Il est venu ce temps

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Il est venu ce temps
Il est venu ce temps
(Mardi 17 Mai 2011 à 04:02) - Contribution de Patinet Thierri - Dernière Mise à jour ()
Il est venu ce temps
Il est venu ce temps des réalités loin des rumeurs stériles des opiacés médiatiques, la nature même de la folie se
montre dans sa permanence, la folie antique de la monstruosité qui, dans le pouvoir, ne connaît plus de limites, à l'image
de ces empereurs romains décadents et stériles. Le voici ce temps enfanté de la réalité témoignant de la barbarie
dans ses sommets, l'arbitraire, la domesticité, cette arrogance qui croît comme le chiendent sur notre terre, cette
conjonction qui s'allie pour d'une forfaiture délivrer son poison et s'absoudre de toute tyrannie. Qu'il suffise de regarder
les actes de ces castes barbaresques, toutes enceintes de la destruction à leur profit, la destruction des corps par le
gouffre immense de médicamenteuses déchéances, par une nourriture affligeante et sordide, la décadence des esprits
lavés par le bubon pestilent d'une diarrhée cosmétique, la pensée unique, la décadence spirituelle, marquée au fer
rouge de la litanie de la repentance, inscrite par le pavlovisme le plus ridicule qui soit, la décadence de l'être humain,
greffé par la bêtise associée à l'ignorance, nageant dans l'immondice et s'en félicitant, la décadence des Peuples,
labiales de la tenaille qui les mortifie, d'un côté l'esclavage par le papier-monnaie, de l'autre côté l'esclavage par le
parasitisme, la décadence des Races, soumises à la vertu de l'indifférencié, commuant leur réalité dans le phasme de
la désertification par viols commandités de leurs souches, afin que cette consanguinité obligatoire produise le néant
sur lequel peuvent régner les homoncules de ce temps, ectoplasmes qui se réjouissent de leur viviparité, ectoplasmes
qui brillent dans le néant par le néant. Ici l'inconsistance apparaît dans sa splendeur, et l'Art, juge des valeurs des
siècles, en montre l'aphone et disgracieuse malversation. Ici se tient le lieu de toutes les dépravations orchestrées par
la dépravation, dans cette paresse mentale qui conflue le non-humain à un appariement grotesque, confluent l'animal et
bien plus simplement au sous-animal, un sous-animal qui dans son principe se régit à la gloire barbare de ses instincts
les plus viscéraux, sachant que dans le pouvoir il peut se permettre toute typologie de ses mendicités, en grâce de ses
carnets d'adresse, en grâce de ses appartenances, tenant les uns les autres par l'immoralité. Sordide démesure qui se
consigne dans l'abattage de toutes réalités désordonnées où s'en viennent litanies leurs élytres pourrissants, ces
gangrènes qui nourrissent le ferment de leur bestial appariement. Car ne croyez, car ne voyez, il y a ici l'assortiment de
tout ce qui conditionne et s'auto protège, et ce qui se montre n'est que fumerolle qui n'atteint le brasier où les vestales
commanditent les plus grands crimes contre l'humain, sa soumission, sa mise en esclavage, fut-elle sexuelle, l'aréopage
de ces lieux étant équinoxe de toute Vie. Mais la Vie vaincra de ces vers qui se vautrent, de ces panaches qui
s'éblouissent, de ces écumes de sang qui se propagent, de cette infamie que porte la terre et qui porte la terre au
désert pour le plaisir de quelques nécrophages. Ce temps vient, libre de leurs desseins, de leurs menstrues de sueurs,
de leurs belliqueuses incantations de chimpanzé en rut qui se dressent vers le levant pour implorer des dieux déchus,
des ombres qui les couronnent, d'une noirceur profonde, les voyant s'accroire au-dessus des Lois Humaines. Ces Lois
ne sont pas faites pour leur errance disent-ils, car nous sommes au-dessus des Lois. Nous les entendons, les voyons
dans leurs dissertations, affligeantes demeures de cette tombe dans laquelle ils reviendront lorsque les Peuples en
compréhension comprendront les limbes dans lesquels ils errent, ces limbes qu'ils cherchent à faire partager par
l'empathie, empathie pour leurs crimes, le viol des humbles, l'assassinat des humbles, la mise à mort des à peine nés et
des vieillards, le viol des foules et des Peuples, leur mise à mort dans des guerres stériles, la mort de l'Humain au
principe de leur non-humanité qui s'enchante et se glorifie par des scribes ridicules, incultes et décérébrés qui ont,
seuls, droit de cité, ce droit inversé, mesure de leur répugnance qui s'expose inconditionnellement afin de salir la
nature de l'humain, sa nature matérielle, sa nature intellectuelle, sa nature spirituelle, sa nature symbiotique, pour la
réduire à l'atrophie qu'ils mettent en évidence, la nature osmotique, chaos informe réduisant la forme à l'informe, la
structure comme l'organisation des Humains à une vespasienne bouchée depuis des siècles, sur laquelle ils vocifèrent,
s'encouragent, telles ces barbares idoles qu'ils représentent momifiées dans l'animal le plus insipide comme le plus
féroce. Un âge vient leur destitution. Patiente...
It came this time
It came this time from realities far from the sterile rumors of media opiates, the nature even of the madness is shown in
its permanence, the ancient madness of the monstrosity which, in the power, does not know any more limits, to the
image of these declining and sterile Roman Emperors. Here this given birth to time of reality testifying to cruelty in its
tops, the arbitrary one, domesticity, this arrogance which grows as grass on our ground, this conjunction which is
combined for breach to deliver its poison and to exonerate itself of any tyranny. That it is enough to look at the acts of
these barbaresque castes, all enclosures of the destruction to their profit, the destruction of the bodies by the immense
pit of medicamentous forfeitures, by an afflicting and sordid food, decline of the spirits washed by the pestilent bubo of a
cosmetic diarrhea, the doctrinaire approach, the spiritual, marked decline with the red iron of the litany of the repentance,
registered by the most ridiculous Pavlovian theories which are, the decline human being, grafted by the silly thing
associated with ignorance, swimming in refuse and being pleased some, decline of the People, labial of the clipper which
mortifies them, on a side slavery by the paper money, other side slavery by parasitism, decline of the Races, subjected to
the virtue of undifferentiated, commuting their reality in the stick insect of the desertification by active rapes their stocks,
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so that this obligatory consanguinity produces nothing on which the homoncules of this time can reign, ectoplasms which
are delighted by their viviparity, ectoplasms which shine in nothing by nothing. Here inconsistency appears in its
splendor, and Art, judges values of the centuries, shows of it the voiceless one and ugly embezzlement. Here the place
is held of all the depravities orchestrated by the depravity, in this lazes mental which joins thehuman one with a
grotesque pairing, confluence the animal and much more simply with the under-animal, an under-animal which in its
principle governs itself with the barbarian glory of his most visceral instincts, knowing that in the power it can allow any
typology of its beggings, in grace of its address books, in grace of its memberships, holding the ones the others by
immorality. Sordid disproportion which is consigned in the demolition of all disordered realities where come from there
litanies their elytrons putrescent, these cause to become gangrenous which nourish the leaven of their bestial pairing.
Because do not believe, because do not see, there is the set of all here that conditions and car is protected, and what is
shown is only fumarole which does not reach the blazing inferno where the vestals finance the greatest crimes against
the human one, its tender, its setting in slavery, she was sexual, the learned assembly of these places being equinox of
any Life. But the Life will overcome these worms which wallow, of these plumes which are dazzled, of these scums of
blood which are propagated, of this infamy which the ground carries and which carries the ground to the desert for the
pleasure of some necrophagous. This time comes, free of their intentions, their menses of sweats, their quarrelsome
incantations of chimpanzee in rut which are drawn up towards raising to beseech waned gods, shades who crown them,
of a major blackness, the indicator accroire above Human Lois. These Laws are not made for their wandering say,
because we are above Lois. We hear them, see them in their essays, affligeantes residences of this tomb in which they
will return when the People in comprehension understand the limbs in which they wander, these limbs which they seek to
make divide by the empathy, empathy for their crimes, the rape of humble, the assassination of humble, the setting with
died of hardly born and the old men, the rape of crowd and the People, their setting with died in sterile wars, the death of
Human with the principle of their not-humanity which is enchanted and glorified by ridiculous scribes, uncultivated and
decerebrated which have, only, established among, it reversed right, measure of their loathing which is unconditionally
exposed in order to dirty the nature of human, his material nature, its intellectual nature, its spiritual nature, its symbiotic
nature, to reduce it to the atrophy that they highlight, osmotic nature, formless chaos reducing the form to formless, the
structure like the organization of Human with an urinal stopped since of the centuries, over which they vociferate, are
encouraged, such these cruel idols that they represent mummified in the most insipid animal like wildest. An age comes
their dismissal. Waits…
© Vincent Thierry
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