Le chef David Martin prête son nom et son talent au géant Carrefour
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Le chef David Martin prête son nom et son talent au géant Carrefour
Sucré salé Saint Nicolas, c’est moi ! R. MILUTIN vous qui allez faire le massepain et les speculoos ! Et vous ferez du bon, car vos speculoos seront au beurre (et pas à l’huile de palme comme certains) et, pourquoi pas ?, moulés dans le moule en bois traditionnel (on les trouve un peu partout) et parce que votre massepain sera à base de poudre d’amandes de qualité ! Le “C’est moi qui l’ai fait !” est une valeur montante au niveau de ce que l’on appelle maintenant les “loisirs créatifs”, et c’est tant mieux. En effet, plus encore que quand on cuisine, la réussite d’un produit manufacturé, comme un biscuit ou un massepain, que l’on prend bien soin d’emballer pour l’offrir, c’est un petit peu magique, c’est un cadeau dont la valeur est inestimable car on offre un peu de temps, donc un peu de soi. Et surtout, faites-moi confiance, une fois maîtrisés quelques tours de main, le goût, le vrai, celui qui met de bonne humeur et qui rend heureux, sera bien au rendez-vous !Carlo de Pascale. www.mmmmh.be – www.facebook. com/mmmmh Wine in the city : du jettois et du bon ! V oici une adresse comme on se les refile sous le manteau ! Au cœur d’un bar à vin qui recèle quelque 500 flacons de toutes provenances, on peut se régaler d’une délicieuse cuisine de bistrot (potage (6 €), une entrée (de 8 à 12), un plat (de 9 à 18) ou un dessert (5), déguster une quinzaine de vins au verre ou une bouteille au choix (droit de bouchon : 8 euros) et rentrer, une caisse sous le bras, en étant sûr d’avoir sélectionné le bon cru ! Mais l’on n’est, bien sûr, pas obligé de déjeuner. On peut se contenter de petites tapas (4 euros), d’une tranchette de charcuterie ou même d’un quignon du pain artisanal maison pour accompagner son divin nectar. Le grand “Michelin” lui-même ne s’y est pas trompé et attribue un Bib gourmand à cette maison jettoise. Vu l’exiguïté des lieux, il est impératif de réserver si l’on veut avoir une chance de s’asseoir. La boutique est, quant à elle, accessible sans s’annoncer… Wine in the City, 34 place Reine Astrid, 1090 Jette. Ouvert du mardi au jeudi et le samedi de 10h30 à 18h30, le vendredi jusqu’à 21 h. Tél. 02-420.09.20, www.wineinthecity.be/ Le resto de la semaine Maru ★ ★ Le chef David Martin prête son nom et son talent au géant Carrefour C ’est un coréen mondain que le Maru. L’adresse ouverte il y a un peu plus d’un an par l’artiste Boris Beaucarne – le fils du chanteur – et sa compagne coréenne Kyoung Her ne désemplit pas. Il faut réserver pour pouvoir s’attabler le week-end dans cet espace élégant. Murs blancs et bois clair des tables et banquettes équilibrent bien les bruits des conversations, mais si vous avez la grande table ronde du fond, vous serez à l’aise pour discuter et profiter de votre plat. La cuisine coréenne, qui a aujourd’hui la cote, est connue pour ses barbecues de viandes marinées de bœuf, porc, canard ou poulet (entre 18 et 20 euros) et nombreux sont les convives du Maru qui optent pour ce plat. Mais on peut venir ici pour découvrir d’autres spécialités comme les gunmandu, raviolis coréens frits (8), le classique yukhwe, tartare de bœuf au sésame (16), le jabchae, plat de nouilles sautées aux légumes et au bœuf et parfumé à la sauce soja et au sésame (13) ou le roboratif yukhwe bibimbab (18), bol de riz surmonté de bœuf cru et d’un jaune d’œuf parfumé au sésame qui arrive si chaud dans le récipient de granit que le tartare de viande et l’œuf cuisent progressivement. Ce n’est pas de la haute gastronomie mais une découverte culinaire gourmande. Joëlle Smets. 510 ch. de Waterloo à 1050 Bruxelles. Tél. 02/346.11.11. Dos de cabillaud aux huîtres, jeunes poireaux, émulsion Photos: O. Papegnies A I La recette du Délice du Jour INGRÉDIENTS POUR 4 PERSONNES 4 x 160 g de dos cabillaud 3 blancs de poireaux 5 huîtres creuses 1 échalote 50 g de vin blanc sec 150 g de fumet de poisson 100 g de crème 200 g de purée de pomme de terre Parole donnée ! PRÉPARATION Porter à ébullition le vin blanc et le fumet de poisson avec l’échalote ciselée. Laisser cuire jusqu’à obtenir une réduction de 1 cm. Ajouter la crème, cuire 5 minutes, mixer le tout avec une huître. Rectifier l’assaisonnement. Émincer les blancs de poireaux et les cuire au beurre. Cuire le dos de cabillaud 8 minutes à la vapeur, assaisonner préalablement. Disposer la purée au centre de l’assiette entourée des blancs de poireaux. Par-dessus la purée, disposer le cabillaud avec l’huître tiède. Mixer la sauce et napper les poireaux. CONSEILS Disposer quelques grains d’avruga (œufs de harengs légèrement salés et fumés à prix raisonnable). Accompagner ce plat du vin “La petite arvine” de Thierry Constantin (2009, AOC Valais, Suisse, www.swisswine.be/). l avait fait les beaux jours de l’Epicerie, le restaurant de l’hôtel Méridien, avant d’investir la brasserie La Paix à Anderlecht qu’il a convertie en restaurant gastronomique. Le chef français David Martin a été choisi par le groupe Carrefour pour développer sa gamme de nouveaux plats préparés “bistronomiques” selon le principe du slow cooking (la cuisson à basse température). Entre autres plats, la cuisse de canard confite, les quenelles de volaille, jus à la bière belge ou le saumon beurre blanc citronné. De quoi approcher légèrement la cuisine d’un grand chef à prix doux. Cinq plats différents, à partir de 5,95 euros la portion. En vente chez Carrefour. Aoste se fait mousser L a marque de charcuterie lance “Aoste tartiné”, une gamme de mousses de jambon et de poulet à base de crème fraîche et annoncée 30 % moins grasse que les salades de viande à base de mayonnaise. “Aoste tartiné”, en grandes surfaces, 2,85 euros le pot de 200 g. Maxime Maziers Chef de cuisine au Bowery Restaurant Chaussée de Louvain 650 1030 Bruxelles Tél. 02/325.12.90 www.bowery.be PHOTOS: DR M ais non, bien entendu, mais un peu quand même… Cette année, c’est vous ! Puisque cela énerve tout le monde que les catalogues de Saint-Nicolas – faut quand même bien qu’il s’y prenne à temps, le pauvre homme – soient déjà partout dès le tout début novembre pour susciter l’envie de consommer à qui mieux mieux chez nos chers petits, au niveau des friandises pour enfants sages, cette année, soyez les plus grands et les plus forts, chers parents et grands-parents, c’est Air de familles Rubrique réalisée par Pierre De Vuyst. La Fabrique de tartes L e Tout-Paris pâtissier ne parle plus que de Catherine Kluger, l’ancienne avocate reconvertie en papesse de la tarte. Voici cinq ans, elle ouvrait sa “Fabrique de tartes” dans la capitale française. Elle livre ici 58 recettes de tartes sucrées et salées qui font les beaux jours de la maison plus quelques soupes, salades, scones et granola pour bruncher et goûter. La tarte poulet façon waterzooi et la bœuf braisé au chianti, carottes et tomates valent assurément le détour… “La Fabrique de tartes”, par Catherine Kluger, éd. Marabout, 160 p., 15,90 euros. Chocolats en fête ! S REPORTERS Le Mmmmh! de Carlo i la neige n’a pas encore montré le bout de son flocon, les fêtes de fin d’année approchent déjà à grands pas, en tout cas pour les chocolatiers qui sortent leurs collections ad hoc. Des sapins garnis et ballotins spécial Noël pour Leonidas (à partir de 8 euros/250 g), des sapins stylisés au chocolat noir d’exception pour Galler (38 euros le montage de 250 g), des palets étoilés et pailletés lait et fondant pour Corné Port Royal (48 euros/kg). pprendre à parler, même sa langue maternelle, c’est difficile, mais primordial. L’humain est un animal social : la communication et l’échange sont importants pour son développement et son bien-être tout au long de sa vie. Voilà pourquoi il faut être attentif à l’acquisition du langage chez l’enfant, car un retard de langage peut ralentir l’apprentissage de la lecture ou de l’orthographe et donc créer des difficultés scolaires. Cela peut aussi compliquer la socialisation de l’enfant qui se sent moins à l’aise ou décourager les parents de communiquer avec lui et rompre le lien si important dans lequel l’enfant se construit. L e langage se construit dans l’échange, l’interaction, la conversation. La quantité de langage adressée à l’enfant est essentielle… Voilà pourquoi on recommande dès la grossesse de faire prendre aux enfants un “bain de langage”. De nombreuses études ont montré que la quantité de langage adressée aux enfants prédisait la vitesse du développement langagier des enfants. Mais la qualité de ce langage importe aussi : parler beaucoup, très vite et avec des phrases trop longues ou complexes n’aidera pas beaucoup l’enfant. L es enfants sont sensibles à l’exemple : la manière de communiquer en famille déteindra sur sa manière à lui de s’exprimer. Dans toutes les langues du monde, les adultes simplifient inconsciemment leur langage lorsqu’ils s’adressent à un enfant. Mais simplifier, ce n’est pas “gagatiser”. Utilisez le bon mot avec la bonne prononciation : il l’intégrera à son rythme et, petit à petit, va se construire un vocabulaire qui lui permettra de désigner, d’exprimer, de demander… Bref de parler ! Sophie Schneider. Anne Pochet. À la télé: tous les jours à la sur la Une et la Deux, tous les jours à 12h12 et 17h12 sur Sur internet (www.one.be) : toutes les émissions, les spécialistes et les infos pratiques.