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projection
Trisha Brown
Archives inédites
Dimanche 3 novembre 2013 à 11h30
à La Cinémathèque française
saison
2013 / 2014
-
communiqué
de presse
-
CONTACTS PRESSE
Centre national de la danse
Direction de la communication,
des publics et du développement
Anne-Sophie Voisin
Cyril Duchêne
1, rue Victor Hugo
93507 Pantin cedex
T 01 41 83 98 12 / 10
[email protected] / [email protected]
Roof Piece on the High Line © Kevin Vast, 2011
Tous les premiers dimanches de chaque mois à 11h30, retrouvez la
Cinémathèque de la Danse à La Cinémathèque française.
Un cycle de projections pour permettre à tous les publics d’aiguiser
leurs goûts pour le cinéma et la danse.
La Cinémathèque de la Danse participe à l’hommage rendu cet
automne à Trisha Brown en présentant pour la première fois en
France un film et des archives inédites.
CENTRE NATIONAL DE LA DANSE
Président du Conseil d’administration :
Jean Gautier
Directrice générale :
Monique Barbaroux
1, rue Victor Hugo
93507 Pantin cedex
40 ter, rue Vaubecour
69002 Lyon
01 41 83 98 98
[email protected]
www.cnd.fr
projection — cinémathèque française
Dimanche 3 novembre 2013 à 11h30
Trisha Brown, archives inédites
tarifs : 6,50 €, tr : 5,50 €, - 18 ans : 3 €,
abonné/ée : 4,50 €
cinémathèque française
51, rue de bercy
75012 paris
durée estimée du programme :
70 minutes
Roof Piece on the High Line © Kevin Vast, 2011
En concordance avec le Festival d’Automne à Paris, qui accueille la Trisha Brown
Dance Company au Théâtre de la Ville en novembre 2013, le département de la
Cinémathèque de la Danse a souhaité participer à cet hommage, en présentant
une séance consacrée à l’œuvre de Trisha Brown.
Un film inédit de Babette Mangolte, Roof Piece on the High Line, réalisé en 2012,
sera présenté pour la première fois en France, tout comme des archives
audiovisuelles qui mettront en relief certaines pièces de Trisha Brown et
notamment ses Early Works (1966-1979).
La pièce Roof Piece de Trisha Brown est devenue un symbole dans les années 1970
en concentrant l’attention du spectateur sur des toits où des danseurs évoluaient.
La recréation effectuée en 2011 pour le trente-huitième anniversaire de cette pièce
change de propos, le spectateur devant également se déplacer pour suivre chaque
interprète de cette chorégraphie. Cette œuvre révèle comment, en partant de
mouvements improvisés par un danseur, depuis le toit d’un immeuble, à une
distance importante, la danse et sa vision en sont totalement transformées.
« Alors que tout a débuté par l’improvisation à partir d’actions simples, très vite
Trisha Brown s’orienta vers ce qu’elle nomme "l’improvisation structurée" qui,
dans le cadre de limites précises (exécuter 195 gestes avant d’atteindre l’autre mur,
par exemple), exige de trouver des solutions immédiates. On utilise sa tête,
on pense, tout le corps fonctionne en même temps. Chez elle, le mouvement est
pur, ni fonctionnel, ni imitatif. Mais les idées chorégraphiques ne manquent pas
d’humour à travers la rigueur et elle prend un malin plaisir à dévier le mouvement
que l’on attendait. "Je tiens absolument à ce que mon public comprenne mon
travail", dit-elle. »
Bernadette Bonis, journaliste
Billetterie-Réservation
01 41 83 98 98
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www.cnd.fr
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trisha brown
Née le 25 novembre 1936 à Berdeen (Washington, États-Unis), Trisha
Brown, figure majeure de la danse américaine, s’est révélée au public
dans les années 1960 au Judson Dance Theater de New York,
collectif privilégiant l’improvisation. En compagnie d’artistes avec
lesquels elle partage une communauté d’esprit (Yvonne Rainer,
Steve Paxton), elle repousse les limites du mouvement et transforme
la danse moderne d’une manière définitive en rendant au geste
son naturel.
En écho aux chorégraphies d’Anna Halprin, qu’elle a côtoyée, ses
premières créations s’intéressent aux mouvements quotidiens
(s’habiller, se déshabiller, marcher...) et à l’accumulation des gestes.
Trisha Brown commence très tôt à explorer ses idées complexes sur
le mouvement en travaillant à plusieurs pièces regroupées par
© Trisha Brown Dance Company
cycles. En 1983, Set and Reset est un de ses chefs-d’œuvre : la danse
s’insère parmi les objets de Robert Rauschenberg, sur une partition composée par Laurie Anderson.
Ses pièces les plus récentes poursuivent leur quête de nouveaux territoires : Present Tense, en 2003,
sur une musique de John Cage, semble faire écho à l’article de Robert Morris The Present Tense of
Space. En 2004, elle signe O zlozony O composite pour trois danseurs étoiles de l’Opéra national
de Paris. Puis, en 2005, How long does the subject linger on the edge of the volume utilise la dernière
technologie de captation du mouvement pour ses éléments visuels et ses graphismes.
En 2006, elle met en scène Da Gelo a Gelo, un nouvel opéra de chambre de Salvatore Sciarrino.
La Trisha Brown Dance Company, créée en 1970 par la chorégraphe, compte aujourd’hui une
dizaine de danseurs, quatre-vingt-dix créations et parcourt régulièrement le monde entier.
Dans le cadre du Festival d’Automne, la Trisha Brown Dance Company présentera plusieurs pièces
du 22 octobre au 1er novembre 2013 : For M.G. : the Movie, Homemade, Newark, Foray Forêt, If you
couldn’t see me et Astral Convertible.
Ne manquez pas...
Les prochaines projections à la Cinémathèque Française
Premier dimanche de chaque mois à 11h30
- dimanche 1er décembre : Carte blanche à Robert Wilson
- dimanche 5 janvier : Autour de Pier Paolo Pasolini
- dimanche 2 février : Autour de Pina Bausch (en partenariat avec L’ Arche Éditeur)
- dimanche 2 mars : Luttes et danses contre l’apartheid en Afrique du Sud
(années 1960)
- dimanche 6 avril : Merce Cunningham par Charles Atlas
- dimanche 4 mai : Le temps du tango
- dimanche 1er juin : Le Brésil au cœur du monde (candomblé, samba, bossa nova).
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Le Centre national de la danse :
12 000 m2 pour toutes les danses
Président
du Conseil d’administration
Jean Gautier
Directrice générale
Monique Barbaroux
© Centre national de la danse / Violaine Boudon
Spectacles — Cinéma — Formations — Médiathèque —
Services aux professionnels/elles — Éducation à la culture chorégraphique…
Le Centre national de la danse est un lieu de vie dont l’action est fondée sur une
circulation permanente entre création, diffusion, patrimoine, formations et services
aux professionnels/elles et accès à la culture chorégraphique.
Ouvert à toutes les esthétiques de danse et à tous les publics, curieux, professionnels,
amateurs, riverains, le CND incarne un lieu de pensée, une fabrique de la danse où
l’on regarde, lit, pratique, recherche, projette de nouvelles aventures artistiques ;
un centre ressources doté d’une Médiathèque et d’une Cinémathèque de la Danse ;
une terre d’accueil et de résidence pour de nombreux artistes.
Un lieu d'expérimentation qui contribue au rayonnement national, européen et
international d’un art à la fois savant et accessible.
La danse, dans toutes ses dimensions, de la création contemporaine au patrimoine,
qu'elle soit pratiquée par les amateurs ou professionnels, est un puissant vecteur
de lien social. Riche de la diversité de ses expressions, de ses œuvres, elle est un bien
commun à partager.
C’est pourquoi le CND s’inscrit dans une démarche volontaire pour que l’éducation
artistique et culturelle demeure une priorité. Enjeu essentiel pour tous : avoir à cœur
de pérenniser les énergies existantes, transmettre une connaissance et un goût pour
l’art chorégraphique et diffuser de l’intelligence sensible, émotionnelle, tout au long
des parcours scolaires.
1, rue Victor Hugo 93507 Pantin cedex
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Le Centre national de la danse, opérateur de l’État, est un établissement public à caractère industriel et
commercial (EPIC), sous tutelle du ministère de la Culture et de la Communication (Direction générale de la
création artistique).
Partenaires média
de la saison 2013 / 2014 :
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Informations pratiques
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Pantin / Île-de-France
1, rue Victor Hugo 93507 Pantin Cedex
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> Accueil général
Du lundi au vendredi de 9h à 19h, le samedi de 9h
à 19h pour les professionnels/elles uniquement
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de 13h à 19h (hors jours fériés)
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