Dossier-de-presse-20..
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PROGRAMME VENDREDI 17 JUILLET Ouverture du site à 17h00 - Innauguration 17H15 - 18H15 17H30 - 19H15 18H15 - 19H30 19H30 - 20H45 21H15 - 22H45 23H15 - 00H30 01H00 - 02H15 02H15 - 03H15 VIOLON PROFOND CAFES CITOYENS AZRAM HUUN-HUUR-TU GROUNDATION RAMIRO MUSOTTO PLANTEC THE TAIKONAUTS Cantina Village Associatif Cantina Grand Chapiteau Grand Chapiteau Grand Chapiteau Grand Chapiteau Cantina SAMEDI 18 JUILLET Ouverture du site à 15h00 15H15 - 16H15 16H30 - 17H10 17H20 - 18H10 18H10 - 19H00 19H15 - 20H30 21H00 - 22H30 23H00 - 00H15 00H45 - 02H15 02H15 - 03H15 WYNFYD THEATRE TRIO ZINDAR WYNFYD THEATRE VIOLON PROFOND NAWAL MAMADY KEITA FAMILHA ARTUS POUM TCHAK LA TORMENTA Scène Arts de Rue Scène Arts de Rue Scène Arts de Rue Cantina Grand Chapiteau Grand Chapiteau Grand Chapiteau Grand Chapiteau Cantina SAMEDI 18 JUILLET DANS LE VILLAGE à partir de 12h00 12H30 - 14H30 14H30 - 15H45 14H30 - 15H30 14H30 - 15h30 15H30 - 16H30 16h30 - 17h30 17h30 - 18h30 18H30 - 19H15 19H15 - 19H45 20H00 - 21H15 21H45 - 23H00 APERO DEBAT ALIMA CIRCAMBULLE ateliers de cirques SALAM TOTO Cie MATIERE PREMIERE SALAM TOTO OMNIBUS Déambulation AFRODIZIA Cie HELIPORTE LES KAG AFRODIZIA Boulodrome Eglise Scène Arts de Rue Champs de Mars Sous la Halle Champs de Mars Parvis de l’Eglise Grand Chapiteau Parvis de l’Eglise Boulodrome Boulodrome TERRE DE COULEURS Terre de Couleurs fête cette année son 16ème festival ! Autant d’années de rencontres, d’innovations artistiques, d’engagements et de joie partagée. Rendez-vous incontournable des passionnés des musiques du monde et métissées, des musiques actuelles, des arts de la rue pour petits et grands, des rencontres autour de l’économie sociale et solidaire... on défend ici des valeurs essentielles qui ne rendent que plus fort le moment partagé. Pour sa 16ème édition, le festival Terre de Couleurs poursuit ses ambitions initiales : proposer un événement culturel multidisciplinaire, une programmation variée, une rencontre populaire dans un cadre de convivialité, d’échanges et de mise en action de principes sociaux et solidaires fondamentaux. Le festival est, outre sa dimension culturelle, habité par des valeurs touchant à l’universel. Fidèle aux valeurs qui ont assis sa réputation, le festival 2009 se veut plus que jamais le lieu de rencontres pour tous ceux qui entendent vivre la culture autrement et intensément. Terre de Couleurs a pour but de promouvoir le développement de la culture en milieu rural en proposant une offre culturelle de grande ampleur sur la commune de Daumazan sur Arize, qui de par son emplacement est un lieu pertinent, puisque à cheval entre les départements de l’Ariège et de la Haute Garonne. Cette année, une trentaine d’artistes sont attendus. De Groundation à la Familha Artus, de Mamady keita à Plantec, de Huun-Huur-Tu à Poum Tchak, les têtes d’affiches croisent des découvertes étonnantes. Une programmation arts de la rue toujours particulièrement concentrée sur le dimanche au village, des compagnies de la région, des ateliers de cirque et une décoration ( décoration, signalétique...) concoté pour la seconde année consécutive par l’artiste NEMO secondé d’une 20aine de jeunes. UN FESTIVAL ENGAGE DANS L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Terre de Couleurs n’est pas seulement un événement avec des spectacles et un public devant. Le projet du festival est axé sur la citoyenneté, la proximité, le développement durable, l’échange de cultures et la diversité. Notre démarche éthique nous conduit à mener l’organisation du festival selon ces principes et à développer des actions dans différents domaines (l’écologie, l’économie solidaire, l’accessibilité et la rencontre autour de ces thèmes). ENVIRONNEMENT 1 Le tri sélectif des déchets L’ensemble des déchets du festival (organisation et public) est trié par une équipe chargée d’organiser ce tri et de sensibiliser les festivaliers sur cette question. Ces nettoyeurs véhiculent avec humour et bonne humeur l’importance du tri et du recyclage. 2 Les toilettes sèches Elles permettent d’économiser de l’eau et évite, ainsi, de polluer une eau potable qu’il faut ensuite retraiter. Sur le festival, nous allons comptabiliser une économie d’eau de plus de 20 000 litres. Elles visent aussi à recycler nos excréments dans un cycle naturel et servent à faire du compost et enrichir les jardins d’Ariège d’un terreau. Ce système commence à être connu et à servir de référence. Nous avons été contactés plusieurs fois pour en expliquer le fonctionnement et l’installation. 3 Les gobelets réutilisables L’utilisation de verres consignés marque aussi notre volonté écologique et connaît un franc succès. Cette initiative s’est peu à peu imposée et plusieurs autres structures nous les louent depuis 2006. Cette année, nous avons mutualisé nos achats avec une trentaine d’associations et avons acheté 50 000 gobelets. Cela nous permettra de réaliser une économie d’échelle par rapport à des gobelets classiques réservés à un seul usage. LA RÉCUPÉRATION ET LE MULTI-USAGE Par une volonté d’éviter le gaspillage de matières premières et de ressources que l’on sait épuisables et non renouvelables pour des utilisations de courte durée, la décoration du site s’opère grâce à la «récup’» d’objets en tous genres. En effet très souvent il a fallu convoquer le «système D » afin de rendre notre action possible. La plupart des aménagements sont réalisés grâce à la récupération et au prêt ; nous sommes à l’affût de ce genre de possibilité et faisons marcher les réseaux pour pouvoir saisir des opportunités. Cependant en 2008 nous avons établis un partenariat dans une logique de’échange et d’économie solidaire et sociale avec un artiste Lyonnais, NEMO. Il est venu accompagné de plusieurs jeunes afin de réalisé la décoration du festival dans le cadre d’un camp et d’atelier. Il reviens cette année avec un projet et une équipe de jeune plus importante. LA DECORATION : «NEMO DECO» Création du décor intérieur et extérieur du festival pour l’édition 2009 avec l’aide du plasticien Némo et de 3 structures spécialisées pour la jeunesse Ce camp a pour objectif d’associer les jeunes de 13 à 17 ans à la création d’une décoration sur l’ensemble du site du festival TDC. Dans cet espace, les jeunes ont la possibilité d’être accompagnés vers une création collective, de rencontrer d’autres personnes hors de leur quotidien et de s’enrichir avec de nouvelles expériences dans le champ culturel et musical de TDC. L’adolescence est un processus évolutif habituel et fait partie des étapes maturatives dans le développement de l’adulte. Nous savons que l’adolescence peut se dérouler de façon plus ou moins douloureuse pour les jeunes. Il apparaît de façon forte que les jeunes inscrits l’année dernière dans ce projet ont pu développer des compétences techniques et relationnelles. L’évaluation faite par les éducateurs a mis en relief un apaisement des conduites et des marques de joie qui se sont manifestées par des paroles et des attitudes. Avec Némo, les jeunes ont créé une décoration de grande qualité et se sont bien intégrés. De fait, ils ont été reconnus et valorisés par les organisateurs et bénévoles du festival TDC. Ce projet avec Némo, Jérôme et les éducateurs est structurant pour les ados. Il permet aux jeunes de trouver leur place et de ne pas occuper toute la place. C’est une oeuvre commune, il invite l’adolescent à passer de l’individuel au collectif en associant les autres. Il confronte à la résistance des choses : il est impossible d’agir n’importe comment. Il induit un rapport au temps avec des impératifs : la décoration doit être finie avant le début du festival Il invite à la création, à la sublimation des pulsions !!! Dans ce sens, il procure de l’apaisement et une valorisation de soi-même. Enfin, il peut inscrire le sujet dans une perspective d’avenir. Dans ce sens, l’année dernière, une adolescente en difficulté a découvert la couture et s’est lancée dans cette discipline. • AU PROGRAMME 1 - L’annonce sur la route 2 - Les portes 3 - Les masques (54 pièces à réaliser) 4 - La signalisation du lieu (flèchage) 5 - Planète Terre de Couleurs /la BancoLéons 6 - Panneaux INFO LeonS 7 - Arbres a paroles (voir photos) 8 - Les enseignes des asso. (gabarit) 9 - planete terre 10 - masques cimiers Partager avec les autres Némo, dans son rôle d’animateur, se définit lui-même comme “un chef d’orchestre”. Il s’agit pour lui de faire naître les envies, de révéler la compétence individuelle au sein d’un travail collectif. Très souvent le public est jeune, la réussite doit être au rendez-vous, mais elle n’est pas pour autant acquise d’avance et l’exigence fait aussi partie de la démarche. L’ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Deux aspects sont fondamentaux à notre action de solidarité économique : d’une part le choix de l’approvisionnement des denrées alimentaires servies aux bénévoles, artistes et festivaliers et d’autre part la solidarité d’une démarche bénévole et d’un réseau partenarial et professionnel participant de manière considérable à l’équilibre financier de notre festival. Les circuits courts de consommation du festival. Le festival est inscrit dans un développement durable respectueux de notre planète. Toutes nos actions et nos choix en découlent. Ainsi la plupart de nos produits de consommation viennent de producteurs locaux. Nous avons pu constater qu’en utilisant des fournisseurs locaux, nous diminuons l’énergie grise due à l’acheminement des produits. Il nous paraît également normal et logique de travailler avec les agriculteurs, brasseurs,éleveurs et boulangers de la région et de leur faire profiter des retombées économiques La culture biologique Gageant qu’il est possible de fournir à nos bénévoles, artistes et festivaliers une nourriture de haute qualité tout en respectant une marge correcte, et un prix modéré, nous nous fournissons depuis plusieurs années auprès de maraîchers en agriculture biologique. Le commerce équitable Inscrits dans une démarche d’équité et de solidarité, il nous semble important de respecter les paysans du bout du monde en important des produits vérifiés comme le café, le chocolat, le sucre ou l’huile. Le réseau professionnel solidaire et partenaire Nous avons, au fil des années tissé avec le réseau professionnel des liens très solides. C’est une part non négligeable d’économie sur notre budget qui participe par des prestations de services au tarif allégé, des services et de la mise à disposition de matériel, à la bonne gestion de notre festival. Le bénévolat de personnes qualifiées Nous l’avons souvent dit, le festival n’existe que grâce aux nombreux bénévoles qui s’investissent parfois plusieurs semaines sur le site ou toute l’année sur différents aspects de l’organisation de l’événement. 200 bénévoles, c’est autant de réseaux amicaux et familiaux, de pistes de contacts facilités. L’hébergement des artistes chez l’habitant Pour des raisons financières mais aussi de capacité hôtelière, il est impossible de loger à l’hôtel tous les artistes et techniciens du festival. Là encore la solidarité s’est installée et un réseau d’hébergement chez l’habitant s’est constitué, participant à la gestion économique du festival mais aussi à la qualité de l’accueil et à la création de véritables liens entre les artistes et la population locale. RENCONTRE LE VILLAGE ASSOCIATIF Il réunit des acteurs de l’économie sociale et solidaire et accueille une vingtaine d’associations militantes, engagées et animées par la volonté d’imaginer un monde meilleur. Seront présents entre autres : l’ADEPES (Agence pour le Développement et la Promotion de l’Economie Solidaire en Midi Pyrénées), ATTAC Ariège, Comité Palestine Couserans, Rénova, Act’Up Toulouse, Confédération Paysanne Midi Pyrénées, Art’Cade, Promata, Réseau Education sans frontière, Femmes de papier, Ecorce, Olympes de Gouge, Résistance à la Délation, TV Bruit, Vivre en Comminges, Friture, Faire, Politis, Silence !, Plan B, Acrimed... LES CAFÉS CITOYENS Les cafés citoyens contribuent à créer du débat et à mettre en scène des réflexions et des argumentations. Ils sont animés par JeanMarie Jolivet et Marie Toustou. Deux rencontres sont programmés à 17h30 le vendredi et le samedi : L’es deux thèmes cette année : La nourriture et l’Amour. Le vendredi : Comment on mange ? Qu’est-ce qu’on mange ? Nous proposons d’échanger sur nos représentations et nos pratiques alimentaires. Le samedi : grand sujet autour de l’amour. En effet, cela domine notre vie entière. Sur le site du CNRS , il est défini comme une attirance, affective ou physique, qu’en raison d’une certaine affinité, un être éprouve pour un autre être, auquel il est uni ou qu’il cherche à s’unir par un lien généralement étroit. . NousN échangerons autour de Qu’est-ce que l’amour? Le besoin de sortir de soi comme le dit Charles Beaudelaire et explorerons d’autres idées avec les participants. L’ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES À MOBILITÉ RÉDUITE L’accès du festival sera pensé pour permettre aux personnes handicapées de participer. Il est à noter que pour les toilettes sèches cela est déjà prévu dans les normes. Pour le reste du site, nous allons travailler à courts termes en partenariat avec la Maison Départementale des Personnes Handicapées de l’Ariège et avec l’Association des Paralysés de France. LA MIXITÉ Le mélange des genres et des générations ainsi que le métissage sont inscrits dans nos statuts et sont inhérentes à chaque manifestation. Notre réseau de bénévoles est à lui seul gage de mixité sociale et générationnelle. En effet, nous avons des taches auxquelles participent les écoles (décoration, panneaux d’affichage, etc.), les adolescents ont une part non négligeable d’activités, et nous avons depuis peu des retraités et des personnes de 60 ans et plus très actifs au sein du festival. En conclusion, ce festival correspond à une dynamique collective centrée sur des valeurs solidaires. Il est une réaction à l’individualisme érigé en art de vivre, aux formatages culturels, aux inégalités de statut ou de condition. Il associe pleinement l’aspect artistique aux aspects de convivialité et d’engagement. Nos valeurs s’enracinent autour d’un socle commun considérant le lien social, la richesse humaine et le respect de l’environnement comme étant essentiels. LA PROGRAMMATION Musiques vivantes d’hièr et d’aujourd’hui Spectacle vivant - Arts de rue Pour cette 16ème édition, le festival renoue fortement avec son penchant pour les musiques dites «du monde» bien qu’elles le soient toutes. Ce n’est donc pas tant au niveau du style et de l’étiquette ( souvent réductrice) que la programmation a été construite mais avec l’idée de présenter un panel important de cultures différentes en passant par des musiques traditionnelles, métissées et souvent modernes. Les artistes présent sur cette 16ème édition de Terre de Couleurs seront issuent des quatre coins de notre chère planette ronde. Préparez-vous à savourer sous chapiteau les mélodies bretonnes, occitanes et sonorités venues du Maghreb, d’Afrique de l’Ouest, des Balkans, de Mongolie, des Comores, du Brésil, d’Amérique du Nord et de Jamaïques. Bien sûr le spectacle vivant et les arts du rue ont aussi leur place à Terre de Couleurs avec des spectacles pour les petits et grands qui investiront notamment le village de Daumazan-sur-arize la journée du Dimanche. Les arts de rue se feront aériens, musicaux, comiques, champêtres voir spectaculaires !!! MUSIQUES GROUNDATION >>REGGAE ( Spiritual Roots Reggae) // Californie //// www .Groundation.fr //// Ven 17 Juillet // 21h15 // Grand Chapiteau Harrison Stafford : Chant, Guitare, Percussions // Marcus Urani : Piano, B3, Rhodes, Claviers, Melodica // «Iron» Ryan Newman : Basse // Te Kanawa «Rufus» Haereiti : Batterie // Mingo Lewis Junior : Congas & Timbales // David «Diesel» Chachere : Trompette // Kelsey Howard : Trombonne // Kim Pommell : Choeurs // Stephanie Wallace : Choeurs Plus qu’un phénomène, une légende reggae ! Groundation est un groupe extrêmement talentueux, qui a su s’associer avec les plus grands musiciens jamaïcains pour créer une discographie de très haute facture. Indispensable à voir en live, Groundation a la magie des plus grands, porté par le mysticisme et le charisme du leader Harrison Stafford notamment. Groundation prend au tripe et nourrit votre âme. Dfficile de trouver un groupe qui allie avec autant de virtuosité modernité et roots. On dit que si on ne connaît pas son passé, on ne connaît pas son futur. Groundation connait son passé et avance dans le futur. En capturant l’essence du vrai reggae roots, Groundation cherche à élever ce genre à une autre dimension en ajoutant des substances de jazz et de dub dans leur son. En 1998, 3 étudiants en jazz à l’Université de Sonoma County, California, se rencontrent et décident de former Groundation. Il s’agit d’Harrison Stafford (chant, guitare), Marcus Urani (clavier) et de Ryan Newman (basse). Considéré comme le meilleur groupe de la scène reggae actuelle, les virtuoses californiens reviennent aujourd’hui avec un 5ème album, d’une rare intensité musicale : UPON THE BRIDGE. Au-delà de la musique, il y a le message plus qu’évident, que Groundation tente de transmettre. LA MUSIQUE, LE GROUPE A l’image des sessions nyabinghis la musique de Groundation s’articule autour de l’improvisation collective, de l’écoute et de la curiosité. La musique, moyen de communication leur offre un langage commun. Immergés dans la musique, partie intégrante de leur vie, Groundation avance ainsi des concepts que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. Avant tous musiciens de jazz, leur formation ne cesse d’évoluer, leur théorie de la musique est riche et leur permet de jouer avec précision des arrangements complexes. Groundation n’essaie pas de mêler consciemment le jazz au reggae. En découverte perpétuelle d’eux mêmes, leur but est de créer une nouvelle musique, originale. Une grande part de la composition et de l’orchestration musicale revient à Marcus Urani. De l’écriture aux arrangements musicaux, en passant par l’enregistrement studio, il dirige ce projet avec virtuosité et rigueur. On retrouve son travail jusqu’au mastering des albums, où il collabore avec Jim Fox, le légendaire ingénieur son du Lion & Fox Studio de Washington. On retrouve aussi l’esprit nyabinghis, dans l’attitude de Groundation ; le groupe cherche à favoriser les rencontres et reste à l’écoute de chacun. Malgré le succès, le public de plus en plus nombreux, Groundation garde la même attitude. Humbles et simples ils recherchent sans cesse le contact avec le public et se rendent disponibles pour le rencontrer à la fi n des concerts. GROUNDATION : Le nom de Groundation est un subtil jeu de mot, qui prend ici, avec ce groupe, tout son sens. En effet on entend parler pour la première fois de grounation (prise de terre ou assemblée de méditation) à la fin des années 40. Count Ossie (Mystic Revelation of Rastafari) invitait les jeunes des ghettos jamaïcains à se rassembler pour des sessions nyabinghis ; rythmes africains. Ces sessions improvisées duraient toute la nuit, sans interruptions. Groundation, c’est l’idée d’élever chacun au même niveau, afin que tous parlent et se sentent libre d’enseigner et d’apprendre. Groundation c’est aussi l’idée d’abstraire toute forme de hiérarchie et de niveau social dans le respect de chacun. HARRISON STAFFORD, Pillier du groupe, chanteur et compositeur, Harrison Stafford est un homme fortement inspiré. Il a très jeune, beaucoup voyagé en Afrique mais aussi en Jamaïque. Animé par l’esprit du Rastafarisme, il calque son mode de vie et sa manière de voir le monde sur cette culture. Il livre à travers ses textes et la musique de Groundation un message pour tous, un message spirituel, pacifi ste et audacieux. Son authenticité et sa sagesse lui ont apporté le respect des anciens ou elders, Jamaïcains, Américans, Anglais. Beaucoup à ce jour ont posé leur voix sur les titres de Groundation (Cédric Myton, Don Carlos, Apple Gabriel, Ras Michael, Marcia Higgs), Pablo Moses et I Jahman sont présents sur l’album Upon The Bridge. Discographie : (Young Three / Nocturne) : 2006 Upon The Bridge - 2006 Dub Wars - 2004 We Free Again - 2002 Herbon Gate -2001 Each One Teach One - 1999 Young Tree MAMADY KEITA >>Musique Guinéeunne (Musique traditionnelle, Djembéfola ) // Guiné Bissao //// www.myspace.com/mamadykeita///www.zigzagworld.be/// Sam 18 Juillet // 21h00 // Grand Chapiteau 13 musiciens : Djembés // Choeurs // Doum-doum // Balafon // saxophone // percussions MAMADY KEÏTA : LE LÉGENDAIRE DJEMBÉFOLA CÉLÈBRE SES 50 ANS DE CARRIÈRE MUSICALE Considéré comme le plus grand « Djembefola » vivant ! (maître du djembé) [ TOURNÉE EUROPÉENNE EXCLUSIVE / ÉTÉ 2009 14 Mai au 19 Juillet 2009 ] 50 ans de carrière, cela se fête! Le grand maître guinéen du djembé, Mamady Keïta, fêtera en été 2009 ses 50 ans de carrière musicale par une tournée européenne exceptionnelle. Absent des scènes depuis plus de 2 ans maintenant, il sera accompagné par SEWA KAN, son all stars band de 12 musiciens mandingues parmi les meilleurs toutes générations confondues qui vous feront découvrir les rythmes et chants de l’Afrique de l’Ouest, leurs variations spectaculaires, symbiose subtile et complexe entre djembés, djons, kora, balafon, flûte, chants et danses. Le pouvoir d’envoûtement de l’Afrique dans ses traditions et ses racines les plus profondes. Mamady KEITA est né en 1950 au milieu de la savane néenne. Initié au djembe dès l’âge de 7 ans, il fait partie à g u i 14 ans du Ballet National Djoliba dont il devient rapidement batteur soliste et plus tard directeur artistique. Mamady tourne dans le monde entier avec Djoliba et participe à de nombreux grands festivals dont, en 1969, le Festival Panafricain d’Alger où il reçoit la médaille d’Or et surtout le titre de « plus grand batteur d’Afrique ». En 1986, il rejoint à Abidjan la troupe Koteba de Souleymane Koly et en 1988 il s’installe en Belgique. Mamady enseigne le djembé dans le monde entier (Europe, USA, Japon, Brésil & Afrique) où il jouit d’une célébrité en passe de devenir « mythique ». Mamady Keita est un mythe pour des centaines de milliers de percussionnistes à travers le monde, un Dieu même pour certains d’entre-eux! Considéré comme le plus grand « Djembefola » (maître du djembé) vivant, il est installé à San Diego en Californie, mais voyage à travers le monde plus de 6 mois par an afin de donner ses master class. Il a donné au djembé ses lettres de noblesses en lui apportant son autonomie artistique, prouvant ainsi que ce n’est pas seulement un instrument d’accompagnement au service du chant et de la danse mais aussi un instrument de création. Une tournée événement, mais plus particulièrement une fête qu’il désire partager avec tous ! HUUN - HUUR - TU >>Chant Diphonique - Chant de gorge de Touva // Mongolie /// www.huunhuurtu.com /// Ven 17 Juillet // 19h30 // Grand Chapiteau Avec Kaigal-ool Khovalyg : Voix (kloonei, Sygt, Kargyraa), Igil (vièle à archet) //Sayan Bapa : Voix (Kargyraa, Kloonei) doshpulur (luth), igil (vièle à archet), guitare // Radik Tolouche (Tiuliush) // Tyulyush Radik : Voix, Bizaanchi, Khomuz // Alexei Saryglar : Voix (Sygt), igil (vièle à archet), tungur (tambour de chaman), percussions Une véritable invitation au voyage shamanique Formé de 4 chanteurs musiciens, cet ensemble, dont le nom signifie littéralement « Propulseur de soleil », perpétue les traditions vocales et instrumentales de Touva. Virtuoses ambassadeurs d’une culture empreinte de spiritualité où la nature dialogue avec l’âme, Huun Huur Tu souffle le vent des prairies et nous convie à un voyage fabuleux aux confins du monde. « Dans la langue de Touva, l’expression «huun huur tu» désigne cet étrange phénomène de diffraction de la lumière qui se produit sur la steppe au moment où le soleil se lève ou se couche. En cet instant magique, on dirait que la terre toute entière rayonne d’une lueur sans âge émanant des herbes et des pierres. Il existe un parallèle entre ce phénomène lumineux et la dissociation des harmoniques de la voix produite par les techniques du chant «khöömii» (littéralement chant de ladiphonique. rynx), en français chant Ce singulier art vocal est pratiqué en Mongolie et à Touva, ex-république soviétique autonome qui lui est limitrophe à l’ouest de sa frontière nord. Quiconque l’a entendu une fois ne pourra l’oublier. Et c’est afin de faire connaître ce fascical, que le groupe Huun nant particularisme musiHuur Tu s’est formé en 1992, après que le pays fut libéré du carcan soviétique. La première mouture du quatuor est formée de Kaigal-ool Khovalyg, Alexandre «Sacha» Bapa et son frère Sayan, trois que d’Etat, troupe officielle chartransfuges de l’Ensemble folklorigée de présenter une image stéréotypée des traditions populaires dans bert Kuvezin. l’ancien empire soviétique, ainsi que d’AlKaigal-ool Khovalyg a officié comme berger jusqu’à ses 21 ans, en 1981, avant d’intégrer l’Ensemble folklorique d’Etat. Il est particulièrement réputé pour sa maîtrise des techniques spécifiques de chants khöömii et kargyraa. Sayan Bapa a du sang russe par sa mère. Il s’est formé à la musique dans le nord du Caucase et a été bassiste de jazz-rock avant de se tourner vers les traditions de son pays à son retour à Touva, au début des années ‘90. Il maîtrise particulièrement les instruments à cordes traditionnels comme le doshpuluur et l’igil. Albert Kuvezin, qui avait entrepris sa propre démarche dès 1991, participe à la première tournée et au premier album de Huun Huur Tu, avant de se consacrer entièrement à son propre projet, à la frontière du rock et de la tradition avec son groupe Yat-Kha. Il est remplacé en 1993 par Anatoli Kuular, ancien berger virtuose du chant diphonique et de la guimbarde devenu musicien profession- nel au sein de l’Ensemble Touva. Sacha Bapa, possédait notamment dans sa panoplie de percussions un hochet fabriqué à partir d’un testicule de bœuf dans lequel sont enfermés des osselets de chevilles de moutons. Il quitte le groupe en 1995, après ses premiers succès américains, pour se lancer dans la production à Moscou. Il est remplacé par le jeune Alexei Saryglar, ancien membre de l’ensemble d’Etat Siberian Souvenir, spécialisé dans le style de chant sygyt. Basé dans la capitale de Touva, Kyzyl, Huun Huur Tu a été invité à tourner aux Etats Unis dès 1993. Les musiciens ont contribué à la musique du film Geronimo sous la houlette de Ry Cooder et se sont joints aux univers aussi divers que ceux du regretté Frank Zappa, des Chieftains ou du Kronos Quartet. Les deux albums enregistrés en 1996 et 1998 par Huun Huur Tu avec le chœur de femmes bulgares Angelite n’égalent sans doute pas la puissance d’évocation des quatre albums produits par le label américain Shanachie. Et c’est sans doute avec le cinquième, un «live» enregistré en avril 2001 dans d’excellentes conditions, que l’on approchera au plus prêt les émotions inédites provoquées par cette musique venue d’un monde où l’homme, le cheval, l’eau, la terre et le ciel sont unis dans le mystère d’une ineffable harmonie. François Bensignor ( MONDOMIX ) RAMIRO MUSOTTO & Orchestra Sudaka >>Electro brazil (Musique brésilienne : samba - Afro - cubain - Nordest... // Brésil //// www.helicomusic.com/artiste L’électron libre de l’electro Brasil, programme, arrange, compose, et mêle sur scène instruments traditionnels, sonorités urbaines et V-jaying, lors de set percutants. dant Ramiro Mosottto utilise le berimbau pour faire des percussions, des mélodies et en sampler des boucles. Il exploite comme personne toutes les nuances et tessitures de son instrument. Basé sur les rythmes afro-brésiliens son travaille intègre des éléments d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Asie et d’Europe. Après avoir posé le climat, il investit les terroirs de la tradition pour y semer des petites graines d’électroniques qui leur donnent des airs de champs futuristes jonchés d’hybrides hauts en couleurs à l’image des vidéos qui sont diffusées penles concerts. Ramiro Mosottto utilise le berimbau pour faire des percussions, des mélodies et en sampler des boucles. Il exploite comme personne toutes les nuances et tessitures de son instrument. Basé sur les rythmes afro-brésiliens son travaille intègre des éléments d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Asie et d’Europe. Après avoir posé le climat, il investit les terroirs de la tradition pour y semer des petites graines d’électroniques qui leur donnent des airs de champs futuristes jonchés d’hybrides hauts en couleurs à l’image des vidéos qui sont diffusées pendant les concerts. Argentin de naissance, Ramiro Musotto n’en est pas moins l’un des musiciens brésiliens les plus accomplis de sa génération et reconnu par ses pairs, Adolescent, Ramiro Musotto vit à Bahia Blanca en Patagonie. Il est batteur dans un groupe de rock et percussionniste dans divers rock-band de musiques contestataires mais aussi dans l’orchestre symphonique de sa ville. En 1982, Ramiro a 18 ans et quitte l’Argentine, non pas pour les Malouines, mais pour une bien plus noble conquête ; celle des rythmes brésiliens. Il n’a plus qu’une seule idée en tête, devenir percussionniste et maître de berimbau, à l’image du génial Nana Vasconcelos. Après 2 ans de formation à Sao Paulo, il s’installe à Salvador de Bahia où il restera 12 ans, profondément immergé dans la négritude, la capoeira, la samba et le candomblé. Les pieds bien ancrés au Brésil mais les oreilles déjà tournées vers la pop mondiale, c’est également à ce moment là que Ramiro vit ses premières expériences de programmations électroniques. En plein boom de la musique Axé [aché] (musique symbole du carnaval de Bahia), Ramiro participe à l’ascencion des deux plus célèbres chanteuses de samba reggae de Bahia, Margareth Menezes et Daniela Mercury, avec qui il tournera dans le monde entier comme percussionniste puis arrangeur jusqu’en 1995. Il a ainsi joué les partitions de berimbau moderne sur les enregistrements de Caetano Veloso, Gilberto Gil, Virginia Rodriguez, Joao Bosco, Fernanda Abreu ... parmi bien d’autres. Fin 2003, pour ses 40 ans, Ramiro s’est offert un premier album solo, Sudaka, salué par la presse brésilienne, américaine et européenne comme l’album le plus intéressant de l’histoire de la musique électronique brésilienne. En 2004, il est invité par Lenine, star de la nova MPB, pour la création « Lenine InCité », commande de la Cité de la Musique à Paris.En France en 2007, avec la sortie du CD Civlizacao & Bararye chez Helico, le mag. Télérama lui accorde trois fff. Radio Nova le classe dans les meilleurs disques 2007, les Inrocks le qualifient de « génial » . Mix de sonorités urbaines, tribales, rituelles et de percussions avec un carrousel de citations électronisées, cet album réunit les meilleures influences et expériences du compositeur, et en dix thèmes magnifiques nous traduit un Brésil parfois méconnu. Ramiro Musotto et son Orchestra Sudaka entament une tournée européenne en 2008. «Pour lui, les musiques électroniques et les musiques primitives ont beaucoup de choses en commun, notamment à cause de la prédominance du rythme. Des jours et des nuits passées à faire naître le groove à l’intérieur des circuits électroniques, additionnées à une pratique permanente des instruments traditionnels lui permettent de faire exploser les barrières de ces deux mondes. Les clés de son art sont là et en écoutant ses disques il est difficile de trier les sons naturels des sons synthétiques. De séparer la civilisation de la barbarie, thème central de son nouvel album. Avec Civilização & Barbarye, Ramiro Musotto a réalisé le disque qu’il avait envie d’écouter, celui qui était logé dans sa tête. Il y traduit les violentes contradictions sur lesquelles s’est construite l’Amérique du Sud, où des civilisations dites primitives ont été anéanties ou mises au pas par des peuples soit-disant évolués. Concrètement, on trouve des morceaux d’inspiration africaine comme «M’bala», avec ses arpèges de guitares à la zaïroise, ou «M’bira» dans lequel le berimbau dialogue avec le piano à pouce. «Gwyra Mi» est chanté par les enfants de l’association Indígena de Aldea Morro da Saudade, une tribu des environs de São Paulo qui fut colonisée par les jésuites il y a plus de 400 ans et qui pensent encore aujourd’hui que les guitares et les violons européens qu’ils utilisent sont des instruments traditionnels indiens. «Nordeste Beradero» évoque le Robin des bois brésilien, le fameux bandit Lampião. La musique afro-cubaine est abordée avec «Ochossi» et «Ogum», à base de percussions bata, ou «Yambú» une reprise d’une rumba du groupe cubain cinquantenaire Muñequitos de Matanzas. «Assanhado» est lui un chorinho, genre carioca qui inspira la samba de Jacob do Bandolim. Mais Ramiro ne s’est pas contenté de croiser les musiques de son continent, il a aussi invité le chanteur iranien basé en Norvège Rostam Mirlashari qui interprète «Majno ma bi», un chant traditionnel du Balouchistan. Alors que 80 % de son disque précèdent, Sudaka avait été réalisé en solitaire, Ramiro, qui a aussi collaboré avec Caetano Veloso, Marisa Monte, Gato Barbieri ou Daniela Mercury, a puisé dans son impressionnant carnet d’adresses pour le plaisir de partager la musique. Ainsi, Arto Lindsay et Chico Cesar sont venus lui prêter mainforte, tout comme Santiago Vasquez, le percussionniste du groupe argentin Puente Celeste. Sur le papier, on a l’impression que ce disque fait un grand écart constant et passe du coq à l’âne, mais le musicien a su y mettre sa personnalité, développer son son et trier dans sa production pour réaliser une œuvre d’une trentaine de minutes parfaites. Il explique sa méthode : «Le Cd a trouvé son chemin tout seul. J’ai enregistré plus de vingt morceaux pour n’en garder que dix, passant parfois deux mois sur un morceau pour finalement l’abandonner. C’est comme une partie d’échecs, pour arriver au but, certains morceaux ont été sacrifiés mais peut-être ressusciteront-ils un jour…» MONDOMIX - Benjamin MiNiMuM NAWAL >>Musique Comoriennes (Musique traditionnelle polyphonique ) // Mongolie //// www.nawali.com /// Sam 18 Juillet // 19h45// Grand Chapiteau Nawal Mlanao : voix, gambusi, guitare /// Matthieu Eskenazi : contrebasse /// Melissa Cara Rigoli : percussions/// : Percussions “Ecouter Nawal, c’est être invité à danser, à rêver, à méditer, à survoler l’Océan Indien...” LA VOIX DES COMORES ! Originaire de l’archipel des Comores, Nawal auteur-compositeur-interprète est la première femme musicienne de ses îles à se produire en public. Sa voix profonde, chaude et prenante n’a pas mis longtemps à être reconnue “La Voix des Comores”. Artiste et productrice, Nawal évolue sur la scène professionnelle depuis plus de 20 ans. La deuxième tournée (2007) aux Etats-Unis et Canada fût un succès. De même que pour Aman (Paix Intérieure), son nouveau disque. (DOM Distribution) Entre traditionnel et contemporain, la musique de Nawal, résolument acoustique, tisse un harmonieux dialogue des cultures indo-arabo-persane, avec les polyphonies bantous, les chants soufis, et les rythmes syncopés de l’océan Indien. En 2001, elle grave son premier enregistrement, Kweli (Vérité), porteur d’un son inédit et reflétant la richesse et la diversité de ses îles. Pendant son enfance, Nawal a baigné dans un monde musical à la fois pop et religieux. Les influences musicales de sa jeunesse sont essentiellement composés de dhikr (chant soufi des mosquées), de la musique twarab, et du groupe afropop dans les années 1970 de son oncle. Cette Africaine de confession musulmane, sans toutefois adhérer à bien des codes socio-religieux d’un autre âge, a dû faire face à de nombreux obstacles au cours de sa carrière. Elle a cependant conservé la philosophie et le message qui l’animent. Descendante d’ El Maarouf (1852-1904), un grand marabout soufi des Comores, elle continue de s’inscrire résolument dans la lumière d’un Islam fondé sur l’amour, le respect e t la paix. Nawal chante essentiellement en comorien, quelques fois en arabe, français et anglais. Au fil du temps sa musique s’est dépouillée pour aller à l’essentiel, et Nawal, qui chante et joue de la guitare et du gambusi (sorte de rité du Yémen), a choisi la formule en trio, avec la complicité luth local, héd’Idriss Mlanao à la contrebasse et Mélissa Cara Rigoli au percussions diverses (mbira dzavadzimu, calebasse, cymbal, maracas, oudou, etc). L’EXPRESS “Nawal “La Voix des Comores” : une incroyable profondeur.... sa version de l’Amour Sorcier, de Claude Nougaro, allie force et spiritualité. Lumineux.“ ALiA “Nawal est une artiste d’un calibre rare, la musique coule dans ses veines à part égale avec le sang et sa voix nous percute avec une infinie douceur.” MFI HEBDO “Nawal est l’une des rares artistes féminines à avoir percé au-dela de l’ocean Indien” “Son chant, à la fois puissant et envoutant” 8 NEW YORK TIMES “L’un des albums musiques du monde les plus marquants de l’année...“ MONDOMIX “Nawal, « la voix des Comores » : une grande dame à l’élégance raffinée, qui fait du métissage son maître mot, un secret de fabrication pour envoûter le public. De la musique soufie aux polyphonies bantoues, en passant par les rythmes de l’Océan Indien, son trio – contrebasse, chant, percussion – navigue avec aisance, et un vrai sens de la musicalité.” QUOTIDIEN de La Réunion et de l’Ocean Indien “[Nawal] impregnée de spiritualité emmène le public du Massalé très loin, et très haut.” LA PRESSE (Montréal) “Nawal a le regard placide des sages. Son sourire contagieux est celui d’une artiste de culture musulmane pétrie dans le mysticisme ouvert et contemplatif. Sa prestance est celle d’une femme farouchment autonome, esprit libre de surcroit. Cela rejaillit dans sa musique composite, à l’image de sa trajectoire de Comorienne immigrée en France.” ù FAMILHA ART S >>Musique radicale de Gascogne (Instruments traditionnels, rock, electro, chant gascon...) // Gascogne //// www.familha-artus.com /// Sam 18 Juillet // 23h00 // Grand Chapiteau Romain Colautti : guitare basse, guitare barytone, percussions // Roman Baudoin : vielle alto // Matèu Baudoin : chant, guitare basse, tambourin à cordes, flûtes, percussions // Tomàs Baudoin : chant, boha, guimbardes, flûtes, percussions // Nicolas Godin : dispositifs électroacoustiques, percussions // Yannick Prévost : son // Olivier Granger : lumières Familha Artús fouille et défriche avec une belle audace le répertoire tribal de Gascogne et le confronte à d’autres sons et constructions provenant de musiques que l’on pourrait qualifier pudiquement d’actuelles, mais qui, il faut bien l’avouer, n’ont rien à voir avec les tendances imposées. Les « Artusans » jouent ce qu’ils sont, sans tricher, et sans chercher à servir la soupe à ceux qui voudraient juste s’encanailler dans le folklore gascon. Ca grince, ça sature, ça groove, ça métallise, ça électronise dur, ça ethnise sec, et ça se barre même parfois dans des contrées foutrement parallèles ou extraterrestres, au choix. La Familha Artus «Nous puisons dans le répertoire tribal gascon, dans le rock progressif anglais et les musiques électroniques, des cultures et des énergies qui nous rassemblent. Notre musique est radicale, car ethnique : à la fois enracinée dans les territoires où nous nous investissons et en mouvement vers les ailleurs que nous explorons. - Que jogam çò qu’èm - nous jouons ce que nous sommes - » « ... Le rock progressif et l’école de Canterburry ne sont pas tombés dans l’oreille de sourds et il est facile de dénicher, [...], l’influence de Gong et de Robert Wyatt... » O. Bailly (La Scène) « ... Y a même des instruments, j ’ai jamais vu ça... jamais vu ça [...]. Et ça sonne terrible. Ouvrez grand les transistors... » S. Levaillant (Sous les étoiles - France Inter) Longueur d’Ondes n°42 Hiver 2007/08 « …Voilà de la vraie musique populaire française, celle qui s’ouvre à l’extérieur sans s’édulcorer, celle que l’on aimerait inébranlable, et pourtant si fragile. » Rafael Aragon Mondomix – nov 2007 « …Le cocktail inventif et psychédélique brouille les repères spatiaux et temporels, à michemin entre l’urbanisme futuriste et la tradition locale. «Que jogam çò qu èm !», «nous jouons ce que nous sommes», clament les cinq trublions de la familha ; un excellent remède aux préjugés !... » Anne-Laure Lemancel Ethnotempos n°36 – nov/dec 2007 Revue sur les musiques du monde « …familha Artús a véritablement inventé une nouvelle musique inclassable malgré ses racines traditionnelles, radicale certes mais passionnante, et dont l’énergie pourrait sans peine rivaliser avec les plus grandes stars sur les scènes internationales. Òrb, qui a bénéficié de la direction artistique de Francis Mounier (l’Occidentale de Fanfare), possède de plus une production parfaite et un son imposant... » Sylvie Hamon Progressia.net le 24/11/07 webzine des musiques dites « progressives » « …la familha Artús démontre avec Òrb, et à l’instar d’un Dupain provençal, que les musiques d’inspiration traditionnelle sont en permanente évolution et s’accommodent parfaitement des approches musicales et techniques les plus modernes. Ce nouvel album pousse en effet bien plus radicalement le propos entamé avec Òmi, développant une personnalité musicale extrêmement intéressante… » Fanny Layani Trad Magazine n°117 janvier/février 2008 « …Un des albums les plus intéressants qu’il nous ait été donné d’entendre ces derniers mois. D’autant plus intéressant qu’il va sans doute entraîner des réactions partagées… » Jean-Baptiste Vinsard Magazine TRAVERSES n°23 – mars 08 Musiques nouvelles et autrement progressives « …Les « Artusans » jouent ce qu’ils sont, sans tricher, et sans chercher à servir la soupe à ceux qui voudraient juste s’encanailler dans le folklore gascon ou encore se snobinardiser la tronche avec des sons «âââcthuueells ». Ca grince, ça sature, ça groove, ça métallise, ça électronise dur, ça ethnise sec, et ça se barre même parfois dans des contrées foutrement parallèles ou extraterrestres, au choix (La vielha, atc). Le cosmotrad ne s’apprivoise pas, il s’accepte simplement dans sa différence identitaire et sa radicalité sauvage. Une musique de traverses qui sent le terroir, ça peut exister !... » Stéphane Fougère POUM TCHAK >>Musique Tzigane swing manouche // Marseille //// www.poumtchak.com /// Sam 18 Juillet // 23h00 // Grand Chapiteau Olivier : Guitare // Emmanuel : Contrebasse // Jean-Philip : Violon // Lionel : Bandonéon, Chant // Alexandre : Guitare, Oud, Banjo // Samuel : Batterie Poum Tchack fait une musique diabolique et inclassable. Des compositions détonantes, un humour omniprésent, mais surtout une fougue communicative et une grande qualité d’interprétation donnent toute sa dimension à cette formation. Si le Swing manouche et la musique tzigane restent les ingrédients principaux de ce mélange détonant, ces six musiciens puisent sans complexe dans bien d’autres univers. Violon, bandonéon, guitares, contrebasse, percussions, chant, l’acoustique est à l’honneur, le rock n’est jamais très loin. Poum Tchak est né dans la région d’Aix-Marseille il y a presque une décennie. Le mélange harmonieux de swing, de jazz, de rock et d’airs tziganes qui, d’Essaouira à Nouméa, en passant par Hong Kong ou Genève opère et entraîne sur son passage un public toujours plus conquis. Avec plus de 400 concerts et deux albums (« Poum Tchack » et « Délirium Live « ), on a pu les croiser avec Mickey 3D, les Ogres de Barback, Manitas de Plata, Jacques Higelin ou encore Emir Kusturica, San- severino, Sergent Garcia,… Si le swing manouche et la musique tzigane vous font vibrer, alors Poum Tchack saura vous convaincre avec leur musique qui réunit toutes les générations de mélomanes... Véritable OMDI (Objet Musical Difficilement Identifiable), Poum Tchack fait de la musique actuelle traditionnelle. Prenez un violon et du chant, un bandonéon, deux guitares (mais aussi parfois un oud ou un banjo), une contrebasse et une batt e rie. Ajoutez à cela un humour omniprésent et des compositions détonantes, le tout en acoustique mais dans un véritable esprit rock’n’roll. Vous obtiendrez alors un groupe taillé pour la scène. Né à Marseille il y a une demi-douzaine d’années, Poum Tchack a tracé sa voie, d’Essaouira à Nouméa, de Jazz à Vienne au Gipsy Jazz Festival de Nouvelle-Calédonie, en compagnie d’artistes reconnus comme Mickey 3D, les Ogres de Barback, Manitas de Plata, Jacques Higelin ou encore Emir Kusturica, partageant chaque fois sa bonne humeur et enchantant toujours un peu plus les spectateurs ; les éloges n’ont pas manqué pour saluer le travail de ce groupe au langage riche. Leur premier album, auto-produit, sorti en 2002, s’est déjà vendu à plus de 6.000 exemplaires. Quant à leur deuxième album « Delirium Live », sorti en Mai 2005, il est à l’image de leur nouveau spectacle : une fougue communicative et une qualité d’interprétation qui donnent toute sa dimension à cette formation. Mais le groupe ne s’arrête pas là et mène également d’autres projets et d’autres expériences : ciné-concerts et théâtre avec la mise en musique de films d’animation muets de Ladislas Staréwitch ainsi que la participation au projet « Rues » d’après l’« Opéra de Quat’sous » de Bertold Brecht et Kurt Weill mis en scène par Eva Doumbia. PLANTEC >>Electro Breizh (musique bretonne électronique) // Bretagne //// www.myspace. com/plantec /// Ven 17 Juillet // 01h00 // Grand Chapiteau Yannic PLantec : Guitare // Odran Plantec : Bombarde // Christophe Hellec : Basse // Nicolas Le Millier : Biniou // M-Kanik : Machines // Maël Lhopiteau : Chant, harpe celtique Fusionnelle et electrique, sont les deux termes qui résume le mieux la musique de Plantec. Désormais au nombre de 6, les musiciens arpentent leur nouvel voie, au travers de mélodies, de textes et de riffs issus d’une culture bretonne forte, s’ouvrant ainsi aux sonorités du monde. C’est le duo guitare-bombarde aux compositions endiablées des frères Plantec, enrichi par les envolées de biniou «sauvage» et les grooves d’un bassiste au déhanché parfait, qui donnera naissance en 2004 à l’album «reverzhi». Originaires du Morbihan, ces «lutteurs» des festou-noz, rencontrent M-Kanik et ses paysages sonores aux rythmes incisifs. Le groupe prend alors une autre direction avec Plantec en 2006. A peine un an plus tard, c’est encore une rencontre avec une voix, celle de Maël Lopithau qui oriente la démarche musicale du groupe. ARAOK illustre parfaitement cette nouvelle aventure qui ne fait que commencer ! Libération «Plante c est actuellement le groupe le plus festif de bretagne ...» Télérama «La bande ragaillardit avec une belle énergie les Andro, Laridés et Plinn du pays de Breizh ...» Bretons «Toujours plus de créativité pour fuir les comparaisons et imposer leur univers ...» THE TAIKONAUTS >>Surf Rock // Toulouse //// www.myspace.com/thetaikonauts /// Ven 17 Juillet // 02h15 // Cantina Joël Salle-Cradit : guitare // François Bidermann : guitare // Jean-Michel Briand : Basse, samples // Maarten Schepers : batterie Planète Terre, monde irréel ! Bienvenue dans le monde de «The Taikonauts» et de leur Original Pure Surf Music ! Style : Surf Music (musique très populaire à la fin des années 50 -début 60, apparue en Californie, liée au Surf et à sa culture. Elle sera au milieu des années 60 presque effacée par la British invasion des Beatles, Rolling Stones, etc. 1959 : Dernier incident. Santa Fe, Nouveau-Mexique, Etats Unis d’Amérique. Lors d’un entraînement, quatre catcheurs de Lucha Libre sont enlevés par des martiens pirates Méga-3, amenés sur Saturne puis congelés. 2008 : Premier contact. Saturne, système solaire. Les martiens Méga-3 établissent un contact avec le satellite d’observation Go-Goal de génération 9.3. Après paramétrage du programme de décongélation, les lutteurs sont renvoyés sur Terre. 2009 : Planète Terre, monde irréel. Choqués par l’évolution chaotique du 21ème siècle, les quatres hommes s’emparent d’un Music Store dans un quartier pourri de Mexico City... Bienvenue dans le monde de «The Taikonauts» et de leur Original Pure Surf Music ! LA TORMENTA >>Cumbia // Toulouse //// www.myspace.com/thetaikonauts /// Ven 17 Juillet // 02h15 // Cantina Ose Ruiz, bassisite, chanteur // Christophe Dandieu: tambor alegre, congas, set percussions // François besanson: timbales, congas, set percussions // Frédéric Monnier: sax alto // Patrice Guyot: sax alto // Guillaume Petit: sax tenor // Emmanuel Nerot: sax soprano, gaita, arrangements, direction musical. Cuivres, percussions, basse et chant sont les ingrédients d’une sauce métissée, aux parfums d’Afrique,aux épices indiennes et saveurs espagnoles. Sept musiciens se retrouvent autour d’un style musical qui fait danser toute l’Amérique Latine : “ la Cumbia”. Née en Colombie mais chantée et jouée du Mexique à l ’Argentine, cette musique est le fruit d’un métissage entre les cultures indienne, africaine et espagnole. Le répertoire de La Tormenta est puisé en grande partie dans les morceaux des années 50 et 60 : Lucho Bermudez, Pacho Galan, Edmundo Arias, Pedro Laza… Ca s’écoute, ça se danse, ça donne chaud, ça détend, ça rassemble, ça déchire, ça réconforte, ça donne soif, ça se partage, ça décoiffe, ça va bien…C’est une musique tropicale métissée, populaire, originale, accessible, colombienne, festive, colorée…! DJ NO BREAKFAST >>EXOTICA - SOUNDTRACKS - LIBRARY MUSIC - MAMBO - SURF - DOO-WOP BOOGALOO - ROCKABILLY - GARAGE - CROONERS & SIRENS - 60’s A GO-GO BEATS - BOLLYWOOD - RAP - FUNK - CUMBIA - BAILE FUNK ...// Toulouse /// http://djnobreakfast.tumblr.com // /www.myspace.com/mamievandorenshow /// www.radiofmr.net /// Ven 17 Juillet // Cantina à tous les changements de plateau et vendredi et samedi de 2h00 à 3h00 sous le Grand Chapiteau Du groove, des perles rares, de l’énergie en barre ! Une sélection poussiéreuse originale, pleine de bizarreries en tous genres. Amateurs géniaux, stars incomprises, maitres incontestés, bidouilleurs de .WAV, nerds insomniaques, ringuards internationaux, ou superstars de la pop Srilankaise animent les sets de Dj No Breakfast. ALIMA & LONE KENT >>Blues Algérien - Fado Algérien // Toulouse //// www.myspace.com/alimatheband /// Dim 18 Juillet // 14h30 // Eglise Alima Hamel : chant, guitare // Lone Kent : guitare, bottleneck La chanteuse Alima, du groupe toulousain Monkomarok, rencontre le Guitariste slider Lone Kent. Le blues leur est commun , peut ètre à cause de leurs origines respectivement africaine et américaine. La rencontre fut naturelle. une avec le « Le blues n’est pas un genre, c’est une âme. Je crois qu’elle est devenue une caractéristique de l’identité, elle est là en soi et en soit depuis des millénaires, elle crie au dedans et ma foi elle prend toute la place, n’autorise pas la sophistication, qui est perte de temps, elle est brut et brutale et s’accommode temps, avec l’expérience de la vie. « Alima. Alima conte, raconte et se raconte. Elle puise dans ses entrailles, va chercher la douleur pour la sublimer, l’embellir, l’offrir comme un bouquet d’ortie transformé en rose … De son Algérie à elle, ce sont ses sœurs, ses sœurs de sang , celles qui y sont restés, celles que l’on a emmenés là bas sans leur demander leur avis qui hantent avant tout son cœur et son imaginaire. C’est la disparition de l’une d’entre elles, la plus jeune, en 1997, lors d’une guerre sans nom, c’est aussi la douce, fidèle et entêtante Algérie de son enfance chaque été, c’est l’Algérie de ses parents, celles qu’ils ont aimés, celles qu’ils ont perdue … L’Algérie exil des parents, son exil par extension «même si l’ont nait en France …» AZRAM >> Musiques roots expérimentales // Bordeaux //// Ven 17 Juillet// 18h30 // Cantina Luc Girardeau : daf, udu, zarb, rig, tar // Kali : piano, basse, programmation, chant «Azrâm est né début 2008 d’un sentiment partagé, de quelques notes de piano et d’un rythme, d’une respiration commune, d’un besoin de liberté. La musique fut d’abord improvisée puis, à l’occasion d’une semaine de résidence, des mélopées entêtantes se mirent à chanter dans nos coeurs et nous nous sommes attelés à fabriquer des écrins pour ces petites perles, tout en conservant intacte cette liberté si rare... Après avoir testé ce répertoire qui mêle poésie orientale et improvisation Azram a travaillé sur l’interaction, l’échange des rôles, un plus bel écrin pour les voix, un son plus précis et un retour aux racines qui leur semblait incontournable. ils sont animés par l’envie de rencontrer les gens au détour d’un concert et essayent sur scène de créer un espace chaleureux, intimiste et confortable pour accueillir comme il faut dans notre maison de notes tous ceux qui le désirent...» LES KAG >>Duo musico comico théâtrale : Délirium musical /// Dim 18 Juillet // 20h00 // Boulodrome Karine Vergès ET Agnès Tihov : Guitare, chant et bien d’autres choses encore ... Deux musiciennes à la tchatche vengeresse et au verbe haut font un tour d’horizon de la chanson française, du rap au free jazz en passant par le Heavy Métal et le ska. Elles tiennent à fustiger les nombreux clichés inhérents à ces différents styles musicaux. Plus qu’un spectacle, les Kag nous offrent leur réflexion sur la musique d’aujourd’hui. SUD OUEST « «Un spectacle d’amour intestinal», voilà ce que proposent les Kag. Derrière ce nom légèrement scatologique se cachent deux «artistes tout terrain», deux saltinbanques des temps modernes qui n’aspirent qu’a une chose : prendre du plaisir en se donnant à Fond sur scène. Ce qui donne des spectacles délirants au possible dont «téléchargez-nous gratuitement» est la dernière illustration...» AFRODIZIA >>Reggae samba // Brésil //// www.myspace.com/lautremonde83 /// Dim 18 Juillet // 21h30 // Boulodrome AFRODIZIA est né en mai 1994 à São Paulo autour du désir de retrouver les racines africaines de la culture brésilienne, pour cela AFRODIZIA a choisi un langage universel que le monde entier écoute : la musique Reggae. AFRODIZIA est né en mai 1994 à São Paulo autour du désir de retrouver les racines africaines de la culture brésilienne. Comme les rastas en jamaïque, AFRODIZIA a choisi un langage universel que le monde entier écoute : la musique Reggae. La culture musicale brésilienne est basée sur des rythmes syncopés et ternaires (à trois temps) qui donne aux Brésiliens une facilité incontestable pour trouver l’alchimie rythmique qui amène au reggae son groove mobilisateur. Porté par des idéaux de paix, de partage et par la poésie qu’ils savent trouver dans la vie quotidienne, AFRODIZIA a décidé d’exploiter cette aptitude naturelle. Le savoir faire social des musiciens brésiliens apporte à cette musique internationalement reconnue une rythmique dansante aussi surprenante que quasi inédite en France. C’est le secret d’une convivialité qui fond tout type de public dans une chaleur festive « Brasil » inimitable qui dépasse les attentes et gouts musicaux de chacun. Ils y ajoutent un héritage culturel brésilien tout à fait assumé en y mêlant des formules et des styles musicaux plus typiques : Banda Carnaval (cuivres et percussions déambulatoires) ainsi qu’un set de Samba & Musique Populaire Brésilienne. Le groupe compte aujourd’hui 9 musiciens dont 3 cuivres, connus de tous au Brésil depuis que leurs compositions bien tournées, vivantes, joyeuses et conviviales, donc plus à même de transmettre un message ont séduit plusieurs producteurs TV qui en ont fait des génériques d’émissions très populaires. ARTS DE RUE TRIO ZINDAR >>Spectacle aérien , accrobatique et burlesque// Gard /// http://zindare.free.fr /// Sam 17 Juillet // 16h30 // Scène arts de rue Il en reste trois, ils ont pris la route dans l’espoir de mettre du beurre dans les nouilles ! Ils nous présentent leurs nouveaux numéros, une rafale de cascades, d’acrobaties, de force et de souplesse, dans lesquels transpire un certain humour qu’ils ne sont pas sûrs euxmêmes de comprendre. Non ! Ils n’ont pas changés... CIE OMNIBUS JAZZ A TOUS LES ETAGES >>20 m3 de concentré de poésie, d’accrobatie de jazz et d’humour /// Dim 18 Juillet // 17h30 // Champs de Mars Jazz à tous les étages tente de tisser un lien entre le visible, le relationnel et la poésie de l’imaginaire, de surmonter les contradictions, retrouver l’unité... dans l’écriture, pas de logique ni de narration linéaire mais une mise en rapport poétique d’éléments de situations éloignées. Un dialogue burlesque, corporel et musical. Une esthétique abstraite, absurde, comme dans un rêve, qui réveille chez le spectateur des zones inconscientes. le jazz, véritable colonne vertébrale du spec- tacle, trait d’union entre le corps et l’esprit, centralise, structure et articule les rencontres et les échanges entre les personnages. musique d’émancipation par excellence, construite et à la fois improvisée, elle ouvre le cadre d’un dialogue où chaque individualité évolue avec sa partition personnelle. Mis en situation de rencontre dans un espace confiné, les partitions devront se chercher, s’accorder, se confronter. trouveront-ils, garderont-ils leurs particularités, seront-ils identiques ou transformés de cette expérience ... ? CIE MATIERE PREMIERE BLACK SWAN REVIVAL AND THE KARMA PEOPLE >>Objet théâtrale non identifié /// Dim 18 Juillet // 15h30// Sous la Halle Agnes Tihov // Xavier Laurant // Kamel Abdessadok Mais quelle est cette étrange cérémonie qui se déroule sous nos yeux ? D’où viennent- ils ? A quoi bon tout ça ? Trois personnages tentent de nous amener vers la lumière. Ils veulent absolument donner un sens à nos vies, avec les moyens dont ils disposent : Générosité, acceptation de l’autre, acceptation de soi… Laissez-vous tenter par l’expérience mystique.» Sponx Data Enter « Il est déjà trop tard » Ce spectacle hors normes qui surprend, réunissant des techniques artistiques exclusivement développées au foyer (astro danse progressive, chant mystique, flûte céleste, lyre contemporaine, cruche tellurique…), constitue un véritable objet théâtral non identifié. Si le succès du Soupe Sound System avait poussé la cie Matière Première à laisser de côté ce spectacle, elle décide aujourd’hui de permettre au Black Swan de jouir pleinement de son revival. SALAM TOTO «DONKEY’S CIRCUS » >>Cie equestre - Cirque de rue/// Ariège Dim 18 Juillet // 14h30 ET 16H30 // Champs de Mars L’homme de cirque: Stéphane Laisné // Carmen : Mélanie de Diesbach ou Zoé Tiberghien // Les Ânes : Babouche, Étoile & Ontias // Accompagnement : Fred Werlé, Mélanie de Diesbach, Paco Portero, Dominique Chevalier, Didier Kowarsky// Direction musicale , composition et interprétation : Gabriel Levasseur Des hommes qui cherchent à retrouver l’usage de la parole, celui-là cherche à braire. Des poils lui poussent, ses oreilles s’allongent, discrètes, par en-dedans. L’homme et l’âne sont compagnons depuis la nuit des temps. Et de compagnon à complice il n’y a que quelques trots, pas à pas, danse et simagrée, coup de cul et dressement batailleur... C’est beaucoup d’interrogations sur notre relation animale...sur notre lien à la terre dans ce monde moderne, individualiste... C’est beaucoup de bruit autour et de musique et de borborygmes et de souffle, instruments, vents et boutons d ‘accordéon...ah oui, un musicien... C’est pour tous les Ânes de la terre, à nous aussi qui le sommes un peu, dans une petite piste de sciure, dans un cirque de rue et de rien, un confetti d’univers... Pour faire suite au personnage de reprise « l’Ermite », interprété avec Babouche l’ânesse dans le spectacle « Penthésilée suite fantasy » et du personnage « Ion » de la « Guinguette Cavale », le cabaret équestre de Salam Toto, il y a l’envie de créer une suite pour 2 ânesses, 1 âne, 2 personnages et quelques chiens errants. Histoires de voyageurs, d’hommes et d’animaux au grand cœur, qui trouvent dans chaque geste d’un petit cirque forain le prétexte à des pirouettes comiques. Partenaires réactifs par le geste, le langage des oreilles et par le regard qu’ils portent aux humains et aux situations, Babouche, Étoile et Ontias sont les acteurs, nobles, du « Cirque des Ânes » que créé Salam Toto. CIRK OBLIQUE COMME UNE GOUTTE D’EAU DANS UN SAC À MAIN.... » >>Trapèze/// Ariège/// ven 17 Juillet // 18h15 // Scène arts de rue Avec Marie Mercadal « Une femme seule prise au piège dans l’absurde de son quotidien nous dévoile ses faiblesses et ses vertiges... Suspendue....fragile... Elle tente de se sortir de ces doutes par un mouvement perpétuel... » CIRCAMBULLE MON PREMIER CABARET >> ATELIERS CIRQUE TOUT PUBLIC // HAUTE GARONNE //// DIM 20 JUILL ET // À PARTIR DE 14H30 // AU VILLAGE - DERRIERE L’ÉGLISE LES ATELIERS THÉÂTRE ET CIRQUE PERMETTENT À L’ENFANT DE DÉCOUVRIR SES GOÛTS ET SON POTENTIEL . Initier l’enfant aux arts du cirque en permettant l’intégration de numéros variés au spectacle...# Fil de fer # Jonglerie # Clown # Pyramides # Parade et percussions # Fabrication de balles de jonglerie VIOLON PROFOND LES CLASSIQUES DU HARD ROCK » >> «Sur l’autoroute de l’enfer» /// Liles /// /// http://violon.profond.free.fr Ven 17 Juillet à 17h15 et Sam 18 juillet à 18h10 // Cantina Tony Violon : Violoncelle // Jerry Profond : voix Violon profond ou le heavy métal revisité à la sauce classique par deux hard-rockeurs un peu fou ! Apres avoir brûlé la scène du Carnegie Hall Concert, boeuffé avec le Philharmonique de Berlin . . . Les VIOLON PROFOND sont de retour sur l’autoroute de l’enfer !!! Duo violoncelle / chant, atypique mais classique, Tony Violon et Jerry Profond déplombent en français dans le texte les plus beaux tubes du Hard-Rock et du Heavy Metal ! Depuis 1998, partout où il est possible de jouer : en rue, sur scène, à l’église, à la montagne, dans des caves, à l’hôtel, dans les squatts, De la grosse scène au muret d’ampli... ...le chainon manquant entre le conservatoire et les stooges. Bientôt chez vous ! C’est le projet de deux lillois, Tony Violon et Jerry Profond qui décident de revisiter les grands classiques du hard rock en français. C’est en costume trois pièces qu’ils proposent des titres comme Autoroute de l’enfer, Fumée sur l’eau ou encore Casser les lois qui ne sont autres que les reprises de Highway to hell d’AC/DC, Smoke on the water de Deep Purple ou Breaking the law des Judas Priest, ceci dans une version plus proche de la musique de chambre et servi sur fond de violoncelle électronique. Un spectacle qui permet à chaque hard rockeur de remuer la tête sur des mélodies considérées parfois comme clichées du heavy metal mais aussi de comprendre les paroles... Infos pratiques Ouverture des portes Vendredi 18 juillet >>> 17h Samedi 19 juillet >>> 15h Dimanche 20 juillet >>> 12h30 Billetterie Tarifs (accès tout spectacle) • Plein tarif > 15 €/jour /// 24€ forfait 2 jours (vend/sam) • Préventes et tarif réduit (chômeurs, étudiants, RMIstes - sur justificatif) > 12 �/jour /// 18� forfait 2 jours (vend/sam) • Gratuit pour les enfants de moins de 10 ans • Gratuit le Dimanche, sauf Alima et Loe Kent (5 �) Préventes • Auchan, Cultura, E.Leclerc, Virgin mégastore > ticketnet.fr • Harmonia Mundi à Toulouse ( 56 rue Gambetta, 31 000, tel 05 61 29 08 07) et Montauban (3 rue Greffe, 82 000, tel 0563 66 93 46) >> un disque offert* pour tout achat sur présentation d’un billet d’entrée au festival dans les boutiques Harmonia Mundi de Toulouse, Albi, Bayonne, Bordeaux, Montauban, Montpellier, Perpignan, Tarbes - offre valable du 1er juillet au 30 Aout 2008 - *disque offert dans la sélection d’Harmonia Mundi • Bureau Information Jeunesse de Foix (3 rue Longues, 09 000, tel 05 61 02 86 10) • Cinéma Le Régent à Saint Gaudens (16 rue Indépendance, 31 800, tel 05 62 00 81 57) • La Mie Câle à Pamiers (21 rue Charles de Gaulle, 09 100) • Le Mélodie à Saint Girons (17 rue du Bourg, 09 200, tel 05 61 66 66 50) • Le Crée Louche à Engomer (09 800, tel 05 61 04 89 39) • Bureau de la Presse au Mas d’Azil (Place du Champs de Mars, 09 290, tel 05 61 69 93 63) • Pizzeria du Prieuré à Lézat sur Lèze (70 av de la république, 09 210, tel 05 61 60 40 09) • Bureau de la Presse à Montesquieu Volvestre (3 rue Porte Neuve, 31 310, tel 05 61 90 18 39) • Bureau de Tabac à Daumazan sur Arize (10 rue Barry, 09350, tel 05 61 69 80 14) • Librairie de la Halle - Cazères sur Garonne Réservations 05 61 66 34 62 / [email protected] Billets par contremarque (1/2 tarifs pour les 13/25 ans résidant en Ariège) disponibles auprès des BIJ et des PIJ de l’Ariège (renseignements auprès de l’association Terre de Couleurs, 05 61 66 34 62) Pour venir Depuis Toulouse, 40 mn : Prendre l’A64 direc- �������� tion Tarbes puis prendre la sortie Carbonne, Montesquieu Volvestre, suivre la direction de Foix. Depuis Foix , 40mn : Prendre en direction de la Vallée de la Lèze, puis Daumazan. contact presse : Thomas Bonnin : [email protected] 05 61 66 34 62 www.terredecouleurs.asso.fr Place du Village 09230 Sainte Croix Volvestre ��� �������� ������� ������ ��� ��������� ����������� �������� ��������������� ���� �������