ma grand-mere avait des doigts de sorciere

Transcription

ma grand-mere avait des doigts de sorciere
Catherine Pierloz - Rue des Coteaux 272 - 1030 Bruxelles
+32 472 89 04 32
[email protected]
www.catherinepierloz.be
MA GRAND-MERE AVAIT DES
DOIGTS DE SORCIERE
Évocation d'une grand-mère, effrayante et bienfaisante, grand-mère nourricière à qui
l'on devait désobéissance pour passer le cap de l'enfance.
Il était une fois… ma grand-mère. Un peu étrange, un peu sorcière. Taiseuse et
amasseuse.
Une grand-mère aux mille secrets bien rangés dans les placards, bien enfouis dans
la mémoire.
Une grand-mère mystère qui n’ouvrait la bouche que pour croquer des petits
enfants… en chocolat.
Une grand-mère qui a pris ma petite main dans sa grande main pour que j’oublie
d’avoir peur.
Ma grand-mère avait de (petits) doigts de sorcière
Spectacle de conte et chanson (ukulele)
Public : 3 à 6 ans
Durée : 30 min
Contexte de représentation : salle équipée, en appartement, à l'école... tout lieu où
un espace 'spectacle' peut être créé (fond neutre et lumières)
Conditions techniques en salle : Tabouret - Fond noir ou neutre - Éclairage de
scène simple (2 projecteurs faces + 2 contres) - Pas de sonorisation nécessaire (sauf
si mauvaise acoustique du lieu)
Ma grand-mère avait des doigts de sorcière
Spectacle de conte et chanson (ukulele)
Public : 6 à 12 ans
Durée : 60 min
Contexte de représentation : salle équipée, en appartement, à l'école... tout lieu où
un espace 'spectacle' peut être créé (fond neutre et lumières)
Conditions techniques en salle : Tabouret - Fond noir ou neutre - Éclairage de
scène simple (2 projecteurs faces + 2 contres) - Pas de sonorisation nécessaire (sauf
si mauvaise acoustique du lieu)
O RIGINE ET ABOUTISSEMENT DU PROJET
Rares sont les conteurs qui n’évoquent pas une grand-mère ou un grand-père comme
initiateur sur le chemin des contes. Je n’y couperai pas. Me souvenir de ma grandmère est un plaisir sans fin. Revivre inlassablement les vacances d’enfance passées
auprès d’une grand-mère qui a su garder son mystère…
Ce spectacle est né ainsi, du constat que mon plaisir pouvait être communicatif et
universel. C’est une friandise que je m’octroie. Alors naturellement, la gourmandise
s’est invitée dans l’évocation ainsi que l’immense frustration qu’elle traîne dans son
sillage. Et enfin, naturellement, seule arme contre la frustration à ne pas pouvoir se
laisser aller avec délice à sa gourmandise, la désobéissance s’est annoncée, tambour
battant.
Ainsi est né un spectacle autour de ma grand-mère qui traite de gourmandise et de
désobéissance. Mais où l’on constate que certaines désobéissances ont leur vertu si
elles permettent à une gourmandise à vivre de se déployer.
Ce spectacle se décline en deux formes. Une version courte (Ma grand-mère avait de
(petits) doigts de sorcière) : pour les plus jeunes enfants. Une version longue (Ma
grand-mère avait des doigts de sorcière) : pour les plus âgés. La version pour jeunes
enfants convient bien à un public uniquement composé d’enfants de cet âge. Pour des
publics plus mélangés, il vaut mieux choisir la version plus longue.
A PROPOS DE LA CONTEUSE
Catherine Pierloz est devenue conteuse parce qu’elle préfère les histoires aux
explications et parce qu’elle est prisonnière d’une nostalgie indéracinable des rêveries
de son enfance. Cela a commencé ainsi : les gens parlaient autour d’elle mais elle
n’écoutait pas. Distraitement elle tambourinait du bout des doigts sur un banc où l’on
avait gravé un début d’histoire. On y parlait d’une étoile disparue dans le feu d’une
aurore boréale, mais il manquait la fin de l’histoire. Peut-être est-ce cela qu’elle
cherche inlassablement en racontant ses contes, la trace de cette histoire inachevée ?

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