lyon et l`olympisme - Archives de France
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lyon et l`olympisme - Archives de France
EXPOSITION aux Archives de Lyon LYON ET L’OLYMPISME COMMUNIQUE DE PRESSE | avril 2013 Du 15 mai au 31 août 2013, les Archives municipales de Lyon présentent LYON ET L’OLYMPISME. L’exposition restitue la mémoire et le patrimoine, parfois très surprenant et ancien, de l’olympisme à Lyon, mis à l’écart en raison de l’infortune des candidatures de 1920, 1924 et 1968. EXPOSITION du 15 mai au 31 août 2013 Fermeture les jours fériés ENTREE LIBRE le lundi de 11 h à 17 h du mardi au vendredi de 8h30 à 18 h, le samedi de 13 h à 18 h Archives de Lyon 1, place des Archives 69 002 Lyon www.archives-lyon.fr 04 78 92 32 50 Contact presse Dorothée Cipri Hervé Laronde 04 78 92 32 64 [email protected] [email protected] Jamais organisatrice mais toujours résolument inscrite dans l’esprit des Jeux Olympiques, la ville de Lyon a plusieurs fois proposé une candidature proportionnée et « intelligente ». Elaborée parallèlement à l’exposition Lyon l’internationale et dans le cadre du 150e anniversaire de la naissance de Pierre de Coubertin, le « rénovateur » des Jeux en 1894, Lyon et l’olympisme se décline en cinq thèmes retraçant le contexte et les circonstances ayant présidé au dépôt des candidatures de Lyon pour les J.O. de 1920, 1924 ou 1968. La volonté d’accueillir la grande manifestation des Jeux dans le tout nouveau et esthétique stade de Gerland fut, très tôt, l’occasion pour le sénateur-maire Edouard Herriot de soumettre au baron de Coubertin la candidature de Lyon. Mais si pour l’édition de 1920 Anvers fut préférée à Lyon, la ville dut encore se résigner pour l’olympiade de 1924 au profit de Paris, dont la désignation avait été dès 1921 suggérée par le baron lui-même. Depuis l’inspiration d’un idéal antique dans lequel il puisait en partie comme helléniste, jusqu’à sa vision sociale et hygiéniste du sport, Edouard Herriot a peu à peu modelé le paysage sportif architectural lyonnais. Dès le milieu des années 1910, de multiples infrastructures prestigieuses, dont le stade de Gerland est le fleuron, vinrent couronner sa volonté affirmée de rayonnement de la ville. Construite en autant de thématiques que d’anneaux olympiques et illustrée de nombreux documents, moulages, gravures, plans et affiches, l’exposition évoque aussi le ballet intitulé Les Jeux Olympiques, présenté en mai 1714 à l’occasion de la construction de la statue équestre de Louis XIV et les spectacles olympiques donnés à Lyon au cours du 20e siècle. Elle décrit par ailleurs le contexte du rétablissement des Jeux en 1894 puis des relations de Lyon avec Pierre de Coubertin et retrace les circonstances de sa candidature pour les J.O. de 1968, ou encore l’embryon de candidature régionale de 2004. Le parcours de la flamme olympique dans les rues de la ville quelques semaines avant les olympiades de Grenoble en 1968 et d’Alberville en 1992 et un hommage aux « Olympiens lyonnais », les athlètes régionaux témoins du souffle olympique dans leur ville, sont également abordés à travers photographies et affiches. En partenariat avec le Comité départemental olympique et sportif du Rhône. Commissaire scientifique : Sylvain Bouchet, historien de l’olympisme