Programme de salle - Festival d`Aix en Provence
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Programme de salle - Festival d`Aix en Provence
Jean-Guihen Queyras Alexander Melnikov 11 JUILLET 2016 CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD 11 JUILLET – 20H – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD CARTE BLANCHE À JEAN-GUIHEN QUEYRAS PIANO VIOLONCELLE Alexander Melnikov Jean-Guihen Queyras LUDWIG VAN BEETHOVEN (1770-1827) Sonate pour violoncelle et piano n° 1 en fa majeur, op. 5 n° 1 (1796) Adagio sostenuto - Allegro Rondo : allegro vivace Sonate pour violoncelle et piano n° 3 en la majeur, op. 69 (1808) Allegro ma non tanto Scherzo. Allegro molto Adagio cantabile Allegro vivace Sonate pour violoncelle et piano n° 5 en ré majeur, op. 102 n° 2 Allegro con brio Adagio con molto sentimento d'affetto - attaca: Allegro - Allegro fugato Retransmis le 8 août à 20h sur (1815) LUDWIG VAN BEETHOVEN Sonate pour violoncelle et piano n°1 en fa majeur, op.5 n° 1 Si le compositeur Beethoven s’est taillé une réputation de réformateur et d’innovateur musical, c’est entre autres parce qu’il a eu l’audace et la curiosité d’explorer de nouvelles combinaisons instrumentales telles que le duo piano-violoncelle. À la fin du XVIIIe siècle, le violoncelle a d’ores et déjà su se positionner sur l’échiquier musical en évinçant progressivement la viole de gambe. Il a cependant encore besoin de s’affirmer en tant qu’instrument soliste. Alors que Bach, Vivaldi et Boccherini lui ont donné sa première chance, Beethoven devient – un demisiècle avant Brahms – son principal défenseur aussi bien pour des raisons esthétiques qu’historiques. Quoi de mieux qu’un instrument proche de la voix humaine pour exprimer le moi intérieur d’un compositeur flirtant avec le romantisme ? Ce choix esthétique constitue, d’une part, un geste d’affranchissement à l’égard des règles préétablies et des traditions et, d’autre part, un outil expressif susceptible d’explorer l’univers intime. C’est aussi un moyen pour le pianiste / compositeur de se rapprocher d’un illustre violoncelliste virtuose nommé Jean-Pierre Duport et de son éminent élève : Frédéric Guillaume II de Prusse. Rappelons que Haydn lui avait dédié ses Six Quatuors op. 50 sans pour autant répondre aux attentes de son dédicataire souhaitant hisser le violoncelle au rang de protagoniste. C’est en 1796 que Beethoven vient combler ce manque en présentant et en dédicaçant ses deux Sonates « pour clavecin ou pianoforte avec violoncelle obligé » op. 5 au roi de Prusse. D’emblée, cette œuvre semble vouloir se libérer des contraintes et conventions classiques en ne présentant que deux mouvements au lieu de quatre. Son premier mouvement se divise en deux sections : un Adagio sostenuto méditatif suivi d’un énergique Allegro. Après cette lente introduction où le violoncelle fait valoir ses ressources expressives et de timbre, le piano émet le premier thème vif repris en écho par le violoncelle qui laisse ensuite entendre un second thème syncopé. Les rôles sont équilibrés : le principe d’égalité entre les instruments est scrupuleusement appliqué puisque chacun endosse un rôle « ornemental » pendant que l’autre énonce le thème. Le second mouvement, qui n’est autre que le finale, est en forme de rondo. Il présente un thème-refrain très alerte, souvent repris en imitation par les instruments, ainsi que de brillants couplets qui procurent une agréable sensation et forment un excellent remède à la morosité. LUDWIG VAN BEETHOVEN Sonate pour violoncelle et piano n°3 en la majeur, op. 69 Lorsque Beethoven compose sa Troisième Sonate pour violoncelle et piano, il a atteint une certaine maturité tant dans sa vie que dans son art et jouit d’une incomparable créativité. Sa surdité a beau s’aggraver de jour en jour, elle ne parvient pas à tarir son inspiration, loin de là... Seules six années sont passées depuis la rédaction du terrible « Testament d'Heiligenstadt » dans lequel Beethoven exprime sa rage et son désespoir face à son infirmité grandissante. Pourtant, le compositeur semble avoir tourné une page et accepté son sort avec dignité et détermination au point de lancer au prince Carl Lichnowsky : « Prince, ce que vous êtes, vous l’êtes par le hasard de la naissance. Ce que je suis, je le suis par moi-même. Des princes, il y en a et il y en aura encore des milliers. Il n’y a qu’un Beethoven. » Ce compositeur, que Goethe décrit comme un homme à la personnalité indomptée, va jusqu’à conjurer le sort en composant sa Cinquième symphonie dite « du destin » en 1808. C’est au cours de cette année bouillonnante qu’il achève également la Symphonie pastorale et la Sonate pour violoncelle et piano n° 3 dédiée à son ami violoncelliste, le baron Ignaz von Gleichenstein. Un solo de violoncelle dépourvu de tout artifice ouvre majestueusement le premier mouvement allegro ma non tanto dans le registre grave tout en laissant présager des pages d’une grande beauté mélodique. C’est peutêtre le seul passage susceptible de justifier le titre attribué par Beethoven : Inter lacrymas et luctus (« au milieu des larmes et des peines »). Une fois amorcé, le dialogue avec le piano laisse entendre deux autres thèmes avant de revenir sur l’idée initiale par le biais d’une imposante coda. Le second mouvement, où l’effet syncopé règne en maître, fait recours à un procédé particulièrement présent chez Beethoven, celui de laisser le soin à un instrument de suivre son partenaire musical à contretemps. Le mouvement lent et berceur qui suit se termine au moment même où l’on commence à chavirer pour laisser place à l’Allegro vivace. S’appuyant sur deux thèmes – le premier particulièrement loquace, l’autre plus doux – le Finale n’est qu’un dialogue lyrique entre deux instruments dotés d’une grande expressivité. Trois énergiques accords conclusifs laissent entendre que Beethoven est loin d’avoir dit son dernier mot ! LUDWIG VAN BEETHOVEN Sonate pour violoncelle et piano n°5 en ré majeur, op. 102 n° 2 Composées en 1815, les deux sonates de l’Opus 102 étrennent la dernière ère créatrice de Beethoven qui passe par une phase aride, connaît une sorte de « traversée du désert » avant de nous laisser in extremis d’incontournables chefs-d’œuvre (La Neuvième symphonie, la Missa Solemnis, les derniers Quatuors à cordes et Sonates pour piano). Le rythme de production du compositeur ralentit à mesure que sa célébrité s’affermit. Ayant terminé huit de ses symphonies, Beethoven ne souhaite plus s’adresser au monde qui l’entoure en se contentant de répondre à l’air du temps mais aspire à composer pour le monde de demain, pour un horizon d’attente plus lointain. Ce changement de focale peut expliquer la croissante désaffection du public viennois qui lui préfère Rossini. Et Beethoven d’en conclure : « On dit que l’art est long, la vie brève – longue est la vie, mais court est l’art. Si son souffle nous élève jusqu’aux cieux, ce n’est que la faveur d’un moment » (Cahiers de conversation, 1820). Dès la première sonate de l’Opus 102, on perçoit cette soif de liberté du compositeur qui ajoute au manuscrit la mention « sonate libre ». Dépourvue de tout avertissement, la seconde sonate, qui constitue à l’époque l’une des œuvres les plus périlleuses du répertoire pour violoncelle, va toutefois beaucoup plus loin que la première. C’est à son amie et confidente la comtesse Maria von Erdödy que Beethoven dédie ces pièces, de même qu’il confie la partie de violoncelle à Joseph Linke, violoncelliste du comte Razoumovski. Le premier mouvement nous tient immédiatement en éveil à l’aide d’un premier thème énergique joué par le piano solo que reprend le violoncelle. Un second thème legato et délicat voit ensuite le jour. La fréquente alternance de ces deux thèmes contrastés est d’une grande efficacité. Le mouvement lent qui suit nous fait goûter à cette liberté dont jouit Beethoven à ce stade de sa carrière. Les timides accords du piano ponctuent l’introduction solennelle du violoncelle dont la ligne est mise en exergue tout au long de ce mouvement. Une phrase poignante qui ne saurait nous laisser indifférents lui est notamment attribuée à partir de la dixième mesure. Une transition presque imperceptible nous conduit à l’Allegro fugato final qui propose une revigorante fugue à quatre voix. La voix la plus démonstrative est accordée au violoncelle tandis que les trois autres voix sont confiées au piano. Contrairement à l’Adagio précédent qui n’était que respiration, la complexité est de rigueur dans ce développement contrapuntique qui tient les deux interprètes ainsi que l’auditeur en haleine. AURÉLIE BARBUSCIA Alexander Melnikov Diplômé du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou dans la classe de Lev Naoumov, le pianiste russe Alexander Melnikov remporte au début de sa carrière plusieurs concours prestigieux comme le Concours international Robert Schumann de Zwickau (1989) et le Concours musical international Reine Elisabeth (1991). Depuis, l’artiste se produit dans les plus grandes salles de concert de par le monde, du Théâtre des ChampsÉlysées à Paris au Suntory Hall de Tokyo, en passant par le Concertgebouw d'Amsterdam, l’Alte Oper de Francfort, le Konzerthaus de Berlin, le Mozarthaus de Vienne et le Wigmore Hall de Londres. Il est également l'invité de nombreux festivals comme le Festival Chopin de Varsovie, le Festival international de musique de chambre de Jérusalem, le West Cork Chamber Music Festival, la Mozartwoche de Salzbourg et le Festival de musique de chambre d'Eilat en Israël. En tant que soliste, il est sollicité par les orchestres internationaux, tels que l’Orchestre national de Russie, l'Orchestre philharmonique de Tokyo, l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l’Orchestre de Philadelphie, l’Orchestre royal du Concertgebouw, l’Orchestre philharmonique de la BBC, l’Orchestre Symphonique de la SWR de Baden-Baden et Fribourg-en-Brisgau, le Mahler Chamber Orchestra, l’Amsterdam Sinfonietta ou encore l’Orchestre baroque de Fribourg. Les chefs comme Philippe Herreweghe, Mikhaïl Pletnev, Teodor Currentzis, Paavo Järvi et Valery Gergiev ont ainsi déjà eu l’occasion de le diriger. Passionné de musique de chambre, il forme un trio avec la violoniste Isabelle Faust et le violoncelliste Jean-Guihen Queyras. Il joue également régulièrement avec le violoncelliste Alexander Rudin et le baryton Georg Nigl. Son intérêt pour la pratique des instruments anciens l’amène par ailleurs à se produire sur pianoforte aux côtés, entre autres, d’Andreas Staier. Son corpus discographique chez Harmonia Mundi comprend plusieurs enregistrements fréquemment salués par la critique internationale, tant en solo qu’avec orchestre. Il a par ailleurs gravé plusieurs disques avec Isabelle Faust et JeanGuihen Queyras. Jean-Guihen Queyras Que ce soit comme soliste, en formation de chambre ou en solo, le violoncelliste JeanGuihen Queyras multiplie les projets et les collaborations à l’international. Sa carrière l’amène à fréquenter les plus grands orchestres américains et européens, de l’Orchestre de Philadelphie à l’Orchestre de Paris, en passant par l’Orchestre symphonique de la Radio bavaroise, le Philharmonia Orchestra de Londres, l’Orchestre symphonique de la NHK, l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l’Orchestre du Festival de Budapest et l’Orchestre de la Suisse Romande. Il joue ainsi sous la direction de chefs tels que Philippe Herreweghe, Iván Fischer, Yannick Nézet-Séguin, Jiří Bělohlávek, Olivier Knussen et Sir Roger Norrington. Il est par ailleurs régulièrement engagé comme soliste par divers ensembles de musique ancienne, comme le Freiburger Barockorchester et l’Akademie für Alte Musik Berlin, et a été invité à tenir une résidence artistique chez l’Ensemble Resonanz. Le Muziekcentrum Vredenburg d’Utrecht, le Concertgebouw d’Amsterdam et le Bijloke de Gand lui ont quant à eux offert plusieurs cartes blanches, de même que le Festival d’Aix-en-Provence, qui le voit en 2014 partager la scène avec Alexandre Tharaud et le Freiburger Barockorchester notamment. Défenseur du répertoire contemporain, il porte sur scène les œuvres de Bruno Mantovani, Jörg Widmann, Peter Eötvös, Henri Dutilleux, Pierre Boulez, Michael Jarrell et JohannesMaria Staud. En février 2016, il crée Ouroboros, concerto pour violoncelle et orchestre à cordes de Thomas Larcher, aux côtés de l’Amsterdam Sinfonietta. Il a également été soliste de l’Ensemble Intercontemporain pendant dix ans. Sa discographie comprend maints enregistrements parus chez Harmonia Mundi, dont plusieurs disques gravés conjointement avec ses principaux partenaires de musique de chambre, la violoniste Isabelle Faust et le pianiste Alexander Melnikov. Jean-Guihen Queyras est professeur à la Musikhochschule de Fribourg et donne des master classes dans le cadre de la résidence de musique de chambre de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence. Il intervient dans la session interculturelle de l’Orchestre des jeunes de la Méditerranée et collabore également avec les percussionnistes Kevyan et Bijan Chemirani, spécialistes du zarb. Jean-Guihen Queyras joue sur un violoncelle de Gioffredo Cappa de 1696, prêt de l’association Mécénat Musical Société Générale, depuis novembre 2005. CARTE BLANCHE À JEAN-GUIHEN QUEYRAS 11 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Jean-Guihen Queyras – Alexander Melnikov Beethoven Retransmis en différé sur France Musique 12 JUILLET 2016 – 12H HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE Jean-Guihen Queyras MASTER CLASS PUBLIQUE Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie Accessible avec le Pass Académie 12 JUILLET 2016 – 18H COUR DU PRESBYTÈRE, PLACE DE L’ARCHEVÊCHÉ TÊTE-À-TÊTE AVEC Jean-Guihen Queyras 13 JUILLET 2016 – 12H HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE MASTER CLASS PUBLIQUE Tabea Zimmermann Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie Accessible avec le Pass Académie 14 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Quatuor Arcanto Purcell, Britten, Beethoven Retransmis en direct sur France Musique 15 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Quatuor Arcanto Bach, Mendelssohn, Berg Retransmis en différé sur France Musique 16 JUILLET 2016 – 12H HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE MASTER CLASS PUBLIQUE Daniel Sepec Ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie Accessible avec le Pass Académie 18 JUILLET 2016 – 21H30 CONCERT HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE Session interculturelle – Orchestre des jeunes de la Méditerranée Raphaël Imbert (direction musicale, saxophone) / Jean-Guihen Queyras (violoncelle) / Jean-Luc Di Fraya (percussions) et avec une douzaine de jeunes musiciens improvisateurs Accessible avec le Pass Académie 19 JUILLET 2016 – 20H CONCERT CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Jean-Guihen Queyras invite Stéphane Degout Création mondiale du Poète inachevé de Gilbert Amy. Britten, Ravel * * avec Alphonse Cemin (piano) et Olivier Girardin (flûte) Projet cofinancé par la commission européenne. Cette publication n’engage que son auteur et la Commission n’est pas responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues. 30 JUIN – 20 JUILLET 2016 CONCERTS Dissonances - Mozart Lauréat HSBC – Quatuor Van Kuijk 2 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Une Cigogne de nuit Emmanuel Baily 6 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Freiburger Barockorchester Gottfried von der Goltz Daniela Lieb / Sebastian Wienand 12 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Quatuor Arcanto 14 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD 15 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Intégrale des Motets de Bach Raphaël Pichon Ensemble Pygmalion 17 JUILLET – CATHÉDRALE SAINT-SAUVEUR Orchestre des jeunes de la Méditerranée Raphaël Imbert / Jean-Guihen Queyras 18 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Zoroastre - Rameau Raphaël Pichon / Ensemble Pygmalion 7 JUILLET – THÉÂTRE DE L'ARCHEVÊCHÉ 18 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE Les Péchés de Rossini Lauréats HSBC – K. Melnikova / S. Conner / H. Vida 19 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD 7 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME Raphaël Imbert New Quintet invite Marion Rampal 8 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Philharmonia Orchestra - Stravinski Esa-Pekka Salonen / Karole Armitage 9 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE Mélodies Tziganes Lauréats HSBC – Chloé Briot / Michalis Boliakis Jean-Guihen Queyras invite Stéphane Degout Orchestre des jeunes de la Méditerranée Cairo Jazz Station / Ziryâb et nous 19 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE Quatuor Tana Lauréat HSBC – Wilhem Latchoumia / Garth Knox 20 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD Orchestre des jeunes de la Méditerranée Marko Letonja 20 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE 9 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME Jean-Guihen Queyras / Alexander Melnikov 11 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD RETROUVEZ TOUTE LA PROGRAMMATION SUR WWW.FESTIVAL-AIX.COM Le Festival d’Aix-en-Provence s’est engagé depuis 2010 dans une politique de développement durable et invite ses festivaliers à participer à cette démarche. Le présent document est réalisé par un imprimeur Imprim’vert, qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées, avec des encres bio à base d’huile végétale sur du papier FSC fabriqué à partir de fibres issues de forêts gérées de manière responsable. Festival d’Aix-en-Provence / siège social Palais de l’Ancien Archevêché – 13 100 Aix-en-Provence N° de licence entrepreneur du spectacle : 1- 1085 612 / 2- 1000 275 / 3- 1000 276 photos © Marco Borggreve / design graphique - Céline Gillier FESTIVAL D’AIX-EN-PROVENCE Nuit de la création Œuvres contemporaines et créations mondiales