Prospective 2015 Regard sur la région lyonnaise

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Prospective 2015 Regard sur la région lyonnaise
Prospective 2015
Regard sur la région lyonnaise
Ce dossier est destiné à vous aider à préparer la prochaine réunion de travail consacrée à la
Prospective 2015 pour la région lyonnaise.
Il se veut succinct mais suffisamment complet pour vous apporter une vision d’ensemble sur les
grands enjeux de développement qui sont susceptibles d’être discutés, et pour vous permettre
d’imaginer l’évolution possible de l’agglomération.
Outre ces informations, vous êtes libres de compléter la réflexion par toute analyse propre à votre
territoire ou à votre activité au sein de la région lyonnaise.
RANG DE L’AIRE URBAINE DE LYON : DONNEES DE CADRAGE
ü L’aire urbaine de Lyon, seconde place en France pour son PIB avec :
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Un territoire de 296 communes
1,6 millions d’habitants
716 000 emplois
49 000 entreprises, dont 8 500 industriels
Un taux de chômage de 8,1 % (France 9 %)
Une croissance annuelle de la population légèrement supérieure à celle de la
France : + 0,7% (moyenne : + 0,44 %).
ü 2ème aire urbaine française mais une place modeste parmi l’ensemble des villes
européennes :
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Un rapport à la capitale de 1 à 7 (1 à 2 pour la 2ème ville en Espagne, 1 à 3 en
Grande-Bretagne)
25ème aire urbaine européenne
43ème aéroport européen
23ème ville européenne de congrès internationaux
20ème place du palmarès des meilleures villes européennes pour localiser une
activité (derrière Barcelone, Milan, Francfort, Genève, Lisbonne…).
ü 2ème aire urbaine française pour les fonctions métropolitaines mais freinée dans
son évolution de capitale régionale :
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La ville métropole assure des fonctions traditionnelles (administratives, politiques et
financières) mais développe aussi des fonctions économiques et culturelles qui la
positionne dans l’ensemble des villes européennes et mondiales : arts et spectacles,
innovation et recherche, formation supérieure, évènements, équipements phares, ..
Une catégorie d’emplois « supérieurs » mesure la façon dont une ville exerce sa
position de métropole. Elle compte 11 types d’emplois : art, cadres de banque,
encadrement et gestion, ingénieurs et chercheurs, fonctions commerciales des
entreprises, …
En nombre d’emplois « supérieurs », Lyon arrive en 2ème position avec 76 000
emplois (Paris : 815 000, Toulouse : 48 000 ; Marseille 46 000),
Mais Lyon peine à renforcer sa place de métropole régionale, car elle arrive
seulement en 5ème position dans la concentration en emplois « supérieurs », derrière
Paris, Grenoble, Toulouse, et Montpellier et progresse moins vite que ces villes dans
la concentration des emplois « supérieurs » ( ex : Paris et Grenoble : + 2 % en 9 ans,
Lyon : +1 %)
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LES PRINCIPALES FILIERES D’ACTIVITE DE L’AIRE URBAINE DE LYON :
CONSTATS ET ENJEUX
FILIERES TRADITIONNELLES
: DES FILIERES FORTEMENT CONCURRENCEES
Þ L’automobile et le textile, la mécanique, la métallurgie, la plasturgie
Enjeux et perspectives :
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Innover pour se différencier de la concurrence,
Renforcer les alliances entre PMI notamment sous-traitantes pour accéder à une
taille critique suffisante et faire évoluer les compétences humaines.
Attirer les donneurs d’ordre en favorisant une offre diversifiée ou trans-sectorielle
(multi-métiers/multi-technologies type mécanique/plasturgie).
Améliorer la compétitivité de la sous-traitance.
Concentrer et valoriser les ressources en vue de renforcer la spécialisation du
territoire, facteur d’attractivité pour les grands donneurs d’ordres.
Revaloriser la filière au niveau régional pour le secteur textile.
FILIERES STRUCTURANTES
Þ La chimie, l’énergie, l’environnement : des filières structurantes mais restant à
valoriser
Constat :
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§
Elles génèrent une activité économique et des richesses importantes : soustraitance, création d’emplois…
Elles souffrent d’un manque de reconnaissance locale.
Enjeux et perspectives :
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§
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Encourager les partenariats autour des PMI innovantes
Renforcer les échanges entre les différentes filières (chimie, environnement, écoindustrie notamment)
Renforcer l’image au niveau local pour la relayer à l’international.
Þ Les filières biotechnologies et numérique :
Constat :
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§
Rôle stratégique car impact important sur les secteurs traditionnels.
Des difficultés d’accès aux compétences, aux capitaux et aux organes
décisionnels.
Une dimension régionale restant à affirmer.
Enjeux et perspectives :
§
CCI de Lyon
Mettre en place des réseaux de communication et d’information plus élaborés,
mailler ces filières en direction d’autres filières (pharmacie, IAA, chimie,
mécanique, textile…).
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§
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Apporter un appui primordial à l’entreprenariat pour maîtriser la croissance rapide
des entreprises qui est déterminante.
Accompagner une logique de spécialisation des biotechnologies et du numérique
et la mise en place de plates-formes (clusters spécialisés).
FILIERES SUPPORT : LOGISTIQUE ET SERVICES AUX ENTREPRISES
Constat :
·
·
Rôle stratégique car impact important sur l’émergence et le développement des
secteurs structurants et traditionnels
Absence de stratégie de spécialisation forte
Enjeux et perspectives :
·
Constituer la filière logistique (1er secteur en croissance relative de l’emploi) en
pôle d’excellence lyonnais à l’échelle internationale. En particulier favoriser les
plates-formes locales à vocation différenciée
· Mettre en place une organisation de l’offre de services plus « lisible », stimuler et
accompagner la création d’entreprises tertiaires innovantes (tertiaire supérieur)
.
FILIERES EN RESTRUCTURATION : L’AGROALIMENTAIRE ET LA BIJOUTERIE
Þ L’agro-alimentaire
Constat :
§
§
Tendances à la concentration, au développement de process qualité, à la
modernisation de l’outil de production, à l’internationalisation du tissu.
Un poids faible par rapport à d’autres aires urbaines.
Enjeux et perspectives :
§
Amélioration de l’intégration logistique, développement de l’emballage et apport
des biotechnologies.
Þ La bijouterie
Constat :
§
Filière de tradition séculaire en restructuration liée aux évolutions du métier.
Enjeux et perspectives :
§
CCI de Lyon
Appuyer le développement de la filière par des actions transversales sur une
approche globale du secteur du luxe dans la région lyonnaise (plusieurs autres
points forts: soierie, gastronomie, maroquinerie).
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FILIERES CONSTRUCTION ELECTRIQUE, PHARMACIE, BTP
: EN RECHERCHE D’IMMATERIEL
Constat :
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Un tissu de grosses entreprises en lien avec de gros groupes étrangers.
Des besoins en services (formation/conseil, technologies),
Une nécessité de développer leur environnement (accueil…) afin de les maintenir.
Enjeux et perspectives :
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§
§
§
Retenir les unités indépendantes notamment en renforçant les services (fonctions
métropolitaines)
Soutenir la professionnalisation et l’internationalisation de la filière surtout pour le
BTP
Relancer le processus de commandes publiques
Valoriser l’attractivité du territoire.
LE TOURISME : UN SECTEUR EN CROISSANCE MAIS A VALORISER
Constat :
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Un tourisme axé sur le tourisme d’affaires.
Une hausse régulière de l’emploi depuis 1995.
3ème position des aires urbaines françaises loin derrière Paris mais en 8ème
position en ce qui concerne la « spécificité touristique »
Position aussi très éloignée de villes européennes de référence (Barcelone, mais
aussi Munich, Birmingham)1
Fort développement de l’hôtellerie super économique et haut de gamme à Lyon.
Effet d’entraînement des infrastructures de transport (TGV, aéroport, autoroutes)
Ville s’embellissant (Plan « Lumière », Opéra, Subsistances, …)
Enjeux et perspectives :
·
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§
§
CCI de Lyon
Adopter un projet global de développement touristique
Définir les objectifs et les axes de développement : tourisme thématique, de
découverte économique, professionnel…
Développer l’offre touristique de la région lyonnaise et en premier lieu le tourisme
d’affaires (congrès - colloques – séminaires – salons…)
Promouvoir et communiquer l’offre autour d’axes moteurs.
1
sur les indicateurs clés : nombre de chambres d’hôtel, de salons organisés, de
visiteurs dans les salons, de visiteurs de musées.
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LA CREATION D’ENTREPRISES DANS L’AIRE URBAINE DE LYON
ü Une stagnation du nombre de créations.
ü 3 créations d’établissements sur 4 sont des créations pures.
ü Un poids important des créations dans les services (plus de 27%, essentiellement dans
le conseil, ce qui est plus important qu’au niveau national, et 8% dans les hautes
technologies).
ü Le quart des créations dans le commerce (essentiellement commerce de détail).
ü Dans le secteur secondaire, seule la construction présente un nombre de créations
important. Par rapport à la France, la part des créations dans l’industrie des biens
d’équipement et l’industrie automobile est relativement forte.
RECHERCHE-FORMATION
ü La région lyonnaise concentre 510 laboratoires employant environ 10 000 chercheurs
dans la recherche publique et privée.
ü 585 dépôts de brevets en 2001.
ü 110 000 étudiants dont 10 % d’étrangers.
ü Place importante de la recherche en chimie, mathématiques et biologie fondamentale par
rapport à d’autres aires urbaines européennes, et dans le domaine des brevets, une
nette domination de Lyon sur d’autres aires urbaines européennes en Chimie Matériaux,
pharmacie biotechnologies et procédés industriels.
L’EMPLOI SUR L’AIRE URBAINE LYONNAISE
Prédominance du secteur tertiaire (75% des emplois).
ü Une majorité dans le tertiaire marchand et le quart dans la fonction publique.
ü Les plus dynamiques : les transports, le commerce de gros, les activités financières et
les services opérationnels 2.
ü Une progression plus lente des autres services aux entreprises (télécommunications,
intérim, Recherche et Développement)3
2
3
Essentiellement les services annexes à la production.
Par rapport à l’ensemble du territoire national
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Recul global du secteur secondaire mais certains secteurs créent encore de l’emploi.
ü En 9 ans, recul de 1/3 à 1/4 des effectifs dans le BTP (5 % des emplois aujourd’hui) et
dans l’industrie (20 % des emplois aujourd’hui).
ü Quelques secteurs d’activité montrent une création d’emplois supérieure à la moyenne
nationale dans l’industrie automobile, pharmaceutique, le textile, la chimie.
Structure des emplois : des évolutions de fond.
- Des emplois à très forte dominante privée4 dont le profil change :
ü La part des ouvriers diminue (de 28 % en 1990 à 23 % en 1999), les professions
intermédiaires sont celles qui progressent le plus.
ü Le travail à temps partiel gagne du terrain (de 11 % en 1990 à 17 % en 1999).
- 30 % des demandeurs d’emploi n’ont aucune qualification et côté « offres d’emploi », seuls
18 % des recrutements proposés ne nécessitent aucune qualification particulière.
Les principaux employeurs du secteur privé : Renault Trucks (6 000 emplois), Auchan
France (2900 emplois), Carrefour Hypermarché France (2600 emplois), Aventis Pasteur
(2500 emplois) et Atofina (2300 emplois).
IMMOBILIER D’ENTREPRISE DANS LA REGION LYONNAISE
Le marché de bureaux : un marché tendu
ü Un stock de bureaux amenuisé ces 5 dernières années
ü Hausse importante du prix des loyers des bureaux neufs même s’ils restent abordables.
Le marché des locaux industriels et entrepôts : des disponibilités rares
ü Un manque de produits
ü Diminution des transactions de grandes surfaces.
Le marché des terrains industriels : une évolution de la demande et une offre peu
adaptée et rare
ü
4
Une demande tournée vers des terrains importants alors que l’offre se raréfie.
On travaille plus dans le privé qu’en 1990 (73 % contre 67 %)
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STRATEGIE DES ACTEURS POLITIQUES DE L’AIRE URBAINE DE LYON
L’Etat (Directive Territoriale d’Aménagement de l’Aire Métropolitaine Lyonnaise –
D.T.A.).
ü Renforcer la position européenne et internationale de la région lyonnaise par rapport à la
Région Parisienne
ü Passer d’une métropole généraliste à une métropole européenne multispécialisée (santé,
transports et logistique…).
ü Développer les fonctions métropolitaines (attirer les fonctions supérieures rechercheconception-marketing de groupes, délocaliser des administrations ou organismes publics,
valoriser enseignement supérieur et culture…).
ü Garantir une bonne accessibilité (développer l’aéroport et faciliter son accès, les liaisons
ferroviaires, les contournements…).
ü Aller vers un développement durable (rééquilibrage des territoires, maîtrise de
l’étalement urbain…).
La Région (Schéma Régional d’Aménagement et de Développement du Territoire –
S.R.A.D.T.) : 4 défis pour 2020
ü Espace du développement personnel et solidaire (formation – communications –
transports…).
ü Ouverture aux échanges avec l’Europe et le monde (logistique – export…).
ü Haute qualité de l’économie et du cadre de vie (innovation – recherche –
environnement…).
ü Région « des territoires intelligents » (création – réseaux - TIC…).
L’Aire Urbaine de Lyon (Schéma de Développement Economique de l’Agglomération
Lyonnaise – S.D.E.)
3 axes :
ü Favoriser la création et la transmission d’entreprises (Maison de l’Entreprenariat…).
ü Accompagner les P.M.E-P.M.I dans les innovations technologiques et organisationnelles
(l’Espace Numérique Entreprises à Vaise…).
ü Renforcer les secteurs d’activité de spécialité (biotechnologie, numérique…).
Et 3 fonctions leviers :
ü Renforcer le marketing territorial (promotion – accueil de salons et congrès).
ü Aménager le territoire (requalification des zones d’activités, développement de l’Aéroport
Lyon-Saint Exupéry…).
ü Faire du développement durable (sensibilisation…).
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LES GRANDS PROJETS
Hier :
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Satolas (5 ans du lancement à la réalisation) –
Eurexpo (4 ans du lancement à la réalisation) –
Nouvelle Gare TGV –
Cité Internationale – Technopôle Gerland – Opéra – Halle Tony Garnier – ENS Sciences
Gerland (13 ans de l’idée à la réalisation) – Interpol –
ü Inscription patrimoine mondial…
Aujourd’hui :
Renforcer l’accessibilité et la fluidité des transports (locaux et transit)
ü Réalisation d’infrastructures de transport : TGV Lyon-Turin, Autoroute A89 LyonBordeaux, Autoroute A45 Lyon-Saint Etienne, contournements Ouest (routier) et Est (fer)
de Lyon, tronçon Ouest du périphérique.
ü Développement de l’Aéroport Lyon-Saint Exupéry (de 6 Millions de passagers en 2002 à
14 Millions en 2020 ; une des plus importantes capacités de réserve foncière en Europe
avec 900 hectares disponibles) pour devenir la 2e porte d’entrée aérienne du territoire
français.
ü Maillage progressif de l’espace, du centre vers la périphérie, meilleur accès aux espaces
économiques (zones d’activité, Palais des Congrès, aéroport) et culturels (Musées du
Confluent) :
tramway reliant Lyon-Saint Exupéry à la Part-Dieu en 25 minutes (2006), tramway reliant
Perrache au Confluent (2005), tramway reliant Part Dieu à Vénissieux (2009), trolley
reliant St Paul à Vaulx en Velin (2006), trolley reliant Part Dieu, Cité internationale,
Caluire, Rilleux (2006), métro Laurent Bonnevay - La Soie (2010), métro Gerland Oullins (2013)
Renforcement des fonctions métropolitaines
ü Salle de 3000 places au Palais des Congrès de la Cité Internationale (horizon 3 ans)
ü Nouveau quartier à Lyon-Confluence alliant loisirs, culture et habitat (horizon 5 ans)
ü Nouveau quartier entre Vaulx-en-Velin et Villeurbanne : le Carré de Soie, futur pôle de
loisirs (horizon 15 ans)
Développement des pôles d’excellence
ü Nouveau parc d’affaires, le Bioparc de Lyon, centré sur les biotechnologies et installé au
sein du pôle santé Rockfeller ; composante majeure du projet Cancéropole Lyon RhôneAlpes.
ü Développement du pôle numérique Lyon-Vaise avec de nouvelles implantations
d’entreprises internationales.
ü Poursuite des projets du Biopôle de Lyon-Gerland et du Parc Technologique Porte des
Alpes.
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ANNEXES
- Activités économiques : le tourisme
Comparaison du développement touristique de la région lyonnaise
(source Grand Lyon)
offre de salons
100
90
80
70
60
offre hôtelière
visites
salons
50
40
30
20
Barcelone
10
Birmingham
0
Lyon
Munich
visites
1er musée
Progression 97-01 trafic international
Trafic international
aéroport
- Recherche - formation
Comparaison des publications scientifiques de la région lyonnaise
(source Grand Lyon)
Physique
100
90
Sciences
médicales
80
70
Sciences
de l'univers
60
50
40
30
20
Barcelone
10
Mathématiques
Sciences
de l'ingénieur
0
Genève
Lyon
Munich
Biologie
Fondamentale
Biologie
Appliquée
Chimie
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Comparaison des publications de brevets de la région lyonnaise
(source Grand Lyon)
spécialisat
brevets
100
90
80
70
60
50
consommation
BTP
40
chimie
matériaux
30
20
Barcelone
Genève
Lyon
Munich
10
0
pharmacie
biotechnologies
procédés
industriels
-
Emplois : les principaux employeurs
Les tableaux suivants présentent les principaux employeurs du secteur public et privé.
L’effectif est celui de l’entreprise (globalisation des établissements présents sur l’aire
urbaine), il est estimé à partir des tranches d’effectif issues du fichier Sirène. (Janvier 2002).
SECTEUR PUBLIC
Hospices Civils de Lyon
La Poste
Ville de Lyon
France Télécom
EDF
Communauté Urbaine de Lyon
Société Lyonnaise de Transports en Commun
Département du Rhône
Centre Hospitalier Le Vinatier
Caisse Régionale d’Assurance Maladie Rhône-Alpes
SECTEUR PRIVE
Renault Trucks
Auchan France
Carrefour Hypermarchés France
Aventis Pasteur
Atofina
BioMérieux
Crédit Agricole Centre-Est
Distribution Casino France
Caisse Epargne Prévoyance Rhône-Alpes Lyon
Koyo SMI
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EFFECTIF
19400
9900
7100
5900
5000
4400
4000
3400
2900
2200
EFFECTIF
6000
2900
2600
2500
2300
1600
1600
1500
1500
1500
11
- Immobilier d’entreprise dans la région lyonnaise
Prix maximum à la location dans les capitales européennes
Source : Figaro économie
Healey & Baker – Mai 2001
Londres
Paris
Madrid
Berlin
Amsterdam
Helsinki
Rome
Lisbonne
Vienne
Lyon
En €/m²/an
1 622
762
470
367
343
331
284
264
223
198
Evolution de la demande placée
Source : Bourdais
1997
1998
1999
2000
CCI de Lyon
Locaux
industriels
458 000
585 000
545 000
636 000
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Entrepôts à
quai
211 000
309 000
341 000
331 000
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