POLITIQUE la réforme est étudiée par le sénat à partir d`aujourd`hui

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POLITIQUE la réforme est étudiée par le sénat à partir d`aujourd`hui
Sarreguemines Agglomération
Mardi 15 Janvier 2013
Festival d’art
vidéo
transfrontalier
Le festival d’art vidéo loopingstar se déroulera du 12 au
24 janvier au cœur de la ville de Sarrebruck et dans le quartier
de la Gare de Sarreguemines. Un parcours artistique transfrontalier qui vous permettra de découvrir des œuvres vidéo
d’artistes du monde entier. 2011 fut l’année de la première
édition de ce festival et, bien qu’encore jeune, il est déjà une
référence parmi les amateurs du genre.
Le principe du festival loopingstar est de présenter les films
vidéo dans les vitrines des commerces et des cafés. À
Sarreguemines, qui prend part pour la première fois à ce
festival grâce à la collaboration de l’association Artzammler,
c’est dans les vitrines de plusieurs magasins situés avenue de
la Gare et rue Emile-Hubert que seront diffusées les œuvres.
Boutique de coiffeur, de photos, marchand d’épices, boulangerie, brasserie… offrent un espace dévolu à ces films vidéo,
visibles 24h sur 24 et deviennent ainsi, pendant toute la durée
du festival, et tout particulièrement lorsque l’obscurité se fait,
des lieux magiques recelant des joyaux étincelants qu’il est
absolument indispensable de découvrir.
Loopingstar débute ce samedi 12 janvier. Le finissage du
festival aura lieu le jeudi 24 janvier, à 20 h 30 à la brasseriebouquinerie Le Terminus (7, av. de la Gare). Projections et
performances viendront clore cet événement.
Pour de plus amples informations, consultez le site du
festival : www.loopingstar.eu
DISPARITION
hanweiler
Qui a vu cet homme ?
Cet homme
a pu venir
jusqu’à Sarreguemines
vu sa
proximité
avec
Hanweiler.
Photo DR
A la demande d’un établissement spécialisé, une recherche
est lancée suite à la disparition
de Ralf Schink, résidant à
Hanweiler-Rilchingen. Il n’a pas
regagné son logement depuis le
11 janvier dernier. Il mesure
1,80 m et a des cheveux blonds
courts. Il est âgé de 45 ans et de
corpulence assez forte. Il parle
avec un fort accent nord-allemand. Il a la particularité de
parler tout seul. Toute personne l’ayant aperçue est priée
de contacter le 00 49
68 059 600.
NÉCROLOGIE
Mme Marie-Antoinette Wendel
SARREGUEMINES. – Mme
Marie-Antoinette Wendel, née
Kany, est décédée à Sarreguemines le 14 janvier, après une longue maladie, à l’âge de 69 ans.
La défunte était l’épouse de M.
Herbert Wendel, et mère de
deux enfants, Serge et Sandrine.
Elle avait la joie de compter trois
petits-enfants. Mme Wendel
était domiciliée à Sarreguemines, où elle avait toujours vécu.
La messe d’enterrement sera
célébrée ce jeudi, à 14 h 30 en
l’église Saint-Denis de Neunkirch à Sarreguemines.
M. Alphonse Muller
PUTTELANGE-AUX-LACS.
– M. Alphonse Muller est
décédé le 11 janvier à Sarreguemines. Né le 29 décembre 1938
à Puttelange, le défunt était
l’époux de Mme née Jacqueline
Wings, et père de trois enfants,
Vincent, Valérie et Jean Yves. Il
avait la joie de compter cinq
petits-enfants. Mineur retraité,
ancien combattant, M. Muller
était membre de l’Amicale des
mineurs. La messe d’enterrement sera célébrée ce mardi, à
15 h en l’église de Diefenbachlès-Puttelange.
M. Italo Scassillo
SARREGUEMINES. – M.
Italo Scassillo est décédé à son
domicile, à Folpersviller, le
samedi 12 janvier, à l’âge de 81
ans. Né le 3 octobre 1931 à
Boscotrecase (Italie), il était
l’époux de Mme née Monique
Durckel et papa de trois enfants
(Nadine, Luigi, René). Le défunt
avait la joie de compter trois
petits-enfants. Il était maçon à la
retraite. La cérémonie religieuse
sera célébrée le mercredi 16 janvier, à 14 h 30 en l’église SainteBarbe de Folpersviller, à Sarreguemines.
Nos condoléances aux
familles
POLITIQUE
1
26
Demain, il n’y aura plus
que 26 cantons en
Moselle, contre 51
aujourd’hui. Mais comme
un binôme hommefemme sera imposé dans
chaque canton, il y aura
donc 52 élus. Soit un de
plus qu’aujourd’hui.
Allez comprendre…
Les six conseillers généraux de la région de Sarreguemines crient au loup. L’arrondissement ne compterait
plus que trois cantons, voire deux seulement, à partir de 2015. Le Sénat étudie la réforme dès aujourd’hui.
L
e big bang. C’est ce que va
vivre notre bon vieux conseil général, digne héritier
de la Révolution. Dès
aujourd’hui, le Sénat planche
sur réforme territoriale initiée
par le nouveau président de la
République. On y parle de scrutin municipal (il y aura désormais des listes dans les petites
communes de plus de 999 habitants, le panachage sera interdit), d’intercommunalité (la
Casc aura sans doute moins
d’élus) mais surtout de département. Le nombre de cantons
sera tout bonnement divisé par
deux.
Un seul canton
au Pays de Bitche
Un seul et unique critère sera
retenu : le nombre d’habitants.
Ils devront être 40 000 pour former une strate. Qu’importe
qu’ils soient dispersés, éloignés,
isolés, comme dans le Pays de
Bitche ou le Saulnois. L’arrondissement de Sarreguemines,
qui regroupe bon an mal an
100 000 âmes, n’aura plus que
trois, voire même deux cantons : la ville de Sarreguemines
sera mêlée aux environs, le Pays
de Bitche sera unifié, reste à
savoir ce que deviendra le canton de Sarralbe qui doit être
étendu pour être dans la norme.
« Mon vœu le plus pieux serait
qu’on ne touche pas au canton
de Sarralbe, affirme Alex Staub,
qui a décidé de ne plus se représenter en 2015. Mais ça m’étonnerait fort qu’il soit à l’écart du
séisme avec ses 15 000 habitants. La grande politique,
qu’elle soit de gauche ou de
droite, est de regrouper les communes, il ne faut pas se leurrer.
Tôt ou tard, il faudra y passer.
La priorité est plus urbaine que
rurale. La ruralité sera lésée. Il
s’agit d’un retour en arrière. »
La ruralité sacrifiée
C’est bien là que le bât blesse.
Autour de Sarreguemines, la
réforme fait l’unanimité contre
elle. « Le conseiller territorial,
voulu par Nicolas Sarkozy, a fait
hurler beaucoup de monde,
s’étonne Daniel Zintz, du canton de Rohrbach-lès-Bitche qui
regroupe grosso modo 18 000
habitants. Mais demain la ruralité sera mise à rude épreuve.
Elle sera complètement délaissée. Cela va faire couler beaucoup d’encre, car les zones
urbaines seront privilégiées.
Elles ont déjà tout, les services,
la santé, l’éducation. Le Pays de
Bitche sera perdant. »
les échos
Département
en avant
« D’un extrême
à l’autre »
Si le Pays de Bitche sera sacrifié, le sillon lorrain, densément
peuplé, aura davantage d’élus
au département. « Ce n’est pas
une bonne chose, râle Gérard
Humbert, conseiller général de
Bitche. Nous avons déjà beaucoup de travail aujourd’hui.
Demain, nous aurons un territoire encore plus vaste, allant de
Kalhausen à Walschbronn, un
peu moins d’une heure de route.
Je ne crois pas en cette réforme.
Ce n’est pas la bonne solution.
Car le département, c’est avant
Une chose est sûre : l’arrondissement n’aura plus six cantons en 2015.
tout la proximité. »
Même son de cloche à Sarreguemines. « Réunir 40 000
habitants, c’est énorme,
s’étonne Jean-Claude Cunat.
Effectivement, le canton de Volmunster n’a que 6 000 habitants. Il faudra un rééquilibrage.
Mais on passe d’un extrême à
l’autre. Les nouveaux cantons ne
sont pas clairement définis,
mais la réforme va amener à des
luttes fratricides. Les élus vont
perdre toute proximité. »
« On souffre
en silence »
Celui qui est le plus en colère,
c’est David Suck, le conseiller
général de Volmunster justement. « On parle de crise, peste
l’homme. Les territoires ruraux
sont la variable d’ajustement,
Patrick Hetzel signe une motion
Il n’y a pas que l’est mosellan qui souffrira, il
y aussi la proche Alsace. Patrick Hetzel, député
de Sarre-Union, a signé une motion remise
directement au président de la République.
« Cette réforme est inacceptable, enrage le
député, car elle porte en germe la chute de la
représentation des territoires ruraux dans le
futur conseil départemental, à travers le redé-
coupage de la carte électorale. Si le texte venait
à être adopté en l’état, il contribuerait à donner
une prime sans précédent à la représentation
des agglomérations au détriment de nos campagnes. Cela aurait à terme des conséquences
lourdes sur les orientations de nos politiques
publiques et le visage de la France risque de s’en
trouver transformé. »
Photo Thierry NICOLAS
ces populations qui souffrent en
silence. Chez nous, on ne voit
pas de bagnoles cramées, de
bureau de poste incendiés. Nous
vivons paisiblement, avec de
moins en moins de services
publics. Mais c’est nous qui
allons trinquer. La richesse de la
Moselle n’est ni à Metz ni à
Thionville, mais sur l’ensemble
du territoire. »
David Suck sait de quoi il
parle. Avec ses cinq collègues,
dans le prochain plan routes du
département de 220 millions
d’euros, il s’est battu pour
"offrir" 100 millions au seul
arrondissement de Sarreguemines. « Mais là, pour un développement harmonieux, on donne
plus de poids politique aux villes », crie l’élu d’un des plus
petits cantons. La réforme est
désormais entre les mains des
sénateurs.
Jonathan BREUER.
Homme et femme devront cohabiter
C’est une autre révolution : chaque
canton n’aura plus un, mais deux élus.
Un homme et une femme. « Avec le
conseiller territorial proposé par Nicolas
Sarkozy, qui devait siéger dans les deux
assemblées départementale et régionale,
on baissait de moitié le nombre d’élus, là
on ne réduit rien du tout », râle Gérard
Humbert, conseiller général de Bitche.
On entend pourtant dire que la France a
trop d’élus, que ça coûte trop cher…
Pourtant, la Moselle aura bien un conseiller supplémentaire. Allez comprendre.
• Première difficulté : que les hommes
laissent leur place. Nos six conseillers
généraux sont bel et bien des hommes.
3
le chiffre
la réforme est étudiée par le sénat à partir d’aujourd’hui
La refonte des cantons
fait l’unanimité contre elle
SRG
« Sur les 51 cantons d’aujourd’hui, il n’y
a que trois femmes, s’étonne Jean-Claude
Cunat, élu de Sarreguemines. Certains
vont devoir laisser leur siège. » Ce qui
augure des luttes intestines.
« C’est lamentable »
• Deuxième difficulté : que des femmes se présentent. Elles sont rares à être
élues dans l’arrondissement. Seulement
trois sont maires : Sonya CristinelliFraibœuf à Woustviller, Nathalie Staub à
Wiesviller, Marie-Agnès Philippon à
Bousseviller. « Tout cela sera très complexe, avoue Jean Karmann, élu de Sarreguemines campagne. Même les conseillers municipaux vont devoir
appliquer la parité. Quand on constitue
les équipes, on fait du porte-à-porte, on
recherche des femmes, elles ne sont pas
toujours partantes. »
Jean-Claude Cunat enchaîne : « Je ne
suis absolument pas machiste, mais c’est
déplorable, lamentable de devoir imposer des femmes de cette façon. Toutes
celles qui sont compétentes et qui ont
voulu se présenter se sont imposées naturellement, sans loi. »
« Discrimination »
• Troisième difficulté : qu’homme et
femme fassent bon ménage. Ce n’est pas
gagné d’avance, car chaque membre du
binôme imposé exercera « son mandat
indépendamment de l’autre » indique le
rapporteur de la commission des lois au
Sénat. « La femme est l’égal de l’homme,
affirme David Suck, conseiller général de
Volmunster. On fait de la discrimination
en mettant en place ces quotas. Demain,
il y aura deux personnes à décider. La
première ne pensera pas forcément la
même chose que la deuxième. Qui
l’emportera ? »
Daniel Zintz est du même avis. « C’est
bien compliqué ce binôme. Il faudra
qu’on sache qui fait quoi. Et s’il y a en
plus des suppléants… » De cette réforme,
on n’a pas fini d’en parler. Une chose est
certaine : le mille-feuille français sera
toujours aussi compliqué à faire tenir.
On ne parlera plus de
conseil général, hérité de
la Révolution française,
mais de conseil
départemental. C’est une
bonne chose. « De toute
façon les jeunes ne
comprennent pas très bien
ce qu’est le conseil
général, indique Alex
Staub, le mot ne
réprésente plus rien, à
part pour les élus et les
associations. Normal,
nous sommes les pères
Noël en distribuant
les subventions. »
Un cheval
de bataille
Pour défendre le Pays de
Bitche, Gérard Humbert,
maire de Bitche, a trouvé
son cheval de bataille. Les
communes de montagne,
forcément plus
dispersées, ne seront
peut-être pas obligées de
répondre au critère des
40 000 habitants. « Nous
faisons partie des Vosges,
indique le premier
magistrat de la cité
fortifiée, peut-être
pourra-t-on bénéficier
d’une dérogation ? »
URGENCES
Pharmacies
Sarreguemines : appeler le
commissariat au
03 87 98 42 54.
Médecins
Régime général et Carmi
Est : en l’absence du
médecin traitant, tél.
0 820 33 20 20. En cas
d’urgence, appeler le 15.
Dentiste
Appeler le 15.
JUSTICE
à forbach
Prud’hommes : nouveau président
C
Appeler le 15.
Gendarmeries
tous moyens, à une décision. »
Sarreguemines : rue SainteGeneviève, tél.
03 87 95 22 88 ou 17.
Sarralbe : 11, rue de Strasbourg, tél. 03 87 97 80 19.
Puttelange-aux-Lacs : rue
des Tuileries, tél.
03 87 09 60 09.
Sans directeur de greffe
Police
Audience solennelle de rentrée hier aux prud’hommes de Forbach. La présidente sortante Michèle Hochard a
dressé le bilan de l’année écoulée, stable au niveau du nombre d’affaires, avant de passer le relais à Marcel Klein.
omme chaque année à
pareille époque, le conseil
de Prud’hommes de Forbach a tenu son audience solennelle de rentrée. Un rendezvous organisé hier en présence
du procureur général près de la
cour d’appel de Metz, du procureur de Sarreguemines, du souspréfet, du bâtonnier et de nombreuses personnalités.
La présidente sortante
Michèle Hochard a dressé le
bilan de l’activité au cours de
l’année écoulée. 796 affaires
nouvelles ont été enregistrées
au répertoire général, soit 661
affaires au fond et 135 affaires
en référé. Elles sont réparties de
la manière suivante : 254 en section industrie, 210 en commerce, 125 en activités diverses,
71 en section encadrement et 1
en agriculture. 50 affaires se
sont soldées par une conciliation totale. « Le nombre d’affaires restant à juger en date du
31 décembre 2012 est de 527.
Fin 2011, le stock était de 587
affaires. » Mme Hochard note
que les juges départiteurs ont
été sollicités dans 111 dossiers,
« ce qui représente un chiffre en
nette progression. » Elle insiste
sur le recours au juge départiteur
« qui doit rester l’exception et
que les conseillers devront avoir,
au préalable, tenté d’aboutir par
Ambulances
Michèle Hochard n’a pas
caché ses craintes quant à la
vacance du poste de directeur
de greffe. Depuis le départ de
Mme Hartmann, affectée au tribunal d’instance de Colmar en
novembre, la place est une nouvelle fois inoccupée. « À l’heure
actuelle, aucune solution n’a été
proposée. Par ailleurs suite à
l’absence longue d’un autre greffier la charge de travail répartie
sur le personnel ne cesse d’augm e n te r , r e g r e t t e M i ch è l e
Hochard. Cette situation ne
pourra durer indéfiniment sans
répercussions notamment sur les
délais de rendu des jugements,
dans la mesure où la qualité du
service sera toujours privilégiée. » Rendant hommage à
l’implication particulière de
Jean-René Bock, « qui a pris en
charge les tâches laissées vacantes lors du départ de Mme Hartmann pour ne pas mettre la
juridiction en situation de blocage », elle espère une nomination dans les meilleurs délais.
Dans la continuité
La présidente sortante, issue
du collège salariés, passe le
Sarreguemines : 26, rue
Poincaré, tél. 17 ou
03 87 98 42 54.
Sapeurs-pompiers
Permanence : tél. 18.
SERVICES
Le Républicain
Lorrain
En présence du procureur Christophe Mira, Michèle Hochard, présidente sortante, a dressé le bilan
de l’activité de l’année écoulée avant de passer le relais à Marcel Klein, nouveau président.
Hubert Grun, du collège des salariés, est élu vice-président._ Photo Philippe RIEDINGER
relais pour cette année à Marcel
Klein (collège employeurs).
Hubert Grun (collège salariés)
est élu vice-président. Le nouveau président, qui entame sa
24 année de chef de cette juridiction, s’est préoccupé du
nombre de départages en 2012,
en augmentation. Et par conséquent de la durée de traitement
de ces dossiers, « qui s’allonge
de 6 à 10 mois et sont la plupart
du temps renvoyés à la cour
d’appel. » Marcel Klein insiste
pour que les délibérés au sein du
conseil se fassent « dans la séré-
nité de la part des conseillers de
part et d’autre. En se basant
uniquement sur le droit et dans
un esprit d’impartialité. Que
chaque conseiller, en refusant
une décision, apporte la charge
de la preuve de ses refus. » Un
autre point le chagrine : la rigidité du code du travail : « À mon
avis une machine à fabriquer les
chômeurs. »
Le procureur Christophe Mira,
a lui aussi déploré la vacance du
poste de directeur de greffe. « Il
manque malheureusement des
postes à de nombreux endroits. »
Et a salué la manière de fonctionner du conseil de Prud’hommes de Forbach, « qui occupe
une place importante tant géographiquement que par son
domaine d’activités, en rendant
une justice du travail qui concerne plusieurs milliers de personnes. »
Pour M. Mira, le relais entre
président et vice-président est
« une des forces de la juridiction.
Il apporte une continuité tout à
fait appréciable. »
J. B.
Rédaction-publicité, 9 rue
Poincaré, Sarreguemines : ouvert de 8 h 45 à
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à 12 h et de 14 h à 18 h,
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rendez-vous tous les
jours.
Portage du journal à domicile : M. Sibille, tél.
03 87 98 01 14.

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