Programme de salle - Festival d`Aix en Provence

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Programme de salle - Festival d`Aix en Provence
Quatuor Arcanto
14 JUILLET 2016
CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
14 JUILLET – 20H – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
CARTE BLANCHE À JEAN-GUIHEN QUEYRAS
VIOLON VIOLON
ALTO VIOLONCELLE
Antje Weithaas
Daniel Sepec
Tabea Zimmermann
Jean-Guihen Queyras
HENRY PURCELL (1659-1695)
Fantaisies pour cordes (1680)
Fantaisie à 4 en do mineur (COMPOSÉE LE 19 JUIN 1680)
Fantaisie à 4 en sol majeur (COMPOSÉE LE 19 AOÛT 1680)
Fantaisie à 4 en ré mineur (COMPOSÉE LE 22 JUIN 1680)
BENJAMIN BRITTEN
Quatuor n° 3 (1975)
(1913-1976)
Duets – with Moderate Movement
Ostinato – Very fast
Solo – Very calm
Burlesque – Fast - con fuoco
Recitative and Passacaglia – La serenissima
ENTRACTE
LUDWIG VAN BEETHOVEN (1770-1827)
Quatuor n° 9 en ut majeur, op. 59 n° 3 (1807)
Retransmis en direct sur
Introduzione : Andante con moto – Allegro vivace
Andante con moto quasi allegretto
Menuetto
Allegretto molto
HENRY PURCELL
Fantaisies pour cordes
Composées entre juin et août 1680 et publiées pour la première fois en 1927, les quinze Fantaisies
pour violes de Purcell constituent à la fois l’aboutissement et les derniers sursauts d’une
tradition instrumentale en déclin à laquelle le jeune compositeur entend se mesurer. D’une part,
les Fancies anglais (Fantaisies pour ensemble de violes) règnent pendant près de deux siècles
au sein du paysage musical européen avant de céder la place au quatuor à cordes classique.
D’autre part, les instruments de la famille des violons à la sonorité brillante détrônent peu à peu
ceux de la famille des violes qui manquent de volume pour s’adapter aux grandes salles. Même si
l’hypothèse du Consort de violes est privilégiée, nul ne peut certifier la destination – pour violons
ou pour violes – de ces Fantaisies de Purcell. On a cependant indéniablement affaire à un geste
créatif anachronique, ce qui peut expliquer pourquoi le compositeur n’a pas jugé opportune la
publication de ces pièces. Étrange choix pour un musicien de vingt-et-un ans dont la carrière
vient d’être lancée ! Purcell vient en effet d’être nommé organiste à l'abbaye de Westminster,
poste qu’il occupera jusqu'à sa mort. Parmi ses quinze Fantaisies, seules cinq d’entre elles sont
composées dans le ton majeur, ce qui en dit long sur le caractère mélancolique de ces pièces. La
Fantaisie à quatre en do mineur se révèle particulièrement plaintive et larmoyante et présente
une série d’accords aussi pénétrants et aiguisés que des lames de couteaux. Il faut dire que
de rugueuses dissonances apparaissent çà et là dans les enchaînements d’accords et laissent
entendre deux sons incompatibles dont le rapprochement s’avère étonnant (fausses relations).
La Fantaisie en sol majeur est l’une des pièces les plus lumineuses et sereines du recueil.
C’est l’horizontalité des voix qui est ici privilégiée même si Purcell ne manque pas de créer des
occasions de rencontre entre ces quatre itinéraires parallèles. À l’écoute de la Fantaisie en ré
mineur, on ne peut que songer à l’influence qu’exercera Purcell sur Jean-Sébastien Bach dont
L’Art de la Fugue1 constitue le meilleur témoignage.
1. Des extraits de L'Art de la Fugue seront joués par le Quatuor Arcanto lors du concert du 15 juillet au Conservatoire Darius Milhaud.
BENJAMIN BRITTEN
Quatuor n° 3
Au soir de sa vie, Benjamin Britten achève son troisième et dernier quatuor à cordes à Venise, ville
qui n’a cessé de le fasciner et qui sera à la fois le décor et la source d’inspiration de son ultime
œuvre lyrique, Mort à Venise. C’est à Hans Keller, violoniste et critique musical autrichien installé
à Londres que le compositeur dédie ce quatuor. Chacun des cinq mouvements possède un titre
distinctif et évocateur derrière lequel se cache parfois une dédicace. Pensons notamment aux
mouvements intitulés Burlesque et Passacaglia en hommage au défunt Chostakovitch et à son
Concerto n° 1 en la mineur, op. 77 dont deux mouvements portent un titre identique. Héritée
de Bartók, la structure générale en arche à laquelle fait recours Britten semble également
une manière détournée de dédicacer cette œuvre testamentaire à son homologue hongrois.
Conformément à cette forme ABCBA, les parties se répondent de façon symétrique autour d’un
mouvement central qui sert de pilier. C’est en l’occurrence le troisième mouvement nommé Solo
qui constitue le centre névralgique de l’œuvre tandis que les mouvements vifs (2e et 4e) se font
écho. Intitulé Duets, le premier mouvement nous plonge dans un univers à la fois contemplatif et
énigmatique qui ne manquera pas de ressurgir dans le mouvement final La Serenissima. Alors
que l’on cherche à chasser ou du moins dissiper l’ambiguïté du thème initial, on se laisse peu à
peu séduire par son incertitude tonale et par l’intimité du dialogue auquel se livrent l’alto et le
second violon. La vélocité et l’agressivité caractérisent le mouvement suivant intitulé Ostinato
qui présente une série de nuances et de contrastes exhibés sans pudeur, brutalement hachés.
On retrouve la quête introspective du premier mouvement dès les premières notes du Solo où
le temps est comme suspendu. Le premier violon déroule sa ligne mélodique à la manière du
fil d’un funambule tandis que les trois autres instruments forment de discrets arpèges. On
regagne ici l’horizontalité mise à mal précédemment avant de la perdre une nouvelle fois dès
l’apparition du mouvement Burlesque fondé sur un motif mélodique ascendant de quatre notes.
Nombreuses sont les marches à gravir dans ce passage clownesque où l’humour est de rigueur.
Retour à la cité des Doges pour le mouvement final qui constitue une Serenissima manière de
dire adieu au lieu où tout commence et où tout s’arrête...
LUDWIG VAN BEETHOVEN
Quatuor n° 9 en ut majeur, op. 59 n° 3
Exécuté pour la première fois à Vienne en 1809 par le quatuor Schuppanzigh, le quatuor n° 9 de
Beethoven dépasse le cadre domestique et l’entre-soi du salon dans lequel le genre du quatuor
est resté longtemps confiné pour inscrire le concert au cœur de la sphère publique. Une simple
rencontre suffit pour amorcer ce processus, celle du jeune compositeur Beethoven, fraîchement
installé dans la capitale autrichienne, et du violoniste en vogue Ignaz Schuppanzigh, chargé de
mettre sur pied des quatuors aux frais du Comte Razoumovski. Violoniste amateur et mécène
éclairé, cet ambassadeur russe commande trois quatuors opus 59 dont le n°3 est le dernier.
Composé au même moment que la Quatrième symphonie, les deux ouvrages ont en commun une
lente introduction qui plonge l’auditeur dans la plus grande incertitude et tend à le désorienter
autant qu’à l’inviter au recueillement. S’impose alors, de manière abrupte, un premier thème au
rythme boiteux joué par le premier violon hissé au rang d’instrument soliste tandis que les trois
autres instruments se contentent de répondre à ses insistantes interrogations. Si le premier
mouvement ne laisse que peu de place à la sentimentalité, l’Andante qui lui succède y remédie
merveilleusement. Une mélancolique cantilène, tendrement jouée par le premier violon ouvre
ce mouvement lent et lui confère aussitôt une touche exotique, légèrement orientalisante. Le
public viennois de l’époque devait certainement cataloguer ce motif mélodique en mode mineur
de musique russe voire turque. Là n’est pas le seul charme de ce mouvement qui déploie une
riche variété de timbres. Citons notamment le choix d’une tessiture grave pour les quatre
instruments, ou encore la juxtaposition de pizzicati – tantôt tragiques, tantôt délicats – joués
au violoncelle et de legatos interprétés par les autres instruments. Le troisième mouvement n’a
rien de subversif mais joue simplement sur le contraste entre la fluidité et le legato du menuet
(indiqué grazioso) et l’aspect sautillant et staccato du trio. Une vélocité frénétique s’empare
du mouvement conclusif que seule l’impétuosité gouverne. Un flot de croches déferle sans
discontinuer jusqu’au crescendo final dont Rossini sera bientôt l’heureux héritier.
AURÉLIE BARBUSCIA
Quatuor Arcanto
Antje Weithaas
Après plusieurs années de collaboration
dans des configurations diverses, Antje
Weithaas (violon), Daniel Sepec (violon), Tabea
Zimmermann (alto) et Jean-Guihen Queyras
(violoncelle) forment en 2002 le Quatuor
Arcanto. Les débuts de la jeune formation à
Stuttgart en 2004 la propulsent sur la scène
internationale ; de l’Amérique du Nord au Japon
en passant par l’Europe et le Proche-Orient, elle
enchaîne les concerts et les tournées dans
les plus grandes salles et festivals, comme le
Carnegie Hall de New York, le Palau de la Música
de Barcelone, le Théâtre du Châtelet et la Cité
de la Musique de Paris, la Philharmonie de
Berlin, le Konzerthaus de Vienne, le Festival de
musique de Rheingau mais aussi les festivals
d’Helsinki, d’Édimbourg et de Montreux.
La production discographique du quatuor
comprend cinq enregistrements réalisés chez
Harmonia Mundi, dont un enregistrement du
Quintette à cordes D.956 de Schubert avec
le violoncelliste Olivier Marron ainsi qu’un
enregistrement du Quatuor à cordes K.421
et du Quintette avec clarinette K.581 de
Mozart avec Jörg Widmann. Parmi les grands
événements de la saison 2015-2016 du Quatuor
Arcanto, citons ses concerts à la Philharmonie
de Cologne, au Mozarteum de Salzbourg,
aux festivals d’Édimbourg, Schwetzingen,
Lugano et Aix-en-Provence, ainsi que sa
tournée en Amérique du Nord, comprenant
un passage au Carnegie Hall, à Montréal, à
Chicago et à Vancouver. Les musiciens ont
également l’occasion de collaborer avec le
jeune violoncelliste Maximilian Hornung et
le clarinettiste Jörg Widmann. Cet été, les
membres du Quatuor Arcanto interviennent
dans le cadre de la résidence de musique de
chambre de l'Académie du Festival d'Aix-enProvence.
Ancienne disciple de Werner Scholz à la
Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin,
la violoniste Antje Weithaas multiplie les
collaborations avec les principaux orchestres
allemands, dont l’Orchestre symphonique
allemand de Berlin, l’Orchestre symphonique
de Bamberg et les grands orchestres de
radio. En tant que soliste, elle est également
invitée à jouer avec de nombreux orchestres
internationaux, parmi lesquels figurent
l’Orchestre symphonique de Los Angeles,
l’Orchestre symphonique de San Francisco,
le Philharmonia Orchestra de Londres,
l’Orchestre symphonique de la BBC et les
meilleurs orchestres hollandais, scandinaves
et asiatiques. Sa carrière l’amène ainsi à se
produire sous la direction de chefs tels que
Vladimir Ashkenazy, Sir Neville Marriner,
Sakari Oramo, Thomas Dausgaard, Andrey
Boreyko et Christian Zacharias. Antje Weithaas
est directrice artistique de la Camerata Bern
depuis la saison 2009 - 2010 et professeur de
violon à la Hochschule für Musik Hanns Eisler
de Berlin depuis 2004.
Daniel Sepec
Né en 1965 à Francfort-sur-le-Main, Daniel
Sepec réalise ses études de violon auprès
de Dieter Vorholz à Francfort et de Gerhard
Schulz à Vienne. Il est depuis 1993 le premier
violon de la Deutsche Kammerphilharmonie
de Brême, où il se produit aussi régulièrement
comme soliste sous la direction de chefs tels
que Daniel Harding, Thomas Hengelbrock,
Frans Brüggen ou encore Trevor Pinnock. Sa
fascination pour le violon baroque le conduit
à travailler avec plusieurs ensembles et
orchestres sur instruments d’époque, dont le
Balthasar-Neumann-Ensemble (dir. Thomas
Hengelbrock), où il tient le rôle de premier
violon. Il collabore également avec l’Academy
of Ancient Music (dir. Christopher Hogwood),
la Wiener Akademie (dir. Martin Haselböck)
et l’Orchestre des Champs-Élysées (dir.
Philippe Herreweghe). Il enregistre aux côtés
d’Andreas Staier deux disques de Sonates
pour violon et piano, l’un de Schumann et
l’autre de Beethoven. Pour ce dernier, il utilise
le violon restauré du compositeur, prêté pour
l’occasion par la Maison Beethoven de Bonn.
Sous le label Coviello Classics, il enregistre
les Sonates du Rosaire de Heinrich Ignaz
Franz Biber (2010) avec Hille Perl (viole
de gambe), Lee Santana (luth) et Michael
Behringer (orgue), de même que Les Quatre
Saisons de Vivaldi avec la Deutsche
Kammerphilharmonie de Brême (2011). Endehors de ses activités de concertiste, Daniel
Sepec enseigne le violon, alternativement à la
Hochschule für Musik de Bâle (2010-2014)
et, depuis 2014, à la Musikhochschule de
Lübeck.
Tabea Zimmermann
Formée auprès d’Ulrich Koch à la Musikhochschule de Fribourg et de Sándor Végh au
Mozarteum de Salzbourg, Tabea Zimmermann
remporte entre 1982 et 1984 plusieurs
concours à Genève, Budapest et Paris. Si
sa carrière de soliste l’amène à se produire
aux côtés de nombreux orchestres réputés
comme l’Orchestre philharmonique de Berlin,
l’Orchestre symphonique de Londres, l’Orchestre philharmonique d’Israël et l’Orchestre
de Paris, elle s’investit également dans le
domaine de la musique de chambre, collaborant
avec des artistes tels que le pianiste Leif Ove
Andsnes, le violoniste Christian Tetzlaff et le
clarinettiste Jörg Widmann. Ambassadrice du
répertoire contemporain, elle crée la Sonate
pour alto solo de Ligeti, qui lui est dédiée, ainsi
que les concertos pour alto de Sally Beamish,
Wolfgang Rihm et Heinz Holliger. Elle enregistre
tous les classiques du répertoire pour alto.
Après avoir enseigné à Sarrebruck et Francfortsur-le-Main, elle est aujourd’hui professeur à la
Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin,
fonction qu’elle occupe depuis 2002.
Jean-Guihen Queyras
Que ce soit comme soliste, en formation de
chambre ou en solo, le violoncelliste JeanGuihen Queyras multiplie les projets et les
collaborations à l’international. Sa carrière
l’amène à fréquenter les plus grands orchestres
américains et européens, de l’Orchestre
de Philadelphie à l’Orchestre de Paris, en
passant par l’Orchestre symphonique de la
Radio bavaroise, le Philharmonia Orchestra de
Londres, l’Orchestre symphonique de la NHK,
l’Orchestre philharmonique de Rotterdam,
l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l’Orchestre
du Gewandhaus de Leipzig, l’Orchestre du
Festival de Budapest et l’Orchestre de la
Suisse Romande. Il joue ainsi sous la direction
de chefs tels que Philippe Herreweghe,
Iván Fischer, Yannick Nézet-Séguin, Jiří
Bělohlávek, Olivier Knussen et Sir Roger
Norrington. Il est par ailleurs régulièrement
engagé comme soliste par divers ensembles
de musique ancienne, comme le Freiburger
Barockorchester et l’Akademie für Alte Musik
Berlin, et a été invité à tenir une résidence
artistique chez l’Ensemble Resonanz. Le
Muziekcentrum Vredenburg d’Utrecht, le
Concertgebouw d’Amsterdam et le Bijloke
de Gand lui ont quant à eux offert plusieurs
cartes blanches, de même que le Festival
d’Aix-en-Provence, qui le voit en 2014
partager la scène avec Alexandre Tharaud
et le Freiburger Barockorchester notamment.
Défenseur du répertoire contemporain, il porte
sur scène les œuvres de Bruno Mantovani,
Jörg Widmann, Peter Eötvös, Henri Dutilleux,
Pierre Boulez, Michael Jarrell et Johannes-
Maria Staud. En février 2016, il crée Ouroboros,
concerto pour violoncelle et orchestre à cordes
de Thomas Larcher, aux côtés de l’Amsterdam
Sinfonietta. Il a également été soliste de
l’Ensemble Intercontemporain pendant dix
ans. Sa discographie comprend maints enregistrements parus chez Harmonia Mundi, dont
plusieurs disques gravés conjointement avec
ses principaux partenaires de musique de
chambre, la violoniste Isabelle Faust et le pianiste Alexander Melnikov. Jean-Guihen Queyras
est professeur à la Musikhochschule de
Fribourg et donne des master classes dans le
cadre de la résidence de musique de chambre
de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence.
Il intervient dans la session interculturelle de
l’Orchestre des jeunes de la Méditerranée et
collabore également avec les percussionnistes
Kevyan et Bijan Chemirani, spécialistes
du zarb. Jean-Guihen Queyras joue sur un
violoncelle de Gioffredo Cappa de 1696, prêt
de l’association Mécénat Musical Société
Générale, depuis novembre 2005.
CARTE BLANCHE À JEAN-GUIHEN QUEYRAS
11 JUILLET 2016 – 20H
CONCERT
CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Jean-Guihen Queyras – Alexander Melnikov
Beethoven
Retransmis en différé sur France Musique
12 JUILLET 2016 – 12H
HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE
Jean-Guihen Queyras
MASTER CLASS PUBLIQUE
Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie
Accessible avec le Pass Académie
12 JUILLET 2016 – 18H
COUR DU PRESBYTÈRE, PLACE DE L’ARCHEVÊCHÉ
TÊTE-À-TÊTE AVEC Jean-Guihen Queyras
13 JUILLET 2016 – 12H
HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE
MASTER CLASS PUBLIQUE
Tabea Zimmermann
Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie
Accessible avec le Pass Académie
14 JUILLET 2016 – 20H
CONCERT
CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Quatuor Arcanto
Purcell, Britten, Beethoven
Retransmis en direct sur France Musique
15 JUILLET 2016 – 20H
CONCERT
CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Quatuor Arcanto
Bach, Mendelssohn, Berg
Retransmis en différé sur France Musique
16 JUILLET 2016 – 12H
HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE
MASTER CLASS PUBLIQUE
Daniel Sepec
Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie
Accessible avec le Pass Académie
18 JUILLET 2016 – 21H30
CONCERT
HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE
Session interculturelle – Orchestre des jeunes de la Méditerranée
Raphaël Imbert (direction musicale, saxophone) / Jean-Guihen Queyras (violoncelle)
/ Jean-Luc Di Fraya (percussions)
et avec une douzaine de jeunes musiciens improvisateurs
Accessible avec le Pass Académie
19 JUILLET 2016 – 20H
CONCERT
CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Jean-Guihen Queyras invite Stéphane Degout
Création mondiale du Poète inachevé de Gilbert Amy. Britten, Ravel *
* avec Alphonse Cemin (piano) et Olivier Girardin (flûte)
Projet cofinancé par la commission européenne. Cette publication n’engage que son auteur et la Commission n’est
pas responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues.
30 JUIN – 20 JUILLET 2016
CONCERTS
Dissonances - Mozart
Lauréat HSBC – Quatuor Van Kuijk
2 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Une Cigogne de nuit
Emmanuel Baily
6 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Freiburger Barockorchester
Gottfried von der Goltz
Daniela Lieb / Sebastian Wienand
12 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Quatuor Arcanto
14 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
15 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Intégrale des Motets de Bach
Raphaël Pichon
Ensemble Pygmalion
17 JUILLET – CATHÉDRALE SAINT-SAUVEUR
Orchestre des jeunes de la Méditerranée
Raphaël Imbert / Jean-Guihen Queyras
18 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Zoroastre - Rameau
Raphaël Pichon / Ensemble Pygmalion
7 JUILLET – THÉÂTRE DE L'ARCHEVÊCHÉ
18 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
Les Péchés de Rossini
Lauréats HSBC – K. Melnikova / S. Conner / H. Vida
19 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
7 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME
Raphaël Imbert New Quintet invite
Marion Rampal
8 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Philharmonia Orchestra - Stravinski
Esa-Pekka Salonen / Karole Armitage
9 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
Mélodies Tziganes
Lauréats HSBC – Chloé Briot / Michalis Boliakis
Jean-Guihen Queyras invite Stéphane Degout
Orchestre des jeunes de la Méditerranée
Cairo Jazz Station / Ziryâb et nous
19 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Quatuor Tana
Lauréat HSBC – Wilhem Latchoumia / Garth Knox
20 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Orchestre des jeunes de la Méditerranée
Marko Letonja
20 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
9 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME
Jean-Guihen Queyras / Alexander Melnikov
11 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
RETROUVEZ TOUTE LA PROGRAMMATION SUR WWW.FESTIVAL-AIX.COM
Le Festival d’Aix-en-Provence s’est engagé depuis 2010 dans une politique de développement durable et invite
ses festivaliers à participer à cette démarche. Le présent document est réalisé par un imprimeur Imprim’vert,
qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées, avec des encres bio à base d’huile
végétale sur du papier FSC fabriqué à partir de fibres issues de forêts gérées de manière responsable.
Festival d’Aix-en-Provence / siège social Palais de l’Ancien Archevêché – 13 100 Aix-en-Provence
N° de licence entrepreneur du spectacle : 1- 1085 612 / 2- 1000 275 / 3- 1000 276
photos © Marco Borggreve / design graphique - Céline Gillier
FESTIVAL
D’AIX-EN-PROVENCE
Nuit de la création
Œuvres contemporaines et créations mondiales