programme détaillé - Laboratoire de Médiévistique Occidentale de

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programme détaillé - Laboratoire de Médiévistique Occidentale de
Séminaire
Histoire de la construction
Organisé par
Le Laboratoire de médiévistique occidentale de
Paris(LAMOP) UMR 8589, CNRS - Université Paris 1 PanthéonSorbonne
Le Centre de théorie et analyse du droit
(CTAD)UMR 7074, CNRS - Université Paris Ouest Nanterre La Défense
et
Le Laboratoire Archéologie et Philologie
d’Orient et d’Occident (UMR 8546, ENS-CNRS-EPHE)
avec le soutien du laboratoire d’excellence TransferS.
Lundi 9 janvier 2017
10h à 17h30
La brique
Lieu :
Université de recherche Paris Sciences et Lettres
PSL, salle de séminaire
60, rue Mazarine, 75006 PARIS
métro : Saint-Germain des Prés,
Mabillon ou Odéon
Réalisation de briques crues, cliché Ph. Martinez,
http://www.archeologiesenchantier.ens.fr/spip.php?article27)
10h
Introduction
10h15
Evelyne Bukowiecki, Ecole française de Rome
La chaine opératoire de la brique cuite dans la Rome impériale
11h15
Raphaël De Filippo, Institut national de recherches archéologiques préventives
L’enceinte urbaine de Toulouse : une exception architecturale, un chantier singulier
12h30-14h
Déjeuner
14h
Daniela Pittaluga, Université de Gênes
L’art de bâtir en briques dans la ville médiévale et post-médiévale en Ligurie
15h
Antoine Le Bas, Service de l'inventaire général du patrimoine culturel, Région Île-de-France
La construction de la proche banlieue parisienne, enfant d'une industrie céramique
éphémère
16h15
Revue de publications récentes sur l’histoire de la construction
Atelier : Reprise des manuscrits d’Antoine D’Alleman
2
Résumés
Evelyne Bukowiecki est archéologue, spécialiste de la construction romaine. Elle a soutenu
une thèse en 2008 sur La brique dans l’architecture impériale à Rome. Après une bourse
postdoctorale de trois ans au département d’architecture du Deutsche Archäologische
Institut de Berlin, elle occupe actuellement les fonctions de chargée de montage de projets
en archéologie à l’École française de Rome. Elle a participé à de nombreux projets de
recherche internationaux sur l’architecture monumentale à Rome (Domus Severiana, stade
du palatin, Domus Augustana, Domus Flavia, Domus Aurea, stade de Domitien), mais aussi
sur l’architecture utilitaire dans les sites portuaires d’Ostie et de Portus (les châteaux d’eau
d’Ostie, les Grandi Horrea d’Ostie, les entrepôts dits de Trajan à Portus).
La chaine opératoire de la brique cuite dans la Rome impériale
A partir des récentes acquisitions sur l’origine de la brique romaine (Workshop de Padoue
2016 : « Laterizio II ») et son utilisation dans les chantiers impériaux (Workshop de Rome
2014 : « Laterizio I »), cette intervention proposera un panorama général sur la chaîne
opératoire de la brique romaine. Seront abordés en particulier la mise en réseaux des lieux
de production dans la moyenne vallée du Tibre, la standardisation des formats des briques,
la logistique mis en place autour de l’approvisionnement en briques des chantiers urbains
(transport et stockage) ainsi que les caractéristiques de leur mise en œuvre dans les
constructions.
Bibliographie :
- J. Bonetto, E. Bukowiecki, R. Volpe (dir.), Alle origini del laterizio romano. Nascita e
diffusione del mattone cotto nel Mediterraneo tra IV e I sec. a.C. (Atti del II Convegno
internazionale “Laterizio” – Padova, 26-28 aprile 2016), CEFR, en préparation.
- E. Bukowiecki, R. Volpe, U. Wulf-Rheidt (dir.), Il laterizio nei cantieri imperiali. Roma ed il
Mediterraneo (Atti del I workshop “Laterizio” – Roma, 27-28 novembre 2014) , Archeologia
dell’Architettura XX, 2015.
- G. Boetto, E. Bukowiecki, N. Monteix, C. Rousse, « Les Grandi Horrea d’Ostie », dans B.
Marin, C. Virlouvet C. (dir.), Entrepôts et trafics annonaires en Méditerranée. AntiquitéTemps modernes, CEFR 522, 2016, p.177-226.
- E. Bukowiecki, U. Wulf-Rheidt, « I bolli laterizi delle residenze imperiali », dans Römische
Mitteilungen, 121, 2015, p. 311-482.
- F. Pagliaro, E. Bukowiecki, F. Gugliermetti, F. Bisegna, « The architecture of warehouses : a
multidisciplinary study on thermal performances of Portus’roman store buildings », dans
Journal of Cultural Heritage, volume 16, Issue 4, July-August 2015, p. 560-566.
- E. Bukowiecki, « Considérations sur l’esthétique de la brique apparente dans l’architecture
impériale à Rome », dans S. Bourdin, J. Dubouloz, E. Rosso (dir.), Peupler et habiter l’Italie
dans le monde romain (Mélanges en l’honneur de Xavier Lafon), Presse Universitaire de
Provence, 2014, p. 163-172.
- E. Bukowiecki, « L’usage de la brique dans le chantier du stade de Domitien », dans J.-F.
Bernard (dir.), «Piazza Navona, ou Place Navone, la plus belle & la plus grande». Du stade de
Domitien à la place moderne, histoire d’une évolution urbaine, Rome, 2014, p. 159-171.
- E. Bukowiecki, « Le stockage des briques à Rome », dans Archéologie de la construction III.
3
Les chantiers de construction de l’Italie et des provinces romaines. L’économie des chantiers.
(Workshop de Paris : École Normale Supérieure, 10-11 décembre 2009), dans Anejos de
Archivo Español de Arqueología, LXIV, Madrid-Mérida, 2012, p. 161-178.
- E. Bukowiecki, « La taille des briques de parement dans l’opus testaceum à Rome », dans
Archeologia della costruzione II. I cantieri edili dell’Italia e delle province romane, 2. Italia e
province orientali (Workshop di Siena : Certosa di Pontignano, 13-15 novembre 2008), dans
Anejos de Archivo Español de Arqueología, LVII, Madrid-Mérida, 2010, p. 143-151.
- E. Bukowiecki, « L’usage de la brique dans l’architecture impériale à Rome », dans R.
Carvais et al. (dir.), Edifices & Artifices, Histoires constructives, Actes du 1° Congrès
International Francophone d’Histoire de la Construction (Paris, 19-21 juin 2008), Paris, 2010,
p. 391-399.
- E. Bukowiecki, H. Dessales, J. Dubouloz, Ostie, l’eau dans la ville. Châteaux d’eau et réseau
d’adduction, CEFR, 402, Rome, 2008.
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Raphaël De Filippo, ingénieur de recherche à l’Inrap, membre du CeThis (Tours), a dirigé
pendant une dizaine d’années les grandes fouilles urbaines de Toulouse. De la découverte du
forum à celle du palais des rois wisigoths, il retrace une histoire de Toulouse antique à
travers l’étude de la brique, matériau spécifique à la ville rose depuis l’époque romaine. Cela
lui a permis notamment de dater la fondation de la ville et d’expliquer les processus
opérationnels propres à la création d’une ville nouvelle. Son étude de l’enceinte urbaine,
édifiée selon un mode de construction unique dans l’histoire de l’architecture romaine, lui
permet notamment d’accréditer sur ce chantier la présence d’une maîtrise d’œuvre
d’origine hellénique, attestée par des estampilles à anthroponyme grec et des lettres
grecques isolées moulées dans la forme de la brique.
L’enceinte urbaine de Toulouse : une exception architecturale, un chantier singulier
L’enceinte urbaine de Toulouse antique a souvent été écartée des études relatives aux
enceintes augustéennes ou, plus globalement, à la construction gallo-romaine à cause de
son mode de construction, unique dans l’histoire de l’architecture romaine. A cette
spécificité s’ajoute un fait archéologique exceptionnel : la mise au jour en deux endroits d’un
repentir dans le tracé de l’enceinte.
Bibliographie :
- 1993 « Nouvelle définition de l’enceinte romaine de Toulouse », Gallia, 1993, 50, p. 180204.
- 1996 « Le grand bâtiment du site Larrey à Toulouse : la question palatiale », Aquitania,
1996, 14, p. 23-29.
- 1997 « La forme et la marque : la brique à Toulouse au Ier siècle de notre ère », Mélanges
Claude Domergue, I, Pallas, 1997, 46, p. 67-88 (avec Ch. Rico, Toulouse II)
- 1999 « Aperçus sur l’architecture de briques à Toulouse » dans l’Antiquité, El ladrillo y sus
derivados en la época romana, coll. Monografias de arquitectura romana, Madrid, 1999, 4, p.
235-264
- 2002 « L’aménagement de la ville : rythme et durée », dans Tolosa, Nouvelles recherches
sur Toulouse et son territoire dans l’Antiquité, Collection de l’Ecole française de Rome, Rome,
281, p. 205-220
4
- 2004 La brique et les matériaux de construction en terre cuite à l’époque romaine, La
construction – les matériaux durs : pierre et terre cuite, Collection « Archéologiques »,
nouvelle édition revue et augmentée, 2004, 97-116
- 2010 « Le remploi de la brique dans l’Antiquité tardive, le cas toulousain », Archéopages,
Recyclage et remploi, Paris, avril 2010, p. 38-47.
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Daniela Pittaluga : Professeur en restauration à l’Université de Gênes et auparavant à l’école
Polytechnique de Turin, elle enseigne l’Archéologie de la construction auprès des Ecoles de
Spécialisation en Biens Architectoniques et Paysage (Scuole di Specializzazione in Beni
Architettonici e del Paesaggio) de Gênes et Milan. Depuis plus de vingt ans elle s’occupe de
conservation et de restauration de bâti historique. Membre de l’ISCUM, elle poursuit des
recherches en Archéologie du bâti et est responsable des banques de données en
mensiochronologie ligures et du bas-Piémont.
L’art de bâtir en briques dans la ville médiévale et post-médiévale en Ligurie
La communication au séminaire « Histoire de la construction » aura pour objet de présenter
l'expérience ligure et génoise acquise par le Département DSA et par l’ISCUM. Au Moyen
Age, et même dans la période suivante, l'utilisation de la brique dans la région ligure est
plutôt limitée. L'architecture est une architecture en pierre, cependant, on y observe
toujours quelques éléments en briques : arcs, voûtes, murs intérieurs, jambages et linteaux
de portes et de fenêtres. Sont souvent aussi en brique les petites roues typiques appelées
« crose » et les carrelages dans les bâtiments. La communication analyse tous ces éléments
architecturaux. Dans nos travaux, nous avons utilisé des sources directes et indirectes.
A travers l’analyse directe des bâtiments et la comparaison avec les documents d'archives,
nous avons pu identifier les différentes catégories de briques: briques Albasi, Ferrioli, Neri,
Neri chiari, Neri dritti, Mattoni da Carroggio … Ces briques avaient des caractéristiques
spécifiques et des prix spéciaux.
L'analyse archéologique des constructions a également permis l'étude de plusieurs centaines
de structures; cela nous a donné la possibilité d'identifier les textures répandues, les moyens
de construire, les caractéristiques de conception. Tout cela sera décrit dans le séminaire.
Nous allons enfin évoquer la possibilité de datation des briques elles-mêmes, pratique que
nous avons utilisée, dans l’ISCUM (Istituto di Storia della Cultura Materiale) et dans notre
Département Universitaire (DSA-Scuola Politecnica di Genova), dès les années 1970.
Bibliographie:
Daniela Pittaluga a à son actif plus de 200 publications. Sur l’art de construire en brique on
retiendra :
- D. Pittaluga, P. Ghislanzoni, « Un metodo di datazione del patrimonio edilizio: la curva
mensiocronologica dei mattoni in Liguria, Nota I », dans Archeologia Medievale. Cultura
materiale, insediamenti, territorio, n. XVI, Florence, 1989, p. 675-682
- D. Pittaluga, P. Ghislanzoni, « Mensiocronologia dei mattoni: la statistica applicata
all'analisi », dans Archeologia Medievale. Cultura materiale, insediamenti, territorio, n. XVIII,
Florence, 1991, p. 683-687.
- D. Pittaluga, P. Ghislanzoni, « Informazioni storiche e tecniche leggibili sulle superfici in
laterizio », dans Atti dell'VIII convegno di studi Scienza e Beni Culturali "Le superfici
dell'architettura: il cotto. Caratterizzazione e trattamenti", Padoue, 1992, p.11-22
5
- D.Pittaluga, J.A.Quiros Castillo, « Mensiocronologie dei laterizi della Liguria e della Toscana:
due esperienze a confronto », dans Atti del I Congresso Nazionale di Archeologia Medievale,
Florence, 1997, p.460-463.
- D. Pittaluga, « Utilizzazione delle misure nella caratterizzazione e nella datazione delle
tecniche murarie », dans Contributi n. 5, anno 1998, Rivista del Dipartimento di Scienze,
Storia dell'Architettura e Restauro, Rome, 1999, p.9-14.
- D. Pittaluga, « Mensiocronologia dei mattoni e variazioni economiche e sociali » dans La
brique antique et medievale. Production et commercialisation d'un matériau" section
"Ateliers et techniques de fabrication, Rome, 2000, p.241-242
- D. Pittaluga, « La storia dei mattoni medievali vista dalla Liguria. Un percorso tra le fonti
scritte e l’analisi mensiocronologica », dans Atti del Convegno “I laterizi in età medievale.
Dalla produzione al cantiere”, 4-5 giugno, Roma 1998, Rome, 2001, p.65-79.
- D. Pittaluga, S. Valeriani, « Chronologie der Backsteinmassen: Eine Moglichkeit zur
Datierung von Bauten in spezifische geographischen Bereichen », dans Ernst Badstübner und
Dirk Schumann (Hg.) - Band 4 “ Backsteintechnologien in Mittelalter und Neuzeit”, ed. Lukas
Verlag, Berlin 2003, p.370-387.
- D. Pittaluga, « Le tecniche di costruzioni in mattoni nella Liguria medievale », dans J.
Cramer, D.Sack (dir.), Technik backsteinbaus im Europa des mittelalters, Berlin, 2005, p.5762.
- D. Pittaluga, Questioni di Archeologia dell’Architettura e Restauro, Gênes, 2009.
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Antoine Le Bas, Conservateur du patrimoine, Service de l'inventaire général du patrimoine
culturel, Région Île-de-France. Né dans la région toulousaine, conservateur du patrimoine,
affecté d’abord dans la région Nord-Pas-de-Calais puis en Île-de-France a été chargé de
mener l'inventaire du patrimoine de communes des Yvelines, des Hauts-de-Seine et de
l'Essonne et, à ce titre, invité à plusieurs reprises à étudier des types d'édifices constitutifs
du patrimoine de la région (équipements sportifs, hôtels de ville, églises et chapelles,
patrimoine industriel, ouvrages ferroviaires,...). L'étude d'un matériau (la brique) et de son
emploi dans l'architecture régionale s'inscrit dans cette perspective.
La construction de la proche banlieue parisienne, enfant d'une industrie céramique
éphémère
Il serait intéressant d'évoquer comment, tentant de définir les caractères d'un patrimoine
bâti ordinaire de la proche banlieue (la petite couronne), j'en suis venu à constater que
l'urbanisation de ce périmètre de l'agglomération parisienne était largement redevable à
l'essor d'une industrie briquetière francilienne dans un créneau chronologique assez cerné
(entre 1850-1950). Et que l'emploi intensif de ce matériau (alors inusité sur ce territoire),
ainsi que les techniques constructives qui y sont attachées, avaient contribué à produire une
architecture particulière qui n'avait rien à envier au répertoire mieux connu de régions
comme la Flandre ou le Languedoc. Cette approche urbaine, historique et technique se
fonde et s'enrichit de l'établissement d'une typologie de bâtiments où la construction de
brique s'avère récurrente sous l'effet d'une démarche rationaliste ou d'une quête du
pittoresque. Enfin, dans la mesure où la brique constitue à la fois un matériau de gros-œuvre
et un élément de décor potentiel, toute une grammaire décorative s'est élaborée à partir
des possibilités ornementales offertes par les progrès de l'industrie céramique et le
triomphe des arts décoratifs.
6
Bibliographie :
- Le Bas, Antoine, Architectures de brique en Île-de-France, 1850-1950, Inventaire général du
patrimoine, Île-de-France, Paris : Somogy, 2014 (Collection : Cahiers du patrimoine : Île-deFrance ; 105)
- Le Bas, Antoine in Paul-Louis Rinuy (dir.), Patrimoine sacré. XXe-XXIe siècle : les lieux de
culte en France depuis 1905, Paris : Éditions du Patrimoine-Centre des monuments
nationaux, 2014
- Le Bas, Antoine, « Notre-Dame du Raincy (Seine-Saint-Denis), chef-d’œuvre des chapelles
de la banlieue ? », In Situ, 11 2009, mis en ligne le 18 avril 2012, consulté le 15 décembre
2016. URL : http://insitu.revues.org/4718 ; DOI : 10.4000/insitu.4718
- Le Bas, Antoine, « Maison, immeuble et compagnie : le singulier pluriel du logement de
banlieue : enquêtes dans les Hauts-de-Seine 1840-1940 », In Situ, 6, 2005, mis en ligne le 15
mai 2012, consulté le 14 décembre 2016. URL : http://insitu.revues.org/8738 ; DOI :
10.4000/insitu.8738
- Le Bas, Antoine, Dominique Hervier, dir., Vanves, Hauts-de-Seine / [Direction régionale des
affaires culturelles d'Île-de-France, Service régional de l'] Inventaire général des monuments
et des richesses artistiques de la France, Paris : APPIF, 2004
- Le Bas, Antoine, in Dominique Hervier (dir.), Des sanctuaires hors les murs : églises de la
proche banlieue parisienne, 1801-1965, [Service régional de l'Inventaire général, Direction
des affaires culturelles de l'Île-de-France], Paris : Monum, Éd. du Patrimoine, 2002.
- Le Bas, Antoine, in Boulogne-Billancourt, 1800-2000 : ville d'art et d'essai, Hauts-de-Seine /
Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, [Commission
régionale Île-de-France], Paris, Association pour le patrimoine de l'Île-de-France / BoulogneBillancourt : Ville de Boulogne-Billancourt, 1997.
- Le Bas, Antoine, Architectures du sport : 1870-1940, Val-de-Marne, Hauts-de-Seine,
Publication : Paris : l'Inventaire : Éd. Connivences : Association pour le patrimoine de l'Île-deFrance, 1991.
- Le Bas, Antoine, Cantons de La Celle-Saint-Cloud, Marly-le-Roy, Yvelines / Ministère de la
culture, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, région
de l'Île-de-France ; [réd. par Antoine Le Bas, Paris, Association pour le patrimoine de l'Île-deFrance, 1987, 2e éd. revue en 1998.

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