Acrosport à l`Ecole primaire

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Acrosport à l`Ecole primaire
Acrosport
à l’Ecole primaire
Pourquoi ? Comment ?
Pierre Martinerie CPC EPS
Equipe EPS 71
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PM- Acrosport à l’école Equipe EPS 71 2011 2012
Acrosport en détail…
Sommaire :
1. L’acrosport qu’est ce que c’est ?
2. Pourquoi ?
3. La place dans les programmes
4. Les compétences transversales
5. Les notions essentielles
6. Les apprentissages de l’élève
7. Une séquence en détail
a. Règles d’organisation
b. Règles de sécurité
c. L’échauffement
d. Une proposition de démarche
e. En cycle 2
f. En cycle 3
g. Musique et chorégraphie
h. L’évaluation
8. Les apprentissages de l’élève
9. Lien avec d’autres disciplines
10. Bibliographie
11. Annexes : des situations d’apprentissage
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1. L’acrosport : une définition
Le terme acrosport est une forme contractée et pratique pour parler de sport
acrobatique. Il trouve son origine dans une forme de gymnastique ancienne et
oubliée dont les objectifs d’alors étaient agilité et cran. Partie prenante des jeux des
cours d’écoles et de collèges depuis toujours, il prend une dimension éducative
spécifique au XIXème siècle où il est partie prenante des enseignements civils ou
militaires. De nombreux jeux d’enfants traditionnels peuvent s’apparenter aux formes
actuelles de l’acrosport, parfois appelé « mains à mains », et on les retrouvera
notamment dans les échauffements.
Les compétitions d’acrosport dans leur forme actuelle ont été créées par la
Fédération de Trampoline et de Sport Acrobatique en 1986. En compétition, les
concurrents présentent trois formes d’exercices : statique, dynamique ou combinée.
Les enchaînements sont réalisés avec accompagnement musical et durent de deux à
trois minutes.
A l’école, l’acrosport peut être qualifié « d’exercice spectaculaire et
harmonieux dans la sûreté. »(Y Lavigne). Cependant, même si l’acrosport propose
aussi des situations dynamiques où le voltigeur est lancé par le ou les porteur(s), à
l’école primaire, on privilégiera les porters statiques où le porteur maintient le
voltigeur dans une position stable, sans propulsion.
2. Pourquoi pratiquer l’acrosport ?
L’acrosport est une activité ludique et créative.
Cette activité innovante est facile à enseigner.
Elle est esthétique et spectaculaire pour les acteurs et les spectateurs.
Elle demande de l’originalité et de la créativité, de la virtuosité.
Elle favorise la coopération et développe la solidarité.
Elle implique pour les acteurs et pour le maître la gestion du risque.
C’est une alternative peu coûteuse à la gymnastique.
Elle permet la mise en place d’une véritable pédagogie de la réussite :
Parce qu’elle est motivante et valorisante pour chaque élève, quelque soit son
niveau de maîtrise.
Parce que les qualités physiques sont moins importantes que les placements.
Parce qu’elle peut intégrer tout élève quelque soit son cycle ou sa
morphologie
Parce qu’elle permet d’intégrer tout élève, c’est une activité intéressante pour
une classe unique, une CLIS
Parce que les progrès sont rapides et les résultats encourageants.
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3. La place dans les programmes
Une compétence :
Réaliser des actions à visée artistique,
esthétique ou expressive
Réaliser des actions acrobatiques,
Exprimer corporellement des images, des états,
Communiquer aux autres des sentiments ou des émotions,
S'exprimer en rythme sans matériel.
4. Les compétences transversales
Apprécier ses possibilités et s'engager dans l'action,
Contrôler ses émotions,
Apprécier les effets de l'activité,
Prendre des repères dans l'espace et le temps
Faire un projet d'action, individuel et collectif
Comprendre et mettre en œuvre des règles et des codes.
Comprendre qu'on peut acquérir des connaissances spécifiques dans une
activité
5. Les notions essentielles
Des actions acrobatiques et spectaculaires,
Des rôles à tenir : porteur, voltigeur, pareur
Equilibre, force, souplesse et grâce
Un corps tonique et stable
Créer ensemble un enchaînement, une chorégraphie
6. Les apprentissages de l’élève
Les rôles
Le porteur : Le porteur équilibre le voltigeur. Il peut y avoir plusieurs porteurs.
Le voltigeur : Le voltigeur s’équilibre et réalise des acrobaties
Le pareur : le pareur protège le voltigeur. Il assure la sécurité des figures
….
Le juge : à l’aide d’une grille d’évaluation, il détermine si la figure est correcte.
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7. Une séquence en détail : comment construire une séquence d’acrosport ?
a. Règles d’organisation
Organisation de l’espace
L’espace est sécurisé par des tapis. Un espace de 4m X 4m est nécessaire pour les
figures les plus complexes réalisées en duo ou en trio (pyramides, proues). L’espace
peut être matérialisé par des traces au sol, des foulards,…
Durée du travail
Le travail peut durer jusqu’à une heure en cycle 3, 45 minutes en cycle 2,
échauffement compris. Prendre garde à la fatigue des enfants. Un cycle de dix à
douze séances permet d’obtenir une prestation devant public tout à fait correcte.
C’est un temps suffisant pour explorer l’activité et apprendre des techniques.
Consignes
Rappeler les consignes de sécurité. Prévoir un code de départ et d’arrêt pour les
temps de mise au point et de réglages. La démarche détaillée plus loin implique des
consignes ouvertes et permettant un maximum d’expérimentation des élèves.
Cependant la formulation des tâches à réaliser doit être précise : l’incertitude et la
mauvaise communication entre les partenaires est source d’accident.
Communication
Le maître instaure un code de communication indispensable entre les partenaires :
« attention, je tombe », « je monte », « je descends », « attention je lâche »… Les
mains et les pieds peuvent transmettre des informations. Aussi au fur et à mesure du
travail, la communication peut devenir non verbale par simple toucher. Lors de la
prestation devant un public, on limite volontairement la communication aux moments
d’urgence.
Les groupes
Les enfants peuvent travailler par deux, par trois, par quatre. Dans l’ensemble, les
groupes sont constitués de partenaires de corpulence équivalente, pour que chacun
dans le groupe puisse essayer tous les rôles. Néanmoins, dans une classe multi
niveaux ou dans une classe unique, les tâches peuvent être réparties à l’avantage de
tous : les porteurs du CM2 peuvent aisément soulever des voltigeurs du CP.
La musique
Choisir une musique qui puisse offrir aux enfants des points de repère simples, qui
puisse guider l’enchaînement des figures. Les enfants utiliseront la même musique
par commodité.
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b. Les règles de sécurité
L’acrosport autorise d’autant plus la prise de risque dans la sécurité qu’il est
constitué par nature, d’un ensemble d’éducatifs pour les aides et les parades.
L’échauffement est indispensable.
L’espace de travail est recouvert de tapis.
Bijoux, bagues, bracelets, boucles d’oreilles doivent être retirés
Les cheveux doivent être attachés.
Le maître doit garder tous les élèves dans son champ visuel.
Il doit veiller aux phénomènes de fatigue et d’excitation (figures difficiles)
La communication est indispensable : dire ce qu’on fait, ce qu’on va faire.
Respecter l’espace d’évolution et les distances de sécurité.
L’escalade des porteurs par les voltigeurs doit se faire rapidement
Mais les mouvements ne doivent pas être brusques.
Le portage ne doit pas durer longtemps.
Le montage et le démontage doivent être méthodiques : le dernier dans une
pyramide est le premier à redescendre.
Respecter les zones d’appui et les ceintures : le voltigeur doit veiller à
s’installer lorsque le porteur est ferme sur ses appuis.
La parade est un apprentissage à part entière sur lequel il faut insister.
L’enseignant(e) veille à la position du porteur et du voltigeur. La solidité
s’obtient par la verticalité segmentaire des bras, des jambes, du buste et du
bassin.
Pour descendre d’une posture, le voltigeur ne doit pas sauter. En effet,
l’impulsion du saut se répercute dans la colonne vertébrale du porteur.
Pour finir, petite phrase à méditer
« Ne supprimons pas les risques, la sécurité des enfants en dépend »
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c. L’échauffement
Noter que certains exercices peuvent tout à fait faire partie du travail de mise en
place des figures à part entière, comme déplacements ou temps de liaison entre
deux porters statiques par exemple.
Attention !
Les enfants doivent réaliser ces figures seuls, sans aide, afin de ne pas forcer un
mouvement. Le maître conseille, montre avec un autre élève mais ne tient pas l’élève
Des situations possibles :
Le chat :
A la manière d’un chat : à quatre pattes, genoux au sol et mains bien à plat, à la
hauteur des épaules. Relever la tête et creuser le dos. Incliner la tête entre les bras
et faire le dos rond.
Le chat qui s’étire :
A la manière d’un chat : à quatre pattes, genoux au sol et mains bien à plat, à la
hauteur des épaules. S’étirer vers l’avant, tête relevée, bras tendus, collés au sol, et
bien creuser le dos.
La marche du crabe :
A la manière d’un crabe : s’asseoir sur le sol, jambes pliées et bras tendus vers
l’arrière. Soulever le bassin et marcher vers l’avant ou vers l’arrière, tête relevée, en
gardant les bras tendus.
Le petit pont :
S’asseoir sur tes talons et poser les mains bien à plat sur le sol. Baisser la tête. Puis
monter les fesses vers le haut en poussant sur les bras en tendant les jambes. A
l’école, éviter le grand pont.
L’huître fermée :
S’asseoir sur le sol, jambes tendues et écartées. Incliner le buste vers l’avant et
s’étirer, le dos plat, comme si on était une huître qui se referme. Essayer de toucher
les pieds sans plier les jambes.
Les écarts :
Ecart facial : écarter de plus en plus les jambes sur les côtés, et descendre le plus
bas possible en gardant le buste droit et les jambes tendues.
Même exercice en tendant une jambe devant, une jambe derrière.
L’araignée :
S’asseoir sur le sol, écarter puis plier les jambes. Fléchir le buste vers l’avant, bras
tendus en essayant d’arriver le plus prêt possible du sol, en gardant la tête relevée et
le dos plat. Vu de face, cela ressemble à une araignée.
L’ascenseur :
Dos à dos, deux partenaires s’abaissent et se lèvent en restant le dos collé l’un à
l’autre.
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Le culbuto :
Un enfant à terre sur le dos, son partenaire doit se placer tête bêche au-dessus de
lui. Saisir les chevilles de l’autre et basculer vers l‘avant. L’effet de cet élan doit faire
tourner l’ensemble.
Le mille-pattes :
A quatre pattes sur le sol. Le voltigeur vient se coucher à plat ventre sur le dos du
porteur et place ses mains devant lui. Les deux doivent avancer tous les deux en
même temps, comme si ils étaient devenu une petite chenille à six pattes. Cet
exercice peut se faire à trois, quatre, cinq, six,…
La balançoire :
S’allonger à plat ventre, jambes serrées. Plier les jambes et les attraper avec les
mains dans le dos, bras tendus. Se balancer d’avant en arrière, comme sur une
balançoire.
La poupée de Paris :
Face à face, pieds joints, mains dans les mains avec une prise solide, les deux
partenaires doivent tourner rapidement en se rejetant en arrière. Attention, ça donne
le tournis !
Le poirier :
Tenir sur la tête et les mains, jambes tendues serrées verticales, c’est l’arbre droit.
Jambes écartées, c’est le chêne fourchu. Jambes reposant sur les coudes, c’est le
trépied.
Les roulades :
Debout les jambes légèrement écartées et pliées, bras tendus. Basculer vers l’avant.
Essayer roulade arrière…au début sur un plan incliné.
La roue :
Alterner pied droit, main droite, main gauche, pied gauche, pied droit. Ne pas mettre
en même temps les deux mains au sol.
Les équilibres :
Sur une jambe : jambes serrées, bras tendus à la verticale, basculer lentement le
buste vers l’avant tout en relevant une jambe à l’horizontale vers l’arrière. Garder
l’équilibre le plus longtemps possible.
Sur les mains : Face à un mur, ou un partenaire, jambe fendue vers l’avant, basculer
le buste en avant et placer les mains devant soi sur le sol, en gardant les bras
tendus, coudes bloqués. Une fois à l’aise, essayer de se déplacer.
Note : cet exercice ne peut être fait si les enfants ne sont pas à l’aise pour les
roulades, de façon à ce que si l’équilibre n’est pas tenu, l’enfant sache rouler.
On peut envisager un échauffement plus « technique » qui travaille chaque segment
du corps : nuque, épaules, bassin, bras, poignets, doigts, abdominaux, jambes,
pieds, chevilles et les étirements des jambes, du dos et du bassin…
Sautillés, roues, roulades, demi vrilles.
Ne pas oublier : Un temps d’assouplissement pour décontracter les muscles,
retrouver un peu de calme et un rythme cardiaque normal sont nécessaires après la
séance pour éliminer les toxines et la fatigue et mieux récupérer.
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d. Une proposition de démarche
Première phase :
Exploration et expérimentation libres à partir d’un dessin, d’un film, d’une photo… Et
des consignes du maître.
Deuxième phase :
Réalisation et perfectionnement de quelques figures définies. Voir fiches en annexe.
Troisième phase :
Mise en relation dynamique des figures : chorégraphie en musique
Quatrième phase :
Mise au point des enchaînements, soin apporté à la réalisation finale
Pour une représentation devant un public : camarades de la classe, de l’école,
parents,…
e. En cycle 2 : Des jeux préparatoires
Pour connaître et appliquer les règles de sécurité.
Pour apprendre à évoluer à deux, à trois
Pour connaître les différents rôles
Pour inventer des figures
Pour utiliser les placements, les appuis et les prises.
Pour apprendre à gérer le risque
Attention aux figures nécessitant un portage !
f. En cycle 3 : Utiliser des figures codifiées : les pyramides, les proues
Créer des enchaînements chorégraphiés.
En insistant sur la solidité, la stabilité des figures.
En travaillant l’intensité et le rythme des gestes.
En travaillant les attitudes, le sourire et le regard.
En lien avec la langue orale ou écrite
Savoir communiquer.
Expliquer des figures inventées, ou en photo.
Deviner des figures à partir d’un texte.
Définir ensemble des critères d’évaluation et les utiliser.
g. Mise en musique et chorégraphie
Des mots-clés pour décrire ce qu’on attend d’un spectacle d’acrosport.
Un projet d’expression mis en œuvre dans un espace limité selon une
scénographie concertée. Les partenaires ont des rôles définis dans la mise en
scène. A l’aide d’un répertoire de figures imposées ou libres et d’un environnement
sonore qu’ils ont choisi, ils recherchent des effets spectaculaires et esthétiques à
offrir à leurs spectateurs.
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f. L’évaluation
Quels critères d’évaluation ?
Quelques critères pour le maître. Voir fiches d’évaluation pour les élèves en annexe.
Les figures sont-elles toniques, équilibrées, maintenues, selon des postures
verticales, sûres ?
L’élève peut-il maintenir une posture : il chute ou il s’écroule ; il tremble ou il
oscille, il est stable.
L’élève est-il tonique ? Mou ? Raide ?
L’élève contrôle t’il son bassin : antéversion, équilibration, rétroversion ?
L’élève respecte t’il la verticalité segmentaire ? Au niveau des bras, des
jambes ; le buste est-il très oblique, oblique, vertical ?
L’élève est-il capable d’inventer de nouvelles figures ?
L’enchaînement des figures est-il fluide, saccadé ?
Les élèves sont-ils capables de s’entraider, de travailler ensemble ?
Et pour explorer des points plus subjectifs qu’on peut faire partager aux élèves, sans
toutefois en faire des critères de sélection. Le beau est subjectif, l’évaluation cherche
à être objective.
La représentation des figures est-elle esthétique ? Réussie ?
L’enchaînement des postures est-il harmonieux ? Suit-il la musique ?
Les enfants sont-ils « présents » devant le public ?
Les enfants regardent-ils le public ? Sourient-ils ?
8. Les apprentissages de l’élève
La graduation de la difficulté :
Le porteur a des surfaces d'appuis larges ou multiples en contact avec le sol.
Le voltigeur est toujours en contact avec le sol.
Le porteur a des surfaces d'appuis larges ou multiples en contact avec le sol.
Le voltigeur n'est plus en contact avec le sol.
Le porteur a une surface d'appui unique ou réduite en contact avec le sol. Le
voltigeur est toujours en contact avec sol.
Le porteur a une surface d'appui unique ou réduite en contact avec le sol. Le
voltigeur n'est plus en contact avec le sol.
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Les conduites typiques :
On appelle conduite typique des comportements identifiables des élèves selon leur
niveau de maîtrise de l’activité. Les lignes qui suivent décrivent ces conduites.
Passer du refus du contact physique ou de la communication à la recherche
de nouvelles figures impliquant des contacts nombreux et des dialogues
constructifs.
Passer d’une peur inhérente à l’activité à la conscience du dangereux et du
risqué pour soi-même et pour les autres.
Passer d ‘une motricité individuelle désordonnée à une motricité collective
coordonnée et chorégraphiée.
Passer d’un rapport fonctionnel et anecdotique aux pratiques gymniques à un
rapport symbolique et poétique.
Passer d’une motricité quotidienne peu variée à une motricité spectaculaire
et esthétique
Passer du « refus » de s’exposer au plaisir de collaborer à un spectacle
vivant produit devant les autres.
9. Interdisciplinarité, le lien entre acrosport et d’autres disciplines
La mise en place de l’acrosport permet de :
Développer des compétences relatives au langage oral et écrit
Formuler des consignes
Expliquer des figures
Raconter un enchaînement
Utiliser un vocabulaire spécifique pour indiquer une position : proue faciale ou
dorsale, jambes semi – écartées, mains en panier, appuis,….
Définir des critères d’évaluation
Réaliser des fiches techniques et des fiches d’évaluation
Connaître le corps humain : os, muscles, articulations.
Des connexions peuvent être faites avec d’autres activités :
Activités de cirque : jonglage pendant les porters statiques par les voltigeurs.
Gymnastique sur agrès : dans un gymnase, deux groupes travaillant en même
temps.
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10. Bibliographie sommaire
Revue EPS 1 N° 73 mai/juin 1995
Revue EPS 1 N° 41 janvier/février 1989
Revue EPS N° 265 mai/juin 1997
JDI N° 9 Mai 2002
« Le cirque ». Laurence et Gilles Laurendon. Ed. Milan
« En piste ». Frédérique Krings et Daniel Bron. Les heures bonheurs.
Casterman.
Essai de réponse « Les jeux du patrimoine Tradition et culture » Ed. Revue
EPS . Mai 89
Pour en savoir plus :
« Vers l’acrosport à l’école élémentaire ». Jean Denis Macé. (l’incontournable
en acrosport) CDDP Basse Normandie
« L’acrosport, une innovation en milieu scolaire ». Association Enseignants
EPS (AEEPS).1988. Amicale des Enseignants
12. Annexes
Quelques exemples de situations d’apprentissage :
Jeux d’acrosport :
Les statues
Les déménageurs
Les acrobates
Figures codifiées :
Pyramides
Proues faciales
Proues dorsales
Fiches d’évaluation
Exemples de figures
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