MINISTÈRE DE L`ÉCOLOGIE, DU - Sextant
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MINISTÈRE DE L`ÉCOLOGIE, DU - Sextant
MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'ENERGIE Direction générale de l'aménagement du logement et de la nature Direction de l'eau et de la biodiversité La Défense, le Sousdirection du littoral et des milieux marins Bureau de la gestion intégrée et de la planification stratégique Affaire suivie par : Sabine Letendre sabine.letendre@developpementdurable.gouv.fr Tél. : 01 40 81 32 08 – Fax : 01 40 81 37 55 Objet : compte rendu de la réunion du groupe miroir de concertation sur la mise en œuvre de la directivecadre stratégie pour le milieu marin (DCSMM) du 30 janvier 2013 Ordre du jour de la réunion 1. Finalisation des éléments 2012 des PAMM (définition du bon état écologique, évaluation initiale, définition des objectifs environnementaux et indicateurs associés). 2. Présentation du processus d'élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures. 3. Information sur les travaux en cours aux niveaux communautaire et international. 4. Questions diverses. Introduction Laurent Roy, directeur de l'eau et de la biodiversité, remercie les participants de leur présence à la 7e réunion du groupe miroir de concertation sur la mise en œuvre de la directive-cadre stratégie pour le milieu marin (DCSMM) depuis sa création en 2010. Il souligne que la politique maritime est au cœur de l'actualité de ces derniers mois avec l'évaluation des politiques publiques annoncée par le comité interministériel de modernisation de l’action publique (CIMAP), la prochaine Conférence environnementale qui devrait notamment porter sur la biodiversité marine identifiée parmi les thématiques prioritaires, le projet de loi sur la biodiversité et la création de l'Agence nationale de la biodiversité qui traiteront à la fois de la biodiversité terrestre et marine, le chantier sur la fiscalité écologique. Il donne lecture d'un message de félicitation et de soutien ministériel aux parties prenantes impliquées dans la mise en œuvre de la DCSMM. La notification en décembre 2012 à la www.developpementdurable.gouv.fr Grande Arche Paroi Sud – 92055 La Défense cedex Commission européenne des éléments 2012 des plans d'actions pour le milieu marin y est présentée comme une première étape essentielle du processus. Les perspectives de court et de moyen termes que sont l'élaboration du programme de surveillance et l'élaboration du programme de mesures (en articulation avec les mesures de la DCE) y sont tracées. La mobilisation de tous y est plus que jamais attendue afin de répondre aux engagements communautaires de la France et au niveau d'ambition qu'elle s'est fixée pour la préservation de son environnement. Il présente les points inscrits à l'ordre du jour de la réunion avant de passer la parole à la sousdirection du littoral et des milieux marins. 1. Finalisation des éléments 2012 des PAMM (définition du bon état écologique, évaluation initiale, définition des objectifs environnementaux et indicateurs associés) Christophe Lenormand, adjoint à la sous-directrice du littoral et des milieux marins, et Julie Percelay, adjointe à la chef du bureau des milieux marins, présentent les principales étapes de la finalisation des éléments 2012 des plans d'action pour le milieu marin (PAMM) qui ont été conduites par la DEB et les sous-régions marines depuis la dernière réunion du groupe miroir de concertation en juin 2012 (cf. diaporama joint) : - rappel du contexte, des enjeux et de l'approche française mise en place ; - calendrier d'adoption des éléments 2012 ; - consultation des instances et du public ; - prise en compte des résultats et mise en cohérence nationale et internationale ; - approbation et notification à la Commission européenne. Ils indiquent que les éléments adoptés ont fait l'objet d'un CD-ROM distribué aux participants et sont consultables sur les sites internet du MEDDE et des DIRM. Questions – Réponses Le Comité interprofessionnel des produits de l'aquaculture (CIPA) demande si le PAMM ouvre la porte à un développement socioéconomique des activités par rapport à la situation existante. La DEB répond que l'ambition des PAMM est d'intégrer la prise en compte des activités dans une démarche non prohibitive qui ne fige pas les vocations des milieux marins. Elle souligne que le programme de mesures a notamment pour obligation de prendre en compte les enjeux socioéconomiques. Elle rappelle que l'état des lieux, réalisé à travers l'évaluation initiale, a par ailleurs vocation à être révisé tous les six ans. Le Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques (CSNPSN) salue le travail d'expertise qui a été mené. Il ajoute que, par définition, l'analyse économique et sociale est appelée à évoluer, certaines données n'étant déjà plus d'actualité (exemple de la taille minimale de capture du bar récemment modifiée par arrêté). La DIRM Nord Atlantique – Manche Ouest précise qu'en matière d'actualisation des données, les connaissances acquises entre 2012 et 2018 seront prises en compte. L'Union nationale des producteurs de granulats/Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (UNPG/UNICEM) souhaite connaître la suite qui a été donnée aux avis avec réserve émis par les conseils maritimes de façade. La DEB répond qu'en termes de méthode sur la définition du bon état écologique, l'ensemble des commentaires doit être transmis prochainement aux préfets coordonnateurs avec mention explicative de leur prise en compte ou non. Ce travail pourra également être mis à disposition pour information des membres du groupe miroir de concertation. www.developpementdurable.gouv.fr 2/8 La préfecture maritime de l'Atlantique rappelle, sur ce point, que les avis des conseils maritimes de façade sont consultatifs et qu'ils ont été largement pris en compte dans les arrêtés interpréfectoraux relatifs à l'évaluation initiale et aux objectifs environnementaux et indicateurs associés. Il informe qu’un éclairage a été donné sur ce point en commission permanente du CMF présidée par Mme Thomas le 28 janvier. La direction de la recherche et de l'innovation du CGDD demande si le choix opéré par la France d'une définition du bon état écologique plutôt qualitative est aussi celui des autres États membres. La DEB répond qu'il s'agit là d'un choix par défaut pour l'ensemble des États membres qui ont toutefois pris en compte les éléments de type quantitatif lorsqu'ils existaient. 2. Présentation du processus d'élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures Programme de surveillance Julie Percelay rappelle que le programme de surveillance (PdS) doit permettre l'évaluation de l'atteinte du bon état écologique. Elle précise que le PdS, de nature pérenne, est distinct du programme d'acquisition des connaissances, lequel consiste en une acquisition ponctuelle de données. Elle présente le processus d'élaboration du PdS (cf. diaporama joint) : - éléments de définition ; - dispositif de suivi ; - rôle et positionnement dans le PAMM ; - finalités ; - processus d'élaboration ; - état d'avancement des travaux ; - modalités d'implication des acteurs. Programme de mesures Sébastien Flores, chef du bureau de la gestion intégrée et de la planification stratégique, souligne le caractère opérationnel du programme de mesures (PdM), qui doit être mis en place en 2016, et sa nécessaire articulation avec le PdM de la DCE à la fois en termes de contenu et de calendrier (consultation du public commune prévue à l'automne 2014). L'enjeu est de trouver l'équilibre entre les mesures existantes qui contribuent d'ores et déjà à l'atteinte du bon état écologique des eaux marines et les nouvelles mesures propres aux milieux marins. Par ailleurs, une évaluation environnementale du PdM sera menée tout au long des travaux en 2013 et 2014 avant la saisine de l'autorité environnementale (CGDD) pour une durée de trois mois. Il présente le processus d'élaboration du PdM (cf. diaporama joint) : - éléments de définition ; - articulation des politiques, notamment avec la DCE ; - processus général ; - inscription dans les cadres existants ; - implication des acteurs. l www.developpementdurable.gouv.fr 3/8 Questions – Réponses Le Comité national des pêches maritimes et des élevages marins (CNPMEM) regrette une association hâtive et tardive des parties prenantes sur le recensement des dispositifs de suivi dans le cadre du PdS. Il souligne la nécessité d'une association effective tout au long du processus d'élaboration du PdS mais aussi du PdM. Il insiste par ailleurs sur la nécessaire interpellation des autorités communautaires et internationales en ce qui concerne la pêche, les mesures devant être actées à ces niveaux pour pouvoir s'appliquer au niveau national. La DEB prend note du souhait d'association sur les programmes de surveillance et de mesures. Concernant le PdS, elle indique que le choix a été fait de disposer d'une vision complète des différents dispositifs de suivi avant de se tourner vers les acteurs. Concernant l'articulation avec la politique commune des pêches, la DEB note que la Commission aura peut être des exigences sur ce point. Dans tous les cas, si le programme de mesures doit bien être notifié d’ici fin 2015, il peut très bien intégrer des dates graduées de mise en œuvre des mesures, par exemple sur la pêche en fonction des besoins de calage avec la politique commune des pêches. La DIRM Manche Est – mer du Nord fait part de son objectif d'associer les acteurs le plus tôt possible afin qu'ils ne soient pas saisis sur des éléments finalisés. L'Agence de l'eau Seine-Normandie souligne l’enjeu pour la mise en œuvre d’identifier assez tôt des maîtrise d'ouvrage opérationnelles. La DEB répond qu'il s'agit d'un processus itératif. Surfrider demande quelle est l'articulation des chantiers avec les travaux du Conseil national de la mer et des littoraux (CNML) et ceux des Assises de la mer qui ont été annoncées. La DEB n'a pas à ce stade de réponse précise à cette question. Elle estime cependant que ces nouvelles instances représentent une bonne occasion d'intégrer les PAMM à l'ensemble des politiques maritimes et de faire converger les calendriers. Le ministère de l'agriculture note le caractère déconcentré du processus et demande comment s'opère la coordination au niveau national et la détermination d'un socle commun en matière de politiques nationales. La DEB souligne sur ce point la nécessité de bien cibler le travail de recensement des mesures existantes, en focalisant sur les mesures directement liées aux enjeux via l'opérationnalisation des objectifs environnementaux, et d'identifier, sur cette base, les thématiques non traitées. Au niveau national, des réunions de travail sont prévues avec les ministères cosignataires des arrêtés relatifs aux méthodes et critères d'élaboration et de mise en œuvre du programme de surveillance et du programme de mesures. Électricité de France indique qu'elle a été interrogée sur le PdS dans le cadre de la gestion des installations. Elle souhaite que les compétences techniques dont elle dispose en interne soient associées au processus d'élaboration. Elle demande si la synthèse finale sera faite au niveau national ou par sous-région marine. Elle évoque enfin dans le cadre du PdM les mesures de type contractuel qui nécessitent une concertation bien en amont afin de les prévoir dans les déclinaisons de programmes. La DEB indique que la synthèse finale du PdS qui sera transmise à la Commission intègrera les travaux adoptés par sous-régions marines. Concernant le PdM, elle précise qu'elle a engagé les services à démarrer les travaux au plus tôt afin d'être en mesure d'associer rapidement les parties prenantes, et aussi en vue de l’articulation avec les travaux DCE (révision des Sdage et des www.developpementdurable.gouv.fr 4/8 programmes de mesures). Elle rappelle que des retours seront pris en compte à l'issue de la consultation des instances et du public. Armateurs de France appuie la demande d'association des acteurs et demande des éclaircissements sur le niveau – national ou communautaire – auquel se situent les mesures spécifiques DCSMM. La DEB répond que ces différents niveaux de mesures DCSMM sont aussi envisagés. Elle s'engage à veiller à la bonne articulation des travaux entre les différents acteurs et opérateurs dont elle comprend les attentes. La direction des pêches maritimes et de l'aquaculture souligne que plusieurs types de mesures sont à envisager qui ne sont pas toutes de type réglementaire. Le cadre de référence est celui de l’atteinte du bon état écologique. Elle juge utile de connaître rapidement les autorités en charge de l'inventaire des mesures existantes et de l'évaluation de leur pertinence. L'Union nationale des producteurs de granulats/Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (UNPG/UNICEM) demande s'il est possible de disposer d'une analyse juridique sur la propriété des données afin de « préparer les esprits ». La DEB répond qu'elle s 'appuiera sur ce point sur les études déjà réalisées. La préfecture maritime de l'Atlantique souligne qu’un des points cruciaux sera l'analyse économique et sociale et les expertises qui devront être mobilisées. Elle plaide pour une cohérence sur le « trépied » des politiques environnementales, constitué par les PAMM, les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins. Le Comité national des pêches maritimes et des élevages marins (CNPMEM) s'interroge sur le point relatif aux mesures de gestion (problème des flottilles qui se déplacent) et sur le niveau de définition des PdS et PdM. Il demande quelles dispositions vont être prises afin que les acteurs se sentent concernés par les dispositifs proposés. La DEB répond que, conformément aux dispositions réglementaires, des arrêtés relatifs aux méthodes et critères d'élaboration et de mise en œuvre du programme de surveillance et du programme de mesures seront pris au niveau national. Puis ces programmes seront approuvés par arrêtés conjoints des préfets coordonnateurs. La direction de la recherche et de l'innovation du CGDD demande comment s'établit le dialogue avec la communauté de recherche afin de disposer d'une vision stratégique, notamment en articulation avec les grands programmes européens. Elle souligne qu'elle a soutenu des recherches sur la mer et les littoraux. La DEB répond que dans le cadre du PdS, les travaux de recherche sont pris en compte au niveau communautaire. Elle rappelle qu'en termes de phasage, la révision du PdS tous les 6 ans intégrera le dialogue avec la communauté de recherche. Elle souligne qu'il s'agit ici du premier cycle de mise en œuvre de la DCSMM, basé sur un socle de connaissances partielles qui nécessitent d'être développées par une expertise scientifique et technique continue. L’Ifremer complète en indiquant que l'océanographie opérationnelle est concernée par le PdS et qu'il a répondu à un appel à propositions européen en matière de surveillance intégrée visant à une optimisation des coûts. Le Comité interprofessionnel des produits de l'aquaculture (CIPA) demande s'il y aura une mise en conformité normative du PdM vis-à-vis des entreprises. www.developpementdurable.gouv.fr 5/8 La DEB répond que cette question est prématurée. La mise en œuvre de la DCSMM ne porte pas en elle même une logique de mise aux normes. La préfecture de région des Pays de la Loire s'enquiert de l’organisation proposée par le ministère dans le cadre de l'évaluation des politiques publiques annoncée par le comité interministériel de modernisation de l’action publique (CIMAP). La DEB répond que les discussions sont en cours sur la composition de l'équipe opérationnelle en charge de l’évaluation. 3. Information sur les travaux en cours aux niveaux communautaire et international Julie Percelay et Laurence Matringe, adjointe au chef du bureau de la gestion intégrée et de la planification stratégique, présentent les travaux en cours aux niveaux communautaire et international (cf. diaporama joint) : - leviers et enjeux de la coopération internationale ; - perspective et enjeux au niveau européen ; - éléments du 7e Plan d'action environnement ; - financements européens ; - projets européens : quelques exemples ; - perspectives au plan de la coopération internationale. Questions – Réponses Le Comité national des pêches maritimes et des élevages marins (CNPMEM) souligne que les recommandations développées dans le cadre du projet européen PISCES pour une approche écosystémique en Manche Ouest et mers celtiques ne sont pas partagées par tous les acteurs , notamment les pêcheurs. Il s'interroge par ailleurs sur le risque de non atteinte du bon état écologique annoncé dans le cadre du 7e Plan action environnement en cours de discussion. S'agit-il du descripteur 5 ou d'autres descripteurs ? Quels sont les risques associés à la pêche ? La DEB répond qu'elle ne sait pas à ce stade quels descripteurs sont plus précisément concernés. Sur la partie pêche, elle précise que le rendement maximum durable (RMD) est celui défini dans le cadre de la politique commune des pêches qui prévoit 2020 pour tous les stocks et 2015 pour certains stocks. La séance est close à 13:00. www.developpementdurable.gouv.fr 6/8 Liste des participants AIGNAN Dominique MEDDE/DGITM/DST/PTF2 CAMUS Patrick IFREMER CHAUMONTET Laurie État-major de la marine CHEVALIER Jean-Michel Préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord CITORES Antidia Surfrider COLONNA D'ISTRIA Dominique MEDDE/CGDD/DDD/Pôle Mission stratégique DAGUZE Claire DIRM Manche Est – mer du Nord DALLEM Laure MEDDE/DGALN/DEB/LM3 DELANGUE Justine Comité français de l'UICN – Union internationale pour la conservation de la nature DI FRANCO Floriane APCA – Assemblée permanente des chambres d'agriculture DUCLOY Perrine CNPMEM – Comité national des pêches maritimes et des élevages marins ESCAFRE Mathieu Agence de l'eau SeineNormandie FLORES Sébastien MEDDE/DGALN/DEB/LM3/Chef du bureau de la gestion intégrée et de la planification stratégique GARCON Agnès UNPG/UNICEM – Union nationale des producteurs de granulats/Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction GAUTIER Quentin CGDD/DRI/SR6 HOUEL Gildas MEDDE/DGALN/DEB/LM3 LAISNE Loïc Préfecture maritime de l'Atlantique LEGREGEOIS Anne Armateurs de France LEGUERRIER Delphine DIRM Nord Atlantique – Manche Ouest LE LANN Gilbert CEDRE – Centre de documentation, de recherche et d'expérimentations sur les pollutions accidentelles des eaux LENORMAND Christophe MEDDE/DGALN/DEB/LM/Adjoint à la sousdirectrice du littoral et des milieux marins LETENDRE Sabine MEDDE/DGALN/DEB/LM3 LETODE Olivier MEDDE/DPMA MARTIN Delphine Agence de l'eau ArtoisPicardie MATRINGE Laurence MEDDE/DGALN/DEB/LM3/Adjointe au chef du bureau de la gestion intégrée et de la planification stratégique MEYER Lydia MEDDE/DGALN/DEB/CIC www.developpementdurable.gouv.fr 7/8 MONCONDUIT Romain Préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord MUSARD Denis Préfecture de région Pays de la Loire NOEL Coralie MAAF/DGPAAT OLIVEROS Carlos BRGM – Bureau de recherches géologiques et minières PAGOT JeanPhilippe EDF – Électricité de France PENNANGUER Stéphane Région Bretagne PERCELAY Julie MEDDE/DGALN/DEB/LM1/Adjointe à la chef du bureau des milieux marins PERSON Julie Pôle Mer PACA PICHON Antoine CSNPSN – Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques PIRCHER Vincent CGDD/DRI/SR2 PUTAVY Claude EDF – Électricité de France RAMAGE Yannick CIPA – Comité interprofessionnel des produits de l'aquaculture RIVOAL JeanLouis Agence de l'eau LoireBretagne ROUYER Nicolas MEDDE/DGALN/DEB/CIC ROY Laurent MEDDE/DGALN/DEB/Directeur de l'eau et de la biodiversité SEBIRE Marie FNE – France Nature Environnement SEVESTRE Julien Préfecture maritime de Méditerranée VINCE Agnès MEDDE/DGALN/DEB/LM/Sous-directrice du littoral et des milieux marins www.developpementdurable.gouv.fr 8/8