programme en pdf - Orchestre Philharmonique Royal de Liège

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programme en pdf - Orchestre Philharmonique Royal de Liège
bach motets
dimanche 1er avril 2012, 16h
JOHANN SEBASTIAN BACH (1685-1750) | Intégrale des motets
1.Singet dem Herrn ein neues Lied
2.Aria: Gott, nimm dich ferner unser an
Choral: Wie sich ein Vater erbamet
3. Lobet den Herrn seinen Taten
Jesu, meine Freude BWV 227
1. Choral: Jesu, meine Freude
2.Es ist nun nichts Verdammliches
an denen
3. Choral: Unter deinen Schirmen
4. Denn das Gesetz des Geistes
5.Choral (Vers 3):
Trotz dem alten Drachen
6.Ihr aber seid nicht fleischlich,
sondern geistlich
Andante:
Wer aber Christi Geist nicht hat
7. Choral: Weg mit alle Schätzen!
Pause
Fürchte dich nicht, ich bin bei dir
BWV 228
Motet funèbre pour double chœur
1. Fürchte dich nicht, ich bin bei dir
2. Fürchte dich nicht, denn ich habe
3. Choral:
Herr, mein Hirt, Brunn aller Freuden
Komm, Jesu, komm BWV 229
Motet funèbre pour double chœur
1. Komm, Jesu, komm
2.Aria :
Drum schließ ich mich in deine Hände
Lobet den Herrn, alle Heiden
BWV 230 Motet à quatre parties
Lobet den Herrn, alle Heiden,
und preiset ihn
8.Andante: So aber Christus in euch ist
9. Choral: Gute Nacht, O Wesen
10.So nun der Geist
11. Weicht, ihr Trauergeister
Der Geist hilft unsrer
Schwachheit auf BWV 226
Motet funèbre pour double chœur
1. Der Geist hilft unsrer Schwachheit auf
2.Alla breve: Der aber die Herzen forschet
3. Choral: Du heilige Brunst
Laudantes Consort
Guy Janssens, direction
dimanche 01/04/2012 bach motets [programme 27]
Singet dem Herrn ein neues Lied
BWV 225
Motet pour double chœur
À
la différence des « cantates religieuses », écrites pour
voix et instruments, les « motets » sont des œuvres
essentiellement vocales. Ceux de Bach, dont on conserve
moins de dix exemplaires (contre 200 cantates !) ont été
composés à Leipzig pour des circonstances particulières, comme
l’anniversaire ou les funérailles de hauts dignitaires. Le Laudantes
Consort (24 chanteurs) les interprète ici, sobrement accompagné par
une contrebasse et un orgue positif.
LES MOTETS DE BACH
Le motet allemand se caractérise par son exécution a cappella (sans instrument). Si
l’ouvrage fait appel à un orchestre, les instruments jouent colla parte (en doublant les voix).
Au XVIIIe siècle, cette austérité l’oppose au motet français et italien, conçus dans un style
concertant (où les instruments dialoguent avec les voix). Au moment où Bach compose les
siens, il y a longtemps que l’on considère le genre comme un vestige de l’écriture archaïque. Il
fut cependant à l’origine d’œuvres recelant une extraordinaire beauté. Les pièces qui nous sont
parvenues appartiennent à la période leipzigoise du compositeur. Pourtant la fonction de cantor
n’obligeait pas le musicien à produire des
motets. Il se mit néanmoins au travail, lors de
circonstances exceptionnelles, représentées
par les funérailles de hauts dignitaires de
Leipzig. Cinq œuvres naquirent en de telles
occasions : les BWV 118, 226-229. Face au
corpus des cantates religieuses, celui-ci paraît
bien mince. Il n’est pas impossible que Bach
en ait composé d’autres mais il n’existe aucun
document le prouvant. Néanmoins ces œuvres
connurent une destinée qui fut refusée aux
cantates. On rejoua régulièrement ces pages
d’exécution délicates après la mort de Bach.
Ceci explique pourquoi, en 1789, Mozart put
entendre le motet BWV 225 lors d’un passage
à Leipzig. D’autre part l’édition leur fit la part
belle et la maison Breitkopf et Härtel les publia
dès 1803.
2
SINGET DEM
HERRN EIN NEUES
LIED (BWV 225)
(Chantez à Yahvé un chant
nouveau) Env. 13’
Ce motet qui suscita l’admiration de Mozart
en 1789 n’est pas une musique funèbre. Il
servit probablement à fête l’anniversaire de
Friedrich August de Xaxe, le 12 mai 1727. Le
texte détermine l’organisation de l’œuvre :
deux extraits de psaumes entourent un choral
et un Alleluja réunit les deux chœurs dans
une fugue finale. Le ton principal de si bémol
majeur affecte les quatre sections qui se
suivent. La première, fondée sur les versets
du Psaume 149, extériorise la joie d’un peuple
qui loue son dieu « avec les timbales et les
harpes », dans un tempo Allegro. Précarité
de la vie terrestre et miséricorde du Seigneur
sont les deux thèmes du choral de Gramann
traités dans la deuxième partie (Andante).Entre
les sections du cantique, réalisées de façon
verticale, reviennent sans cesse les mots Got
nimm dich ferner unser an (« Dieu continue
à nous soutenir ») subissant un traitement
contrapuntique toujours renouvelé. Le retour
à des paroles de louanges (Psaume 150)
occasionne une joyeuse opposition qui prend
fin lorsque les deux chœurs se réunissent
dans les deux dernières mesures. La fugue à
quatre parties réelles de l’Alleluja parachève
l’ouvrage. Notons qu’elle se rapproche du
Pleni sunt cæli du Sanctus de la Messe en
si mineur BWV 232.
cindy castillo
dimanche 22 avril 2012, 16h
FRANCK, Fantaisie en la | LEDOUX, Solo pour orgue (extrait des Notizen-Fragmente)
FRANCK, Cantabile | MERNIER, Invention II | FRANCK, Pièce héroïque
BOESMANS, Fanfare II | DEMESSIEUX, Te Deum
Cindy Castillo, orgue
w Après avoir fait ses premiers pas à l’orgue en Belgique, notamment avec Benoît Mernier et
Jean Ferrard, Cindy Castillo a étudié au Conservatoire Supérieur de Paris, d’où elle est sortie
diplômée de la classe d’Olivier Latry et de Michel Bouvard en 2010. En 2008-2009, elle a été
« artiste en résidence » de la Salle de concert de Sapporo (Japon), où elle a publié un premier
disque. Organiste titulaire à la basilique du Sacré-Cœur à Bruxelles (Koekelberg), elle est
également l’une des voix de la radio Musiq’3.
3
JESU MEINE FREUDE (BWV 227)
(Jésus, ma joie)
Env. 22’
Les copies tardives de l’œuvre ne nous renseignent pas sur la destination du plus célèbre
des motets de Bach. On pense qu’il fut écrit pour un service commémoratif à la mémoire de
Johanna Maria Rappold, fille du recteur de la Nikolaischule et épouse du maître des postes
Johann Jakob Kees. Cette célébration se tint le 18 juillet 1723 à Leipzig, quelques mois après la
nomination de Bach au poste de cantor. Un équilibre parfait caractérise ce gigantesque motet
funèbre en mi mineur. La merveilleuse construction provient de l’alternance des strophes du
choral de Johann Franck et des versets de l’Épître de saint Paul ainsi que du plan formé par la
réalisation musicale de chaque partie. On y distingue 11 sections au centre desquelles trône
une fugue, le tout étant cerné par les strophes extrêmes du choral simplement harmonisé.
Évidemment les paroles de Franck reposent sur leur timbre habituel, la célèbre mélodie de
Crüger que l’on retrouve dans les numéros 1, 3, 7 et 11.
KOMM, JESU,
KOMM (BWV 229)
DER GEIST HILFT UNSRER
SCHWACHHEIT AUF (BWV 226)
(L’Esprit vient au secours de notre faiblesse)
La partition autographe nous révèle
la destination de ce motet : les funérailles
de Johann Heinrich Ernesti, recteur de la
Thomasschule qui décéda le 16 octobre 1729.
Les obsèques eurent lieu quatre jours plus
tard ; le BWV 226 retentit donc le 20 octobre
1729 dans l’église Saint-Paul de Leipzig. On
remarquera immédiatement que l’œuvre fait
intervenir des instruments. Même si ceux-ci
ne remplissent qu’un fonction de doublure,
leur présence constitue une infraction au
règlement qui interdisait leur emploi lors des
cérémonies funèbres. Relevons également
que l’œuvre ne présente pas le caractère
que l’on était en droit d’attendre en un pareil
moment. Il s’agit plutôt d’une réflexion sur la
mort, à la fois douce, joyeuse et réconfortante
qui correspond à l’esprit piétiste (mouvement
prônant une plus grande piété personnelle)
auquel Bach adhérait apparemment. Les deux
versets de l’Épître aux Romains et le choral
déterminent les trois sections principales de
ce motet qui s’inscrit dans le ton principal de
si bémol majeur. Vocalises et chromatismes
symbolisant les « gémissements ineffables »
affectent le premier verset du texte biblique.
4
Ce dialogue prend fin sur les mots denn ich
habe dich erlöset (« [Ne crains rien] car je t’ai
racheté ») qui unissent les deux ensembles. La
suite de l’ouvrage nous offre un long épisode
à quatre parties réelles. Alors que les voix
graves réalisent un contrepoint fugué sur un
sujet chromatique évoquant les souffrances
du Christ, les sopranos entonnent le thème du
choral de P. Gerhardt. La réintroduction des
paroles Fürchte dich nicht, du bist mein (« Ne
crains rien, tu es mien ») provoque à nouveau
la division à deux chœurs sur une thématique
proche de celle qui ouvrait la partition.
Env. 8‘
Le second, sur Der aber dire Herzen forschet
(« Celui qui sonde les cœurs »), se développe
sur une fugue à quatre voix qui réunit les
deux chœurs. Le texte de Luther — « Ô sainte
chaleur, douce consolation » — fut peut-être
ajouté bien après la cérémonie funèbre. Il se
présente sous une simple harmonisation à
quatre parties réelles.
FÜRCHTE DICH
NICHT, ICH BIN BEI
DIR (BWV 228)
(Ne crains rien, je suis près
de toi) Env. 9’
Ce motet en la majeur est un chant
de consolation qui servit lors de la cérémonie
funèbre célébrée le 4 février 1726 à la mémoire
de l’épouse de Christoph Georg Winckler,
capitaine de Leipzig. L’œuvre s’ouvre à huit voix
divisées en deux chœurs qui fonctionnent selon
la technique vénitienne de l’écho.
(Viens, Jésus, viens !)
Env. 9’
« Pour qui ? » et « quand ? » sont
toujours les deux questions que nous
nous posons à propos du BWV 229. On ne
connaît ni le destinataire de l’œuvre ni la
date de composition de ce motet funèbre
en sol mineur. Le texte de Thymisch, ancien
professeur de la Thomasschule disparu
en 1694, est une poésie spirituelle dont les
deux strophes exploitées mettent en regard
la lassitude, l’affaiblissement du corps et le
chemin de vie que représente Jésus. Ce texte
avait déjà été mis en musique par Johann
Schelle en 1684 à l’occasion des funérailles de
Jakob Thomasius, recteur de Saint-Thomas.
L’appel de Jésus (Komm) et la traduction de
l’évanouissement des dernières forces par des
phrases mélodiques descendantes occupent
la première partie de l’ouvrage. Bientôt les
cris Komm, komm donnent naissance à un
jeu d’écho de type vénitien et une antiphonie
menée dans un tempo Vivace termine la
première section. Un épilogue, fondé sur la
onzième strophe de la poésie de Thymisch
Drum schließ ich mich in deine Hände (« C’est
pourquoi je laisse tes mains se refermer sur
moi ») et intitulé « Aria », termine l’œuvre.
Ce passage se présente sous l’aspect d’un
choral harmonisé réunissant les deux chœurs
(4 parties réelles) mais la mélodie n’appartient
pas au répertoire de l’Église luthérienne, elle
est de la main de Bach.
LOBET DEN HERRN
ALLE HEIDEN
(BWV 230) (Louez Yahvé,
tous les peuples)
Env. 6’
Cas unique parmi les motets de Bach,
le BWV 230 comporte une partie d’orgue
indépendante du registre vocal de basse ! On
notera que la poésie ne fait appel à aucune
strophe de choral et que seule la traduction
allemande des deux versets du psaume (cité
plus haut) la constitue. On ignore tout de sa
destination et il n’est pas impossible qu’il
s’agisse simplement d’un fragment de cantate.
Sa date de composition reste également
inconnue bien que certains spécialistes la
situent vers 1723. Son style se réfère à celui du
motet ancien traité en un seul bloc dans lequel
on peut néanmoins distinguer trois moments.
Une première section fuguée s’édifie à partir
de l’arpège de do majeur. Sur le second
verset Denne seine Gnade (« Parce que sa
miséricorde ») se déroule un épisode alternant
passages homophoniques (les différentes
voix articulent les mêmes syllabes en même
temps) et polyphoniques. La dernière partie
ne repose que sur un seul mot : Alleluja.
C’est dire que l’œuvre se termine de façon
jubilatoire. Ceci, associé au texte louangeur
et à la tonalité de do majeur (ton principal de
l’œuvre), semble vouloir prouver que nous ne
sommes pas en face d’un motet funèbre.
D’APRÈS EDMOND LEMAÎTRE (GUIDE FAYARD)
5
GUY JANSSENS
DIRECTION
Guy Janssens est né à Bruxelles mais
c’est à Leuven qu’il commence son parcours
musical. Dès l’âge de six ans il étudie le
piano et le violoncelle au Conservatoire tout
en étant petit chanteur de la manécanterie
de l’Abbaye du Mont César. Après cette
première formation, il entre comme
violoncelliste à l’Orchestre de l’Université
de Leuven. Il poursuit ensuite ses études
musicales au Conservatoire de Bruxelles
où il obtient quelques années plus tard ses
Diplômes Supérieurs de piano et musique
de chambre. Commence alors une activité
professionnelle de pianiste et de professeur.
Mais son attirance pour la musique vocale et
orchestrale se fait de plus en plus pressente,
et il dirige alors plusieurs ensembles vocaux et
orchestraux en Belgique et en Allemagne. En
1991 il fonde le Laudantes Consort, ensemble
d’une douzaine de chanteurs, avec lequel il
travaille plus particulièrement la musique
de la Renaissance. Il donne de nombreux
concerts avec cet ensemble et réalise de 1994
à 2000, en collaboration avec Jean Salkin,
fondateur de la Médiathèque de Belgique,
une série de 12 enregistrements CD intitulés
L’Âge d’Or de la polyphonie vocale européenne.
Le succès de cette série est unanimement
reconnu. Guy Janssens souhaite alors s’ouvrir
à d’autres périodes musicales et organise
son ensemble sous forme de structure à
géométrie variable. Cette nouvelle structure
lui permet de donner de nombreux concerts
dans des domaines aussi différents que la
musique a cappella, la cantate, l’oratorio, la
symphonie et le concerto. En 2005, il initie et
réalise un autre grand projet discographique
intitulé Requiem à travers les siècles et qui
se clôture en 2007 par la création mondiale
du Requiem de Pierre Bartholomée avec le
Laudantes Consort et l’ensemble Musiques
Nouvelles. Guy Janssens dirige régulièrement
au Luxembourg, aux Pays-Bas, en France,
Italie, Suisse, République Tchèque…
LA FNAC VOUS PROPOSE
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LAUDANTES CONSORT
Le Laudantes Consort est créé en 1991 par son chef actuel Guy Janssens, avec comme
objectif l’interprétation de la musique vocale de la Renaissance. De nombreux concerts et une
grande réalisation discographique de 12 CD (L’Âge d’Or de la polyphonie vocale européenne),
permit à l’ensemble de se faire connaître sur la scène internationale. Plusieurs distinctions
ont salué ce travail impressionnant et conduit le Laudantes Consort à s’ouvrir aux périodes
baroque, classique, romantique et contemporaine. Outre la musique des XVe et XVIe siècles,
interprétée par un ensemble d’une douzaine de chanteurs, les autres périodes musicales
sont abordées en réunissant pour chaque projet l’équipe de chanteurs et/ou instrumentistes
maîtrisant au mieux les données d’interprétation de l’époque choisie. Cette structure à
géométrie variable permit entre autre à l’ensemble de réaliser un autre grand projet de
concerts et enregistrements, Requiem à travers les siècles, lui aussi largement apprécié par le
public et la presse spécialisée.
Les musiciens
Des livres…
Des disques…
Sopranos. Aurélie Franck | Elke Janssens | Pauline Lebbe | Wannah Organe
wAlberto BASSO, Jean-Sébastien Bach,
Paris, Fayard (coll. Bibliothèque des grands
musiciens), 2 vol., 1984.
wGilles CANTAGREL, Bach en son temps,
Paris, Fayard, 1997.
wGilles CANTAGREL, Le moulin et la rivière,
air et variations sur Bach,
Paris, Fayard, 1998.
wJean-Luc MACIA, Johann Sebastian Bach,
Paris, Actes Sud (coll. Classica), 2006.
BACH, Intégrale des motets
wCollegium Vocale Gent,
dir. Ph. Herreweghe (PHI)
wVocalconsort Berlin,
dir. M. Creed (HARMONIA MUNDI)
wBach-Collegium Japan,
dir. M. Suzuki (BIS)
wChœur de Chambre RIAS,
dir. R. Jacobs (HARMONIA MUNDI)
Altos. Baiba Bartkevica | Pauline Claes | Agnes de Graaff | Patrizia Hardt
Sarah Verhoeven | Renate Weytjens
Christine Lamy | Penny Turner
Ténors. Wouter Bossaer | Rick Cameron | Pieter De Moor | Michiel Haspeslagh
Hans Helsel | Jan Peters
Basses. Alessandro Cortese | Bruno Crabbé | Thierry De Clercq | Herman Dewinné
Jan Moeyaert | Arnout Malfliet
Orgue positif. Momoyo Kokubu
Contrebasse. Éric Mathot
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agenda salle philharmonique
Vendredi 20 avril 2012 – 20h
Dimanche 29 avril 2012 – 16h
FAUST-SYMPHONIE
RÉCITAL ANNA VINNITSKAIA
1er Prix Reine Élisabeth 2007
LISZT, Faust-Symphonie
Frank van Aken, ténor | Chœur Symphonique de
Namur | OPRL | Patrick Davin, direction
Dimanche 22 avril 2012 – 16h
CINDY CASTILLO
FRANCK, Fantaisie en la
LEDOUX, Solo pour orgue (Notizen-Fragmente)
FRANCK, Cantabile
MERNIER, Invention II
FRANCK, Pièce héroïque
BOESMANS, Fanfare II
DEMESSIEUX, Te Deum
Cindy Castillo, orgue
Mercredi 25 avril 2012 – 18h30
écouter la musique
rachmaninov [gratuit]
RACHMANINOV, Symphonie n° 3
Avec la participation de :
Martine Dumont-Mergeay (La Libre)
Jean-Marc Onkelinx (Musicologue) | N.N.
Modérateur : Jean-Pierre Rousseau
Vendredi 27 avril 2012 – 20h
GRIEG / RACHMANINOV
PROKOFIEV, L’amour des trois oranges, suite
GRIEG, Concerto pour piano
RACHMANINOV, Symphonie n° 3
Anna Vinnitskaia, piano (1er Prix Reine Élisabeth 07)
OPRL | Patrick Davin, direction
RAVEL, Sonatine
PROKOFIEV, Sonate n°2
SCRIABINE, 5 préludes op. 16
SCRIABINE, Sonate n° 2
RAVEL, Gaspard de la nuit
Anna Vinnitskaia, piano
Mercredi 2 mai 2012 – 12h30
Musique à midi
LA CLARINETTE DANS TOUS SES ÉCLATS
[gratuit]
PANIZZA, Baladine con variazioni,
pour petite clarinette et piano
POULENC, Sonate pour deux clarinettes
MENDELSSOHN, Konzertstück pour clarinette,
cor de basset et piano
ROTA, Trio pour clarinette, violoncelle et piano
Martine Leblanc,
clarinette, cor de basset et clarinette basse
Pierre Xhonneux, clarinette et petite clarinette
Geoffrey Baptiste, piano
Samedi 5 mai 2012 – 16h
Les Samedis en famille
PASTORALE
BEETHOVEN, Symphonie n° 6 « Pastorale »
OPRL
Paul Daniel, direction et présentation
VIEWS SENSUALITY
Salle philharmonique de Liège
Exposition visible durant les concerts
du lundi 26 mars au lundi 2 avril 2012
wVoyage parsemé d’escales en noir et blanc,
à la rencontre de la séduction, décliné en 30 paysages
autour du féminin mystérieux.
Avec le soutien de la Commission européenne.
Dans le cadre de la Biennale internationale de la
Photographie et des Arts visuels de Liège (BIP).
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