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 Initiation à la traduction Département d'Etudes des Pays Anglophone
I. TEXTES 4 David Lodge, Small World, 1984 4 Boris Vian. L’Écume des jours, 1947 5 Amelia Gentleman and Hélène Mulholland, The Guardian, January 27, 2010 6 Selon l'Insee, seuls 47,7 % d'entre eux choisissent d'habiter sous le même toit. 7 Le Figaro, 12/02/2010 7 Barry Hines, Kes, 1968 8 Clara Dupont-­Monod, La Passion selon Juette, Grasset, 2007 9 David Borstein, New York Times, Dec 20th, 2010 10 Libération, 7 février 2011 11 II-­‐ EXERCICES 12 Découpage du texte / Problèmes syntaxiques 12 Unités de traduction 12 Faux-­amis 13 Les mots composés 14 Determinants et articles 15 La comparaison 16 Le présent 16 Les temps du passé 17 Le conditionnel 17 Les modaux 18 Passif, impersonnel 19 Le chassé-­croisé 19 Structures résultatives 20 Structures causatives 20 2 Calendrier (vocabulaire et devoirs) Sem 1
Voc: Faux-amis
Sem 2
Voc: Education
Sem 3
Voc: Childhood
Sem 4
Voc: Childhood QUIZ
Sem 5
Voc: Politics and Citizenship
Sem 6
EXAMEN Sem 7
Voc: Politics and Citizenship QUIZ
Sem 8
Voc: Time and Human Life
Sem 9
Voc: Time and Human Life
Sem 10
DM à rendre
Voc: Religions and Spiritual Life QUIZ
Sem 11
Voc: Geography and Geopolitics
Sem 12
Voc: Geography and Geopolitics QUIZ
Sem 13
EXAMEN FINAL
3 I. TEXTES
Conferences
As the poet Geoffrey Chaucer observed many years ago, folk long to go on
pilgrimages. Only, these days, professional people call them conferences.
The modern conference resembles the pilgrimage of medieval Christendom in that it
allows the participants to indulge themselves in all the pleasures and diversions of
travel while appearing to be austerely bent on self-improvement. To be sure, there are
certain penitential exercises to be performed — the presentation of a paper, perhaps,
and certainly listening to the papers of others. But with this excuse you journey to
new and interesting places, meet new and interesting people, and form new and
interesting relationships with them; exchange gossip and confidences (for your wellworn stories are fresh to them, and vice-versa); eat, drink and make merry in their
company every evening; and yet, at the end of it all, return home with an enhanced
reputation for seriousness of mind. Today's conferees have an additional advantage
over the pilgrims of old in that their expenses are usually paid, or at least subsidised,
by the institution to which they belong, be it a government department, a commercial
firm, or, most commonly perhaps, a university.
There are conferences on almost everything these days, including the works of
Geoffrey Chaucer...
David Lodge, Small World, 1984
4 Pourquoi travailler ?
—
Pourquoi sont-ils si méprisants ? demanda Chloé. Ce n'est pas tellement bien de
travailler...
—
On leur a dit que c'était bien, dit Colin. En général, on trouve ça bien. En fait,
personne ne le pense. On le fait par habitude et pour ne pas y penser, justement.
— En
— Il
—
tout cas, c'est idiot de faire un travail que des machines pourraient faire.
faut construire des machines, dit Colin. Qui le fera ?
Oh ! Évidemment, dit Chloé. Pour faire un œuf, il faut une poule, mais, une fois
qu'on a la poule, on peut avoir des tas d'œufs. Il vaut donc mieux commencer par la
poule.
—
Il faudrait savoir, dit Colin, qui empêche de faire des machines. C'est le temps qui
doit manquer. Les gens perdent leur temps à vivre, alors, il ne leur en reste plus pour
travailler.
— Ce
n'est pas plutôt le contraire ? dit Chloé.
— Non,
dit Colin. S'ils avaient le temps de construire les machines, après ils n'auraient
plus besoin de rien faire. Ce que je veux dire, c'est qu'ils travaillent pour vivre au lieu
de travailler à construire des machines qui les feraient vivre sans travailler.
— C'est
—
compliqué, estima Chloé.
Non, dit Colin. C'est très simple. Ça devrait, bien entendu, venir progressivement.
Mais on perd tellement de temps à faire des choses qui s'usent...
—
Mais, tu crois qu'ils n'aimeraient pas mieux rester chez eux et embrasser leur
femme et aller à la piscine et aux divertissements ?
— Non,
dit Colin. Parce qu'ils n'y pensent pas.
— Mais,
— Non,
est-ce que c'est leur faute s'ils croient que c'est bien de travailler ?
dit Colin, ce n'est pas leur faute. C'est parce qu'on leur a dit: « Le travail, c'est
sacré, c'est bien, c'est beau, c'est ce qui compte avant tout, et seuls les travailleurs ont
droit à tout ». Seulement on s'arrange pour les faire travailler tout le temps et alors ils
ne peuvent pas en profiter.
— Mais,
alors, ils sont bêtes ? dit Chloé.
Boris Vian. L’Écume des jours, 1947
5 Unequal Britain: richest 10% are now 100 times better off than the poorest
A detailed and startling analysis of how unequal Britain has become offers a
snapshot of an increasingly divided nation where the richest 10% of the population
are more than 100 times as wealthy as the poorest 10% of society.
Gordon Brown described the paper, published today, as "sobering", saying:
"The report illustrates starkly that despite a levelling-off of inequality in the last
decade we still have much further to go."
The report, An Anatomy of Economic Inequality in the UK, scrutinises the
degree to which the country has become more unequal over the past 30 years. Much
of it will make uncomfortable reading for the Labour government, although the paper
indicates that considerable responsibility lies with the Tories, who presided over the
dramatic divisions of the 1980s and early 1990s.
Researchers analyse inequality according to a number of measures; one indicates that
by 2007-8 Britain had reached the highest level of income inequality since soon after
the second world war.
The new findings show that the household wealth of the top 10% of the
population stands at £853,000 and more – over 100 times higher than the wealth of
the poorest 10%, which is £8,800 or below (a sum including cars and other
possessions).
When the highest-paid workers, such as bankers and chief executives, are put
into the equation, the division in wealth is even more stark, with individuals in the top
1% of the population each possessing total household wealth of £2.6m or more.
Commissioned by Harriet Harman, minister for women and equality, the National
Equality Panel has been working on the 460-page document for 16 months, led by
Prof John Hills, of the London School of Economics.
The report is more ambitious in scope than any other state-of-the-nation
wealth assessment project ever undertaken.
Amelia Gentleman and Hélène Mulholland, The Guardian, January 27, 2010
6 Les Français entre 30 et 60 ans de moins en moins en couple
Selon l'Insee, seuls 47,7 % d'entre eux choisissent d'habiter sous le même toit.
La Saint-Valentin est loin d'intéresser tous les Français. Non seulement cette
fête est jugée commerciale par nombre d'entre eux mais elle concerne moins de la
moitié de la population des 15 ans et plus. En effet, seuls 47,7 % d'entre eux vivent
aujourd'hui en couple, selon la toute dernière étude de l'Insee sur l'évolution de la vie
à deux. Un chiffre stable depuis les années 1980. Chez les 30 à 60 ans, par contre, la
proportion des personnes qui partagent leur quotidien continue de diminuer. Environ
83 % des 35-60 ans vivaient en couple en 1982 contre 74 % à présent. «À ces âges,
les couples sont plus nombreux à se défaire qu'à se reformer. C'est la prolongation
d'une tendance déjà observée», note Xavier Niel, coauteur de l'étude avec Fabienne
Daguet. Selon le sociologue Jean-Claude Kaufmann, il s'agit là de la tendance de fond
de notre époque. «À l'échelle internationale, les derniers chiffres montrent que le
nombre de célibataires augmente, souligne-t-il. Les séquences de vie conjugale sont
plus courtes et peuvent se multiplier au fil de l'existence. Le rêve d'une vie à deux
existe toujours mais il est plus difficile à mettre en œuvre.» À l'inverse, chez les plus
jeunes, âgés de 20 à 24 ans, la proportion de couples se stabilise après des décennies
de tendance à la baisse. En 1982, plus de la moitié des femmes de cette tranche d'âge
habitaient avec un mari ou un concubin. Ce pourcentage a chuté à 31 % en 1999 et n'a
plus bougé depuis. Un plancher aurait-il été atteint ? «Il s'agit avant tout d'un
comportement lié à la fécondité, avance Xavier Niel. Elle a également baissé durant
ces années jusqu'à se stabiliser à la fin des années 1990.» «Dans les années 1970 et
80, il y avait une envie de vivre sa jeunesse à plein. Actuellement, des tentatives
d'engagement voient à nouveau le jour chez les plus jeunes. C'est l'expression d'un
sentiment d'insécurité. Un retour au 'petit couple' pour se protéger d'une société très
dure», relève de son côté Jean-Claude Kaufmann. Cette stabilisation ne sonne
cependant pas la fin de la génération des «Tanguy» qui s'éternisent chez leurs parents,
ni de l'arrivée désormais tardive sur le marché du travail.
Le Figaro, 12/02/2010
7 The Kestrel
The wood ended at a hawthorn hedge lining one side of a cart track. Across
the track and beyond an orchard stood the Monastery Farm, and at the side of it, the
ruins and one remaining wall of the monastery. Billy walked along the hedge bottom,
searching for a way through. He found a hole, and as he crawled through a kestrel
flew out of the monastery wall and veered away across the fields behind the farm.
Billy knelt and watched it. In two blinks it was a speck in the distance; then it
wheeled and began to return. Billy hadn’t moved a muscle before it was slipping back
across the face of the wall towards the car track.
Half way across the orchard it started to glide upwards in a shallow curve and
alighted neatly on a telegraph pole at the side of the cart track. It looked round, roused
its feathers, then crossed its wings over its back and settled. Billy waited for it to turn
away, then, watching it all the time, he carefully stretched full length in the hedge
bottom. The hawk tensed and stood up straight, and stared past the monastery into the
distance. Billy looked in the same direction. The sky was clear. A pair of magpies
flew up from the orchards and crossed to the wood, their quick wing-beats seeming to
just keep them airborne. They took stance in a tree close by and started to chatter,
each sequence of chattering sounding like one turn of a football rattle. The hawk
ignored them and continued to stare into the distance. The sky was still clear. Then a
speck appeared on the horizon. It held like a star, then fell and faded. Died. To
reappear a moment later further along the skyline. Fading and re-forming, sometimes
no more than a point in the texture of the sky. Billy squeezed his eyes and rubbed
them. On the telegraph pole the hawk was sleek and still. The dot magnified slowly
into its mate, circling and scanning the fields round the farm.
Barry Hines, Kes, 1968
8 Et puis, un matin, alors que je lisais, assis sous les arcades du cloître, j’ai entendu
quelque chose. Le gravier. Il crissait sous un pied dont j’ai reconnu le rythme,
l’avancée - la matière d’un pas qu’on n’oublie jamais. L’instant d’après, Juette se
tenait devant moi. Elle portait une cape bleue qui cachait ses épaules. Sa main blanche
tenait le lacet sous son menton. Sa capuche relevée encadrait son visage. Ses sourcils
fins étaient, comme toujours, relevés en une expression d’étonnement. Mais il y avait
quelque chose que je ne connaissais pas. Ses yeux brillaient d’une lueur très étrange,
une sorte de sourire qui ne parvenait pas jusqu’à ses lèvres. Ce sourire n’était ni
gracieux ni tendre, mais dur, un peu buté. Il proclamait un triomphe triste. Il disait:
«Je suis là», mais aussi une immense lassitude.
J’étais sûr de rêver. Juette était là, comme une divine apparition. Elle s’est
assise très naturellement. Nous étions posés côte à côte entre deux colonnes de pierre.
Derrière nous le jardin s’étendait sous le ciel gris. Au-delà, une puissance invisible
veillait. Un souffle, seulement, suffisait à changer le cours des choses. Un souffle.
Une vague de reconnaissance me submergea tout entier, si violente que les larmes
montèrent. Je fermai les yeux pour remercier brièvement, mais de toutes mes forces,
le Seigneur. J’avais gagné l’épreuve.
Juette parla la première. Elle regardait droit devant elle. Moi, je voyais son
profil, ses lèvres bouger lentement. je n’étais pas encore tout à fait certain d’être
réellement éveillé.
Elle s’exprimait avec un mélange de ferveur et de détermination. Ce mélange
s’accordait à ce sourire invisible. C’est seulement après, bien après son départ, que
j’ai soudain pensé à sa voix. Juette ne murmurait plus.
Clara Dupont-Monod, La Passion selon Juette, Grasset, 2007
9 A Plan to Make Homelessness History
This is a story about a plan to end chronic homelessness in the United States.
It’s not an indeterminate “war on homelessness,” but a methodical approach to do
away with a major social problem. Each day, roughly 700,000 people in the country
are homeless. About 120,000 are chronically homeless. They often live on the streets
for years and have mental disabilities, addiction problems and life-threatening
diseases like heart disease, cancer and diabetes. Without direct assistance, many will
remain homeless for the rest of their lives — at enormous cost to society and
themselves.
Against this backdrop, the 100,000 Homes Campaign has set the goal of
placing 100,000 chronically homeless people into permanent supportive housing by
July 2013. Whether the goal is achieved or not, the campaign is shifting the way cities
address a problem that has often been seen as more of a nuisance than a public health
emergency.
The shift in mindset that made it possible to solve this problem began in the
early 1990s when a group called Pathways to Housing pioneered an approach called
“housing first.” Historically, homeless people had to be deemed “housing ready” —
typically drug and alcohol free — before they could become eligible for permanent
housing. In reality, this screened out most of the chronically homeless. Pathways
showed that permanent housing was, in fact, the first thing people needed to stabilize
their lives. Today, it has been adopted as government policy.
But even as a solution to chronic homelessness is within sight, housing
agencies, and other groups, need to change they way they work to implement it. It’s
not just that there is a shortage of affordable housing, which is true. It’s that, even
when housing is available, public systems remain slow, complicated and confusing,
and disconnected from the streets. They don’t target the neediest people and they
don’t coordinate well with other agencies or nonprofits.
David Borstein, New York Times, Dec 20th, 2010
10 La fortune du clan Moubarak dépasserait les 40 milliards de dollars La dictature rapporte au Moyen-­‐Orient. Le quotidien britannique The Guardian affirme que le président égyptien, sa femme et leurs deux fils seraient à la tête d'une fortune estimée entre 40 et 70 milliards de dollars (soit entre 29,5 et 51,6 milliards d'euros). Une somme considérable qu'Hosni Mubarak aurait commencé à amasser bien avant d'accéder à la présidence en 1981. Les Moubarak auraient été en mesure de s'enrichir ainsi par le biais d'un certain nombre de partenariats avec des entreprises étrangères, estime Christopher Davidson, professeur de politique au Moyen-­‐Orient à l'Université de Durham en Angleterre. La loi égyptienne exige des entreprises étrangères qui souhaitent s'implanter en Egypte qu'elles créent un joint venture dont 51% des parts appartiennent à un partenaire local. Une loi allègrement détournée par la famille du Raïs en un système de corruption. Selon le journal algérien El Khabar, une bonne partie de cette fortune serait déposée dans des banques suisses et britanniques ou investie dans de l'immobilier. Le Raïs posséderait notamment des propriétés à New York, ainsi que sur la fameuse Rodeo Drive à Beverly Hills. Ce mode d'accumulation de richesses est commun aux autres leaders des pays du Golfe, assure Amaney Jamal, professeur en sciences politiques de l'université de Princeton. «C'est le modèle qu'appliquent d'autres dictateurs du Moyen-­Orient afin que leur richesse ne soit pas saisie au cours d'un changement de pouvoir», explique-­‐t-­‐il. Un véritable pillage des richesses dans un pays, 101e sur 169 sur l'indicateur du développement humain (IDH), où 20% de la population vit sous le seuil de pauvreté. Libération, 7 février 2011
11 II- EXERCICES
Découpage du texte / Problèmes syntaxiques
1. Before she left her husband ventured the prediction that she would soon be back. 2. She detested and shrank from fire-­‐arms. 3. As they all spoke at once she found it very hard indeed to make out exactly what they said. 4. He insisted that man could create as well as succumb to environment. 5. I was watching the women’s ski races on television. 6. We never saw her but there must be a number of people who have for a look at the files reveals she was in Britain in 1950. 7. Whatever the inner thoughts of officials and diplomats reports from Paris stress that the situation is serious. 8. The rain poured steadily down, turning the little patch of reclaimed ground on which his house stood back into a swamp again. [titres de journaux] 9. JET LINER FALL OFF GREECE IS TIED TO BLAST 10. U.N. VOTES COMPROMISE CYPRUS RESOLUTION 11. OIL SPILL OFF IRELAND IS UNDER CONTROL 1. The bell is out of order. Unités de traduction
2. Fault can be found with it. 3. He swung the door wide open. 4. When he joined the Ministry, he had no idea of all the red tape he was letting himself in for. 5. Il eut soudain envie de partir. 6. Elle passe ses après-­‐midi à courir les magasins. 7. Il me sut gré de l’avoir mis au courant. 8. Les pompiers se sont rendus maîtres du sinistre. 12 Faux-amis
Traduisez ces phrases et expressions dans lesquelles apparaissent des faux amis Actually (a) They actually thought of getting married. (b) At that time they thought of getting married. Affluent / Affluence That’s quite an affluent district of the town. The affluent society. Delay The train has been delayed. Facility I check out exercise facilities before I go to a hotel. Fastidious / fastidiousness I wouldn’t like to invite her: she’s too fastidious. Genial He genially suggested that we should all have sherry with him. Indulge / indulgence No wonder she’s so bad tempered : they’ve always indulged her! Intoxicated (a) He could not come, he was intoxicated. (b) He could not come, he had been poisoned. Journey The Longest Journey (a novel by E.M. Forster) Lecture Lectures are held two evenings a week, and there are coach outings on Saturdays. Malice / Malicious He would never have done it maliciously. Patron / patronize Have you read the notice to patrons ? A patron of the arts Phrase There were many difficult phrases in the text. 13 Physician Many hospital emergency departments were staffed by physicians and nurses with no special training. Resume (a) And now, I will sum up my work for you. (b) And now, I will resume my work for you. Traduisez les mots en gras 1. (a) C’est un brave type. (b) They were brave soldiers. 2. (a) He finally got a degree. (b) Le thermometer est monté de 5 degrés. 3. (a) This fabric is beautiful. (b) Carmen travaillait à la fabrique de cigares. Identifiez les erreurs de traduction dues aux faux amis 1. Elle est tellement candide qu’elle lui a dit ses quatre vérités. 2. Pouvez-­‐vous résumer vos fonctions? 3. Même l’éditeur n’a pas remarqué cette faute. 4. Elle suit un régime pour sa figure. Les mots composés
Traduisez les expressions suivantes en utilisant l'une des trois structures suivantes : A's B, A-­‐B, the B of A. 1. un voyage de dix jours 2. la facture d'électricité 3. la lettre du directeur 4. une boule de neige 5. une montre de dame 6. l'intérieur de la boîte 7. une maison de poupée 8. un morceau de pain 9. un livre de 320 pages 14 10. un bol de riz Expliquez les différences de sens entre les expressions qui suivent et commentez leur formation 1. a plate of soup / a soup plate 2. approval of the Prince / the prince's approval 3. cat food / the cat's food 4. The Picture of Dorian Gray / Dorian Gray's picture 5. card playing / a playing card 6. a matchbox / a box of matches 7. Filch te butler's son / Filch, the butler's son 8. Sunday's paper / the Sunday paper Anglais -­‐> Français Determinants et articles
1. Leamas had (…) the physique of a swimmer. (J. Le Carré) 2. He is a dentist. He is a bad loser. He is an aesthete. 3. He surrendered with a heavy heart. 4. Professor Delaunay was late, as usual. Français -­‐> Anglais 1. Il s’est cassé le bras. 2. La baisse du dollar devrait permettre la reduction du déficit de la balance commerciale. 3. Il existe un grand choix de cours: pour les jeunes, pour les adultes, pour les hommes et les femmes d’affaires. 4. Il va à l’école dans une région reculée du Yorkshire. 5. J'adore le tennis mais mon frère préfère la musique. 6. Quel peintre! Quel talent! -­‐ Oui, mais quels prix aussi! 7. Selon les étrangers, le Français aime bien le vin rouge et le fromage. 15 La comparaison
As/Like 1. There is too much traffic in London ______ in New York. 2. We're late for the train. We'll have to run ______ the wind. 3. I'm your friend and, ______ a friend, I advise you to think again. 4. I don't know you as well as he does but, ______ your friend, I advise you to think again. 5. You don't like confrontations, ______ me. 6. I want to join the air force ______ a pilot. 7. We need a strong leader ______ Winston Churchill. 8. He has gone to our competitors ______ marketing manager. Comparatifs et superlatifs 1. Plus je pense à toi, moins j’arrive à travailler. 2. Ils semblent de plus en plus heureux de leur situation. 3. Les clients étaient d’autant plus en colère que les prix avaient doublé. 4. The thorniest problem for next week’s conférence is to settle the relationships between them and the rest of the country. 5. C’est la première fois que je viens ici, et je ne le regrette pas : c’est l’un des plus beaux pays du monde. 6. The glint in Dora May’s cold blue eyes was a signpost the least discerning could follow. 7. Les gens les moins riches ne sont pas forcément les moins heureux. Le présent
1. Maintenant je la connais très bien. 2. Béatrice attend toujours sa mutation. 3. Je vais en Espagne la semaine prochaine. 4. On observe depuis quelques mois une légère reprise de l'inflation. 5. Cela fait presque une heure que je suis là. 6. Je l'appelle tout de suite. 7. Il passe des heures devant la télévision. 16 8. C'est sans doute le docteur {qui arrive}. 9. En 1983, il devient ministre de l'énergie. Quatre ans plus tard, il change de portefeuille. 10. Il y a un aspect de ce voyage qu'ils n'oublièrent jamais. Les temps du passé
Prétérit ou present perfect? Mettez les verbes au temps qui convient, puis traduisez 1. I (not listen) to this record since last year. 2. The postman (not come) yesterday. Perhaps he (not have) anything for us. 3. She (put) the roast into the oven. We'll eat soon. 4. We (not see) them since they (buy) their new house two years ago. 5. I (try) to explain myself but she (refuse) to listen. 6. I often (wonder) why they (think) they (must) buy a bigger car. Traduisez (prétérit, present perfect, past perfect) 1. Les prix n'ont pas beaucoup augmenté récemment. 2. Il a rempli le réservoir et vérifié l'huile. 3. Les journaux n'ont pas paru cette semaine. 4. Combien de temps le concert a-­‐t-­‐il duré? 5. Ils s'aiment depuis le jour où ils se sont rencontrés. 6. Il vient d'appeler. Son avion a atterri il y a vingt minutes. 7. C'est la première fois qu'elle va à l'opéra. 8. As-­‐tu déjà mangé du homard? Oui, j'en ai mangé au Canada l'été dernier. 9. Mon grand-­‐père avait été piqué par une guêpe. 10. Le soleil s'était levé au-­‐dessus de l'horizon, et les oiseaux s'étaient mis à chanter. 11. J'étais allé le vois à l'hôpital plusieurs fois. 12. Des combats avaient éclaté à la frontière. Le conditionnel
1. A ta place, je ne me mêlerais pas de cela. 17 2. Je savais bien qu'il téléphonerait le jour même où il arriverait. 3. L'explosion se serait produite vers 5 heures du matin. 4. Elle se comportait comme une enfant à qui on n'aurait jamais appris les bonnes manières. 5. Ce n'est pas lui qui m'inviterait au théâtre! 6. J'adore la glace à la fraise: j'en mangerais des litres. Les modaux
Anglais -­‐> Français 1. John could drive: I'd join you by train later. 2. John could drive when he was thirteen. 3. He was told she might leave the country whenever she wished. 4. He was told she might be leaving the country at that very moment. 5. I should have attended to that long ago. 6. I should be happy to show you the city. 7. He knew at once that he must obey her. 8. She must be mad to say that! Français -­‐> Anglais 1. J'ai faim. Je peux avoir quelque chose à manger? 2. Vous devez obéir à la loi. 3. Tu peux m'emprunter mon journal si tu veux. 4. Désirez-­‐vous que je vous aide? 5. Tu n'aurais pas dû boire autant. 6. Ils devraient être au lit, pas en train de regarder la télévision. 7. Pourrais-­‐je vous donner un conseil? 8. Est-­‐ce que je pourrais me servir de votre téléphone? 9. Il fallait me le dire! 10. Il ne faut pas y toucher. 18 Anglais -­‐> Français Passif, impersonnel
1. Skirts are worn very long this summer. 2. He was killed in a car accident. 3. They are supposed to be still in India. 4. I was recently sent a package, the content of which amused me greatly. 5. Medical students had been known to rush out of his lectures. (C. Wilson) Français -­‐> Anglais 1. On nous avait dit qu'on pouvait réserver quinze jours à l'avance. 2. On a perdu la trace des deux malfaiteurs. On se demande où ils ont bien pu passer. 3. On lui a souvent entendu dire le contraire. 4. On aurait découvert le secret des pyramides égyptiennes. 5. On n'a rien sans rien. Le chassé-croisé
1. He backed into the garage 2. The actor staggered off the stage 3. He tiptoed into the lab 4. He stormed out of the room 5. The postman cycled up the path 6. She limped to the bed and sat down Le chassé-­‐croisé elliptique 1. The bird flew across the room 2. He walked slowly into the hot house 3. The sparrow had hopped into the room 4. We bicycled down the hill 5. She walked through the shed to the conservatory Contre-­‐exemples 19 1. She jumped out of the bed 2. He fell into the trap 3. He had to elbow his way through the crowd 4. They walked and walked, along tiled and bleakly lit corridors Structures résultatives
Anglais -­‐> Français 1. I read myself asleep last night. 2. The book fell shut. 3. You’ll have to hammer it in. 4. The prisoner dug his way out and escaped. 5. The prisoner managed to rub the ropes loose and work himself free. 6. I need a new skirt. I’ve worn this one to rags. 7. He drank himself blind and is now sleeping himself sober. 8. She danced her way into the hearts of the spectators. Français -­‐> Anglais 1. Monsieur Profitendieu gagna, en chancelant, un fauteuil. 2. Je traversai le petit jardin sur la pointe des pieds, puis montai les marches du perron. 3. Une nuit il se jeta sur la porte et la démolit à coups de pied. 4. Elle a secoué son corps pour se libérer de cette emprise avec la même violence. 5. Christiane apporta le café, du vrai, que Claude avait obtenu, à force de flagorneries, de l’épicier. Structures causatives
1. Je n'aime pas ce film. Il me fait toujours pleurer. 2. Il faut que je fasse réparer la moto. 3. Elle n'arrivait pas à se faire entendre car la ligne était mauvaise. 4. Il m'a fait attendre de longues heures. Il m'a fait perdre mon temps. 5. Il a fait peindre ses murs en rouge. 6. Je te ferai connaître ma décision. 20 7. Ils se font envoyer des journaux anglais régulièrement. 8. Fais-­‐moi penser à fermer la porte ce soir. 9. J'ai fait venir le médecin car il avait beaucoup de température. 21