JORDI BONET (1932 - 1979) Jordi Bonet est né à Barcelone le 7
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JORDI BONET (1932 - 1979) Jordi Bonet est né à Barcelone le 7
JORDI BONET (1932 - 1979) Jordi Bonet est né à Barcelone le 7 mai en 1932 dans une famille catalane des valeurs nobles traditionnelles. Les promenades Jordi avait avec son père à la recherche de ruines romaines, lui que dit-il plus tard, a laissé un sentiment de crainte révérencielle étonnante. Il consacre pour observer les grands maîtres, les goûts Velázquez, Goya et Picasso. Par la suite, il s'arrêta ses études et a travaillé pour parfaire sa technique et son style pictural. En 1949, il approfondit ses connaissances de la Culture catalane, grâce à son oncle, l'architecte Luis Bonet i Gari, qui l'a accueilli dans sa maison à Majorque. Impressionné par ses études, Jordi a ensuite étudié les travaux des monuments de Gaudi et le Roman et le gothique. Au cours des cinq années à Barcelone, il a plongé dans l'univers d'un niveau culturel unique, Antonio Prats, Antonio Vila Arufat et Josep Gudiol. Puis à l'âge de vingt-deux ans, il décide de voyager. Il se rendit en France, puis au Canada. Et en 1954, il s'installe au Canada et a vécu à Trois-Rivières. Rapidement, il se lie d'amitié avec Marcel Couture, Clément Marchand et à Montréal, a adopté la famille d'Albert Jutras. Il consacre au travail avec céramique et a été rejoint par Jean Cartier et Claude Vermette et fait un apprentissage spectaculaire. Il expose au Musée des beaux-arts à Montréal en mars 1959. Jordi marié, dos voyagé en France et en Catalogne avec sa femme, Huguette Bouchard, là, il rencontra Salvator Dali. Après ce voyage, il a décidé d'arrêter la peinture et d'en finir avec cette étape dans sa vie. Un an plus tard, il commença une nouvelle période artistique et est maintenant définitivement installé à Montréal. C'était l'ère de grandes peintures murales de céramique pour l'église de Saint-Raphaël, le Séminaire de Metabetchouan, Jordi, le couvent Des Ursulines à Loretteville, la Faculté des Sciences de la Nouvelle Cité Universitaire de Québec (il exécute cette dernière œuvre à Coutrai en Belgique en juin 1961). Il est maintenant reconnu internationalement, et les commissions sont plus en demande et important. Jordi is constantly at work; he produced great murals such as “Homage to Gaudi” at the Place des Arts in Montreal, another was commissioned by Sierra Leone, another one for the Pavilion of the University of Chicago as well as the one at the North American Tower in Toronto, etc… Sa persévérance paye enfin pour l'arrêt et en février 1964 ; un livre est publié "Jordi Bonet, Le Signe et la Terre" par Jacques Folch-Ribas architecte. En 1966, il est élu membre associé de l'Académie des Arts du Canada et membre de l'Association des Artistes Professionnels du Québec. La même année, il est nommé professeur d'art à l « École d'architecture de le » Université de Montréal. En 1969, Jordi Bonet a emménagé dans le Manoir Rouville Campbell à Mont Saint-Hilaire. Guy Roberts, l'auteur du deuxième livre publié sur Jordi Bonet, nous dit que les travaux de Jordi ont été commencés en ce lieu. Bonet a continué de perfectionner sa technique et a commencé à travailler avec le ciment et le métal. C'est ici, il a exécuté son mural verre majestueux, pour la chapelle à l'aéroport Kennedy à New York (Terminal 4), un par le Centre National des Arts à Ottawa, un autre pour le Metropolitan Hospital à Philadelphie et la peinture murale au Grand Théâtre de Québec. Après avoir atteint la réussite professionnelle, il passe par une tragédie personnelle, la perte de son fils que Stéphane en 1971 et en 1973 Jordi lui-même a été diagnostiqué avec la leucémie. Médecins lui a donné, mais un mois à vivre, ils ne prennent bien sûr pas en considération la volonté de cet homme qui serait de combattre et de vivre pendant encore six ans. En 1975, il fonde le groupe Para, et un an plus tard, il a commencé ce qui est aujourd'hui son artistique héritée « Le Livre des Naissances », une œuvre composée de 240 dessins. Il mourut le 25 décembre 1979. Une journée mémorable en soi. Ce jour-là, nous avons perdu un artiste, comme tous les grands maîtres dont il était saisi, il a laissé sa marque sur une grande échelle. Son existence n'était qu'un simple quarante-sept ans. Jordi Bonet, représenté l'univers qui l'entourait. Il était un Catalan au Québec, mais comme tout grand artiste, son génie a passé toutes les frontières. Text by: Father Jordi Figuerola-Rotger, Curator of the Diocesan Museum of Barcelona