Le Centre homéopathique Saint-Augustin à Paris et l`enseignement

Transcription

Le Centre homéopathique Saint-Augustin à Paris et l`enseignement
Le Centre homéopathique Saint-Augustin à Paris et l’enseignement de R. Zissu.
Dr Olivier Rabanes, Paris.
En décembre 2012 lors d’une journée d’hommage à Rolland ZISSU, auteur de nombreux livres et
maître de nombreux homéopathes français, et en sa présence à la Société Française d’Homéopathie
(SFH) pour son quatre-vingt-treizième anniversaire, nous avons abordé ses activités dans le monde
de l’homéopathie (Syndicat national des médecins homéopathes français, Institut national
homéopathique français, Association de formation médicale continue en homéopathie) et en
particulier son principal lieu d’enseignement : le Centre Homéopathique Saint-Augustin.
Création du Centre homéopathique Saint-Augustin (CHA).
Le dispensaire de consultations homéopathique Saint-Augustin à Paris, sis au 26, rue du Général
Foy dans le 8e arrondissement, a été créé en 1923 par les Drs Paul CHIRON, VERGNES et André
ROUY 1 dans des locaux appartenant à l’évêché. Après la seconde guerre mondiale, le dispensaire
est réactivé en 1946 sous l’impulsion d’André COUTURIER (1906-1966), médecin homéopathe
installé dans la capitale, avec l’aide des anciens fondateurs CHIRON, ROUY et la participation de
DANO, JACOB, NOAILLES, POMMIER de SANTI puis de KOLLITSCH, RENARD,
ROUSSEAU et SUBILLEAU. A. COUTURIER demeure le président de ce centre depuis sa
refondation jusqu’à son décès en 1966.
Le Centre se propose la diffusion de la doctrine homéopathique en mettant à la disposition du corps
médical et des étudiants en médecine un centre d’enseignement clinique qui fonctionne tous les
jours (sauf le mardi) de 10 heures à midi, 26, rue du Général Foy (Paris 8e) avec des consultations
externes :
Dr COUTURIER, président :
Dr JACOB
Dr NOAILLES
Dr CHIRON Paul
Dr DANO
Dr POMMIER-SANTI
samedi
lundi
mercredi
mercredi
vendredi
samedi (ORL)
Tous les médecins ou étudiants intéressés par l’homéopathie peuvent assister à la présentation de
malades, à la discussion du diagnostic clinique et surtout participer à l’établissement de
l’ordonnance.
Le CHA projette aussi d’organiser prochainement un Centre d’enseignement théorique deux fois
par semaine avec les cours des Drs RENARD, ROUSSEAU et CHIRON. 2
Les structures du CHA : dispensaire et centre d’enseignement indépendant.
Le Centre homéopathique Saint-Augustin (CHA) repose sur deux structures qui sont complètement
indépendantes juridiquement, un dispensaire et un centre d’enseignement, même si le Centre se
présente de façon uniforme dans les diverses publications que nous allons étudier.
Le dispensaire n’est pas uniquement dévoué à l’homéopathie. Des médecins homéopathes
consultent le matin dans un dispensaire déjà existant depuis plusieurs années (probablement avant la
1
2e guerre mondiale) qui accueille aussi de nombreux médecins généralistes, une infirmière pour les
soins courants, une secrétaire et une religieuse.
Le centre d’enseignement homéopathique se compose surtout d’une grande salle à l’étage, dans les
locaux au dessus du dispensaire. Les cours sont donnés un ou deux soirs par semaine aux étudiants
en homéopathie. C’est une structure associative qui est séparée de la gestion du dispensaire. Le
propriétaire de tous ces locaux est probablement l’évêché de Paris. 3
Le temps de vie de chaque structure est différent : le dispensaire existait avant le centre
d’enseignement, puis il a fermé ses consultations avant le centre. Ces précisions permettent de
mieux éviter les confusions lorsque l’on parle de l’histoire de l’homéopathie à Saint-Augustin.
Dans la même page de l’annonce de la création du Centre dans le Bulletin syndical de 1949, il est
annoncé le programme des cours du Centre homéopathique de France (CHF) avec le Dr ZISSU qui
enseigne la matière médicale comparée. Rolland Zissu a appris l’homéopathie au CHF, fondé par
Léon VANNIER, mais principalement sous la direction d’Émile ILIOVICI. Ultérieurement, vers
1958, après sa rupture avec L. Vannier, R. Zissu sera professeur à l’Institut National
homéopathique Français (INHF), fédération d’écoles homéopathiques présentes dans toute la
France, et en particulier au CHA qui est l’antenne parisienne de cette école.
Dans le numéro d’avril 1949 de cette même revue, on note l’admission du Dr R. ZISSU, 39 bd de la
Chapelle à Paris, comme membre du Syndicat National des médecins homéopathes (p. 2, 53).
Une liste des dispensaires homéopathiques parisiens est publiée dans le n° 3 du Bulletin syndical de
1949 (p. 93) : outre Saint-Augustin, il existe le dispensaire Hahnemann et l’hôpital Saint-Jacques.
Des consultations homéopathiques sont aussi données à l’hôpital Foch (Dr Renard), à l’Institut
Vernes (Dr Rousseau), à l’Institut homéopathique moderne (31, rue d’Amsterdam), au 5 rue Danton
et au 8, rue Pigalle. Signalons l’existence d’autres consultations d’homéopathie depuis les années
cinquante à la Mutuelle générale de l’éducation nationale (MGEN) (Drs J. PEZÉ, S. RAFAL, J.-P.
BILLOT, B. LECOT) et à la Mutuelle des PTT (Dr MASSALSKY).
En novembre 1949, André ROUY prononce une leçon inaugurale pour ouvrir les cours du CHA
tous les jeudi soirs avec deux conférences : matière médicale et clinique homéopathique. Cet
enseignement théorique complète l’enseignement pratique dispensé tous les matins 4. En 1953, le
programme d’enseignement du CHA précise que son enseignement est entièrement gratuit.
L’enseignement théorique s’appuie sur l’étude de la matière médicale d’un remède, puis de ses
satellites proches ou éloignés et enfin des principales indications de ce remède en thérapeutique.
Des recherches pédagogiques sont engagées pour étudier les remèdes de façon plus captivante
(affinités, localisations sur le corps humain, oppositions, leurs places dans les règnes animal,
végétal ou minéral.)
L’Institut national homéopathique français (INHF).
Dans l’année 1956, on voit naître une nouvelle école d’homéopathie, l’Institut national
homéopathique français (INHF), école nationale d’enseignement de l’homéopathie qui établit son
centre parisien à St-Augustin. André COUTURIER est aussi le président-fondateur de l’INHF,
comme il avait été celui du CHA 5. Le Dr François LAMASSON est secrétaire général 6. Dans les
Annales homéopathiques françaises les cours de l’INHF sont annoncés dès 1958, en particulier
dans les locaux du CHA qui est le centre parisien : enseignement théorique le jeudi soir et
enseignement clinique au dispensaire avec les Drs Maurice PLAZY, Jacques PEZE, COUTURIER,
JACOB, Paul KOLLITSCH, JOUBLIN, LAMASSON, NOAILLES 7.
2
On retrouve l’annonce de journées de perfectionnement de l’INHF en 1959 au CHA avec des
exposés de CARLIER, CHABARD, DEMANGEAT, DEMARQUE, DENIS, KLEIN,
LAMASSON, PATURIAUX, ROUSSON, ROUY 8. Le CHA est indiqué comme centre régional de
l’INHF, section de Paris 9.
N’oublions pas que pendant ce temps, en 1959, R. Zissu commence la publication de sa
volumineuse Matière médicale homéopathique constitutionnelle, en quatre gros volumes chez Le
François à Paris (1959-1964, 2e éd. en 1977-1978). L’auteur cherche à faire comprendre les bases
de la matière médicale homéopathique selon la physiopathologique.
En juillet 1961, le syndicat donne sa garantie au diplôme national de l’INHF qui vient juste d’être
créé après un cycle de trois ans d’études 10 puis cette reconnaissance est étendue en octobre aux
diplômes du CHF et de l’hôpital St-Jacques. Ceci afin de certifier une bonne formation des
nouveaux homéopathes lors des négociations conventionnelles avec les pouvoirs publics.
L’enseignement soutenu par le Syndicat national des médecins homéopathes (SNMHF).
R. Zissu est élu membre du conseil d’administration du Syndicat national des médecins
homéopathes en novembre 1961 comme secrétaire général adjoint puis comme secrétaire général en
octobre 1963, aidé par le Dr Michel GUILLAUME de Suresnes 11.
Début 1964, le jeune secrétaire général du SNMHF propose un nouveau plan de la rubrique
scientifique publiée en deuxième partie du bulletin du syndicat :
- des revues de presse allopathique et homéopathique ;
- des exposés de matière médicale ou de séméiologie homéopathiques, dans un esprit
essentiellement pratique ;
- des observations commentées écrites par des praticiens pour des praticiens ;
- des articles de philosophie médicale, permettant d’utiles réflexions sur la valeur générale et
humaine de notre médecine.
Je cite in extenso ce propos car ce sera exactement le plan que nous retrouverons dans les cours de
notre maître en 1978, quatorze ans plus tard, lors des soirées de cours du mercredi soir au CHA,
cours auxquels j’ai assisté pendant plusieurs années.
Afin de définir l’homéopathie, le syndicat préconise en 1964 un enseignement national de
l’homéopathie dispensé par les trois écoles citées ci-dessus, avec des cours polycopiés et un
diplôme qui va devenir commun, et un perfectionnement professionnel lors des journées de travail
des différentes écoles et de l’enseignement hospitalo-universitaire de l’hôpital St-Jacques (ibid.
1964, 5, p. 21-22). L’enseignement est prévu pour trois ans d’études. Le comité de coordination des
écoles homéopathiques décide que diplôme unique sera mis en vigueur en 1967 12 et décide aussi de
l’organisation des journées de la Semaine homéopathique de Paris sous l’égide de chaque école.
Un état de l’homéopathie en France par F. Lamasson 13 nous décrit les cinq centres d’enseignement
actifs : les trois écoles que nous connaissons (INHF, St-Jacques, CHF) et les groupes de travail de
H. Voisin à Annecy et celui de P. Schmidt à Lyon. Le dispensaire St-Augustin, considéré comme
une école d’application du Centre homéopathique St-Augustin, a donné 3 000 consultations en 1964
(12 000 à St-Jacques, 10 000 au dispensaire Hahnemann, 6 000 au dispensaire de la rue
d’Amsterdam, non précisé pour l’hôpital Hahnemann). Signalons que R. Zissu, sis au 39 bd de la
Chapelle à Paris, est le secrétaire de l’INHF 14, sous la présidence nationale de Lamasson et
parisienne de Couturier, et édite le polycopié des cours. Effectivement à partir d’octobre 1964, on
3
constate l’action du secrétaire général par la présence régulière de nouvelles générales de l’INHF
dans les Annales, alors qu’elles avaient été très pauvres dans cette revue les cinq années
précédentes.
L’enseignement de Rolland ZISSU.
R. Zissu publie dans les Annales, depuis la fin des années cinquante, de très nombreux articles de
matière médicale. Il développe (encore) son activité en créant une rubrique d’ « Enseignement
post-universitaire homéopathique » (EPU) dans le bulletin du syndicat en février 1966, rubrique de
perfectionnement des médecins déjà bien formés en homéopathie. Cet EPU n’est envisagé que dans
le cadre de l’homéopathie et sa manifestation essentielle est la Semaine homéopathique de Paris. Le
premier article est un texte de J. Hui Bon Hoa sur le traitement de la douleur par l’homéopathie
selon la technique répertoriale de Kent 15. Notons l’ouverture à une pratique homéopathique peu
répandue à ce moment là.
En février 1967, R. Zissu présente sa démission de ses fonctions de secrétaire général du syndicat
en raison de ses multiples charges d’enseignant et de secrétaire de l’INHF et de secrétaire-trésorier
de la fédération. Il est alors élu vice-président du syndicat et demeure au CA du syndicat. M.
Guillaume se récuse pour le remplacer et demeure adjoint du nouveau secrétaire. Le choix de R.
Zissu est clair : il préfère se dévouer à l’enseignement et la formation médicale continue (semaine
homéopathique d’octobre).
Le programme de l’INHF de 1966 nous apprend que R. Zissu donne une consultation le jeudi matin
au CHA, avec une orientation femmes enceintes, pédiatrie. D’autres consultants s’installent au
centre : O. BOUJARD-DUFLO, CHABASSEUR, FREDJ, JOUBLIN, PLAZY, MOULINJEUNE
16
. Il existe cinq antennes en France. Cette consultation se déroulera ensuite le mercredi matin ainsi
que ses cours le mercredi soir.
En 1967, après le décès de Couturier, l’INHF est présidé par F. LAMASSON, assisté de PLAZY,
ZISSU, MASSON DE SAINT FÉLIX et GUILLAUME. Il perpétue l’enseignement théorique et
pratique de l’homéopathie de l’INHF, dont le centre parisien est le CHA. Le diplôme commun
sanctionnant les trois années d’études homéopathiques pour les trois écoles est entré en vigueur en
octobre 1967 pour la première fois. L’examen a lieu chaque année lors de la Semaine
homéopathique d’octobre.
R. ZISSU poursuit son travail d’enseignement en publiant en 1973 un Manuel de médecine
homéopathique avec son ami Michel GUILLAUME 17 , ouvrage destiné aux débutants en
homéopathie permettant une approche plus pédagogique de l’étude de la Matière Médicale et des
principaux concepts de l’homéopathie. Ce livre s’appuie sur l’expérience orale de ces deux
enseignants de l’homéopathie au CHA, école parisienne de l’INHF. Devant son succès mérité, il
connaîtra de nombreuses rééditions jusqu’à nos jours. Il sera complété par l’édition de Fiches de
matière médicale homéopathique 18 par les mêmes auteurs qui organisent l’étude de cent-soixante
grands médicaments homéopathiques.
Une lettre d’information de R. Zissu, fin 1981 19, décrit en détail les cours étudiés à l’INHF en vue
du diplôme de médecin homéopathe de l’École française d’homéopathie. Il cité les treize filiales
dans toute la France (Paris, Clermont-Ferrand, Dauphiné-Savoie, Marseille, Strasbourg, Limoges,
Montpellier, Nantes, Rennes, Angers, Nancy, Fréjus, Orléans). R. ZISSU est président de l’antenne
de Paris et assure la plupart des cours.
4
Or, en été 1983, on voit apparaître l’annonce de l’AFMCH (Association de formation médicale
continue homéopathique, créée en 1982), dont le président est R. Zissu, le vice-président Christian
GARCIA, le secrétaire-trésorier Jean ROTMAN et son adjoint Yvan DARMON 20. Le responsable
de l’enseignement est R. Zissu et les séances se tiennent le mercredi soir à 21 h au centre SaintAugustin.
Que s’est-il donc passé pour un net changement de nom et de structure administrative de
l’enseignement de R. Zissu ? Il semble que R. Zissu tenait à ce que l’équipe enseignante de l’INHF
demeure entièrement bénévole, ce que ne désiraient pas les nouveaux membres enseignants. Cela a
obligé R. Zissu à démissionner de l’INHF en 1982 et à enseigner dans une nouvelle structure mise
en place par ses élèves.
L’AFMCH permet la poursuite de l’enseignement de R. Zissu dans les mêmes locaux les mercredis
soir en 1985-1986 : matière médicale, homéopathie générale, thérapeutique, revue de presse
officielle et homéopathique 21. Paradoxalement il semble que la section parisienne de l’INHF
continue à s’appeler Centre Homéopathique St-Augustin, alors qu’elle n’utilise plus du tout les
locaux près de St-Augustin, mais des salles d’enseignement boulevard de la Chapelle.
Au printemps 1986 une tribune d’Alain JOSEPH dans le Bulletin annonce de la disparition du
dispensaire Saint-Augustin 22. À lire entre les lignes, on comprend qu’il s’agit d’une question
financière. Le Dr Zissu, toujours membre du bureau du syndicat, informe ce même bureau des
conditions de la disparition du Dispensaire Saint-Augustin lors de la réunion de septembre 1986,
sans que ces explications soient publiées. Renseignements pris auprès de médecins consultants de
ce dispensaire, il semble que les charges financières étaient trop importantes (loyer à l’évêché et
surtout frais de personnel : secrétaire, infirmière, etc.) et que la mairie ne donnait plus de
subventions puisque d’autres dispensaires existaient.
L’AFMCH continue son programme d’EPU tous les mercredi soir avec R. Zissu 23 dans les locaux
du Centre St-Augustin. En revanche, dès 1987, les consultations de R. Zissu se déroulent au Centre
médical Europe, situé au 44, rue d’Amsterdam, Paris 9e 24.
Quelques années plus tard, les cours de l’AFCMH s’établissent ici, dans les locaux de l’Institut
Hahnemann, et continuent encore et toujours sous la direction pédagogique de R. ZISSU qui aura
93 ans dans onze jours et soixante-trois ans d’enseignement.
Merci Maître pour cette longévité dans l’enseignement et de nous avoir aidé à comprendre cette
difficile thérapeutique qu’est l’homéopathie !
Des anecdotes de consultation pour conclure.
Pour terminer ce rappel historique du cadre de l’enseignement de Rolland Zissu, je voudrais
raconter deux anecdotes survenues pendant les consultations au CHA en 1978.
La première est une femme mince, triste et renfermée, qui venait pour la première fois à la
consultation de R. Zissu et qui, voyant les autres médecins qui se tenaient derrière le bureau, a
refusé que l’on assiste à l’interrogatoire et à l’examen clinique. Après la consultation, R. Zissu nous
a donné le nom du médicament unique, qu’il avait prescrit en échelle 9, 15 et 30 CH. Bien sûr il
s’agissait de NATRUM MURIATICUM. Trois semaines plus tard, il nous rappelle pour participer à
la consultation une personne qu’il recevait seule : c’était cette dame Natrum mur. qui s’était
complètement ouverte au monde autour d’elle et qui avait demandé notre présence pour participer à
son mieux-être. Ce changement aussi manifeste m’avait marqué pour longtemps.
5
La deuxième anecdote est plutôt à l’opposé de la première. C’était une dame volubile, expansive,
qui a raconté toutes les histoires de son monde au docteur et à tous ces docteurs en formation. Pas
ou peu de questions de la part du consultant devant cette dame LACHESIS. À la fin de la
consultation, après son départ, j’ai demandé à R. Zissu pourquoi il l’avait laissé ainsi parler sans
nous dire de choses intéressantes - il faut signaler que nous étions debout derrière le bureau -. Il m’a
simplement répondu qu’il avait eu le temps de somnoler pendant qu’elle parlait sans cesse et qu’il
n’avait pas beaucoup écouté, son diagnostic étant fait. Je n’oublierai pas non plus ce cas de
Lachesis et me repose parfois de la même façon.
Dr Olivier Rabanes
Nécrologie d’André Couturier par A. Rouy. Ann. homéop. franç., 1967, 2, p. 195-196.
Bulletin du syndicat national des médecins homéopathes de France et de l’union française, nouv.
série, n°1, fév. 1949, p. 21-23.
3 Je remercie André COULAMY, ancien trésorier du CHA, de m’avoir fourni ces informations.
4 Bul. synd., déc. 1949, 4, p. 132.
5 Programmes du CHA ; nécrologie dans Ann. homéop. franç., 1967, 2, p. 195-196
6 Bul. synd., n°27, p. 68.
7 Ann. homéop. franç., 1958, n°3, p. 60.
8 Bul. synd., sept. 1959, 5, p. 28.
9 Ibid., déc. 1959, 6, p. 42.
10 Ibid., oct. 1961, 5, p. 13.
11 Ibid., 1963, n°5, p. 39.
12 Ibid., 1965, 2, p. 21.
13 Ibid., 1965, 4, p. 11-21.
14 Depuis 1964 environ, cf. Ann. homéop. franç., oct. 1964, p. 883.
15 Bul. synd., 1966, 1, p. 46.
16 Ann. homéop. franç., 1966, 9, p. 749-751.
17 Paris : Doin, 1973. Réédité de nombreuses fois.
18 Paris : Doin, 3 tomes, 1973-1977. Réédité en 1989 et 1999 aux éditions Boiron.
19 Bul. synd., 1981, 4, p. 41.
20 Ibid., 1983, 3, p. 19-20.
21 Ibid., 1985, 3, p. 32.
22 Ibid., 1986, 2, p. 40.
23 Ibid., p. 52.
24 Ibid., 1987, 4, p. 54.
1
2
6

Documents pareils

Société Française d`Homéopathie

Société Française d`Homéopathie Société de médecine homéopathique du Nord Société de médecine homéopathique Midi-Pyrénées Société ophtalmologique d’homéopathie Société de perfectionnement en homéopathie Société rémoise d’homéopat...

Plus en détail