle complicité – L'attachement entre ces deux partenaires est très fort Les inconvénients : des moments difficiles à vivre pour le maître-chien car la carrière d'un chien ne dure que de 3 à 7 années pour les meilleurs donc le maître-chien est alors contraint de laisser son chien à une famille adoptive pour en former un nouveau. Salaire De 1447 à 1900 euros brut par mois. Témoignage : Laurent Peret","gendarme maître-chien "J'appartiens au peloton de surveillance et d'intervention d'Yssingeaux (Haute-Loire). En plus de mon travail de gendarme, je fais de la recherche de stupéfiants avec ma chienne Tina. Les horaires varient en fonction des permanences. Il faut être disponible et ne pas compter ses heures. Mais c'est très gratifiant quand, après une longue journée, le chien continue de travailler et détecte des stupéfiants. La motivation s'impose, car mon activité en tant que maître-chien s'ajoute à celle de gendarme. De nombreuses autres unités peuvent nous solliciter pour des interventions. On est très autonome, ce qui est un privilège dans ce milieu très hiérarchisé. Au fil du temps, on développe une expertise reconnue dans notre spécialité. Il est possible d'évoluer en suivant d'autres formations, comme celle d'homme d'attaque qui consiste à dresser le chien à mordre, ou en passant le CTMC (certificat technique de maître-chien) pour devenir formateur. sources d'information : http://www2.ac-lyon.fr/lyc42/cassin/spip.php?article45 http://www.lesmetiers.net/orientation/p1_194009/maitre-chien#_ http://www.onisep.fr/