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insiactu1
Edito
INSIACTU
édition n°1 - semaine du 3 février 2003
Sommaire
Eh oui, le voici, le voilà... C’est bien le journal officiel de l’INSIA. Il
était temps !
Après quelques difficultés, un zeste de fantaisies et d’audace, des
chroniqueurs sensas, voici la première édition de l’INSIACTU (ce nom
n’est pas définitif...).
C’est un bimensuel... Pourquoi une fréquence d’édition aussi curieuse ?
Ben, euh..., faites des calculs, vous comprendrez !
L’INSIACTU est destiné à entretenir la communication entre les
étudiants et l’admin, mais aussi entre les étudiants entre eux, choses qui
n’existent pas toujours...
Il vous permettra d’avoir des infos utiles (administratives, BDE,
sorties...), passer vos coups de gueule (on sait qu’il y en a beaucoup),
donner votre avis sur un sujet, vos annonces, etc...
Vous trouverez dans ce premier numéro des photos du séjour au ski, des
infos générales, mais aussi des interviews... Ainsi, vous pourrez en savoir
plus sur deux de nos fabuleux profs à savoir Christophe et Michaël : leur
talent caché (un champion de cross!!!), leurs particularités et ceux qu’ils
pensent de l’INSIA et plein d’autres choses.
Nous comptons bien-sûr sur votre participation pour faire vivre ce
journal. Déjà, en le lisant, puis, en donnant votre avis, en écrivant des
articles... Venez nous voir, on ne mord pas !
Nous espérons tous que ce premier numéro sera suivi de beaucoup
d’autres.
En attendant la sortie prochaine d’un nouveau numéro, nous vous
souhaitons une (très) agréable lecture.
Agenda
1
Voyage au ski
2
Finance
2
L’art de poster
3
Un cours avec
Pascal Biardeaud
3
La réflexion du jour
3
Gros plan sur...
Michaël Thomas
4
Nouvel an chinois
5
Manga
6
Loi de Murphy
7
Gros plan sur...
Christophe Porteneuve
8
Conférence
9
Musique
11
La Rédaction.
Cinéma
11
Sorties
12
Informatique
10
Expression des 3 derniers mois
10
Fiche pratique
Agenda
12
Evénements organisés par le
BDE INSIA :
9 Février 2003 : Paintball en Indoor à
côté de Cergy Pontoise pour 20 €
(28€ pour les personnes extérieures)
Courant Février : Election du nouveau
BDE.
Voyage au ski à Valmeunier
La date exacte sera communiquée après
avoir pris connaissance du planning définitif du mois de février.
INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003
Voyage au ski
Bon les amis, on m’a demandé de vous parler de la semaine du ski. On a passé une
bonne petite semaine de vacances (avec beaucoup, beaucoup de neige). C’était un mélange de sports (ski, surf, bataille de boules de neige, luge), de sieste, de levée de coude
et de danse (voir les photos). Il y avait une bonne ambiance et on s’est bien éclaté (il
aurait fallu y être). On a notamment pu découvrir le torse (velu ???) de certains individus bien connus, on a vu s’éclater notre cher directeur sur la dancefloor et des gamelles
que l’on aurait même pas imaginées en rêve. Seule touche négative : le « resto » où l’on
est resté sur notre faim.
Il m’est impossible de vous résumer cette semaine en une dizaine de lignes car :
1)
Il y en a beaucoup trop à dire.
2)
Je n’étais pas partout et donc j’ai manqué des choses.
3)
Et pourquoi il y aurait-il un 3) d’abord ?!
Si vous avez envie de détails croustillants ou d’informations plus précises, je vous
invite à allez voir les chanceux qui sont partis s’éclater sur les pistes.
Kenshin
Lunar!!!
Finance
La rubrique finance et économique
va commencer par vous informer sur les
avantages d’investir en bourse. Attention,
ceci doit toujours s’opérer avec prudence.
Combien de financiers de profession se
sont ruinés à cause d’imprévu ou simplement parce qu’ils n’avaient pas assez de
recul face aux événements économiques.
Quoiqu’il en soit, aujourd’hui, je vais
tenter de vous expliquer qu’il vous faut
ouvrir un compte titre PEA (Plan Epargne
en Actions) le plus tôt possible.
En effet, un compte titre PEA est une
bonne manière de faire fructifier votre
argent.
Un compte PEA est composé de deux
comptes :
- un compte espèce PEA : c’est
un compte espèce dédié au compte PEA.
Votre argent va se trouver sur ce compte
avant l’achat ou après la vente d’une action.
- un compte titre PEA : une fois
que vous avez acheté des actions vous
pourrez constater leur valorisation dans
cet espace.
Un compte PEA sert à acheter ou
vendre des actions, le plus souvent des
actions françaises, au cours du marché.
L’ouverture d’un compte PEA ne
2
Ouaaahhhh mais à qui est ce... torse???
Lunar (encore) en délire
Christophe dans LA fameuse cage
coûte rien, en général.
Il faut le garder 5 ans sans jamais
retirer d’argent, investi ou non investi. Il
faut savoir que cette durée permet d’être
défiscalisé sur les bénéfices que vous avez
pu réaliser.
Après cette période de 5 ans, vous
pouvez retirer vos premiers bénéfices.
Par contre, vous devrez quand même
payer une taxe … en fait deux taxes, la
CSG et le RDS qui sont calculés selon un
pourcentage des bénéfices.
Une fois que vous avez commencé à
retirer de l’argent du compte espèce PEA,
vous ne pourrez plus rajouter de l’argent
pour réinvestir.
Le mieux, c’est de conserver votre
PEA pendant huit ans, car au bout de
huit ans, vous serez défiscalisé et détaxé,
100% des bénéfices seront pour vous.
Ce qu’il faut savoir ;
- il y a des frais de gestion annuels pour un compte titre PEA, ils peuvent varier beaucoup d’une banque à une
autre.
- vous n’êtes pas obligé d’acheter des actions tout de suite afin de ne pas
payer les frais de gestion par exemple.
- un ordre coûte de l’argent,
c’est-à-dire si vous achetez une action
ou si vous vendez une action ceci vous
sera facturé et cela peut être très variable
d’une banque à une autre.
- si vous faites des gros ordres,
alors il vaut mieux aller chez un broker,
les ordres et les frais de gestion vous coûteront moins chers.
- un broker offre plus de services
et vous avez le cours de la bourse en direct
sur un support Internet ou téléphonique.
- ne jamais penser que placer de
l’argent dans un PEA est un jeu.
- toujours vérifier les informations qu’un conseiller financier peut vous
donner. Les conseillers ne sont pas les
payeurs.
En conclusion, il faut ouvrir un compte PEA, c’est dans votre intérêt.
Au pire, vous n’aurez rien gagné, vous
n’aurez rien perdu.
Au mieux, en fonction de vos investissements, il peut vous rapporter de
l’argent.
Aujourd’hui, aucun plan d’épargne
ne vous rapportera plus de 6% d’intérêts
sans payer de taxes ou d’impôts sur les
plus values.
LANCEZ VOUS … !!!
DaviD
CSG - Contribution Sociale Généralisée
CRDS (ou RDS) - Contribution au Remboursement de la Dette Sociale
L’art de poster…
semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU
Il dépend de ce que vous voulez poster ! Lettre, colis… et oui la démarche n’est pas
la même.
Je pourrais vous faire l’algorithme de la classe CommentPoster() mais il y a trop de
méthodes ! C’est pourquoi je vais vous expliquer en quelques lignes comment utiliser
slrn : c’est plus simple que de poster une lettre J.
On va commencer par une petite explication rapide de ce qu’est slrn. Slrn est un
newsreader, c’est-à-dire un programme qui permet d’accéder au serveur de news pour
lire les messages venant du service des news. En gros, vous avez le serveur qui stocke
les news et slrn qui vous les présente avec une arborescence et les posts dans le bon
newsgroup.
Bon, maintenant qu’on sait ce que c’est (enfin un peu…), il faudrait peut être savoir
l’utiliser…
On va commencer doucement…
Il faut d’abord entrer dans slrn, ça je suppose que tout le monde sait le faire… pour
ceux qui ne sauraient pas vous tapez slrn dans un eterm ou xterm.
Une fois dans slrn :
Pour lire :
- Les flèches : positionner le curseur sur le newsgroup que vous voulez lire.
- Touche entrée : pour entrer dans un groupe. (parfois on nous demande combien de
news on veut lire, là c’est comme vous voulez)
- Une fois dans le newsgroup, réitérer la démarche pour accéder aux messages.
- Une fois que vous lisez le message, on se pose une question très importante : comment lire la suite du post quand il y en a une ??? je me la suis posée pendant longtemps
jusqu’à ce que j’ai l’illumination :
§
barre d’espace : défilement page par page
§
touche entrée : défilement ligne par ligne
- Pour quitter le newsgroup tapez q pour quit.
Pour poster :
- Si vous êtes dans un newsgroup, sortez (en tapant q) ! Sinon bah… rien
- Vous vous placez devant le newsgroup dans lequel vous voulez poster.
- Tapez p comme post. On demande confirmation alors vous tapez y pour yes.
- Ensuite on vous demande le newsgroup dans lequel vous voulez poster donc entrez
le nom du groupe, en évitant admin.admin (sinon…close compte) et tapez entrée.
- Ensuite vous entrez le sujet du post et tapez entrée.
- Là, vous vous retrouvez dans un éditeur de texte, si la configuration n’a pas été
changée alors vous êtes dans vi, je sais je sais… mais il faut faire avec !
- Donc vous êtes dans vi :
§
i (insert) : permet d’écrire votre texte
§
echap-:x : écrit le fichier puis quitte vi
Commandes suivies de la touche entrée.
- Une fois votre message enregistré, on vous demande si vous voulez poster, logiquement vous tapez y pour yes.
Voilà, vous avez poster une news ! Évidemment vous voulez la lire (enfin vérifier que
cela a fonctionné), il faut sortir de slrn puis rentrer pour pouvoir lire votre post.
Pour répondre :
- C’est simple, c’est comme pour poster sauf que c’est f pour followup et non un p
qu’il faut taper.
- Ah si ! Une chose différente : il faut être dans le newsgroup (et pointer sur le message auquel on veut répondre ou avoir ouvert le message). En fait c’est comme pour
les mails.
Bon voila….
Ah ! Une chose. Je sais que pour certains cet article ne sert a rien ! Et pourtant il y en a
qui ne save pas poster, hein ? Hé, ne fais pas l’ignorant(e) !! Je sais que c’est toi ! (lol).
Faut dire que ce n’est pas évident au premier coup d’œil…
Villena
Un cours avec Pascal
BIARDEAUD… (extraits)
13h. Début du cours…
« Ça fait longtemps qu’on s’est pas vu. Je
vous ai manqué, hein… »
« J’ai récupéré vos copies, il y en a un
nombre apocalyptique. J’espère que vous
n’avez pas été trop inspiré ! Quand je vois
cet amphi, je fais une dépression… »
13h07. Il nous montre un magazine.
« Ceci
n’est
pas
une
revue
pornographique… », (Atlas du Monde
diplomatique, 10 €)
13h13. Un retardataire ose se pointer
« C’est un retardataire, c’est pas beau,
c’est méchant, il va se faire fouetter.
Un petit coup de fouet, ça ne se refuse
pas ! »
13h21. Pascal BIARDEAUD nous fait
une démo de son anglais légendaire…
« George double Vi Buche », (traduisez
par George W. Bush)
13h26. Il nous redemande s’il nous a
manqué et ajoute :
« Je pensais qu’il y aurait des filles qui
feraient un strip-tease ! Je sais qu’il en a
certaines dont c’est le rêve, elles me l’ont
dit… »
13h39. Il parlait d’on ne sait quoi et tout
à coup…
« Il faudrait trouver un concept de
bar original (ce qui ne me déplairait
pas)… (…) Tiens, un bar à strip-tease
de crocodiles que j’appellerai Chez
Biardeaud ! »
Et ainsi de suite jusqu’à 14h29... Y en a eu
des tonnes…
14h30. Il regarde sa montre.
« Ben, vous n’avez pas vu l’heure ? Allez,
c’est fini ! », il nous a jeté dehors ! Nous,
on avait même pas envie de partir…
Biardeaud, le magicien…
Pascal BIARDEAUD, prof de culture
générale… oups ! mè trompé ! mille
excuses… prof d’économie.
La réflexion du jour
«Vous êtes vous déjà demandé
pourquoi Mariah Carey avait l’air
si bête ? Non ? ...
Ben nous non plus !»
3
INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003
Gros plan sur...
Michaël Thomas
Nous avons voulu en savoir un peu plus sur Michaël Thomas. Et en cherchant,
on a découvert qu’il était vice-champion par équipe de cross court en 2001 :
http://www.bretagne-online.com/telegram/htdocs/archive/2001/20010326/
SPORTS/article/art_010C080000_2498200.htm
Vice-champion du monde par équipes Michaël Thomas : l’argent et le bonheur
Il est fort !!!!!!!!
Et en plus il est prof à l’INSIA. Nous l’avons rencontré pour vous :
Quelle est ta formation ?
Michaël Thomas : Très atypique. Je
pourrais dire que je suis autodidacte.
J’allais en cours deux fois par an…J’ai
certainement été l’étudiant qui a payé le
plus cher EPITA au prorata des journées
que j’y ai passées. J’ai été viré pendant
ma SUP mais j’ai néanmoins été autorisé
à passer mes partiels, et j’ai fini major.
Conséquence de quoi, j’ai été embauché à
EPITA en tant que prof de programmation
PASCAL et DELPHI (je faisais beaucoup
de programmation à l’époque). En
parallèle, j’étais directeur de sociétés.
Comme je disais, je poursuis mes études
pendant les vacances… (rires)
Quelle a été ta spécialisation ?
SIGL - Systèmes d’Information et Génie
Logiciel. Je suis de la promo 2002.
Et pourquoi ?
(Il réfléchit). Pour une vision plus humaine
de l’informatique. Ce sont les hommes
qui contrôlent les machines et non les
machines qui contrôlent l’Homme. C’est
la différence fondamentale entre Adrien
et moi. (rires)
Qu’ est-ce que tu attendais du métier
d’ingénieur ?
Michaël Thomas pose sérieusement devant nos
objectifs
4
J’en attendais rien, j’ai rempli mes cahiers…
Quels postes as-tu occupé avant d’être
embauché a l’INSIA ?
Alors, j’ai été gérant d’une SSII à
Grenoble, pendant trois ans, avec pour
clients des grands comptes, des hôpitaux,
des marchés publics… Ensuite, j’ai
géré une holding qui avait pour filiales
une société de production et de postproduction, un laboratoire de Recherche
et Développement, des studios, une
agence de presse, une régie commerciale,
un organisme de droits d’auteur...
Et tout cela pendant combien de
temps ?
Pendant six ans.
Et ensuite ?
Pendant un an, j’ai bossé en tant que
directeur de projets pour des applications
gouvernementales,
je
travaillais
sur la problématique des signatures
électroniques, avec pour évangéliste de la
société : Patrice DUMOUCEL.
Mais au fait t’as quel âge ? Parce que
là, on ne comprend pas…
25 ans.
Pourquoi l’INSIA ?
L’approche sociale de l’INSIA est
intéressante.
L’idée
d’une
école
d’ingénieurs pour des gens qui n’en ont
pas forcément les moyens financiers m’a
plu. Je suis président d’une association
humanitaire. Si j’ai décidé de travailler
pour l’INSIA, c’est pour le défi de donner
ce que j’aurais souhaité recevoir comme
formation.
Pourquoi l’enseignement ?
C’est l’enseignement qui m’a choisi...
(rires)
Est ce que tu regrettes d’être venu à
l’INSIA?
Non, bien au contraire.
Quelles sont tes responsabilités à
l’INSIA ?
Je suis directeur du système d’information
de l’INSIA, montage de partenariats,
coordinateur pédagogique…
C’est-à-dire ?
Je fais les programmes avec Clément
AGHANAHI. Je suis aussi directeur de
projets, un peu de marketing (il a réalisé
la plaquette pour les entreprises, ndlr).
Et tu fais quoi en dehors de l’INSIA ?
Ce que je peux en dire… (Il réfléchit).
Comme je vous l’ai dit, je suis président
d’une association humanitaire. Elle va à
la rencontre des marginaux (artistes, SDF,
…) et les mène à s’engager à conduire
un projet personnel. Je suis également
directeur de projets et trésorier d’une
association culturelle HOWARTYOU
(organisation d’événements culturels,
ndlr).
Où trouves-tu le temps ?
Le temps est très relatif.
Pourquoi n’es-tu pas ingénieur dans le
sens commun du terme ?
Je me suis fait virer de toutes mes écoles,
depuis la maternelle (rires). Dès la 6ème ,
j’ai été interdit de physique et biologie, au
lycée j’ai été viré trois jours parce que je
me suis fait réveiller en cours de français
par la prof et je lui ai dit que je ne pouvais
pas m’abaisser à son niveau intellectuel… (rires). Et à l’EPITA, c’était pour
jeux en réseaux en cours de physique,
absentéisme...
Ca ne réponds pas à la question ?
La norme m’indispose.
Ce que tu aimes dans l’INSIA?
La volonté commune de réussir aussi bien
pour l’ensemble du corps enseignant que
le corps administratif.
Ce que tu n’aimes pas?
Les combats de coqs…
Quel avenir vois-tu pour l’INSIA ?
pour les étudiants ?
Pour les étudiants : demain sera bien et
pour l’INSIA, la même chose.
Pourquoi tu n’aimes pas le système des
piscines et des news ?
Non, le principe des piscine j’aime bien,
c’est juste que je n’ai pas le temps...
semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU
J’aime bien vous regarder nager. (rires)
Les news, je n’aime pas trop. C’est de la
délégation de responsabilités car c’est le
même système que le répondeur : « Comme t’étais pas là, je t’ai laissé un message
sur ton répondeur donc c’est à toi de me
rappeler. ». D’ailleurs, je n’ai pas de répondeur pour cette raison. Je préfère les
relations synchrones.
Que penses tu des étudiants généralement ?
Des gens courageux.
Que voudrais tu dire aux étudiants de
l’INSIA ? Quel message voudrais tu
faire passer ?
La réussite est humaine avant d’être compétences.
Comment compte-tu corriger 750
copies?(sans parler des autres années)
(Ce n’est pas 750 copies, c’est beaucoup
plus : 2200 !) Avec plaisir, ce sera très
simple à corriger.
Zéro ou un ?
Non, un zéro ça se mérite, c’est un acte de
révolte (rires). Je mets 0,5 au minimum,
pour ceux qui n’ont pas osé ne pas venir
et qui sont restés dans la demi mesure..
Mais le but de ces partiels de vous
confronter à la dimension réelle d’un
projet informatique.
Pourquoi dois-tu généralement partir
tôt le vendredi ? Vers 17 heures…
Pour les haut cieux alpins et leurs paradis
artificiels.
Penses-tu faire le fou pendant la semaine de ski? (Cf photo ci-dessous)
S’ils tiennent la route.
La légende dit que tu aurais eu une entreprise de décodeurs canal + lorsque
tu étais à l’EPITA ?
Si ça ne se limitait qu’à ça ! (rires)
Conclusion. En gros, ta vie c’est la
conduite de projet ?
(rires). Euh… oui, c’est ça. (rires)
Kitty, ~|MadiKeRaStyLe|~,
MDIS, Villena
En savoir plus sur Michaël THOMAS…
Il a créé et organisé le premier festival de Jeux Vidéos de France à Grenoble. Il
a également développé quelques jeux vidéos… GLOBETRIPS, ZOOMERANG
(pour les connaisseurs).
Il aurait laissé une ardoise à l’EPITA… Ah le malin !!
Ses alcools préférés : Rhum, Vin, Champagne, mais surtout le Gin.
Ah ! Le Gin ! Son fidèle alcool, comme il le dit lui même… D’ailleurs, voici une
citation de Michaël révélant son amour (rires) pour le Gin : « Les gens qui aiment
le Gin s’entendent bien entre eux, après quelques verres, mais même avant ! »
Les phrases-type de Michaël…
« La complétude fonctionnelle du logiciel…. ». Que celui qui a compris cette expression vienne me voir… (je rigole, il m’a expliqué, c’est simple en fait, mais on
peut pas deviner tout seul…)
Mais il y a pire… N’entendez-vous point la voix de Michaël résonnée dans votre
tête quand vous lisez ce genre de phrase :
« C’est lier les exigences fonctionnelles aux différents éléments de modélisation
de l’architecture logique au moyen de la couche applicative de sorte à obtenir un
modèle opérationnel. ». Euh… ?
(extrait du support de cours d’Architecture d’un Système d’Information).
Autre chose, nous avons quelque talent de devin en ce qui concerne la pensée
profonde des étudiants pendant les cours de Michaël. Nous avons perçu, lors de
méditations transcendantales, ces phrases récurrentes dans l’esprit de chacun :
« Mais qu’est-ce qui dit ??? Je comprends rien ! » ou encore « C’est quoi ça
encore ?? ».
Nous avons pu recueillir le témoignage d’un ancien étudiant de SUP d’EPITA qui
a eu Michaël… ;-))
INSIACTU : Tu connais Michaël ?
Anonyme : Oui, je le connais. Enfin vite fait mais il m’a donné des cours de TP
Pascal quand il était encore élève à l’EPITA. Il déchirait tous ses projets. Lui, c’est
voilà la bête...
INSIACTU : Alors il était comment ? Tu comprenais ses cours ? parce que nous,
on a du mal…
Anonyme : Le premier TP : hop, un serpent ! Ben, j’avoue que dès le deuxième
cours de TP Pascal, les masques de bits pour comment corriger une phrase style
sous Word… C’était violent !! Et puis, à la fin de l’année, un Puissance 4 avec
une IA (Intelligence Artificielle). Que finalement on était tellement balèze qu’on
arrivait même pas à battre notre programme !!
Comme quoi, on se refait pas…
Et pour finir, pour ceux qui ne l’auraient pas déjà fait : aller sur Google. Tapez
« Michael Thomas » puis cliquez sur « I feel lucky » ou « J’ai de la chance »…
Bonne blague !! (surtout les super chansons, à écouter dare dare …)
Nouvel an chinois
Michaël avant d’être soûl
Cette année chinoise a commencé le 1er février 2003 et se finira le 21 janvier 2004.
Le signe est celui du Bouc (ou chèvre), signe de l’inattendu et année où l’on doit
s’attendre à tout, que ce soit dans les sociétés ou dans les familles.
Il s’agit aussi d’une année favorable pour les arts en général. Pour les enfants naissant du signe du Bouc, ce n’est ni une mauvaise, ni une bonne année car le Bouc
sait s’adapter à son environnement.
La veille du nouvel an et les trois jours suivants sont fériés mais très souvent la
fête dure toute une semaine. De plus, le 15e jour du premier mois de l’année est la
fête des Lanternes, donc l’ambiance des premiers jours d’une année est toujours
festive.
5
INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003
Manga
Manga,
vous avez dit Manga ?
Enfin voici arrivée la (tant attendue ??) 1ère édition de notre journal. Pour ma part
j’essaierai de vous initier à un nouveau monde, un monde plein de héros, de mystères
et d’aventures : le manga.
D’après le « dico », un manga est une bande dessinée japonaise. Effectivement
vu sous cet angle… Bon sérieusement pour moi un manga, c’est bien une BD mais
c’est aussi autre chose. C’est aussi un terme générique qui englobe l’univers de la jap
animation (animation japonaise).
Il existe différents registres : aventure, science-fiction, hentaï (catégorie pour
adulte). La particularité du manga (pour moi) est sa diversité : diversité de support
et diversité des thèmes. Que l’on parle de « bande dessinée » ou d’animation
« japonaise », c’est un manga.
Chaque manga nous apporte un peu de nouveautés, il nous parle parfois d’une
culture différente, d’une contrée étrangère, il nous apporte un petit quelque chose de
plus. C’est un savant mélange de réel et/ou d’imaginaire.
Le Japon a démontré que le dessin animé (je déteste ce terme, ça fait bébé)
pouvait rivaliser avec les meilleurs films. Il peut véhiculer des idées fortes comme la
préservation de la nature (Princesse Mononoke) ou retracer les horreurs de la guerre
(Le tombeau des lucioles). Les films d’animations sont devenus des films à part entière
et non plus de simples dessins animés tels les Pokemon.
De toute façon, vous connaissez déjà des mangas, vous en avez déjà regardé
à la télévision même si vous n’étiez pas au courant. Qui n’a pas regardé le « Club
Dorothée » ? Qui ne se souvient pas des « Chevaliers du zodiaque », de « Cobra »,
de « Sailor Moon » ou des autres « Juliette je t’aime », « Max et compagnies » et de
l’incontournable « Dragon ball » ?
Pour ce premier article, je vais vous parler d’un manga qui me tient particulièrement
à cœur :
Kenshin le Vagabond
Restituons un peu le contexte, l’histoire se passe au Japon vers la fin de l’ère Edo
(milieu/fin du 19ème siècle), la fin de l’époque des shoguns et des samouraïs. C’est le
début de l’ère Meiji, une époque d’ouverture sur le monde. Un homme, armé d’un
sabre à lame inversée fait son apparition : il s’agit de Kenshin Himura.
Cet homme mystérieux connu autrefois sous le nom Battossaï Himura fut l’un des
principaux acteurs de cette nouvelle ère de part sa fonction d’assassin. A la fin de la
guerre, il décida de ne plus tuer et de vivre tranquillement le reste de
sa vie comme vagabond. Ces pérégrinations l’amèneront à Tokyo où
il fera la connaissance de Kaoru Kamiya, maître de l’école de l’esprit
vivant Kamiya, de Yahoko Miyôjin, ancien voleur et nouveau disciple
de Kaoru, qui l’aideront à stopper son errance. Mais la vie n’est pas
tendre avec notre « preux chevalier » et son passé tumultueux va
ressurgir pour lui en faire voir de toutes les couleurs.
Il s’agit de la lutte d’un homme qui pour conserver ses convictions
et protéger ses amis doit faire face à un passé qui le rattrape au galop
(l’homme face à son destin).
Voilà en gros ce qu’est Kenshin le vagabond (la bd). Il existe
4 OAV qui retracent la vie de Battossaï Himura avant l’ère Meiji.
On y apprend comment il est devenu l’héritier de l’école de Hiten
Mitsurugi, pourquoi il est devenu un assassin et surtout comment il
en est arrivé à porter un sabre à lame inversée.
Ces OAV sont vraiment sublimes, magnifiques, sensationnelles
(enfin c’est une opinion personnelle). Une série animée est sortie sur
notre vagabond préféré qui suit les évolutions de la version papier.
Ne les ayant pas (encore) vu, je ne peux vous donner mon avis. Je me
fierai cependant à l’auteur (Nobuhiro Watsuki) qui en donne une très
bonne critique.
6
Kenshin
Ce terme, inventé par le caricaturiste
Katsushika Hokusai (1760-1849)
signifie littéralement “image dérisoire“.
Les “manga“ de Hokusai étaient des
estampes montrant des personnages
populaires de cette époque sous des
traits comiques.
(extrait du dossier Manga du site
www.glenat.com)
Le Manga aujourd’hui
Manga est utilisé pour le support papier et japanime ou anime ou animé
pour le support vidéo.
Que signifie OAV?
Original Animation Video, des animes
prévus pour sortir directement en k7
ou dvd, alors que les séries tv sont
produites pour la tv et les films pour
le ciné...
Petit plus
Si par contre vous n’étiez pas intéressé par les mangas mais plutôt par
le Club Dorothée et particulièrement
Dorothée, consultez le site suivant :
http://www.cheredorothee.fr.fm
Vous aurez pleins d’infos et de photos
de votre star et de toute son équipe et
même des e-cartes...
Vous verrez ça vous rendra nostalgique...
Kenshin le Vagabond
semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU
La loi de Murphy (ou loi de
l’emmerdement maximum)
Peu de personnes connaissent cette
loi et pourtant je peux affirmer que
chacun d’entre nous y est confronté
quotidiennement. La loi de Murphy est
une vision pessimiste du monde qui
nous entoure, mais ce monde n’est-il
pas fait dans un seul est unique but : tout
faire pour que la vie soit la plus pénible
possible ? Je sens déjà que les lecteurs les
plus pessimistes d’entre vous brûlent d’en
savoir plus sur cette loi qui régit l’univers,
alors c’est parti !!
C’est pas moi, c’est Murphy...
Capitaine de l’US Air Force, Edward A.
Murphy est un des premiers à se rendre
compte vers 1949 du principe suivant :
«Si quelque chose est susceptible de
mal tourner, alors cette chose tournera
nécessairement mal» (en VO : «If
anything can go wrong, it will»)
Il s’agit là d’une loi empirique que
personne ne saurait remettre en question.
C’est en quelque sorte un axiome que
nous pose la vie et personne n’y peut
rien... c’est comme ça !!
Énoncés de la loi de Murphy
L’étincelle qui illumine votre regard de
lecteur avide trahit votre désir d’en savoir
plus !! Voici donc quelques énoncés du
principe de l’emmerdement maximum.
Je rappelle que les énoncés suivants
font office de loi universelle et je crois
que beaucoup parmi vous pourront les
vérifier.
- Rien n’est aussi simple qu’il y parait
- S’il existe plusieurs façons pour les
choses de mal se passer, celles qui vont
arriver sont aussi celles qui causeront le
plus de dégâts (C’est au pire moment que
les choses tourneront mal)
- S’il est impossible à une chose de mal
tourner, alors cette chose tournera mal
quand même
- Si vous avez décelé trois façons possibles
pour les évènements de mal tourner,
et si vous les avez circonvenues, alors
une quatrième (pire encore) apparaîtra
spontanément et se déroulera
- Laissées à elles-mêmes, les choses ont
tendance à aller de mal en pis
- Si tout semble manifestement bien se
passer, c’est que quelque chose vous a
échappé
- Chaque solution apporte de nouveaux
problèmes
Applications de la loi de Murphy
Bon alors voyons comment tous
ces principes empestent notre vie
quotidienne.
Arrêtons nous sur la loi dite «de la
tartine» : «Toute tartine beurrée livrée à
elle-même tombera du côté beurré»
N’oublions pas que la loi de Murphy
prévoit que cette tartine tombera
forcément !!
En voici une variante : «Une tartine
beurrée qui tombe sur le côté non beurré
rebondira autant de fois qu’il faut pour
trouver son point d’équilibre : côté beurré
contre la moquette»
Lorsqu’on est soumis à la loi de Murphy,
on peut toujours tenter d’y échapper.
Par exemple, un sandwich beurré ne
peut vraisemblablement pas tomber côté
beurré... dans ce cas, ce sera dans une
bouse de vache !!
De la loi de la tartine découle la loi
suivante : «La probabilité qu’une
tartine beurrée tombe sur un tapis est
proportionnelle à la valeur de ce dernier»
De même : «Si par chance vous arrivez à
rattraper une tartine qui tombe, ce sera du
côté beurré»
Soit E un ensemble contenant toutes les
bonnes solutions et une seule mauvaise
solution.
Soit M l’évènement : «La mauvaise
solution est réalisée».
On a alors : p(M) = 1
Jouons avec Murphy
Une loi stipule qu’un chat retombera
toujours sur ses pattes. Bien sûr, une
récente publicité pour une société de
crédit tend à démontrer le contraire.
Je peux pourtant affirmer qu’un chat
tombera toujours sur ses pattes, même s’il
est lâché du haut de la tour Montparnasse
et que cette chute lui coûte la vie (ben oui
quand même !!). Voici donc une petite
expérience que vous pouvez réaliser chez
vous, à la maison :
Prenez un chat et nouez lui une tartine
beurrée sur le dos. Lâchez alors le chat
de vos bras. Le phénomène auquel vous
assisterez est des plus surprenants : le
chat ne peut en aucun cas tomber sur le
dos et la tartine ne saurait tomber que
de son côté beurré. La nature est piégée
et dans la stricte application de ces lois,
le chat ne tombe pas !! On aboutit à une
situation d’équilibre qu’on baptisera
l’antigravité. Il est d’ailleurs amusant de
voir que certaines compagnies aériennes
ont dores et déjà choisi d’équiper leurs
avions de chats et de tartines beurrées
à des fins purement économiques.
Notons également que l’on peut agir sur
l’équilibre du complexe tartine-chat en
ôtant un peu de beurre de la tartine, ou un
peu de pattes au chat (attention toutefois à
ne pas priver le chat de ses 4 pattes).
Conclusion
Voilà, si vous souhaitez connaître
toujours plus de lois de Murphy, visitez
le site suivant :
http://dmawww.epfl.ch/roso.mosaic/dm/
murphy.html
En conclusion, si une tartine tombe du
côté non beurré, c’est que vous avez
beurré le mauvais côté !!
-=[de$pe]=-
Formalisation de la loi de Murphy
-> Formalisation mathématique :
-> Logique formelle :
«Quelque chose peut mal tourner» admet
pour conséquence logique «Cette chose
tournera mal».
«Il pleut après que vous ayez lavé votre
voiture» est une tautologie.
-> Formalisation selon Microsoft :
«Ce logiciel a effectué une opération non
conforme».
-> Algorithme de la loi de Murphy en
Java :
package laws;
public class MurphyLaw extends Object
{
public MurphyLaw() {
throw new Error();
}
}
7
INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003
Gros plan sur...
Christophe Porteneuve
Vendredi 24 janvier 2003. Il est 18h.
Après une semaine parsemée de cette douzaine de partiels génialissimes, la fatigue commençait « vaguement » à nous envahir…
Mais, nous avons franchi les barrières de la résistance physique pour réaliser cette interview… Cependant, il est nécessaire de
préciser que nous sommes des journalistes* : a) à l’arrach’ ou b) à l’ancienne… Et oui, pendant les inters, on prend des notes… d’où
les quelques incidents qui se sont produits lors de la retranscription ! A vous de juger.
*
rayer la mention inutile
Christople Porteneuve pose devant nos objectifs
Quelle est ta formation ?
Christophe
PORTENEUVE :
Ma
formation, c’est l’EPITA. Je suis de
la promo 2000, spécialisation SIGL
(Systèmes d’Information et Génie
Logiciel).
Quel genre d’étudiant étais-tu ?
Pas là ! (rires).
En fait, j’ai travaillé dès ma SUP. Je
faisais en sorte d’être là deux semaines
avant les partiels quoi ! En plus de ça,
je voyageais beaucoup soit en France
soit à l’étranger avec mon travail.
Pendant, ma spécialisation (ING2-3), je
bossais 5 à 6 jours par semaine. J’allais
à EPITA une fois par semaine (parce
j’étais bien obligé !), en costard, pour les
soutenances.
(Il n’y allait pas pour les notes, mais
pour se montrer. Il cherchait à résoudre
cette
problématique :
« Comment
exister auprès de tout le monde, tout en
étant jamais physiquement présent ? »,
témoignage anonyme).
Quel métier as-tu exercé avant de
travailler à l’INSIA ?
J’ai travaillé 4 ans et demi pour une entreprise qui s’appelle COGISOFT. J’ai
démarré « trouffion » et j’ai fini Ingénieur
Recherche et Développement. J’ai été formateur, j’ai fait de l’audit aussi… Je suis
8
certifié BORLAND. J’ai travaillé chez
BORLAND, aux Etats-Unis. J’ai fait mon
stage chez eux pendant 3 mois et demi en
fin de deuxième année. Ils voulaient que
je reste ! Y avait le super salaire , la Z3
qui m’attendait en bas… Mais, ça ne me
disait rien. Et même maintenant, je n’accepterais pas.
Avec Guy WIRIATH (le célèbre
BILOUF, ndlr), on a monté FREESBEE
en trois semaines quand j’étais en ING2.
Je ne connaissais pas JAVA, j’ai appris sur
le tas…
Puis, toujours avec Guy, qui était
l’actionnaire majoritaire, on a monté
le POSSE42 (www.posse42.net, «
Le potager du web », ndlr). Une chouette
aventure qui a duré un an et demi.
LUNAR (ce personnage hors du commun
prochainement dans ces pages, ndlr) y
était stagiaire. Il y avait aussi Eve (La
tomate ingénieuse, ndlr), qui va d’ailleurs
bientôt arriver…
Puis, pendant un an, j’ai travaillé en
indépendant. Et, enfin, j’ai commencé à
travailler pour l’INSIA.
Qu’attendais-tu
du
métier
d’ingénieur ?
L’aspect recherche pour les clients, c’est
ce qui m’intéressait. Pendant sept ans,
j’ai fait de la R&D (Recherche et Développement). Et puis, le côté formation,
l’enseignement, ça j’adore aussi. A la
Bulle, on fait aussi de la Recherche et
Développement.
Dès le début, ça a été la R&D et la Formation. Ce sont les deux trucs qui me bottent
vraiment.
Quelles sont tes responsabilités à
l’INSIA ?
J’étais encore l’homme à tout faire de
l’INSIA, il n’y a pas si longtemps (rires).
Je suis chargé d’enseignement et des
TP correspondants à mes cours : JAVA,
XML, Développement Web, DELPHI. Je
fais aussi des corrections des piscines C
(ce qui n’était pas de ma responsabilité),
les moulinettes pour la piscine JAVA…
Je suis également chef de projet sur
l’un des gros projets de l’INSIA pour la
FEDE (fédérations d’écoles au niveau
européen) : « Les QCM en ligne ». Ils
permettront de faire des statistiques
précises et pourront faire office de
contrôle continu par la suite. C’est en
projet…
Ce que tu aimes à l’INSIA ?
Il y a tout à faire. On est là pour poser
des piliers particulièrement solides,
pour aller vers quelque chose de top et
accompagner, dès son origine, l’école
dans son développement. Ce que j’aime
aussi, c’est le triumvirat qu’on forme
Emmanuel, Adrien et moi, on touche un
peu à tout. C’est l’occasion de fouiller
dans d’autres domaines d’expertise que
les nôtres.
Je prends vraiment mon pied à enseigner !
(rires). J’adore parler en public. Vous me
mettez devant un amphi de 500 personnes,
c’est bien, mais si y en a 1000, je m’éclate
vraiment !
Y’a vraiment des cours super avec des
gens qui ont du répondant, il y a vraiment
un échange dynamique, c’est génial…
Ce que tu apprécies moins à l’INSIA ?
L’anti-organisation chronique (il regarde
le bureau derrière moi), c’est un défi
permanent, c’est épuisant…
Pourquoi aimes-tu le système des
piscines et des news ?
J’ai été élevé comme ça à EPITA. La
piscine a beaucoup d’avantages. Je sais
que c’est difficile mais c’est un plus car
toutes les autres écoles ne le font pas,
sauf EPITA et les étudiants qui sortent de
l’EPITA sont cent fois meilleurs que les
autres. Moi j’adore ça parce que ça crée
un esprit de communauté dans la douleur.
(rires). La piscine permet aux personnes
de s’épanouir, de se réaliser plus tôt.
Prenez DAVUX, c’était un petit étudiant
tout tranquille de DEUG MIAS, et voyez
maintenant ! Il s’est révélé. Il y a un vrai
esprit de camaraderie, de délires, etc.
En plus, ça force les gens à se surpasser
(c’est douloureux, je sais), à rechercher,
à fouiller, à structurer… Après tout, dans
semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU
ingénieur, il y a ingénieux. La piscine sert
aussi à gérer le stress. On vous donne des
horaires de remise de votre travail…
Les news, c’est dans le même esprit que
les piscines. C’est dans cet esprit qu’il y a
un newsgroup insia.delires.
Quel avenir vois-tu pour l’INSIA ?
Pour les étudiants ?
On verra dans deux mois. Le seul problème de l’école : c’est l’argent. On a
lancé plusieurs paris en même temps :
un vrai parc informatique, un BDE avec
un budget propre, les frais de scolarité en
plusieurs fois pour les étudiants… Ce problème d’argent dépend du placement des
étudiants en entreprise. Si tout le monde
est placé, alors il n’y aura pas de problème… Moi c’est clair, je me vois à l’INSIA pendant quelques années encore... Je
partirai de l’INSIA un de ces jours mais je
ne sais pas quand. Et certainement pour
monter une boîte...
Que voudrais-tu dire aux étudiants de
l’INSIA ? Quel message voudrais-tu
faire passer ?
Ce n’est qu’une histoire de motivation.
Un étudiant motivé arrivera toujours à
se débrouiller. Les gens motivés, on les
remarque : c’est ceux qui posent des
questions, qui postent, qui passent à la
Bulle… On remarque aussi les gens qui
répondent aux questions dans les news
avant qu’on y réponde, c’est pas toujours
LUNAR ou DAVUX...
Il faut aussi savoir la personnalité que tu
veux avoir, savoir si l’INSIA correspond
à ce que tu veux faire…
Mais surtout, surtout, bossez votre
anglais. Regardez des films en VO,
lisez… L’anglais est super important dans
le domaine.
(On ne vous mentira pas, il nous a
raconté pas mal de choses, mais ça a été
tellement vite qu’on n’a pas eu le temps
de tout noter !!! On manque de matos...
Cependant, nous avons livré l’essentiel
des propos de Christophe.)
Kitty, ~|MadiKeRaStyLe|~,
MDIS, Villena
Petites questions à Christophe (extraits
de questionnaires) :
Préférez-vous les petites filles ou les
petits garçons ?
Les petits garçons…
(Ceci expliquerait-il cela ?)
Vous avez combien sur vous ?
Euh... Pas grand chose, environ 60 €.
(Euh…)
Ce qu’il faut savoir sur Christophe…
Christophe a un frère jumeau nommé François… Mais, ils n’ont pas vraiment la
même tête, alors les filles, un peu de calme… (Pour celles qui se voyaient déjà en
train de ****<censuré>**** dans une certaine cage d’une certaine boîte…)
Ses deux années de Prépas à EPITA ont été gratuites (y a du BILOUF dans le
coup…). C’est ça quand on est brillant…
Les phrases-type de Christophe…
« On voit des goritudes pas possibles ! », phrase culte.
« Il faut que ton programme soit predictable si tu veux que ton code soit compliant », Christophe en VO non sous-titré…
« J’ai des milliers de choses à faire. J’ai déjà 60 heures de cours par semaine… »,
pleure pas Christophe, on est déjà tous au courant…
« C’est bien parce que je suis poli que je soulève pas mon majeur. », Christophe,
toujours poli.
Quel blagueur ce Christophe alors ! ;-))
Il aime bien être remarqué et nous faire remarquer qu’on l’a remarqué tout en remarquant qu’on aurait dû le remarquer... Enfin, c’est une simple remarque.
Il est fier de ce qu’il est et de ce qu’il fait. (et c’est compréhensible).
Nous avons demandé l’avis d’un professionnel du Christophisme ou Tddisme
(c’est la même doctrine)… En une phrase, il nous a résumé toute la pensée de ce
mouvement : ****<censuré>****
Pour finir, allez faire un tour sur ses pages perso :
http://magix-team.org/perso/tdd/fr
Conférence
Jeudi 23 janvier 2003 de 19h30 à 21h a eu lieu la conférence sur les Biotechnologies à
l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (Paris 6e, Métro: St Germain des Prés).
Présentée par le Professeur : Daniel SCHERMAN
Maître de recherche au CNRS
Directeur de recherche chez Aventis / Rhône Poulenc
Chargé de conférences à l’école Polytechnique.
Présents Mme Osinski (chargée d’organiser les conférences) et M. Hennou
Les biotechnologies sont des sciences modernes touchant à d’autres sciences comme
l’informatique, les mathématiques, l’électronique... en quelque sorte les sciences de
l’ingénieur d’où le but de cette conférence. L’explication de l’historique des médicaments nous a amené à la biotechnologie. Une présentation des acteurs, cibles et objets
des médicaments et de la biotechnologie fut ensuite développée. Des exemples ont été
exposés allant du maïs transgénique au clonage, passant par des greffes de cellules embryonnaires, des poisons et sans oublier les produits naturels. Cette conférence s’acheva par une conclusion sur l’importance du marché des médicaments actuellement au
niveau mondial et dans le futur : ce marché ne cesse de croître et atteint aujourd’hui 22
milliards de dollars.
Autres conférences :
vendredi 21 mars 2003 de 19h30 à 21h, «Les dépendances»
vendredi 4 avril 2003 de 19h30 à 21h, «L’art» (sujet à confirmer)
Kitty
9
INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003
Informatique
Optimisation du code source C
Optimiser du code source, c’est avant
tout faire en sorte que le code compilé
s’exécute plus rapidement. En fait, on se
fiche complètement de la taille du code lui
même (adieu les 25 lignes maximum) !!
Sachez cependant que les optimisations
que vous trouverez ci-après sont pour
la plupart obsolètes car déjà prises en
compte par les compilateurs récents.
Incrémentation
La façon la plus courante d’incrémenter
un compteur de boucle reste «a++». Il
s’agit d’une post-incrémentation, c’est-àdire que la valeur de a est d’abord évaluée
(stockée en mémoire) puis incrémentée.
Voyons ce que serait «a++» sous la forme
de code :
temp = a;
a += 1;
return temp;
Voyons à présent comment fonctionne la
pré-incrémentation (++a) :
a += 1;
return a;
On économise donc une copie mémoire.
Bon d’accord, c’est pas énorme, mais
pensez à ce que ça pourrait donner sur une
boucle qui s’exécute 1 million de fois !!
La ligne :
for (i = 0; i <= 999999; i++) // cas (1)
est synonyme de :
for (i = 0; i <= 999999; ++i) // cas (2)
Ceux qui prétendent que ‘i’ commence à 1
dans le cas (2) et à 0 dans le cas (1) n’ont
rien compris au principe même de la boucle for. En effet, la troisième partie du for
est une instruction qui s’exécute à la fin
de chaque passage dans la boucle.
Boucles
Ceux qui connaissent un peu l’assembleur
x86 connaissent l’instruction LOOP. La
plupart des processeurs possèdent une
instruction de très bas niveau qui leur
permettent de décrémenter un registre
jusqu’à obtenir une valeur nulle. Pour
l’instruction LOOP, CX est décrémenté
et on revient en début de boucle si CX
10
est non nul.
On peut donc optimiser le bout de code
suivant :
for (i = 0; i < tab_size; ++i)
{
sum += tab[i];
}
Ce qui donne :
for (i = tab_size - 1; i; --i)
{
sum += tab[i];
}
Voilà ! On n’est même plus obligé de
comparer i avec tab_size à chaque itération.
Vous l’aurez compris, cette optimisation
n’est possible que dans le cas où l’ordre
du parcours de tab peut se faire en partant
de la fin (c’est parfait pour sommer tous
les éléments par exemple).
Arguments
L’optimisation des arguments passés à
une fonction peut se faire en qualité et en
quantité.
Tout d’abord, la quantité : imaginez une
fonction qui nécessite le passage de 8
entiers. Le nombre de registres de la
machine s’avérant insuffisant, elle va
commencer à empiler les arguments dans
la fameuse pile. Résultat : une perte de
temps à empiler et dépiler !!
Plutôt que :
int my_func(int a, int b, int c, int d, int
e, int f, int g, int h)
{
return (a + b + c + d + e + f + g +
h);
}
On préfère (oui je sais, c’est plus long à
écrire) :
struct my_struct
{
int a;
int b;
// ...
int g;
int h;
}
int my_func(my_struct & s)
{
return (s.a + s.b + s.c + s.d + s.e +
s.f + s.g + s.h);
}
Voilà qui nous amène au problème du
passage des types complexes dans les
fonctions. Dans le cas précédent, la structure est passée par référence. Dans le cas
d’un passage par valeur, le contenu de
l’argument est complètement recopié pour
être ensuite manipulé (perte de temps en
copie). Il est donc préférable de passer un
argument par référence, auquel cas seule
son adresse est transmise à la fonction.
Sous-expressions
Économisez au maximum le nombre de
calculs !! Regardez l’exemple qui suit :
a = (2 * (b - c)) / ((c - (4 * (b - c))) %
(2 * (b - c)));
On remarque que l’expression 2 * (b - c)
figure trois fois dans l’expression ci-dessus.
Il faut donc écrire :
exp = 2 * (b - c);
a = exp / ((c - (2 * exp)) % exp);
Ainsi, exp n’est calculée qu’une fois.
Entiers non signés
Vous le savez sans doute, il est très facile
de multiplier un nombre en base 2 par une
puissance de 2. Il en va de même pour la
division. Ainsi, une multiplication par 4
réside en un décalage des bits de 2 rangs
vers la gauche : quoi de plus rapide pour
une machine ?
Il est donc préférable d’écrire : b << 2
Plutôt que :
4*b
Dans les cas où l’on veut multiplier b par
un nombre qui n’est pas puissance de 2,
il suffit de réfléchir un tout petit peu en
cherchant une puissance de 2 proche :
«b * 5» est équivalent à «b << 2 + b».
De même, étant donné que :
b*3=b+b+b
On aura : b * 253
égal à : (x << 8) - (x + x + x)
-=[de$pe]=-
L’expression des 3 derniers
mois
« Comment avertir l’utilisateur qui
s’en tape le coquillage avec des pelles
à gâteau géantes…»,
Emmanuel LE CHEVOIR
Musique
Peut-être ne connaissez-vous pas les
N’Sync (un boys band US qui avait survécu) ? C’est sans importance de toute
façon... Voici venu, pour l’heure, mon
pote Justin Timberlake !!! Une vraie balle
atomique !
Justin Timberlake se fait un nom parmi
les plus grands de la R&B US, depuis
quelques mois. On le sentait déjà venir
lors du featuring* avec le rappeur US,
Nelly. Après ses différentes conquêtes,
Britney Spears (euh...?), Janet Jackson ou
encore Alyssa Milano..., inutile de vous
dire que ce jeune américain (il n’a que 21
ans) emporte tout sur son passage.
En fait, il est tout bonnement passé de
la Pop à 2 balles à de la R&B parsemée
d’un soupçon de pop (il ne renie pas ses
origines).
Avec la participation des meilleurs du
moment, The Neptunes, Timbaland, Puff
Daddy rebaptisé P. Diddy ou encore Brian
McKnight et ma copine Janet Jackson of
course, Justin nous offre un album de
qualité aux sonorités toutes neptuniennes.
Mes préférées sont incontestablement,
(Oh No) What You Got (on dirait du
zouk), Señorita (qui n’a absolument rien
de latino), Cry Me A River (il y a une
petite histoire sur le clip que je vous conterai la prochaine fois) et Like I Love You
(le clip est une merveille…). A écouter, à
voir…
Justin Timberlake, Justified sorti en novembre 2002.
http://www.justintimberlake.com
~| MadiKeRaStyLe |~
N’Sync featuring Nelly, Girlfriend – ça
s’écoute mais sans plus...
*
Team Nowhere reprezenta !!!!
Est un nouvel album au sein du collectif
Nowhere (Pleymo, Enhancer, Wunjo,
Noisy Fate et Aqme). Sombres efforts, le
second album d’Aqme, est un vrai délice.
A la fois calme et bougeant, on retrouve
avec joie la voix plutôt spéciale de Koma,
le chanteur au costard, et le gros son qui
fait d’Aqme un groupe d’exception. Ça
commence très fort avec Superstar, la
chanson phare de l’album, qui annonce
tout de suite la couleur. Bref, un album
excellent d’un groupe qui devient, dès
lors, un élément majeur de la scène rock
française.
Sorties ciné
semaine du 5 février 2003 - Edition n°1 - INSIACTU
Pour la semaine du 5 février, les sorties-ciné sont :
Dans le genre comique mais de styles différents : on a La Beuze, Mariage à la Grecque
ou encore 18 ans après.
Beaucoup de dessins-animés avec Le livre de la Jungle 2, Hugo et Balto...
Et enfin, le film qui s’impose cette semaine est Le Cercle, dans le genre fantastique.
Résumé :
Après la mort de quatre adolescents et celle de sa nièce, une semaine après avoir
visionnés une cassette sans étiquette, Rachel Keller, journaliste, décide de mener
l’enquête. Elle se procure alors cette fameuse cassette et la regarde. En recevant un
coup de téléphone, elle découvre qu’il ne lui reste plus que sept jours à vivre... Quand
on voit l’affiche de loin de ce nouveau film, on se demande ce que c’est. Et dès qu’on
s’approche, on découvre que c’est juste la version américaine de Ringu ou Ring, le
film culte japonais de Hideo Nakata sorti en 1998. Et là, on se dit que les américains ne
savent plus quoi inventer ! Dès que les producteurs (DreamWorks) ont vu le film, ils
ont voulu en faire un remake. Ils ont donné les moyens et le réalisateur, qui a fait entre
autre The Mexican, avec Brad Pitt(rien à voir avec le cinéma fantastique), n’avait plus
qu’à reprendre la même histoire : ils ne se sont pas beaucoup fouler quoi... Le succès
du film est assuré puisqu’il bénéficie de celui de l’original. Ce qui est vérifié : le film
américain a battu l’original même au Japon... Et quand on pense qu’il y a Ring 2, on se
dit qu’on y aura droit !
Alors pour résumer, on prend une grosse maison de prod américaine, un réalisateur
sans expérience dans le fantastique, une histoire de légende urbaine écrite par Koji
Suzuki, le Stephen King japonais. On secoue le tout et on a Le Cercle.
Conseil : regardez Ring et Ring 2.
Passons à la suite des événements...
Pour la semaine du 12 Février :
- Amour tout court (9 courts-métrages)
- Petites coupures
- Le film de Spielberg, le plus attendu : Arrête-moi si tu peux, où Leonardo Di Caprio
joue le rôle d’un mineur qui se fait passer pour un docteur, avocat ou encore un pilote et
escroque tout le monde. Il est recherché pendant tout le film par Tom Hanks, un flic.
- Othello 2003, c’est l’histoire de Shakespeare mais transposée en 2003 dans le monde
du basket d’un lycée US.
- L’homme qui en savait trop, le film de Hitchcock de 1956. Un couple assiste à un
meurtre et leur fils est enlevé aussitôt. Un film à voir.
Voilà, pour les sorties-ciné... Bon film.
MDIS
Untouchables
Korn revient avec ce 5ème album, et certainement le meilleur. On retrouve à la
fois la puissance et le gros son du premier
album, et le style de Issues. Certes, pour
les fans de la première heure déjà déçus
par Issues (qui était pourtant lui aussi
excellent), cet album n’est pas un retour
aux sources, mais plutôt une évolution
du groupe. Les chansons sont excellentes
et très travaillées, et la voix de Jonathan
Davis a, elle aussi, beaucoup évolué. De
plus, les clips de l’album sont encore
une fois très bien réalisés. On retrouve
d’ailleurs sur le CD le clip de Here to
stay, la première chanson de l’album, et
certainement la plus intense.
On peut aussi noter la sortie d’un nouveau DVD officiel, sur lequel on retrouve
la première vidéo du groupe, ainsi qu’une
nouvelle vidéo, relative aux albums Follow the leader et Issues. Il comporte aussi d’autres morceaux de vidéo, accessible
via le menu du DVD, qui n’est pas très
pratique… En fait, on navigue dans un
bâtiment, et chaque vidéo se trouve dans
un endroit spécifique…. Pour retrouver
une vidéo précise, c’est un peu galère,
mais le résultat en vaut la peine !
^ZZ_eb^
Hommage
Je voudrais simplement rendre un
hommage à l’une de nos plus belles
voix de la musique antillaise, Edith
LEFEL, disparue si subitement le 20
janvier 2003.
~|MadiKeRaStyLe|~
11
INSIACTU - édition n°1 - semaine du 5 février 2003
Sorties
Les sorties s’inscrivent pleinement dans le cursus de l’étudiant ingénieur. Elles devraient d’ailleurs être incluses dans le programme avec un partiel d’une semaine à
coefficient 70 !! C’est pas une bonne idée ça ??!!
Plus sérieusement, je vais vous parler tout au long de l’année de bars, de pubs, de restaurants, de boîtes, et plein d’autres choses (je ne sais pas encore quoi mais ça va venir)
à découvrir ou à éviter...
Et oui, je me dévoue pour vous ! Je vais sacrifier tous mes week-ends à sortir pour vous
dénicher des lieux sympas et quelques bons plans sur Paris !! ;-))
Je commence tout de suite avec ma première sortie en tant que reporter de terrain.
Vendredi soir. Minuit. Bastille.
Après quelques délibérations, nous (mes cop et moi) avons opté pour le Sixty Six Café.
Ouais. Que dire d’autre ? Beaucoup de choses.
Je ne vous parlerais du Sixty Six qu’en tant que pub mais c’est aussi un restaurant.
C’est un lieu qui nous emmène sur la Route 66 : le décor feutré, les murs sobres et
subtilement rehaussés de portraits, de photos de la célèbre route... Le doux rouge du
lieu nous enveloppe dans une ambiance des plus intimes, les lampadaires façon bars de
route américains... Tout y est.
En plus, la musique y est variée : Rn’B, Dance, Disco, Variétés,... Il y en donc pour
tous les goûts !
Quelques précisions peut-être :
Conso de 4 à 9 €
Cocktails hard : 8,50 €
Cocktails soft : 6,80 €
Jus de fruits exotiques
De «sympathiques» serveuses...
Tenue convenable : no jogging
Pas de réseau SFR et Bouygues
A déguster : SEX ON THE BEACH,
cocktail alcoolisé acidulé
A 1h55, Une cloche sonne le glas du départ des Sixty Sixers !!
Ce bar est idéal pour un pot entre amis,
avant de décoller en boîte ou autre lieu
plus mouvementé.
Le Sixty Six Café
8 rue de Lappe
75011 Paris
Ouvert de 18h à 2h - 7jours/7
Métro : Bastille
~|MadiKeRaStyLe|~
La Rédaction
Chroniqueurs :
DaviD
-=[de$pe]=Kenshin
Oswalk
^ZZ_eb^
Chroniqueuses et rédactrices en chef :
Kitty
MDIS
~|MadiKeRaStyLe|~
Villena
Fiche pratique
Slrn : lire, poster et répondre
Pour lire :
- Les flèches
- entrée : pour entrer dans un
groupe
- Réitérer la démarche pour
accéder aux messages
- Pour lire le message :
o barre d’espace
o touche entrée
- Pour quitter le newsgroup : q
Pour poster :
- Si vous êtes
dans un
newsgroup : q
- Tapez p puis y
- Nom du groupe (sauf
admin.admin) puis entrée
12
-
-
Sujet du post puis entrée
Editeur vi
:
o i (insert)
o echap-:x : enregistre
puis quitte
Confirmer le post : y
Sortir du newsgroup pour lire
le message posté
Pour répondre :
- Taper f
- Pointer sur le message auquel
on veut répondre
Consulter l’aide : taper ?
Caricaturiste :
L’ouzbeck
Mise en page :
Kitty
Editeur :
INSIA
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tout simplement, écrire un article ou
répondre dans une rubrique coup de
gueule,
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insia.assos.journal
ou bien envoyez-les directement à
l’un des e-mails suivants :
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