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Belgique P.B . 1099 Bruxelles X BC 10881 C H I E N S G U I D E S Photographie: Roger Borrey Design: www.cdi-creation.net Automne/Hiver 2006/07 SCALE DOGS asbl 2, Route de Mont St-Jean, 1170 Bruxelles Tél. 02-660 77 56 E-mail: info @ scaledogs.be Website: www.scaledogs.be Edition trimestrielle: Septembre/... /Février Editeur responsable: Roger Borrey Bureau de dépot 1099 Bruxelles P602203 Ce n’est pas uniquement le bien-être du chien qui s’améliore Un chien guide d’aveugle est à l’origine de la creation d’une enterprise En 1943 un jeune homme aveugle demandait au Dr Mark L. Morris Sr. s’il pouvait soigner son chien Buddy qui souffrait de problèmes rénaux. Peu après la guérison de Buddy la société Hill’s Pet Products fut érigée. Nous sommes conscients que nous ne fabriquons pas uniquement de la nourriture d’excellente qualité pour les chiens et les chats. Nous représentons plus pour les gens et leurs animaux. C’est pourquoi tous les chiens aspirants au métier de chien guide d’aveugle de Scale Dogs sont nourris au Hill’s* Science Plan*. Ligne Alimentation Hill’s* Pour tout renseignement complémentaire appelez gratuitement La Ligne Alimentation Hill’s* 0800 17745 ou envoyez un email à [email protected], ou visitez notre site internet www.hillspet.be. L’aliment No. 1 des vétérinaires pour leurs chiens et leurs chats *Marques déposées par Hill’s Pet Nutrition, Inc..© 2005 Hill’s Pet Nutrition Inc. Avant propos … Les chiens-guides sont très chers... Et l’utilisateur ne paie rien. Vous pouvez nous aider à dimi- Ces derniers mois nous avons été « confrontés » lors d’événements L’asbl Scale Dogs fait continuellement appel à votre générosité. Il est donc normal qu’on tourne chaque euro 10 fois avant de le dépenser. Il y a là clairement un malentendu! nuer un petit peu nos frais ! Nous continuerons volontiers à vous envoyer notre newsletter par courrier, mais si vous souhaitez nous aider à réduire nos coûts en la lisant sur notre site internet, envoyez-nous un e-mail à info@scaledogs. be. Vous recevrez un mail pour vous informer dès qu’un nouveau numéro est placé sur notre site. Nous vous en remercions d’avance. Notre newsletter est disponible en format PDF sur notre site www.scaledogs.be. à des initiatives bienveillantes, kermesses aux boudins, fêtes aux crêpes, dont les revenus étaient destinés à une personne handicapée visuelle qui ne peut se permettre d’acheter un chien-guide. Les différents centres de formation membres du Belgian Guide Dog Federation (une nouvelle fédération qui regroupe les centres de formation les plus importants) s’engagent à ce que le chien-guide soit toujours remis sans intervention financière de la personne handicapée. Bien sûr, la personne doit répondre aux critères de mobilité et d’utilisation qui sont convenus à l’avance avec le centre de formation. L’AWIPH du côté francophone du pays, à Bruxelles la Cocof ou du côté néerlandophone le Vlaams Fonds interviennent respectivement pour un quart ou la moitié du coût d’un chien-guide. Mais si une personne devient malvoyante ou aveugle après l’âge de 65 ans et qu’elle a besoin d’un chien-guide, aucune intervention n’est prévue. Les centres de formation remettront également des chiens-guides à ces personnes. A 65 ans on ne peut pas être obligé de rester cloué à son fauteuil pour un problème de moyens. Un instructeur peut éduquer maximum 3 chiens par an. Ceci signifie bien sûr qu’il existe des listes d’attente et qu’une personne handicapée visuelle doit parfois attendre un an ou plusieurs années avant d’avoir un chien. Certains centres de formation commerciaux se servent de ceci et proposent à la personne handicapée visuelle, de recevoir rapidement un chien-guide contre paiement. Dans ce cas la personne devra supporter le coût total du chien-guide. Si nous tenons uniquement compte du salaire de l’instructeur, de l’achat du chiot, de la nourriture et des frais vétérinaires, celui-ci coûte 14.000 euros. Les centres de formation doivent encore y ajouter le loyer, les charges, l’entretien des chenils, le transport et les frais d’administration. Tous les centres de formation font appel aux dons, service clubs et organisent eux-mêmes des activités pour récolter des fonds afin de pouvoir continuer à remettre les chiens-guides gratuitement aux utilisateurs. Heureusement des activités de récoltes de fonds continuent à faire partie de notre société, mais faire croire que la personne handicapée visuelle peut uniquement « acheter » un chien-guide de cette façon est faire tord à la vérité. L’équipe Scale Dogs La journée de rencontre ‘Scale Dogs’ Chaque année Scale Dogs organise une journée de rencontre pour les familles d’accueil et les utilisateurs des chiensguides. Les familles d’accueil ne revoient pas uniquement le chien-guide qu’ils ont vu grandir d’un petit chiot vers un chien adulte, prêt à débuter sa formation. Elles font également connaissance avec l’utilisateur du chien-guide et peuvent ainsi voir le résultat de leurs efforts. Elles reçoivent également une idée de la vie quotidienne des personnes avec un handicap visuel et se rendent ainsi compte des problèmes journaliers que celles-ci rencontrent. La journée de rencontre démarre avec une belle promenade dans la forêt, pour ensuite prendre un bon apéritif et un bon repas qui, à nouveau cette année, nous a été offert par Françoise Gantois, traiteur de métier et famille d’accueil dans son cœur. 4 Scale Dogs News Ilse et Cana ‘Un chien–guide est avant tout un chien’ Ilse Peeters habite à Kortenberg, près de Louvain. Chaque jour elle se rend à son travail au cœur de Bruxelles, où Ilse travaille en tant qu’agent d’accueil dans une haute école. Chaque jour Ilse prend le train de Kortenberg à Bruxelles, et marche encore un kilomètre à travers des quartiers moins réputés de Bruxelles. La journée de travail, Cana la passe à ses pieds, pour, en fin de journée, effectuer le trajet en sens inverse. Scale Dogs a demandé à Ilse de coucher sur papier ses expériences lorsqu’elle a appris à travailler et à vivre avec son chien-guide. Dans ses propres mots et avec de l’attention pour ses sentiments positifs et ses frustrations inévitables. L es premières semaines de forma- tion avec mon chien-guide « Cana » se passaient plutôt bien. Cana faisait son entrée à mon travail, l’école supérieure Sint-Lukas à Bruxelles. Un panier à côté de mon bureau devenait son petit nid. Certains collègues étaient plutôt sceptiques et attendaient de voir. D’autres, par contre, étaient très intéressés et ne pouvaient contenir leur curiosité. De temps à autre je devais expliquer qu’il n’était pas bon de vouloir caresser Cana en permanence ou de vouloir l’attirer avec des mots doux. Cana devait apprendre à rester couchée calmement durant mes journées de travail d’environ 8 heures. Mais je comprenais mes collègues. Tout le monde était tellement enthousiaste, même si certaines personnes ne savaient pas comment se comporter par rapport à ce grand animal à 4 pattes. Mais malgré tout un chien-guide est avant tout un chien, comme chaque enfant est un être humain. Chaque chien a besoin d’un maître et d’une structure claire pour se sentir à l’aise et savoir ce qu’on attend de lui. Si trop de personnes s’occupent d’un chien, les choses deviennent compliquées parce que l’un autorise ceci, l’autre autorise cela. Il est d’ailleurs très important que le chien-guide aime travailler pour son maître et aime faire plaisir à celui-ci. Pour obtenir cela c’est son maître qui le nourrit tous les jours, qui le câline, le récompense et lui offre un bon foyer. Personnellement je trouvais que Cana s’habituait très bien à sa deuxième meute-famille, c’est-à-dire mon environnement de travail. Je me rendais compte qu’elle se sentait de plus en plus à l’aise. Elle commençait à bien connaître chaque personne au travail et à accepter tout le monde. D’autre part, mes collègues essayaient de respecter la place de Cana au sein du bureau. Un chien a besoin d’un endroit où il se sent en sécurité, où il peut se retirer sans être dérangé. Mon bureau devenait un peu son territoire, son deuxième foyer. Ensemble avec l’éducatrice je partais en reconnaissance des trajets à l’école et dans les environs. Nous apprenions plusieurs trajets dans la Gare du Nord : trouver les escaliers vers les quais, la poste, la boîte aux lettres, la sortie vers la rue d’Aarschot, le guichet-info et le magasin de sandwich. Nous nous entraînions sur le trajet entre la Gare du Nord et l’école et cherchions un bon endroit où Cana pouvait se dégourdir les pattes à midi et faire ses besoins. Nord avec Cana et l’éducatrice. Au début cela se passait de façon impeccable. Le train s’arrêtait, les portes s’ouvraient, Cana déposait ses pattes sur la première marche de l’escalier et hop! pas de problème. Je demandais à Cana de me trouver un siège qu’elle me montrait en y déposant son museau. Ensuite elle devait se coucher en dessous de la banquette. Et cela n’était pas toujours évident dans un train bondé en pleine heure de pointe. La plupart du temps d’autres personnes étaient déjà assises sur la banquette. De temps à autre je m’embrouillais complètement avec mon sac à dos, ma canne, la laisse, le harnais. Je me sentais comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. A la Gare du Nord nous devions sortir du train. Surtout essayer de descendre calmement. Je dis bien essayer car je transpirais fortement à l’idée de devoir me frayer un chemin à travers cette foule excitée. Tout le monde est pressé et doit arriver rapidement à son travail. Personne n’a du temps à perdre. Et je ne pouvais surtout pas perdre mon calme afin que Cana puisse faire son travail dans les meilleures conditions. Plusieurs fois, tôt le matin, j’ai pris le train de Kortenberg à la Gare du Scale Dogs News 5 Brigitte Breban et Choyla à l’honneur chez Kiwanis Bruxelles. Marianne attirait mon attention sur le fait qu’il est très important que le maître garde son calme dans toutes les circonstances. Ainsi le chien se sent à l’aise. Si le maître s’énerve et s’excite, le chien le sent également. Et je devais avouer que cela était vrai ! Je ne comprends pas comment ces chiens ressentent tout cela, ontils des détecteurs sur les moustaches ou quoi ? Et dire que je peux être hyper-stressée. Je devais donc tenir compte de cela car je ne pouvais pas tromper Cana, mon baromètre fonctionnait pour deux ! Je ne pouvais surtout pas perdre courage les jours où cela se passait un peu moins bien. Marianne me donnait également le bon conseil de ne pas absolument vouloir travailler avec Cana durant le week-end lorsque j’étais fatiguée, vu que les trajets que j’effectuais en semaine entre la maison et le travail me demandaient une bonne dose d’énergie et de concentration. Le week-end était pour se reposer et faire des choses agréables ensemble, comme jouer dans le jardin. Têtue comme je suis, je voulais quand-même travailler un peu avec mon chien-guide. Question de maîtriser le tout rapidement. Mais, lorsqu’on est fatigué après une semaine de travail et un peu plus irritable, cela n’est pas vraiment une bonne idée. Les semaines qui suivaient devenaient plus difficiles. Cana commençait à tester sa maîtresse et à vérifier où se situaient les limites. Les journées devenaient plus sombres car, entre-temps, on était presque en novembre. Mon courage commençait à s’éteindre. Plus de nouvelles sur cette période automnale bousculée dans la prochaine newsletter. Ilse 6 Scale Dogs News Comme chaque année, le Kiwanis Bruxelles sponsorise un des nouveaux chiens-guides remis par Scale Dogs. Ce chien est officiellement remis à l’occasion des vendanges qui, d’année en année, connaissent de plus en plus de succès. Comment vous pouvez donner un coup de pouce financier à Scale Dogs asbl? Un abonnement nouveau à quatre numéros ne vous coûte que 10 euros. Si vous souhaitez donner un coup de pouce à Scale Dogs, alors inscrivez-vous pour un abonnement de soutien pour 40 euros. (pour ce don vous recevrez une attestation fiscale). Vous pouvez recevoir la newsletter par courrier ou par voie électronique. Brigitte n’a pas cessé de raconter ses expériences avec Choyla. Tous ceux qui étaient témoins de ses histoires enthousiastes sont certainement convaincus qu’un handicap visuel n’a aucune influence sur le talent pour entretenir vos compagnons de table sur des milliers de sujets. Vous souhaitez faire un don important ou discuter des modalités d’un legs avec nous? Prenez contact avec nous par mail à [email protected] ou appeleznous au 0477-44 21 76 Le monologue de Fiebe Pour la première fois, Scale Dogs a un caniche royal en éducation. Enfin, « en éducation » est beaucoup dire. Actuellement Fiebe a presque un an et il vit chez sa famille d’accueil, Bie Lauwers et Hendrik Verbeek. Avec son pelage ondulant il ne provoquera normalement pas d’allergies chez son futur maître. Mais sa famille d’accueil en voit de toutes les couleurs : des airs royaux mélangés avec une bonne dose d’entêtement et un sens de l’humour et pour le jeu hors du commun... Fiebe a également des talents de raconteur. Dans un long monologue il se pose des questions sur son éducation. Dans les prochains numéros nous donnerons à nouveau la parole à Fiebe. Ainsi nous pourrons suivre l’éducation du chiot jusqu’au chien-guide vu par Fiebe. Sa Majesté Royale Caniche Fiebe s’adresse à vous ! L A COUR DE CASTRATION Il y a peu de temps on voyait partout à Schaarbeek des photos de femmes et d’hommes souriants. Parmi eux une dame avec un nom difficile : « Lorètonke-droite » ou cela pourrait aussi être « -gauche », je confonds toujours les deux. Depuis peu j’aime lever la patte pour faire pipi et cela semble être un grand crime, surtout lorsque je lève la patte contre “Lorètonke”. A cause de cela je dois aller à la Cour de Castration, du moins je pense. Mais lorsque la photo se trouve dans le caniveau, le crime semble être moins grand. Je ne comprends vraiment pas. Je ressemble peut-être à une bête blonde, mais je suis les actualités de près, souvent de trop près car mon nez touche souvent l’écran de télé. D’après les actualités Lorètonke aimerait déménager de Dendermonde à la Maison Communale de Schaerbeek à cause des mauvaises serrures dans la Cour de Castration. La porte de notre cour coince depuis des mois et c’est à cause de cela que je dois aller d’urgence à la Cour de Castration, ou quelque chose dans ce genre. Les humains sont parfois difficiles à comprendre. Un lundi matin en septembre nous prenions le tram 92 et nous nous dirigions tout droit vers le palais de justice. Bien sûr, je pensais que nous allions à la Cour de Castration, mais nous ne descendions pas ! A l’arrêt Darwin j’ai tout compris : nous allions chez Rennie, la doctoresse des chiens. Comme d’habitude je pouvais me mettre sur la table et je recevais des bonbons sans devoir faire quelque chose. Si j’avais osé faire ceci sur la table à la maison ! Et de plus, si vous saviez l’effort que je dois faire d’habitude pour recevoir un seul bonbon. J’aimerais bien vivre chez Rennie, mais cela n’ira pas avec Tina la téméraire... Je me suis tout simplement endormi dans les bras de mon maître et lorsque je me suis à nouveau réveillé je voyais tout double et me sentais bizarre. Anne m’a ramené à la maison. Sur le trottoir devant notre maison, je me suis couché sur le dos car j’avais comme un ballon de foot entre les pattes, mais personne ne l’avait remarqué. Il m’était impossible de marcher. Heureusement mon grand maître a compris et m’a porté dans l’escalier, mais alors ces femmes ! Leur attention allait complètement vers un morceau de plastique qu’Anne pliait comme un abat-jour et glissait au-dessus de ma tête. Elles s’attendaient à ce que je marche avec cela !!! Vu que je ne suis pas né d’hier, je sais que cela est impossible. Heureusement les dames semblaient également le comprendre. Je n’avais pas mangé ni bu de la journée mais, même si j’avais très soif, je ne pouvais bouger avec ce ballon de foot. Si le soir on n’avait pas mis ma gamelle d’eau devant ma truffe je serais mort de soif. Pour la nuit on a repassé cet abat-jour autour de ma tête et j’étais supposé dormir avec ce truc. Expliquez-moi la logique de la chose : un abat-jour, la nuit et toutes les lumières éteintes. Le lendemain je ne parvenais toujours pas à bouger et donc ni à boire ni à manger. Il a fallu du temps pour qu’ils comprennent. Si on poussait ma nourriture et l’eau juste devant mon museau cela allait tout juste. Le lendemain ma maîtresse trouvait que le ballon était devenu une balle de tennis. Cela fait des semaines qu’elle dit qu’elle a besoin de nouvelles lu- nettes ! Elle voulait absolument aller dehors pour que je fasse pipi, mais elle l’a regretté lorsqu’elle a vu comment j’avançais avec des pattes courbées comme un chien battu. Mercredi elle a finalement compris que cela ne pouvait durer ainsi et nous retournions chez Rennie. Celle-ci pensait que j’avais de la fièvre et voulait me mettre un thermomètre dans le derrière. Je me suis débattu comme un fou. Ce qui suivait était une lutte malhonnête, mes maîtres me tenaient fortement, Rennie faisait des choses horribles avec ce thermomètre, je mordais dans le bras de ma maîtresse et le verdict ... « il joue la comédie ». Toute la semaine, j’ai senti cette balle de « tennis » entre mes pattes et donc, toujours impossible de marcher. Heureusement je suis allé loger chez Linda et Eric, et, dès le moment où j’ai vu Fidji, cette balle de tennis a disparu. C’était une semaine agréable : un jardin pour jouer, des amis de jeu à gogo et toujours la compagnie de ce labrador chocolat ! Paraît-il qu’il s’agissait d’une mission diplomatique pour créer du goodwill vis-à-vis de la gent caniche. En ce qui me concerne, mission accomplie. Lorsque je suis rentré à Schaerbeek j’ai appris que Lorètonke n’était pas de bonne humeur. J’espère que je ne dois pas à nouveau aller à la Cour de Castration. Sa Majesté Fiebe Scale Dogs News 7 C H I E N S G U I D E S Nouvelles de nos chiens L e 26 août dernier, Dana s’est endormie à l’âge de 7 ans suite à une maladie grave et subite. Elle était le chien-guide de Charles Lemaire. Nous espérons trouver rapidement un nouveau chien-guide pour celui-ci. Chez Elliot, golden retriever, le vétérinaire a constaté une dysplasie de la hanche et il ne deviendra donc pas chien-guide. Il a été adopté par la famille Uylenbroeck-Anciaux Ezra et Edam ont également été réformés pour des problèmes de hanches. Edam a été adopté par la famille De Calluwe-Mellaerts et Ezra a trouvé un nouveau foyer chez Nadia Mercier janvier 2007 nous avons découvert qu’elle est diabétique. Nous sommes donc obligés, après quelques mois de formation intensive, de réformer Enya. Actuellement nous sommes à la recherche d’une famille souhaitant adopter Enya. En août nous avons reçu un chiot golden retriever d’une portée née chez John Reijnen que nous voulons remercier par la présente. Follow est placé chez Kathleen et Ferdinand Van Male Nos deux jeunes labradors Elmo et Epsi débuteront leur formation en janvier ainsi que le golden retriever Elko Le 17 septembre Frisbee, golden retriever, a vu le jour. Depuis le 8 novembre il habite chez Anne-Laure Lanotte-Jacquemart et sa famille. Frisbee nous a été offert par Isabelle et Robert Masson que nous voulons à nouveau remercier chaleureusement pour ce cadeau. Après de longues recherches, nous avons acheté Enya, jeune femelle berger allemand d’un an. Depuis septembre nous avions débuté sa formation de chien-guide mais début Le 20 octobre est née Fairy, une femelle beauceron. Après avoir vécu une semaine chez Linda et Fidji elle a été placée le 19 décembre, pour un an, chez Laure Guelton et sa famille. 8 Scale Dogs News Cherchons familles d’accueil Nous sommes à la recherche de familles d’accueil pour élever et éduquer un futur chien guide d’aveugle durant un an. Aimez-vous les chiens, avez-vous du temps libre durant la journée, disposez-vous d’un environnement favorable au bon équilibre du chiot (enfants, autre chien et autres animaux bienvenus), alors contactez Anne au 0476 99 76 06 ou envoyeznous un e-mail à [email protected]. Si vous êtes interessé par Enya ou si vous connaissez quelqu’un souhaitant lui offrir un nouveau foyer contactez Anne au 0476-99 76 06