Dossier-de-presse-20..

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Dossier-de-presse-20..
PROGRAMME
VENDREDI 17 JUILLET
Ouverture du site à 17h00 - Innauguration
17H15 - 18H15
17H30 - 19H15
18H15 - 19H30
19H30 - 20H45
21H15 - 22H45
23H15 - 00H30
01H00 - 02H15
02H15 - 03H15
VIOLON PROFOND
CAFES CITOYENS
AZRAM
HUUN-HUUR-TU
GROUNDATION
RAMIRO MUSOTTO
PLANTEC
THE TAIKONAUTS
Cantina
Village Associatif
Cantina
Grand Chapiteau
Grand Chapiteau
Grand Chapiteau
Grand Chapiteau
Cantina
SAMEDI 18 JUILLET
Ouverture du site à 15h00
15H15 - 16H15
16H30 - 17H10
17H20 - 18H10
18H10 - 19H00
19H15 - 20H30
21H00 - 22H30
23H00 - 00H15
00H45 - 02H15
02H15 - 03H15
WYNFYD THEATRE
TRIO ZINDAR
WYNFYD THEATRE
VIOLON PROFOND
NAWAL
MAMADY KEITA
FAMILHA ARTUS
POUM TCHAK
LA TORMENTA
Scène Arts de Rue
Scène Arts de Rue
Scène Arts de Rue
Cantina
Grand Chapiteau
Grand Chapiteau
Grand Chapiteau
Grand Chapiteau
Cantina
SAMEDI 18 JUILLET
DANS LE VILLAGE à partir de 12h00
12H30 - 14H30
14H30 - 15H45
14H30 - 15H30
14H30 - 15h30
15H30 - 16H30
16h30 - 17h30
17h30 - 18h30
18H30 - 19H15
19H15 - 19H45
20H00 - 21H15
21H45 - 23H00
APERO DEBAT
ALIMA
CIRCAMBULLE ateliers de cirques
SALAM TOTO
Cie MATIERE PREMIERE
SALAM TOTO
OMNIBUS
Déambulation AFRODIZIA
Cie HELIPORTE
LES KAG
AFRODIZIA
Boulodrome
Eglise
Scène Arts de Rue
Champs de Mars
Sous la Halle
Champs de Mars
Parvis de l’Eglise
Grand Chapiteau
Parvis de l’Eglise
Boulodrome
Boulodrome
TERRE DE COULEURS
Terre de Couleurs fête cette année son 16ème festival ! Autant d’années de rencontres, d’innovations artistiques, d’engagements et de joie partagée. Rendez-vous incontournable des
passionnés des musiques du monde et métissées, des musiques actuelles, des arts de la
rue pour petits et grands, des rencontres autour de l’économie sociale et solidaire... on défend
ici des valeurs essentielles qui ne rendent que plus fort le moment partagé.
Pour sa 16ème édition, le festival Terre de Couleurs
poursuit ses ambitions initiales : proposer un événement culturel multidisciplinaire, une programmation variée, une rencontre populaire dans un cadre
de convivialité, d’échanges et de mise en action de
principes sociaux et solidaires fondamentaux.
Le festival est, outre sa dimension culturelle, habité
par des valeurs touchant à l’universel. Fidèle aux
valeurs qui ont assis sa réputation, le festival 2009
se veut plus que jamais le lieu de rencontres pour
tous ceux qui entendent vivre la culture autrement
et intensément.
Terre de Couleurs a pour but de promouvoir le développement de la culture en milieu rural en
proposant une offre culturelle de grande ampleur sur la commune de Daumazan sur Arize, qui de
par son emplacement est un lieu pertinent, puisque
à cheval entre les départements de l’Ariège et de la
Haute Garonne. Cette année, une trentaine d’artistes
sont attendus. De Groundation à la Familha Artus,
de Mamady keita à Plantec, de Huun-Huur-Tu à Poum
Tchak, les têtes d’affiches croisent des découvertes
étonnantes. Une programmation arts de la rue toujours particulièrement concentrée sur le dimanche au
village, des compagnies de la région, des ateliers de
cirque et une décoration ( décoration, signalétique...)
concoté pour la seconde année consécutive par l’artiste NEMO secondé d’une 20aine de jeunes.
UN FESTIVAL ENGAGE DANS L ECONOMIE
SOCIALE ET SOLIDAIRE
Terre de Couleurs n’est pas seulement un événement avec des spectacles et un public devant. Le
projet du festival est axé sur la citoyenneté, la proximité, le développement durable, l’échange de
cultures et la diversité. Notre démarche éthique nous conduit à mener l’organisation du festival
selon ces principes et à développer des actions dans différents domaines (l’écologie, l’économie
solidaire, l’accessibilité et la rencontre autour de ces thèmes).
ENVIRONNEMENT
1 Le tri sélectif des déchets
L’ensemble des déchets du festival (organisation et public) est trié par une équipe chargée d’organiser ce tri et de sensibiliser les festivaliers sur cette question. Ces nettoyeurs véhiculent avec humour
et bonne humeur l’importance du tri et du recyclage.
2 Les toilettes sèches
Elles permettent d’économiser de l’eau et évite, ainsi, de polluer une eau potable qu’il faut ensuite
retraiter. Sur le festival, nous allons comptabiliser une économie d’eau de plus de 20 000 litres. Elles
visent aussi à recycler nos excréments dans un cycle naturel et servent à faire du compost et enrichir
les jardins d’Ariège d’un terreau. Ce système commence à être connu et à servir de référence. Nous
avons été contactés plusieurs fois pour en expliquer le fonctionnement et l’installation.
3 Les gobelets réutilisables
L’utilisation de verres consignés marque aussi notre volonté écologique et connaît un franc succès.
Cette initiative s’est peu à peu imposée et plusieurs autres structures nous les louent depuis 2006.
Cette année, nous avons mutualisé nos achats avec une trentaine d’associations et avons acheté 50
000 gobelets. Cela nous permettra de réaliser une économie d’échelle par rapport à des gobelets
classiques réservés à un seul usage.
LA RÉCUPÉRATION ET LE MULTI-USAGE
Par une volonté d’éviter le gaspillage de matières
premières et de ressources que l’on sait épuisables et non renouvelables pour des utilisations
de courte durée, la décoration du site s’opère
grâce à la «récup’» d’objets en tous genres. En
effet très souvent il a fallu convoquer le «système D » afin de rendre notre action possible.
La plupart des aménagements sont réalisés grâce à la récupération et au prêt ; nous sommes
à l’affût de ce genre de possibilité et faisons
marcher les réseaux pour pouvoir saisir des opportunités.
Cependant en 2008 nous avons établis un partenariat dans une logique de’échange et d’économie solidaire et sociale avec un artiste Lyonnais, NEMO. Il est venu accompagné de plusieurs
jeunes afin de réalisé la décoration du festival dans le cadre d’un camp et d’atelier. Il reviens cette
année avec un projet et une équipe de jeune plus importante.
LA DECORATION : «NEMO DECO»
Création du décor intérieur et extérieur du festival pour l’édition 2009 avec l’aide du
plasticien Némo et de 3 structures spécialisées pour la jeunesse
Ce camp a pour objectif d’associer les jeunes de 13 à 17 ans à la création d’une
décoration sur l’ensemble du site du festival TDC. Dans cet espace, les jeunes
ont la possibilité d’être accompagnés vers une création collective, de rencontrer
d’autres personnes hors de leur quotidien et de s’enrichir avec de nouvelles expériences dans le champ culturel et musical de TDC.
L’adolescence est un processus évolutif habituel et fait partie des étapes maturatives dans le développement de l’adulte. Nous savons que l’adolescence peut
se dérouler de façon plus ou moins douloureuse pour les jeunes.
Il apparaît de façon forte que les jeunes inscrits l’année dernière dans ce projet
ont pu développer des compétences techniques et relationnelles. L’évaluation
faite par les éducateurs a mis en relief un apaisement des conduites et
des marques de joie qui se sont manifestées par des paroles et des attitudes. Avec Némo, les jeunes ont créé une décoration de grande qualité
et se sont bien intégrés. De fait, ils ont été reconnus et valorisés par les
organisateurs et bénévoles du festival TDC.
Ce projet avec Némo, Jérôme et les éducateurs est structurant pour les
ados. Il permet aux jeunes de trouver leur place et de ne pas occuper
toute la place. C’est une oeuvre commune, il invite l’adolescent à passer
de l’individuel au collectif en associant les autres.
Il confronte à la résistance des choses : il est impossible d’agir n’importe
comment. Il induit un rapport au temps avec des impératifs : la décoration
doit être finie avant le début du festival
Il invite à la création, à la sublimation des pulsions !!! Dans ce sens, il
procure de l’apaisement et une valorisation de soi-même. Enfin, il peut
inscrire le sujet dans une perspective d’avenir. Dans ce sens, l’année dernière, une adolescente en
difficulté a découvert la couture et s’est lancée dans cette discipline.
• AU PROGRAMME
1 - L’annonce sur la route
2 - Les portes
3 - Les masques (54 pièces à réaliser)
4 - La signalisation du lieu (flèchage)
5 - Planète Terre de Couleurs /la BancoLéons
6 - Panneaux INFO LeonS
7 - Arbres a paroles (voir photos)
8 - Les enseignes des asso. (gabarit)
9 - planete terre
10 - masques cimiers
Partager avec les autres
Némo, dans son rôle d’animateur, se définit lui-même comme “un chef d’orchestre”. Il s’agit pour
lui de faire naître les envies, de révéler la compétence individuelle au sein d’un travail collectif. Très
souvent le public est jeune, la réussite doit être au rendez-vous, mais elle n’est pas pour autant
acquise d’avance et l’exigence fait aussi partie de la démarche.
L’ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE
Deux aspects sont fondamentaux à notre action de solidarité économique :
d’une part le choix de l’approvisionnement des denrées alimentaires servies
aux bénévoles, artistes et festivaliers et d’autre part la solidarité d’une démarche bénévole et d’un réseau partenarial et professionnel participant de
manière considérable à l’équilibre financier de notre festival.
Les circuits courts de consommation
du festival.
Le festival est inscrit dans un développement durable respectueux de notre planète. Toutes nos actions et nos choix en découlent. Ainsi la plupart
de nos produits de consommation viennent de producteurs locaux. Nous
avons pu constater qu’en utilisant des fournisseurs locaux, nous diminuons
l’énergie grise due à l’acheminement des produits. Il nous paraît également
normal et logique de travailler avec les agriculteurs, brasseurs,éleveurs et
boulangers de la région et de leur faire profiter des retombées économiques
La culture biologique
Gageant qu’il est possible de fournir à nos bénévoles,
artistes et festivaliers une nourriture de haute qualité
tout en respectant une marge correcte, et un prix modéré, nous nous fournissons depuis plusieurs années
auprès de maraîchers en agriculture biologique.
Le commerce équitable
Inscrits dans une démarche d’équité et de solidarité,
il nous semble important de respecter les paysans
du bout du monde en important des produits vérifiés
comme le café, le chocolat, le sucre ou l’huile.
Le réseau professionnel solidaire et partenaire
Nous avons, au fil des années tissé avec le réseau professionnel des liens très solides. C’est une part
non négligeable d’économie sur notre budget qui participe par des prestations de services au tarif
allégé, des services et de la mise à disposition de matériel, à la bonne gestion de notre festival.
Le bénévolat de personnes qualifiées
Nous l’avons souvent dit, le festival n’existe que grâce aux nombreux bénévoles qui s’investissent
parfois plusieurs semaines sur le site ou toute l’année sur différents aspects de l’organisation de
l’événement. 200 bénévoles, c’est autant de réseaux amicaux et familiaux, de pistes de contacts
facilités.
L’hébergement des artistes chez l’habitant
Pour des raisons financières mais aussi de capacité hôtelière, il est impossible de loger à l’hôtel tous
les artistes et techniciens du festival. Là encore la solidarité s’est installée et un réseau d’hébergement chez l’habitant s’est constitué, participant à la gestion économique du festival mais aussi à la
qualité de l’accueil et à la création de véritables liens entre les artistes et la population locale.
RENCONTRE
LE VILLAGE ASSOCIATIF
Il réunit des acteurs de l’économie sociale et solidaire et accueille une vingtaine d’associations militantes, engagées et animées par la volonté d’imaginer un monde meilleur.
Seront présents entre autres : l’ADEPES (Agence pour le Développement et la Promotion de l’Economie Solidaire en Midi Pyrénées), ATTAC Ariège, Comité Palestine Couserans, Rénova, Act’Up Toulouse, Confédération Paysanne Midi Pyrénées, Art’Cade, Promata, Réseau Education sans frontière,
Femmes de papier, Ecorce, Olympes de Gouge, Résistance à la Délation, TV Bruit, Vivre en Comminges, Friture, Faire, Politis, Silence !, Plan B, Acrimed...
LES CAFÉS CITOYENS
Les cafés citoyens contribuent à créer du débat et à mettre en scène des réflexions et des
argumentations. Ils sont animés par JeanMarie Jolivet et Marie Toustou.
Deux rencontres sont programmés à 17h30 le
vendredi et le samedi : L’es deux thèmes cette
année : La nourriture et l’Amour. Le vendredi
: Comment on mange ? Qu’est-ce qu’on mange ? Nous proposons d’échanger sur nos représentations et nos pratiques alimentaires.
Le samedi : grand sujet autour de l’amour.
En effet, cela domine notre vie entière.
Sur le site du CNRS , il est défini comme une
attirance, affective ou physique, qu’en raison
d’une certaine affinité, un être éprouve pour un autre être, auquel il est uni ou qu’il cherche à s’unir
par un lien généralement étroit. .
NousN échangerons autour de Qu’est-ce que l’amour? Le besoin de sortir de soi comme le dit Charles Beaudelaire
et explorerons d’autres idées avec les participants.
L’ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES À MOBILITÉ RÉDUITE
L’accès du festival sera pensé pour permettre aux personnes handicapées de participer. Il est à noter
que pour les toilettes sèches cela est déjà prévu dans les normes. Pour le reste du site, nous allons
travailler à courts termes en partenariat avec la Maison Départementale des Personnes Handicapées
de l’Ariège et avec l’Association des Paralysés de France.
LA MIXITÉ
Le mélange des genres et des générations ainsi que le métissage sont inscrits dans nos statuts et
sont inhérentes à chaque manifestation. Notre réseau de bénévoles est à lui seul gage de mixité
sociale et générationnelle. En effet, nous avons des taches auxquelles participent les écoles (décoration, panneaux d’affichage, etc.), les adolescents ont une part non négligeable d’activités, et nous
avons depuis peu des retraités et des personnes de 60 ans et plus très actifs au sein du festival.
En conclusion, ce festival correspond à une dynamique collective centrée sur des valeurs
solidaires. Il est une réaction à l’individualisme érigé en art de vivre, aux formatages culturels, aux
inégalités de statut ou de condition. Il associe pleinement l’aspect artistique aux aspects de convivialité et d’engagement. Nos valeurs s’enracinent autour d’un socle commun considérant le lien
social, la richesse humaine et le respect de l’environnement comme étant essentiels.
LA PROGRAMMATION
Musiques vivantes d’hièr et d’aujourd’hui
Spectacle vivant - Arts de rue
Pour cette 16ème édition, le festival renoue fortement avec son penchant pour les musiques dites
«du monde» bien qu’elles le soient toutes. Ce n’est donc pas tant au niveau du style et de l’étiquette ( souvent réductrice) que la programmation a été construite mais avec l’idée de présenter
un panel important de cultures différentes en passant par des musiques traditionnelles, métissées
et souvent modernes. Les artistes présent sur cette 16ème édition de Terre de Couleurs seront
issuent des quatre coins de notre chère planette ronde. Préparez-vous à savourer sous chapiteau
les mélodies bretonnes, occitanes et sonorités venues du Maghreb, d’Afrique de l’Ouest, des Balkans, de Mongolie, des Comores, du Brésil, d’Amérique du Nord et de Jamaïques. Bien sûr le spectacle vivant et les arts du rue ont aussi leur place à Terre de Couleurs avec des spectacles pour les
petits et grands qui investiront notamment le village de Daumazan-sur-arize la journée du Dimanche. Les arts de rue se feront aériens, musicaux, comiques, champêtres voir spectaculaires !!!
MUSIQUES
GROUNDATION
>>REGGAE ( Spiritual Roots Reggae) // Californie //// www .Groundation.fr //// Ven 17 Juillet //
21h15 // Grand Chapiteau
Harrison Stafford : Chant, Guitare, Percussions // Marcus Urani : Piano, B3, Rhodes, Claviers,
Melodica // «Iron» Ryan Newman : Basse // Te Kanawa «Rufus» Haereiti : Batterie // Mingo Lewis
Junior : Congas & Timbales // David «Diesel» Chachere : Trompette // Kelsey Howard : Trombonne // Kim Pommell : Choeurs // Stephanie Wallace : Choeurs
Plus qu’un phénomène, une légende reggae !
Groundation est un groupe extrêmement talentueux, qui a su s’associer avec les plus
grands musiciens jamaïcains pour créer une discographie de très haute facture. Indispensable à voir en live, Groundation a la magie des plus grands, porté par le mysticisme
et le charisme du leader Harrison Stafford notamment.
Groundation prend au tripe et nourrit votre âme. Dfficile de trouver un groupe qui allie
avec autant de virtuosité modernité et roots. On dit que si on ne connaît pas son passé,
on ne connaît pas son futur. Groundation connait son passé et avance dans le futur. En
capturant l’essence du vrai reggae roots, Groundation cherche à élever ce genre à une
autre dimension en ajoutant des substances de jazz et de dub dans leur son.
En 1998, 3 étudiants en jazz à l’Université de Sonoma County, California, se rencontrent et décident
de former Groundation. Il s’agit d’Harrison Stafford (chant, guitare), Marcus Urani (clavier) et de
Ryan Newman (basse). Considéré comme le meilleur groupe de la scène reggae actuelle, les virtuoses californiens reviennent aujourd’hui avec un 5ème album, d’une rare intensité musicale : UPON
THE BRIDGE. Au-delà de la musique, il y a le message plus qu’évident, que Groundation
tente de transmettre.
LA MUSIQUE, LE GROUPE
A l’image des sessions nyabinghis la musique
de Groundation s’articule autour de l’improvisation collective, de l’écoute et de la
curiosité.
La musique, moyen de communication leur offre un langage commun.
Immergés dans la musique, partie
intégrante de leur vie, Groundation avance ainsi des concepts
que l’on ne retrouve nulle part
ailleurs.
Avant tous musiciens de jazz, leur
formation ne cesse d’évoluer, leur
théorie de la musique est riche et
leur permet de jouer avec précision
des arrangements complexes. Groundation n’essaie pas de mêler consciemment
le jazz au reggae.
En découverte perpétuelle d’eux mêmes, leur but
est de créer
une nouvelle musique, originale. Une grande
part de la composition et de l’orchestration musicale revient à Marcus Urani. De l’écriture
aux arrangements musicaux, en passant par l’enregistrement
studio, il dirige ce projet avec virtuosité et rigueur. On retrouve son travail jusqu’au mastering des
albums, où il collabore avec Jim Fox, le légendaire ingénieur son du Lion & Fox Studio de Washington.
On retrouve aussi l’esprit nyabinghis, dans l’attitude de Groundation ; le groupe cherche à favoriser
les rencontres et reste à l’écoute de chacun. Malgré le succès, le public de plus en plus nombreux,
Groundation garde la même attitude. Humbles et simples ils recherchent sans cesse le contact avec
le public et se rendent disponibles pour le rencontrer à la fi n des concerts.
GROUNDATION : Le nom de Groundation est un subtil jeu de mot, qui prend ici, avec ce groupe,
tout son sens. En effet on entend parler pour la première fois de grounation (prise de
terre ou assemblée de méditation) à la fin des années 40. Count Ossie (Mystic Revelation
of Rastafari) invitait les jeunes des ghettos jamaïcains à se rassembler pour des sessions nyabinghis
; rythmes africains. Ces sessions improvisées duraient toute la nuit, sans interruptions.
Groundation, c’est l’idée d’élever chacun au même niveau, afin que tous parlent et se sentent libre
d’enseigner et d’apprendre. Groundation c’est aussi l’idée d’abstraire toute forme de hiérarchie et de
niveau social dans le respect de chacun.
HARRISON STAFFORD, Pillier du groupe, chanteur et compositeur, Harrison Stafford est un homme
fortement inspiré. Il a très jeune, beaucoup voyagé en Afrique mais aussi en Jamaïque. Animé par
l’esprit du Rastafarisme, il calque son mode de vie et sa manière de voir le monde sur cette culture.
Il livre à travers ses textes et la musique de Groundation un message pour tous, un message spirituel, pacifi ste et audacieux. Son authenticité et sa sagesse lui ont apporté le respect des anciens
ou elders, Jamaïcains, Américans, Anglais. Beaucoup à ce jour ont posé leur voix sur les titres de
Groundation (Cédric Myton, Don Carlos, Apple Gabriel, Ras Michael, Marcia Higgs), Pablo Moses et
I Jahman sont présents sur l’album Upon The Bridge.
Discographie : (Young Three / Nocturne) : 2006 Upon The Bridge - 2006 Dub Wars - 2004 We Free
Again - 2002 Herbon Gate -2001 Each One Teach One - 1999 Young Tree
MAMADY KEITA
>>Musique Guinéeunne (Musique traditionnelle, Djembéfola ) // Guiné Bissao ////
www.myspace.com/mamadykeita///www.zigzagworld.be/// Sam 18 Juillet // 21h00
// Grand Chapiteau
13 musiciens : Djembés // Choeurs // Doum-doum // Balafon // saxophone // percussions
MAMADY KEÏTA : LE LÉGENDAIRE DJEMBÉFOLA CÉLÈBRE SES 50
ANS DE CARRIÈRE MUSICALE
Considéré comme le plus grand « Djembefola » vivant !
(maître du djembé)
[ TOURNÉE EUROPÉENNE EXCLUSIVE / ÉTÉ 2009 14
Mai au 19 Juillet 2009 ]
50 ans de carrière, cela se fête! Le grand maître
guinéen du djembé, Mamady Keïta, fêtera en été
2009 ses 50 ans de carrière musicale par une
tournée européenne exceptionnelle. Absent
des scènes depuis plus de 2 ans maintenant,
il sera accompagné par SEWA KAN, son all
stars band de 12 musiciens mandingues parmi les meilleurs toutes générations confondues qui vous feront découvrir les rythmes et
chants de l’Afrique de l’Ouest, leurs variations
spectaculaires, symbiose subtile et complexe
entre djembés, djons, kora, balafon, flûte,
chants et danses. Le pouvoir d’envoûtement
de l’Afrique dans ses traditions et ses racines les
plus profondes.
Mamady KEITA est né en 1950 au milieu de la savane
néenne. Initié au djembe dès l’âge de 7 ans, il fait partie à
g u i 14 ans du Ballet National Djoliba dont il devient rapidement batteur soliste et
plus tard directeur artistique. Mamady tourne dans le monde entier avec Djoliba et participe à de
nombreux grands festivals dont, en 1969, le Festival Panafricain d’Alger où il reçoit la médaille d’Or
et surtout le titre de « plus grand batteur d’Afrique ». En 1986, il rejoint à Abidjan la troupe Koteba
de Souleymane Koly et en 1988 il s’installe en Belgique. Mamady enseigne le djembé dans le monde
entier (Europe, USA, Japon, Brésil & Afrique) où il jouit d’une célébrité en passe de devenir « mythique ».
Mamady Keita est un mythe pour des centaines de milliers de percussionnistes à travers le monde,
un Dieu même pour certains d’entre-eux! Considéré comme le plus grand « Djembefola » (maître
du djembé) vivant, il est installé à San Diego en Californie, mais voyage à travers le monde plus de
6 mois par an afin de donner ses master class. Il a donné au djembé ses lettres de noblesses en
lui apportant son autonomie artistique, prouvant ainsi que ce n’est pas seulement un instrument
d’accompagnement au service du chant et de la danse mais aussi un instrument de création. Une
tournée événement, mais plus particulièrement une fête qu’il désire partager avec tous !
HUUN - HUUR - TU
>>Chant Diphonique - Chant de gorge de Touva // Mongolie ///
www.huunhuurtu.com /// Ven 17 Juillet // 19h30 // Grand Chapiteau
Avec Kaigal-ool Khovalyg : Voix (kloonei, Sygt, Kargyraa), Igil (vièle à archet)
//Sayan Bapa : Voix (Kargyraa, Kloonei) doshpulur (luth), igil (vièle à archet), guitare // Radik Tolouche (Tiuliush) // Tyulyush Radik : Voix, Bizaanchi, Khomuz //
Alexei Saryglar : Voix (Sygt), igil (vièle à archet), tungur (tambour de chaman),
percussions
Une véritable invitation au voyage shamanique
Formé de 4 chanteurs musiciens, cet ensemble, dont le nom signifie littéralement
« Propulseur de soleil », perpétue les traditions vocales et instrumentales de Touva.
Virtuoses ambassadeurs d’une culture empreinte de spiritualité où la nature dialogue
avec l’âme, Huun Huur Tu souffle le vent des prairies et nous convie à un voyage fabuleux aux confins du monde.
« Dans la langue de Touva, l’expression «huun huur tu» désigne
cet étrange phénomène de diffraction de la lumière qui se
produit sur la steppe au moment où le soleil se lève ou se
couche. En cet instant magique, on dirait que la terre
toute entière rayonne d’une
lueur sans âge émanant
des herbes et des pierres.
Il existe un parallèle entre
ce phénomène lumineux
et la dissociation des harmoniques de la voix produite par les techniques
du chant «khöömii» (littéralement chant de ladiphonique.
rynx), en français chant
Ce singulier art vocal est
pratiqué en Mongolie et
à Touva, ex-république
soviétique
autonome
qui lui est limitrophe à
l’ouest de sa frontière
nord. Quiconque l’a entendu une fois ne pourra
l’oublier. Et c’est afin de
faire connaître ce fascical, que le groupe Huun
nant particularisme musiHuur Tu s’est formé en
1992, après que le pays fut
libéré du carcan soviétique.
La première mouture du quatuor est formée de Kaigal-ool
Khovalyg, Alexandre «Sacha»
Bapa et son frère Sayan, trois
que d’Etat, troupe officielle chartransfuges de l’Ensemble folklorigée de présenter une image stéréotypée des traditions populaires dans
bert Kuvezin.
l’ancien empire soviétique, ainsi que d’AlKaigal-ool Khovalyg a officié comme berger jusqu’à ses 21 ans, en 1981, avant d’intégrer l’Ensemble folklorique d’Etat. Il est particulièrement réputé pour sa maîtrise des techniques spécifiques de
chants khöömii et kargyraa.
Sayan Bapa a du sang russe par sa mère. Il s’est formé à la musique dans le nord du Caucase et a
été bassiste de jazz-rock avant de se tourner vers les traditions de son pays à son retour à Touva,
au début des années ‘90. Il maîtrise particulièrement les instruments à cordes traditionnels comme
le doshpuluur et l’igil.
Albert Kuvezin, qui avait entrepris sa propre démarche dès 1991, participe à la première tournée
et au premier album de Huun Huur Tu, avant de se consacrer entièrement à son propre projet, à
la frontière du rock et de la tradition avec son groupe Yat-Kha. Il est remplacé en 1993 par Anatoli
Kuular, ancien berger virtuose du chant diphonique et de la guimbarde devenu musicien profession-
nel au sein de l’Ensemble Touva.
Sacha Bapa, possédait notamment dans sa panoplie de percussions un hochet fabriqué à partir
d’un testicule de bœuf dans lequel sont enfermés des osselets de chevilles de moutons. Il quitte le
groupe en 1995, après ses premiers succès américains, pour se lancer dans la production à Moscou.
Il est remplacé par le jeune Alexei Saryglar, ancien membre de l’ensemble d’Etat Siberian Souvenir,
spécialisé dans le style de chant sygyt.
Basé dans la capitale de Touva, Kyzyl, Huun Huur Tu a été invité à tourner aux Etats Unis dès 1993.
Les musiciens ont contribué à la musique du film Geronimo sous la houlette de Ry Cooder et se
sont joints aux univers aussi divers que ceux du regretté Frank Zappa, des Chieftains ou du Kronos
Quartet. Les deux albums enregistrés en 1996 et 1998 par Huun Huur Tu avec le chœur de femmes
bulgares Angelite n’égalent sans doute pas la puissance d’évocation des quatre albums produits par
le label américain Shanachie. Et c’est sans doute avec le cinquième, un «live» enregistré en avril
2001 dans d’excellentes conditions, que l’on approchera au plus prêt les émotions inédites provoquées par cette musique venue d’un monde où l’homme, le cheval, l’eau, la terre et le ciel sont unis
dans le mystère d’une ineffable harmonie.
François Bensignor ( MONDOMIX )
RAMIRO MUSOTTO
& Orchestra Sudaka
>>Electro brazil (Musique brésilienne : samba - Afro - cubain - Nordest... // Brésil
//// www.helicomusic.com/artiste
L’électron libre de l’electro Brasil, programme, arrange, compose, et mêle sur scène instruments
traditionnels, sonorités urbaines et V-jaying,
lors de set percutants.
dant
Ramiro Mosottto utilise le berimbau pour
faire des percussions, des mélodies et en
sampler des boucles. Il exploite comme
personne toutes les nuances et tessitures de son instrument.
Basé sur les rythmes afro-brésiliens son
travaille intègre des éléments d’Afrique,
d’Amérique du Sud, d’Asie et d’Europe.
Après avoir posé le climat, il investit
les terroirs de la tradition pour y semer
des petites graines d’électroniques qui
leur donnent des airs de champs futuristes jonchés d’hybrides hauts en couleurs à
l’image des vidéos qui sont diffusées penles concerts.
Ramiro Mosottto utilise le berimbau pour faire des
percussions, des mélodies et en sampler des boucles. Il exploite comme personne toutes les nuances et tessitures de son instrument.
Basé sur les rythmes afro-brésiliens son travaille
intègre des éléments d’Afrique, d’Amérique du Sud,
d’Asie et d’Europe. Après avoir posé le climat, il investit les terroirs de la tradition pour y semer des
petites graines d’électroniques qui leur donnent
des airs de champs futuristes jonchés d’hybrides
hauts en couleurs à l’image des vidéos qui sont
diffusées pendant les concerts.
Argentin de naissance, Ramiro Musotto n’en est
pas moins l’un des musiciens brésiliens les plus accomplis de sa génération et reconnu par ses pairs,
Adolescent, Ramiro Musotto vit à Bahia Blanca en
Patagonie. Il est batteur dans un groupe de rock
et percussionniste dans divers rock-band de musiques contestataires mais aussi dans l’orchestre
symphonique de sa ville.
En 1982, Ramiro a 18 ans et quitte l’Argentine, non
pas pour les Malouines, mais pour une bien plus
noble conquête ; celle des rythmes brésiliens. Il n’a
plus qu’une seule idée en tête, devenir percussionniste et maître de berimbau, à l’image du génial
Nana Vasconcelos.
Après 2 ans de formation à Sao Paulo, il s’installe
à Salvador de Bahia où il restera 12 ans, profondément immergé dans la négritude, la capoeira, la
samba et le candomblé.
Les pieds bien ancrés au Brésil mais les oreilles
déjà tournées vers la pop mondiale, c’est également à ce moment là que Ramiro vit ses premières
expériences de programmations électroniques.
En plein boom de la musique Axé [aché] (musique
symbole du carnaval de Bahia), Ramiro participe
à l’ascencion des deux plus célèbres chanteuses
de samba reggae de Bahia, Margareth Menezes
et Daniela Mercury, avec qui il tournera dans le
monde entier comme percussionniste puis arrangeur jusqu’en 1995.
Il a ainsi joué les partitions de berimbau moderne sur les enregistrements de Caetano Veloso, Gilberto Gil, Virginia Rodriguez, Joao Bosco, Fernanda Abreu ... parmi bien d’autres.
Fin 2003, pour ses 40 ans, Ramiro s’est offert un premier album solo, Sudaka, salué par la presse
brésilienne, américaine et européenne comme l’album le plus intéressant de l’histoire de la musique
électronique brésilienne.
En 2004, il est invité par Lenine, star de la nova MPB, pour la création « Lenine InCité », commande
de la Cité de la Musique à Paris.En France en 2007, avec la sortie du CD Civlizacao & Bararye chez
Helico, le mag. Télérama lui accorde trois fff. Radio Nova le classe dans les meilleurs disques 2007,
les Inrocks le qualifient de « génial » . Mix de sonorités urbaines, tribales, rituelles et de percussions
avec un carrousel de citations électronisées, cet album réunit les meilleures influences et expériences du compositeur, et en dix thèmes magnifiques nous traduit un Brésil parfois méconnu. Ramiro
Musotto et son Orchestra Sudaka entament une tournée européenne en 2008.
«Pour lui, les musiques électroniques et les musiques primitives ont beaucoup de choses
en commun, notamment à cause de la prédominance du rythme. Des jours et des nuits
passées à faire naître le groove à l’intérieur des circuits électroniques, additionnées à
une pratique permanente des instruments traditionnels lui permettent de faire exploser
les barrières de ces deux mondes. Les clés de son art sont là et en écoutant ses disques il
est difficile de trier les sons naturels des sons synthétiques. De séparer la civilisation de la barbarie,
thème central de son nouvel album. Avec Civilização & Barbarye, Ramiro Musotto a réalisé le disque
qu’il avait envie d’écouter, celui qui était logé dans sa tête. Il y traduit les violentes contradictions
sur lesquelles s’est construite l’Amérique du Sud, où des civilisations dites primitives ont été anéanties ou mises au pas par des peuples soit-disant évolués. Concrètement, on trouve des morceaux
d’inspiration africaine comme «M’bala», avec ses arpèges de guitares à la zaïroise, ou «M’bira»
dans lequel le berimbau dialogue avec le piano à pouce. «Gwyra Mi» est chanté par les enfants de
l’association Indígena de Aldea Morro da Saudade, une tribu des environs de São Paulo qui fut colonisée par les jésuites il y a plus de 400 ans et qui pensent encore aujourd’hui que les guitares et les
violons européens qu’ils utilisent sont des instruments traditionnels indiens. «Nordeste Beradero»
évoque le Robin des bois brésilien, le fameux bandit Lampião. La musique afro-cubaine est abordée
avec «Ochossi» et «Ogum», à base de percussions bata, ou «Yambú» une reprise d’une rumba du
groupe cubain cinquantenaire Muñequitos de Matanzas. «Assanhado» est lui un chorinho, genre
carioca qui inspira la samba de Jacob do Bandolim. Mais Ramiro ne s’est pas contenté de croiser les
musiques de son continent, il a aussi invité le chanteur iranien basé en Norvège Rostam Mirlashari
qui interprète «Majno ma bi», un chant traditionnel du Balouchistan. Alors que 80 % de son disque
précèdent, Sudaka avait été réalisé en solitaire, Ramiro, qui a aussi collaboré avec Caetano Veloso,
Marisa Monte, Gato Barbieri ou Daniela Mercury, a puisé dans son impressionnant carnet d’adresses
pour le plaisir de partager la musique. Ainsi, Arto Lindsay et Chico Cesar sont venus lui prêter mainforte, tout comme Santiago Vasquez, le percussionniste du groupe argentin Puente Celeste. Sur le
papier, on a l’impression que ce disque fait un grand écart constant et passe du coq à l’âne, mais le
musicien a su y mettre sa personnalité, développer son son et trier dans sa production pour réaliser
une œuvre d’une trentaine de minutes parfaites. Il explique sa méthode : «Le Cd a trouvé son chemin tout seul. J’ai enregistré plus de vingt morceaux pour n’en garder que dix, passant parfois deux
mois sur un morceau pour finalement l’abandonner. C’est comme une partie d’échecs, pour arriver
au but, certains morceaux ont été sacrifiés mais peut-être ressusciteront-ils un jour…» MONDOMIX
- Benjamin MiNiMuM
NAWAL
>>Musique Comoriennes (Musique traditionnelle polyphonique ) // Mongolie ////
www.nawali.com /// Sam 18 Juillet // 19h45// Grand Chapiteau
Nawal Mlanao : voix, gambusi, guitare /// Matthieu Eskenazi : contrebasse /// Melissa Cara Rigoli : percussions/// : Percussions
“Ecouter Nawal, c’est être invité à danser, à rêver, à méditer, à survoler l’Océan Indien...”
LA VOIX DES COMORES !
Originaire de l’archipel des Comores, Nawal auteur-compositeur-interprète est la première femme musicienne de ses îles à se produire en public. Sa voix profonde, chaude
et prenante n’a pas mis longtemps à être reconnue “La Voix des Comores”.
Artiste et productrice, Nawal évolue sur la scène professionnelle depuis plus de 20 ans. La deuxième
tournée (2007) aux Etats-Unis et Canada fût un succès. De même que pour Aman (Paix Intérieure),
son nouveau disque. (DOM Distribution)
Entre traditionnel et contemporain, la musique de Nawal,
résolument acoustique, tisse un harmonieux dialogue
des cultures indo-arabo-persane, avec les polyphonies bantous, les chants soufis, et les rythmes syncopés de l’océan Indien.
En 2001, elle grave son premier enregistrement, Kweli
(Vérité), porteur d’un son inédit et reflétant la richesse
et la diversité de ses îles. Pendant son enfance, Nawal
a baigné dans un monde musical à la fois pop et
religieux. Les influences musicales de sa jeunesse
sont essentiellement composés de dhikr (chant soufi
des mosquées), de la musique twarab, et du groupe
afropop dans les années 1970 de son oncle.
Cette Africaine de confession musulmane, sans toutefois adhérer à bien des codes socio-religieux d’un
autre âge, a dû faire face à de nombreux obstacles
au cours de sa carrière. Elle a cependant conservé la
philosophie et le message qui l’animent. Descendante
d’ El Maarouf (1852-1904), un grand marabout soufi
des Comores, elle continue de s’inscrire résolument
dans la lumière d’un Islam fondé sur l’amour, le respect
e t
la paix. Nawal chante essentiellement en comorien,
quelques fois en arabe, français et anglais. Au fil du
temps
sa musique s’est dépouillée pour aller à l’essentiel, et
Nawal,
qui chante et joue de la guitare et du gambusi (sorte de
rité du Yémen), a choisi la formule en trio, avec la complicité
luth local, héd’Idriss Mlanao à la contrebasse et Mélissa Cara Rigoli au percussions diverses (mbira
dzavadzimu, calebasse, cymbal, maracas, oudou, etc).
L’EXPRESS
“Nawal “La Voix des Comores” : une incroyable profondeur.... sa version de l’Amour Sorcier, de
Claude Nougaro, allie force et spiritualité. Lumineux.“
ALiA
“Nawal est une artiste d’un calibre rare, la musique coule dans ses veines à part égale avec le sang
et sa voix nous percute avec une infinie douceur.”
MFI HEBDO
“Nawal est l’une des rares artistes féminines à avoir percé au-dela de l’ocean Indien”
“Son chant, à la fois puissant et envoutant” 8
NEW YORK TIMES
“L’un des albums musiques du monde les plus marquants de l’année...“
MONDOMIX
“Nawal, « la voix des Comores » : une grande dame à l’élégance raffinée, qui fait du métissage son
maître mot, un secret de fabrication pour envoûter le public. De la musique soufie aux polyphonies
bantoues, en passant par les rythmes de l’Océan Indien, son trio – contrebasse, chant, percussion
– navigue avec aisance, et un vrai sens de la musicalité.”
QUOTIDIEN de La Réunion et de l’Ocean Indien
“[Nawal] impregnée de spiritualité emmène le public du Massalé très loin, et très haut.”
LA PRESSE (Montréal)
“Nawal a le regard placide des sages. Son sourire contagieux est celui d’une artiste de culture
musulmane pétrie dans le mysticisme ouvert et contemplatif. Sa prestance est celle d’une femme
farouchment autonome, esprit libre de surcroit. Cela rejaillit dans sa musique composite, à l’image
de sa trajectoire de Comorienne immigrée en France.”
ù
FAMILHA ART S
>>Musique radicale de Gascogne (Instruments traditionnels, rock, electro, chant
gascon...) // Gascogne //// www.familha-artus.com /// Sam 18 Juillet // 23h00 //
Grand Chapiteau
Romain Colautti : guitare basse, guitare barytone, percussions // Roman Baudoin :
vielle alto // Matèu Baudoin : chant, guitare basse, tambourin à cordes, flûtes, percussions // Tomàs Baudoin : chant, boha, guimbardes, flûtes, percussions // Nicolas
Godin : dispositifs électroacoustiques, percussions // Yannick Prévost : son // Olivier
Granger : lumières
Familha Artús fouille et défriche avec une belle audace le répertoire tribal de Gascogne et le confronte à d’autres sons et constructions provenant de musiques que l’on pourrait qualifier pudiquement d’actuelles, mais qui, il faut bien l’avouer, n’ont rien à voir avec les tendances imposées. Les
« Artusans » jouent ce qu’ils sont, sans tricher, et sans chercher à servir la soupe à ceux qui voudraient juste s’encanailler dans le folklore gascon. Ca grince, ça sature, ça groove, ça métallise, ça
électronise dur, ça ethnise sec, et ça se barre même parfois dans des contrées foutrement parallèles
ou extraterrestres, au choix.
La Familha Artus «Nous puisons dans le répertoire tribal gascon, dans le rock progressif anglais
et les musiques électroniques, des cultures et des énergies qui nous rassemblent. Notre musique
est radicale, car ethnique : à la fois enracinée dans les territoires où nous nous investissons et en
mouvement vers les ailleurs que nous explorons. - Que jogam çò qu’èm - nous jouons ce que nous
sommes - »
« ... Le rock progressif et l’école de Canterburry ne sont pas tombés dans l’oreille de sourds et il est
facile de dénicher, [...], l’influence de Gong et de Robert Wyatt... » O. Bailly (La Scène)
« ... Y a même des instruments, j ’ai jamais vu ça... jamais vu ça [...]. Et ça sonne terrible. Ouvrez
grand les transistors... » S. Levaillant (Sous les étoiles - France Inter)
Longueur d’Ondes n°42 Hiver 2007/08
« …Voilà de la vraie musique populaire française, celle qui s’ouvre à l’extérieur sans
s’édulcorer, celle que l’on aimerait inébranlable, et pourtant si fragile. » Rafael Aragon
Mondomix – nov 2007
« …Le cocktail inventif et psychédélique brouille les repères spatiaux et temporels, à michemin
entre l’urbanisme futuriste et la tradition locale. «Que jogam çò qu èm !», «nous
jouons ce que nous sommes», clament les cinq trublions de la familha ; un excellent remède
aux préjugés !... » Anne-Laure Lemancel
Ethnotempos n°36 – nov/dec 2007 Revue sur les musiques du monde
« …familha Artús a véritablement inventé une nouvelle musique inclassable malgré ses
racines traditionnelles, radicale certes mais passionnante, et dont l’énergie pourrait sans
peine rivaliser avec les plus grandes stars sur les scènes internationales. Òrb, qui a bénéficié
de la direction artistique de Francis Mounier (l’Occidentale de Fanfare), possède de plus une
production parfaite et un son imposant... » Sylvie Hamon
Progressia.net le 24/11/07 webzine des musiques dites « progressives »
« …la familha Artús démontre avec Òrb, et à l’instar d’un Dupain provençal, que les
musiques d’inspiration traditionnelle sont en permanente évolution et s’accommodent
parfaitement des approches musicales et techniques les plus modernes. Ce nouvel album
pousse en effet bien plus radicalement le propos entamé avec Òmi, développant une
personnalité musicale extrêmement intéressante… » Fanny Layani
Trad Magazine n°117 janvier/février 2008
« …Un des albums les plus intéressants qu’il nous ait été donné d’entendre ces derniers mois.
D’autant plus intéressant qu’il va sans doute entraîner des réactions partagées… » Jean-Baptiste
Vinsard
Magazine TRAVERSES n°23 – mars 08 Musiques nouvelles et autrement progressives
« …Les « Artusans » jouent ce qu’ils sont, sans tricher, et sans chercher à servir la
soupe à ceux qui voudraient juste s’encanailler dans le folklore gascon ou encore se
snobinardiser la tronche avec des sons «âââcthuueells ». Ca grince, ça sature, ça
groove, ça métallise, ça électronise dur, ça ethnise sec, et ça se barre même parfois
dans des contrées foutrement parallèles ou extraterrestres, au choix (La vielha, atc).
Le cosmotrad ne s’apprivoise pas, il s’accepte simplement dans sa différence identitaire
et sa radicalité sauvage. Une musique de traverses qui sent le terroir, ça peut exister
!... » Stéphane Fougère
POUM TCHAK
>>Musique Tzigane swing manouche // Marseille //// www.poumtchak.com /// Sam
18 Juillet // 23h00 // Grand Chapiteau
Olivier : Guitare // Emmanuel : Contrebasse // Jean-Philip : Violon // Lionel : Bandonéon, Chant // Alexandre : Guitare, Oud, Banjo // Samuel : Batterie
Poum Tchack fait une musique diabolique et inclassable. Des compositions détonantes, un humour omniprésent, mais surtout une fougue communicative et une grande qualité d’interprétation donnent toute sa dimension à cette formation. Si le Swing
manouche et la musique tzigane restent les ingrédients principaux de ce mélange détonant, ces six musiciens puisent sans complexe dans bien d’autres univers. Violon, bandonéon, guitares, contrebasse, percussions, chant, l’acoustique est à l’honneur, le rock
n’est jamais très loin.
Poum Tchak est né dans la région d’Aix-Marseille il y a presque une décennie. Le mélange harmonieux de swing, de jazz, de rock et d’airs tziganes qui, d’Essaouira à Nouméa, en passant par
Hong Kong ou Genève opère et entraîne sur son passage un public toujours plus conquis. Avec plus
de 400 concerts et deux albums (« Poum Tchack » et « Délirium Live « ), on a pu les croiser avec
Mickey 3D, les Ogres de Barback, Manitas de Plata, Jacques Higelin ou encore Emir Kusturica, San-
severino, Sergent Garcia,…
Si le swing manouche et la musique tzigane vous font vibrer, alors Poum
Tchack saura vous convaincre
avec leur musique qui réunit
toutes les générations de mélomanes...
Véritable OMDI (Objet Musical Difficilement Identifiable),
Poum Tchack fait de la musique actuelle traditionnelle.
Prenez un violon et du chant,
un bandonéon, deux guitares
(mais aussi parfois un oud ou un
banjo), une contrebasse et une
batt e rie. Ajoutez à cela un humour omniprésent et
des compositions détonantes, le tout en
acoustique mais
dans un véritable esprit rock’n’roll.
Vous obtiendrez alors un groupe taillé pour la scène.
Né à Marseille il y a une demi-douzaine d’années, Poum Tchack a tracé
sa voie, d’Essaouira
à Nouméa, de Jazz à Vienne au Gipsy
Jazz Festival de Nouvelle-Calédonie,
en compagnie
d’artistes reconnus comme Mickey
3D, les Ogres de Barback, Manitas de
Plata, Jacques
Higelin ou encore Emir Kusturica,
partageant chaque fois sa bonne humeur et enchantant
toujours un peu plus les spectateurs
; les éloges n’ont pas manqué pour
saluer le travail de
ce groupe au langage riche. Leur
premier album, auto-produit, sorti en
2002, s’est déjà vendu à plus de 6.000
exemplaires. Quant à leur deuxième
album « Delirium Live », sorti en Mai
2005, il est à l’image de leur nouveau
spectacle : une fougue communicative et une qualité d’interprétation
qui donnent toute sa dimension à
cette formation. Mais le groupe ne
s’arrête pas là et mène également
d’autres projets et d’autres expériences : ciné-concerts et théâtre avec la
mise en musique de films d’animation
muets de Ladislas Staréwitch ainsi
que la participation au projet « Rues
» d’après l’« Opéra de Quat’sous »
de Bertold Brecht et Kurt Weill mis en
scène par Eva Doumbia.
PLANTEC
>>Electro Breizh (musique bretonne électronique) // Bretagne //// www.myspace.
com/plantec /// Ven 17 Juillet // 01h00 // Grand Chapiteau
Yannic PLantec : Guitare // Odran Plantec : Bombarde // Christophe Hellec : Basse
// Nicolas Le Millier : Biniou // M-Kanik : Machines // Maël Lhopiteau : Chant, harpe
celtique
Fusionnelle et electrique, sont les deux termes qui
résume le mieux la musique de Plantec. Désormais
au nombre de 6, les musiciens arpentent leur nouvel
voie, au travers de mélodies, de textes et de riffs issus d’une culture bretonne forte, s’ouvrant ainsi aux
sonorités du monde.
C’est le duo guitare-bombarde aux compositions endiablées des frères Plantec, enrichi par les envolées
de biniou «sauvage» et les grooves d’un bassiste au
déhanché parfait, qui donnera naissance en 2004
à l’album «reverzhi». Originaires du Morbihan, ces
«lutteurs» des festou-noz, rencontrent M-Kanik et
ses paysages sonores aux rythmes incisifs. Le groupe prend alors une autre direction avec Plantec en 2006. A peine un an plus tard, c’est encore une
rencontre avec une voix, celle de Maël Lopithau qui oriente la démarche musicale du groupe. ARAOK illustre parfaitement cette nouvelle aventure qui ne fait que commencer !
Libération
«Plante c est actuellement le groupe le plus festif de bretagne ...»
Télérama
«La bande ragaillardit avec une belle énergie les Andro, Laridés et Plinn du pays de
Breizh ...»
Bretons
«Toujours plus de créativité pour fuir les comparaisons et imposer leur univers ...»
THE TAIKONAUTS
>>Surf Rock // Toulouse //// www.myspace.com/thetaikonauts /// Ven 17 Juillet //
02h15 // Cantina
Joël Salle-Cradit : guitare // François Bidermann
: guitare // Jean-Michel Briand : Basse, samples
// Maarten Schepers : batterie
Planète Terre, monde irréel ! Bienvenue dans le
monde de «The Taikonauts» et de leur Original
Pure Surf Music !
Style : Surf Music (musique très populaire à la fin des années
50 -début 60, apparue en Californie, liée au Surf et à sa culture.
Elle sera au milieu des années 60 presque effacée par la British invasion des Beatles, Rolling Stones,
etc.
1959 : Dernier incident. Santa Fe, Nouveau-Mexique, Etats Unis d’Amérique.
Lors d’un entraînement, quatre catcheurs de Lucha Libre sont enlevés par des martiens pirates
Méga-3, amenés sur Saturne puis congelés.
2008 : Premier contact. Saturne, système solaire.
Les martiens Méga-3 établissent un contact avec le satellite d’observation Go-Goal de génération
9.3. Après paramétrage du programme de décongélation, les lutteurs sont renvoyés sur Terre.
2009 : Planète Terre, monde irréel.
Choqués par l’évolution chaotique du 21ème siècle, les quatres hommes s’emparent d’un Music
Store dans un quartier pourri de Mexico City...
Bienvenue dans le monde de «The Taikonauts» et de leur Original Pure Surf Music !
LA TORMENTA
>>Cumbia // Toulouse //// www.myspace.com/thetaikonauts /// Ven 17 Juillet //
02h15 // Cantina
Ose Ruiz, bassisite, chanteur // Christophe Dandieu: tambor alegre, congas, set percussions // François besanson: timbales, congas, set percussions // Frédéric Monnier:
sax alto // Patrice Guyot: sax alto // Guillaume Petit: sax tenor // Emmanuel Nerot:
sax soprano, gaita, arrangements, direction musical.
Cuivres, percussions, basse et chant sont les
ingrédients d’une sauce métissée, aux
parfums d’Afrique,aux épices indiennes et saveurs espagnoles.
Sept musiciens se retrouvent autour
d’un style musical qui fait danser
toute l’Amérique Latine : “ la Cumbia”. Née en Colombie mais chantée et
jouée du Mexique à l ’Argentine, cette
musique est le fruit d’un métissage entre les
cultures indienne, africaine et espagnole.
Le répertoire de La Tormenta est puisé en grande
partie dans les morceaux des années 50 et 60 : Lucho
Bermudez, Pacho Galan, Edmundo Arias, Pedro Laza…
Ca s’écoute, ça se danse, ça donne chaud, ça détend, ça rassemble, ça déchire, ça réconforte, ça donne soif, ça se partage, ça décoiffe, ça va bien…C’est une musique tropicale
métissée, populaire, originale, accessible, colombienne, festive, colorée…!
DJ NO BREAKFAST
>>EXOTICA - SOUNDTRACKS - LIBRARY MUSIC - MAMBO - SURF - DOO-WOP BOOGALOO - ROCKABILLY - GARAGE - CROONERS & SIRENS - 60’s A GO-GO BEATS
- BOLLYWOOD - RAP - FUNK - CUMBIA - BAILE FUNK ...// Toulouse /// http://djnobreakfast.tumblr.com // /www.myspace.com/mamievandorenshow /// www.radiofmr.net /// Ven 17 Juillet // Cantina à tous les changements de plateau et vendredi
et samedi de 2h00 à 3h00 sous le Grand Chapiteau
Du groove, des perles rares, de l’énergie en
barre !
Une sélection poussiéreuse originale, pleine de bizarreries en tous genres. Amateurs géniaux, stars incomprises, maitres
incontestés, bidouilleurs de .WAV, nerds
insomniaques, ringuards internationaux,
ou superstars de la pop Srilankaise animent les sets de Dj No Breakfast.
ALIMA & LONE KENT
>>Blues Algérien - Fado Algérien // Toulouse //// www.myspace.com/alimatheband
/// Dim 18 Juillet // 14h30 // Eglise
Alima Hamel : chant, guitare // Lone Kent : guitare, bottleneck
La chanteuse Alima, du groupe toulousain Monkomarok, rencontre le Guitariste slider Lone Kent.
Le blues leur est commun , peut ètre à cause
de leurs origines respectivement africaine et
américaine. La rencontre fut naturelle.
une
avec
le
« Le blues n’est pas un genre, c’est une âme. Je
crois qu’elle est devenue une caractéristique de
l’identité, elle est là en soi et en soit depuis des
millénaires, elle crie au dedans et ma foi elle prend
toute la place, n’autorise pas la sophistication, qui est
perte de temps, elle est brut et brutale et s’accommode
temps, avec l’expérience de la vie. « Alima.
Alima conte, raconte et se raconte. Elle puise dans ses entrailles, va chercher la douleur pour la sublimer, l’embellir, l’offrir comme un bouquet d’ortie transformé en rose … De son Algérie à elle, ce sont ses sœurs, ses sœurs de
sang , celles qui y sont restés, celles que l’on a emmenés là bas sans leur demander
leur avis qui hantent avant tout son cœur et son imaginaire. C’est la disparition de
l’une d’entre elles, la plus jeune, en 1997, lors d’une guerre sans nom, c’est aussi la
douce, fidèle et entêtante Algérie de son enfance chaque été, c’est l’Algérie de ses
parents, celles qu’ils ont aimés, celles qu’ils ont perdue … L’Algérie exil des parents,
son exil par extension «même si l’ont nait en France …»
AZRAM
>> Musiques roots expérimentales // Bordeaux //// Ven 17 Juillet// 18h30 // Cantina
Luc Girardeau : daf, udu, zarb, rig, tar // Kali : piano, basse, programmation, chant
«Azrâm est né début 2008 d’un sentiment partagé, de
quelques notes de piano et d’un rythme, d’une
respiration commune, d’un besoin de liberté.
La musique fut d’abord improvisée puis, à
l’occasion d’une semaine de résidence,
des mélopées entêtantes se mirent à
chanter dans nos coeurs et nous nous
sommes attelés à fabriquer des écrins
pour ces petites perles, tout en conservant intacte cette liberté si rare...
Après avoir testé ce répertoire qui
mêle poésie orientale et improvisation Azram a travaillé sur l’interaction, l’échange des rôles, un plus bel
écrin
pour les voix, un son plus précis et un retour aux
racines qui leur semblait incontournable.
ils sont animés par l’envie de rencontrer les gens au détour d’un concert et
essayent sur scène de créer un espace chaleureux, intimiste et confortable
pour accueillir comme il faut dans notre maison de notes tous ceux qui le
désirent...»
LES KAG
>>Duo musico comico théâtrale : Délirium musical /// Dim 18 Juillet // 20h00 //
Boulodrome
Karine Vergès ET Agnès Tihov : Guitare, chant et bien d’autres choses encore ...
Deux musiciennes à la tchatche vengeresse et
au verbe haut font un tour d’horizon de la
chanson française, du rap au free jazz en
passant par le Heavy Métal et le ska.
Elles tiennent à fustiger les nombreux clichés inhérents à ces différents styles musicaux.
Plus qu’un spectacle, les Kag nous offrent
leur réflexion sur la musique d’aujourd’hui.
SUD OUEST « «Un spectacle d’amour intestinal», voilà ce que proposent les Kag. Derrière ce nom légèrement scatologique se cachent deux «artistes tout terrain», deux
saltinbanques des temps modernes qui n’aspirent qu’a une chose : prendre du plaisir
en se donnant à Fond sur scène. Ce qui donne des spectacles délirants au possible
dont «téléchargez-nous gratuitement» est la dernière illustration...»
AFRODIZIA
>>Reggae samba // Brésil //// www.myspace.com/lautremonde83 /// Dim 18
Juillet // 21h30 // Boulodrome
AFRODIZIA est né en mai 1994 à
São Paulo autour du désir de retrouver les racines africaines de
la culture brésilienne, pour cela
AFRODIZIA a choisi un langage
universel que le monde entier
écoute : la musique Reggae.
AFRODIZIA est né en mai
1994 à São Paulo autour du
désir de retrouver les racines africaines de la culture
brésilienne. Comme les rastas en jamaïque, AFRODIZIA a choisi un langage universel que le monde entier écoute : la musique Reggae. La culture musicale
brésilienne est basée sur des rythmes syncopés et ternaires (à trois temps)
qui donne aux Brésiliens une facilité incontestable pour trouver l’alchimie
rythmique qui amène au reggae son groove mobilisateur. Porté par des
idéaux de paix, de partage et par la poésie qu’ils savent trouver dans la vie
quotidienne, AFRODIZIA a décidé d’exploiter cette aptitude naturelle.
Le savoir faire social des musiciens brésiliens apporte à cette musique internationalement reconnue une rythmique dansante aussi surprenante que quasi inédite en
France. C’est le secret d’une convivialité qui fond tout type de public dans une chaleur
festive « Brasil » inimitable qui dépasse les attentes et gouts musicaux de chacun.
Ils y ajoutent un héritage culturel brésilien tout à fait assumé en y mêlant des formules et des styles musicaux plus typiques : Banda Carnaval (cuivres et percussions
déambulatoires) ainsi qu’un set de Samba & Musique Populaire Brésilienne.
Le groupe compte aujourd’hui 9 musiciens dont 3 cuivres, connus de tous au Brésil
depuis que leurs compositions bien tournées, vivantes, joyeuses et conviviales, donc
plus à même de transmettre un message ont séduit plusieurs producteurs TV qui en
ont fait des génériques d’émissions très populaires.
ARTS DE RUE
TRIO ZINDAR
>>Spectacle aérien , accrobatique et burlesque// Gard /// http://zindare.free.fr ///
Sam 17 Juillet // 16h30 // Scène arts de rue
Il en reste trois, ils ont pris la route dans
l’espoir de mettre du beurre dans les
nouilles !
Ils nous présentent leurs nouveaux
numéros, une rafale de cascades,
d’acrobaties, de force et de souplesse, dans lesquels transpire un certain
humour qu’ils ne sont pas sûrs euxmêmes de comprendre.
Non ! Ils n’ont pas changés...
CIE OMNIBUS
JAZZ A TOUS LES ETAGES
>>20 m3 de concentré de poésie, d’accrobatie de
jazz et d’humour ///
Dim 18 Juillet // 17h30 // Champs de Mars
Jazz à tous les étages tente de tisser un lien entre
le visible, le relationnel et la poésie de l’imaginaire,
de surmonter les contradictions, retrouver l’unité...
dans l’écriture, pas de logique ni de narration linéaire mais une mise en rapport poétique d’éléments
de situations éloignées. Un dialogue burlesque,
corporel et musical. Une esthétique abstraite, absurde, comme dans un rêve, qui réveille
chez le spectateur des zones inconscientes.
le jazz, véritable colonne vertébrale du spec-
tacle, trait d’union entre le corps et l’esprit, centralise, structure et articule
les rencontres et les échanges entre les personnages. musique d’émancipation
par excellence, construite et à la fois improvisée, elle ouvre le cadre d’un dialogue où
chaque individualité évolue avec sa partition personnelle. Mis en situation de rencontre
dans un espace confiné, les partitions devront se chercher, s’accorder, se confronter.
trouveront-ils, garderont-ils leurs particularités, seront-ils identiques ou transformés
de cette expérience ... ?
CIE MATIERE PREMIERE
BLACK SWAN REVIVAL AND THE KARMA PEOPLE
>>Objet théâtrale non identifié ///
Dim 18 Juillet // 15h30// Sous la Halle
Agnes Tihov // Xavier Laurant // Kamel Abdessadok
Mais quelle est cette étrange cérémonie
qui se déroule sous nos yeux ? D’où viennent- ils ? A quoi bon tout ça ?
Trois personnages tentent de nous amener vers la lumière. Ils veulent absolument donner un sens à nos vies, avec les
moyens dont ils disposent :
Générosité, acceptation de l’autre, acceptation de soi…
Laissez-vous tenter par l’expérience
mystique.» Sponx Data Enter « Il est
déjà trop tard » Ce spectacle hors
normes qui surprend, réunissant
des techniques artistiques exclusivement développées au foyer (astro
danse progressive, chant mystique,
flûte céleste, lyre contemporaine,
cruche tellurique…), constitue un
véritable objet théâtral non identifié.
Si le succès du Soupe Sound System avait
poussé la cie Matière Première à laisser de
côté ce spectacle, elle décide aujourd’hui
de permettre au Black Swan de jouir pleinement de son revival.
SALAM TOTO
«DONKEY’S CIRCUS »
>>Cie equestre - Cirque de rue/// Ariège
Dim 18 Juillet // 14h30 ET 16H30 // Champs de Mars
L’homme de cirque: Stéphane Laisné // Carmen : Mélanie de Diesbach ou Zoé Tiberghien // Les Ânes : Babouche, Étoile & Ontias // Accompagnement : Fred Werlé,
Mélanie de Diesbach, Paco Portero, Dominique Chevalier, Didier Kowarsky// Direction musicale , composition et interprétation : Gabriel Levasseur
Des hommes qui
cherchent à retrouver l’usage
de la parole, celui-là cherche à
braire. Des poils
lui poussent, ses
oreilles s’allongent, discrètes,
par en-dedans.
L’homme et l’âne
sont
compagnons depuis la
nuit des temps.
Et de compagnon
à complice il n’y
a que quelques trots, pas à pas, danse et simagrée, coup de cul et dressement batailleur... C’est beaucoup d’interrogations sur notre relation animale...sur notre lien à la terre dans ce monde moderne, individualiste... C’est
beaucoup de bruit autour et de musique et de borborygmes et de souffle,
instruments, vents et boutons d ‘accordéon...ah oui, un musicien...
C’est pour tous les Ânes de la terre, à nous aussi qui le sommes un peu, dans une
petite piste de sciure, dans un cirque de rue et de rien, un confetti d’univers...
Pour faire suite au personnage de reprise « l’Ermite », interprété avec Babouche
l’ânesse dans le spectacle « Penthésilée suite fantasy » et du personnage « Ion » de
la « Guinguette Cavale », le cabaret équestre de Salam Toto, il y a l’envie de créer une
suite pour 2 ânesses, 1 âne, 2 personnages et quelques chiens errants. Histoires de
voyageurs, d’hommes et d’animaux au grand cœur, qui trouvent dans chaque geste
d’un petit cirque forain le prétexte à des pirouettes comiques.
Partenaires réactifs par le geste, le langage des oreilles et par le regard qu’ils portent
aux humains et aux situations, Babouche, Étoile et Ontias sont les acteurs, nobles, du
« Cirque des Ânes » que créé Salam Toto.
CIRK OBLIQUE
COMME UNE GOUTTE D’EAU
DANS UN SAC À MAIN.... »
>>Trapèze/// Ariège/// ven 17 Juillet //
18h15 // Scène arts de rue
Avec Marie Mercadal
« Une femme seule prise au piège dans
l’absurde de son quotidien nous dévoile
ses faiblesses et ses vertiges... Suspendue....fragile... Elle tente de se sortir de ces
doutes par un mouvement perpétuel... »
CIRCAMBULLE
MON PREMIER CABARET
>> ATELIERS CIRQUE TOUT PUBLIC // HAUTE GARONNE //// DIM 20 JUILL ET // À PARTIR DE
14H30 // AU VILLAGE - DERRIERE L’ÉGLISE
LES ATELIERS THÉÂTRE ET CIRQUE PERMETTENT À L’ENFANT DE DÉCOUVRIR SES
GOÛTS ET SON POTENTIEL .
Initier l’enfant aux arts du cirque
en permettant l’intégration de numéros variés au spectacle...# Fil
de fer # Jonglerie # Clown # Pyramides # Parade et percussions #
Fabrication de balles de jonglerie
VIOLON PROFOND
LES CLASSIQUES DU HARD ROCK »
>> «Sur l’autoroute de l’enfer» /// Liles /// /// http://violon.profond.free.fr
Ven 17 Juillet à 17h15 et Sam 18 juillet à 18h10 // Cantina
Tony Violon : Violoncelle // Jerry Profond : voix
Violon profond ou le heavy métal revisité
à la sauce classique par deux hard-rockeurs un peu fou !
Apres avoir brûlé la scène du Carnegie Hall
Concert, boeuffé avec le Philharmonique
de Berlin . . . Les VIOLON PROFOND sont
de retour sur l’autoroute de l’enfer !!!
Duo violoncelle / chant, atypique
mais classique, Tony Violon et Jerry
Profond déplombent en français
dans le texte les plus beaux tubes du
Hard-Rock et du Heavy Metal !
Depuis 1998, partout où il est possible de jouer : en rue, sur scène, à
l’église, à la montagne, dans des caves, à l’hôtel, dans les squatts, De la
grosse scène au muret d’ampli...
...le chainon manquant entre le conservatoire et les stooges.
Bientôt chez vous !
C’est le projet de deux lillois, Tony Violon et Jerry Profond qui décident de revisiter
les grands classiques du hard rock en français. C’est en costume trois pièces qu’ils
proposent des titres comme Autoroute de l’enfer, Fumée sur l’eau ou encore Casser
les lois qui ne sont autres que les reprises de Highway to hell d’AC/DC, Smoke on the
water de Deep Purple ou Breaking the law des Judas Priest, ceci dans une version
plus proche de la musique de chambre et servi sur fond de violoncelle électronique.
Un spectacle qui permet à chaque hard rockeur de remuer la tête sur des mélodies
considérées parfois comme clichées du heavy metal mais aussi de comprendre les
paroles...
Infos pratiques
Ouverture des portes
Vendredi 18 juillet >>> 17h
Samedi 19 juillet >>> 15h
Dimanche 20 juillet >>> 12h30
Billetterie
Tarifs (accès tout spectacle)
• Plein tarif > 15 €/jour /// 24€ forfait 2 jours (vend/sam)
• Préventes et tarif réduit (chômeurs, étudiants, RMIstes - sur justificatif) > 12 �/jour /// 18� forfait 2 jours
(vend/sam)
• Gratuit pour les enfants de moins de 10 ans
• Gratuit le Dimanche, sauf Alima et Loe Kent (5 �)
Préventes
• Auchan, Cultura, E.Leclerc, Virgin mégastore > ticketnet.fr
• Harmonia Mundi à Toulouse ( 56 rue Gambetta, 31 000, tel 05 61 29 08 07) et Montauban (3 rue Greffe,
82 000, tel 0563 66 93 46) >> un disque offert* pour tout achat sur présentation d’un billet d’entrée au festival dans les boutiques
Harmonia Mundi de Toulouse, Albi, Bayonne, Bordeaux, Montauban, Montpellier, Perpignan, Tarbes - offre
valable du 1er juillet au 30 Aout 2008 - *disque offert dans la sélection d’Harmonia Mundi
• Bureau Information Jeunesse de Foix (3 rue Longues, 09 000, tel 05 61 02 86 10)
• Cinéma Le Régent à Saint Gaudens (16 rue Indépendance, 31 800, tel 05 62 00 81 57)
• La Mie Câle à Pamiers (21 rue Charles de Gaulle, 09 100)
• Le Mélodie à Saint Girons (17 rue du Bourg, 09 200, tel 05 61 66 66 50)
• Le Crée Louche à Engomer (09 800, tel 05 61 04 89 39)
• Bureau de la Presse au Mas d’Azil (Place du Champs de Mars, 09 290, tel 05 61 69 93 63)
• Pizzeria du Prieuré à Lézat sur Lèze (70 av de la république, 09 210, tel 05 61 60 40 09)
• Bureau de la Presse à Montesquieu Volvestre (3 rue Porte Neuve, 31 310, tel 05 61 90 18 39)
• Bureau de Tabac à Daumazan sur Arize (10 rue Barry, 09350, tel 05 61 69 80 14)
• Librairie de la Halle - Cazères sur Garonne
Réservations
05 61 66 34 62 / [email protected]
Billets par contremarque (1/2 tarifs pour les 13/25 ans résidant en Ariège) disponibles auprès des BIJ et
des PIJ de l’Ariège (renseignements auprès de l’association Terre de Couleurs, 05 61 66 34 62)
Pour venir Depuis Toulouse, 40 mn : Prendre l’A64 direc-
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tion Tarbes puis prendre la sortie Carbonne, Montesquieu Volvestre, suivre la direction de Foix. Depuis Foix , 40mn : Prendre
en direction de la Vallée de la Lèze, puis Daumazan.
contact presse : Thomas Bonnin : [email protected]
05 61 66 34 62
www.terredecouleurs.asso.fr
Place du Village
09230 Sainte Croix Volvestre
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