les terrasses de la mer à Dunkerque vers une impasse?

Le projet immobilier des terrasses de la mer à Dunkerque
en route vers une impasse?
OU EN EST LE PROGRAMME DES TERRASSES DE LA MER A DUNKERQUE ?
Mise à jour du 20/09/2014
Résumé et suite des articles précédents
Le programme des « Terrasses de la Mer » à Dunkerque est maintenant figé depuis près
de 3 ans.
L'incompréhension est de mise chez les riverains et l'inquiétude pointe du coté des acquéreurs
des futurs logements. Le quartier est maintenant défiguré depuis 2011 par un projet pour le
moins contestable -et contesté- qui ne sort pas encore de terre!
Le terrain libéré est laissé en friche depuis la démolition de cet imposant groupe d'immeubles
en briques rouges en 2011, typiquement régionnal, que constituait l'ancien CEG (le Collège
d'Enseignement Général) de Malo, dernièrement occupé par l'école de commerce "ISCID"
jusqu'en 2010.
Ce groupe de bâtiments était une part significative du patrimoine urbain de Malo-les-Bains et
on aurait bien sur pu éviter sa démolition, comme pour les bains dunkerquois, en recherchant
des solutions alternatives viables. Mais cela n’ a malheureusement pas été le cas. La
démolition et l'attrait pour l'immobilier neuf bien placé ont prévalu.
Aujourd’ hui, les riverains sont partagés entre scepticisme et interrogation. Le quartier a
longtemps été calme et la construction d’ un complexe immobilier de cette envergure rend les
riverains dubitatifs. On redoute l'accroissement des nuisances ici, des problèmes de
stationnement prévisibles là, sans parler du bruit, du vis-à-vis et autre inconvénients qui
n’ existaient pas ou étaient réduits auparavant.
Le rédacteur Didier Dupuis du journal "La voix du Nord" indique à juste raison dans
son article du 12/09/14 que le promoteur (Promodunes) a attendu la certitude de
commercialiser plus de 50 % du programme pour lancer les hostilités!
Il ne croit pas si bien dire, Mr Dupuis. En effet, les hostilités et comportements similaires ont
déjà débutés et ne vont pas tarder à se renforcer face à ce projet démesuré. La signature
tardive du permis de construire et la prudence du promoteur "à lancer les hotilités" -pour
reprende l'expression de LVDN- démontrent une belle hésitation générale, et on voit mal
comment les délais de livraison promis vont pouvoir être tenus...
Article sujet à modification sans préavis.
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