Un thriller digital fantastique avec du métal dedans… … Expliqué

Transcription

Un thriller digital fantastique avec du métal dedans… … Expliqué
Un thriller digital fantastique avec du métal dedans…
… Expliqué par l’auteur, Jeff Balek.
Qu'est-ce que le Waldgänger ?
A l'origine, le Waldgänger est un thriller digital fantastique en 6 épisodes à lire sur smartphones, tablettes et
liseuses (Kobo, Kindle...).
Plus qu'une simple histoire, le Waldgänger est un univers :
Il intègre l'histoire d'un super héros très sombre mais aussi une dimension musicale forte.
Cet univers est né de la rencontre de Jeff Balek et de Hopkins. Les lecteurs pourront donc prolonger leur
expérience de lecture en écoutant l'album « Le Waldgänger », composé par le groupe.
Bien plus qu'une bande son :
L'idée qui a présidé à la création de l'album metal/rock du Waldgänger n'était pas de créer la bande son du
livre. Le projet était que Hopkins interprète à sa manière l'histoire du Waldgänger, qu'il donne sa vision du
héros et de ses aventures, en disposant d'une totale liberté de création.
Les créations du groupe n'en ont été que plus riches et nourrissent véritablement l'univers plus qu'elles ne le
copient.
Le Pitch de l'histoire :
Lors d’une mission archéologique organisée par “la Ville” dans le désert, Blake alias le Waldgänger est
victime ainsi que toute l’équipe d’une attaque menée par des inconnus. En se mettant à couvert, le
Waldgänger découvre une salle ancienne dans laquelle se trouvent un autel, un cadavre et une dague. Le
Waldgänger perd conscience en touchant cette dague. À son réveil, à l’hôpital, Blake, défiguré, est
bizarrement pris en charge par l’armée. Il se rend peu à peu compte qu’il est doué d’étranges visions du passé
et du présent. Ses intuitions sont décuplées, il sent les choses comme personne. Il ne tarde pas non plus à se
rendre compte que sa force et sa rapidité augmentent. Tout cela serait-il lié à la 3eme plaque d’identification
qui est apparue à son cou? Dès lors Blake se demande s’il n’est pas en train de devenir fou ou s’il n’est pas
victime d’hallucinations.
Le livre :
Le Waldgänger par Jeff Balek, roman feuilleton en 6 épisodes. Premier épisode gratuit, autres épisodes à
0,99 €. Plus d'infos sur : http://waldganger.com/
… Expliqué par Hopkins :
Qui est Hopkins?
Greg : Hopkins c’est le nom d’un adorable anglais (Matthew de son prénom), que les féministes auraient
adoré, qui s’est battu avec acharnement pour la reconnaissance de l’usage de la case ‘sorcière’ sur tout
document administratif pour qualifier la situation féminine lors de la première révolution anglaise. Mais
Hopkins c’est surtout 5 gars qui font du rock n roll dans une cave en buvant de la bière, mixant leurs
influences diverses, variées et différentes pour secouer le bananier musical et proposer un rock énergique,
sexy, qui sent sous les bras, qui fait dresser les poils, entre autres, et que le monde entier veut voir sur scène
en attendant l’album avec impatience.
Jérôme : Hopkins c’est d’abord l’idée qu’une bande de potes d’univers musicaux assez différents puissent se
réunir chaque semaine pour partager, se défouler, créer et s’engueuler. Le plaisir de faire partager notre
univers sur scène en est bien sûr l’accomplissement et le but avant tout. On met vraiment un point d’honneur
à ce que le public assiste à un show et pas juste à un enchainement de titres. Le plaisir est notre vrai moteur.
Quant au nom, en cette période d’Halloween il faut plutôt aller le chercher du côté de la chasse aux sorcières
et du “trick or threat” de rigueur, on vous laisse “wiker” tout ça sur la toile !
Raf : Hopkoi ?
Si vous deviez définir votre ligne musicale, ce serait quoi?
Jérôme : Difficile à définir finalement car ce qu’on considère purement et simplement comme du rock poilu
est souvent qualifié d’original et assez différent des étiquettes purement métal ou rock habituelles. Ce qui
nous étonne à chaque fois vu qu’on a l’impression d’être plutôt formaté. Nous sommes de gros
consommateurs de musique et restons très influencés au quotidien parce ce qu’on écoute, il faut croire que
notre expérience nous permet souvent de retrouver ce groove Hopkins.
Raf : Ce qui est drôle dans Hopkins, ce sont les influences radicalement opposées, ou presque, de chacun
d’entre nous. D’où ce « pot pourri » rock n’ roll. Je te laisse imaginer ce que ça donne en répète, pour faire
passer ses idées… Tu as vu Braveheart ? Sinon, les influences vont du Blues au Grindcore… Bref, c’est
assez large !
Greg : Hopkins c’est une ligne brisée en fait : Ca part dans pas mal de direction selon l’influence de chacun.
Mais les morceaux deviennent vraiment des morceaux Hopkins lorsque les idées, malgré leur nature
différente (Bossa – metal, rock n groove, grindpastis…), s’inscrivent dans la continuité de la précédente et
donc forme un tout cohérent, sachant que l’esprit reste toujours rock.
Pourquoi avoir choisi de travailler sur le projet transmedia Waldgänger?
Raf : Quand Jeff nous a proposé de travailler sur le projet Waldgänger, nous avons d’abord été surpris. Voilà
presque une année qu’on bosse en studio pour notre album, et qu’on n’a plus trop d’actu, qu’on ne se fait pas
trop entendre… . Donc ça a été une réelle surprise. Pour nous, travailler sur un projet transmédia comme
celui-ci est très excitant, car il ouvre de nouvelles perspectives de lectures et d’écoutes. Et comme Jeff nous a
dit qu’Hopkins l’avait accompagné musicalement pendant l’écriture du roman, ça nous a rassuré, on s’est dit
qu’il devait y avoir de gros points communs entre notre musique et l’univers qui se dégage du roman, dont
acte. Ce projet déborde d’influences mutuelles, c’est très inspirant.
Jérôme : C’est d’abord la surprise d’avoir été contacté par Jeff Balek qui a imaginé le concept avec Hopkins
dans ses oreilles, genre on a un vrai fan !!
Et c’est surtout c’est la cohérence entre nos univers respectifs ciné, bouquins et informatique. Il n’y a pas eu
une seconde d’hésitation que ce soit sur le concept ou la façon d’intégrer les morceaux. Nous croyons dans
ce média multi-univers et on est vraiment très fier d’apporter notre pierre au projet. La rencontre avec Jeff est
importante car elle nous permet maintenant de structurer notre démarche musicale et vu les grandes-gueules
dans le groupe ce n’est pas un mal !
Est-ce que cela change votre manière de travailler et de composer?
Jérôme : La cohérence était déjà présente dans la tête de Jeff, il savait que ça fonctionnerait et au final c’est
vrai que nous avons quelque chose de très naturel dans l’intégration des morceaux et des paroles. Nous avons
désormais une ligne directrice mais notre identité reste intacte et c’est vraiment un plus pour la motivation.
Contrairement à d’habitude ce n’est plus nous qui fixons les objectifs et ça nous pousse vraiment à avancer
plus vite et plus fort.
Raf : Notre ligne directrice musicale se construit au quotidien, et évolue avec les éléments extérieurs qui
nous entourent : Musique extérieure, état d’esprit, vie amoureuse, professionnelle, politique, cinéma,
littérature, pulsions diverses, doutes et peurs. Concernant la musique, je dirais donc que ça n’a pas changé
nos habitudes, mais cela a donné des pistes nouvelles car une scène du roman peut vous inspirer une
ambiance particulière, un riff… Le Waldgänger est dans ce sens très influant. Personnellement, je suis fan de
comics, notamment ceux de Robert Kirkman (Walking Dead, Haunt, entre autres) ou les ambiances sombres
comme Sin City. Le Waldgänger me parle donc particulièrement !Pour l’écriture des textes, il est évident
qu’un sujet comme le Waldgänger est une source d’inspiration inépuisable. La moindre scène peut être
l’élément déclencheur d’un texte de chanson.
Greg : Je ne pense pas que cela va changer fondamentalement notre façon de travailler et de composer car
les univers d’Hopkins et du Waldgänger sont très proches. Nous allons rester dans la continuité de ce que
nous faisions déjà et naturellement évoluer avec la construction du projet Waldgänger.
Est-ce que c’est une manière pour vous d’enrichir vos compositions?
Jérôme : Totalement. Ce fil d’Ariane nous permet de mieux cadrer les concepts au niveau des paroles
surtout et finalement on a découvert un lien entre nos morceaux. Du coup beaucoup d’idées nous viennent
depuis notre premier contact avec Jeff et on a vraiment hâte de les tester pour le concept et en live. L’idée
d’un espèce de concept-album est un vrai challenge mais ici plus facile à concevoir avec la matrice de Jeff en
support.
Raf : Bien entendu ! D’ailleurs, je pense que cet enrichissement est bidirectionnel. Le roman est écrit à la
première personne. J’ai demandé à Jeff s’il était possible d’avoir une vision extérieure du sujet, notamment
de sa femme, comment elle voyait les choses, et d’en faire un texte court pour l’intégrer dans une outro ou un
interlude musical. Le sujet se nourrie donc de lui-même, c’est passionnant !
Le Son :
« Le Waldgänger ». Mini album de 6 titres. Bientôt disponible sur itunes et autres plateformes de
téléchargement légal.
Plus d’infos sur notre facebook : www.facebook.com/pages/hopkins/380439564166
En écoute gratuite très prochainement sur Soundcloud : http://soundcloud.com/hopkins-the-band