Dossier Pdf - Veronique Aguilar

Extraits de Presse
« Visage angulaire implacable mais lumineux de tendresse, elle [Véronique Aguilar] est accompagnée par
Fabien Lesage qui enveloppe le récit de ses sons de gorge et de multiples percussions. L’intention est belle.
La démarche profonde. »
Marion Richet Théâtral- Magazine du 26 juillet 2011
« Il était une fois, une femme, un lieu, une histoire entremêlés […] une histoire vraie qui plus est, celle de Luis,
adolescent qui part sur les traces de sa mère, une indienne Quechua. »
Muriel Duny - Le Républicain d’Uzès et du Gard - N° 3330 du 21 au 29 juillet 2011
Extrait du Livre d’or
« Vivant, drôle, magique et sensuel… merci pour ce spectacle où conte et musique tissent la toile des rêves
dans notre cœur et nos oreilles. »
Ludivine
LLegende
des Gardiens
la
de la Terre
À partir de 12 ans.
Contact Sites -
Véronique Aguilar : 06 28 49 78 02 – [email protected]
Véronique Aguilar : http://www.veronique-aguilar.com/
Fabien Lesage : http://fl-developpement.over-blog.com/
Pour trouver le dossier artistique http://conteuse.veronique-aguilar.com/contes-tout-public-adultes
Propos et trame du spectacle
Qui sommes-nous ?
Les premiers conteurs d’Amérique Latine disaient que la Terre est vivante et que les Empereurs du Soleil
veillaient, chacun leur tour, sur Elle.
La conteuse
Véronique Aguilar
Aujourd’hui, ce pouvoir oral a été confié à la mémoire du vent, de la pluie et de la lumière. Ces alliés gardent
la légende vivante et la transmettent aux hommes qu’on appelle les gardiens de la Terre. Elle se révèle non
pas par érudition mais par l’expérience.
Dans le Buenos Aires des années 40, un jeune homme, Luis Ansa, recherche sa mère sur les hauts monts
de la cordillère des Andes. Il y rencontre l’aigle et son secret, et devient un gardien de la Terre.
Dans ce premier spectacle, trois des secrets de la légende seront révélés.
Cette légende nous permet de soulever des réflexions autour de plusieurs thèmes : la mémoire, le lien entre
l’être humain et l’Univers, la vie après la mort, la mort pendant la vie.
Tout comme le conte, la légende nous amène à voyager à l’intérieur de nous-mêmes grâce aux images et
émotions qu’elle suggère. Le spectateur pourra suivre cette transformation dans un univers onirique et
poétique où rythmes et sons l’entraîneront dans les ruines du Machu Pichu ou celles de la cité de Tihuanaco.
[ l’équipe artistique ]
Franco Américaine, elle fait des études de réalisateur audiovisuel, mais passe très vite au spectacle vivant en
créant des actes paniques improvisés. Elle devient comédienne professionnelle aux Etats Unis où elle rencontre
le conte. De retour en France, elle s’installe à Uzès, et fait du conte son métier (1994). (Festival, bibliothèques,
fêtes de village, écoles, collèges, fêtes privées, appartements…)
Elle continue toujours à se perfectionner (master class C. Zarcate, Maison du Conte M. Hildenoch, CMLO).
Depuis jeune adulte, Véronique Aguilar n’a eu de cesse d’aller à la rencontre de son double, celui de l’autre côté
du miroir. Sur le chemin qui a du cœur, elle a su recevoir l’enseignement des contes : ces maîtres du verbe, donnant à sa parole la profondeur et la poésie de l’incarnation consciente et spontanée, d’un moment fugace toujours
à renouveler. Et la musique, et surtout le chant, l’a toujours accompagnée.
Reconnue dans le milieu des conteurs pour son travail sur la maladie d’Alzheimer, elle a obtenu le soutien et l’œil
d’Henri Gougaud. Elle monte aujourd’hui cette légende des Gardiens de la Terre forte de son expérience quotidienne du monde des rêves.
Le musicien
Fabien Lesage
Percussionniste.
Il se définit comme un accompagnant. Les percussions en particulier, et la musique en général, sont pour lui, un
moyen de rencontrer l’Autre.
C’est entre 2000 et 2002, qu’il a commencé par apprendre le djembé avec Guem, à Paris. Ces deux années lui
ont apporté des bases techniques et rythmiques. Puis l’envie lui est venue d’explorer d’autres sons, d’autres instruments. De se servir de la musique comme vecteur d’éveil et de transformation.
Ses instruments de prédilection : Udu, cajun, frame drum, guimbarde... Depuis peu, il travaille la flûte.
Il se plait à marier les sons pour créer des ambiances musicales entourant ainsi un personnage ou une scène.
Les instruments vibratoires : bols, gongs, tambour chamanique, guimbardes… sont des moyens merveilleux de
ponctuer, et de porter la parole des conteurs avec qui, il joint ses forces pour un instant.
Depuis 2009, on a pu le voir avec Laureline Koenig sur deux spectacles de contes : « Vâyu » et « Le désir du Diable ».
Par ailleurs, formé au coaching et à la thérapie systémique et stratégique, il amène depuis 20 ans des hommes
et des femmes vers eux-mêmes, à travers des approches de développement personnel.
La collaboratrice artistique
Lucia Trotta
Photographies de répétition © Corine Brisbois
Elle a mis en scène Nicolas Allwright (« La Naissance du Jongleur » - Dario fo, « Craché Grave », « Po et
Zique »…), Luigi Rignanese (« Tutti Santi Tutti Pagani », « Fatigue Fatigue», «Knup» prix JMF 2010), Irma Helou
(« Tu me manques », « La fée de la Fontaine »). Depuis 3 ans à Avignon, elle participe aux actions de la Cie Mises
en Scène auprès de publics divers (hôpitaux, jeunes de quartiers sensibles, hôpital psychiatrique, femmes en
alphabétisation…)
Aussi, elle travaille à la création d’un spectacle d’après un texte de Christian Prigent, (une lecture a été présentée au festival d’Avignon 2009 avec Jacques Bonnaffé) qui fait partie d’une trilogie sur l’érotisme.
Comédienne, dernièrement, elle a joué avec la Cie Alzhar et dans « Résonnances » d’après des textes
d’Edmond Jabès. Elle a fait le Tour d’Europe à pied, pendant 4 ans, avec son compagnon Nicolas Allwright,
jalonné de performances poétiques, musicales et théâtrales. Elle a organisé des « Laboratoires Théâtre-Écriture
» (rencontres d’auteurs, de metteurs en scène et de comédiens) sous les yourtes.
Son parcours, hors sentiers, la mène vers la recherche de langues et de jeux différents, la musique étant toujours son alliée.