Résumé
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STEUERN Andreas Meyer, Philip Robinson, Der Betriebstättenbegriff im E-Business gemäss OECD Form eines Servers), so ist dennoch keine Betriebstätte anzunehmen, wenn den dieser Einrichtung zuordenbaren Funktionen lediglich der Charakter von Vorbereitungs- oder Hilfshandlungen zukommt. Der Begriff der unterstützen- des Kommentars zum OECD Musterabkommen wurde ein wichtiger Schritt zu einem einheitlichen E-Business Betriebstättenbegriff gemacht. Allerdings bleiben noch viele Punkte zu klären, da lediglich eine gemeinsame Basis für das «Nach Ansicht der OECD kann der Internet Service Provider, ISP, normalerweise keine Betriebstätte für einen Internet-Anbieter begründen.» den Tätigkeit ist im vorliegenden Entwurf allerdings nicht genauer definiert. 4. Weitergehender Handlungsbedarf Mit der Veröffentlichung eines ersten offiziellen Entwurfes zur Ergänzung Vorliegen einer beschränkten Steuerpflicht geschaffen wurde. Hingegen nimmt der Entwurf zur Frage, welcher Gewinn einer solchen Betriebstätte zugeordnet wird, nicht Stellung. Zudem beschränkt sich der vorliegende Entwurf auf die direkten Steuern. Umsatzoder Quellensteuern sind ausdrücklich nicht angesprochen, bleiben aber auf der Agenda der Diskussionen inner- halb der OECD über die steuerlichen Implikationen des E-Business. Interessierte Kreise sind nun eingeladen, zum OECD-Entwurf Stellung zu nehmen. Ziel der Organisation ist es, bereits im Februar 2000 eine Ergänzung des Kommentars zu Art. 5 des OECD-MA zu verabschieden. Aber auch danach werden die Internet-Akteure gut beraten sein, die steuerlichen Konsequenzen ihres Web-Auftrittes auf nationaler und internationaler Ebene gründlich zu analysieren. Anmerkungen 1 Working Party No. 1 on Tax Conventions and Related Questions. 2 Musterabkommen zur Vermeidung der Doppelbesteuerung des Einkommens und Vermögens der Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OECD). 3 Siehe dazu: Dürr/Rumo: Betriebstätten im Internet, ST 4/1999, S. 395 ff.; Zöllkau/ Robinson/Weigend: Neuste steuerrechtliche Entwicklungen im Electronic Commerce, ST 1-2/1999, S. 129ff. RESUME La notion d’établissement stable en matière d’«E-Business» selon l’OCDE L’évolution irrésistible dans le domaine de la communication digitale pose de nouveaux problèmes non seulement aux analystes et aux investisseurs mais aussi aux autorités fiscales et aux conseillers. L’Internet et l’«E-Business» (affaires électroniques) transforment radicalement la nature des relations d’affaires. En effet, toute personne en possession d’un ordinateur avec accès à Internet peut offrir ou obtenir des biens et des services dans le monde entier. Dans le Cyber-espace, la distance géographique et les frontières nationales entre le fournisseur et l’acheteur sont réduites à des données insignifiantes. 1260 L’OCDE vient de publier un projet sur l’«E-Business» et les établissements stables. Ce document représente une étape importante dans la discussion relative à l’harmonisation internationale de l’imposition du commerce électronique. Les auteurs présentent brièvement les principes élaborés sur la base du concept transnational. Les directives de l’OCDE en matière d’E-Business reposent sur les principes suivants: – neutralité de la concurrence; – fiabilité et transparence; – efficacité; – efficience. Selon le projet, le simple fait d’offrir des services sur un site Internet n’est pas imposable. Toujours selon l’OCDE, un serveur Internet ne peut pas constituer un établissement stable pour les fournisseurs électroniques; il ne peut donc être qualifié d’agent indépendant du fournisseur électronique. Si l’entreprise dispose d’une installation fixe d’affaires sous la forme d’un serveur par exemple, il ne peut toujours pas être question d’un établissement stable, puisqu’il lui revient une activité de caractère préparatoire ou auxiliaire. AM/PR/AFB L’Expert-comptable suisse 12/99