bulletin de la centrale - UNSA
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SYNDICAT PROFESSIONNEL AUTONOME DE L’ADMINISTRATION CENTRALE BULLETIN DE LA CENTRALE N°201 Page 1 - 2 Éditorial S O M M A I R E Page 2 - 3 Loi de modernisation de la Fonction Publique ... Le COR sonne l’alarme sur les retraites Page 3 - 4 Prime de transport des fonctionnaires Page 4 - 5 Des associations de gestion des prestations d’action sociale “new look” Page 5 - 6 DRIRE-DRIREN : une fusion qui fait pchiiit Page 6 Plan ministériel de qualification 2007 Page 7 Travailleurs en situation de handicap Page 8 Publicité GMF • AVRIL/MAI 2007 • 27e ANNÉE ÉDITORIAL Chaque jour en France, une personne se tue à cause du travail, et en particulier du fait des relations dans l’entreprise (hiérarchiques, sociales,…) ou de l’angoisse du lendemain dans un contexte de précarité. « On entre dans l’entreprise publique ou privée pour gagner sa vie et on risque de la perdre », comme le constate un hebdomadaire. Ce constat violent est cruellement exact. Nous savons tous que le stress au travail provoque des maladies cardio-vasculaires, favorise l’évolution des cancers, altère les relations affectives, sans parler des dépressions nerveuses ! Le milieu professionnel, public ou privé, s’endurcit : - dans le secteur concurrentiel privé, il faut «tuer les concurrents extérieurs» sur les marchés et donc éliminer « de la boîte » les rivaux. - dans la fonction publique, y compris au MINEFI, le culte de la performance et de la rentabilité poussée à l’excès ringardise certains agents, voire marginalise ceux qui ne seraient plus à l’image de la « modernité » que l’administration souhaite tant afficher. Dans ce contexte d’idéalisation de la compétition au travail, certains aiment à considérer que syndicalisme rime avec archaïsme. Discréditer certains mouvements sociaux, minimiser la représentativité des syndicats, négliger le dialogue social sont une tentation constante pour certains dirigeants, notamment publics soucieux de comptabiliser les réductions d’effectifs et de démanteler les services publics. Quand le Ministre de l’Economie et des Finances se vante sur une chaîne d’information continue : « Moi, à Bercy, c’est deux emplois sur trois que je ne remplace pas ! » on constate que chaque agent du MINEFI se trouve de plus en plus fragilisé, dans la crainte du lendemain avec un statut de la fonction publique de plus en plus attaqué. Seul, vous ne pourrez rien, ensemble nous ferons beaucoup! LE BULLETIN DE LA CENTRALE : Bulletin du Syndicat Professionnel Autonome de l’Administration Centrale des Finances • Commission paritaire N° 2079 D-73 • Directeur de la publication : Gérard ALLIGNI • Siège social : Bâtiment Vauban - Télédoc 000 - 139, rue de Bercy 75012 Paris - Tél. : 01 53 18 33 11 - Fax : 01 53 18 37 05 - E-mail : [email protected] PAO : SPAC • Impression : Impressions Digitales • Abonnement annuel : 40 € - Service gratuit aux adhérents • Dépôt légal à parution du bulletin. Le SPAC-UNSA rappelle l’importance de la mobilisation, tous ensemble, pour préserver les agents et le statut de la fonction publique. Le SPAC-UNSA, syndicat autonome, vous appelle à voter le 4 décembre pour accroître, par un taux de participation significatif, la force de vos représentants pour lutter contre la souffrance au travail, les discriminations de tous ordres, et les mesures arbitraires ! Le Secrétaire Général Gérard ALLIGNI Application de la loi de modernisation de la Fonction publique Le Droit Individuel à la Formation, Validation des Acquis de l’Expérience, Reconnaissance de l’Expérience Professionnelle : la loi de modernisation de la fonction publique qui a été promulguée le 2 février 2007 introduit dans le statut général, en plus des dispositions existantes, un droit individuel à la formation (DIF) et elle prévoit la validation des acquis de l’expérience (VAE) et la reconnaissance de l’expérience professionnelle (REP). Le licenciement des fonctionnaires: Contrairement à ce qui a pu être annoncé par les organisations syndicales concurrentes, l’article 62 de la loi n’ouvre pas la possibilité de licencier les fonctionnaires. Cet article élargit dans un souci d’équité la possibilité pour les agents de l’Etat perdant leur emploi (licenciement pour insuffisance professionnelle,….) de percevoir des allocations chômages au lieu du RMI actuellement alloué. L’évaluation et la notation : la loi comprend une disposition permettant aux ministères volontaires d’expérimenter la suppression de la notation à titre expérimental pour trois ans. Il conviendra d’être particulièrement vigilant lors de la rédaction des décrets d’application sur le maintien des possibilités de recours devant les Commissions Administratives Paritaires. Le COR sonne l’alarme sur les retraites! La loi FILLON portant réforme des retraites est loin d’avoir résolu tous les problèmes, hélas ! Selon le Conseil d’Orientation des Retraites (COR), le régime général du privé se révèle plus dégradé que prévu à très court terme. Ainsi, il totalisera fin 2007 un déficit de 3,5 milliards d’euros. 2 Ensuite, parce que l’obtention de l’équilibre en 2020 implique une augmentation du salaire moyen de 1,8% par an (soit plus de 23%) avec un taux de chômage de 4,5%, celui du régime public ne serait atteint à la même date que grâce à un apport considérable de l’Etat et des collectivités locales (0,6 point de PIB annuel). En conséquence, le COR suggère une réforme des régimes spéciaux afin de les aligner sur les autres, par souci d’équité et d’égalité, tout en tenant compte des gains d’espérance de vie et de la moindre pénibilité des travaux vu les progrès technologiques. Il prône également une augmentation du taux d’emploi des “seniors”, qui reste un des plus faibles des pays européens. Le SPAC-UNSA retient trois principes énoncés dans les conclusions de ce rapport : 1°) la nécessité du retour à un équilibre financier des régimes de retraite, 2°) l’équité et la solidarité entre les assurés et entre les générations, 3°) l’augmentation du taux d’activité des 55-60 ans. Cependant, le SPAC-UNSA réaffirme pour chacun : - le droit à un départ à la retraite librement choisi à partir de 60 ans. - la garantie d’un niveau de vie en rapport avec celui qui lui était assuré en activité. Prime de transport des fonctionnaires Fin août 2006, le Premier ministre annonçait le dispositif du chèque transport à compter du 1er janvier 2007 financé à 50% par l’Etat afin de compenser la hausse des prix du carburant. Cette aide de 100 à 200 euros par an était facultative pour les entreprises, mais devait concerner l’ensemble des fonctionnaires se rendant au travail via les transports en commun. Jusqu’alors, seuls les fonctionnaires franciliens avaient droit au remboursement partiel (50% X 11/12ème) de leur carte orange. Ce fut chose faite par le décret n°20061663 du 22 décembre dernier instituant une prise en charge partielle des titres d’abonnement couvrant le trajet domicile-lieu de travail des personnels de l’Etat travaillant hors Ile de France. A compter du 1er janvier 2007, l’Etat doit prendre en charge, à hauteur de 50%, les titres de transport abonnement annuel ou mensuel pour un nombre de voyages illimités ou les cartes d’abonnement mensuel pour un nombre de voyages limités. La participation mensuelle maximale de l’Etat employeur s’élève à 51,75 euros. Cette indemnité, depuis longtemps exigée, enfin obtenue grâce à l’accord JACOB signé par l’UNSA-Fonctionnaires, ne répond toutefois que partiellement au besoin d’une prime de transport générale pour tous les agents publics dans l’impossibilité de prendre des transports collectifs du fait de leur absence ou des horaires décalés de travail, ou encore par défaut de systèmes d’abonnement. Cependant, même si cette mesure a été prise de façon chaotique et brusquée, elle était souhaitée du fait de l’augmentation continuelle des prix de l’énergie, dont la 3 hausse n’aura jamais de cesse. Il faut bien reconnaître qu’il y a eu un effort de réalisé, même si tous les agents obligés d’utiliser leur véhicule personnel sont et seront de plus en plus pénalisés. Il faudra bien que le prochain gouvernement trouve une solution ! Tout le monde ne peut pas habiter dans de grandes agglomérations bien desservies par les transports en commun. Des associations de gestion des prestations d’action sociale « new look » La refonte des statuts des associations de gestion des prestations d’action sociale en matière de logement (ALPAF), de vacances-loisirs (EPAF) et de restauration (AGRAF), engagées par la DPAEP est opérationnelle à compter du 1er mai 2007. 124 agents travaillant au siége de ces associations sont directement concernés par cette réforme, mais nous le sommes tous en qualité d’usager et futur « clients » de ces associations qui seront désormais libres du tarif de leurs prestations par exemple. Il convient de tenir compte des inquiétudes des personnels dans les associations, notamment : que donnera la mise à disposition des personnels à trois ans ? comment s'organise la tutelle des associations ? les personnels mis à disposition auprès des associations ne seront-ils pas désavantagés dans le cadre des promotions en CAP ? Les réponses obtenues n’offrent en effet aucune garantie dans le temps sur le statut des agents au delà de trois ans, et il faudrait avoir enfin une certitude sur leur placement dans les dossiers des CAP : 4 DPAEP ou mis à disposition car selon le vent, les réponses varient !!! Le SPAC-UNSA est plus préoccupé par le devenir des agents que par l'organisation de la structure même si on peut s’interroger sur le découpage. Outre la mise en péril du statut des fonctionnaires, maintes fois contestée par les organisations syndicales, nous nous interrogeons sur la pertinence de cette nouvelle organisation, entre une administration qui décide une orientation, une association qui la met en œuvre « à sa guise » et un organe consultatif, qui n’aura pas autorité sur ces associations. Le SPAC voudrait aussi insister sur la qualité des plans de formation de la 3ème sous-direction de la DPAEP qui existaient il y a quelques années. Or, maintenant cela a été perdu de vue, il n'y a plus de fil directeur... Dans le cadre du déménagement à Montreuil, on ne peut pas se féliciter de la façon dont le dossier est traité : Informations erronées, pas de transparence, travail dans l'urgence pour le choix de l'implantation des personnels et dernièrement sur le choix du mobilier. Le travail est intéressant dans la sous direction mais il faudra faire attention à la qualité de vie des agents dans les services, car elle s’est déjà très dégradée... Le SPAC-UNSA souhaite bon courage aux collègues de la nouvelle structure. DRIRE/DIREN : Une fusion qui fait Pchiiiit ! mais à surveiller… Une réunion s’est tenue sous la présidence de Mme Nathalie HOMOBONO, Directrice de l’Action Régionale de la Qualité et de la Sécurité Industrielle (DARQSI), avec pour objet un point sur les réformes menées à la DARQSI, et notamment sur l’externalisation des contrôles techniques (VT 2005). Les autres réformes ont été jugées, par la DARQSI, ou trop anciennes ou trop récentes, comme la fusion DRIRE/DIREN, pour pouvoir être évoquées dans le cadre de cette réunion. Soucieuse de renouer le dialogue social, l’intersyndicale réunissant les fédérations FO, FDSU, CGT et UNSA, a siégé à cette réunion, malgré le peu de richesse des documents fournis et un ordre du jour peu conforme aux attentes des personnels. L’intersyndicale a tenu à faire une déclaration liminaire pour dénoncer notamment une situation inédite, liée au fait que la DARQSI s’obstine à vouloir faire passer en force une réforme que la quasi-totalité des personnels rejette. L’illustration flagrante de l’épreuve de force engagée est que la DARQSI s’est trouvée contrainte de « négocier » avec une seule organisation syndicale dont la représentativité est minoritaire au sein du réseau DRIRE. D’ordinaire celle-ci aime à dire qu’elle n’accepte de parler qu’avec des structures largement représentatives : bel exemple d’incohérence ! L’intersyndicale rappelle également dans sa déclaration liminaire son exigence d’un moratoire sur le projet de fusion DRIRE/DIREN autant au plan national que local y compris les Directions expérimentatrices, et souhaite avoir une réponse précise à ce sujet. Pour le SPAC-UNSA, les travaux de fusion DRIRE/DIREN doivent faire l’objet d’un moratoire, d’autant que les trois Ministres actuellement concernés par ne partagent pas les mêmes opinions sur cette réforme ! Il paraît encore plus difficile de préjuger des décisions qui pourront être prises après les échéances électorales nationales, puisqu’on ignore même le périmètre respectif des différents ministères concernés ! Poursuivre les travaux au plan local serait une perte de temps autant pour l’administration que pour les personnels, surtout en l’absence de cadrage national des DRIRE. La DARQSI souhaite néanmoins que les travaux au plan local se poursuivent pour rester dans l’esprit de la volonté des Ministres qui jugent ce projet pertinent, malgré les sujets difficiles soulevés par ce dossier, qui, au final, ne fera pas l’objet d’un décret pour aboutir à la fusion avant les élections présidentielles. Le SPAC-UNSA prend acte que le décret de fusion ne pourra être signé, et donc constate l’absence de base juridique pour poursuivre les travaux, que ce soit au plan local au national. En conséquence, il convient de mettre fin à cette précipitation qui tend à vouloir mettre en place des organisations au plan local, sans qu’on sache si ce projet verra ou non le jour, ou s’il sera supplanté par un autre projet dans un autre périmètre ministériel éventuel. Il convient de continuer à militer pour un moratoire clair et net des travaux, sachant que dans un projet de grande envergure, notamment sur la question de la gestion des corps, le Ministère de la Fonction Publique devra être associé! 5 Il est urgent, en l’absence de base juridique de stopper tous travaux relatifs à cette fusion, y compris sous le prétexte fallacieux d’un simple rapprochement entre DRIRE et DIREN. Promotions 2007 (chiffrage provisoire) Accès au grade d’attaché principal : 38 possibilités à répartir entre l’examen professionnel et le tableau d’avancement dans le cadre du nouveau statut des attachés des administrations de l’Etat. Accès à la catégorie A : 17 possibilités de promotion pour rejoindre le corps des inspecteurs du Trésor, lesquelles viennent s’ajouter aux dispositions statutaires (par concours et par liste d’aptitude) du nouveaux corps des attachés des administrations de l’Etat. Accès au B3ème niveau : 91 possibilités de promotion à répartir entre le concours et le tableau d’avancement dans le grade des secrétaires administratifs de classe exceptionnelle et 45 possibilités dans le grade de contrôleur principal du Trésor public. Accès au B2ème niveau : 52 possibilités de promotion par tableau d’avancement dans le grade des secrétaires administratifs de classe supérieure et 45 possibilités de promotion par tableau d’avancement dans le grade des contrôleurs de 1ère classe. Accès à la catégorie B : 160 possibilités de promotion à répartir entre le concours pour l’accès au corps des contrôleurs du Trésor public à l’administration centrale et la liste d’aptitude pour rejoindre le corps des secrétaires administratifs. Accès au grade d’adjoint administratif principal de 1ère classe : 303 agents seront promus dans la nouvelle échelle VI. Accès au grade d’adjoint administratif principal de 2ème classe : 22 agents seront 6 promus dans la nouvelle échelle V. Accès au grade d’adjoint administratif de 1ère classe : 1 agent bénéficiera de l’accès dans la nouvelle échelle IV. Accès au grade d’adjoint technique principal de 1ère classe : 39 agents seront promus dans la nouvelle échelle VI. Il s’agit des agents qui appartenaient aux corps de service automobile, technique et ouvrier. Cette nouvelle échelle correspond à celle des chefs de garage principaux, des ISIM de classe exceptionnelle, et des maîtres ouvriers principaux. Accès au grade d’adjoint technique principal de 2ème classe : 33 agents seront promus dans la nouvelle échelle V. Il s’agit des agents qui appartenaient aux corps de service automobile, technique et ouvrier. Cette nouvelle échelle correspond à celle des chefs de garage, des ISIM de 1ère classe , et des maîtres ouvriers. Accès au grade d’adjoint technique de classe : 17 agents seront promus dans la nouvelle échelle IV. Il s’agit des agents qui appartenaient aux corps de service automobile, technique et ouvrier. Cette nouvelle échelle correspond à celle des conducteurs automobile hors catégorie, des ISIM de 2ème classe , et des ouvriers professionnels principaux. 1ère Les personnels éligibles à la promotion dans le cadre de ce nouveau statut technique sont ceux de l’agrégat de l’administration centrale, des DRIRE, des Ecoles des Mines et de l’INSEE. Travailleurs en situation de handicap, travailleurs à part entière Citoyens à part entière, les personnes en situation de handicap doivent bénéficier des droits reconnus à tous. Notre société doit garantir à chacune et à chacun son plein épanouissement, son accès le plus complet à l’autonomie et à la responsabilité, sa participation effective à tous les actes de la vie sociale, et donc au travail. Les barrières architecturales, culturelles et sociales aggravent les situations de handicap et entravent l’éducation, la formation professionnelle, l’emploi et la participation sociale des personnes en situation de handicap. Il est donc nécessaire d’agir pour passer enfin de la logique d’assistanat à une réelle politique d’intégration sociale et professionnelle. Le SPAC-UNSA dénonce les insuffisances de la loi sur l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, qui ne répond pas aux attentes des personnes en situation de handicap. Travailler, vivre ensemble dans l’acceptation et le respect de la diversité est un facteur d’enrichissement mutuel. Le Ministère de l’Economie et des Finances est l’une des très rares administrations qui ait créé une structure spécifique pour prendre en compte les difficultés des personnes en situation de handicap. Le SPAC-UNSA se réjouit de l’existence de la cellule de recrutement et d’insertion des personnes handicapées, animée par Monsieur Didier Fontana et son équipe. Cette initiative est encore trop rare et mérite d’être saluée comme il se doit. Toutefois nous déplorons le manque de place que l’administration laisse aux travailleurs handicapés. L’emploi de ces personnes constitue un enjeu majeur pour permettre à la personne en situation de handicap d’affirmer son appartenance au groupe social, son identité, sa citoyenneté et sa dignité. La loi du 10 juillet 1987 visait à favoriser le recrutement par les entreprises et les administrations de travailleurs handicapés à hauteur d’au moins 6 % de leurs effectifs. Plus de 15 ans après les objectifs sont loin d’être atteints. Dans un contexte de morosité, l’emploi et le maintien dans l’emploi de ces travailleurs doit être fortement soutenu par une politique volontariste, cohérente et concertée, impliquant tous les acteurs économiques. L’UNSA dénonce les insuffisances marquées de la loi récente qui ne répond pas aux attentes qu’elle a exprimées avec d’autres organisations syndicales. Le SPAC-UNSA fait de l’emploi des personnes en situation de handicap un axe revendicatif affirmé, et développera son action pour la reconnaissance et l’égalité des droits des personnes en situation de handicap en recherchant des partenariats utiles avec les autres organisations syndicales et l’administration en faveur de l’emploi et de l’accessibilité. COORDONNÉES CRIPH Site internet Téléphone Fax Mél Adresse Télédoc http://alize.alize/alize16/criph/accueil.htm 01 53 18 76 22 01 53 18 37 42 [email protected] BATIMENT NECKER 120 RUE DE BERCY 75572 PARIS CEDEX 12 773 7 PUB