Comment faire le « Buuz
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Comment faire le « Buuz
Comment faire le « Buuz » ? le « Buzz » Recette d’un succulent plat traditionnel mongol Ingrédients Pour la pâte : 500 g de farine 10 dl d’eau Pour la farce : 300 g de viande hachée de bœuf 1 oignon 2 gousses d’ail (facultatif) 100 g de chou blanc et de carotte 1 dl d’eau 1 pincée de sel et de poivre Préparation en 3 étapes Pour préparer la pâte, verser la farine dans un bol, ajouter l’eau puis mélanger le tout, jusqu’à obtenir une pâte. Laisser reposer la pâte environ 10 minutes en la couvrant avec un couvercle. Pendant ce temps, préparer la farce. Verser la viande hachée (crue) dans un bol. Couper ensuite l’oignon, l’ail, la carotte et le chou blanc en petits carrés et verser le tout dans le bol. Ajouter l’eau, une pincée de sel et de poivre, puis mélanger. Laisser reposer la farce 10 minutes, en la couvrant avec un couvercle. Prendre la pâte et la rouler de manière à former un long rouleau. Couper plusieurs petits morceaux du rouleau et les aplatir, un à un, à l’aide d’un rouleau à pâtisserie. Les petits morceaux de pâte doivent être ronds et fins. Prendre ensuite un morceau de pâte aplati et le remplir avec environ une cuillère à soupe de farce. Veillez à ne pas trop remplir le Buuz, afin de pouvoir le fermer. Refermer ensuite le Buuz, selon la technique expliquée dans la vidéo ci-dessous (séquence entre 02:07 et 02:28). Faire de même pour chaque Buuz. Une fois que tous les Buuz sont farcis et fermés, les faire cuire à la vapeur durant 15 minutes. Vous pouvez servir les Buuz avec de la salade. Bon appétit ! Munguu D Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils Infos: Tutoriel pour bien réussir ses Buuz https://www.youtube.com/watch?v=pYlJxqdxp2k Des délices éthiopiens Timaj Abdulahi prépare le samoussa au bœuf et le bajia. Photo: Voix d’Exils. Recettes Timaj Abdulahi, ancienne rédactrice de Voix d’Exils, nous propose deux spécialités culinaires éthiopiennes, le samoussa au bœuf et le bajia. Ces deux recettes populaires sont régulièrement préparées lors de grandes fêtes familiales et pendant le mois de ramadan. Samoussa au bœuf Ingrédients 1 kg de bœuf haché 1 paquet de feuilles de brick de forme rectangulaire 4 oignons 2 gousses d’ail 3 piments verts 100 g de coriandre 1 cuillère à café de sel ½ cuillère à café de paprika 1 cuillère à café de cumin 1 cuillère à soupe d’huile huile pour friture Préparation de la farce Dans une poêle, faire revenir la viande hachée à feu vif et laisser cuire pendant 10 minutes. Ajouter les oignons, les gousses d’ail, les piments verts et la coriandre finement émincés. Bien mélanger et laisser cuire à feu doux 10 à 15 minutes. Ajouter le sel, le cumin et le paprika. Cuisson Répartir la farce dans les feuilles de brick (2 feuilles par samoussa). Procéder au pliage (suivre l’explication notée sur l’emballage). Coller le dernier revers avec de la farine mélangée à de l’eau. Faire dorer dans un peu d’huile 4 minutes de chaque côté. En fin de cuisson, déposer les samoussas sur une assiette recouverte de papier absorbant afin de retirer l’excès d’huile de cuisson. Le samoussa et le bajia Bajia Ingrédients 2 ½ verre de farine de pois chiches 1 oignon 1 gousse d’ail 2 piments verts 50 g de coriandre ½ cuillère à café de sel ½ cuillère à café de paprika 1 ½ cuillère à café de levure chimique huile pour friture Préparation La pâte : Mélanger la farine avec de l’eau jusqu’à consistance d’une pâte épaisse. Ajouter tous les autres ingrédients et bien mélanger. Laisser reposer la pâte pendant 10 minutes. Cuisson Chauffer un peu d’huile dans une poêle à feu moyen. Verser une cuillère à soupe de la pâte dans la poêle et faire cuire 4 minutes de chaque côté. En fin de cuisson, déposer les bajias sur une assiette couverte de papier absorbant afin de retirer l’excès d’huile de cuisson. Bon appétit! Rama Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils Le Hariseh aux amandes Le Hariseh de Rama. Photo: Voix d’Exils. Une douceur du Proche-Orient Le Hariseh ou Namoura est un dessert du Proche-Orient délicieux qui est préparé lors des fêtes et des occasions spéciales. Ce gâteau a plusieurs recettes et noms différents. En Égypte, par exemple, on l’appelle le Basboussa. Nous vous proposons ici une des recettes syriennes. Préparation Difficulté : facile Préparation : 10 minutes Cuisson : 30 minutes Liste des ingrédients La pâte : 4 œufs 1 verre de semoule très fine 1 verre de yaourt 1 verre de sucre 1 verre d’huile 1 verre de noix de coco râpée 1 verre de farine 1 sachet de sucre vanillé 1 sachet de levure chimique du zeste d’un citron Des amandes grossièrement râpées Le sirop : 1 verre de sucre (200 g) 1 demi-verre d’eau (100 g) 1 bâton de cannelle 2 cuillères à soupe d’eau de fleur d’oranger 1 tranche de citron La Préparation Préparation du gâteau : 1. Dans un saladier, battre les œufs avec le zeste de citron et le sachet de sucre vanillé. 2. Verser l’huile et ajouter le sucre et le yaourt, puis mélanger jusqu’à ce que le sucre soit fondu. 3. Ajouter ensuite la semoule, la farine, la noix de coco et la levure chimique. 4. Laisser reposer tous les ingrédients pendant une 1 ou 2 heures. 5. Verser la préparation dans un moule beurré, puis saupoudrer avec les amandes. 6. Faire cuire à 180 degrés pendant 30 minutes. Préparation du sirop : 1. Verser tous les ingrédients, sauf l’eau de fleur d’oranger dans une casserole. Porter à ébullition et cuire 10 minutes. 2. Enlever la casserole du feu et verser l’eau de fleur d’oranger. Comment servir ? Couper des portions en carrés ou en losanges sans sortir le gâteau du moule. Une fois qu’il a refroidi seulement, verser le sirop bouillant. Variante : sortir le gâteau et verser immédiatement du sirop froid. Bon appétit ! Recette proposée par : Rama Kouria Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils Recette. Le « fumbwa » ou « koko » : une spécialité d’Afrique centrale Le « fumbwa » ou « koko ». Photo: Voix d’Exils Consommée en Afrique centrale, cette plante est appelée fumbwa en République Démocratique du Congo (RDC) et koko en République du Congo (RC). A l’origine, le fumbwa était consommé seulement par les Bakongos, une ethnie vivant dans l’ouest de la RDC, la RC et l’Angola. Mais, au fil des temps, il s’est imposé et il est actuellement consommé par les autres ethnies de ces trois pays qui apprécient son goût délicieux et son apport nutritionnel. Il est disponible dans les magasins africains, antillais, indiens et turcs. Recette du « fumbwa » ou « koko » Pour 4 personnes Temps de préparation: 1 heure Ingrédients: 1 sachet de fumbwa ou koko de 100 grammes 250 g de pâte d’arachide 1 poisson fumé ou séché de 400 grammes 2 gros oignons 2 gousses d’ail 1 feuille de laurier 1 cube de bouillon de légumes 3 tomates 3 cuillères d’huile de palme Sel, piment, ciboulette Préparation : Faire tremper le fumbwa dans beaucoup d’eau pendant une heure puis laver et égoutter. Faire cuire le poisson fumé ou séché pendant 15 minutes et le désosser. Mélanger les tomates, l’oignon, la ciboulette et l’ail. Mettre le tout dans une casserole et ajouter la pâte d’arachide et l’huile de palme. Faire cuire pendant une heure jusqu’à ce que le fumbwa soit tendre. N’oubliez pas de mélanger doucement et régulièrement pour éviter les grumeaux. 15 minutes avant la fin de la cuisson, ajouter le poisson fumé ou séché et le piment. Le fumbwa est servi accompagné de semoule de manioc appelé foufou ou de semoule de blé dur ou encore de la chikwangue (pain de manioc roui et moulé dans une feuille de bananier) P.K. Membre de la rédaction neuchâteloise de Voix d’Exils Le « Fateh » ou « Teseaye » : un régal oriental Samir présente le « Teaseaye ». Photo: Voix d’Exils. Une nouvelle rubrique culinaire fait son apparition sur Voix d’Exils et vous propose de découvrir des plats du monde entier. Si l’expérience vous tente, envoyez-nous votre recette préférée à [email protected] en n’oubliant pas d’indiquer : -Le contexte du plat : ses origines et son histoire. -Les ingrédients et, le cas échéant, comment se les procurer. -Les indications relatives à la préparation du plat. -Votre nom pour la signature du met Merci de joindre quelques photographies du plat en attache au mail et en format JPEG. Nous inaugurons cette nouvelle rubrique avec un plat typiquement oriental qui a fait le bonheur de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils! Au Liban, ce plat est appelé « Fateh », alors qu’en Syrie il est appelé « Teseaye ». C’est un plat très connu et très apprécié dans les pays orientaux. On le mange à n’importe quelle heure : le matin au petit déjeuner, à midi ou même le soir. Très nourrissant, il se mange chaud, il est facile à préparer et les ingrédients qui le composent sont bons marchés. On peut le préparer avec ou sans viande. Zoom avant sur le « Teseaye ». Photo: Voix d’Exils. FATEH OU TESEAYE Pour 4 personnes Temps de préparation : environ 30 minutes Ingrédients : 2 verres de pois chiche 4 ou 5 pains libanais 1 kilo de yoghourt nature ½ verre de crème de sésame Jus de citron 1 gousse d’ail ½ verre d’amande grillées ½ verre de pignons grillés 300 g de viande hachée Sel, paprika, cumin moulu La rédaction vaudoise de Voix d’Exils termine en beauté la séance de rédaction du lundi matin en se régalant! Photo: Voix d’Exils Préparation : Faire tremper les pois chiche dans de l’eau avec une petite cuillère de bicarbonate de soude pendant 8 heures, puis les laver. Faire bouillir les pois chiche dans 2 litres d’eau jusqu’à ce qu’ils soient tendres. On peut également utiliser des pois chiche en conserve déjà cuits. Couper le pain libanais en petits morceaux carrés et tapisser le fond d’un grand plat allant au four. Humidifier le pain avec une partie de l’eau de cuisson des pois chiche, puis recouvrir avec les pois chiche. Mélanger le yoghourt avec l’ail écrasé, le jus d’un demi-citron, un peu de sel et la crème de sésame. Verser le tout sur le pain et les pois chiche. Chauffer brièvement au four. Avant de servir, décorer avec des amandes et des pignons grillés à la poêle et saupoudrer de cumin et de paprika. La recette varie d’un pays à l’autre, certains y ajoutent des aubergines frites, d’autres préfèrent ajouter un peu de vinaigre à la place du jus de citron. Pour une recette non végétarienne, ajouter sur le yaourt de la viande hachée (bœuf ou agneau) ou de gros morceaux de poulet. Samir Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils