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Edito INSIACTU édition n°1 - semaine du 3 février 2003 Sommaire Eh oui, le voici, le voilà... C’est bien le journal officiel de l’INSIA. Il était temps ! Après quelques difficultés, un zeste de fantaisies et d’audace, des chroniqueurs sensas, voici la première édition de l’INSIACTU (ce nom n’est pas définitif...). C’est un bimensuel... Pourquoi une fréquence d’édition aussi curieuse ? Ben, euh..., faites des calculs, vous comprendrez ! L’INSIACTU est destiné à entretenir la communication entre les étudiants et l’admin, mais aussi entre les étudiants entre eux, choses qui n’existent pas toujours... Il vous permettra d’avoir des infos utiles (administratives, BDE, sorties...), passer vos coups de gueule (on sait qu’il y en a beaucoup), donner votre avis sur un sujet, vos annonces, etc... Vous trouverez dans ce premier numéro des photos du séjour au ski, des infos générales, mais aussi des interviews... Ainsi, vous pourrez en savoir plus sur deux de nos fabuleux profs à savoir Christophe et Michaël : leur talent caché (un champion de cross!!!), leurs particularités et ceux qu’ils pensent de l’INSIA et plein d’autres choses. Nous comptons bien-sûr sur votre participation pour faire vivre ce journal. Déjà, en le lisant, puis, en donnant votre avis, en écrivant des articles... Venez nous voir, on ne mord pas ! Nous espérons tous que ce premier numéro sera suivi de beaucoup d’autres. En attendant la sortie prochaine d’un nouveau numéro, nous vous souhaitons une (très) agréable lecture. Agenda 1 Voyage au ski 2 Finance 2 L’art de poster 3 Un cours avec Pascal Biardeaud 3 La réflexion du jour 3 Gros plan sur... Michaël Thomas 4 Nouvel an chinois 5 Manga 6 Loi de Murphy 7 Gros plan sur... Christophe Porteneuve 8 Conférence 9 Musique 11 La Rédaction. Cinéma 11 Sorties 12 Informatique 10 Expression des 3 derniers mois 10 Fiche pratique Agenda 12 Evénements organisés par le BDE INSIA : 9 Février 2003 : Paintball en Indoor à côté de Cergy Pontoise pour 20 € (28€ pour les personnes extérieures) Courant Février : Election du nouveau BDE. Voyage au ski à Valmeunier La date exacte sera communiquée après avoir pris connaissance du planning définitif du mois de février. INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003 Voyage au ski Bon les amis, on m’a demandé de vous parler de la semaine du ski. On a passé une bonne petite semaine de vacances (avec beaucoup, beaucoup de neige). C’était un mélange de sports (ski, surf, bataille de boules de neige, luge), de sieste, de levée de coude et de danse (voir les photos). Il y avait une bonne ambiance et on s’est bien éclaté (il aurait fallu y être). On a notamment pu découvrir le torse (velu ???) de certains individus bien connus, on a vu s’éclater notre cher directeur sur la dancefloor et des gamelles que l’on aurait même pas imaginées en rêve. Seule touche négative : le « resto » où l’on est resté sur notre faim. Il m’est impossible de vous résumer cette semaine en une dizaine de lignes car : 1) Il y en a beaucoup trop à dire. 2) Je n’étais pas partout et donc j’ai manqué des choses. 3) Et pourquoi il y aurait-il un 3) d’abord ?! Si vous avez envie de détails croustillants ou d’informations plus précises, je vous invite à allez voir les chanceux qui sont partis s’éclater sur les pistes. Kenshin Lunar!!! Finance La rubrique finance et économique va commencer par vous informer sur les avantages d’investir en bourse. Attention, ceci doit toujours s’opérer avec prudence. Combien de financiers de profession se sont ruinés à cause d’imprévu ou simplement parce qu’ils n’avaient pas assez de recul face aux événements économiques. Quoiqu’il en soit, aujourd’hui, je vais tenter de vous expliquer qu’il vous faut ouvrir un compte titre PEA (Plan Epargne en Actions) le plus tôt possible. En effet, un compte titre PEA est une bonne manière de faire fructifier votre argent. Un compte PEA est composé de deux comptes : - un compte espèce PEA : c’est un compte espèce dédié au compte PEA. Votre argent va se trouver sur ce compte avant l’achat ou après la vente d’une action. - un compte titre PEA : une fois que vous avez acheté des actions vous pourrez constater leur valorisation dans cet espace. Un compte PEA sert à acheter ou vendre des actions, le plus souvent des actions françaises, au cours du marché. L’ouverture d’un compte PEA ne 2 Ouaaahhhh mais à qui est ce... torse??? Lunar (encore) en délire Christophe dans LA fameuse cage coûte rien, en général. Il faut le garder 5 ans sans jamais retirer d’argent, investi ou non investi. Il faut savoir que cette durée permet d’être défiscalisé sur les bénéfices que vous avez pu réaliser. Après cette période de 5 ans, vous pouvez retirer vos premiers bénéfices. Par contre, vous devrez quand même payer une taxe … en fait deux taxes, la CSG et le RDS qui sont calculés selon un pourcentage des bénéfices. Une fois que vous avez commencé à retirer de l’argent du compte espèce PEA, vous ne pourrez plus rajouter de l’argent pour réinvestir. Le mieux, c’est de conserver votre PEA pendant huit ans, car au bout de huit ans, vous serez défiscalisé et détaxé, 100% des bénéfices seront pour vous. Ce qu’il faut savoir ; - il y a des frais de gestion annuels pour un compte titre PEA, ils peuvent varier beaucoup d’une banque à une autre. - vous n’êtes pas obligé d’acheter des actions tout de suite afin de ne pas payer les frais de gestion par exemple. - un ordre coûte de l’argent, c’est-à-dire si vous achetez une action ou si vous vendez une action ceci vous sera facturé et cela peut être très variable d’une banque à une autre. - si vous faites des gros ordres, alors il vaut mieux aller chez un broker, les ordres et les frais de gestion vous coûteront moins chers. - un broker offre plus de services et vous avez le cours de la bourse en direct sur un support Internet ou téléphonique. - ne jamais penser que placer de l’argent dans un PEA est un jeu. - toujours vérifier les informations qu’un conseiller financier peut vous donner. Les conseillers ne sont pas les payeurs. En conclusion, il faut ouvrir un compte PEA, c’est dans votre intérêt. Au pire, vous n’aurez rien gagné, vous n’aurez rien perdu. Au mieux, en fonction de vos investissements, il peut vous rapporter de l’argent. Aujourd’hui, aucun plan d’épargne ne vous rapportera plus de 6% d’intérêts sans payer de taxes ou d’impôts sur les plus values. LANCEZ VOUS … !!! DaviD CSG - Contribution Sociale Généralisée CRDS (ou RDS) - Contribution au Remboursement de la Dette Sociale L’art de poster… semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU Il dépend de ce que vous voulez poster ! Lettre, colis… et oui la démarche n’est pas la même. Je pourrais vous faire l’algorithme de la classe CommentPoster() mais il y a trop de méthodes ! C’est pourquoi je vais vous expliquer en quelques lignes comment utiliser slrn : c’est plus simple que de poster une lettre J. On va commencer par une petite explication rapide de ce qu’est slrn. Slrn est un newsreader, c’est-à-dire un programme qui permet d’accéder au serveur de news pour lire les messages venant du service des news. En gros, vous avez le serveur qui stocke les news et slrn qui vous les présente avec une arborescence et les posts dans le bon newsgroup. Bon, maintenant qu’on sait ce que c’est (enfin un peu…), il faudrait peut être savoir l’utiliser… On va commencer doucement… Il faut d’abord entrer dans slrn, ça je suppose que tout le monde sait le faire… pour ceux qui ne sauraient pas vous tapez slrn dans un eterm ou xterm. Une fois dans slrn : Pour lire : - Les flèches : positionner le curseur sur le newsgroup que vous voulez lire. - Touche entrée : pour entrer dans un groupe. (parfois on nous demande combien de news on veut lire, là c’est comme vous voulez) - Une fois dans le newsgroup, réitérer la démarche pour accéder aux messages. - Une fois que vous lisez le message, on se pose une question très importante : comment lire la suite du post quand il y en a une ??? je me la suis posée pendant longtemps jusqu’à ce que j’ai l’illumination : § barre d’espace : défilement page par page § touche entrée : défilement ligne par ligne - Pour quitter le newsgroup tapez q pour quit. Pour poster : - Si vous êtes dans un newsgroup, sortez (en tapant q) ! Sinon bah… rien - Vous vous placez devant le newsgroup dans lequel vous voulez poster. - Tapez p comme post. On demande confirmation alors vous tapez y pour yes. - Ensuite on vous demande le newsgroup dans lequel vous voulez poster donc entrez le nom du groupe, en évitant admin.admin (sinon…close compte) et tapez entrée. - Ensuite vous entrez le sujet du post et tapez entrée. - Là, vous vous retrouvez dans un éditeur de texte, si la configuration n’a pas été changée alors vous êtes dans vi, je sais je sais… mais il faut faire avec ! - Donc vous êtes dans vi : § i (insert) : permet d’écrire votre texte § echap-:x : écrit le fichier puis quitte vi Commandes suivies de la touche entrée. - Une fois votre message enregistré, on vous demande si vous voulez poster, logiquement vous tapez y pour yes. Voilà, vous avez poster une news ! Évidemment vous voulez la lire (enfin vérifier que cela a fonctionné), il faut sortir de slrn puis rentrer pour pouvoir lire votre post. Pour répondre : - C’est simple, c’est comme pour poster sauf que c’est f pour followup et non un p qu’il faut taper. - Ah si ! Une chose différente : il faut être dans le newsgroup (et pointer sur le message auquel on veut répondre ou avoir ouvert le message). En fait c’est comme pour les mails. Bon voila…. Ah ! Une chose. Je sais que pour certains cet article ne sert a rien ! Et pourtant il y en a qui ne save pas poster, hein ? Hé, ne fais pas l’ignorant(e) !! Je sais que c’est toi ! (lol). Faut dire que ce n’est pas évident au premier coup d’œil… Villena Un cours avec Pascal BIARDEAUD… (extraits) 13h. Début du cours… « Ça fait longtemps qu’on s’est pas vu. Je vous ai manqué, hein… » « J’ai récupéré vos copies, il y en a un nombre apocalyptique. J’espère que vous n’avez pas été trop inspiré ! Quand je vois cet amphi, je fais une dépression… » 13h07. Il nous montre un magazine. « Ceci n’est pas une revue pornographique… », (Atlas du Monde diplomatique, 10 €) 13h13. Un retardataire ose se pointer « C’est un retardataire, c’est pas beau, c’est méchant, il va se faire fouetter. Un petit coup de fouet, ça ne se refuse pas ! » 13h21. Pascal BIARDEAUD nous fait une démo de son anglais légendaire… « George double Vi Buche », (traduisez par George W. Bush) 13h26. Il nous redemande s’il nous a manqué et ajoute : « Je pensais qu’il y aurait des filles qui feraient un strip-tease ! Je sais qu’il en a certaines dont c’est le rêve, elles me l’ont dit… » 13h39. Il parlait d’on ne sait quoi et tout à coup… « Il faudrait trouver un concept de bar original (ce qui ne me déplairait pas)… (…) Tiens, un bar à strip-tease de crocodiles que j’appellerai Chez Biardeaud ! » Et ainsi de suite jusqu’à 14h29... Y en a eu des tonnes… 14h30. Il regarde sa montre. « Ben, vous n’avez pas vu l’heure ? Allez, c’est fini ! », il nous a jeté dehors ! Nous, on avait même pas envie de partir… Biardeaud, le magicien… Pascal BIARDEAUD, prof de culture générale… oups ! mè trompé ! mille excuses… prof d’économie. La réflexion du jour «Vous êtes vous déjà demandé pourquoi Mariah Carey avait l’air si bête ? Non ? ... Ben nous non plus !» 3 INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003 Gros plan sur... Michaël Thomas Nous avons voulu en savoir un peu plus sur Michaël Thomas. Et en cherchant, on a découvert qu’il était vice-champion par équipe de cross court en 2001 : http://www.bretagne-online.com/telegram/htdocs/archive/2001/20010326/ SPORTS/article/art_010C080000_2498200.htm Vice-champion du monde par équipes Michaël Thomas : l’argent et le bonheur Il est fort !!!!!!!! Et en plus il est prof à l’INSIA. Nous l’avons rencontré pour vous : Quelle est ta formation ? Michaël Thomas : Très atypique. Je pourrais dire que je suis autodidacte. J’allais en cours deux fois par an…J’ai certainement été l’étudiant qui a payé le plus cher EPITA au prorata des journées que j’y ai passées. J’ai été viré pendant ma SUP mais j’ai néanmoins été autorisé à passer mes partiels, et j’ai fini major. Conséquence de quoi, j’ai été embauché à EPITA en tant que prof de programmation PASCAL et DELPHI (je faisais beaucoup de programmation à l’époque). En parallèle, j’étais directeur de sociétés. Comme je disais, je poursuis mes études pendant les vacances… (rires) Quelle a été ta spécialisation ? SIGL - Systèmes d’Information et Génie Logiciel. Je suis de la promo 2002. Et pourquoi ? (Il réfléchit). Pour une vision plus humaine de l’informatique. Ce sont les hommes qui contrôlent les machines et non les machines qui contrôlent l’Homme. C’est la différence fondamentale entre Adrien et moi. (rires) Qu’ est-ce que tu attendais du métier d’ingénieur ? Michaël Thomas pose sérieusement devant nos objectifs 4 J’en attendais rien, j’ai rempli mes cahiers… Quels postes as-tu occupé avant d’être embauché a l’INSIA ? Alors, j’ai été gérant d’une SSII à Grenoble, pendant trois ans, avec pour clients des grands comptes, des hôpitaux, des marchés publics… Ensuite, j’ai géré une holding qui avait pour filiales une société de production et de postproduction, un laboratoire de Recherche et Développement, des studios, une agence de presse, une régie commerciale, un organisme de droits d’auteur... Et tout cela pendant combien de temps ? Pendant six ans. Et ensuite ? Pendant un an, j’ai bossé en tant que directeur de projets pour des applications gouvernementales, je travaillais sur la problématique des signatures électroniques, avec pour évangéliste de la société : Patrice DUMOUCEL. Mais au fait t’as quel âge ? Parce que là, on ne comprend pas… 25 ans. Pourquoi l’INSIA ? L’approche sociale de l’INSIA est intéressante. L’idée d’une école d’ingénieurs pour des gens qui n’en ont pas forcément les moyens financiers m’a plu. Je suis président d’une association humanitaire. Si j’ai décidé de travailler pour l’INSIA, c’est pour le défi de donner ce que j’aurais souhaité recevoir comme formation. Pourquoi l’enseignement ? C’est l’enseignement qui m’a choisi... (rires) Est ce que tu regrettes d’être venu à l’INSIA? Non, bien au contraire. Quelles sont tes responsabilités à l’INSIA ? Je suis directeur du système d’information de l’INSIA, montage de partenariats, coordinateur pédagogique… C’est-à-dire ? Je fais les programmes avec Clément AGHANAHI. Je suis aussi directeur de projets, un peu de marketing (il a réalisé la plaquette pour les entreprises, ndlr). Et tu fais quoi en dehors de l’INSIA ? Ce que je peux en dire… (Il réfléchit). Comme je vous l’ai dit, je suis président d’une association humanitaire. Elle va à la rencontre des marginaux (artistes, SDF, …) et les mène à s’engager à conduire un projet personnel. Je suis également directeur de projets et trésorier d’une association culturelle HOWARTYOU (organisation d’événements culturels, ndlr). Où trouves-tu le temps ? Le temps est très relatif. Pourquoi n’es-tu pas ingénieur dans le sens commun du terme ? Je me suis fait virer de toutes mes écoles, depuis la maternelle (rires). Dès la 6ème , j’ai été interdit de physique et biologie, au lycée j’ai été viré trois jours parce que je me suis fait réveiller en cours de français par la prof et je lui ai dit que je ne pouvais pas m’abaisser à son niveau intellectuel… (rires). Et à l’EPITA, c’était pour jeux en réseaux en cours de physique, absentéisme... Ca ne réponds pas à la question ? La norme m’indispose. Ce que tu aimes dans l’INSIA? La volonté commune de réussir aussi bien pour l’ensemble du corps enseignant que le corps administratif. Ce que tu n’aimes pas? Les combats de coqs… Quel avenir vois-tu pour l’INSIA ? pour les étudiants ? Pour les étudiants : demain sera bien et pour l’INSIA, la même chose. Pourquoi tu n’aimes pas le système des piscines et des news ? Non, le principe des piscine j’aime bien, c’est juste que je n’ai pas le temps... semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU J’aime bien vous regarder nager. (rires) Les news, je n’aime pas trop. C’est de la délégation de responsabilités car c’est le même système que le répondeur : « Comme t’étais pas là, je t’ai laissé un message sur ton répondeur donc c’est à toi de me rappeler. ». D’ailleurs, je n’ai pas de répondeur pour cette raison. Je préfère les relations synchrones. Que penses tu des étudiants généralement ? Des gens courageux. Que voudrais tu dire aux étudiants de l’INSIA ? Quel message voudrais tu faire passer ? La réussite est humaine avant d’être compétences. Comment compte-tu corriger 750 copies?(sans parler des autres années) (Ce n’est pas 750 copies, c’est beaucoup plus : 2200 !) Avec plaisir, ce sera très simple à corriger. Zéro ou un ? Non, un zéro ça se mérite, c’est un acte de révolte (rires). Je mets 0,5 au minimum, pour ceux qui n’ont pas osé ne pas venir et qui sont restés dans la demi mesure.. Mais le but de ces partiels de vous confronter à la dimension réelle d’un projet informatique. Pourquoi dois-tu généralement partir tôt le vendredi ? Vers 17 heures… Pour les haut cieux alpins et leurs paradis artificiels. Penses-tu faire le fou pendant la semaine de ski? (Cf photo ci-dessous) S’ils tiennent la route. La légende dit que tu aurais eu une entreprise de décodeurs canal + lorsque tu étais à l’EPITA ? Si ça ne se limitait qu’à ça ! (rires) Conclusion. En gros, ta vie c’est la conduite de projet ? (rires). Euh… oui, c’est ça. (rires) Kitty, ~|MadiKeRaStyLe|~, MDIS, Villena En savoir plus sur Michaël THOMAS… Il a créé et organisé le premier festival de Jeux Vidéos de France à Grenoble. Il a également développé quelques jeux vidéos… GLOBETRIPS, ZOOMERANG (pour les connaisseurs). Il aurait laissé une ardoise à l’EPITA… Ah le malin !! Ses alcools préférés : Rhum, Vin, Champagne, mais surtout le Gin. Ah ! Le Gin ! Son fidèle alcool, comme il le dit lui même… D’ailleurs, voici une citation de Michaël révélant son amour (rires) pour le Gin : « Les gens qui aiment le Gin s’entendent bien entre eux, après quelques verres, mais même avant ! » Les phrases-type de Michaël… « La complétude fonctionnelle du logiciel…. ». Que celui qui a compris cette expression vienne me voir… (je rigole, il m’a expliqué, c’est simple en fait, mais on peut pas deviner tout seul…) Mais il y a pire… N’entendez-vous point la voix de Michaël résonnée dans votre tête quand vous lisez ce genre de phrase : « C’est lier les exigences fonctionnelles aux différents éléments de modélisation de l’architecture logique au moyen de la couche applicative de sorte à obtenir un modèle opérationnel. ». Euh… ? (extrait du support de cours d’Architecture d’un Système d’Information). Autre chose, nous avons quelque talent de devin en ce qui concerne la pensée profonde des étudiants pendant les cours de Michaël. Nous avons perçu, lors de méditations transcendantales, ces phrases récurrentes dans l’esprit de chacun : « Mais qu’est-ce qui dit ??? Je comprends rien ! » ou encore « C’est quoi ça encore ?? ». Nous avons pu recueillir le témoignage d’un ancien étudiant de SUP d’EPITA qui a eu Michaël… ;-)) INSIACTU : Tu connais Michaël ? Anonyme : Oui, je le connais. Enfin vite fait mais il m’a donné des cours de TP Pascal quand il était encore élève à l’EPITA. Il déchirait tous ses projets. Lui, c’est voilà la bête... INSIACTU : Alors il était comment ? Tu comprenais ses cours ? parce que nous, on a du mal… Anonyme : Le premier TP : hop, un serpent ! Ben, j’avoue que dès le deuxième cours de TP Pascal, les masques de bits pour comment corriger une phrase style sous Word… C’était violent !! Et puis, à la fin de l’année, un Puissance 4 avec une IA (Intelligence Artificielle). Que finalement on était tellement balèze qu’on arrivait même pas à battre notre programme !! Comme quoi, on se refait pas… Et pour finir, pour ceux qui ne l’auraient pas déjà fait : aller sur Google. Tapez « Michael Thomas » puis cliquez sur « I feel lucky » ou « J’ai de la chance »… Bonne blague !! (surtout les super chansons, à écouter dare dare …) Nouvel an chinois Michaël avant d’être soûl Cette année chinoise a commencé le 1er février 2003 et se finira le 21 janvier 2004. Le signe est celui du Bouc (ou chèvre), signe de l’inattendu et année où l’on doit s’attendre à tout, que ce soit dans les sociétés ou dans les familles. Il s’agit aussi d’une année favorable pour les arts en général. Pour les enfants naissant du signe du Bouc, ce n’est ni une mauvaise, ni une bonne année car le Bouc sait s’adapter à son environnement. La veille du nouvel an et les trois jours suivants sont fériés mais très souvent la fête dure toute une semaine. De plus, le 15e jour du premier mois de l’année est la fête des Lanternes, donc l’ambiance des premiers jours d’une année est toujours festive. 5 INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003 Manga Manga, vous avez dit Manga ? Enfin voici arrivée la (tant attendue ??) 1ère édition de notre journal. Pour ma part j’essaierai de vous initier à un nouveau monde, un monde plein de héros, de mystères et d’aventures : le manga. D’après le « dico », un manga est une bande dessinée japonaise. Effectivement vu sous cet angle… Bon sérieusement pour moi un manga, c’est bien une BD mais c’est aussi autre chose. C’est aussi un terme générique qui englobe l’univers de la jap animation (animation japonaise). Il existe différents registres : aventure, science-fiction, hentaï (catégorie pour adulte). La particularité du manga (pour moi) est sa diversité : diversité de support et diversité des thèmes. Que l’on parle de « bande dessinée » ou d’animation « japonaise », c’est un manga. Chaque manga nous apporte un peu de nouveautés, il nous parle parfois d’une culture différente, d’une contrée étrangère, il nous apporte un petit quelque chose de plus. C’est un savant mélange de réel et/ou d’imaginaire. Le Japon a démontré que le dessin animé (je déteste ce terme, ça fait bébé) pouvait rivaliser avec les meilleurs films. Il peut véhiculer des idées fortes comme la préservation de la nature (Princesse Mononoke) ou retracer les horreurs de la guerre (Le tombeau des lucioles). Les films d’animations sont devenus des films à part entière et non plus de simples dessins animés tels les Pokemon. De toute façon, vous connaissez déjà des mangas, vous en avez déjà regardé à la télévision même si vous n’étiez pas au courant. Qui n’a pas regardé le « Club Dorothée » ? Qui ne se souvient pas des « Chevaliers du zodiaque », de « Cobra », de « Sailor Moon » ou des autres « Juliette je t’aime », « Max et compagnies » et de l’incontournable « Dragon ball » ? Pour ce premier article, je vais vous parler d’un manga qui me tient particulièrement à cœur : Kenshin le Vagabond Restituons un peu le contexte, l’histoire se passe au Japon vers la fin de l’ère Edo (milieu/fin du 19ème siècle), la fin de l’époque des shoguns et des samouraïs. C’est le début de l’ère Meiji, une époque d’ouverture sur le monde. Un homme, armé d’un sabre à lame inversée fait son apparition : il s’agit de Kenshin Himura. Cet homme mystérieux connu autrefois sous le nom Battossaï Himura fut l’un des principaux acteurs de cette nouvelle ère de part sa fonction d’assassin. A la fin de la guerre, il décida de ne plus tuer et de vivre tranquillement le reste de sa vie comme vagabond. Ces pérégrinations l’amèneront à Tokyo où il fera la connaissance de Kaoru Kamiya, maître de l’école de l’esprit vivant Kamiya, de Yahoko Miyôjin, ancien voleur et nouveau disciple de Kaoru, qui l’aideront à stopper son errance. Mais la vie n’est pas tendre avec notre « preux chevalier » et son passé tumultueux va ressurgir pour lui en faire voir de toutes les couleurs. Il s’agit de la lutte d’un homme qui pour conserver ses convictions et protéger ses amis doit faire face à un passé qui le rattrape au galop (l’homme face à son destin). Voilà en gros ce qu’est Kenshin le vagabond (la bd). Il existe 4 OAV qui retracent la vie de Battossaï Himura avant l’ère Meiji. On y apprend comment il est devenu l’héritier de l’école de Hiten Mitsurugi, pourquoi il est devenu un assassin et surtout comment il en est arrivé à porter un sabre à lame inversée. Ces OAV sont vraiment sublimes, magnifiques, sensationnelles (enfin c’est une opinion personnelle). Une série animée est sortie sur notre vagabond préféré qui suit les évolutions de la version papier. Ne les ayant pas (encore) vu, je ne peux vous donner mon avis. Je me fierai cependant à l’auteur (Nobuhiro Watsuki) qui en donne une très bonne critique. 6 Kenshin Ce terme, inventé par le caricaturiste Katsushika Hokusai (1760-1849) signifie littéralement “image dérisoire“. Les “manga“ de Hokusai étaient des estampes montrant des personnages populaires de cette époque sous des traits comiques. (extrait du dossier Manga du site www.glenat.com) Le Manga aujourd’hui Manga est utilisé pour le support papier et japanime ou anime ou animé pour le support vidéo. Que signifie OAV? Original Animation Video, des animes prévus pour sortir directement en k7 ou dvd, alors que les séries tv sont produites pour la tv et les films pour le ciné... Petit plus Si par contre vous n’étiez pas intéressé par les mangas mais plutôt par le Club Dorothée et particulièrement Dorothée, consultez le site suivant : http://www.cheredorothee.fr.fm Vous aurez pleins d’infos et de photos de votre star et de toute son équipe et même des e-cartes... Vous verrez ça vous rendra nostalgique... Kenshin le Vagabond semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU La loi de Murphy (ou loi de l’emmerdement maximum) Peu de personnes connaissent cette loi et pourtant je peux affirmer que chacun d’entre nous y est confronté quotidiennement. La loi de Murphy est une vision pessimiste du monde qui nous entoure, mais ce monde n’est-il pas fait dans un seul est unique but : tout faire pour que la vie soit la plus pénible possible ? Je sens déjà que les lecteurs les plus pessimistes d’entre vous brûlent d’en savoir plus sur cette loi qui régit l’univers, alors c’est parti !! C’est pas moi, c’est Murphy... Capitaine de l’US Air Force, Edward A. Murphy est un des premiers à se rendre compte vers 1949 du principe suivant : «Si quelque chose est susceptible de mal tourner, alors cette chose tournera nécessairement mal» (en VO : «If anything can go wrong, it will») Il s’agit là d’une loi empirique que personne ne saurait remettre en question. C’est en quelque sorte un axiome que nous pose la vie et personne n’y peut rien... c’est comme ça !! Énoncés de la loi de Murphy L’étincelle qui illumine votre regard de lecteur avide trahit votre désir d’en savoir plus !! Voici donc quelques énoncés du principe de l’emmerdement maximum. Je rappelle que les énoncés suivants font office de loi universelle et je crois que beaucoup parmi vous pourront les vérifier. - Rien n’est aussi simple qu’il y parait - S’il existe plusieurs façons pour les choses de mal se passer, celles qui vont arriver sont aussi celles qui causeront le plus de dégâts (C’est au pire moment que les choses tourneront mal) - S’il est impossible à une chose de mal tourner, alors cette chose tournera mal quand même - Si vous avez décelé trois façons possibles pour les évènements de mal tourner, et si vous les avez circonvenues, alors une quatrième (pire encore) apparaîtra spontanément et se déroulera - Laissées à elles-mêmes, les choses ont tendance à aller de mal en pis - Si tout semble manifestement bien se passer, c’est que quelque chose vous a échappé - Chaque solution apporte de nouveaux problèmes Applications de la loi de Murphy Bon alors voyons comment tous ces principes empestent notre vie quotidienne. Arrêtons nous sur la loi dite «de la tartine» : «Toute tartine beurrée livrée à elle-même tombera du côté beurré» N’oublions pas que la loi de Murphy prévoit que cette tartine tombera forcément !! En voici une variante : «Une tartine beurrée qui tombe sur le côté non beurré rebondira autant de fois qu’il faut pour trouver son point d’équilibre : côté beurré contre la moquette» Lorsqu’on est soumis à la loi de Murphy, on peut toujours tenter d’y échapper. Par exemple, un sandwich beurré ne peut vraisemblablement pas tomber côté beurré... dans ce cas, ce sera dans une bouse de vache !! De la loi de la tartine découle la loi suivante : «La probabilité qu’une tartine beurrée tombe sur un tapis est proportionnelle à la valeur de ce dernier» De même : «Si par chance vous arrivez à rattraper une tartine qui tombe, ce sera du côté beurré» Soit E un ensemble contenant toutes les bonnes solutions et une seule mauvaise solution. Soit M l’évènement : «La mauvaise solution est réalisée». On a alors : p(M) = 1 Jouons avec Murphy Une loi stipule qu’un chat retombera toujours sur ses pattes. Bien sûr, une récente publicité pour une société de crédit tend à démontrer le contraire. Je peux pourtant affirmer qu’un chat tombera toujours sur ses pattes, même s’il est lâché du haut de la tour Montparnasse et que cette chute lui coûte la vie (ben oui quand même !!). Voici donc une petite expérience que vous pouvez réaliser chez vous, à la maison : Prenez un chat et nouez lui une tartine beurrée sur le dos. Lâchez alors le chat de vos bras. Le phénomène auquel vous assisterez est des plus surprenants : le chat ne peut en aucun cas tomber sur le dos et la tartine ne saurait tomber que de son côté beurré. La nature est piégée et dans la stricte application de ces lois, le chat ne tombe pas !! On aboutit à une situation d’équilibre qu’on baptisera l’antigravité. Il est d’ailleurs amusant de voir que certaines compagnies aériennes ont dores et déjà choisi d’équiper leurs avions de chats et de tartines beurrées à des fins purement économiques. Notons également que l’on peut agir sur l’équilibre du complexe tartine-chat en ôtant un peu de beurre de la tartine, ou un peu de pattes au chat (attention toutefois à ne pas priver le chat de ses 4 pattes). Conclusion Voilà, si vous souhaitez connaître toujours plus de lois de Murphy, visitez le site suivant : http://dmawww.epfl.ch/roso.mosaic/dm/ murphy.html En conclusion, si une tartine tombe du côté non beurré, c’est que vous avez beurré le mauvais côté !! -=[de$pe]=- Formalisation de la loi de Murphy -> Formalisation mathématique : -> Logique formelle : «Quelque chose peut mal tourner» admet pour conséquence logique «Cette chose tournera mal». «Il pleut après que vous ayez lavé votre voiture» est une tautologie. -> Formalisation selon Microsoft : «Ce logiciel a effectué une opération non conforme». -> Algorithme de la loi de Murphy en Java : package laws; public class MurphyLaw extends Object { public MurphyLaw() { throw new Error(); } } 7 INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003 Gros plan sur... Christophe Porteneuve Vendredi 24 janvier 2003. Il est 18h. Après une semaine parsemée de cette douzaine de partiels génialissimes, la fatigue commençait « vaguement » à nous envahir… Mais, nous avons franchi les barrières de la résistance physique pour réaliser cette interview… Cependant, il est nécessaire de préciser que nous sommes des journalistes* : a) à l’arrach’ ou b) à l’ancienne… Et oui, pendant les inters, on prend des notes… d’où les quelques incidents qui se sont produits lors de la retranscription ! A vous de juger. * rayer la mention inutile Christople Porteneuve pose devant nos objectifs Quelle est ta formation ? Christophe PORTENEUVE : Ma formation, c’est l’EPITA. Je suis de la promo 2000, spécialisation SIGL (Systèmes d’Information et Génie Logiciel). Quel genre d’étudiant étais-tu ? Pas là ! (rires). En fait, j’ai travaillé dès ma SUP. Je faisais en sorte d’être là deux semaines avant les partiels quoi ! En plus de ça, je voyageais beaucoup soit en France soit à l’étranger avec mon travail. Pendant, ma spécialisation (ING2-3), je bossais 5 à 6 jours par semaine. J’allais à EPITA une fois par semaine (parce j’étais bien obligé !), en costard, pour les soutenances. (Il n’y allait pas pour les notes, mais pour se montrer. Il cherchait à résoudre cette problématique : « Comment exister auprès de tout le monde, tout en étant jamais physiquement présent ? », témoignage anonyme). Quel métier as-tu exercé avant de travailler à l’INSIA ? J’ai travaillé 4 ans et demi pour une entreprise qui s’appelle COGISOFT. J’ai démarré « trouffion » et j’ai fini Ingénieur Recherche et Développement. J’ai été formateur, j’ai fait de l’audit aussi… Je suis 8 certifié BORLAND. J’ai travaillé chez BORLAND, aux Etats-Unis. J’ai fait mon stage chez eux pendant 3 mois et demi en fin de deuxième année. Ils voulaient que je reste ! Y avait le super salaire , la Z3 qui m’attendait en bas… Mais, ça ne me disait rien. Et même maintenant, je n’accepterais pas. Avec Guy WIRIATH (le célèbre BILOUF, ndlr), on a monté FREESBEE en trois semaines quand j’étais en ING2. Je ne connaissais pas JAVA, j’ai appris sur le tas… Puis, toujours avec Guy, qui était l’actionnaire majoritaire, on a monté le POSSE42 (www.posse42.net, « Le potager du web », ndlr). Une chouette aventure qui a duré un an et demi. LUNAR (ce personnage hors du commun prochainement dans ces pages, ndlr) y était stagiaire. Il y avait aussi Eve (La tomate ingénieuse, ndlr), qui va d’ailleurs bientôt arriver… Puis, pendant un an, j’ai travaillé en indépendant. Et, enfin, j’ai commencé à travailler pour l’INSIA. Qu’attendais-tu du métier d’ingénieur ? L’aspect recherche pour les clients, c’est ce qui m’intéressait. Pendant sept ans, j’ai fait de la R&D (Recherche et Développement). Et puis, le côté formation, l’enseignement, ça j’adore aussi. A la Bulle, on fait aussi de la Recherche et Développement. Dès le début, ça a été la R&D et la Formation. Ce sont les deux trucs qui me bottent vraiment. Quelles sont tes responsabilités à l’INSIA ? J’étais encore l’homme à tout faire de l’INSIA, il n’y a pas si longtemps (rires). Je suis chargé d’enseignement et des TP correspondants à mes cours : JAVA, XML, Développement Web, DELPHI. Je fais aussi des corrections des piscines C (ce qui n’était pas de ma responsabilité), les moulinettes pour la piscine JAVA… Je suis également chef de projet sur l’un des gros projets de l’INSIA pour la FEDE (fédérations d’écoles au niveau européen) : « Les QCM en ligne ». Ils permettront de faire des statistiques précises et pourront faire office de contrôle continu par la suite. C’est en projet… Ce que tu aimes à l’INSIA ? Il y a tout à faire. On est là pour poser des piliers particulièrement solides, pour aller vers quelque chose de top et accompagner, dès son origine, l’école dans son développement. Ce que j’aime aussi, c’est le triumvirat qu’on forme Emmanuel, Adrien et moi, on touche un peu à tout. C’est l’occasion de fouiller dans d’autres domaines d’expertise que les nôtres. Je prends vraiment mon pied à enseigner ! (rires). J’adore parler en public. Vous me mettez devant un amphi de 500 personnes, c’est bien, mais si y en a 1000, je m’éclate vraiment ! Y’a vraiment des cours super avec des gens qui ont du répondant, il y a vraiment un échange dynamique, c’est génial… Ce que tu apprécies moins à l’INSIA ? L’anti-organisation chronique (il regarde le bureau derrière moi), c’est un défi permanent, c’est épuisant… Pourquoi aimes-tu le système des piscines et des news ? J’ai été élevé comme ça à EPITA. La piscine a beaucoup d’avantages. Je sais que c’est difficile mais c’est un plus car toutes les autres écoles ne le font pas, sauf EPITA et les étudiants qui sortent de l’EPITA sont cent fois meilleurs que les autres. Moi j’adore ça parce que ça crée un esprit de communauté dans la douleur. (rires). La piscine permet aux personnes de s’épanouir, de se réaliser plus tôt. Prenez DAVUX, c’était un petit étudiant tout tranquille de DEUG MIAS, et voyez maintenant ! Il s’est révélé. Il y a un vrai esprit de camaraderie, de délires, etc. En plus, ça force les gens à se surpasser (c’est douloureux, je sais), à rechercher, à fouiller, à structurer… Après tout, dans semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU ingénieur, il y a ingénieux. La piscine sert aussi à gérer le stress. On vous donne des horaires de remise de votre travail… Les news, c’est dans le même esprit que les piscines. C’est dans cet esprit qu’il y a un newsgroup insia.delires. Quel avenir vois-tu pour l’INSIA ? Pour les étudiants ? On verra dans deux mois. Le seul problème de l’école : c’est l’argent. On a lancé plusieurs paris en même temps : un vrai parc informatique, un BDE avec un budget propre, les frais de scolarité en plusieurs fois pour les étudiants… Ce problème d’argent dépend du placement des étudiants en entreprise. Si tout le monde est placé, alors il n’y aura pas de problème… Moi c’est clair, je me vois à l’INSIA pendant quelques années encore... Je partirai de l’INSIA un de ces jours mais je ne sais pas quand. Et certainement pour monter une boîte... Que voudrais-tu dire aux étudiants de l’INSIA ? Quel message voudrais-tu faire passer ? Ce n’est qu’une histoire de motivation. Un étudiant motivé arrivera toujours à se débrouiller. Les gens motivés, on les remarque : c’est ceux qui posent des questions, qui postent, qui passent à la Bulle… On remarque aussi les gens qui répondent aux questions dans les news avant qu’on y réponde, c’est pas toujours LUNAR ou DAVUX... Il faut aussi savoir la personnalité que tu veux avoir, savoir si l’INSIA correspond à ce que tu veux faire… Mais surtout, surtout, bossez votre anglais. Regardez des films en VO, lisez… L’anglais est super important dans le domaine. (On ne vous mentira pas, il nous a raconté pas mal de choses, mais ça a été tellement vite qu’on n’a pas eu le temps de tout noter !!! On manque de matos... Cependant, nous avons livré l’essentiel des propos de Christophe.) Kitty, ~|MadiKeRaStyLe|~, MDIS, Villena Petites questions à Christophe (extraits de questionnaires) : Préférez-vous les petites filles ou les petits garçons ? Les petits garçons… (Ceci expliquerait-il cela ?) Vous avez combien sur vous ? Euh... Pas grand chose, environ 60 €. (Euh…) Ce qu’il faut savoir sur Christophe… Christophe a un frère jumeau nommé François… Mais, ils n’ont pas vraiment la même tête, alors les filles, un peu de calme… (Pour celles qui se voyaient déjà en train de ****<censuré>**** dans une certaine cage d’une certaine boîte…) Ses deux années de Prépas à EPITA ont été gratuites (y a du BILOUF dans le coup…). C’est ça quand on est brillant… Les phrases-type de Christophe… « On voit des goritudes pas possibles ! », phrase culte. « Il faut que ton programme soit predictable si tu veux que ton code soit compliant », Christophe en VO non sous-titré… « J’ai des milliers de choses à faire. J’ai déjà 60 heures de cours par semaine… », pleure pas Christophe, on est déjà tous au courant… « C’est bien parce que je suis poli que je soulève pas mon majeur. », Christophe, toujours poli. Quel blagueur ce Christophe alors ! ;-)) Il aime bien être remarqué et nous faire remarquer qu’on l’a remarqué tout en remarquant qu’on aurait dû le remarquer... Enfin, c’est une simple remarque. Il est fier de ce qu’il est et de ce qu’il fait. (et c’est compréhensible). Nous avons demandé l’avis d’un professionnel du Christophisme ou Tddisme (c’est la même doctrine)… En une phrase, il nous a résumé toute la pensée de ce mouvement : ****<censuré>**** Pour finir, allez faire un tour sur ses pages perso : http://magix-team.org/perso/tdd/fr Conférence Jeudi 23 janvier 2003 de 19h30 à 21h a eu lieu la conférence sur les Biotechnologies à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (Paris 6e, Métro: St Germain des Prés). Présentée par le Professeur : Daniel SCHERMAN Maître de recherche au CNRS Directeur de recherche chez Aventis / Rhône Poulenc Chargé de conférences à l’école Polytechnique. Présents Mme Osinski (chargée d’organiser les conférences) et M. Hennou Les biotechnologies sont des sciences modernes touchant à d’autres sciences comme l’informatique, les mathématiques, l’électronique... en quelque sorte les sciences de l’ingénieur d’où le but de cette conférence. L’explication de l’historique des médicaments nous a amené à la biotechnologie. Une présentation des acteurs, cibles et objets des médicaments et de la biotechnologie fut ensuite développée. Des exemples ont été exposés allant du maïs transgénique au clonage, passant par des greffes de cellules embryonnaires, des poisons et sans oublier les produits naturels. Cette conférence s’acheva par une conclusion sur l’importance du marché des médicaments actuellement au niveau mondial et dans le futur : ce marché ne cesse de croître et atteint aujourd’hui 22 milliards de dollars. Autres conférences : vendredi 21 mars 2003 de 19h30 à 21h, «Les dépendances» vendredi 4 avril 2003 de 19h30 à 21h, «L’art» (sujet à confirmer) Kitty 9 INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003 Informatique Optimisation du code source C Optimiser du code source, c’est avant tout faire en sorte que le code compilé s’exécute plus rapidement. En fait, on se fiche complètement de la taille du code lui même (adieu les 25 lignes maximum) !! Sachez cependant que les optimisations que vous trouverez ci-après sont pour la plupart obsolètes car déjà prises en compte par les compilateurs récents. Incrémentation La façon la plus courante d’incrémenter un compteur de boucle reste «a++». Il s’agit d’une post-incrémentation, c’est-àdire que la valeur de a est d’abord évaluée (stockée en mémoire) puis incrémentée. Voyons ce que serait «a++» sous la forme de code : temp = a; a += 1; return temp; Voyons à présent comment fonctionne la pré-incrémentation (++a) : a += 1; return a; On économise donc une copie mémoire. Bon d’accord, c’est pas énorme, mais pensez à ce que ça pourrait donner sur une boucle qui s’exécute 1 million de fois !! La ligne : for (i = 0; i <= 999999; i++) // cas (1) est synonyme de : for (i = 0; i <= 999999; ++i) // cas (2) Ceux qui prétendent que ‘i’ commence à 1 dans le cas (2) et à 0 dans le cas (1) n’ont rien compris au principe même de la boucle for. En effet, la troisième partie du for est une instruction qui s’exécute à la fin de chaque passage dans la boucle. Boucles Ceux qui connaissent un peu l’assembleur x86 connaissent l’instruction LOOP. La plupart des processeurs possèdent une instruction de très bas niveau qui leur permettent de décrémenter un registre jusqu’à obtenir une valeur nulle. Pour l’instruction LOOP, CX est décrémenté et on revient en début de boucle si CX 10 est non nul. On peut donc optimiser le bout de code suivant : for (i = 0; i < tab_size; ++i) { sum += tab[i]; } Ce qui donne : for (i = tab_size - 1; i; --i) { sum += tab[i]; } Voilà ! On n’est même plus obligé de comparer i avec tab_size à chaque itération. Vous l’aurez compris, cette optimisation n’est possible que dans le cas où l’ordre du parcours de tab peut se faire en partant de la fin (c’est parfait pour sommer tous les éléments par exemple). Arguments L’optimisation des arguments passés à une fonction peut se faire en qualité et en quantité. Tout d’abord, la quantité : imaginez une fonction qui nécessite le passage de 8 entiers. Le nombre de registres de la machine s’avérant insuffisant, elle va commencer à empiler les arguments dans la fameuse pile. Résultat : une perte de temps à empiler et dépiler !! Plutôt que : int my_func(int a, int b, int c, int d, int e, int f, int g, int h) { return (a + b + c + d + e + f + g + h); } On préfère (oui je sais, c’est plus long à écrire) : struct my_struct { int a; int b; // ... int g; int h; } int my_func(my_struct & s) { return (s.a + s.b + s.c + s.d + s.e + s.f + s.g + s.h); } Voilà qui nous amène au problème du passage des types complexes dans les fonctions. Dans le cas précédent, la structure est passée par référence. Dans le cas d’un passage par valeur, le contenu de l’argument est complètement recopié pour être ensuite manipulé (perte de temps en copie). Il est donc préférable de passer un argument par référence, auquel cas seule son adresse est transmise à la fonction. Sous-expressions Économisez au maximum le nombre de calculs !! Regardez l’exemple qui suit : a = (2 * (b - c)) / ((c - (4 * (b - c))) % (2 * (b - c))); On remarque que l’expression 2 * (b - c) figure trois fois dans l’expression ci-dessus. Il faut donc écrire : exp = 2 * (b - c); a = exp / ((c - (2 * exp)) % exp); Ainsi, exp n’est calculée qu’une fois. Entiers non signés Vous le savez sans doute, il est très facile de multiplier un nombre en base 2 par une puissance de 2. Il en va de même pour la division. Ainsi, une multiplication par 4 réside en un décalage des bits de 2 rangs vers la gauche : quoi de plus rapide pour une machine ? Il est donc préférable d’écrire : b << 2 Plutôt que : 4*b Dans les cas où l’on veut multiplier b par un nombre qui n’est pas puissance de 2, il suffit de réfléchir un tout petit peu en cherchant une puissance de 2 proche : «b * 5» est équivalent à «b << 2 + b». De même, étant donné que : b*3=b+b+b On aura : b * 253 égal à : (x << 8) - (x + x + x) -=[de$pe]=- L’expression des 3 derniers mois « Comment avertir l’utilisateur qui s’en tape le coquillage avec des pelles à gâteau géantes…», Emmanuel LE CHEVOIR Musique Peut-être ne connaissez-vous pas les N’Sync (un boys band US qui avait survécu) ? C’est sans importance de toute façon... Voici venu, pour l’heure, mon pote Justin Timberlake !!! Une vraie balle atomique ! Justin Timberlake se fait un nom parmi les plus grands de la R&B US, depuis quelques mois. On le sentait déjà venir lors du featuring* avec le rappeur US, Nelly. Après ses différentes conquêtes, Britney Spears (euh...?), Janet Jackson ou encore Alyssa Milano..., inutile de vous dire que ce jeune américain (il n’a que 21 ans) emporte tout sur son passage. En fait, il est tout bonnement passé de la Pop à 2 balles à de la R&B parsemée d’un soupçon de pop (il ne renie pas ses origines). Avec la participation des meilleurs du moment, The Neptunes, Timbaland, Puff Daddy rebaptisé P. Diddy ou encore Brian McKnight et ma copine Janet Jackson of course, Justin nous offre un album de qualité aux sonorités toutes neptuniennes. Mes préférées sont incontestablement, (Oh No) What You Got (on dirait du zouk), Señorita (qui n’a absolument rien de latino), Cry Me A River (il y a une petite histoire sur le clip que je vous conterai la prochaine fois) et Like I Love You (le clip est une merveille…). A écouter, à voir… Justin Timberlake, Justified sorti en novembre 2002. http://www.justintimberlake.com ~| MadiKeRaStyLe |~ N’Sync featuring Nelly, Girlfriend – ça s’écoute mais sans plus... * Team Nowhere reprezenta !!!! Est un nouvel album au sein du collectif Nowhere (Pleymo, Enhancer, Wunjo, Noisy Fate et Aqme). Sombres efforts, le second album d’Aqme, est un vrai délice. A la fois calme et bougeant, on retrouve avec joie la voix plutôt spéciale de Koma, le chanteur au costard, et le gros son qui fait d’Aqme un groupe d’exception. Ça commence très fort avec Superstar, la chanson phare de l’album, qui annonce tout de suite la couleur. Bref, un album excellent d’un groupe qui devient, dès lors, un élément majeur de la scène rock française. Sorties ciné semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU Pour la semaine du 5 février, les sorties-ciné sont : Dans le genre comique mais de styles différents : on a La Beuze, Mariage à la Grecque ou encore 18 ans après. Beaucoup de dessins-animés avec Le livre de la Jungle 2, Hugo et Balto... Et enfin, le film qui s’impose cette semaine est Le Cercle, dans le genre fantastique. Résumé : Après la mort de quatre adolescents et celle de sa nièce, une semaine après avoir visionnés une cassette sans étiquette, Rachel Keller, journaliste, décide de mener l’enquête. Elle se procure alors cette fameuse cassette et la regarde. En recevant un coup de téléphone, elle découvre qu’il ne lui reste plus que sept jours à vivre... Quand on voit l’affiche de loin de ce nouveau film, on se demande ce que c’est. Et dès qu’on s’approche, on découvre que c’est juste la version américaine de Ringu ou Ring, le film culte japonais de Hideo Nakata sorti en 1998. Et là, on se dit que les américains ne savent plus quoi inventer ! Dès que les producteurs (DreamWorks) ont vu le film, ils ont voulu en faire un remake. Ils ont donné les moyens et le réalisateur, qui a fait entre autre The Mexican, avec Brad Pitt(rien à voir avec le cinéma fantastique), n’avait plus qu’à reprendre la même histoire : ils ne se sont pas beaucoup fouler quoi... Le succès du film est assuré puisqu’il bénéficie de celui de l’original. Ce qui est vérifié : le film américain a battu l’original même au Japon... Et quand on pense qu’il y a Ring 2, on se dit qu’on y aura droit ! Alors pour résumer, on prend une grosse maison de prod américaine, un réalisateur sans expérience dans le fantastique, une histoire de légende urbaine écrite par Koji Suzuki, le Stephen King japonais. On secoue le tout et on a Le Cercle. Conseil : regardez Ring et Ring 2. Passons à la suite des événements... Pour la semaine du 12 Février : - Amour tout court (9 courts-métrages) - Petites coupures - Le film de Spielberg, le plus attendu : Arrête-moi si tu peux, où Leonardo Di Caprio joue le rôle d’un mineur qui se fait passer pour un docteur, avocat ou encore un pilote et escroque tout le monde. Il est recherché pendant tout le film par Tom Hanks, un flic. - Othello 2003, c’est l’histoire de Shakespeare mais transposée en 2003 dans le monde du basket d’un lycée US. - L’homme qui en savait trop, le film de Hitchcock de 1956. Un couple assiste à un meurtre et leur fils est enlevé aussitôt. Un film à voir. Voilà, pour les sorties-ciné... Bon film. MDIS Untouchables Korn revient avec ce 5ème album, et certainement le meilleur. On retrouve à la fois la puissance et le gros son du premier album, et le style de Issues. Certes, pour les fans de la première heure déjà déçus par Issues (qui était pourtant lui aussi excellent), cet album n’est pas un retour aux sources, mais plutôt une évolution du groupe. Les chansons sont excellentes et très travaillées, et la voix de Jonathan Davis a, elle aussi, beaucoup évolué. De plus, les clips de l’album sont encore une fois très bien réalisés. On retrouve d’ailleurs sur le CD le clip de Here to stay, la première chanson de l’album, et certainement la plus intense. On peut aussi noter la sortie d’un nouveau DVD officiel, sur lequel on retrouve la première vidéo du groupe, ainsi qu’une nouvelle vidéo, relative aux albums Follow the leader et Issues. Il comporte aussi d’autres morceaux de vidéo, accessible via le menu du DVD, qui n’est pas très pratique… En fait, on navigue dans un bâtiment, et chaque vidéo se trouve dans un endroit spécifique…. Pour retrouver une vidéo précise, c’est un peu galère, mais le résultat en vaut la peine ! ^ZZ_eb^ Hommage Je voudrais simplement rendre un hommage à l’une de nos plus belles voix de la musique antillaise, Edith LEFEL, disparue si subitement le 20 janvier 2003. ~|MadiKeRaStyLe|~ 11 INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003 Sorties Les sorties s’inscrivent pleinement dans le cursus de l’étudiant ingénieur. Elles devraient d’ailleurs être incluses dans le programme avec un partiel d’une semaine à coefficient 70 !! C’est pas une bonne idée ça ??!! Plus sérieusement, je vais vous parler tout au long de l’année de bars, de pubs, de restaurants, de boîtes, et plein d’autres choses (je ne sais pas encore quoi mais ça va venir) à découvrir ou à éviter... Et oui, je me dévoue pour vous ! Je vais sacrifier tous mes week-ends à sortir pour vous dénicher des lieux sympas et quelques bons plans sur Paris !! ;-)) Je commence tout de suite avec ma première sortie en tant que reporter de terrain. Vendredi soir. Minuit. Bastille. Après quelques délibérations, nous (mes cop et moi) avons opté pour le Sixty Six Café. Ouais. Que dire d’autre ? Beaucoup de choses. Je ne vous parlerais du Sixty Six qu’en tant que pub mais c’est aussi un restaurant. C’est un lieu qui nous emmène sur la Route 66 : le décor feutré, les murs sobres et subtilement rehaussés de portraits, de photos de la célèbre route... Le doux rouge du lieu nous enveloppe dans une ambiance des plus intimes, les lampadaires façon bars de route américains... Tout y est. En plus, la musique y est variée : Rn’B, Dance, Disco, Variétés,... Il y en donc pour tous les goûts ! Quelques précisions peut-être : Conso de 4 à 9 € Cocktails hard : 8,50 € Cocktails soft : 6,80 € Jus de fruits exotiques De «sympathiques» serveuses... Tenue convenable : no jogging Pas de réseau SFR et Bouygues A déguster : SEX ON THE BEACH, cocktail alcoolisé acidulé A 1h55, Une cloche sonne le glas du départ des Sixty Sixers !! Ce bar est idéal pour un pot entre amis, avant de décoller en boîte ou autre lieu plus mouvementé. Le Sixty Six Café 8 rue de Lappe 75011 Paris Ouvert de 18h à 2h - 7jours/7 Métro : Bastille ~|MadiKeRaStyLe|~ La Rédaction Chroniqueurs : DaviD -=[de$pe]=Kenshin Oswalk ^ZZ_eb^ Chroniqueuses et rédactrices en chef : Kitty MDIS ~|MadiKeRaStyLe|~ Villena Fiche pratique Slrn : lire, poster et répondre Pour lire : - Les flèches - entrée : pour entrer dans un groupe - Réitérer la démarche pour accéder aux messages - Pour lire le message : o barre d’espace o touche entrée - Pour quitter le newsgroup : q Pour poster : - Si vous êtes dans un newsgroup : q - Tapez p puis y - Nom du groupe (sauf admin.admin) puis entrée 12 - - Sujet du post puis entrée Editeur vi : o i (insert) o echap-:x : enregistre puis quitte Confirmer le post : y Sortir du newsgroup pour lire le message posté Pour répondre : - Taper f - Pointer sur le message auquel on veut répondre Consulter l’aide : taper ? Caricaturiste : L’ouzbeck Mise en page : Kitty Editeur : INSIA Pour réagir à nos articles, nous écrire tout simplement, écrire un article ou répondre dans une rubrique coup de gueule, Ecrire dans les news : insia.assos.journal ou bien envoyez-les directement à l’un des e-mails suivants : [email protected] [email protected] [email protected] [email protected]