Dossier de presse - Le Public Système Cinéma
Transcription
Dossier de presse - Le Public Système Cinéma
Un film de Lee Myung-Se LA FABRIQUE DE FILMS PRÉSENTE Un film de Lee Myung-se Sélection Officielle Festival du Film Asiatique de Deauville 2006 avec Ha Ji-won, Gang Dongwon, Ahn Sungki, Song Youngchang Durée du film : 1h50 Sortie le 17 mai 2006 www.duelist-lefilm.com DISTRIBUTION La Fabrique de Films 47 rue de Bretagne 75003 PARIS Tél. : 01 40 13 78 00 Fax : 01 42 33 78 23 www.lafabriquedefilms.fr RELATIONS PRESSE Le Public Système Cinéma Céline Petit & Alexandra Faussier 40, rue Anatole France 92594 Levallois-Perret cedex Tél. : 01 41 34 23 50 /22 01 Fax : 01 41 34 20 77 [email protected] [email protected] www.lepublicsystemecinema.com PROGRAMMATION La Fabrique de Films Julien Bourges assisté de Julia Esquiague Tél. : 01 49 96 09 01 Fax : 01 42 71 06 07 jb@lafabriquedefilms.fr RELATION PRESSE PROVINCE La Fabrique de Films Flora Barilla Tél. : 01 40 13 80 77 Fax : 01 42 3 78 23 flora@lafabriquedefilms.fr Synopsis D ans la Corée du XVIIème siècle, Da Mo est le titre donné à une poignée de femmes servant la royauté. Chargées de résoudre des affaires épineuses, elles sont investies du pouvoir d’enquête. La jeune Namsoon poursuit Sad Eyes, un voleur énigmatique, virtuose de l’épée et plein de charme. La policière acharnée et l’habile rebelle vont s’affronter dans des combats majestueux avec humour et amour. LES SOURCES Le film est inspiré de Damo un manwha* très populaire. Il nous plonge dans la dynastie Chosun de la Corée du XVIIème siècle et raconte la tragique histoire d’amour entre une jeune fille élevée comme une guerrière au service de l’aristocratie, le lieutenant de police qu’elle sert depuis son enfance, et un mystérieux épéiste, chef des rebelles. Un feuilleton télévisé portant le même nom en fut tiré, fiction qui acquit très vite le statut de série culte en Corée. 2002 marque la diffusion d’une nouvelle adaptation considérée comme un des meilleurs dramas d’Extrême-Orient avec déjà Ha Ji-won dans le rôle de . *manwha: manga coréen 2 LA PREMIÈRE RENCONTRE : DUEL DANS LE CHAOS A À propos de u début du film, la scène qui se déroule dans le marché pourrait s’intituler « Duel dans le chaos ». Alors que plusieurs personnages (portant des vêtements de différentes couleurs et se déplaçant dans toutes les directions) contribuent à créer une impression d’agitation désordonnée dans cette scène, Sad Eyes, caché derrière un masque de gobelin avec une longue perruque blanche, et Namsoon, se croisent comme si cette rencontre était un signe du destin. Ils échangent un regard et se reconnaissent instinctivement. Cette rencontre prédestinée est mise en valeur par le mouvement circulaire de la foule autour des deux combattants, les isolant du reste des personnages. Le directeur de la photographie, Ki S. Hwang s’est inspiré d’un match de football américain pour illustrer l’énergie du mouvement, chère au réalisateur. Dans chaque scène d’action, tous les éléments qui peuvent exprimer la sensation du mouvement et son esthétisme (celui du corps, celui du sabre, celui des vêtements...) ont également été privilégiés. UNE VISION ALTERNATIVE DES FAITS HISTORIQUES : LE POUVOIR DE L’IMAGINATION L’ approche originelle de DUELIST est de mettre en avant la créativité plutôt qu’une exacte reconstitution historique. DUELIST s’affranchit des drames historiques conventionnels où les couleurs et les formes des vêtements sont strictement codifiées en fonction du statut social et du sexe. L’action dans DUELIST n’est pas de l’action à proprement parler. On parlera plutôt de mouvement, de rythme et de chorégraphie. C’est dans cette optique que les acteurs ont dû apprendre le Taoshik (se tenir sur un pied), une traditionnelle danse des masques et le Zen Sunmudo qui aide à contrôler sa respiration. Ils ont aussi eu à pratiquer le tango pour exprimer l’action à travers des pas de danse et ont même appris la position wind-up du lanceur de base-ball. UNE BATAILLE POUR LA LUMIÈRE ET LA COULEUR D ans DUELIST, la couleur joue un rôle primordial. Selon le directeur de la photographie Ki S. Hwang, la couleur donne tout son style au film : « Elle exprime la profondeur et l’intensité, plutôt que le ton ». Sur DUELIST, la technique d’étalonnage digitale 4K a été utilisée. Elle a servi à mettre en valeur la couleur prise par la peau lorsqu’elle est éclairée par le soleil ou la lune et ce, afin de provoquer la même émotion picturale que celle ressentie face à une toile de Rembrandt. 4 Pour créer ces effets colorimétriques, la 4K était la plus appropriée puisqu’elle permet une transition progressive de la clarté à l’obscurité. Les trois couleurs primaires ont été ainsi pleinement optimisées et utilisées pour la scène du marché ; le réalisateur a par contre utilisé un splendide noir et blanc pour la scène finale qui se passe de nuit. Son premier film GAGMAN est une comédie et est considéré comme « un des plus remarquables premiers films de l’histoire du cinéma » (Tony Rayns). Il fait un carton au box-office avec MY LOVE, MY BRIDE qui s’attache au quotidien d’un couple de jeunes mariés pas encore habitués à la vie commune. Le film évoque leurs joies et leurs peines de « petits bourgeois ». Son style unique (décors de théâtre, insertion d’images de dessins animés, hommage aux classiques de Hollywood, split-screens...) a fait souffler un vent nouveau sur le cinéma coréen. Sa façon de faire cohabiter son imaginaire et la réalité à travers ses films a donné naissance à ce qui est connu aujourd’hui en Corée comme le « Lee Myung-se style ». Son sixième film SUR LA TRACE DU SERPENT (NOWHERE TO HIDE) dont il signe également le scénario est une course-poursuite haletante entre un policier et un criminel. Le film n’a pas seulement été un succès local mais s’est également fait une renommée internationale. Le public et la critique ont été fascinés par la chorégraphie des combats proches de la danse. SUR LA TRACE DU SERPENT est sorti en salles en France en mai 2001 et a remporté cinq prix au Festival du Film Asiatique de Deauville dont le Lotus du Meilleur Film, le Lotus du Meilleur Réalisateur, le Lotus de la Meilleure Photographie et le Lotus du Meilleur Acteur la même année. Avec SUR LA TRACE DU SERPENT, il gagne son ticket d’entrée pour Hollywood. Après quatre ans passés aux Etats-Unis, il a finalement choisi de réaliser DUELIST en Corée, améliorant encore son style visuel et sa chorégraphie des arts martiaux. Filmographie sélective : 2005 1999 1996 1995 1993 1991 6 DUELIST SUR LA TRACE DU SERPENT (NOWHERE TO HIDE) THEIR LAST LOVE AFFAIR BITTER & SWEET FIRST LOVE MY LOVE, MY BRIDE GAGMAN Entretien avec le réalisateur Lee Myung-se Le réalisateur S urnommé par ses compatriotes « l’homme le plus créatif de Corée », Lee Myung-se né en 1957 en Corée a fait ses études de cinéma à L’institut des Arts de Séoul. Après avoir obtenu son diplôme en 1979, Lee devient d’abord assistant réalisateur de Bae Changho sur de nombreux longs métrages dont OUR JOYFUL YOUNG DAYS. « Tout au long du tournage, j’avais constamment à l’esprit deux mots - mouvement et rythme - et deux œuvres d’art - « Danse » de Matisse et « Manhattan » de Mondrian comme références. » Quand on pense à la notion de « duel » qui est au cœur du film, elle semble disposer de nombreux moyens d’expression autres qu’un simple affrontement entre les personnages : les nombreuses variations dans les couleurs, les mouvements et les situations déclinent bel et bien ce thème en filigrane. Je dirais que le duel est plus un sujet structurant qu’un thème à proprement parler. Un sujet en tant que tel crée un style visuel qui permet ensuite de donner une forme bien précise aux éléments contenus dans le film, une unité. Si l’on veut aller plus loin, le duel dans mon film est une somme de plus petits duels intermédiaires. La progression de l’histoire veut que certains passages traduisent une lutte intérieure des personnages avec leurs propres émotions. Il semble que le duel entre les protagonistes et l’histoire d’amour qui se noue entre eux, soient deux intrigues qui entrent sans cesse en conflit, le combat représentant traditionnellement l’opposition et l’affrontement tandis que l’amour évoque bien sûr la fusion, l’unité et la paix. En réalisant FIRST LOVE, je me suis rendu compte que je n’avais pas eu suffisamment de temps pour exprimer les sentiments qui s’emparent de vous lorsqu’on tombe amoureux pour la première fois. Si cela ne tenait qu’à moi, ce film aurait duré 1H50 et l’action se serait concentrée dans une chambre d’hôtel pour pouvoir saisir toutes les émotions. Tout dépend de la définition que vous donnez de l’amour. Habituellement des instants harmonieux entre deux personnes sont présentés comme des attributs de l’amour mais les batailles, les duels, la haine, le conflit en sont aussi des manifestations. C’est de l’amour lorsqu’un couple se dispute violemment, lorsqu’il se bagarre et que chacun renvoie l’autre dans ses cordes ? Comment est-ce que je peux appeler ça de l’amour ? Tout simplement parce que le lendemain matin, quand ils se réveillent côte à côte, ils pansent leurs plaies et se préparent leur café comme si de rien n’était. Quels défis avez-vous eu à relever en situant cette histoire d’amour dans un contexte historique ? Pourquoi avoir choisi de filmer le duel entre cette jeune enquêtrice et ce mystérieux criminel ? Le cinéma est un art commercial. En terme d’efficacité, il est facile de captiver le public avec une histoire rappelant Roméo et Juliette. J’ai voulu ainsi mêler intrigue « grand public » et histoire plus personnelle, celle que je voulais réellement raconter pour DUELIST. Si j’ai choisi une intrigue policière c’est parce que c’est un genre reconnu qui parle aux gens et susceptible de les attirer suffisamment pour que je puisse les amener sur le registre de l’émotion. 8 Il faut voir DUELIST comme un film en costumes plus que comme un vrai drame historique avec un souci de la reconstitution. Si le film s’était déroulé à notre époque, on aurait pu se dire « mais pourquoi ne s’appellent-ils pas sur leurs portables pour régler leur problème ? » mais ici les personnages sont directement plongés dans une situation critique justement parce qu’ils n’ont pas les moyens d’entrer rapidement en contact l’un avec l’autre. Le contexte historique sert à construire cet enjeu dramatique et à le faire facilement accepter par le public. Les gens ne voient le genre dramatique que comme une somme de conventions d’écriture. Mais en fait, chaque histoire que l’on raconte a sa propre part de drame. Il faut dépasser les clivages et prouver que le genre ne se réduit pas à la représentation de personnages marqués par la souffrance et la trahison. Souvent, le plus difficile pour moi est justement d’arriver à réaliser le film que j’ai envie de faire en adaptant et en utilisant des intrigues déjà connues, pour les équilibrer entre elles. On peut voir DUELIST comme la première pierre de cet édifice hétéroclite où les genres coexistent dans un effort d’harmonie. DUELIST est à la fois un drame et une histoire d’amour. Certains aspects du film sont tellement modernes qu’ils finissent par sembler anachroniques. Je connais les faits historiques. Je les ai juste interprétés en faisant preuve d’imagination. Par exemple, quelqu’un qui a vu le personnage de Namsoon dans le film avec les cheveux bouclés en a déduit que DUELIST est un film « fusion » qui jette un pont entre les époques, juste parce que sa coupe de cheveux est très actuelle. Est-ce qu’autrefois toutes les femmes avaient forcément les cheveux raides ? Je suis sûr que certaines d’entre elles avaient les cheveux bouclés. Je n’ai pas fait table rase de ce que l’on sait sur l’époque, j’ai simplement essayé de dépasser les limites imposées par le cadre des drames historiques ; j’ai voulu avancer et porter le genre un cran au-dessus en montrant quelque chose de différent. Vous mettez en avant l’implication des acteurs dans les scènes de combats. Pourquoi leur avoir demandé de réaliser eux-mêmes toutes les cascades ? Gang Dongwon n’a jamais utilisé de doublure pour ses scènes. Il courait et tombait sans que je le lui demande, même pour les plans où on le voit de loin. Je lui ai dit qu’on pouvait le remplacer mais il était important pour lui de tout jouer. Mis à part une ou deux scènes trop dangereuses, Ha Ji-won a aussi tout fait elle-même. Ils ont vraiment comblé toutes mes attentes. J’espère que le public verra les litres de sueur qu’il a fallu transpirer pour obtenir un tel résultat. Faire un long métrage c’est comme suivre une recette de cuisine : le secret de la réussite c’est d’y mettre tout son cœur. Le talent du cuisinier est variable selon les personnalités bien sûr, mais l’ingrédient de base, le liant, ce sont les acteurs, faisant de leur mieux, donnant tout et suant sang et eau pour le film. Comment avez-vous déterminé le choix de la musique ? La musique et plus largement le travail sur le son sont des aspects très importants de DUELIST. La musique se substitue aux dialogues et ne se résume pas à de l’illustration sonore. Dans sa variété, elle est le reflet des émotions intérieures et des situations : elle est une des voix du film et en est indissociable. Elle correspond vraiment à l’idée que j’ai de la « musique de film » qui n’accompagne pas seulement les images mais les raconte et va au-delà de la perception visuelle. Pourquoi avoir choisi le titre DUELIST comme titre à l’international ? « Si j’ai fait ce film c’est pour qu’il touche tous les publics et pas seulement le public coréen. J’ai toujours choisi des thèmes universels (l’amour, le combat, la rivalité, etc...) comme fils directeurs de mes films et pas seulement pour DUELIST. 10 Si je n’ai pas gardé le titre original («Détective»), c’est pour cette question d’universalité. Dans la vie de tous les jours, nous utilisons l’anglais, le coréen sans faire de distinction ; nos modes de vie sont le résultat de l’ouverture aux autres et de la mixité, pourquoi ne pas appliquer cela au cinéma ? » L’art est pluri-dimensionnel et montre un monde imaginaire et alternatif. Mon but en tant que réalisateur et cinéaste est de concentrer tous mes efforts afin d’atteindre ce but. 12 Le casting HA JI-WON (NAMSOON) N ée en 1979 à Séoul, Ha Ji-won fait partie des actrices qui comptent dans le cinéma coréen contemporain. Elle a fait ses débuts à la télévision en 1997 et a enchaîné depuis les rôles au cinéma. Que ce soit dans un film d’horreur, un film d’action ou une comédie romantique, cette comédienne sait adapter son jeu et rester convaincante. Filmographie sélective : 2005 2204 2004 2003 2002 2002 DUELIST de Lee Myung-se LOVE SO DIVINE de Heo In-mu HEARTS IN BALI de Choi Moon-seok - TV DAMO de Lee Jae-gyu - TV SEX IS ZERO de Yun Je-gyun PHONE de Ahn Byeong-ki Sites de fans www.hancinema.net/korean_Ha_Ji-won.php angelicfan.flirtatious.org/hajiwon GANG DONGWON N (SAD EYES) é en 1981 à Séoul, Gang Dongwon a d’abord commencé sa carrière comme mannequin avant de se tourner avec succès vers la télévision et le cinéma. Il suscite un réel engouement de la part des réalisateurs coréens qui se l’arrachent depuis sa prestation dans ROMANCE ON THEIR OWN. Avec le rôle de Sad Eyes dans DUELIST, il montre que sa réputation n’est pas usurpée et dépasse son statut d’icône populaire grâce à son jeu d’acteur tout en finesse. Filmographie sélective 2005 2004 2004 2004 2004 2003 DUELIST de Lee Myung-se ROMANCE OF THEIR OWN de Kim Tae-gyun TOO BEAUTIFUL TO LIE de Bae Hyeong-jun MAGIC - TV COUNTRY PRINCESS - TV 1% OF SOMETHING - TV Sites de fans blog.naver.co.jp/andyummy13?Redirect=photo ganbunky.exblog.jp/ 15 AHN SUNGKI S (DÉTECTIVE AHN) tar depuis l’enfance en ayant tourné son premier film à l’âge de cinq ans, Ahn Sungki est resté l’un des acteurs les plus célèbres et acclamés de Corée. Ces dernières années il a notamment collaboré avec Im Kwon-Taek sur six longs métrages dont le célèbre IVRE DE FEMMES ET DE PEINTURE. Sa pratique des arts martiaux et son goût pour le cinéma d’action se manifestent dans sa filmographie à travers des films tels que MUSA, LA PRINCESSE DU DÉSERT et le précédent opus de Lee Myung-See SUR LA TRACE DU SERPENT. Leur collaboration fructueuse s’exprime pleinement dans DUELIST. Filmographie sélective : 2005 2004 2003 2001 2000 1999 1993 1988 1981 DUELIST de Lee Myung-se ARAHAN de Ryoo Seung-wan SILMIDO de Kang Woo-suk IVRE DE FEMMES ET DE PEINTURE de Im Kwon-taek MUSA, LA PRINCESSE DU DÉSERT de Kim Sung-su SUR LA TRACE DU SERPENT (NOWHERE TO HIDE) de Lee Myung-se TWO COPS de Kang Woo-suk GAGMAN de Lee Myung-se MANDALA de Im Kwon-tae SONG YOUNGCHANG N (LE MINISTRE DE LA DÉFENSE) é en 1957, Song Youngchang a longtemps été catalogué dans des rôles d’hommes plutôt faibles mais dans DUELIST il est LE méchant de l’histoire. Son visage pâle et inquiétant convient parfaitement à ce personnage de conspirateur machiavélique. Filmographie sélective 2005 2000 1998 1993 DUELIST de Lee Myung-se THE FOUL KING de Kim Ji-woon AFFAIRS de Lee Yong-je FIRST LOVE de Lee Myung-se 17 Focus sur... LE DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE KI S. HWANG N é en 1970, Ki S. Hwang quitte la Corée pour les EtatsUnis à l’âge de 10 ans. Après avoir tourné plus de 1000 clips vidéos en tant que chef électricien, il décide de retourner dans son pays natal. Fort de son expérience, il est désormais reconnu comme étant le meilleur chef opérateur de Corée. Composant à chaque fois des cadres magnifiques, il a mis son talent à l’oeuvre dans des genres très différents, saisissant au plus près les sentiments des personnages qui défilent devant la caméra. Si Lee Myung-Se l’a choisi pour l’accompagner dans l’aventure de DUELIST, c’est avant tout pour sa capacité à capturer le non-dit des émotions qui s’emparent des héros et pour son aptitude à sublimer les scènes de combat imaginées par le réalisateur. Il a d’ailleurs remporté le Prix de la Meilleure Photographie pour ce film en 2005 aux 4ème Korean Film Awards et aux 25ème Korean Film Critics Awards. « Ki. S Hwang sait souligner la beauté visuelle des images qu’il crée et renforce la trame narrative de l’histoire. La traduction de l’histoire en images est justement le savoir-faire élémentaire que devrait posséder chaque chef opérateur. Mais au-delà de cet aspect, il est évident que la créativité dont fait preuve Ki S. Hwang est unique et ne s’apprend pas. Son association avec Lee Myung-Se sur DUELIST fait de ce film, le film le plus visuellement impressionnant de l’année 2005.» LEE JOOYOUNG, « LES 50 ENTERTAINERS LES PLUS CRÉATIFS DE CORÉE » Filmographie sélective : 2005 2004 2003 2001 2001 18 DUELIST de Lee Myung-se MY BROTHER de Ahn Kwontae MUTT BOY de K.T Kwak WANEE & JUNHA directed by Kim Yonggyun FRIEND de K.T Kwak Fiche artistique Namsoon Sad Eyes Détective Ahn Ministre de la Défense Ha Ji-won Gang Dongwon Ahn Sungki Song Youngchang Fiche technique Réalisation Scénario Direction de la Photographie Lumière Décors Directeurs Artistiques Costumes Chorégraphies Son Montage Effets spéciaux Assistants réalisateurs Directeurs de production Régisseur Musique Producteur exécutif Producteurs Production Lee Myung-se Lee Myung-se, Lee Haekyung Basé sur la bande dessinée de Bang Hakki Ki S. Hwang Shin Gyungman Lee Myung-se Lee Hyeongjoo, Cho Keunhyun Chong Kyonghee Jeon Moonshik Park Jun-o Go Limpyo Jang Sungho (MoFac Studio) Koo Sangbeom, Lee Seryoun, Kim Junggon Kim Hun, Jin Jihyun Sun Bongkil Cho Sungwoo Kim Jae-young Oh Eunsil, O Sumi Production M Pour s’aimer, ils devront s’affronter www.duelist-lefilm.com