magazine - Laboratoire Sofibio

M A G A Z I N E
La nouvelle voie du Bien-Être
DOSSIER
Les Candidoses
CUISINE
ET SANTÉ
Recettes pour Allergiques
et Gourmands
ACTUALITÉS
Association Peuples
d’Himalaya
FOCUS
Les Fructoligosaccharides
PLANTES
ET MAISON
Le Narcisse
QUALITÉ
et Respect de la Nature
SOFIBIO MAGAZINE N°18 Avril - Mai - Juin 2012
Cholestérum
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Equilibre lipidique
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Ingrédients : levure de Monascus purpureus (Riz rouge) 240 mg,
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extrait sec d’Allium sativum (Ail) 10 mg, Canne à sucre (90% de
policosanols) 10 mg, stéarate de Magnésium 4 mg, Silice 1 mg.
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M A G A Z I N E
Édito
Chers Clients,
Des millions de personnes dans le monde souffrent de candidose
chronique. Il nous a paru important d’aborder ce trouble afin d’en
connaître les mécanismes de développement et les conséquences.
Nous vivons en permanence dans un univers de microbes et sommes
les hôtes d’une population de bactéries et champignons avec lesquels
nous entretenons des relations « symbiotiques ». Tant que notre
système immunitaire se défend efficacement, ces micro-organismes
ne déclenchent aucune maladie. Or, lorsque notre résistance diminue,
les bactéries et champignons deviennent offensifs.
Parmi les centaines d’espèces microbiennes qui colonisent
naturellement notre organisme, il existe un champignon : Candida
albicans, qui sous forme de levure, vit en commensal sur nos
muqueuses. Mais, pour diverses raisons, ce champignon peut changer
de forme et devenir responsable de nombreux troubles affectant le
système digestif, l’appareil génito-urinaire, les systèmes endocrinien
et nerveux.
Les candidoses sont des maladies insidieuses qui touchent
actuellement des millions de personnes dans le monde. Non traitée,
cette affection peut s’étendre et détériorer progressivement et
gravement la santé en affaiblissant le système immunitaire.
Les Américains dénomment le syndrome de candidose chronique
le « Yeast Syndrom ». La prolifération de Candida albicans résulte
de l’action combinée de plusieurs facteurs tels que l’usage répétitif
d’antibiotiques et autres molécules chimiques, l’alimentation moderne
riche en sucres, les déficiences nutritionnelles, le stress émotionnel….
Tout au long de ce dossier, nous vous présenterons le dimorphisme
du Candida, son développement, les différents types de candidoses et
les moyens préventifs.
Nous vous souhaitons une agréable lecture.
La Rédaction
Ce magazine a été imprimé sur un papier 100% recyclé
et réalisé par un imprimeur labélisé Imprim’Vert
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0 800 915 641
SOFIBIO MAGAZINE
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Sommaire
dossier :
LES CANDIDOSES
p. 5 à 13
Cuisine et Santé :
RECETTES POUR ALLERGIQUES ET GOURMANDS
p. 14
ACTUALITÉS :
ASSOCIATION PEUPLES D’HIMALAYA
p. 15
Focus :
LES FRUCTOLIGOSACCHARIDES
p. 16
Plantes & Maison :
LE NARCISSE
p.17
qualité
et respect de la nature
p. 18
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SOFIBIO MAGAZINE
Dossier
LES CANDIDOSES
Définition
Les candidoses sont des infections opportunistes provoquées par un champignon
levuliforme du groupe Candida, qui atteint essentiellement la peau et les muqueuses.
Candida albicans est la levure la plus fréquente et la plus pathogène, mais d’autres espèces sont
aussi pathogènes telles que Candida tropicalis et Candida parapsilosis.
Rappel : Les champignons comprennent les levures et les moisissures.
Les levures sont des champignons unicellulaires dont les dimensions sont de 4 à 6 µm. Leur
multiplication est rapide dans un milieu riche en sucre ou en amidon et elles peuvent plus
facilement se développer en milieu acide (pH voisin de 4).
Les moisissures croissent à partir d’une spore qui pousse, s’étire en longs filaments (les hyphes)
dont la configuration finale est connue sous le nom de mycélium.
Levures du genre Candida
Les levures du genre Candida sont des champignons saprophytes présents dans le monde entier et
dans tous les milieux. Plus d’une centaine d’espèces a été décrite, chacune pouvant théoriquement
être impliquée en pathologie humaine en cas de rupture de l’équilibre naturel entre levures et
défenses de l’organisme.
L’espèce encore actuellement le plus souvent identifiée (70 à 80%), Candida albicans, vit dans le tube
digestif des mammifères et, principalement, dans l’intestin grêle de l’homme en se nourrissant de
matières organiques en décomposition.
Sa prolifération peut être à l’origine d’une colonisation de proche en proche jusqu’à la bouche
et à l’anus.
Le champignon peut contaminer la peau et les ongles et même, dans certains cas, infester le milieu
intérieur par passage à travers la muqueuse digestive.
Candida albicans se reproduit par
bourgeonnement cellulaire
asexué.
Une cellule-mère peut former
de nombreux bourgeons
dans diverses directions.
Lorsqu’un bourgeon est
assez gros, il s’étrangle
et se sépare de la cellulemère pour former une
cellule-fille.
La paroi cellulaire conserve
une petite cicatrice.
On rencontre Candida
albicans en faible abondance
dans les cavités buccales, les muqueuses génitales et l’intestin de tout individu.
Toutefois, aucun symptôme n’est lié à sa présence.
Candida albicans fait partie, en particulier, des composants normaux de la flore intestinale.
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SOFIBIO MAGAZINE
Dimorphisme
albicans
du
Candida
A l’état saprophyte, Candida albicans est
sous forme de levure. Il est nécessaire à
l’homme car il transforme les déchets de
la digestion, essentiellement au niveau du
côlon.
Sous diverses conditions, il prend une
fo r m e myc é l i e n n e ave c a p p a r i t i o n
d’hyphes (filaments) et devient pathogène,
provoquant des infections des muqueuses et des atteintes du milieu intérieur.
Candida albicans a la particularité de pouvoir passer
de la forme levure (cellules arrondies ou ovoïdes,
groupées en petits amas) à la forme de moisissure
(les cellules s’allongent, se développent et prennent
l’aspect de filaments) et inversement.
Grâce à ce dimorphisme, ce champignon échappe aux
mécanismes de défense liés à l’immunité cellulaire.
Rarement une seule forme existe.
La forme levure vit en symbiose avec l’organisme hôte,
alors que la forme moisissure mycélienne est la forme
parasite - donc pathogène - susceptible de provoquer
des symptômes. Lors du passage d’une forme à l’autre, le champignon subit des modifications qui
correspondent en fait à une adaptation de survie à un milieu devenu défavorable.
La levure n’est pas invasive alors que la forme mycélienne avec filaments a la possibilité de pénétrer
la muqueuse.
Au niveau de la muqueuse gastrique et intestinale par exemple, la forme mycélienne est capable
d’infiltrer les vaisseaux sanguins et lymphatiques profonds et de permettre ainsi la pénétration
sanguine de nombreuses substances intestinales dont la plupart vont provoquer des inflammations
et des allergies.
De plus, les Candida sécrètent de nombreuses toxines. On connait en effet 79 substances chimiques
différentes sécrétées par les différentes espèces de Candida albicans.
Notre système immunitaire cherchant à repérer les formes et à identifier les toxines est débordé face
à cette capacité particulière de transformation et de sécrétion.
Le nombre d’anticorps fabriqués vis-à-vis des nombreuses toxines est important, mais devient
rapidement inutile. En revanche, cet excès d’anticorps provoque l’apparition de syndromes allergiques.
Facteurs favorisants
Les facteurs favorisants sont de différentes origines :
■■ locales : humidité, macération, chaleur, transpiration, mauvaise hygiène, microtraumatismes,
irritations locales (appareils dentaires),
■■ médicamenteuses : antibiothérapie, corticothérapie, traitements favorisant la sécheresse buccale
comme les somnifères, les immunosuppresseurs, la chimiothérapie, prise de contraceptifs oraux,
■■ alimentaires : grande consommation de sucre, d’excitants (café, chocolat), de levures,
■■ générales : état pathologique du patient (diabète, SIDA), grossesse...
SOFIBIO MAGAZINE
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Candidoses muqueuses, cutanées et unguéales
1) Candidoses buccales et digestives
Les stomatites aiguës candidosiques regroupent :
■■ le muguet buccal : enduit blanchâtre en plaques, recouvrant la muqueuse des joues, atteinte
concomitante fréquente de la langue et du palais,
■■ la stomatite érythémateuse, souvent après antibiothérapie : pas d’enduit blanchâtre mais un
érythème intense avec sensation de brûlure, langue rouge et enflée, atteinte du palais,
■■ la stomatite des dentiers, ou « candidose des prothèses » : érythème intense, limité à la zone
prothétique.
La chéilite candidosique se traduit par un gonflement des lèvres, recouvertes de squames sèches et
de croûtelles.
La colonisation de la muqueuse digestive par les Candida détermine divers tableaux cliniques :
œsophagite, gastrite (notamment au cours des traitements antibiotiques), gastro-entérite,
inflammation de l’anus.
2) Candidoses génitales
La vulvo-vaginite candidosique est liée à un déséquilibre de la trophicité et/ou du pH de
la muqueuse vaginale. Elle est favorisée en particulier par la grossesse, toutes les affections
gynécologiques, la prise d’œstro-progestatifs et le diabète. Elle détermine prurit de la vulve et pertes
vaginales crémeuses.
La dissémination ascendante de ces candidoses peut être à l’origine d’inflammations du conduit
urinaire, de cystite voire d’atteintes rénales.
3) Candidoses cutanées et unguéales
Les lésions affectent les grands plis (axillaires, sous-mammaires, génito-cruraux…) et les sillons entre
les doigts.
La lésion est symétrique par rapport au pli, prurigineuse, érythémateuse et inflammatoire, humide
et suintante, avec un dépôt blanchâtre au fond du pli.
L’onyxis candidosique atteint le plus souvent les ongles des mains, mais existe aux pieds. La lésion
évolue depuis la partie proximale de l’ongle.
Les candidoses granulomateuses des sujets très immunodéprimés s’expriment par des granulomes
de la face et du cuir chevelu, avec généralisation secondaire.
Candidoses profondes ou systémiques
Au niveau physiopathologique, les candidoses systémiques peuvent relever de deux mécanismes
différents :
■■ causes exogènes : conséquence de contaminations nosocomiales chez des patients ayant des
cathéters intra-vasculaires,
■■ causes endogènes : candidoses consécutives au passage vers le sang et les organes
profonds de la forme mycélienne avec les hyphes qui colonisent des sites digestifs et/
ou génito-urinaires. Ce phénomène est favorisé par la fragilisation des muqueuses après
chimiothérapies et par des traitements antibiotiques prolongés principalement chez les
patients hospitalisés en réanimation. Les localisations rénales, valvulaires et cardiaques sont
les plus importantes.
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SOFIBIO MAGAZINE
Au plan épidémiologique, l’espèce Candida albicans est responsable d’environ la moitié des
infections. Viennent ensuite, Candida glabrata, Candida tropicalis et Candida parapsilosis. Les autres
espèces sont moins fréquentes.
Le diagnostic des candidoses systémiques est souvent difficile et retardé. Il s’appuie sur la notion de
fièvre prolongée résistante aux traitements antibiotiques chez un patient à risque de candidémie.
Certains tests sanguins permettent le diagnostic.
Le traitement antifongique doit être systématique ainsi que le retrait des cathéters intra-vasculaires
souvent colonisés.
La mortalité reste voisine de 40%.
Candidoses chroniques ou syndrome d’hypersensibilité
au Candida
Les candidoses chroniques ne sont pas des infections mais des réactions aux toxines produites par
les levures du type Candida qui prolifèrent dans l’intestin.
Cette multiplication est favorisée par :
■■ l’usage abusif des antibiotiques qui modifient la flore intestinale, les corticoïdes,
■■ l’alimentation moderne riche en sucre,
■■ les déficiences nutritionnelles (en Fer et vitamine B9),
■■ la pilule contraceptive provoquant une hyperœstrogénie favorable à la croissance du Candida,
■■ le stress émotionnel provoquant un déséquilibre hormonal,
■■ les troubles digestifs chroniques.
Symptômes
■■ Troubles hormonaux : Syndrome d’hyperœstrogénie relative provoquant des troubles physiques
et psychiques : Candida albicans sous sa forme mycélienne sécrète une hormone ressemblant
aux œstrogènes. De plus, Candida possède sur sa membrane des récepteurs à la progestérone
et à la testostérone.
■■ Troubles auto-immunitaires : Les hyphes du Candida traversent la muqueuse intestinale à la
recherche de sucre. La membrane intestinale ainsi perforée devient perméable et laisse diffuser
les aliments incomplètement digérés et les déchets dans le sang. Le système immunitaire va
donc libérer des anticorps. Ensuite, l’ingestion régulière d’antigène (représenté par ces aliments
partiellement digérés) entraînera des réactions de défense et des pathologies inflammatoires
(intolérances alimentaires).
■■ Troubles immunitaires : En colonisant le tube digestif, Candida albicans limite le développement
des bactéries saprophytes. En perforant la muqueuse, il diminue la fonction immunitaire
intestinale. De plus, Candida perfore les ganglions lymphatiques pour y puiser le sucre et détruit
ainsi les cellules spécifiques de l’immunité.
■■ Acidose métabolique : Le métabolisme de Candida albicans libère de grandes quantités de
protons H+ favorisant une acidité de l’organisme, elle-même favorable au développement des
champignons.
■■ Troubles hépatiques : Candida métabolise le sucre en alcool, entraînant une élévation des
Gamma GT.
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Examen mycologique
L’examen mycologique n’est pas toujours pratiqué en routine. Il est conseillé lorsque l’aspect
clinique est atypique, si les lésions récidivent ou résistent à un traitement adapté.
Il comprend :
■■ le prélèvement à l’écouvillon des lésions cutanéo-muqueuses ou le découpage d’un fragment
d’ongle pour examen direct et mise en culture,
■■ l’examen direct qui recherche des levures bourgeonnantes avec présence de pseudofilaments
ou de filaments,
■■ la culture sur milieu de Sabouraud qui permet le développement en 48 h des colonies dont la
caractérisation permet de diagnostiquer l’espèce en cause.
La candidose digestive est difficile à diagnostiquer car elle évolue silencieusement pendant de
nombreuses années. Les signes cliniques sont communs au syndrome du côlon irritable : douleurs
abdominales, météorismes, flatulences peu odorantes, diarrhées et/ou constipations.
Les examens mycologiques des selles, la recherche d’anticorps semblent peu fiables car la forme
levure n’est pas pathogène. Certains scientifiques recommandent la recherche de métabolites
urinaires du champignon.
PREVENTION
Les quelques précautions suivantes peuvent contribuer à prévenir les candidoses :
■■ porter des sous-vêtements amples en coton,
■■ éviter les collants et les pantalons serrés,
■■ bien se sécher après le bain,
■■ changer de serviette tous les jours,
■■ ne pas utiliser de savon dans la région vaginale,
■■ consommer des probiotiques,
■■ réduire sa consommation de sucre et d’alcool,
■■ en cas d’infections récurrentes, envisager l’abandon des contraceptifs oraux,
■■ s’assurer que son partenaire n’est pas infecté,
■■ stériliser ou jeter les sous-vêtements qui ont été portés pendant l’infection : un lavage à la
machine n’est pas suffisant, il faut faire bouillir les sous-vêtements,
■■ utiliser des tampons plutôt que des serviettes qui empêchent l’air de pénétrer dans le vagin,
■■ éviter les produits chimiques comme les tampons désodorisants ainsi que les douches vaginales
qui n’ont aucune utilité et peuvent provoquer une infection,
■■ utiliser les antibiotiques à bon escient.
NUTRITION
Le régime alimentaire
■■ Eliminer le sucre raffiné et certains autres sucres tels que le fructose, le sucrose, les jus de fruits
citriques, le miel, le sirop d’érable. Le but de ce régime est de carencer le Candida.
■■ Eliminer les amidons, en particulier les graines conduisant à la production de maltose.
C’est en effet le sucre sur lequel le Candida se développe le mieux.
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■■ Eviter les aliments contenant une teneur importante en levures ou en moisissures comme le pain
et les fromages, les boissons alcooliques, les fruits secs, les cacahuètes.
■■ Le lait et les produits laitiers doivent être évités en raison de leur haute teneur en lactose et la
présence d’antibiotiques.
■■ De même, tous les allergènes connus doivent être éliminés car les allergies affaiblissent le système
immunitaire, ce qui offre un environnement plus propice au développement du champignon.
■■ Les légumes, les aliments pourvoyeurs de protéines (légumineuses, viande, poulet, poisson) et
les céréales complètes peuvent être consommés librement. Certains fruits sont permis : pommes,
cerises, toutes les baies, poires.
■■ Consommer sans modération de l’ail qui possède une activité fongicide sur un grand nombre de
souches de champignons.
Echinacée
Une étude comparative a été réalisée en utilisant un extrait d’Echinacea purpurea comme agent
immunostimulant afin de tester la fréquence de récidive des mycoses chroniques et récidivantes
à Candida albicans. Après 2 semaines de traitement, on constate dans le groupe traité une
augmentation statistiquement significative des lymphocytes T et, après 10 semaines de traitement,
une réduction notoire du pourcentage des candidoses récidivantes par rapport au groupe témoin.
Epices
Certaines épices telles que le Gingembre, le Thym, la Mélisse, le Romarin contiennent des substances
à activité fongicide.
Probiotiques
Les bactéries du genre Lactobacillus et Lactobifidus adhèrent à la muqueuse intestinale, limitant
ainsi les possibilités de colonisation par des levures du genre Candida. Les Lactobacillus produisent
également une substance antifongique capable d’inhiber in-vitro la croissance des Candida.
En 2007, une étude clinique en double aveugle contre placebo portant sur 276 sujets a mis en
évidence un effet bénéfique des probiotiques sur la santé buccale. Les personnes ont été réparties
aléatoirement en deux groupes. Le premier groupe recevait chaque jour une portion de 50 g de
fromage Emmental normal (groupe contrôle) alors que le second recevait la même portion enrichie
en probiotiques (Lactobacillus rhamnosus).
Au bout de 4 mois, la proportion de sujets présentant une forte concentration de Candida dans la
salive avait diminué de 32% dans le groupe “probiotique” alors que ce nombre avait augmenté dans
le groupe “contrôle”.
En conclusion, les probiotiques semblent réduire la quantité de levures du genre Candida dans la
cavité buccale. Cette réduction diminue le risque d’apparition de candidose buccale.
Chlorophylle
La Chlorophylle est un grand régulateur de la fermentation intestinale. Elle réduit la production des
gaz et toxines d’origine digestive. Dans la nature, la Chlorophylle est l’arme principale qu’utilisent les
plantes vertes pour se défendre contre les moisissures. Cette propriété est fort utile pour ramener à
la normale une flore fortement perturbée dans les cas de mycoses.
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Action antifongique des huiles essentielles (HE)
Les HE possédant les plus puissantes actions antibactériennes sont également des antifongiques
efficaces mais leur utilisation doit se faire sur de plus longues périodes.
Le traitement des mycoses cutanées bénéficie actuellement de nombreux antifongiques actifs et
efficaces. Malgré cela, le problème des résistances persiste encore. Différentes espèces de végétaux
sont connues depuis longtemps pour leurs effets antimicrobiens.
Les HE peuvent être mises à profit pour traiter les infections mycosiques.
L’étude a porté sur l’acide oléique et deux HE de Thym et Menthe pouliot. L’HE de Thym exerce une
action fongito-toxique plus forte sur les dermatophytoses par rapport à la Menthe pouliot.
Les HE testées sont toutes douées d’activités fongistatiques et fongicides et permettent de stériliser
les foyers infectés. Les résultats de l’étude permettent d’entrevoir que les HE et l’acide oléique
peuvent constituer une solution alternative valable aux antifongiques dans la lutte contre les
dermatoses mycosiques.
L’efficacité thérapeutique de ces HE a été évaluée dans le traitement d’une candidose buccale. Ces
substances pourraient être considérées comme de puissants agents antifongiques et être proposées
comme agents thérapeutiques pour les candidoses buccales.
Une étude a évalué l’activité antimicrobienne de l’huile de clou de Girofle sur toute une variété
de champignons pathogènes, incluant ceux responsables d’infections urogénitales. L’huile de clou
de Girofle a démontré une puissante activité antifongique contre des champignons pathogènes
opportunistes tels que Candida albicans, Cryptococcus neoformans et Aspergillus fumigatus.
Une autre étude a testé l’action fongicide des huiles essentielles de clou de Girofle et d’Origan sur
un modèle de levure Saccharomyces cerevisiae.
L’huile de Cumin noir
La souveraine huile des pharaons, remède réputé depuis l´Antiquité Egyptienne, le Cumin noir, fait
l’objet aujourd’hui de nombreuses recherches dans le milieu médical.
L’huile de Cumin noir est obtenue par pression à froid des graines de Nigelle.
C’est une des graines médicinales les plus vénérées dans l’Histoire. Des graines de Cumin noir ainsi
qu’une fiole d’huile ont été trouvées dans le tombeau de Toutankhamon.
L’huile possède une puissante action sur le système immunitaire en le renforçant et combat Candida
albicans, permettant ainsi de lutter contre les candidoses chroniques.
Pour de plus amples informations sur nos produits, veuillez nous contacter au :
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SOFIBIO MAGAZINE
BIBLIOGRAPHIE
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Lactobacillus acidophilus : evidence for the involvement of a peroxydase
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• Odds « Candida and candidosis », 2° Ed. Ballière Tindall 1988
• Bland - Jeffrey « Hidden diseases caused by candida », Preventive medecine
- 3, 12 ; 1984
• Hunnisett « Gut fermentation syndrome » J. Nut. Med. 1 : 1 1990
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• « Allium sativum, a natural antibiotic » ADETUMBI M.A. - Medical hypothesis
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• « The fungicidal and fungistatic effects of an aqueous garlic extract on
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- n°69 - p.341 - 348
• « Sensivity of yeasts isolated from cases of vaginitis to aqueous extracts
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in food allergy & intolerance, Bailliere Tindall, 1988
• Truss, Orian - « Metabolic abnormalities in patients with chronic candidasis »
J. Orth. Med. 13 : 66 - 93, 1984
• Galland l. « Nutrition & candidasis » J. Ortho. Psy. 14 : 50 - 60, 1985
• « Inhibition of candida albicans by lactobacilus acidophilus » - COLLINS E.B.
- HARDT P. - J. dairy sc. - 1980 - n°63 - 830 - 832
• Dr Philippe-Gaston BESSON « Je me sens mal, mais je ne sais pas pourquoi »
- Editions Trois Fontaines.
• http://pedagogie.acmontpellier.fr/Disciplines/sti/biotechn/pages/
candida_albicans.htm
SOFIBIO MAGAZINE
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Cuisine et S a
nté
Recettes pour
Allergiques et Gourmands
Nous vous proposons deux recettes originales qui conviendront aux
personnes souffrant d’allergies alimentaires car elles peuvent se
préparer sans œufs, ni blé, ni lait, ni soja. Bon appétit !
POMMES DE TERRE SURPRISE
PAIN D’EPICE A L’ORANGE
Ingrédients pour 4 personnes :
Ingrédients pour 4 personnes :
• 4 grosses pommes de terre
• 250 g de farine ou de fécule
de pomme de terre
• 4 tranches de bacon ou de jambon cuit
coupées en dés
• 125 g de confiture d’orange
• 4 œufs (facultatif)
• 125 g de miel liquide
• 4 cuillères à soupe de crème fraîche ou de soja
cuisine ou de crème d’avoine (suivant allergie)
• 50 g de jus d’orange
• Sel, poivre, muscade
• 1 cuillère à café de bicarbonate de soude
• 50 g de beurre fondu ou d’huile de tournesol
• ½ sachet de levure chimique
préparation :
• 1 pincée de cannelle
Faire cuire à four moyen (200°) les pommes de terre avec
leur peau jusqu’à ce qu’elles soient tendres (1 heure
environ, suivant la grosseur).
• 1 pincée de muscade
Découper un capuchon dans le sommet, les vider et
garnir chaque pomme de terre de petits dés de bacon ou
de jambon cuit et d’un œuf (facultatif).
Mélanger la chair des pommes de terre écrasée avec les
autres ingrédients et remplir chaque pomme de terre
avec ce mélange en veillant à ne pas casser l’œuf.
Remettre au four chaud pendant 15 à 20 minutes.
Variante : pour les personnes végétariennes,
remplacer le bacon ou le jambon cuit par des légumes
râpés (carottes, courgettes, céleri) mélangés à une
échalote émincée.
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SOFIBIO MAGAZINE
préparation :
Mélanger miel, confiture, matière grasse et jus d’orange.
Ajouter la farine ou la fécule de pomme de terre, la
levure, le bicarbonate puis les épices.
Verser dans un moule
graissé et fariné et
cuire 40 minutes à
four modéré (175°).
ualités
t
c
A
Association
Peuples d’Himalaya
L’association Peuples d’Himalaya a été fondée en 1999
par 2 amies passionnées de randonnées en haute
montagne, Mireille Bacos et Claire Viannay, à l’occasion
d’un projet de voyage dans les régions du Ladakh et
du Zanskar, au nord de l’Inde, dans l’état du Jammu et
Cachemire.
Leur idée : transformer les voyages touristiques
de la simple recherche d’un plaisir personnel en
l’opportunité d’un véritable échange entre visiteurs et
populations autochtones.
Différents types d’actions sont alors identifiés puis se
sont développés et structurés au fil des années :
■■ dons de vêtements chauds aux enfants et aux
adultes,
■■ aide à la scolarisation (distribution de fournitures
scolaires, amélioration de la pédagogie et de
l’équipement des écoles),
■■ aide médicale sous forme de consultations
itinérantes (éducation à l’hygiène, fourniture
de médicaments, distribution de lunettes de
protection solaire).
La 1ère expédition a lieu en 2001 et permet de mieux
cibler les besoins, notamment la nécessité d’une
présence de 2 médecins.
L’association réussit ensuite à monter une expédition
tous les 2 ans et acquiert une expérience grâce à l’appui
de l’équipe indienne sur le terrain, les liens noués avec les
responsables locaux (chefs de villages, directeurs d’école,
instituteurs…). Cela lui permet d’être régulièrement
informée de la situation au Zanskar et de mieux adapter
le programme des actions à mener.
L’activité de Peuples d’Himalaya se développe en
France et en Inde :
en France
■■ actions logistiques : collecte et tri des chaussures,
vêtements, lunettes ; approvisionnement en
médicaments et matériel d’hygiène,
■■ actions promotionnelles : réalisation de films
documentaires, encadrements d’aquarelles et de
photos, organisation de conférences, présentations,
expositions photographiques, projections de films
et dîners à thèmes, dans le but de faire connaître
l’action de l’association.
en Inde
Les membres actifs volontaires (dont systématiquement 2 médecins) se préparent physiquement et
psychiquement à un séjour en haute altitude, d’autant
plus que les distributions et les consultations médicales
se font à pied (4 à 8 heures de marche par jour).
Le groupe est encadré par une équipe indienne
chargée de la logistique sur le territoire indien. Après
l’installation du campement, commencent les
consultations médicales, les distributions individuelles
(chaussures, vêtements) et dans les écoles (matériel
scolaire, livres).
Cette action directe sur le terrain permet une meilleure
perception des besoins locaux, des interventions
mieux ciblées et l’absence des déperditions liées aux
intermédiaires.
Du 2 au 31 juillet 2012, Peuples d’Himalaya rejoindra le Zanskar pour une nouvelle mission.
A cette occasion, le Laboratoire Sofibio soutiendra leur action par un don de produits de phytonutrition.
Si vous souhaitez en savoir plus et/ou apporter votre aide, connectez-vous sur le site :
www.peuples-himalaya.com
SOFIBIO MAGAZINE
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LES
F o c u s FRUCTOLIGOSACCHARIDES
L
es fructoligosaccharides, appelés également
oligofructoses ou FOS, sont des substances
composées de deux sucres : le glucose et le fructose.
leur permet d’arriver intégralement au niveau du
côlon où ils fermentent en totalité sous l’action de la
flore colique.
Ces molécules dérivées du saccharose appartiennent
à la famille des fructanes à courtes chaînes, de la
classe des hydrates de carbone.
Les bifidobactéries les métabolisent ensuite de
façon à produire de grandes quantités d’acides gras
organiques qui vont acidifier le côlon et limiter ainsi
la prolifération de nombreuses bactéries pathogènes,
tout en régulant le transit intestinal de façon à
favoriser l’évacuation des selles.
Ce sont des fibres naturelles solubles présentes dans
un grand nombre de végétaux comestibles (oignon,
ail, asperge, blé, orge, seigle, banane, qui peuvent en
contenir jusqu’à 25% sur matière sèche).
Les FOS font partie des substances dites « prébiotiques » :
ils favorisent la prolifération des bactéries probiotiques,
les « bonnes bactéries », responsables du maintien et de
l’équilibre de notre flore.
Ils ne sont pas assimilables par l’organisme mais sont
digérés par la flore intestinale.
Les propriétés nutritionnelles des FOS découlent de
leur effet bénéfique sur le système digestif.
Leur résistance à l’hydrolyse enzymatique au cours
de leur passage dans la partie haute du tube digestif
Les FOS exercent une action bénéfique sur le
métabolisme du glucose et des lipides circulants, d’où
leur intérêt dans le maintien de l’équilibre des taux de
cholestérol, triglycérides et glycémie.
Ils favorisent également l’absorption et l’assimilation
des minéraux.
Ainsi, l’apport de FOS dans notre alimentation permet
de rétablir et/ou maintenir l’équilibre de la flore
intestinale et vaginale en stimulant la croissance
des probiotiques (bifidobactéries et lactobacilles
principalement) ayant un effet favorable sur notre
écosystème naturel.
Pour de plus amples informations sur nos produits, veuillez nous contacter au :
0 800 945 845
ou sur notre site internet : www.sofibio.com
16
SOFIBIO MAGAZINE
ison
a
M
LE NARCISSE
t
e
Plantes
Le Narcisse (Narcissus en latin) est une belle fleur à
bulbe de couleur blanche ou jaune de la famille des
Amarylliacées, originaire d’Europe centrale, d’Afrique du Nord et d’Asie.
On compte une soixantaine d’espèces et plusieurs
milliers de variétés dont le Narcisse jaune, plus
communément appelé Jonquille.
D’une hauteur de 10 à 40 cm, sa floraison s’étale de
février à mai.
Les bulbes de Narcisse se plantent à partir du mois
de septembre jusqu’en novembre, dans une terre
bien drainée, avec une exposition ensoleillée ou à
mi-ombre.
Faites un trou d’environ 3 fois la hauteur du bulbe
afin de le protéger des gelées hivernales et plantezles par dizaine au même endroit en respectant un
espacement de 5 cm, de façon à créer de véritables
« taches » de couleurs.
Bien que la durée de floraison du Narcisse soit relativement courte (environ 15 jours), vous pouvez
varier les expositions au soleil afin d’obtenir différentes périodes de floraison.
La taille et l’entretien des Narcisses nécessite quelques
précautions : ne coupez les feuilles que lorsqu’elles sont
bien jaunes car c’est à ce moment-là qu’elles constituent
leurs réserves pour l’année suivante. Si vous supprimez
leur feuillage juste après la floraison, ils risquent de ne
pas bien repousser au printemps suivant.
Les Narcisses achetés et cultivés en pot sont destinés
à fleurir nos intérieurs en hiver mais ils ne fleurissent
qu’une seule fois, à moins de replanter les bulbes en
pleine terre à l’extérieur pour espérer une floraison
dans les 1 ou 2 ans, mais sans garantie de réussite.
Le saviez-vous ?
La légende du Narcisse provient de la mythologie
grecque. Narcisse était un beau jeune homme qui,
après avoir brutalement rejeté l’amour de la nymphe
Echo, fut puni par les dieux et condamné à n’aimer
que sa propre personne (d’où le narcissisme).
Tous les jours, il allait contempler son reflet dans une
fontaine mais un matin, voulant embrasser son image,
il se noya et fut transformé en fleur : le Narcisse.
Cette plante porterait ce nom à cause de l’inclination
de ses fleurs en direction des points d’eau.
SOFIBIO MAGAZINE
17
Qualité
qualité et respect de la nature
Notre laboratoire, expert depuis 20 ans en compléments nutritionnels à base de plantes, vitamines,
minéraux et oligo-éléments, s’engage à vous offrir
le meilleur.
Qualité des ingrédients, capacité d’innover, veille
scientifique et réglementaire quotidienne : à ces
piliers sur lesquels nous nous appuyons, s’ajoute
notre forte volonté d’adaptation afin de proposer
des produits sûrs et efficaces qui puissent répondre à vos attentes.
Nous adaptons chacun de nos produits aux besoins
nutritionnels actuels et les teneurs de chaque ingrédient sont précisément choisies afin d’offrir des
produits de haute qualité.
Les producteurs et les matières premières sont sélectionnés selon un cahier des charges rigoureux
afin de répondre à toutes les normes sécuritaires.
Quand nous parlons de qualité, nous entendons
tout d’abord la qualité de nos produits mais
aussi celle de nos services, de nos prestations…
Celle-ci commence avec la diffusion d’informations claires et précises et la possibilité de fournir, à la demande, des services personnalisés.
Cette souplesse est possible grâce à l’absence
d’intermédiaires et au rapport direct que nous
entretenons avec vous via notre Numéro VERT
Gratuit où professionnalisme, disponibilité et
sympathie composent notre devise.
Un système informatique performant et un canal
de distribution direct nous permettent de garantir,
non seulement une traçabilité parfaite de nos produits, mais aussi de mieux vous connaître et adapter nos services à vos souhaits.
Nous mettons aussi à votre disposition des documents pratiques et exhaustifs (Guide Pratique, Magazine Sofibio, etc…) afin de vous donner toutes
les informations nécessaires pour pouvoir choisir
librement.
Un travail de relations publiques non vulgarisé
et notre présence, exclusivement dans la presse
spécialisée, concourent également à entretenir
notre notoriété et la réputation de nos produits.
18
SOFIBIO MAGAZINE
Nos Convictions
1. Une alimentation équilibrée associée à une hygiène de
vie quotidienne, permettent de rester en bonne santé.
2. Une alimentation variée est nécessaire pour satisfaire les besoins nutritionnels.
3. Chaque personne, pour choisir librement, doit disposer d’informations claires et rationnelles.
Nos Promesses
1. Traçabilité parfaite de nos produits via un réseau
de distribution sans intermédiaires qui nous permet des temps de stockage réduits.
2. Traçabilité parfaite des matières premières utilisées à travers des contrôles et des analyses en
cours de fabrication tels que :
a. Spécifications organoleptiques ;
b. Spécifications physico-chimiques ;
c. Spécifications microbiologiques ;
d. Pesticides, aflatoxines, allergènes ;
e. Substances étrangères et métaux lourds ;
f. Modifications génétiques (OGM) : conformément au règlement (CE) 2003/1830 nos produits
ne contiennent pas ou ne sont pas issus d’organismes génétiquement modifiés comme définis
par la directive 2001/018/CE modifiée, article 2 ;
3. Promotion et valorisation du rôle des praticiens de
santé en tant qu’acteurs indispensables dans le conseil
en matière de supplémentation nutritionnelle.
4. Elargissement de notre gamme de produits et accroissement de notre présence dans les différents
domaines de santé afin d’offrir des réponses alternatives ou complémentaires aux traitements habituellement proposés.
5. Elargissement de l’arsenal thérapeutique des professionnels de santé.
6. Collaboration permanente avec la communauté
scientifique pour mieux comprendre les problématiques actuelles et futures, afin de rester à la
pointe des progrès de la Science.
7. Développement de nos activités dans le respect
de l’Environnement et de la Nature en utilisant
des méthodes de fabrication qui minimisent les
risques de pollution.
8. Amélioration constante de la qualité de notre service satisfaction clientèle.
9. Investissement permanent dans la recherche et le
développement en matière de nutrition et compléments alimentaires.
10.Sponsoring d’événements à caractère médical,
paramédical et sportif.
« Parce que le bien-être et la Nature sont au cœur
de nos préoccupations, nous nous engageons
sur la qualité de chacun de nos produits et de nos
activités pour atteindre ces défis. »
Lot Equilibre lipidique
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Profitez pleinement de tous les bienfaits des
ingrédients contenus dans Cholestérum® en
associant la Coenzyme Q10.
Ingrédients :
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purpureus (Riz rouge)
240 mg, extrait sec de
Palmier (20% de
tocotriénols/tocophérols) 50 mg, extrait sec
d’Allium sativum (Ail)
10 mg, Canne à sucre
(90% de policosanols)
10 mg, stéarate de
Magnésium 4 mg,
Silice 1 mg.
Ingrédients :
coenzyme Q10 50 mg,
Silice 12 mg, stéarate
de Magnésium 6 mg,
Maltodextrine QSP.
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Du lundi au vendredi de 8h30 à 19h00 sans
interruption et le samedi de 8h30 à 13h00.
Règlement par carte bancaire.
Toute commande passée avant 14h00,
du lundi au vendredi, est expédiée le jour
même en Colissimo et livrée sous 48h.
Depuis l’étranger et les DOM-TOM, vous
pouvez nous contacter du lundi au vendredi
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Adressez-nous votre bon de commande ainsi
que le règlement (chèque, n° de CB, mandat)
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