Au f les fait, c stagia comm aires? ment ç ? ça se passe e pou

Au ffait, ccomm
ment çça se passe
e pou r vou
us les stagiaaires?? Voilà 3 m
mois que laa période de
e stage des étudiants d
de L3 a commencé! En règle générrale, pour less français, ill se déroule
e en Allemaggne et pourr les allemands, en Frannce, bien qu
u'ils puissent aussi se décider pourr le Luxembbourg par exxemple. Cerrtains étudiaants ont choisi de rester d
dans la régio
on SaarLorLux, mais d'aautres ont e
eu envie d'a
ailleurs: Muunich, Hamb
bourg, Berlin, SStuttgart mais aussi Strrasbourg, N
Nantes, ou e
encore Pariss. Si vous vooulez leur re
endre visite, c'est un vérittable tour d
de France ett d'Allemaggne qui vouss attend ! P our ce qui e
est des entreprrises, c'est tout aussi vaarié : de PW
WC, à Merce
edes Benz (D
Daimler) qu 'on ne défin
nit plus, en passant par Airb
bus ou enco
ore Dassaultt, Fossil, ZF,, Schwarzko
opf... Certai ns français ont aussi ch
hoisi les PME qui font laa force de l''économie aallemande.
On est aallé prendree des nouve
elles de qua tre d'entre eux : Anna B., étudiannte en Génie
e Civil et manageement en Eu
urope et staagiaire chezz CDCL S.A., Christian R
R., étudiant en Sciencess de Gestion
n et stagiairee chez SMA
ART, Lorrainee H., étudiaante en Scie
ences de Geestion et staagiaire chez Naature et Déccouvertes, e
et Niels C., éétudiant en Logistique et stagiairee chez Daim
mler. Social Media Team : Parlez‐nous un peu de l'entreprise dans laquelle vous effectuez votre stage et de votre mission ... Lorraine : J’effectue mon stage chez Nature et Découvertes, entreprise bien connue des Français et qui se développe à l’international, notamment en Allemagne. Les produits proposés sont divers et variés et possèdent une éthique responsable, chère à l’entreprise. J'assiste de manière générale la direction du magasin de Munich. Je suis responsable de la gestion des livres, c’est‐à‐dire de leur commande, leur réception, leur emplacement dans le magasin, la gestion des stocks, etc. A côté de ça je fais une analyse prix/produits chez les enseignes concurrentes afin d’adapter nos prix et de retravailler nos gammes. Enfin, je suis également sur le terrain puisque je suis guide‐conseil ! Christian : Je suis actuellement en stage chez smart France SAS; une entreprise‐fille de Daimler AG (Mercedes‐Benz), à Hambach, près de Sarreguemines. Smart produit des petites citadines. Elles existent même en coupé et en cabriolet! Près de 100 000 véhicules sortent chaque année du site de Harmbach, qui occupe à peu près 2000 salariés. Je suis pour ma part dans le Service Logistique. J'assiste mes collègues dans la réalisation de nouveaux modèles, avec une nouvelle couleur ou de nouveaux équipements par exemple. Chaque semaine, je participe à des réunions où il s'agit de piloter ces processus particuliers. A côté de cela je travaille en étroite collaboration avec la production et le management de la qualité. Niels : Je suis aussi chez Daimler, mais du côté allemand (Mercedes‐Benz PKW) à Hamburg. C'est un des plus petits sites en Allemagne, mais il compte tout de même 2500 employés. Toutes sortes de pièces détachées y sont produites. Je suis ce que l’on appelle un « Kundenauftragssteuerer » . Je m’occupe d’une pièce qui est présente dans la nouvelle E‐
Klasse. Je fais la passerelle entre les intérêts de la production, la logistique et le client. (Quand je dis client, c’est l’usine Mercedes à laquelle on envoie la pièce). J'ai donc des responsabilités. Il faut se dire que si je planifie mal la semaine de production, il se peut que cela entraîne un arrêt de la chaîne de production chez le client ... Anna : J'ai fait mon stage chez CDCL S.A. au Luxembourg. (Les étudiants de génie civil ont effectué leur stage avant les autres) CDCL est une entreprise de construction qui a son siège à Leudelange, au sud du Luxembourg. L'entreprise réalise des constructions en tous genres : de la maison familiale au plus complexe des projets de gros œuvre: il y en a pour tous les goûts! En tant qu'assistante de chef de projet, j'avais des tâches très variées, qui m'ont permis de voir beaucoup d'aspects de l'industrie du bâtiment. J'ai participé à trois projets pendant mes 5 mois de stage, pour des habitations mais aussi des locaux administratifs et de l'industrie. A côté de la préparation de différents lots, je me suis occupée également du déroulement des projets. Mon tuteur m'a accompagnée dans mon stage avec beaucoup d'intérêt, et il m'a bien aidée à acquérir de nouvelles compétences. Social Media Team : On dirait que vous vous êtes plutôt bien intégré ! Vous parlez déjà de votre entreprise à la première personne ... Vous avez bien été accueilli ? Comment est‐ce que cela se passe au quotidien ? Lorraine : Mes collègues sont ouverts d’esprit et super sympas, mon intégration s’est donc faite sans soucis! Et pour les questions, je demande plutôt à la directrice (ma tutrice de stage), qui prend toujours de son temps pour y répondre le plus clairement possible. Le stage est vraiment à la hauteur de mes espérances, autant dans la diversité des tâches à effectuer que dans l’ambiance au sein de mon équipe. Pour ce qui est de mon accent, je ne me pose pas de question car les allemands trouvent l'accent français "süüüüüß". Christian : Mes collègues sont très sympas et ouverts! Ils m'ont vraiment bien accueilli dans l'équipe et ils sont toujours à l'écoute si j'ai des questions. Niels : L’accueil s’est très bien passé, l’équipe et l’ambiance sont très sympa ! Si j’ai des questions, je peux les poser à mes collègues. Je fais à peu près le même travail qu’eux. En moins bien, avec moins de pièces, et moins de clients ;‐). Et puis en quelques mois on ne peut pas tout connaître ! Pour vous donner un peu une idée de l'ambiance de travail, je peux vous parler d'une "réunion" à laquelle je participe tous les vendredis : on se retrouve, simplement pour manger une saucisse, une véritable institution chez nous ! Anna : Comme j'ai travaillé pour la plupart du temps directement avec un chef de projet, j'avais toujours quelqu'un à qui poser mes questions. Pour mieux découvrir le secteur du bâtiment, j'ai eu l'occasion de travailler avec d'autres services et de participer aux réunions, internes et externes à l'entreprise. Même si les femmes sont toujours peu présentes dans ce secteur, mes collègues ont toujours été loyaux envers moi, sans jamais faire de différence. Social Media Team : Et vous pensez que vos compétences linguistiques et interculturelles vous sont utiles au quotidien? Ont‐elles fait la différence à la candidature ? Lorraine : C’est clairement un atout lorsque tu dois travailler dans une entreprise franco‐
allemande. Dans mon cas, ma directrice est française mais le reste de l’équipe est allemand, il est donc primordial de pouvoir passer d’une langue à l’autre, d’une culture à l’autre sans problème. Et l’ISFATES contribue efficacement à développer cette capacité d’adaptation, que j’utilise au quotidien. Mon entreprise recherche des profils ISFATES même si les compétences linguistiques et interculturelles ne suffisent pas à elles seules : il faut aussi être vraiment motivé et avoir un esprit dynamique. Christian : Je pense que c'est surtout mes compétences interculturelles qui ont fait la différence par rapport à un étudiant allemand lambda. Niels : Pour ce qui est des compétences interculturelles, je trouve que c’est toujours bien de pouvoir prendre du recul sur ce qui est dit, pour mieux comprendre les attentes des personnes en face de toi. En tout cas, je n’ai aucun contact avec la France par le biais de l’entreprise. Donc je ne pense pas que le fait d’avoir un profil interculturel les ait intéressés. Mais ça devait sans doute être un plus par rapport à d’autres candidats. Anna : Pour travailler en tant qu'allemande dans une entreprise francophone au Luxembourg, mes compétences en langue étaient au moins aussi indispensables que mes compétences techniques. Des personnes, originaires de différents pays et parlant différentes langues, ont participé à chaque projet. C'était un véritable plus pour moi de comprendre le français, l'allemand et le luxembourgeois. Je pouvais donc aider mes collègues en cas de problèmes de compréhension. Social Media Team : Parmi les lecteurs, il y a certainement des L2. Quels conseils avez‐vous envie de leur donner ? Lorraine : Dès la L2 il faut commencer doucement à y songer, histoire de ne pas passer à côté d’une possible opportunité. Ensuite il faut mettre toutes ses chances de son côté, avoir les oreilles qui traînent pour les bons plans, ne pas hésiter à demander aux anciens, se déplacer (salon franco‐allemand à Cologne en septembre, c’est là que j’ai trouvé mon stage),... Le premier jour est toujours délicat, on stresse, on ne sait pas trop à quoi s’attendre, ni ce que les autres attendent de vous, si les collègues seront accueillants … Mes conseils sont les conseils lambda : essayer de repérer les lieux quelques jours avant, bien dormir la veille, arriver à l’heure, être bien habillé sans en faire trop, bien écouter et prendre des notes (car le premier jour on vous donne à peu près 1000 infos sur tout, et vous ne pourrez pas tout retenir) mais surtout être souriant et rester soi‐même. Christian : Pour la recherche je commencerais après les examens, en août. Il faut commencer tôt, car on ne sait pas combien il faudra envoyer de candidatures jusqu'à ce que ça fonctionne. Pour le premier jour, soyez ouverts et polis. Das ist das A u. O. Niels : Plus vous commencerez tôt à chercher, plus vous aurez de chances de trouver un bon stage. Mon autre conseil, c'est de profiter du stage pour partir et découvrir une nouvelle ville ! Anna : J'ai trouvé mon stage 2 mois avant le début et je ne recommanderais à personne de s'y prendre moins tôt, car les questions administratives (contrat de stage, appartement,...) prennent souvent plus de temps que prévu. Au début de mon stage, j'étais plutôt nerveuse et je ne savais pas à quoi m'attendre. Même pendant les premières semaines, beaucoup de choses n'étaient pas claires. La meilleure solution est de poser des questions et de ne pas avoir peur de faire des erreurs. Le stage est là pour apprendre et c'est normal que les collègues sachent tout faire mieux que nous. Ils ont plusieurs années derrière eux ! Social Media Team : Et sinon, quelle est la chose la plus cool que vous ayez eu à faire jusqu'à présent ? Lorraine : S’occuper de la gestion livres c’est vraiment super cool, c’est normalement une tâche que tu obtiens en fin de stage car c’est une responsabilité importante ! Je suis donc super contente d’en être la responsable et je vais également m’occuper entièrement de l’organisation du « Kids Day » auquel mon entreprise participe et c’est pour moi un vrai challenge ! Christian : Un voyage d'affaire chez Brabus, une entreprise de tuning de voiture à Bottrog, en Rhénanie du Nord Palatinat. Niels : Aller visiter l’usine de Brême. C’est super intéressant de voir et de comprendre comment sont fabriquées toutes ces voitures. Autant logistiquement parlant que techniquement. Anna : C
Ce qui m'a lle plus plu, c'était le coontact avec les autres e
entreprises et le fait qu
ue j'ai eu des tâch
hes de plus en plus importantes aau cours de
e mon stage
e et que je ppouvais parrticiper à des réunions déterrminantes. Media Team
m : Merci à ttous d'avoi r accepté de témoigne
er. On vous s souhaite à
à vous et Social M
autres éétudiants de L3 bonne
e continuatiion ! Die Prakttikum
msphaase haat beggonneen… w
wie läufft es b
bei un
nseren Praaktikanten?? Vor circca 3 Monateen hat die Praktikumsp
phase für un
nsere Studenten des drritten Studie
enjahres
(L3) beegonnen. Nach
N
der alllgemeinen Regel abso
olvieren die
e Franzosen
n ihr Prakttikum in
Deutsch
hland und die
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hen ihres in
n Frankreicch, wobei sich beide SSeiten zum Beispiel
auch fü
ür Luxembo
ourg entsch
heiden kön
nnen. Einig
ge unserer Studenten
n haben sicch dafür
entschieeden, in derr SaarLorLu
ux- Region zu bleiben,, aber anderre haben siich auch we
eiter weg
getraut:: München, Hamburg
g, Berlin, S
Stuttgart ab
ber auch Sttraßbourg, Nantes ode
er sogar
Paris. W
Wer unseree Studenten
n besuchen
n möchte, macht
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also eine kleinee Frankreicch- oder
Deutsch
hlandtour. Die
D Firmen
nwahl ist au
uch sehr vieelfältig: von
n PwC bis M
Mercedes biis hin zu
Airbus, Dassault, Fossil, ZF oder Schwarzkopf. Einige Franzosen haben sich auch für KMU’s
entschieden. Wir haben 4 unserer Studenten interviewt: Anna B., Studentin des
Bauingenieurwesens und Praktikantin bei CDCL S.A., Christian R., BWL- Student und
Praktikant bei SMART, Lorraine H., BWL- Studentin und Praktikantin bei Nature et
Découvertes, und Niels C., Logistik- Student und Praktikant bei Daimler.
Social Media Team : Erzählt uns doch ein wenig über eure Firma und eure
Aufgaben im Praktikum…
Lorraine : Ich absolviere mein Praktikum bei Nature et Découvertes, eine bekannte
französische Firma, die sich international ausrichtet, vor allem nach Deutschland. Die
angebotenen Produkte sind sehr vielfältig und sind nah an der Natur. Ich helfe der
Geschäftsleitung und bin für die Bücherabteilung verantwortlich. Ich bestelle sie, präsentiere
sie im Geschäft, kümmere mich um die Materialwirtschaft, etc. Daneben analysiere ich noch
die Produkte und Preise der Konkurrenz, um unser Angebot anzupassen.
Christian : Ich mache mein Praktikum bei Smart France SAS, einer Tochter der Daimler AG
(Mercedes-Benz), in Hambach bei Sarreguemines. Smart produziert kleine Stadtautos. Die
gibt es sogar als Coupé und als Cabrio. Pro Jahr baut das Unternehmen ca. 100.000
Fahrzeuge am Standort in Lothringen. In Hambach sind mit den Zulieferbetrieben ca. 2000
Menschen beschäftigt davon ca. 800 bei Smart selbst. Ich arbeite im Service Logistik. Dabei
unterstütze ich meine Kollegen bei der Umsetzung von Vorserien, also Smarts, die neue
Bauteile beinhalten bzw. in einer neuen Farbe/Ausstattung produziert werden. Dabei wird
eng mit der Produktionsplanung und dem Qualitätsmanagement zusammengearbeitet.
Niels : Ich bin auch bei Daimler, aber auf der deutschen Seite (Mercedes-Benz PKW) in
Hamburg. Hier ist einer der kleinsten Standorte in Deutschland mit 2.500 Mitarbeitern. Dort
werden
die
verschiedensten
Einzelteile
produziert.
Ich
arbeite
als
« Kundenauftragssteuerer » und kümmere mich um ein Einzelteil, das für die neue E- Klasse
verwendet wird. Ich mache die Verbindung zwischen den Interessen der Produktion, der
Logistik und dem Kunden (mit Kunde meine ich die Mercedes Fabrik, der wir das Einzelteil
liefern). Ich habe viel Verantwortung. Wenn ich etwas falsch für die Produktion kalkuliere,
kann dies im schlimmsten Fall zum Produktionsstopp beim Kunden führen…
Anna : Ich habe mein Praktikum bei CDCL S.A. in Luxemburg gemacht. CDCL ist eine
Baufirma, die ihren Sitz in Leudelange, im Süden Luxemburgs hat. Die Firma führt
verschiedenste Bauunternehmungen aus. Vom Einfamilienhaus bis zu großen komplexen
Projekten im Rohbau und Innenausbau: es ist alles dabei! Meine Aufgaben als Assistentin
eines Projektleiters waren sehr vielfältig und verschafften mir einen guten Einblick in die
Bauwirtschaft. Ich betreute mit ihm zusammen während fünf Monaten drei verschiedene
Projekte, die Wohnungs-, Verwaltungs- und Industriegebäude waren. Neben der
Vorbereitung verschiedener Lose war ich auch an der Ablaufplanung und –steuerung
beteiligt. Mein Tutor hatte ehrliches Interesse daran, mich weiter zu bringen und half mir
sehr, neue Kompetenzen zu entwickeln und bestehende auszubauen.
Social Media Team : Man merkt, dass ihr sehr gut integriert seid. Ihr redet von
eurer Firma ja schon in der ersten Person… Wurdet ihr am ersten Tag gut
empfangen? Wie läuft euer Alltag ab?
Lorraine : Ich habe sehr offene und sympathische Kollegen und war sehr schnell integriert.
Wenn ich Fragen habe, kann ich mich jederzeit an die Direktorin wenden (sie ist meine
Praktikumsverantwortliche). Sie nimmt sich immer viel Zeit, um mir so klar wie möglich auf
meine Fragen zu antworten. Das Praktikum hat all meine Erwartungen übertroffen.
Christian : Meine Kollegen sind sehr sympathisch und offen. Sie haben für mich immer ein
offenes Ohr.
Niels : Mein Empfang war super und das Team ist sehr sympathisch. Wenn ich Fragen habe,
kann ich diese jederzeit meinen Kollegen stellen. Ich arbeite fast das gleiche wie sie… nur
weniger gut, mit weniger Einzelteilen und weniger Kunden ;-). Man kann am Anfang ja nicht
alles wissen.
Anna : Da ich die meiste Zeit direkt mit dem Projektmanager zusammengearbeitet habe,
hatte ich immer einen konkreten Ansprechpartner für Fragen und Probleme. Um den
Bausektor noch besser kennenzulernen gab es auch Gelegenheiten, um mit anderen
Abteilungen zusammenzuarbeiten und an vielen internen und externen Besprechungen
teilzunehmen. Auch wenn Frauen bisher in der Bauwirtschaft eher eine Ausnahme sind,
verhielt man sich mir gegenüber nahezu immer loyal und machte keinen Unterschied.
Social Media Team : In wie fern sind euch eure interkulturellen und
sprachlichen Kenntnisse im Alltag nützlich? Denkt ihr, dass ihr einen Vorteil
bei der Bewerbung hattet?
Lorraine : Es ist eindeutig ein Vorteil, wenn man in einem deutsch- französischen
Unternehmen arbeiten möchte. In meinem Fall ist meine Chefin Französin, aber der Rest
des Teams ist Deutsch. Es ist also sehr wichtig, dass man von einer Sprache in die andere
oder von einer Kultur in die andere wechseln kann. Am DFHI entwickelt man diese
Anpassungsfähigkeit, die ich täglich benutze. Meine Firma sucht nach dem DFHI- Profil,
aber sprachliche und interkulturelle Kompetenzen reichen alleine nicht aus, denn man sollte
auch eine große Motivation mitbringen.
Christian : Ich bin der Meinung, dass vor allem meine Fremdsprachenkenntnisse in
Französisch den Unterschied zu einem « normalen » deutschen Bewerber machen.
Interkulturelle Unterschiede konnte ich bis jetzt kaum ausmachen, außer Händeschütteln am
Morgen, was wohl daran liegt, dass das Werk nah an der deutsch- französischen Grenze liegt.
Niels : Bezüglich der interkulturellen Kompetenz denke ich, dass es besser ist, diese mit
Abstand zu betrachten, damit man die Erwartungen der anderen besser verstehen kann.
Über meine Firma habe ich keinen Kontakt zu Frankreich. Also denke ich nicht, dass mein
interkulturelles Profil wesentlich zur Entscheidung beigetragen hat. Im Vergleich zu anderen
Kandidaten könnte es aber ein kleiner Vorteil gewesen sein.
Anna: Um als Deutsche in einem französischsprachigen Unternehmen in Luxemburg zu
arbeiten, waren meine Sprachkenntnisse mindestens genauso wichtig wie meine fachliche
Kompetenz. Auch waren bei allen Projekten, an denen ich gearbeitet habe, immer Personen
verschiedener Länder, Sprachen und Kulturen beteiligt und es war von großem Vorteil,
Deutsch, Französisch und Luxemburgisch zu verstehen. So konnte ich meinen Kollegen
oftmals bei Verständnisproblemen helfen.
Social Media Team : Unter den Lesern sind sicher einige L2-er. Welche
Ratschläge habt ihr für sie?
Lorraine : Nach dem zweiten Studienjahr sollte man langsam mit der Suche beginnen,
damit man sich keine große Chance entgehen lässt. Man sollte die Augen und Ohren offen
halten, sich nicht davor scheuen, ältere Studenten zu fragen und zur deutsch- französischen
Jobmesse in Köln im September gehen (dort habe ich übrigens mein Praktikum gefunden).
Der erste Tag ist immer schwer : man ist gestresst, weiß nicht, was einen erwartet, weiß nicht,
was die anderen von einem erwarten oder ob man gut empfangen wird… Schaut euch euren
Arbeitsort bereits einige Tage vorher an, geht am Abend vorher früh ins Bett, kommt
pünktlich und seid gut angezogen. Hört gut zu und macht euch Notizen (man wird euch am
ersten Tag 1000 Infos geben und ihr werdet euch nicht alles merken können) und vor allem:
lächelt und verstellt euch nicht.
Christian : Beginnt so früh wie möglich mit eurer Suche ! Das schadet nie, denn man weiß
ja nicht, wie viele Bewerbungen man versenden muss, bis es klappt. D.h., dass ich bereits im
August, nach den L2-Prüfungen, anfangen würde, Bewerbungen zu versenden. Für den
ersten Arbeitsstag : seid offen für Neues und vor allem höflich ! Das ist das A und O.
Niels : Je früher ihr mit der Praktikumssuche beginnt, umso höher sind eure Chancen ein
gutes Praktikum zu bekommen. Nutzt das Praktikum, um eine neue Stadt kennenzulernen.
Anna: Mein Praktikum habe ich Mitte Juni, also gut zwei Monate vor Beginn, gefunden und
würde niemandem empfehlen, sich kurzfristiger darum zu kümmern, da die administrativen
Sachen wie der Praktikumsvertrag und Wohnungssuche oft mehr Zeit in Anspruch nehmen
als erwartet. Am Anfang des Praktikums war ich sehr nervös und wusste nicht was auf mich
zukommt und auch in den ersten Wochen war mir Vieles unklar. Hierbei hilft nur fragen,
fragen, fragen. Und hab keine Angst davor, Fehler zu machen. Das Praktikum ist dafür da,
um zu lernen. Es ist ganz normal, dass die Kollegen vieles besser können – die haben auch
schon einige Jahre geübt.
Social Media Team : Was was bisher eure tollste Aufgabe ?
Lorraine : Sich um die Materialwirtschaft zu kümmern ist eine Aufgabe mit viel
Verantwortung ! Ich bin also sehr glücklich, die Verantwortung dafür übertragen bekommen
zu haben. Eine weitere Herausforderung für mich ist die Organisation des „Kids Days“, an
dem meine Firma teilnimmt.
Christian : Eine Dienstreise zu Brabus, ein Autotuningunternehmen in Bottrop (NordrheinWestfalen).
Niels : Eine Firmenbesichtigung in Bremen. Es ist sehr interessant zu sehen und zu
verstehen, wie all diese Autos gebaut werden, in logistischer sowie technischer Sicht.
Anna : Am besten hat mir der Kontakt mit anderen Firmen gefallen und die Tatsache, dass
ich im Verlauf des Praktikums immer größere Aufgaben übernehmen durfte und an
wichtigen Besprechungen teilnehmen konnte.
Social Media Team : Vielen Dank für eure Erfahrungsberichte. Wir wünschen
euch weiterhin viel Erfolg.