Programme de salle - Festival d`Aix en Provence
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Programme de salle - Festival d`Aix en Provence
Quatuor Arcanto 15 JUILLET 2016 CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD 15 JUILLET – 20H – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD CARTE BLANCHE À JEAN-GUIHEN QUEYRAS VIOLON VIOLON ALTO VIOLONCELLE Antje Weithaas Daniel Sepec Tabea Zimmermann Jean-Guihen Queyras JEAN-SÉBASTIEN BACH (1685-1750) Trois Fugues tirées de L'Art de la Fugue, BWV 1080 Première fugue – Contrapunctus 1 Deuxième fugue – Contrapunctus 2 Neuvième fugue – Contrapunctus 9 “a 4 alla duodecima” FÉLIX MENDELSSOHN BARTHOLDY (1809-1847) Quatuor en la mineur, op. 13 n° 2 (1827) Adagio – Allegro vivace Adagio non lento Intermezzo. Allegretto con moto – Allegro di molto Presto – Adagio non lento ENTRACTE ALBAN BERG (1885-1935) Suite Lyrique (1925-1926) Retransmis le 24 août à 20h sur Allegretto giovale Andante amoroso Allegro misterioso Adagio appassionato Presto delirando Largo desolato (ENVIRON 1740 - 1750) JEAN-SÉBASTIEN BACH Trois Fugues tirées de L'Art de la Fugue, BWV 1080 S’il est une œuvre musicale où l’interprète peut véritablement se sentir co-créateur, c’est précisément L’Art de la fugue de Jean-Sébastien Bach. La mort a eu raison de l’homme mais certainement pas de sa musique qui n’a cessé de fasciner d’une part et d’alimenter d’autre part les discussions les plus ésotériques que la musique ait pu connaître. Depuis sa conception à partir de la fin des années 1730, cette œuvre inachevée a fait l’objet d’incessantes spéculations, notamment au sujet de sa destination, de l’ordre des pièces et des indications de tempo – mystères que le compositeur a soigneusement emportés avec lui. Il est question de vingt-deux fugues écrites à partir du même thème en ré mineur que s’approprient délibérément clavecinistes, organistes, orchestres, quatuors à cordes et autres formations tant ces pages constituent une véritable « zone franche » musicale. À la question : « Cette version est-elle légitime ? » certains répondront à la manière de Gustav Leonhardt : « Que l’auditeur juge par luimême ! ». Longtemps perçu comme un théorème, un exercice de style, une œuvre pédagogique autour de la fugue et du contrepoint, L’Art de la fugue a été associé à une démarche intellectuelle, soumise à une approche purement cérébrale. Il est temps de dépasser la complexité de son écriture, de faire fi des hypothétiques intentions de son créateur et de lui laisser le soin de nous parler, de nous émouvoir, de nous apporter un plaisir épidermique. Lorsque Bach, aveugle et fatigué, interrompt en 1749 la composition de ces pièces qu’il est contraint de dicter à son entourage, il laisse derrière lui quinze fugues à quatre voix auxquelles les quatuors à cordes peuvent avoir recours. Le compositeur n’a jamais mentionné le mot « fugue » mais lui préfère le terme de « contrepoint » pour définir ces combinaisons musicales. Le thème principal en ré mineur n’est jamais reproduit à l’identique mais varie tantôt rythmiquement, tantôt mélodiquement tout en créant un univers sonore perpétuellement différencié. Aussi, les fugues sont-elles à la fois indissolubles comme les maillons d’une chaînes et isolables à souhait. Un travail réalisé dans les règles de l’art ! FÉLIX MENDELSSOHN BARTHOLDY Quatuor en la mineur, op. 13 n° 2 En 1827, Félix Mendelssohn, âgé de dix-huit ans, reste sous le choc en apprenant la mort de Beethoven et noie son chagrin en improvisant un lied intitulé Frage [Question] dont voici les premiers mots : « Ist es wahr ? » [Est-ce vrai ?] (op. 9 n° 1). C’est à partir de ce matériau qu’il tire son Quatuor en la mineur dont le principal motif conducteur renvoie au second mouvement de la sonate Les Adieux de Beethoven, significativement intitulé L’Absence. Plus que du récit épique des batailles napoléoniennes, il s’agit là de déplorer le départ d’un être cher sans pour autant verser dans la nostalgie. Au même titre que Frage, des questionnements sous forme de « romance sans paroles » sont perceptibles dans le Quatuor n°16 du maître défunt « Muß es sein ? Es muß sein ! » [Le faut-il ? Il le faut !]. Nombreuses sont les références à Beethoven, notamment l’allusion à son Quatuor n°15 op. 132 significativement composé dans la même tonalité de la mineur. Ce quatuor beethovénien est d’ailleurs le premier du genre à exploiter cette tonalité à laquelle ni Haydn, ni Mozart n’ont fait recours. S’ouvrant sur un Adagio lent et réflexif, le premier mouvement du Quatuor en la mineur (op. 13) de Mendelssohn laisse entendre, dès l’Allegro, un premier thème passionné au rythme pointé passant des cordes graves au premier violon puis, un second motif plus discret et délicat auquel succède un thème agité que le violoncelle joue con fuoco [avec feu] dans l’aigu. Le second mouvement commence sur un élégant cantabile avant de laisser place à un passage plaintif en style fugué dont le dénouement s’avère serein. Empreint d’humour et de délicatesse, l’Intermezzo dévoile une chanson au caractère populaire accompagnée en pizzicati puis un brillant Trio exécuté sur la pointe des pieds. Le dernier mouvement commence avec un récitatif dramatique qui n’est pas sans rappeler le Finale de la Neuvième Symphonie de Beethoven. C’est le passage le plus lyrique de l’ouvrage qui s’appuie sur un poème d’amour dans lequel l’amant demande, non sans inquiétude, si l’être aimé sera bien au rendez-vous. À en juger par l’émouvante coda qu’entonne le premier violon ainsi que par le retour paisible à l’Adagio qui a servi d’ouverture au quatuor, la réponse ne peut être que positive ! ALBAN BERG Suite Lyrique La dévorante passion qu’Alban Berg nourrit à l’égard d’Hanna Fuchs – petite sœur du poète Franz Werfel mariée à un riche industriel – garde encore aujourd’hui un caractère confidentiel que seule une œuvre saurait trahir... Achevée en 1826, La Suite lyrique a pour principale source d’inspiration cet amour secret et adultère que de nombreuses citations musicales et littéraires viennent enrichir. On retrouve notamment au cœur de l’Adagio Appassionato, un clin d’œil à la Symphonie lyrique de Zemlinsky sur les mots : « Tu es ma propriété, ma propriété » puis, en marge de la partition du dernier mouvement, un poème de Baudelaire intitulé De Profundis clamavi : « J’implore ta pitié, Toi, l’unique que j’aime, du fond du gouffre obscur où mon cœur est tombé ». De la même manière que Jean-Sébastien Bach utilise les lettres de son nom en contre-sujet (BACH) dans L’Art de la fugue et que Robert Schumann associe ses initiales à celle d’une fiancée passagère dans Carnaval (ASCH), Alban Berg – héritier de cette numérologie typiquement germanique – unit dans l’Allegro Misterioso ses initiales et celles d’Hanna Fuchs (BAFH : si bémol, la, fa, si). En outre, la citation du prélude de Tristan pour conclure le finale larmoyant de la Suite lyrique n’est qu’une manière de raccrocher son récit autobiographique aux grandes histoires d’amour de la littérature. Les six mouvements de la Suite tantôt vifs, tantôt lents, connaissent une progressive accélération pour les uns et un ritardando graduel pour les autres. L’intitulé des divers mouvements – allant de la jovialité à la désolation – dépeint merveilleusement le cheminement irréversiblement tragique de l’ouvrage de même que le caractère impossible de l’amour qu’il évoque. Bien que Berg emploie abondamment la technique dodécaphonique, ce qui limite sa marge de manœuvre à une série de douze sons et à ses possibles renversements, la Suite lyrique n’est dépourvue ni de spontanéité, ni d’expressivité. L’évocation de l’amour naissant avec sa part de joie, de mystère et d’innocence occupe les trois premiers mouvements et se transforme en passion infinie dans le quatrième mouvement, en délire éclatant dans le cinquième mouvement, avant de verser dans le plus grand désespoir par le biais d’un « immobilisme dramatique » dont Berg seul a le secret. AURÉLIE BARBUSCIA Quatuor Arcanto Antje Weithaas Après plusieurs années de collaboration dans des configurations diverses, Antje Weithaas (violon), Daniel Sepec (violon), Tabea Zimmermann (alto) et Jean-Guihen Queyras (violoncelle) forment en 2002 le Quatuor Arcanto. Les débuts de la jeune formation à Stuttgart en 2004 la propulsent sur la scène internationale ; de l’Amérique du Nord au Japon en passant par l’Europe et le Proche-Orient, elle enchaîne les concerts et les tournées dans les plus grandes salles et festivals, comme le Carnegie Hall de New York, le Palau de la Música de Barcelone, le Théâtre du Châtelet et la Cité de la Musique de Paris, la Philharmonie de Berlin, le Konzerthaus de Vienne, le Festival de musique de Rheingau mais aussi les festivals d’Helsinki, d’Édimbourg et de Montreux. La production discographique du quatuor comprend cinq enregistrements réalisés chez Harmonia Mundi, dont un enregistrement du Quintette à cordes D.956 de Schubert avec le violoncelliste Olivier Marron ainsi qu’un enregistrement du Quatuor à cordes K.421 et du Quintette avec clarinette K.581 de Mozart avec Jörg Widmann. Parmi les grands événements de la saison 2015-2016 du Quatuor Arcanto, citons ses concerts à la Philharmonie de Cologne, au Mozarteum de Salzbourg, aux festivals d’Édimbourg, Schwetzingen, Lugano et Aix-en-Provence, ainsi que sa tournée en Amérique du Nord, comprenant un passage au Carnegie Hall, à Montréal, à Chicago et à Vancouver. Les musiciens ont également l’occasion de collaborer avec le jeune violoncelliste Maximilian Hornung et le clarinettiste Jörg Widmann. Cet été, les membres du Quatuor Arcanto interviennent dans le cadre de la résidence de musique de chambre de l'Académie du Festival d'Aix-enProvence. Ancienne disciple de Werner Scholz à la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin, la violoniste Antje Weithaas multiplie les collaborations avec les principaux orchestres allemands, dont l’Orchestre symphonique allemand de Berlin, l’Orchestre symphonique de Bamberg et les grands orchestres de radio. En tant que soliste, elle est également invitée à jouer avec de nombreux orchestres internationaux, parmi lesquels figurent l’Orchestre symphonique de Los Angeles, l’Orchestre symphonique de San Francisco, le Philharmonia Orchestra de Londres, l’Orchestre symphonique de la BBC et les meilleurs orchestres hollandais, scandinaves et asiatiques. Sa carrière l’amène ainsi à se produire sous la direction de chefs tels que Vladimir Ashkenazy, Sir Neville Marriner, Sakari Oramo, Thomas Dausgaard, Andrey Boreyko et Christian Zacharias. Antje Weithaas est directrice artistique de la Camerata Bern depuis la saison 2009 - 2010 et professeur de violon à la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin depuis 2004. Daniel Sepec Né en 1965 à Francfort-sur-le-Main, Daniel Sepec réalise ses études de violon auprès de Dieter Vorholz à Francfort et de Gerhard Schulz à Vienne. Il est depuis 1993 le premier violon de la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême, où il se produit aussi régulièrement comme soliste sous la direction de chefs tels que Daniel Harding, Thomas Hengelbrock, Frans Brüggen ou encore Trevor Pinnock. Sa fascination pour le violon baroque le conduit à travailler avec plusieurs ensembles et orchestres sur instruments d’époque, dont le Balthasar-Neumann-Ensemble (dir. Thomas Hengelbrock), où il tient le rôle de premier violon. Il collabore également avec l’Academy of Ancient Music (dir. Christopher Hogwood), la Wiener Akademie (dir. Martin Haselböck) et l’Orchestre des Champs-Élysées (dir. Philippe Herreweghe). Il enregistre aux côtés d’Andreas Staier deux disques de Sonates pour violon et piano, l’un de Schumann et l’autre de Beethoven. Pour ce dernier, il utilise le violon restauré du compositeur, prêté pour l’occasion par la Maison Beethoven de Bonn. Sous le label Coviello Classics, il enregistre les Sonates du Rosaire de Heinrich Ignaz Franz Biber (2010) avec Hille Perl (viole de gambe), Lee Santana (luth) et Michael Behringer (orgue), de même que Les Quatre Saisons de Vivaldi avec la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême (2011). Endehors de ses activités de concertiste, Daniel Sepec enseigne le violon, alternativement à la Hochschule für Musik de Bâle (2010-2014) et, depuis 2014, à la Musikhochschule de Lübeck. Tabea Zimmermann Formée auprès d’Ulrich Koch à la Musikhochschule de Fribourg et de Sándor Végh au Mozarteum de Salzbourg, Tabea Zimmermann remporte entre 1982 et 1984 plusieurs concours à Genève, Budapest et Paris. Si sa carrière de soliste l’amène à se produire aux côtés de nombreux orchestres réputés comme l’Orchestre philharmonique de Berlin, l’Orchestre symphonique de Londres, l’Orchestre philharmonique d’Israël et l’Orchestre de Paris, elle s’investit également dans le domaine de la musique de chambre, collaborant avec des artistes tels que le pianiste Leif Ove Andsnes, le violoniste Christian Tetzlaff et le clarinettiste Jörg Widmann. Ambassadrice du répertoire contemporain, elle crée la Sonate pour alto solo de Ligeti, qui lui est dédiée, ainsi que les concertos pour alto de Sally Beamish, Wolfgang Rihm et Heinz Holliger. Elle enregistre tous les classiques du répertoire pour alto. Après avoir enseigné à Sarrebruck et Francfortsur-le-Main, elle est aujourd’hui professeur à la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin, fonction qu’elle occupe depuis 2002. JJean-Guihen Queyras Que ce soit comme soliste, en formation de chambre ou en solo, le violoncelliste JeanGuihen Queyras multiplie les projets et les collaborations à l’international. Sa carrière l’amène à fréquenter les plus grands orchestres américains et européens, de l’Orchestre de Philadelphie à l’Orchestre de Paris, en passant par l’Orchestre symphonique de la Radio bavaroise, le Philharmonia Orchestra de Londres, l’Orchestre symphonique de la NHK, l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l’Orchestre du Festival de Budapest et l’Orchestre de la Suisse Romande. Il joue ainsi sous la direction de chefs tels que Philippe Herreweghe, Iván Fischer, Yannick Nézet-Séguin, Jiří Bělohlávek, Olivier Knussen et Sir Roger Norrington. Il est par ailleurs régulièrement engagé comme soliste par divers ensembles de musique ancienne, comme le Freiburger Barockorchester et l’Akademie für Alte Musik Berlin, et a été invité à tenir une résidence artistique chez l’Ensemble Resonanz. Le Muziekcentrum Vredenburg d’Utrecht, le Concertgebouw d’Amsterdam et le Bijloke de Gand lui ont quant à eux offert plusieurs cartes blanches, de même que le Festival d’Aix-en-Provence, qui le voit en 2014 partager la scène avec Alexandre Tharaud et le Freiburger Barockorchester notamment. Défenseur du répertoire contemporain, il porte sur scène les œuvres de Bruno Mantovani, Jörg Widmann, Peter Eötvös, Henri Dutilleux, Pierre Boulez, Michael Jarrell et Johannes- Maria Staud. En février 2016, il crée Ouroboros, concerto pour violoncelle et orchestre à cordes de Thomas Larcher, aux côtés de l’Amsterdam Sinfonietta. Il a également été soliste de l’Ensemble Intercontemporain pendant dix ans. Sa discographie comprend maints enregistrements parus chez Harmonia Mundi, dont plusieurs disques gravés conjointement avec ses principaux partenaires de musique de chambre, la violoniste Isabelle Faust et le pianiste Alexander Melnikov. Jean-Guihen Queyras est professeur à la Musikhochschule de Fribourg et donne des master classes dans le cadre de la résidence de musique de chambre de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence. Il intervient dans la session interculturelle de l’Orchestre des jeunes de la Méditerranée et collabore également avec les percussionnistes Kevyan et Bijan Chemirani, spécialistes du zarb. Jean-Guihen Queyras joue sur un violoncelle de Gioffredo Cappa de 1696, prêt de l’association Mécénat Musical Société Générale, depuis novembre 2005. CARTE BLANCHE À JEAN-GUIHEN QUEYRAS 11 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Jean-Guihen Queyras – Alexander Melnikov Beethoven Retransmis en différé sur France Musique 12 JUILLET 2016 – 12H HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE Jean-Guihen Queyras MASTER CLASS PUBLIQUE Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie Accessible avec le Pass Académie 12 JUILLET 2016 – 18H COUR DU PRESBYTÈRE, PLACE DE L’ARCHEVÊCHÉ TÊTE-À-TÊTE AVEC Jean-Guihen Queyras 13 JUILLET 2016 – 12H HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE MASTER CLASS PUBLIQUE Tabea Zimmermann Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie Accessible avec le Pass Académie 14 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Quatuor Arcanto Purcell, Britten, Beethoven Retransmis en direct sur France Musique 15 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Quatuor Arcanto Bach, Mendelssohn, Berg Retransmis en différé sur France Musique 16 JUILLET 2016 – 12H HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE MASTER CLASS PUBLIQUE Daniel Sepec Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie Accessible avec le Pass Académie 18 JUILLET 2016 – 21H30 CONCERT HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE Session interculturelle – Orchestre des jeunes de la Méditerranée Raphaël Imbert (direction musicale, saxophone) / Jean-Guihen Queyras (violoncelle) / Jean-Luc Di Fraya (percussions) et avec une douzaine de jeunes musiciens improvisateurs Accessible avec le Pass Académie 19 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Jean-Guihen Queyras invite Stéphane Degout Création mondiale du Poète inachevé de Gilbert Amy. Britten, Ravel * * avec Alphonse Cemin (piano) et Olivier Girardin (flûte) Projet cofinancé par la commission européenne. Cette publication n’engage que son auteur et la Commission n’est pas responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues. 30 JUIN – 20 JUILLET 2016 CONCERTS Dissonances - Mozart Lauréat HSBC – Quatuor Van Kuijk 2 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Une Cigogne de nuit Emmanuel Baily 6 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Freiburger Barockorchester Gottfried von der Goltz Daniela Lieb / Sebastian Wienand 12 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Quatuor Arcanto 14 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD 15 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Intégrale des Motets de Bach Raphaël Pichon Ensemble Pygmalion 17 JUILLET – CATHÉDRALE SAINT-SAUVEUR Orchestre des jeunes de la Méditerranée Raphaël Imbert / Jean-Guihen Queyras 18 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Zoroastre - Rameau Raphaël Pichon / Ensemble Pygmalion 7 JUILLET – THÉÂTRE DE L'ARCHEVÊCHÉ 18 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE Les Péchés de Rossini Lauréats HSBC – K. Melnikova / S. Conner / H. Vida 19 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD 7 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME Raphaël Imbert New Quintet invite Marion Rampal 8 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Philharmonia Orchestra - Stravinski Esa-Pekka Salonen / Karole Armitage 9 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE Mélodies Tziganes Lauréats HSBC – Chloé Briot / Michalis Boliakis Jean-Guihen Queyras invite Stéphane Degout Orchestre des jeunes de la Méditerranée Cairo Jazz Station / Ziryâb et nous 19 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Quatuor Tana Lauréat HSBC – Wilhem Latchoumia / Garth Knox 20 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Orchestre des jeunes de la Méditerranée Marko Letonja 20 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE 9 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME Jean-Guihen Queyras / Alexander Melnikov 11 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD RETROUVEZ TOUTE LA PROGRAMMATION SUR WWW.FESTIVAL-AIX.COM Le Festival d’Aix-en-Provence s’est engagé depuis 2010 dans une politique de développement durable et invite ses festivaliers à participer à cette démarche. Le présent document est réalisé par un imprimeur Imprim’vert, qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées, avec des encres bio à base d’huile végétale sur du papier FSC fabriqué à partir de fibres issues de forêts gérées de manière responsable. Festival d’Aix-en-Provence / siège social Palais de l’Ancien Archevêché – 13 100 Aix-en-Provence N° de licence entrepreneur du spectacle : 1- 1085 612 / 2- 1000 275 / 3- 1000 276 photo © Marco Borggreve / design graphique - Céline Gillier FESTIVAL D’AIX-EN-PROVENCE Nuit de la création Œuvres contemporaines et créations mondiales