d`après La Duchesse des Folies Bergère de Georges Feydeau
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d`après La Duchesse des Folies Bergère de Georges Feydeau
Le Vingtième Théâtre et Le Lieu Exact présentent LA DUCHESSE d’après La Duchesse des Folies Bergère de Georges Feydeau adaptation et mise en scène Clément Peyon Les 14 et 15 septembre à 20H 7 rue des plâtrières 75020 Paris La Duchesse, d’après la Duchesse des Folies Bergère Texte Georges Feydeau Adaption Clément Peyon Mise en scène Clément Peyon 1h30 sans entracte Spectacle conseillé à partir de 14 ans Avec : Kelly Gowry (Sabine, épouse de Stanislas Slovitchine) Ksénia Lukyanova (Le Duc d’Orcanie) Sarah Ulysse (La Duchesse, épouse du Duc D’Orcanie, anciennement connue à Paris sous le nom de Môme Crevette) Pierre Langlois (Arnold, le valet de chambre de Stanilas et Sabine Slovitchine) Vinicius Timmerman (Serge, le futur roi d’Orcanie et Chandel, le surveillant de l’internat) Boris Zordan (Stanislas Slovitchine et Chauvel dans l’acte 1) Assistante à la mise en scène Leslie Bourgeois, Compositeur Adrien Degas, Scénographie et création lumière Leslie Bourgeois, Costume Leslie Bourgeois et Adrien Durupt, Régisseuse générale Alice Fulcrand, Administration Clément Peyon, Production et Diffusion Kelly Gowry. Production Le Lieu Exact, avec le soutien de l’Espace Marcel Carné à Saint Michel sur Orge et de la MJC Club de Créteil Information pratique : Vingtième Théâtre 7 rue des Plâtrières 75020 Paris Métro : Ménilmontant (ligne 2) ou Gambetta (ligne 3) Bus : Ligne 96 Henri Chevreau Parking : Belleville Maronite - 30 boulevard de Belleville 75020 Paris - (Parking public) Relation presse : Kelly GOWRY 0609279367 [email protected] La pièce La Duchesse est une adaptation d’un texte de Feydeau : La Duchesse des Folies Bergère. Cette dernière a été écrite par Feydeau en 1902, comme une suite de La Dame de chez Maxim. Elle reprend le personnage de la Môme Crevette, fille légère et actrice, qui avait enchanté le public trois ans plus tôt. L’Histoire : La Môme Crevette, la mondaine la plus prisée de Paris, s’est mariée. Le Duc, son époux, ignore tout de son ancienne vie. Ainsi, en Orcanie, son nouveau pays, elle n’est plus connue que comme la Duchesse. Mais lorsque le roi d’Orcanie décide de quitter le pouvoir en faveur de son fils, le prince Serge, un étudiant parisien de dix-sept ans, toute la délégation est envoyée à la capitale française pour le couronnement du dit-prince. Alors, lorsque la Duchesse revient dans la ville de la môme Crevette, la fille légère fait rougir le fard de la grande dame. Prise dans la fièvre d’une soirée parisienne, la Duchesse va renouer avec ses folies d’autrefois. L’adaptation : La Duchesse est une adaptation de La Duchesse des Folies-Bergère. Toute la narration a été refondue afin de mettre en exergue ce que nous voulions raconter de l’écriture de Feydeau. Malgré tout, cette adaptation s’est opérée uniquement dans des coupes de textes ou des agencements différents mais aucun texte n’a été modifié. Nous avons uniquement ajouté un monologue qui vient remplacer l’acte I. De ce texte d’accueil nous posons le code de jeu : Cinq acteurs au plateau vont interpréter différents personnages en se servant de quelques accessoires accrochés à un portant. Ces cinq acteurs vont à eux seuls faire vivre le bar tout entier. Ils sont des acteurs qui endossent des rôles. Et puis il y a Chauvel. Celui-là ne joue qu’un rôle dans cet acte, le sien. C’est à celui-là que nous avons ajouté le monologue qui démarre la pièce. Il est le Saturne des Saturnales, le dieu qui distribue les cartes et décide de qui jouera quoi. Par ce rituel de nomination, les acteurs arrêtent de sans cesse incarner différents rôles, mais deviennent les personnages qu’ils incarneront pour le reste de la pièce. Ainsi, ce premier acte en lui seul résume le propos de la pièce, puisqu’il montre les protagonistes au plateau comme des acteurs, des « joueurs ». Le mot de Kelly, l’attachée de presse : La mise en scène de Clément Peyon est surprenante, innovante, et agréablement acide. D’une scène à l’autre l’univers passe de très concret, un bar à strip-tease avec des podium et des barres de « pole dance » à incroyable, quand ce même décor nous figure l’ambasse d’Orcanie lieu officiel du couronnement du roi. Le texte de Feydeau ne fait que résonner encore plus fort, dans ces endroits et ces ambiances éléctriques et glamour, c’est à dire là où on ne l’attend pas. N’est ce pas réellement cela que la mise en scène contemporaine ? D’entendre nos auteurs de toutes époques dans une réalité d’aujourd’hui qui ne leur appartient pas, afin justement que l’universalité de leur propos et l’intelligence de leurs textes soient réellement mis en avant et résonnent encore plus fort aujourd’hui ? Feydeau est ici déshabillé des décors des salons bourgeois, mais c’est sûrement ici, de la bouche de jeunes acteurs que ses mots et ses idées seront vraiment entendus aujourd’hui. Le mot du metteur en scène Je pense qu’il y a une raison à la pérénité des auteurs. Si le temps trie et ne garde que certains de ceux qui ont écrit, je pense qu’une chose compte plus que tout, leur musique. Vitez considérait tous les textes de théâtre comme de la poésie et je suis de son avis. Aussi me suis-je posé la question sur Feydeau : «Qu’est-ce qui fait que Feydeau a perduré ?» «Pourquoi est-il toujours un grand auteur de théâtre que le temps n’a pas effacé ?» Et en me plongeant dans ce mystère j’en ai découvert une des causes. Pour moi la plus intéressante. Feydeau est un peintre. Qui plus est un peintre impressionniste. Sa poésie ne réside pas en un vers, une strophe, un monologue. Non. Sa poésie réside dans toutes ses petites touches de peinture qu’il appose les unes aux autres. Et tout comme dans un Degas, tout comme dans un Monet, de ces petites phrases qui se complètent, nait le mouvement. C’est ce mouvement, c’est cette force vive qui m’a appelé au plateau. Et La Duchesse des Folies Bergère est une des pièces les plus mouvementées de Feydeau. Son acte chez Maxim contient plus de quarante personnages qui s’entrechoquent, se coupent la parole, se battent, s’embrassent et dansent ensemble. De ce monstre quasi-fellinien ressort une impression de Carnaval, de Saturnales et donne à cette pièce une vraie intérrogation sur la question de la hierarchie sociale. Ou plutôt comment se défaire de la hierarchie sociale. Dans cette pièce, tous les personnages sont empêtrés dans leur rôle. Ils bougent, parlent, réagissent comme le garçon de café de Sartre. Ils «jouent à être». Tous, sauf La Duchesse. Celle-là décide quand bon lui semble de jouer la fille légère ou la grande dame et d’alterner selon la situation. Elle a compris que pour se jouer du système il faut jouer tout court. Alors il m’a semblé cohérent d’axer toute cette pièce autour de ce sujet. De poser une soirée folle où un Saturne désenchaîné, Chauvel, viendrait distribuer les rôles aux acteurs pour tenter de les libérer. Et à cause de cet élement perturbateur, de ce Carnaval, tous les protagonistes de la pièce vont être confronté à un choix crucial : accepter ou non de jouer la comédie. La mise en scène - La direction d’acteur Afin de faire entendre la musique de Feydeau, son universalité, son intemporalité, il était important pour nous de se défaire du XXème siècle. Aussi, le travail de direction d’acteur s’est axé en premier lieu sur la déconstruction systématique des présupposés que nous avions sur une phrase, une réplique, un dialogue. Une fois la «mécanique» de Feydeau mise à mal, nous avons pu commencer à construire notre propre rythme, nos propres images, modernes, contemporaines, organiques. Cela a constitué la fable. Une fois la fable integrée, les acteurs ont pu jouer avec, dans le code de jeu fixé. Ce code de jeu reflète mon propos sur la pièce : La question de la hierarchie sociale. Ainsi, alors que des poupées de chiffon servent à n’importe quel rôle qu’on veut bien leur donner, les acteurs, eux, oscillent entre des corps entravés par le «jouer à être», proche de ces poupées inertes, et des corps libres, forts, beau, car ils ont accepter de pleinement exprimer leur nature. - A propos de la scénographie Notre reflexion scénographique s’est developpée à partir d’éléments présents dans le texte originel de Feydeau : le tournoiement, la réitération de l’image du cheval, les chaises musicales, le carrousel, le manège de bois... Et c’ette idée du caroussel nous a beaucoup plu : Les chevaux qui montent et descendent comme montent et descendent les rangs sociaux au cours d’une vie, le choix de l’animal dans un manège qui fait écho aux Saturnales : certains préfèrent les chevaux princiers ou le carrosse, d’autres les cochons paysans. Mais il fallait actualiser tout ça, surtout l’espace de Chez Maxim qui ancre la pièce dans un contexte dont nous ne voulions pas. Tous ces éléments résonnent pour nous à travers une barre de pole dance. C’est ainsi que nous avons choisi de travailler avec un motif d’éléments scéniques : des praticables avec des barres chromées verticales. Et puis, en construisant la mise en scène, l’élément du portant a trouvé un réel intérêt, à la fois pratique et symbolique. Enfin, l’élément du tapis doré évoquait pour nous un choix d’objet soulignant la qualité des espaces dans lesquels se déroulent les actions. Au cabaret, il s’agit d’habiller la scène avec un code propre aux bars érotiques. A l’Ambassade, un tapis pour VIP au goût très incertain, comme un cliché de la décoration des nouveaux russes. Tous ces éléments scéniques, disposés différemment au plateau, viennent signifier des espaces variés et apportent de la verticalité au plateau. Les barres simulent également des parois transparentes, venant accentuer le côté voyeur du spectateur, jeu érotique que l’on retrouve dans certains bars parisiens. - A propos de la Musique Nous avons pensé la création musicale dans ce spectacle, non pas comme un accompagnement, mais bien comme une partition à part entière. C’est la voix du plateau. Elle présente durant tout le monologue d’introduction et le premier acte, car c’est le lieu lui même qui appelle au jeu et à la danse. Dans le texte d’origine, Maxim joue un rôle primordial sur les décisions de la Duchesse, c’est tout son passé qui lui revient, les gens bien sûr, mais aussi les matières, les odeurs, les sons. C’est cette force ennivrante du passé qui vient trouver son expression dans la musique. Qui plus est, nous voulions rendre hommage à l’impressionnisme une fois de plus. Hors l’impressionnisme en musique, que ce soit chez Ravel ou chez d’autres, a été au début du XXème siècle un courant extrêmement novateur. C’est le début de l’atonal, un tournant dans l’histoire de la musique où on a remis en cause des lois strictes de composition musicales. Aussi nous avons voulu trouver dans la musique électronique composée des échos à cette construction impressionniste atonale. L’équipe de la Duchesse CLEMENT PEYON : Metteur en scène Né en 1989, Clément Peyon entre au cours Florent en 2009. Il intègre en 2011, en parallèle des cours, la compagnie du Théâtre de l’Estrade où il travaillera comme acteur et administrateur. Au sein de cette compagnie il jouera notamment dans L’Arbre des Tropiques, de Yukio Mishima, mis en scène par Benoît Weiler. Co-fondateur et président du Lieu Exact, structure de création et d’expérimentation théâtrales, en résidence à la MJC Club de Créteil depuis 2012, il anime et dirige plusieurs ateliers de théâtre depuis trois ans, avec des professionnels comme avec des amateurs ou même des scolaires, comme L’Insulte, un langage théâtral, avec les 4ème du collège Issaurat, ou encore Babel, la différence entre langue et langage, avec les Ateliers Sociaux Linguistiques de la MJC Club de Créteil. Metteur en scène, Clément Peyon a écrit et monté La Douche, en résidence au TGP CDN de SaintDenis en 2011, et mis en scène en 2014 La Duchesse, d’après La Duchesse des Folies-Bergère de Feydeau, qui se jouera en 2015 au Vingtième Théâtre. Il participe par ailleurs en tant que conseiller artistique au projet de Pauline Ribat : Depuis l’aube (ode aux clitoris), soutenu par le conseil général de Savoie et la ville de Chambéry, en création à Espace Culturel Château-Rouge à Annemasse, Scène conventionnée au titre des Nouvelles écritures du corps et de la parole, en avril 2016. LESLIE BOURGEOIS : Assistante, scénographe, costumière Née en 1984. Vit et travaille entre Paris et Monaco. Diplomée du Pavillon Bosio en 2008, une école de scénographie, elle conçoit, durant son cursus, des scénographies en collaboration avec les Ballets de Monte-Carlo. En 2010 elle rejoint le Logoscope -centre de recherches artistiques à media multiples à Monaco- où elle développe sa pratique plastique et participe aux projets de spectacles vivants et vidéographiques comme costumière et scénographe. Leslie intervient également en tant que teinturière et patineuse au sein de l’atelier de costumes dirigé par Jean – Michel Lainé aux Ballets de Monte-Carlo depuis 2007. Depuis 2012, elle participe à des projets de création théâtrale avec des jeunes troupes de théâtre (Atelier théâtre de l’Estrade, Compagnie Charles est stone…). Vice-présidente de la structure de théâtre Le Lieu Exact, elle travaille également à la scénographie de La Duchesse, mis en scène par Clément Peyon. Après avoir exposé des œuvres d’art visuel pour l’exposition « Les Salons de Lily », présentée à Aix en Provence en été 2013, elle a suivi parallèlement à ses activités professionnelles, une formation de l’acteur au cours Florent dans la classe de Jerzy Klesyk. En 2014, elle monte Ballhaüs, projet issu de ses recherches au sein du Lieu Exact. ADRIEN DEYGAS : Compositeur Né en 1983, Adrien Deygas suit une formation de Contrebasse à l’ENM de Villeurbanne puis entre au Conservatoire du XIIème, avant d’intégrer la classe de Philippe Noharet au Conservatoire de Rueil Malmaison. Il y obtient le premier prix de Contrebasse en 2011. Depuis 2006 il travaille comme supplémentaire pour différents orchestres et chorales parisiennes, ainsi que pour l’orchestre du CNSM de Lyon (direction Gilbert Amy et Peter Csaba). Tuttiste pour l’orchestre de la Cité internationale (direction Adrian Mc Donel) en 2012, puis pour l’orchestre symphonique européen en 2015 (direction Daniel Kawka), il explore par ailleurs le travail de musique actuelle et contemporaine au sein par exemple du Star Pop Orchestra. Il commence son travail de compositeur en 2010, notamment pour le groupe Horla-Patrie et le « Forma Trio », avant de s’initier à la composition pour le théâtre. Il travaille notamment avec la compagnie du Théâtre de l’Estrade sur Ceinte, d’après Henry Bauchau, et L’Arbre des Tropiques de Yukio Mishima, mis en scène par Benoît Weiler. C’est sur ce spectacle qu’il rencontre Clément Peyon. ADRIEN DURUPT : Assistant costumier Né à Fréjus en 1990, Adrien suit une formation au Conservatoire Municipal d’Antibes en 2007, puis monte à Paris en 2008 pour intégrer les cours Florent, notamment dans la classe de théâtre de Christian Croset et les ateliers caméras de Philippe Landoulsi, d’où il ressort diplômé en 2011. En 2013, il effectue un stage de théâtre en Biélorussie consacré à la méthode Stanislavski. En parallèle il participe à publicités, courts métrages et fictions (Aimé Césaire, Platane). En 2014, il entame une formation de costumier, et participe à l’élaboration des costumes de La Duchesse mise en scène par Clément Peyon. Il vient de terminer le tournage d’une série policière pour France télévision en tant qu’assistant habilleur. ALICE FULCRAND : Régisseuse En juin 2013, Alice sort diplômée du BTS audiovisuel de Cannes option métiers de l’image. Elle s’établie à Paris où elle commence à travailler en tant qu’opérateur de prise de vue dans l’audiovisuel et régisseuse lumière pour des structures comme le Théâtre 13 ou l’Alhambra. Par la suite elle intègre le cours du Studio dirigé par Philippe Landoulsi. A la rentrée 2014 elle entame une formation au conservatoire du centre avec Alain Gintzburger et parallèlement le cursus du cours Florent. Sa collaboration avec le Lieu Exact commence avec le projet de La Duchesse mis en scène par Clément Peyon sur lequel elle sera responsable de la régie lumière. Elle a joué récemment dans La Pomme, de Nicolas Girard Michelotti, un des neufs projets lauréats du concours «Conservatoires en scène 2015» organisé par le théâtre du Rond-Point. KELLY GOWRY : Sabine Formée Conservatoire du 15ème arrondissement par Liza Viet, Kelly Gowry a poursuivi en parallèle un cursus universitaire d’où elle sort avec un Master en Information-communication et en médiation culturelle. Menant ainsi de front une carrière d’actrice et d’administration, elle participe pendant deux ans à l’atelier de création de la compagnie Casas Belli tout en étant chargée des relations presse pour le festival jeune public de la Générale ainsi que pour le groupe M.I.A.O.U. Sur la pièce Il faut parfois se servir d’un poignard pour se frayer un chemin. Chargée de production et de diffusion pour Le Lieu Exact, Kelly Gowry occupe de même actuellement le poste de chargée d’accueil-Billetterie au Théâtre 13 depuis un an et demi. KSENIA LUKYANOVA : Le Duc Née à Novossibirsk en Russie, installée à Paris depuis 2008, Ksénia Lukyanova a fait une formation de 3 ans aux Cours Florent, puis une année au Conservatoire Nationale d’Art Dramatique dans la classe de Jean-Damien Barbin. Elle a joué notamment dans Ghetto’s book, mis en scène par Benoit Guibert, dans Le Partage de midi, mis en scène par Régine Menauge-Cendre, Shakespeare, mis en scène par Bruno Blairet. Dernièrement elle joue dans La Duchesse, production du Lieu Exact. SARAH ULYSSE : La Duchesse Sarah Ulysse débute le théâtre à l’âge de 16 ans dans Ange des Peupliers, mis en scène par Laurence Mayor au Théâtre de la Colline, en 1997. Puis, après une formation au cours Florent, sous la direction de Christian Croset, Antonia Malinova et Damien Bigourdan, elle intègre le collectif Xanadou. Au sein du Xanadou elle jouera dans de nombreux spectacles dont Kabaret, en 2011, mis en scène par Sabine Zordan, au festival du Bugey à Lyon, et le Café de la rage (1ère et 2ème éditions), mise en scène collective, crée en Octobre 2012 aux Morizots (Savoie), puis en Rhône-Alpes et à Paris aux Théâtre des Rendez-vous d’ailleurs. Elle est actuellement en tournée à travers la France avec le spectacle Lendemains difficiles, mis en scène par Boris Zordan. Et elle sera en Avignon 2015 dans Chromosomes XX, mis en scène par Sabine Zordan. PIERRE LANGLOIS : Arnold Pierre Langlois intègre les cours Florent en 2012 et décroche son premier rôle la même année dans L’Avare, mis en scène par Sissia BUGGY au théâtre de l’espace marais. Parallèlement, il intègre le Studio Landoulsi, formation d’acteur pour le cinéma, c’est là qu’il rencontre Clément Peyon. A la télévision on peut le voir sur différents projets tels que le téléfilm Comme des frères dans lequel il joue avec Gérard Jugnot et au cinéma au côté de Sylvie Testud dans C’est le métier qui rentre. Membre du Lieu Exact, il participe à plusieurs projets de la structure tels que Le Garde-Robe, crée en avril 2015 à la MJC lub de Créteil, et la Duchesse. VINICIUS TIMMERMAN : Serge/Chandel Vinicius Timmerman poursuit un Master en Design Produit à l’Institut Supérieure des Arts de Toulouse tout en participant en parallèle à divers projets artistiques comme par exemple la Web Série «Studio 31» ou au festival d’Art contemporain de Toulouse « le Printemps de Septembre» jusqu’en 2014. Acteur/chanteur, Vinicius Timmerman poursuit actuellement une formation double, au cours Florent en section comédie musicale, ainsi qu’au Conservatoire du 10ème arrondissement de Paris. Son profil pluri-disciplinaire l’a fait participer dernièrment au spectacle musical Je t’aime, je te hais organisé pour des enfants gravement malades dans le cadre de l’association «Petits Princes». BORIS ZORDAN : Stanislas/Chauvel Cofondateur du Collectif Xanadou et du groupe de rap T.I.N.A., Boris Zordan est un autodidacte qui pratique son métier d’acteur loin des sentiers battus. On a pu le voir en tant qu’auteur interprète lors des quatre dernières créations de la Cie des Café de la Rage, dans certains films de Louis Zampa où encore lors des performances désormais reconnues des Strip Teaser du métro. Depuis 2010, il met régulièrement en scène des créations où des textes d’auteur (Les Justes, Lendemains Difficiles, Guerre & Paix). Cette année on peut le voir dans Avant qu’elle ne se fâne (Duo danse/théâtre, Cie AtoU), Les raconteurs d’histoire (mise en scène Yvan Duruz, coproduit par la scène nationale du Volcan) ou encore La Duchesse (mise en scène Clément Peyon). Le Lieu Exact : une communauté d’artistes Le Lieu exact regroupe plusieurs artistes, créateurs et interprètes, de divers médias et de parcours différents. Tous les artistes impliqués dans la structure bénéficient du droit de présenter leur projet de recherche ou leur création au sein de celle-ci, à condition que ces projets soient en accord avec la note d’intention de la structure. En sus de cet accès d’ordre pratique, les membres du Lieu Exact participent d’un réel dialogue artistique, tant sur leur recherche commune que sur leurs travaux artistiques respectifs. Ce dialogue prend corps dans un rendez-vous annuel où chaque membre présente un objet de sa réflexion, sous la forme qui lui sied, à l’ensemble de la communauté.