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CRJ 2008/2010 Revue de presse LeTélégramme.com MORBIHAN Conseil régional des jeunes. Un mois pour relater deux ans de travail 4 mai 2010 L e conseil régional des jeunes (CRJ) s'apprête à passer la main, au terme de ses deux années de mandat. Avant leur dernière session début juin, les 166 élus lycéens et apprentis vont consacrer le mois de mai à toute une série de manifestations illustrant les travaux qu'ils ont menés. Une dizaine d'établissements (lycées, CFA, Maisons familiales rurales) des quatre départements accueilleront ces manifestations. De Vannes à Brest L'un des temps forts de ce mois de mai des lycéens aura lieu demain au lycée Joseph-Loth de Pontivy (56) où sera concentrée la restitution de la commission «Ouverture aux mondes». Au programme du «labyrinthe culturel»: expositions, musique, danse, lecture, théâtre (Camus, Tardieu et deux représentations de la pièce «Les Babelins» de Flavien Maleval, élu du CRJ). Accès public de 13h30 à 16h30. La commission «Développement durable», elle, organise deux journées de travail au lycée maritime Pierre-Loti de Paimpol (22), où elle a en projet d'impulser la mise en oeuvre d'un agenda 21. Pour les élus de la commission «Santé et qualité de vie», le programme de saynètes et de débats a commencé hier avec la première journée d'information sur le manque de sommeil. D'autres journées sont prévues, au lycée Jean-Macé de Lanester (après demain, de 14h à 16h) et au lycée Fénelon de Brest (jeudi20 de 10hà 14h). Enfin, les jeunes de la commission «Solidarités» vont présenter le court-métrage qu'ils ont réalisé. Intitulé «Si j'avais su...», il veut susciter une prise de conscience sur l'homophobie en servant de base de réflexion et de support de débats. Le film sera projeté à Morlaix (mercredi19, de 10h à 16h au lycée Le Porsmeur) et à Vannes (le 1erjuin de 10h à 16h, au CFA du bâtiment). Tags : Jeunesse conseil régional des jeunes © Copyright Le Télégramme 2009 mercredi 5 mai 2010 Journal Ouest-France du mercredi 5 mai 2010 Edition : Bretagne - Rubriques : Région Région : les jeunes n'ont pas chômé Ils ont porté et développé leurs projets, pendantprès de deux ans. Ils aboutissent sur du très concret. Ils sont 156 jeunes bretons, de 15 à 26 ans, lycéens ou apprentis, garçons et filles, élus par leurs pairs, pour siéger pendant deux ans au conseil régional des jeunes. Lancée en 2004, cette nouvelle assemblée en est à sa troisième mandature, « la quatrième sera Flavien, Marie-Pierre Rouger et Nicolas, qui a conçu la campagne de prévention sur le sommeil chez les jeunes. élue en octobre », annonce Marie-Pierre Rouger, vice-présidente chargée des lycées. Ouest-France Pendant ces deux ans, les jeunes élus n'ont pas chômé : une session plénière par mois, plus les travaux en commission. Sur les thèmes du développement durable, de la santé-qualité de vie, des diversités culturelles, des solidarités et des liens et échanges. « Du très concret », qui aboutit ces jours-ci. Exemples. Flavien Maleval, 17 ans, élève du lycée Zola à Rennes, a écrit Les Babeliens, une pièce de théâtre qui vient illustrer la richesse et la diversité des cultures du monde. La première de sa pièce est donnée, ce mercredi, au lycée Jospeh Loth de Pontivy. Nicolas Esnault, 18 ans, au lycée Lamenais, de Retiers, a, lui, orchestré une campagne de communication pour attirer l'attention des jeunes sur la qualité du sommeil. Ce message de prévention, souvent utile chez les adolescents, passera dans plusieurs lycées, via une saynète, une campagne d'affichage et un site Internet avec une web-radio (www.kaoz.info), animée par Nicolas. Principal intérêt de la démarche, « c'est que ces thèmes ont été choisis et traités par les jeunes eux-mêmes », souligne Marie-Pierre Rouger. Le message passe, forcément, beaucoup mieux lorsqu'il a été conçu « par des jeunes et pour des jeunes », loin des discours parfois moralisateurs et sentencieux des adultes. La démonstration en est éclatante avec ce court-métrage Si j'avais su : destiné à prévenir l'homophobie, ce remarquable petit film de treize minutes, écrit, réalisé et interprété par les jeunes élus, sera projeté et débattu dans de nombreux lycées bretons. Première séance, au cinéma de Cesson-Sévigné, le 17 mai. Précisément à l'occasion de la Journée internationale de lutte contre l'homophobie. On ne peut pas tomber plus à-propos. Christophe VIOLETTE. Tous droits réservés. Sauf autorisation, la reproduction, la publication de cette page pour utilisation publique et commerciale sont interdites. Rechercher un article > Photos du jour Vidéos du jour Newsletters Mobile Dico breton : > Conseil Regional Mardi 25 mai 2010. Il est 10h53 LA U NE ABP-TV POLIT IQUE [ Brezhoneg] [ English] ECONOMIE JUS TICE ENVIRON NEMENT CULT URES FESTIVALS BRETON RÉUNIFICATION RUBRIQUE S NOUVEAUTÉS DICO PUBLIER ----Publicité et Partenariats---- NOUS AVONS RECU : Communique Lutte contre l'homophobie, travail sur le manque de sommeil, « Labyrinthe culturel » les élus du CRJ sont passés à l'action Derniers articles de Region Bretagne [12/05/10] Réunions lait les 17, 18 et 19 mai : des producteurs suisses présentent le système sans quota • La commission solidarités locales et internationales a, pour sa part, mis l'accent sur la thématique du respect des autres au sein des lycées et CFA, et plus particulièrement sur la lutte contre l'homophobie avec la réalisation d'un court métrage, « si j'avais su … », qui sera diffusé à 6 reprises, autant d'occasions d'engager le débat. • Les élus de la commission agenda 21 et développement durable se sont fixé pour objectifs de sensibiliser leurs pairs au développement durable, d'éveiller les consciences sur l'environnement et de faire évoluer les comportements quotidiens à travers 2 journées organisées au lycée maritime Pierre Loti à Paimpol. • Enfin, la commission communication s'est chargée d'animer tout au long du mandat une web radio, www.kaoz.info, pour informer de l'actualité du CRJ et de l'avancement des différents projets. Des élus de cette commission seront présents sur chacune des opérations du mois de mai pour réaliser reportages et interviews qui seront ensuite diffusés sur la web radio. ■ Le Conseil régional des jeunes. Région Bretagne. Dossier de Presse 3 mai 2010. Source : Région Bretagne [18/02/09] Les Jeunes de l'UDB solidaires des grèvistes aux Antilles et en Guyane [18/02/09] Josu Ortuondo Larrea, député européen d'EAJ-PNV, se confie aux Jeunes Bretons/Ar Vretoned Yaouank [17/02/09] Jeunes Finistériens : génération glisse ? Film et débat à Quimper [17/02/09] Les Jeunes Bretons/Ar Vretoned Yaouank participent au lancement de la campagne électorale au Pays Basque [6/01/09] Permanence des jeunes de l'UDB mercredi 7 janvier à Rennes [21/05/10] La Région récompense les projets des 720 lycéens et apprentis bretons au Festival Étonnants Voyageurs RENNES — Le Conseil régional des jeunes regroupe 166 lycéens et apprentis, élus pour deux ans par leurs pairs afin de représenter les intérêts de la jeunesse bretonne auprès de la Région. Réunis au sein de 5 commissions thématiques, ils mettent leur rôle à profit pour conduire des actions citoyennes. Arrivés au terme de leur mandat, les conseillers régionaux jeunes organisent, tout au long du mois de mai, plusieurs événements et manifestations qui marquent l'aboutissement de leurs travaux. • La commission santé et qualité de vie s'est penchée sur la thématique du manque de sommeil qui affecte le quotidien d'un grand nombre de jeunes. Quatre journées d'intervention, articulées autour de saynètes et débats, sont prévues dans des établissements bretons entre le 3 et 20 mai. ( tag : jeunes ) du • La commission diversité culturelle et ouverture aux mondes propose de découvrir la richesse et la diversité des cultures du monde à travers son « Labyrinthe culturel » : plusieurs volets de la culture, issus de divers horizons géographiques, présentés dans les locaux du lycée Joseph Loth de Pontivy, le mercredi 5 mai. [7/03/10] Isabelle Le Bal : Nous défendons la mise en place de module d'Histoire de la Bretagne l'Avenir Publié le 3/05/10 Des actions de sensibilisation aux problèmes de manque de sommeil, un « Labyrinthe culturel » pour faire découvrir, l'espace d'une journée, plusieurs volets des cultures du monde, diffusion d'un court-métrage réalisé sur le thème de l'homophobie suivie de débats autour de ce thème… Durant tout le mois de mai, les élus du CRJ vont intervenir dans une dizaine d'établissements (lycées, CFA, Maison Familiale et Rurale) répartis dans les quatre départements bretons. Autres articles sur le même sujet [21/05/10] Remise des 12 prix de Breton Source : Region Bretagne Porte parole: Planning des Jeunes du Conseil régional de Bretagne. 2010. Source : Région Bretagne La région administrative Bretagne. Administration régionale Site Patton 283 avenue du général Patton, CS 21101, 35711 Rennes cedex 7 Tél. : 02 99 27 10 10 - Fax : 02 99 27 11 11 Service Presse de la Région Bretagne T. 02 99 27 13 54, F. 02 99 27 13 34, courriel : presse at region-bretagne.fr Voir le site [18/12/08] Un nouveau bureau pour les Jeunes de l'UDB Region Bretagne sur ABP Auteur Commenter Ami(e) Rennes [6/05/10] Les voyageurs du TER Bretagne peuvent désormais recharger leur carte KorriGo sur internet [6/05/10] Les énergies marines au centre de la visite de la Commissaire européenne, Maria Damanaki [4/05/10] Lait : Les producteurs de lait bretons toujours sur le front VANNES VILLE Ménimur. Le conseil régional des jeunes, l'école de la vie 7 avril 2010 Une partie des élus du conseil régional des jeunes présentait son travail, hier, au lycée Charles-deGaulle, à Ménimur. Parmi eux, Mathilde Geffray, une jeune lycéenne Plaudrinoise de 16ans. Voici bientôt deux ans qu'elle a franchi le cap. Mathilde Geffray est aujourd'hui en 1re L au Lycée Charles de Gaulle. Du haut de ses 16 ans, elle préside la commission «Solidarité locale et internationale» du conseil régional des jeunes. «Pour moi, c'était l'occasion de m'exprimer librement et d'offrir une autre image de la jeunesse», raconte la jeune plaudrinoise. En septembre2008, elle est élue pour deux ans. «Au lycée Charles de Gaulle, il faut d'abord se faire élire délégué de classe. Ensuite, l'ensemble des délégués choisissent deux représentants qui se présenteront à une élection par Pays, avant d'être élu au conseil régional des jeunes», explique Mathilde. Les 166 lycéens et apprentis qui siègent au conseil régional des jeunes sont répartis en cinq commissions qui suivent les grands axes de travail de la Région. Rencontres et débats «La première année de travail est essentiellement consacrée à la construction et à la définition du projet. Par exemple, nous avions prévu au départ de travailler à la fois sur l'égalité entre homme et femme, l'intégration des personnes handicapées et la lutte contre l'homophobie. Finalement nous n'avons retenu que ce dernier axe de travail. En discutant, nous nous sommes rendu compte que nous ne pourrions pas tout faire, rapporte la lycéenne, mais en même temps, c'est ce qui me plaît. Il y a beaucoup d'échanges et de débats, qui plus est, puisque le privé et le public ou la filière générale et technique sont mélangés, nous sommes amenés à croiser des personnes différentes». Apolitique Même si le conseil général des jeunes siège dans l'hémicycle régional à Rennes, «avec micro et écran géant», il reste relativement indépendant du Conseil régional. «Les adultes n'ont pas à venir mettre leur grain de sel», insiste Mathilde, qui défend un conseil régional des jeunes «totalement apolitiques. Nous faisons de la politique au sens noble du terme. Et si rencontres il doit y avoir, précise la jeune fille, nous n'avons qu'un rôle de relais». École de la vie De la «politiqueau sens noble» donc pour Mathilde qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. «Mon rôle à la commission va s'arrêter au mois de juin, et je ne compte pas me représenter. Il faut laisser la place aux autres. Par contre, une fois qu'on y a goûté, ça ne fait que motiver pour aborder d'autres projets. D'une façon générale, le conseil régional des jeunes est une très bonne école de la vie. On apprend à mener des projets à bien, à débattre et à faire des choses ensemble». Gaël Bocandé Tags : Politique Région Conseil régional des jeunes Jeunes © Copyright Le Télégramme 2009 © Le Télégramme 2009 - imprimer Page 1 LeTélégramme.com MORBIHAN Lycées. La Région met l'accent sur l'éco-construction 27 mai 2010 Parmi les actions évoquées, hier par Jean-Yves LeDrian, président de la Région, devant les 260directeurs des lycées bretons : l'éco-référentiel qui gère des projets immobiliers respectueux de l'environnement. C'était la première rencontre de Jean-Yves Le Drian avec les chefs d'établissement des lycées depuis sa réélection à la présidence du conseil régional. Hier, au lycée Dupuy-de-Lôme, à Lorient, les proviseurs des 117 lycées publics et 143 lycées privés bretons ont pu découvrir le programme mené par la Région: investissements immobiliers, qualité du bâti et projet de charte bio dans les restaurants scolaires. Effectifs. La Bretagne compte 260 établissements, 135.000lycéens (75.000 dans le public). Un patrimoine bâti de 2millions de m². Avec une hausse annoncée des effectifs, la construction d'un nouveau lycée au nord de Rennes est envisagée dès 2015. 200M€. C'est le budget de la Région consacré aux lycées en 2010 (21% du budget total de l'institution). 535M€ sur 5 ans (442M€ pour le public). C'est le montant du programme prévisionnel des investissements pour la période 2010-2014 (10% de plus par rapport au PPI 2005-2009). 160M€ pour assurer la sécurité et préserver la santé des usagers des lycées, 17,2 M€ pour améliorer les conditions de travail des personnels, 181,9M€ pour réduire les charges énergétiques des lycées et 197M€ pour participer à l'innovation pédagogique et améliorer les conditions d'accueil. Environnement: des bâtiments exemplaires. La Bretagne est la première région à intégrer, depuis cette année, un éco-référentiel qui définit les travaux dans les 117 lycées publics suivant des principes de développement durable, économe et sain: bon choix des matériaux, baisse des consommations énergétiques (bâtiments base consommation); production d'énergies renouvelables, réduction de l'impact environnemental des lycées (gestion plus économe de l'eau, des espaces verts et des déchets). Dans ce domaine, la réhabilitation du lycée Dupuy-de-Lôme à Lorient est un exemple en matière d'éco-construction. D'autres projets intègrent aussi ce souci environnemental: un internat au lycée de Lamballe (22) livré en septembre, le lycée hôtelier de Dinard en cours de restructuration, tout comme l'internat du lycée agricole de Saint-Aubin du Cormier (35) avec l'installation d'une chaufferie au bois. Déjà des économies d'énergie. 994 tonnes de CO2 ont déjà été «économisées» entre2005 et2009 sur l'ensemble des lycées. On estime la consommation à 151GWh/an pour le chauffage, 45GWh pour l'électricité, 1million de m³ d'eau consommés, 75tonnes/jour de déchets produits et 30.000 tonnes de CO2 rejetées par an. Court-métrage contre l'homophobie. Un court-métrage a été réalisé par les élus du conseil régional des jeunes 2008-2010 sur l'homophobie. Le film, déjà diffusé dans quatre établissements, sera mis à la disposition des lycées à la rentrée. Une charte bio «Au menu de demain». Deuxième projet mené par les élusdu conseil régional des jeunes: l'élaboration d'une charte bio dans les restaurants scolaires avec rapprochement des circuits d'approvisionnement et utilisation des produits de saison. Neuf lycées (Jean-Guéhenno à Fougères, Kerichen à Brest, Paul-Sérusier à Carhaix...) participent à une expérimentation. Tags : Enseignement lycées le drian Lorient Dupuy-de-Lôme © Copyright Le Télégramme 2009 http://www.letelgramme.com/dyn/imprimer.php?link=/ig/generales/regions/morbiha... 27/05/2010 LeTélégramme.com FINISTÈRE Lycées. On passe au vert 27 mai 2010 Des projets immobiliers respectueux de l'environnement : c'est l'une des actions évoquées, hier, par la Région, devant les 260directeurs des lycées bretons. C 'était, hier, à Lorient, la première rencontre de Jean-Yves Le Drian avec les proviseurs des 117 lycées publics et 143 lycées privés bretons depuis sa réélection à la présidence du conseil régional. Il a abordé ses principaux objectifs pour les lycées. Effectifs. La Bretagne compte 260 établissements, 135.000 lycéens (75.000 dans le public). Un patrimoine bâti de 2millions de m². Budget. 200M€ : c'est budget de la Région consacré aux lycées en 2010 (21% du budget de l'institution). 535M€ sur cinq ans (442M€ pour le public) : c'est le montant du programme prévisionnel des investissements pour la période 2010-2014 (10% de plus par rapport au PPI 2005-2009). Environnement: des bâtiments exemplaires. La Bretagne est la première région à intégrer, depuis cette année, un éco-référentiel qui définit les travaux dans les 117 lycées publics suivant des principes de développement durable, économe et sain: bon choix des matériaux, baisse des consommations énergétiques; production d'énergies renouvelables, réduction de l'impact environnemental des lycées. Dans ce domaine, la réhabilitation du lycée Dupuy-de-Lôme à Lorient est un exemple. Tout comme l'internat au lycée de Lamballe(22), livré en septembre, ou le lycée hôtelier de Dinard. Économies d'énergie. 994 tonnes de CO2 ont déjà été «économisées» entre2005 et2009 sur l'ensemble des lycées. On estime la consommation à 151 GWh/an pour le chauffage, 45 GWh pour l'électricité, 1million de m³ d'eau consommés, 75 tonnes/jour de déchets produits et 30.000 tonnes de CO2 rejetées par an. Une charte bio. Une idée du conseil régional des jeunes: l'élaboration d'une charte bio dans les restaurants scolaires avec rapprochement des circuits d'approvisionnement et utilisation des produits de saison. Tags : Enseignement lycées le drian Lorient Dupuy-de-Lôme © Copyright Le Télégramme 2009 LeTélégramme.com PAIMPOL Lycée Loti. Simples élèves ou futurs éco-citoyens? 11 avril 2010 Impossible, lorsqu'on est lycéen, d'avoir unimpact positif surson environnement ? Des membres duCRJ étaient àPierre-Loti, jeudi, pour prouver quenon. Jeudi matin, les élèves du lycée maritime Pierre-Loti ont reçu la visite de délégués du Conseil régional des jeunes (CRJ), venus leur présenter l'Agenda 21 et les initiatives menées dans différents lycées du département autour du thème du développement durable. Empreinte écologique Une petite expérience, animée par William Becque, de l'association morbihannaise Tarz Heol, a été menée en début de rencontre. Les jeunes Paimpolais devaient, par binôme, dessiner leur «île idéale» et les façons de l'aménager, afin d'accueillir une population de façon durable. Le but de l'exercice était de faire prendre conscience aux jeunes de la notion d'empreinte écologique, qui correspond à la surface nécessaire à la satisfaction des besoins d'une population. Il fut ensuite question de trouver des idées, afin de réduire cette empreinte à la portion la plus faible possible de l'île. «Le bio n'est pas plus cher» Cette animation fut suivie de l'intervention de deux élèves du lycée hôtelier de La Closerie, à Saint-QuayPortrieux. Tous deux «écodélégués» au sein de leur établissement, ils ont expliqué en détail aux jeunes Paimpolais les actions menées au cours des derniers mois. Au prix d'un investissement personnel de l'ordre d'une demi-heure par semaine, les jeunes de Saint-Quay ont ainsi mis en place une distribution de goûters bio au sein de leur lycée. «On a commencé par constituer un groupe bio et on s'est demandé comment agir. Des contacts auprès de producteurs locaux nous ont finalement permis de proposer des goûters aux internes à des prix tout à fait comparables à ceux proposés par la filière classique.» «Engagez-vous!» Une initiative qui peut se décliner sous de nombreuses autres formes, a enfin expliqué Julie, élève à Lamballe et membre du CRJ, qui a insisté sur l'espace d'expression mis à disposition des jeunes par ce genre de projets. «C'est à vous de vous engager», a-t-elle insisté auprès de la vingtaine de garçons présents. «Avec l'Agenda21, vous pouvez agir sur votre environnement, changer et améliorer la qualité de vie dans votre lycée. Vous avez quasiment carte blanche alors, profitez-en! Il ne suffit que de s'engager. Un discours qui ne débouchera peutêtre pas sur des initiatives concrètes dans les semaines à venir. Mais qui aura eu, indéniablement, l'intérêt d'éveiller les consciences. Nicolas Salles © Copyright Le Télégramme 2009 LeTélégramme.com PONTIVY Joseph-Loth. Dans le labyrinthe culturel 6 mai 2010 Un «Labyrinthe culturel» pour donner à voir et àentendre la culture sous toutes ses coutures: tel était l'objectif de la manifestation d'hier, organisée par les élus du conseil régional jeunes, au lycée JosephLoth. Arrivés au terme de leur mandat de deux ans, les élus du conseil régional des jeunes (CRJ) organisent plusieurs événements et manifestations, qui marquent l'aboutissement de leurs actions. La commission «diversité culturelle et ouverture aux mondes» propose notamment de découvrir la richesse et la diversité des cultures à travers un «Labyrinthe culturel». Ainsi, hier, plusieurs volets d'expression artistique, issus de divers horizons géographiques, étaient présentés dans les locaux du lycée JosephLoth. Éveiller la curiosité du jeune public et le sensibiliser à la diversité et à la richesse du monde et de ses représentations sont les deux moteurs qui ont guidé les élus de la commission culturelle du CRJ pour monter cette opération. L'idée était de montrer à voir plusieurs facettes de la culture dans ses différentes formes d'expression. Se mêlaient ainsi culture traditionnelle et contemporaine; oeuvres d'artistes français et étrangers; théâtre, danse, musique, littérature... Découverte culturelle La matinée était réservée à la découverte de la manifestation aux lycéens et élèves de 3e des collèges de la ville. L'après-midi, tout le monde est invité à voir, entendre, déguster, admirer, s'étonner, rire... devant une programmation riche et diversifiée où se côtoyaient professionnels et amateurs. Les élus du CRJ eux-mêmes se sont prêtés au jeu et ont enfilé le costume d'acteurs, le temps de deux représentations, pour interpréter la pièce «Les Babeliens», écrite par Flavien Maleval, membre de la commission diversité culturelle et ouverture aux mondes. Les élèves du lycée Joseph-Loth, quant à eux, participaient également pleinement à cette journée en proposant quelques interprétations théâtrales (Anouilh, Camus, Tardieu...) et quelques morceaux de piano (Cohen, Mozart, Rivas...). La journée s'est terminée entre les membres du CRJ et leurs partenaires, autour d'un dîner réalisé par les jeunes de l'Institut médico-éducatif (IME) de Pontivy, suivi d'un concert assuré par des groupes lycéens, dont certains sont membres du CRJ. © Copyright Le Télégramme 2009 vendredi 21 mai 2010 CONSEIL REGIONAL DE BRETAGNE Journal Ouest-France du samedi 8 mai 2010 Edition : Pontivy - Rubriques : Pontivy Ville >> Pour commander le journal papier ou une reproduction au format original, cliquez ici Bruley Odile >> Déconnexion >> Informations personnelles >> Mail d'information Ils sont allés se perdre dans la culture Mots-clés • algues (1) • Conseil régional (12) • Fête de la Bretagne (16) Les lycéens Joseph-Loth de Pontivy se sont perdus dans un labyrinthe culturel mercredi. Une invitation à la débauche artistique imaginée par le conseil régional des jeunes. • Gouel Breizh (2) Apérimots, théâtre, danse, cadavre exquis, yourte... Tout était bon pour se rouler dans le miel de la création et de l'imagination. Quelques gros mots pour commencer, parce qu'il le faut. Cette originale irruption dans le lycée public pontivyen a été menée par la commission diversité culturelle et ouverture aux mondes du conseil régional des jeunes. Un conseil élu par le conseil de la vie lycéenne par tous les lycéens et apprentis bretons. Voilà pour les gros mots. • Le Drian (0) • Région Bretagne (8) « Les Babeliens », pièce de théâtre grinçante, a été présentée dans le cadre du Labyrinthe culturel créé par le conseil régional des jeunes. Une journée particulière Ces élus terminent leur mandat de 2 ans. Le Labyrinthe culturel en est l'aboutissement. « Nous avons réfléchi à ce qu'est la culture, on s'est rendu compte qu'on pouvait s'y perdre, résume Pierre-Maël Gestin, 20 ans, responsable de cette commission. C'est comme ça qu'est venue l'idée du labyrinthe. » Une journée dédiée à la culture sous toutes ses formes, des oeuvres créées ou interprétées par des jeunes fougueux ravis de partager cette journée si particulière. « Le bilan de ces deux ans, bah, c'est énorme ! » lâche Pierre-Maël, en bac pro maintenance des équipements industriels au lycée Yves-Thépault de Quimper. « Nous avons appris à vivre ensemble. À nos âges, on peut être nombriliste, cette expérience nous a amené à voir plus loin. C'est en découvrant les autres qu'on se découvre soi-même. » Un message que Pierre-Maël et ses copains de scène ont su bien faire passer en interpétant la pièce grinçante Les Babeliens, créée par l'un d'eux, Flavien Maleval. « Ça nous parle, c'est vraiment bien » ont timidement lâché Ameline Baugendre et Dany Soria en 1re S au lycée Loth. L'homophobie A raison d'une réunion mensuelle à Rennes, ils ont bâti leur projet. « Nous avons choisi le lycée Loth pour son architecture, explique Jean-Charles Lefranc, qui a guidé la commission. Et nous avons pris soin d'associer les associations du coin : Les Arts paisibles de Melrand, l'Amisep... Et l'institut médico-social Ange-Guépin s'est aussi largement joint à nous. Ils nous ont préparé un repas des cinq continents ! » Des journées vont résumer le travail des autres commissions : à Lanester au lycée JeanMacé, la commission santé a réveillé tout le monde sur le thème Vatecoucher ce jeudi. La commission solidarité a travaillé sur l'homophobie et sera au CFA de Vannes le 1er juin prochain. Delphine LANDAY. "Article 6/20" Pour supprimer des mots-clés, cochez-les et cliquez sur "Supprimer". mardi 4 mai 2010 Journal Ouest-France du mardi 4 mai 2010 Edition : Rennes 2 - Rubriques : Baulon Les élus du CRJ à la maison familiale rurale Les élus du Conseil régional des jeunes se sont donnés pour objectif de sensibiliser les lycéens bretons au sommeil et à ses vertus. La commission santé et qualité de vie s'est penchée sur la thématique du manque de sommeil, qui affecte le quotidien d'un grand nombre de jeunes. Quatre journées d'intervention, articulées autour de saynètes et débats, sont prévues dans des établissements bretons entre le 3 et 20 mai. Le premier rendez-vous a eu lieu à la maison familiale rurale de Baulon, le lundi 3. Devant la richesse des débats sur les vertus du sommeil, aucun élèvene s'est endormi... En parallèle de ces débats, les jeunes élus de la commission Santé et qualité de la vie du CRJ ont travaillé sur la réalisation de plusieurs supports, affiche et flyers, diffusés à grande échelle dans les établissements bretons. Lundi dernier, c'est donc à partir de saynètes jouées par les membres du CRJ illustrant des situations de manque de sommeil et leurs conséquences dans la vie quotidienne que les lycéens spectateurs ont été invités à débattre sur ce thème vital pour leur équilibre et la qualité de leur vie quotidienne. Tous droits réservés. Sauf autorisation, la reproduction, la publication de cette page pour utilisation publique et commerciale sont interdites. vendredi 7 mai 2010 Journal Ouest-France du vendredi 7 mai 2010 Edition : Lorient - Rubriques : Lanester Les jeunes souffrent du manque de sommeil Les membres de la commission santé et qualité de vie du conseil régional des jeunes ont rencontréles lycéens de JeanMacé. Ensemble, ils ont souligné les bienfaits d'une nuit réussie. Le manque de sommeil : voilà un thème qui préoccupe les lycéens. « Il affecte le quotidien d'un grand nombre de jeunes », Les lycéens étaient invités à s'interroger sur leurs pratiques explique un des élus du conseil régional des en matière de sommeil. jeunes. A l'attention des élèves de seconde, ils ont conduit une action citoyenne dont l'objectif est clair : « Informer les lycéens et les apprentis sur les causes et les conséquences du manque de sommeil, avec l'envie de les aider et leur donner des astuces pour bien dormir. » « Dormir, ce n'est pas perdre son temps ! » Les conséquences du manque de sommeil sont identifiées : manque d'attention en classe, difficultés de concentration et de mémorisation, retards, somnolences, attitudes négatives et irritabilité, performances sportives en baisse, maux de tête, troubles de la croissance, prise de poids... D'où le constat établi par ces jeunes élus : « Dormir, ce n'est pas perdre son temps bien au contraire ! ». Jeudi, au théâtre des Deux-Rivières, le moment a été retenu pour illustrer le propos via des saynètes avec une démarche établie : un propos relayé par des jeunes envers leurs homologues est susceptible d'avoir plus de force qu'un propos émanant d'adultes. Des moyens médiatiques relaieront l'intervention. Tous droits réservés. Sauf autorisation, la reproduction, la publication de cette page pour utilisation publique et commerciale sont interdites. LeTélégramme.com LANESTER Lycée Jean-Macé. Un débat sur le thème du sommeil 8 mai 2010 Arrivés au terme de leur mandat, les élus du Conseil régional des jeunes (CRJ), dont la Lanestérienne Stéphanie Brault, organisent plusieurs événements et manifestations, qui sont l'aboutissement de leurs travaux. La commission santé et qualité de vie s'est penchée sur la thématique du manque de sommeil qui affecte le quotidien d'un grand nombre de jeunes. Ses membres étaient, jeudi, au lycée Jean-Macé, où ils ont rencontré deux classes de seconde pour une intervention d'une heure. Cette intervention s'est articulée autour de saynètes et de débat entre les jeunes élus et les lycéens. Ils ont ainsi illustré des situations de manque de sommeil et leurs conséquences dans la vie quotidienne et notamment sur les résultats scolaires. © Copyright Le Télégramme 2009 Fougères mercredi 19 mai 2010 Une bonne hygiène du sommeil, ça s'apprend ! Décontractés, les échanges avec les lycéens de Notre-Dame-des-Marais n'en ont pas été moins bénéfiques. Une mauvaise hygiène de sommeil peut avoir des effets très néfastes, surtout pour les jeunes.C'est le message « percutant » délivré, hier, par des membres du Conseil régional des jeunes. Attention danger, surtout en cette période de révisions de Bac où les « retardataires » seront tentés de rogner sur leur temps de sommeil. Danger aussi, pour cette jeunesse de plus en plus sollicitée par les nouvelles technologies, supports de « tchats » et de navigations virtuelles, lesquels nuisent au « coucher tôt ». Un tel contexte général rend donc la démarche de cette poignée d'étudiants, venus des quatre coins de la Bretagne et issus de la commission « santé et qualité de vie » du Conseil régional des jeunes (CRJ), particulièrement pertinente. Une tournée régionale Ils bouclent ainsi leur mandat de deux ans, par une tournée régionale de lycées où l'objectif est de colporter des messages basiques sur l'importance de préserver une bonne hygiène du sommeil. « Il y a des préventions contre les excès d'alcool et autres addictions. Mais finalement pas grand-chose durant notre cursus scolaire sur effets du manque de sommeil. Alors que les répercussions sont multiples : obésité, risques d'accident, concentration, humeur, etc. Plus on creuse la question, plus on en prend conscience. C'est ce qui a été passionnant », témoignaient Grégory, Maëlle, Stéphanie, Laëtitia, lycéens à Brest, Lorient et Saint-Brieuc mais aussi Kévin, le Fougerais. Après Baulon et Lanester, ils ont fait étape, hier, au lycée Notre-Dame-des-Marais pour deux interventions devant une bonne centaine de lycéens en tout. Basé sur des saynètes Outre le fond, la forme de la démarche est aussi pertinente. Pas de monologue fastidieux et moralisateur mais un échange basé d'abord sur des saynètes suivies de questions réponses. Le tout dans une ambiance décontractée et bon enfant. « Des jeunes parlent aux jeunes, c'est l'esprit que nous avons choisi, cadre Marie-Pierre Rouger, viceprésidente de la région chargée des lycées. Nous leur proposons un espace autonome d'expression qu'ils partagent ensuite avec d'autres jeunes. À nous de leur mettre à disposition les personnes ressources et les moyens techniques dont ils ont besoin ». Et pour boucler la boucle, les expériences et outils conçus durant les deux ans seront présentés la semaine prochaine à l'ensemble des proviseurs de la région « afin de nourrir leur réflexion ». LeTélégramme.com BREST VILLE Lycéens. «Va te coucher, t'as cours demain» 21 mai 2010 Quelles conséquences lemanque desommeil a-t-il chez les élèves? La question a été abordée, hier, aulycée Fénelon par les élus duconseil régional desjeunes. L'occasion aussi d'apprendre les bons trucs pour bien dormir. Les Français dorment en moyenne une heure trente de moins qu'ilya50ans. Et les plus jeunes n'échappent pas à la règle. «Ilya les fêtes. Et puis l'ordinateur, la télé, le portable... Onveille tard et il faut quand même se lever de bonne heure le lendemainmatin», sourit Clément, 19ans, lycéen à Quimper. Cette année, le conseil régional des jeunes a donc décidé de sepencher sur la problématique du sommeil, avec, à la clé, une intervention dans plusieurs établissements. «Au départ, je pensais que le thème allait me faire dormir, poursuit le jeune élu. Mais, finalement, c'est un sujet important. Certains jours, onadu mal à suivre en cours, onest déconnecté. Ça arrive que certains s'endorment pendant les deux heures de philo». Dans 20% des accidents mortels «On se réveille, mademoiselle! Qu'est-ce que je viens de dire?», «Non, mais, monsieur, c'est que je me suis endormie tard parce que j'avais une rédaction àrendre». «Et vous, jeune homme, ne me dites pas que vous avez travaillé trop tard sur votre ordinateur?». Lessaynètes interpellent les élèves de seconde, installés dans la salle: «Mais qu'est-ce qui vous est encore arrivé, Clément?», «Ben, je me suis endormi dans mes boulettes et j'ai de la sauce piquante dans l'oeil!». La salle rit. «Quels sont les risques du manque de sommeil?», interroge Grégory. «Mauvaises notes, agressivité...», égrènent les élèves. «Les ados dépressifs montrent souvent des carences de sommeil», ajoute Maël à la liste. «Sur la route, le manque de sommeil est la cause de 20% des accidents mortels, lance Laeticia. Unautomobiliste a fait ainsi 50kilomètres à contresens sur la voie express en se demandant tout ce temps pourquoi les autres roulaient dans la mauvaise voie». «Et dans 50% des cas, le manque de sommeil fait aussi grossir», indique Kathleen. «Ohmince...», chuchote une jeune fille. Pas de grasse mat' Alors, que faire pour mieux dormir? «Éviter de faire du sport le soir ou alors finir par une douche froide. Et le matin, une douche chaude réveille, même sioncroit souvent l'inverse. Éviter les excitants ? la cigarette avant de dormir ycompris ? et les aliments lourds au souper, car le corps qui digère perturbe le sommeil. Lesécrans d'ordi ou de télé augmentent votre temps d'éveil. Etilfaut éviter de sedécaler: en cas de fête, pas de grasse matinée jusqu'à16h. Ilfaut se lever à l'heure habituelle et faire plutôt une ou deux courtes siestes dans la journée». «Houlà, c'est pas gagné», grimace un élève. Pratique Le site Internet de la campagne «Va te coucher» propose unquiz sur le sommeil. Tags : Jeunesse Adolescence sommeil conseil regional des jeunes © Copyright Le Télégramme 2009 LeTélégramme.com BREST VILLE Témoignage: «Pas prêtes à tout changer» 21 mai 2010 Alicia, Justine etÉlodie sont élèves à Fénélon. Elles reconnaissent que leurs habitudes de vie ont un impact négatif sur leursommeil. Letéléphone portable, surtout, est pointé du doigt. «C'est vrai que, globalement, onse sent souvent fatiguées. Onaurait besoin de beaucoup d'heures de sommeil chaque nuit. Entre huit et douze heures si possible... «L'intervention d'aujourd'hui nous a permis d'apprendre les bons gestes: pas d'excitant, pas de sport avant de dormir ou alors finir par une douche froide, par exemple. «On peut s'améliorer, mais onn'est quand même pas prêtes à tout changer. La télévision, l'ordinateur et le téléphone portable ont aussi été montrés du doigt. La lumière des écrans retarderait l'endormissement. «Malgré tout, on ne pourrait pas s'en passer. La télé, l'ordi, à la limite... Mais surtout pas le téléphone portable! On s'envoie des SMS toute la soirée. Parfois, on finit par s'endormir sur le téléphone. Ilarrive qu'on se réveille dans la nuit, et on se rend compte qu'on n'avait même pas fini d'écrire notre message». Tags : Jeunesse Adolescence sommeil conseil régional des jeunes lycée fénélon © Copyright Le Télégramme 2009 LeTélégramme.com BREST VILLE «Les parents sont souvent demauvais exemples» 21 mai 2010 Françoise Guivarc'h est infirmière pour les lycées et collèges du groupe scolaire de l'Estran. Elle revient sur le rapport des jeunes au sommeil. «Je vois souvent des élèves qui sont en manque de sommeil. Ilyaquelque temps, j'en aieuun qui n'arrivait pas à dormir, à cause de l'anxiété, d'un stress particulier. Certains élèves ne dorment pas et ne savent pas pourquoi». Pas conscients desconséquences «Globalement, au lycée, beaucoup d'élèves se couchent tard. Ils débordent allègrement des limites. Choisir soi-même l'heure de son coucher, c'est aussi une manière pour eux de prendre leur autonomie. Le problème, c'est qu'ils n'ont pas forcément conscience des conséquences que ça a sur leur travail, ou simplement sur eux. C'est un âge où on se fiche des questions de santé. «Le sommeil est un thème finalement peu abordé. On informe plus sur les questions d'addictions, d'alcool ou de drogue par exemple. C'est dommage parce que le sommeil joue un rôle important dans leur vie. C'est pour ça que ce travail mené par les jeunes du conseil régional est intéressant». Trop à faire pour dormir «Quand je vois des élèves fatigués, je leur explique l'importance pour eux de bien dormir. Ça fait partie de l'éducation à la santé. Mais c'est certains qu'aujourd'hui, avec la télévision, l'ordinateur, le portable souvent dans les chambres, ils ont finalement trop à faire pour dormir. «C'est aux parents de poser des limites, et je crois que beaucoup ne le font pas. Cela dit, nous-mêmes, les adultes, sommes souvent de mauvais exemples en la matière...». Tags : Jeunesse Adolescence sommeil © Copyright Le Télégramme 2009 samedi 22 mai 2010 Journal Ouest-France du samedi 22 mai 2010 Edition : Brest - Rubriques : Vie en ville Conseil régional des jeunes : l'art du mieux-dormir Les élus du Conseil régional des jeunes (CRJ) étaient hier au lycée Fénelon pour sensibiliser lycéens sur le sommeil. Les membres de la commission Santé et Qualité de vie se sont en effet penchés durant deux ans sur le manque de sommeil chez les jeunes. Il en est ressorti une importante campagne de sensibilisation intitulée « Va te coucher ! ». Sept des trente membres de la commission Kathleen, Maël, Laetitia et Grégory ont ouvert le débat avec ont ouvert le débat avec des classes de les lycéens de Fénelon sur le thème du sommeil. seconde et de première. « C'est une thématique très peu abordée. C'est pourtant la base d'une bonne hygiène de vie », explique Grégory, 20 ans. Leurs consignes : il faut prendre le temps de bien dormir, ce qui implique également un coucher dans les règles, « c'est-à-dire pas directement après avoir surfé sur le web » et un réveil en douceur. Pour mesurer la qualité du sommeil, l'équipe a créé un test à faire sur le site : www.kaoz.info. Tous droits réservés. Sauf autorisation, la reproduction, la publication de cette page pour utilisation publique et commerciale sont interdites. mercredi 19 mai 2010 Journal Ouest-France du mercredi 19 mai 2010 Edition : Rennes 1 - Rubriques : Cesson-Sévigné Un court-métrage pour lutter contre l'homophobie Si j'avais su..., un court-métrage réalisé par 12 jeunes de la commission Solidarités locales et internationales du conseil régional jeune, a été présenté pour la première fois lundi au cinéma Le Sévigné. La première séance a réuni 70 élèves du lycée Sévigné et des volontaires du lycée Saint-Étienne, la seconde s'adressait au public. Elles étaient suivies d'un débat. Les jeunes élus ont largement participé à la rédaction du scénario qu'ils ont ensuite interprété. « L'homophobie est un sujet qui nous tenait à coeur », a expliqué Mathilde, une des jeunes. Marie-Pierre Rouger, vice-présidente du conseil régional chargée des lycéeset une partie des jeunes qui ont réalisé le court-métrage « Si j'avais su ». Pour Marie-Pierre Rouger, vice-présidente chargée des lycées, « c'est un court-métrage très éducatif et très pertinent car porté par les jeunes ». L'association Mix-cités et un scénariste d'Ouest Audovisuel les ont accompagnés. Un DVD de Si j'avais su sera disponible pour les lycées en septembre. Tous droits réservés. Sauf autorisation, la reproduction, la publication de cette page pour utilisation publique et commerciale sont interdites. http://www.ouestfrance-enligne.com/scripts/consult/doc/DOC_impression.asp?IN_SE... 25/05/2010 © Le Télégramme 2009 - imprimer Page 1 sur 1 LeTélégramme.com MORLAIX VILLE Porsmeur. Homophobie au lycée, un film pour en parler 20 mai 2010 Les jeunes élus du conseil régional des jeunes de Bretagne ont présenté aux élèves du Porsmeur un court-métrage qui aborde sensiblement la question de l'homophobie au lycée. Une façon d'aborder en douceur une question tabou. «C'est seulement depuis 1991 que l'Organisation mondiale de la santé a retiré l'homosexualité des maladies mentales et aujourd'hui, 50% des jeunes, âgés de 12 à 25 ans, qui se suicident le font en raison de l'homophobie.» Devant ses congénères, François Derunian prend son rôle très au sérieux. Dans le film qui vient d'être projeté aux élèves de BEPcarrières sanitaires et sociales, il interprète le rôle d'un lycéen qui apprend que son meilleur ami est homosexuel et le pousse involontairement au suicide par ses brimades. Dans la vie de tous les jours, François est lycéen au Porsmeur et délégué au conseil régional des lycéens. Cette institution, z mise en place par la Région, favorise l'émergence de projets collectifs et individuels sur des thématiques concernant la vie quotidienne des lycéens. Au sein de la commission «solidarité locale et internationale», François, sa collègue du Porsmeur Aurélie Beuzir, ainsi que leurs amis Alicia, Rudy et Maud, ont souhaité se pencher sur la question de l'homophobie au travers de la réalisation d'un court-métrage de fiction de 13'30, «Si j'avais su...», en compagnie d'un réalisateur. «Moins traitée que les autres discriminations «L'homophobie est une question saillante mais beaucoup moins traitée que d'autres discriminations», estime Rudy Ramaré, étudiant à Rennes II, qui interprète le lycéen suicidaire dans le film. «C'est une thématique qui commence à émerger, mais on en parlait peu jusque-là en classe dans les programmes scolaires, poursuit Lydie Porée, de l'association Mix-Cités, partenaire du projet. Pourtant, il s'agit d'un vrai problème de santé publique, qui a des implications sur le mal-être des jeunes.» Le film, particulièrement sensible, aura permis d'ouvrir le débat avec les lycéens du Porsmeur, qui ont fait remonter des questions abordant l'homosexualité et la famille, le rapport aux amis, au monde du travail, à la justice. Ou bien encore le moment crucial du «comingout». Une façon pour François, Aurélie, Alicia, Rudy et Maud, de rappeler à leurs congénères le slogan de leur projet, «Homos, hétéros, ce n'est pas qu'une question de sexe», mais aussi de tolérance et de droits. Tags : Jeunesse Adolescence Morlaix © Copyright Le Télégramme 2009 http://www.letelegramme.com/dyn/imprimer.php?link=/local/finistere-nord/morlaix/v... 20/05/2010 jeudi 20 mai 2010 Journal Ouest-France du jeudi 20 mai 2010 Edition : Morlaix - Rubriques : Morlaix Ville L'homophobie mise à nue au lycée du Porsmeur Hier, cinq membres du conseil régional jeunes présentaient, à des lycéens du Porsmeur, le court métrage qu'ils ont réalisé sur le thème de l'homosexualité au lycée. C'est une histoire de jeunes. Un lycéen qui découvre que son meilleur ami est homosexuel. Et qui fait face aux conséquences de sa réaction. Un film de 13 minutes tourné dans un lycée, par des élèves, et destiné à sensibiliser le plus grand nombre aux ravages de l'homophobie. François Dérunian, Alicia Loaec, Aurélie Beuzit, Maude Fichou et Rudy Ramaré, élus au conseil régional des jeunes ont présenté leur court-métrage intitulé « Si j'avais su... ». Hier, cinq membres du conseil régional des jeunes sont venus au lycée du Porsmeur pour présenter le court-métrage qu'ils ont réalisé avec une vingtaine d'autres jeunes. Un retour aux sources pour François Dérunian et Aurélie Beuzit, tous deux élus du lycée. Ce sont les élèves qui ont porté le projet du début à la fin. De la sélection du sujet au choix du support. Et pour eux, la question de l'homophobie s'est imposée. « Dès le début, on s'est tourné vers la lutte contre les discriminations, explique Rudy Ramaré, un des acteurs principaux du film, étudiant en première année de psychologie à Rennes. L'homophobie est un sujet un peu tabou qui est beaucoup moins traité que d'autres formes de discriminations. On s'est dit que l'impact serait plus important. » Un sujet flagrant Et pour faire passer leur message, les jeunes élus ont opté pour le média le plus couru de leur génération : la télévision. « Ca permet au public de bien se reconnaître », estime Maude Fichou, lycéenne à Quimper. La projection d'hier après-midi leur a donné raison. Les élèves de terminale BEP en carrières sanitaires et sociales ont été captivés par le film de leurs camarades. Le débat qui a suivi la projection a montré l'importance du sujet. « Je pense que certains jeunes hésitent à dévoiler leur homosexualité parce qu'ils savent ce qui les attend ensuite, au quotidien », a ainsi expliqué une élève, faisant référence aux moqueries ou insultes que peuvent subir les jeunes homosexuels. Assistés de Lydie Porée, membre de l'association Mix-cité, les élus lycéens n'ont pas hésité à mettre à jour toutes les difficultés. Le phénomène de rejet, les remarques verbales homophobes utilisées dans le langage courant, la réaction des parents. Débat post-projection En face, les lycéens écoutent et s'expriment : « Je ne suis pas homophobe mais lorsque ça se passe devant moi, je suis gênée », avait ainsi écrit une élève sur un petit billet de correspondance. « On n'est pas forcément habitué à ça, a répondu une autre élève. On ne sait pas comment réagir. » Autant d'occasion de discuter et de faire prendre conscience des choses. Trois autres rendez-vous de ce type sont prévus dans toute la Bretagne. D'autres projections pourraient être organisées à la rentrée prochaine. Romain LE JEUNE. Tous droits réservés. Sauf autorisation, la reproduction, la publication de cette page pour utilisation publique et commerciale sont interdites. samedi 29 mai 2010 Journal Ouest-France du samedi 29 mai 2010 Edition : Ille-et-Vilaine - Rubriques : Départementale Débattre pour tenter de vaincre l'homophobie Le lycée rennais Pierre-Mendès-France organisait hier une journée de sensibilisation à l'homophobie. Reportage Dans l'amphithéâtre du lycée Pierre-MendèsFrance, à Rennes, l'ambiance est studieuse. Il n'est pas question de mathématiques ou de chimie ce vendredi mais d'un tout autre sujet, plus délicat et tabou : celui de l'homophobie. Betty et Coralie du conseil régional des jeunes ainsi que Cyrille et Laëtitia de l'association Mix-cité étaient présents pour animer le débat. « Le lycée est un lieu où l'on construit sa vie professionnelle mais aussi sa vie de citoyen. » Le préambule du proviseur Bertrand Élise laisse place à la projection de « Si j'avais su... ». Un court-métrage de sensibilisation élaboré par la Commission solidarités locales et internationales du conseil régional des jeunes. L'histoire d'une bande de potes qui apprend que l'un d'entre eux est homosexuel. Celui-ci sera rejeté par son meilleur ami et finira par se donner la mort. « Qu'avez-vous pensé du film ? » Silence. Un élève se lance : « Ce n'est pas toujours comme ça ! Le suicide, c'est un cas extrême. » « Le chemin reste long » Malheureusement, les chiffres sont là. Le suicide est 13 fois plus important chez les jeunes homosexuels. « Ils seraient entre 2 000 et 3 000 à se donner la mort chaque année en France », rappelle Laëtitia, de l'association rennaise Mix-cité. Le débat se poursuit. « Deux femmes ensemble, ça choque moins ! » Toutes les remarques (pertinentes ou non) des élèves de première sont sujettes à discussion. Gêne ou méconnaissance, les langues ont du mal à se délier. Ces journées de sensibilisation sont organisées dans différents lycées bretons. « L'homophobie est le sujet choisi par les jeunes élus. C'est une entrée pour parler du respect des différences », explique Marie-Pierre Rouger, vice-présidente du conseil régional chargé des lycées. Le débat s'achève par quelques dates clés. 1982 : dépénalisation de l'homosexualité en France. 1991 : l'Organisation mondiale de la santé (OMS) retire l'homosexualité de sa liste des maladies mentales... « Le chemin reste long », soupire Laëtitia. ouestfrance-enligne.com Page 1 sur 1 mercredi 2 juin 2010 Journal Ouest-France du mercredi 2 juin 2010 Edition : Dinan - Rubriques : Vie en ville Les lycéens débattent contre l'homophobie Les élèves élus au conseil régional des jeunes (CRJ) ont animé deux débats lundi aux lycées Ker-Siam et de la Fontaines-des-Eaux autour de la lutte contre l'homophobie. Ils ont présenté le court-métrage Si j'avais su, qu'ils ont réalisé, dans lequel un jeune homosexuel se suicide après avoir été rejeté par ses copains hétéros. Le débat qui a suivi a été très animé. Les lycéens ont été particulièrement choqués d'apprendre que 50 % des jeunes de 15-25 ans qui se suicident sont homosexuels, alors qu'ils ne représentent que 6 % de cette tranche d'âge. Un débat a suivi la projection du film. Tous droits réservés. Sauf autorisation, la reproduction, la publication de cette page pour utilisation publique et commerciale sont interdites. http://www.ouestfrance-enligne.com/scripts/consult/doc/DOC_impression.asp?IN_SE... 02/06/2010 © Le Télégramme 2009 - imprimer Page 1 sur 1 LeTélégramme.com VANNES VILLE Homophobie. Mix-cité sensibilise les apprentis du bâtiment 2 juin 2010 Des membres de la commission Solidarités locales et internationales du conseil régional des jeunes et des représentants rennais de l'association Mix-cité sont intervenus, hier, au Centre de formation des apprentis (CFA) du bâtiment de Vannes, pour mener une sensibilisation à la lutte contre l'homophobie. En deux sessions, quelque 35élèves de l'établissement ont échangé sur le sujet, après la projection d'un court-métrage. Tags : Enseignement CFA Bâtiment Homophobie Sensibilisation Vannes © Copyright Le Télégramme 2009 http://vannes.letelegramme.com/dyn/imprimer.php?link=/local/morbihan/vannes-aura... 02/06/2010 Homophobie : un court-métrage pour en dire long “Si j’avais su…” Un titre comme un début de réflexion. Le lundi 17 mai, le court-métrage réalisé par le Conseil régional des jeunes de Bretagne sera présenté au cinéma de Cesson-Sévigné à l’occasion de la journée internationale de lutte contre l’homophobie. Durant plusieurs mois, les élus de la commission Solidarités locales et internationales se sont ainsi penchés sur la thématique du respect des autres au sein des lycées et des CFA, et notamment sur ce sujet sensible de l’homophobie. À la clé : la rédaction d’un scénario de 13 minutes qu’ils ont ensuite interprété durant un tournage de deux jours lors des vacances de février. Après les deux séances du 17 mai (une pour les classes de lycéens et d’apprentis, l’autre pour le grand public), chacune suivie d’un débat, les membres du CRJ, qui arrivent au bout de leurs deux ans de mandat, renouvelleront l’expérience au sein de quatre établissements* afin de susciter prises de conscience et réactions… et ainsi faire évoluer les mentalités. * lycée Le Porsmeur à Morlaix (19 mai), lycée Pierre-Mendès-France à Rennes (28 mai), CFA du Bâtiment à Vannes (1er juin), lycée La Fontaine des Eaux à Dinan. Projection et débat public : Lundi 17 mai, au cinéma de Cesson-Sévigné, dès 19h45 (séance à 20h30) Olivier Retail, 12 mai 2010 http://www.terristoires.info/initiatives/societe/homophobie-un-court-metrage-pour-en-dire-long.html