Des territoires… au tourisme - Institut de Recherche du Val de Saône

Transcription

B u l l e t i n d ' i n f o r m a t i o n d e l ' I n s t i t u t d e r e c h e r c h e d u Va l d e S a ô n e - M â c o n n a i s
numéro 5
mai-juin-juillet 2007
Des territoires... au tourisme
L'Institut de recherche du Val de Saône-Mâconnais a parmi ses missions celles de développer, diffuser, créer de la connaissance,
à l'interface de la recherche universitaire et des interrogations des sociétés locales, à titre individuel ou collectif - filières d'enseignement, associations, administrations, collectivités territoriales…
C'est ainsi que les colloques tenus depuis 1995 expriment cette double volonté et ont appelé à travailler sur des sujets fortement
liés à notre territoire mâconnais, compris au sens large du terme, même s'il est aussi question du territoire de manière plus proche de sa notion scientifique, comme l'explicite Annie Ruget dans ce même numéro. Le premier colloque était ainsi consacré aux
villes moyennes. Quoi de plus naturel que de l'organiser dans une ville emblématique de ce type de gabarit urbain, à un moment
où l'on redécouvrait la question des villes moyennes ? Mâcon accueillait ainsi le premier colloque universitaire qui leur soit
dédié. Toujours dans la droite ligne de thèmes liés au territoire, et toujours avec une référence au local, se sont tenus en 2001 le
colloque intitulé “La Saône, axe de civilisation”, puis en 2003 celui consacré aux “Territoires institutionnels et aux territoires
fonctionnels”. Il s'agissait alors de mettre l'accent sur les décalages entre ces découpages, administratifs le plus souvent, et les
formes organisées par les groupes sociaux dans leurs multiples activités : loisirs, santé, travail… Là encore Mâcon illustrait pleinement le thème de la réflexion par sa position excentrée dans son département, frontalière d'un autre département et d'une
autre région administrative, proche de la métropole lyonnaise mais liée à Dijon, capitale bourguignonne de sa région de rattachement. La difficulté de mise en place de structures d'aménagement comme de gestion achevait d'enrichir le débat local.
Logiquement, après avoir traité du territoire sous forme continue, venaient les formes réticulaires de l'organisation territoriale,
avec en 2005, le colloque : “Réseaux en question : utopies, pratiques et prospective”. Et Mâcon se trouvait aussi au cœur des problèmes qui sont liés aux réseaux fluviaux, routiers et ferrés de l'Europe médiane, ces réseaux de transport représentant un
aspect du thème en débat.
Et nous arrivons à cette année 2007 où un nouveau colloque se tiendra les 13 et 14 septembre. Mais je devrais écrire “6e
Rencontres” comme l'expliquait Philippe Gonod dans un article du numéro 2 de ce bulletin. La régularité attendue de nos travaux
comme leur succès national, voire international, sont à l'origine de ce titre plus ajusté à nos préoccupations : rencontres universitaires certes, mais rencontres et échanges avec la société civile, ainsi que je l'exprimais plus avant. Ces 6e Rencontres porteront
sur le tourisme, plus exactement sur “Tourismes et territoires”, thème qui participe encore du local comme de considérations générales. On sait trop la richesse touristique du Mâconnais-Val de Saône, des retombées économiques d'un secteur qui se développe
fortement et qui permet parfois de se substituer à d'autres plus en difficulté. On sait également combien ce tourisme s'enracine
dans l'histoire locale, comment il peut donner naissance à des formes de territoires convoqués pour la circonstance ou conséquents
au développement touristique lui-même. Chercheurs, mais aussi gestionnaires du tourisme, acteurs institutionnels ou non, observateurs… tous sont conviés à échanger et permettre une avancée tant scientifique qu'applicable au territoire d'ici ou d'ailleurs.
Trois conférences inaugurales seront entendues lors de la première matinée. Tout d'abord Catherine Bertho Lavenir (université
Paris III-Sorbonne nouvelle) présentera le propos d'une historienne avant que Bernard Debarbieux (université de Genève, Suisse)
ne présente celui du géographe. Enfin Antonio Massieu (chef du département Statistiques et mesure économique du tourisme de
l'Organisation Mondiale du Tourisme) exprimera le point de vue d'un acteur international du tourisme. Ensuite, cinquante deux
communications seront réparties en ateliers le jeudi après-midi et le vendredi matin. Au nombre de sept, ces ateliers déclinent la
richesse de la réflexion proposée : Espaces touristiques et territoires institutionnels, Territoires et terroirs, Pratiques touristiques
et territoires, Image, identité et territoire touristique, Territoires touristiques et patrimoines culturels, Territoires touristiques
urbains, Acteurs et territoires. La dernière demi-journée sera consacrée aux conclusions des travaux et à une table-ronde qui
réunira des acteurs du tourisme. Nous espérons qu'un large public local sera présent à ces journées, tant les thèmes et les territoires abordés sont divers et trouvent un écho dans les préoccupations d'ici. Il n'est pas question d'une réunion exclusivement
nourrie de propos de spécialistes, mais d'un débat large et pluriel, ouvert à chacun.
Nicole Commerçon
Présidente de l’Institut de recherche du Val de Saône-Mâconnais
Sommaire :
p. 2 : Territoire(s) : du singulier au...
L’IRVSM aide les étudiants
p. 3 : Le Centre de documentation de
l’Ecomusée de la Bresse...
Publications/Conférences
p. 4 : Colloques, journées d’études...
Expositions
Directrice de la publication : Nicole Commerçon
Institut de recherche du Val de Saône-Mâconnais,
Centre d'Enseignement supérieur,
18, cours Moreau 71000 Mâcon.
Courriel : [email protected] ;
tél. : 03.85.39.88.79 ; fax : 03.85.38.44.07
Site internet : www.recherche-maconnais.org
Bulletin d’information de l’Institut de recherche du Val de Saône-Mâconnais
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Des ponts sur la Saône
L’ACTUALITÉ DE L’INSTITUT
Territoire (s) : du singulier au pluriel
Territoire : “Etendue qui dépend d'un empire, d'une province, d'une ville, d'une juridiction, etc.”, Emile Littré,
Dictionnaire de la langue française, 1863-1872.
Territoire : “Espace approprié, avec sentiment ou conscience d'appartenance”, Roger Brunet, Les mots de la géographie, dictionnaire critique, Reclus-La Documentation française, 1994.
A plus d'un siècle d'intervalle, les deux définitions du
terme montrent l'évolution du sens qu'il recouvre.
Longtemps le mot a appartenu au vocabulaire politique,
juridique ou administratif pour désigner des lieux soumis à
une souveraineté.
Dans les années 1960-1980, les sciences sociales - la géographie, la sociologie, la science politique - ont mis en évidence l'attachement des groupes sociaux à des espaces
qu'ils investissent de significations fortes, au-delà de la
seule proximité.
Cette nouvelle manière de prendre en compte le(s) territoire(s) est le point de départ de nombreuses études sur leurs
constructions historiques, les phénomènes sociaux, culturels et politiques y ont participé.
Le mot s'est aujourd'hui banalisé et très largement diffusé,
notamment dans le langage des politiques publiques.
L'aménagement du territoire qui a de longue date relevé de
l'Etat est devenu l'aménagement des territoires sous l'autorité des collections territoriales.
Eminemment politique, la notion de territoire le demeure
aujourd'hui. A cette nuance près, apportée par l'éclairage
des sciences sociales, que la gestion de l'espace et son administration dépendent à la fois des autorités qui le contrôlent et de l'adhésion des populations qui y vivent.
Le constat est valable pour les territoires historiques, celui
de la nation construit au XIXe siècle, et pour ceux d'aujourd'hui en cours de recomposition.
L'institut de recherche du Val-de-Saône-Mâconnais a
contribué par ses colloques* à éclairer la signification de
ces évolutions et leurs incidences sur les sociétés contemporaines.
Annie Ruget
* L’Institut de recherche du Val de Saône-Mâconnais a notamment consacré ses deux derniers colloques à cette question :
“Territoires institutionnels, territoires fonctionnels” dont les
actes viennent d’être publiés et “Réseaux en question : utopie,
pratiques et prospective” (à paraître) ; les prochaines
Rencontres de Mâcon (13, 14 et septembre) auront pour thème
“Tourismes et territoires”.
L’IRVSM aide les étudiants
Parmi les diverses formes de soutien à la recherche que
l'Institut s'est fixé, l'accueil et l'assistance apportée à tous les
chercheurs travaillant dans le domaine des sciences humaines
et sociales, quel que soit leur horizon, a constitué une priorité
dès l'origine.
Cette aide s'adresse plus particulièrement aux jeunes chercheurs, étudiants de master et de doctorat des universités. Les
disiplines des sciences humaines imposent, dès les études de
master, de longs travaux de terrains et, éventuellement, le
recours à la consultation de centre de documentation ou de
dépôts d'archives. Aussi, l'éloignement des terrains de recherche par rapport au lieu de leurs études est-il souvent cause de
difficultés, au niveau de l'organisation notamment, qui peuvent perturber le déroulement de l'année universitaire.
Il y a quelques années, l'Institut mettait à la disposition des
étudiants du matériel informatique afin de leur assurer un
soutien logistique et d'éviter la trop grande fréquence des
aller-retours entre le terrain de recherche et leur résidence
universitaire. Aujourd'hui, la diffusion des ordinateurs personnels rend inutile une telle mesure. L'IRVSM s'efforce de
répondre à toutes les questions de ces jeunes chercheurs, souvent confrontés pour la première fois à un terrain de recherche. Il leur est ainsi possible de prendre connaissance des études réalisées sur des thèmes qui intéressent leurs travaux et
qui ont été réalisés dans d'autres universités ou écoles que
celles dont ils sont issus. Ils peuvent également être orientés
vers d'autres centres de documentation ou des personnes ressources.
En dépit de cette assistance, le travail de recherche auquel
sont astreints les étudiants de master et doctorat reste une
épreuve difficile par l'étendue et la variété des compétences
auquels elle fait appel. Celle qui consiste à gérer économiquement l'année de recherche n'est peut-être pas la moindre d'en-
tre elles. En effet, c'est bien souvent sur le coût induit par des
déplacements fréquents loin de la résidence universitaire que
peut échouer cette année d'étude. Cet aspect est souvent décisif lorsque l'étudiant est amené à choisir un terrain de recherche. Il est alors plus tentant de choisir un objet de recherche
qui limitera les déplacements. Pour que cet argument ne soit
pas un frein au développement des recherches sur notre
région, l'Institut vient en aide aux étudiants en leur apportant
un soutien financier. Celui-ci ne peut couvrir tous les frais de
la recherche ; ce n'en est pas le but. Mais il constitue un vrai
encouragement pour tous les étudiants qui veulent travailler
sur notre région. Ce soutien, s'il est modeste, permet néanmoins à l'étudiant de s'acquitter des frais inhérents à son travail, tels que les frais de déplacement ou de reprographie. Son
versement reste conditionné, bien sûr, à la remise du mémoire
ou de la thèse au terme de la recherche.
L'Institut souhaite également, au travers de sa revue Travaux,
donner la possibilité aux jeunes chercheurs de publier une synthèse de leur étude ou une partie de leurs résultats.
Philippe Gonod
La mémoire
de l’occupation en France
Le dernier travail de recherche auquel l’IRVSM vient d’apporter son soutien peut être consulté dans nos locaux :
S. Joly, La mémoire de l’occupation en France : 19442006, mémoire professionnel de master 1 d’histoire contemporaine sous la direction d’Olivier Faure, université Jean MoulinLyon 3, 2007, 87 p.
numéro 5
Page 3
Le Centre de documentation
de l’Ecomusée de la Bresse bourguignonne
L'Ecomusée de la Bresse bourguignonne, installé dans le
magnifique château départemental de Pierre-de-Bresse depuis
1981, a pour mission principale la protection et la mise en
valeur des patrimoines culturel et naturel du territoire. Outre
les expositions, permanentes ou temporaires, le public a également la possibilité de découvrir le Centre de documentation,
riche de plus 3 000 ouvrages et d'une quarantaine de revues
couvrant de nombreux domaines. Si ce fonds couvre essentiellement la Bresse bourguignonne, une partie des ouvrages
concerne également sa voisine de l'Ain ainsi que la Bourgogne.
L'histoire est une des thématiques les mieux représentées tout
comme l'agriculture, l'agroalimentaire car de nombreuses
expositions ont été réalisées sur ce thème ; mais le centre de
documentation de l'Ecomusée possède aussi un fonds non
négligeable sur les arts et traditions populaires, l'ethnologie,
l'architecture, le tourisme, le milieu naturel, l'archéologie...
Depuis quelques années maintenant, le fonds concernant l'architecture a été beaucoup développé. Le centre reçoit en effet
de nombreuses demandes concernant la restauration de maisons bressanes ; les propriétaires veillent de plus en plus à restaurer leur maison de façon réfléchie, en veillant à ne pas la
dénaturer, signe sans doute d'une certaine implication dans la
préservation de ce précieux patrimoine bressan. D'autres particuliers prennent contact dans la perspective d'une construction afin d'obtenir des renseignements sur les matériaux et
techniques à utiliser et surtout ceux à ne pas utiliser, afin de
rester le plus proche possible des constructions passées.
Mais le centre de documentation de l'Ecomusée réunit également de nombreuses revues dont certaines d'entre elles sont
parfois difficilement consultables hors des bibliothèques universitaires. Ce sont des revues d'économie, d'histoire, d'architecture, d'agriculture, d'ethnologie, de muséographie, de tourisme ou encore portant sur l'environnement... Parmi lesquelles :
Dimensions économiques de la Bourgogne, Ethnologie française, Etudes rurales, Ruralia, Terrain, Patrimoine naturel de la
Bourgogne, la Revue de l'Oreb, Bourgogne Magazine, Maisons
Paysannes de Fance, Le Messager du Tourisme Bourguignon, La
revue de l'Ocim... Diverses revues émanant des conseils généraux et régionaux sont également disponibles.
Parmi les revues locales : Les Amis des Arts de la Bresse louhannaise, Les Amis de Sagy, Brixia, Le Romenayou, Ventres
jaunes et Cavets, Les Amis du Vieux Cuisery, la revue du GEHV
de Verdun-sur-le-Doubs, la Société des Amis des Arts de
Tournus, la revue de la Fédération Folklorique de Grande
Bourgogne...
Le centre de documentation est ouvert du lundi au vendredi de
14h à 18h (il est préférable de prendre rendez-vous).
Philippe Gonod
Ecomusée de la Bresse bourguignonne, château de Pierre
71270 Pierre-de-Bresse
Renseignements : 03 85 76 27 16 ou www.ecomusee-de-la-bresse.com
Publications
Conférences
Bérard L., “Complexité patrimoniale et territoire : le
panier de biens en Bresse”, Economies et sociétés, n° 28,
5/2006, p. 633-647.
Conservatoire Rhône-Alpes des espaces naturels, Les brotteaux de la rivière d’Ain, Vourles, Conservatoire RhôneAlpes des espaces naturels, 2006, 48 p.
Ecomusée de la Bresse bourguignonne, Le château de Pierre
ou le destin d’une demeure seigneuriale, Pierre-de-Bresse,
Ecomusée de la Bresse bourguignonne, 2006, 72 p.
Gandrey L., Quelques bateaux singuliers construits aux
chantiers Schneider de Chalon-sur-Saône, Le Creusot,
Académie François Bourdon, 2006, 44 p.
Laroche B., Référentiel pédologique de Bourgogne au
1/250000e : régions naturelles, pédopaysages et sols de la
Saône-et-Loire, Paris, Institut national de la recherche agronomique, 2005, 167 p.
Michelin G., Histoire de Crissey, Chalon-sur-Saône, Société
d’histoire et d’archéologie de Chalon-sur-Saône, 2006, 222 p.
“Le mouvement ouvrier creusotin au XXe siècle. Militer
à l’ombre de l’usine”, Cahiers d’ADIAMOS, n° 4, 2007, 145 p.
Académie de Mâcon, 41, rue Sigorgne 71000 Mâcon (renseignements au 03 85 38 81 18). Les conférences ont lieu à 14h30.
L’entrée est libre.
7 juin, “Débat-lecture autour de Claude Monnet : voyage au
pays des Impressionnistes”, Gérard Poteau ; “En écoutant à
la fenêtre : une page oubliée de l’histoire au Moyen Age”,
Claus-Peter Haverkamp.
5 juillet, “Considérations sur l’islam” Paul-Ali Bontemps ;
“L’abbé Claude Courtépée, un humaniste éclairé sur les
routes de Bourgogne du sud à la fin du 18e siècle”, JeanPierre Valabrègue.
Deux thèses :
Cottet-Dumoulin L., Le renouveau des rapports ville/fleuve, projet postmoderne ou nouveau fonctionnalisme : le
cas du Rhône et de la Saône dans l’agglomération lyonnaise, thèse de géographie, université de Saint-Etienne, 2004,
462 p.
Visseyrias A., Les formes de la tradition : techniques et
savoir-faire céramiques à la fin de l’âge du bronze, entre
Rhin et Rhône, université de Franche-Comté, 2006, 2 vol.,
454 p.
Bibliothèque de la Part-Dieu, 30, bd Vivier-Merle 69003 Lyon.
5 juin à 18h30, “La mondialisation du droit”, Mireille DemasMarty.
7 juin à 18h30, “Immigration, antisémitisme et racisme en
France”, Gérard Noiriel.
Renseignements : 03 85 67 78 22.
Université Lumière-Lyon 2, amphithéâtre Laprade, 18, quai
Claude Bernard 69007 Lyon.
30 mai à 17h30, “La France vue par la presse étrangère”,
Philippe Thureau-Dangin, Anthony Bellanger (Courrier international).
Renseignements : [email protected]
Bibliothèque intercommunale, place Henri Duréault 71460
Joncy.
1er juin à 20h00, “Pontus de Tyard”, Claus-Peter Haverkamp.
Institut d’études politiques, salle 312, 14, av. Berthelot 69007
Lyon.
6 juin à 14h30, “Le non vote en milieu populaire. Identifier,
mesurer, analyser”, Céline Braconnier, Jean-Yves Dormagen.
Des ponts sur la Saône
Page 4
Colloques, journées d’étude, séminaires...
Les rendez-vous présentés ci-dessous sont ouverts à tous
les publics.
Du 30 mai au 1er juin, université Lumière-Lyon 2, 17, quai
Claude Bernard 69007 Lyon.
Colloque “Peut-on se passer des représentations ?”.
Du 7 au 8 juin, université Jean Moulin-Lyon 3, salle Caillemer,
15, quai Claude Bernard 69007 Lyon.
Colloque international “Les personnages autour du Graal du
Conte du Graal au Da Vinci Code”, organisé par le Centre de
recherche en Littérature Jean Prévost-Equipe du CEDIC.
Du 14 au 15 juin, université de Bourgogne.
Colloque international “Mondialisation et droit de la concurrence”, organisé par le CREDIMI UMR CNRS 5598.
Du 18 au 19 juin, université Lumière-Lyon 2, 18, quai Claude
Bernard 69007 Lyon.
Colloque “Elargir les horizons 2”, colloque de jeunes chercheurs
“Broadening horizons”.
Du 18 au 23 juin, université Jean Moulin-Lyon 3.
Colloque international avec Taïwan “Littérature et frontières”,
organisé par l’Institut de Langues et Cultures slaves et asiatiques.
Du 25 au 26 juin, campus Berges du Rhône, quai, Claude
Bernard 69007 Lyon.
Colloque international “Le Rhône, dynamique du système fluvial”.
Du 13 au 15 septembre, Centre d’Enseignement supérieur, 18,
cours Moreau 71000 Mâcon.
Colloque “6e Rencontres de Mâcon. Tourismes et territoires”, organisé par l’IRVSM.
Renseignements : 03 85 39 88 79
Du 21 au 22 septembre, université Lumière-Lyon 2, salle des
colloques, 17, quai Claude Bernard 69007 Lyon.
Colloque international “Les mots et les choses au XVIIIe siècle : la science, “langue bien faite” ?”.
Expositions
A Lyon, l’air est sans frontières. Jusqu’au 2 juin.
Bibliothèque du 4e, 12, rue de Cuire 69004 Lyon. Portraits et biographies de 50 écrivains. Exposition présentée dans le cadre des
Assises internationales du roman, à la Villa Gillet du 30 mai au 3
juin : cinq jours de débats et tables rondes organisés en présence
de cinquante écrivains
Par Toutatis ! La religion des Gaulois. Jusqu’au 30 juin.
Musée gallo-romain de Lyon-Fourvière, 17, rue Cléberg 69005
Lyon.
Signes et écritures. Du 5 au 30 juin. Salle Joseph Dufour
71520 Tramayes.
Vêtements du secret. Jusqu’au 1 juillet. Musée Magnin, 4,
rue des Bons Enfants 21000 Dijon.
er
L’imprimerie, miroir de son temps. Jusqu’au 29 juillet.
Musée de l’imprimerie , 13, rue de la Poulaillerie 69002 Lyon.
Le temps de la peinture. Lyon 1800-1914. Jusqu’au 30
juillet. Musée des Beaux-Arts, 20, place des Terreaux 69001 Lyon.
Ferme les yeux pour voir la préhistoire. Jusqu’au 9 septembre. Musée départemental de préhistoire de Solutré 71960
Solutré-Pouilly.
A revoir : la photographie française. Jusqu’au 30 septembre.
Musée Nicéphore Niepce 71100 Chalon-sur-Saône.
Romains d’eau douce. Jusqu’au 16 septembre. Musée galloromain de Saint-Romain-en-Gal 69560 Saint-Romain-en-Gal.
La vie de château. Dijon, son château, ses remparts.
Jusqu’au 14 octobre. Musée archéologique, 5, rue du Docteur
Maret 21000 Dijon.
Le peuple du jardin. Jusqu’au 4 novembre. Centre Eden, rue
de l’Eglise 71290 Cuisery.
La moutarde, une valeur qui monte... Historique de la moutarde en Bourgogne. Jusqu’au 18 novembre. Musée du Vin de
Bourgogne, Hôtel des Ducs, rue d’Enfer 21200 Beaune.
CATILOS, CATILUS. Des Gaulois aux Gallo-romains. Les
fouilles d’archéologie préventive des rues Tilladet/
Epinoches à Mâcon. Jusqu’au 31 décembre. Musée des
Ursulines, rue des Ursulines 71000 Mâcon.
Schoelcher, Lamartine et l’abolition de l’esclavage.
Jusqu’au 31 décembre. Musée Lamartine, 41, rue Sigorgne
71000 Mâcon.
Du coeur à l’ouvrage. Jusqu’au 31 décembre 2007. Galerie
européenne de la forêt et du bois 71520 Dompierre-les-Ormes.
Contact : nous ne sommes pas les détenteurs de l’information que nous vous présentons. L’intérêt d’un tel bulletin repose en partie sur la capacité de ses destinataires à faire circuler l’information. Si vous organisez une manifestation ou si
vous avez connaissance d’une manifestation se déroulant entre Dijon et Lyon, et au-delà si elle intéresse ce territoire,
n’hésitez pas à nous en faire part, en joignant Florence Saint-Arroman ou Philippe Gonod, par téléphone, au 03 85 39
88 79 ; par fax, au 03 85 38 44 07 ; ou par email, [email protected].
Ce bulletin est édité avec le soutien financier de la CAMVAL et l’aide matérielle de la Ville de Mâcon.

Des territoires… au tourisme - Institut de Recherche du Val de Saône

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