Métallurgie - C2R Bourgogne

Transcription

Métallurgie - C2R Bourgogne
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C
Pé
CA
1
édition
Septembre 2011
Co
Métallurgie
Observation
Économie
E m p l o i
Formation
de la
Préfecture
Région de Bourgogne
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n
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Bo
o
g
r
u
Après avoir signé deux contrats d’objectifs et un contrat de progrès,
la filière « Métallurgie» en Bourgogne est l’un des premiers secteurs
souhaitant contractualiser, pour une durée de 3 ans, un Contrat
d’Appui à la Performance économique et à l’évolution des Compétences
(CAPéCO). Ce nouveau contrat (fusion du contrat d’objectifs et du
contrat de progrès), s’inscrit dans les objectifs partagés du Schéma
Régional de Développement Economique (SRDE) et du Plan Régional
de Développement de la Formation Professionnelle (PRDF). Il devrait
permettre de renforcer les synergies dans une logique de réponse
globale aux enjeux d’une branche en traitant de manière coordonnée
les aspects « compétitivité » et « compétences ».
L’Etat, le Conseil régional de Bourgogne, l’UIMM Bourgogne, le Rectorat
de Dijon et Pôle emploi Bourgogne s’engagent dans cette démarche.
En amont de la signature, le C2R Bourgogne est chargé de réaliser
un diagnostic de la situation de la branche tant du point de vue de
l’économie que de l’emploi et de la formation professionnelle. Celui-ci
est réalisé avec les partenaires concernés. Ce document doit permettre
aux signataires d’identifier les « leviers » sur lesquels ils pourront
s’appuyer afin de mettre en place les actions concrètes de ce contrat.
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 1
Principales caractéristiques
de la métallurgie en Bourgogne
Le secteur dominant de l’industrie bourguignonne
Avec près de 52 000 salariés répartis dans 1 850 établissements, la métallurgie représente plus
de la moitié (53 %) des effectifs industriels et des exportations (54%) de la région. Elle est
plutôt spécialisée dans le domaine de la fabrication de produits métalliques et réalise un chiffre
d’affaires moyen de 8 milliards d’euros de 2005 à 2009. Les zones de Dijon, Chalon-sur-Saône et
Auxerre recensent le plus de salariés. Elle est également très structurante pour certains territoires
ruraux (Le Charolais, Le Creusot-Montceau et Montbard) du fait de la présence de très gros
établissements.
La crise économique internationale enraye une forte dynamique
Les années d’avant crise sont marquées par une hausse régulière du chiffre d’affaires associée
à une légère diminution des effectifs salariés. On observe en conséquence une hausse régulière
de la productivité du travail de 2005 à 2008. La croissance de cette période est soutenue par une
hausse très rapide de la part du chiffre d’affaires réalisé à l’export (jusqu'à 42,6% en 2008).
En 2009 et 2010, la chute des emplois est plus importante dans la métallurgie que dans les autres
secteurs industriels bourguignons. Elle perd 5 400 emplois permanents en deux ans. L’emploi
intérimaire du secteur passe de 6 225 équivalents temps plein en 2007 à 2 360 en 2009. Fin 2010,
les exportations tardent à repartir par rapport aux autres régions françaises. Les précédentes
performances à l’export ont accru la dépendance de l’activité du secteur au contexte économique
international.
Un secteur peu présent sur les activités de recherche et développement
La structure des emplois de la filière bourguignonne montre un retard important sur les activités
d’études et de recherche en comparaison des autres régions de province. Elle est plus positionnée
sur des activités à faible intensité technologique. Le type d’activité assez développé de la
métallurgie bourguignonne nécessite relativement plus d’ouvriers qualifiés et moins de cadres et
de personnels de recherche et développement.
Un renouvellement difficile des compétences
Près de 80 % des salariés sont des hommes et un sur quatre a au moins 50 ans. Les métiers
spécifiques au secteur sont majoritairement occupés par des actifs vieillissant. Le remplacement
de ces derniers est un enjeu important pour le secteur.
Ce renouvellement n’est pas facilité par une insertion des lycéens et apprentis devenue difficile
depuis la crise et par la faible attractivité des diplômes conduisant aux métiers du secteur. Pourtant
la métallurgie n’est pas dépourvue d’atouts. En effet, les salaires y sont plus élevés que dans les
autres domaines et les recrutements en CDI sont nombreux.
2
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Observation Economie Emploi Formation dans le secteur Métallurgie
-I-
LES ENTREPRISES
Les établissements
1 - Structure du tissu d’établissements ................................................ 8
2 - Les grands établissements de la métallurgie ..................................10
3 - Évolution du secteur ...................................................................11
4 - La création d’entreprise.................................................................12
L’économie de la branche
5 - Synthèse de l’étude ACSEL ...........................................................13
6 - Rentabilité et efficacité..................................................................14
-II-
GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
Les actifs
7 - Les métiers des actifs salariés .......................................................18
8 - Le recours à l’intérim....................................................................21
L’attractivité de la branche
9 - Les mouvements de main-d’oeuvre................................................22
10 - Les salaires..................................................................................23
Le marché du travail
11 - Les demandeurs d’emploi..............................................................24
12 - Les besoins des entreprises...........................................................25
-III-
LA FORMATION PROFESSIONNELLE
Formation initiale
13 - Formation initiale : GÉNÉRALITÉS..................................................28
14 - Formation initiale : INSERTION......................................................30
15 - Formation initiale : ÉLECTRICITÉ - ÉLECTROTECHNIQUE ÉLECTRONIQUE............................................................................31
16 - Formation initiale : MÉCANIQUE - AUTOMATISME...........................32
17 - Formation initiale : MÉTAUX - USINAGE - SOUDAGE........................33
18 - Formation initiale : CONNEXE........................................................34
Formation continue
19 - Formation continue des demandeurs d’emploi.................................35
20 - Formation continue des salariés.....................................................36
-IV-
MARCHES INNOVATION
Les marchés, l’innovation
21 - Le commerce extérieur..................................................................40
22 - L’innovation .................................................................................43
23 - L’accompagnement à l’innovation en Bourgogne.............................45
24 - Les brevets publiés par la voie nationale.........................................47
ANNEXES...........................................................................................49
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 3
PÉRIMÈTRE DE L’ÉTUDE
Fabrication de produits métalliques
Fabrication d'équipements électriques
18 500 salariés et 500 établissements
6 400 salariés et 60 établissements
Sidérurgie
Fonderie
Fabrication de produits à base de métal
Fabrication de matériel de distribution et de commande électrique
Fabrication d'appareils d'éclairage électrique
Fabrication d'appareils électroménages
Exemples d'entreprises : ArcelorMittal, AREVA, Vallourec .
Exemples d'entreprises : Schneider electric, SEB
Fabrication de matériels de transport
Fabrication de machines et équipements n.c.a.
6 700 salariés et 90 établissements
8 300 salariés et 190 établissements
Construction de véhicules automibiles
Construction de matériels ferroviaires
Fabrication de carrosseries et remorques
Fabrication d'équipements hydroliques et pneumatiques
Fabrication de machines-outils pour la travail des métaux
Fabrication de machines (pour l'industrie agroalimentaire, la
construction, le travail des caoutchoucs et plastiques)
Exemples d'entreprises : FTP Powertrain, Alstom, Jtekt
Exemples d'entreprises : Thermodyn, METSO Minerals, Cermex
Fabrication de produits informatiques, électroniques et
optiques
2 100 salariés et 65 établissements
Fabrication de produits électroniques
Fabrication d'équipements de communication
Fabrication de composants électroniques
Exemples d'entreprises : TPC, SAGEM
Réparation et installation de machines et d'équipements
4 300 salariés et 420 établissements
Réparation d'ouvrages en métaux
Réparation de matériels électroniques et électriques.
Installation de structures métalliques
Exemples d'entreprises : Ateliers de Joigny, ACE (Automatisme du
Centre Est)
Connexe
5 100 salariés et 500 établissements
Fabrication de meubles
Fabrication de matériels médico-chirurgicals
Travaux de menuiserie métallique et serrurerie
Exemples d'entreprises : Hermes Métal
Légende :
Ce schéma permet d’identifier les activités et les grands domaines retenus dans le périmètre de l’étude. Sept grands secteurs
d’activités ont été choisis. Chacun rassemble un certain nombre de codes APE d’activités (NAF 2008). Chaque grand secteur est
décrit par certaines de ces activités (libellé de code APE) et par des entreprises présentes en Bourgogne exerçant une activité
dans le secteur.
Lecture du schéma : La métallurgie comprend la fabrication de produits métalliques. Ce grand domaine comprend des secteurs
comme la sidérurgie et la fonderie. En Bourgogne, les entreprises de la fabrication de produits métalliques sont ArcelorMittal,
AREVA, Vallourec,...
La liste complète et détaillée des codes APE retenus est disponible en annexe page 58
4
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie INTRODUCTION
En France, 1 550 000 salariés travaillent dans la métallurgie, ce qui représente la moitié de l'industrie française. Les
deux secteurs dominants sont la fabrication de produits métalliques et de matériels de transport qui emploient près de la
moitié des salariés français de la filière. Les régions où l'industrie est dominée par la métallurgie sont la Franche-Comté,
Midi- Pyrénées et l'Alsace. Le secteur prépondérant dans ces trois régions est la fabrication de matériels de transport ainsi
que la métallurgie pour l'Alsace. Globalement, les régions spécialisées dans la métallurgie se situent dans le quart nordest du pays et dans les régions Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées. La Bourgogne quant à elle représente 3 % des salariés
de la métallurgie française, ce qui la situe au 14ème rang. Cependant, pour la part de la métallurgie dans l'industrie, la
région se situe au 6ème rang national. Celle-ci est plus spécialisée dans la fabrication de produits métalliques.
La part des salariés de la métallurgie dans l’industrie en France en 2009
La métallurgie en France
Nord -Pas -de -Calais
49 %
Haute Champagne Normandie Picardie Ardenne
45 %
Basse -Normandie 47 %
Lorraine
Ile -de -France
48
%
53 % Alsace
Bretagne
52 %
50 %
57 %
37 %
Centre
Pays -de -la -Loire
49 %
50 %
Bourgogne Franche -Comté
66 %
53 %
Poitou -Charente s
52 %
Limousin
Auvergne
41 % 39 %
Rhône -Alpes
Aquitaine
44 %
Midi -Pyrénées
Languedoc 60 %
Roussillon
39 %
55 %
Provence - Alpes Côte d'Azur
47 %
Corse
28 %
Légende
55 % et plus
Entre 50 et 55 %
Entre 45 et 50 %
Moins de 45 %
Source : Pôle emploi - 2009
Des territoires façonnés par un passé industriel glorieux
La Bourgogne est une région rurale dont les territoires sont souvent structurés par l’emploi industriel. Aujourd’hui encore,
nombre de ces territoires spécialisés dans la métallurgie trouvent leur origine dans un passé hérité des 18ème et 19ème
siècles. Quelques exemples sont emblématiques de ce passé industriel :
Le site d’ArcelorMittal à Gueugnon trouve ses origines au début du 18ème siècle avec la création des premières forges en
1724. Ce site emploi aujourd’hui plus de 1 000 salariés pour la production d’acier inoxydable. Les usines Schneider du
Creusot furent pionnières dans la construction des premières locomotives en 1838. Aujourd’hui, Altsom Transport produit
des bogies pour locomotives, Trains à Grande Vitesse, métros, tramways. Enfin, la spécialisation dans la métallurgie du
territoire de Montbard trouve son origine dans les forges de Buffon fondées en 1768.
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 5
6
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Les
entreprises

Points clés

51 700 salariés
 1 842 établissements
 Plus de la moitié (53 %) des salariés de l’industrie
 Un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros (moyenne de 2005 à 2009)
 Un secteur dominé par la fabrication de produits métalliques
 De
très grands établissements structurants
 Un secteur avec un niveau de rentabilité élevé
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 7
LES ÉTABLISSEMENTS
1 - Structure du tissu d’établissements
Près de 52 000 salariés dans la métallurgie en Bourgogne
Fin 2009, la métallurgie compte 51 700 salariés, soit la moitié des salariés de l’industrie bourguignonne (53 %). Ils se
répartissent dans 1 842 établissements (soit 42 % de l’industrie régionale).
Le département qui recense le plus de salariés est la Saône-et-Loire (21 150 soit 41 % de la métallurgie bourguignonne).
Viennent ensuite la Côte-d’Or (14 060 soit 27 %), l’Yonne (10 814 soit 21 %) et la Nièvre (5 676 soit 11 %). Le secteur
est présent dans les zones abritant les grandes agglomérations et celles du Creusot-Montceau et du Charolais. La zone
de Dijon concentre un cinquième des effectifs. La deuxième grande zone est celle de Chalon-sur-Saône qui compte
6 833 salariés. La troisième est celle d’Auxerre avec 6 770 salariés.
Les établissements de la métallurgie sont en moyenne de plus grande taille que ceux de l’industrie (cf graphique page
suivante). En effet, la part de moins de 10 salariés est de 62 % contre 69 % pour l’ensemble de l’industrie. Ceci se
répercute sur les établissements de 10 à 49 salariés qui regroupent 11 000 salariés, notamment dans la fabrication de
produits métalliques et la fabrication d’équipements électriques. Enfin, la métallurgie compte beaucoup de très gros
établissements. En effet, les établissements de 200 salariés et plus emploient 45 % des salariés (36 % pour l’industrie).
De plus, la métallurgie recense les trois quarts des établissements de 500 salariés et plus de l’industrie bourguignonne.
Les salariés de la métallurgie dans l'industrie en 2009
Répartition des salariés de la métallurgie en 2009
Sens
3 630
Chatillon
Auxerre
6 770
4 80
Avallon
414
Montbard
1 650
Cosne - Clamecy
1 013
Dijon
10 986
Morvan
100
Nevers
4 563
Autun
725
Beaune
944
Chalon -sur -Saône
Le Creusot
6 833
Louhans
- Montceau
5 597
675
Charolais
4 042
Les salariés de la métallurgie
en 2009
[ 10986 ; 10986 ]
[ 6770 ; 10986 [
Mâcon
[ 4563 ; 6770 [
3 278
[ 3278 ; 4563 [
[ 100 ; 3278 [
Source : Pôle emploi - 2009
8
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES ÉTABLISSEMENTS
1
- Structure du tissu d’établissements (suite)
Répartition des établissements par taille
0,7
67%
Métallurgie
61%
Industrie
0,6
0,5
0,4
30%
0,3
25%
0,2
7%
0,1
7%
3%
2%
0
0 à 9 salariés
10 à 49 salariés
50 à 199 salariés
200 salariés et plus
Source : Pôle emploi - 2009
Un secteur dominant : la fabrication de produits métalliques
Le secteur d’activité le plus important de la métallurgie bourguignonne est la fabrication de produits métalliques. Il
recense un peu plus du tiers des salariés du secteur (18 572) et 521 établissements. Ce secteur est très présent dans
les zones de Chalon-sur-Saône, Montbard, Digoin et Auxerre. Il est représenté par des entreprises comme AREVA ou
ArcelorMittal. Le deuxième est la fabrication de machines et équipements qui compte 8 317 salariés. Ce secteur se
retrouvent plutôt dans les zones du Creusot, Montceau-les-Mines, Dijon, Avallon et Sens.
La fabrication d’équipements électriques dénombre le moins d’établissements mais se sont ceux dont la taille moyenne
est la plus grande (112 salariés contre 28 pour tout le secteur).
Les très gros établissements de la métallurgie en Bourgogne exercent dans la fabrication de produits métalliques et de
matériels de transport. Dans la zone du Charolais, deux salariés sur cinq de l’industrie travaillent dans un des trois plus
gros établissements de la métallurgie.
Les domaines d'activités de la métallurgie
Fabrication de produits métalliques
Fabrication de machines et équipements n.c.a.
Fabrication de matériels de transport
Fabrication d'équipements électriques
Réparation et installation de machines et d'équipements
Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques
Connexe
Total Métallurgie
Industrie
Répartition
des salariés
36%
16%
13%
12%
8%
4%
10%
Salariés
18 572
8 317
6 757
6 401
4 356
2 179
5 118
51 700
97 714
Nombre
Etablissements
521
191
92
57
419
66
496
1 842
4 352
Source : Pôle emploi - 2009
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 9
LES ÉTABLISSEMENTS
2
- Les grands établissements de la métallurgie
Trois zones très dépendantes de la métallurgie
En Bourgogne, certaines zones sont très dépendantes de la métallurgie (en rouge foncé sur la carte). La plus dépendante
est celle du Charolais dont 69 % des salariés de l'industrie travaillent dans la métallurgie. Elle abrite deux des trois
plus grands établissements de la région. De plus, près d'un salarié sur deux de l'industrie du Charolais travaille dans un
de ces deux établissements. Les deux autres zones très dépendantes sont Le Creusot-Montceau (avec les entreprises
Alstom et Industeel) et Montbard (avec le groupe Vallourec).
D'autres zones (Chalon-sur-Saône, Mâcon, Nevers et Auxerre) comptent de grands établissements du secteur (en orange
foncé sur la carte). Mais leur économie est plus diversifiée. Elles sont par conséquent moins dépendantes du secteur.
Les zones comme Dijon et Sens (en orange clair sur la carte) sont des zones où environ la moitié des salariés de l'industrie
travaillent dans la métallurgie. En revanche, celles-ci ne recensent pas de très grands établissements.
Les autres territoires de la Bourgogne (en jaune sur la carte) comptent peu de salariés travaillant dans la métallurgie.
L'importance de la métallurgie
Bourgogne de la métallurgie
Les zonesen
dépendantes
HERMES METAL
Sens
VALLOUREC
Auxerre
Chatillon
Avallon Montbard
Dijon
Cosne-Clamecy
Morvan
Légende
Autun Beaune
Nevers
AREVA
Chalon-sur-Saône
Le CreusotLouhans
Montceau
Charolais Mâcon
ARCELORMITTAL
VALEO
ARCELORMITTAL
FTP POWERTRAIN
Zone abritant de grands établissements et où
l'industrie est très dépendante de la métallurgie
Zone abritant de grands établissements et où la métallurgie
est importante mais où l'économie est diversifiée
INDUSTEEL
ALSTOM
SCHNEIDER ELECTRIC
Zone où la métallurgie compte un nombre important de
salariés mais pas de grands établissements
Zone ne comptant pas un nombre important de salariés de la
métallurgie
Les principaux établissements de la métallurgie en Bourgogne
Raison sociale
Effectif*
FPT Powertrain
AREVA NP
ArcelorMittal Stainless France
AREVA NP
Industeel
Vallourec
1 570
1 090
1 080
900
880
800
Schneider Electric
780
ArcellorMittal Stainless France
Hermes metal
Alstom transport
Valeo Securité Habitacle
690
680
600
590
Activité
Construction de véhicules automobiles
Fabrication de générateurs de vapeur
Siderurgie
Fabrication de générateurs de vapeur
Siderurgie
Fabrication de tubes, tuyaux en acier
Fabrication de matériel de distribution et
de commande electrique
Siderurgie
Fabrication d'autres meubles
Construction de locomotives
Fabrication de serrures et de ferrures
Localisation
siège
Le Charolais
Italie
Chalon-sur-Saône France
Le Charolais
Luxembourg
Chalon-sur-Saône France
Le Creusot
Luxembourg
Montbard
France
Zone d'emploi
Mâcon
France
Nevers
Auxerre
Le Creusot
Nevers
Luxembourg
France
France
France
* Effectif arrondi à la dizaine
10 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES ÉTABLISSEMENTS
3 - Évolution du secteur
Une baisse continue du nombre de salariés
A la fin des années 90 la métallurgie connaît une embellie. Les activités de la fabrication de produits métalliques, de
machines et équipements et de matériels de transport sont responsables de cette amélioration. Le début des années
2000 se caractérise par une baisse continue du nombre de salariés. Ce dernier diminue en moyenne de 2 % par an
entre 2001 et 2008. Ces baisses sont plus fortes entre 2001 et 2005. Entre 2006 et 2008 le secteur perd moins de
salariés (encore grâce à la croissance des activités précédemment citées) avant de subir la crise économique à partir
de septembre 2008. La métallurgie est le secteur de l’industrie qui a le plus subi la crise. En effet, la baisse est moins
importante dans les autres grands secteurs de l’industrie. Les pertes en nombre de salariés s’élèvent à 5 400 entre
2008 et 2010. Les baisses les plus importantes sont visibles dans la fabrication de machines et équipements (-7,2 %),
de matériels de transport (-6,8 %) et d’équipement électriques (-5,8 %).
Les zones les plus touchées sont celles d’Auxerre (moins 700 salariés), de Nevers (moins 700 salariés), du Charolais
(moins 550 salariés). La zone de Dijon est également frappée mais dans des proportions moindres. Les zones de Chalonsur-Saône et de Mâcon sont quant à elles plus épargnées.
Evolution du nombre de salariés depuis 1997
110
Métallurgie
Industrie
Industrie hors métallurgie
105
100
95
90
85
80
75
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2009
2010
Source : URSSAF - 1997-2010
Evolution du nombre de salariés par domaine d’activité depuis 1997
120
110
100
90
80
70
60
50
40
1997
1998
1999
2000
Fabrication de produits métalliques
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
Fabrication de machines et équipements n.c.a.
Fabrication d'équipements électriques
Fabrication de matériels de transport
Réparation et installation de machines et d'équipements
Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques
Connexe
Source : URSSAF - 1997 - 2010
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 11
LES ÉTABLISSEMENTS
4
- La création d’entreprise
Des entreprises nouvellement créées pérennes et génératrices d’emplois
Jusqu’en 2008, on recensait environ 80 créations d’entreprises par an dans la métallurgie, soit autour de 40 % des
créations de l’industrie bourguignonne. Le taux de création de ce secteur est de 9 % contre 11 % pour l’ensemble de
l’industrie régionale. Les secteurs les plus créateurs sont la réparation de machines et équipements et la serrurerie
métallerie. Ils comptabilisent à eux deux 70 % des créations de la métallurgie. En 2009, le secteur enregistre une baisse
du nombre de créations de 20 %.
Avant la crise économique le nombre de défaillances d’entreprises était d’environ une trentaine par an. Après une baisse
continue entre 2006 et 2008, ce chiffre passe à 51 en 2009. Les secteurs de la serrurerie métallique et de la fabrication
de produits métalliques recensent le plus de défaillances, près de 60 % du secteur.
Le taux de survie des entreprises de l’industrie hors agro-alimentaire est de 57 % (pour les entreprises crées en 2002).
Ceci est au dessus de la moyenne tous secteurs (54 %). Ce sont ces entreprises qui sont le plus génératrices d’emploi
à la création et 5 ans après (leur taille ayant en moyenne doublée). De plus, 80 % des emplois créés sont des CDI. Les
entreprises créées trouvent donc un terrain d’expansion favorable au sein du territoire bourguignon.
Source : INSEE - Enquête SINE
Evolution du nombre de créations et de défaillances d’entreprises dans la métallurgie
100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
2005
2006
2007
Créations
Défaillances
2008
2009
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
Taux de renouvellement dans la métallurgie (nombre de créations pour une défaillance)
3,5
France
3
Bourgogne
2,5
2
1,5
1
0,5
0
2005
2006
2007
2008
2009
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
12 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie L’ÉCONOMIE DE LA BRANCHE
5
- Synthèse de l’étude ACSEL
Les principaux enseignements de l’étude ACSEL
La filière « métallurgie » en Bourgogne a connu un développement assez soutenu sur la période 2005/2008 pour
atteindre plus de 9 milliards de chiffre d’affaires avant de subir les effets de la crise économique en 2009 et voir son
activité se réduire brutalement de 23%.
Bien que son chiffre d’affaires ait fortement baissé sur cette dernière année d’étude, celui-ci reste encore supérieur de
8.1% à celui de 2005. Il est à noter que dans le même temps le chiffre d’affaires de la filière au niveau national est
devenu inférieur de 15% à cette même référence.
Les effectifs salariés ont, pour les mêmes raisons et sur la seule dernière année de l’étude été réduits de 5% après une
longue période de stabilité. La valeur ajoutée dégagée a évolué à l’image du chiffre d’affaires pour se situer en 2009
environ 10% au dessus de son résultat de l’année 2005.
La filière bourguignonne se caractérise par un poids relativement important de PME (+5 points par rapport à la comparaison
nationale), de taille moyenne, dominées par les SARL (71.5%). Ces entreprises sont plus vite représentatives en Bourgogne
et leur nombre est équitablement réparti sur la pyramide des âges. La population des dirigeants y est un peu plus âgée
que dans d’autres secteurs avec près de la moitié des chefs d’entreprise de plus de 50 ans.
Le dynamisme est réel dans la filière avec un taux moyen de renouvellement des entreprises de la filière de plus de
2,5 entreprises créées pour une qui disparaît.
Bien que fragilisé par la crise, le secteur l’a plutôt bien traversée avec un taux d’entreprises vivantes après 5 années de
très bon niveau, un désendettement constant sur les 5 ans en particulier sur les crédits à court terme et une structure
financière solide.
Les groupes, peu représentés (24%) pèsent lourds dans les attributs du secteur puisqu’ils représentent environ 80%
des effectifs, 82% de la valeur ajoutée, 86% des investissements et 95% des exportations
Cette première impression favorable peut être complétée par l’observation d’une rentabilité bien supérieure à celle de la
filière nationale. Le taux de marge brute y est de 4 points supérieur et l’écart se creuse encore sur la période observée.
Face à la crise, la filière bourguignonne a fait des choix :
- Réduction des charges externes de 31% (23% en France)
- Réduction des frais de personnel intérimaire de 46% (23% en France)
- Réduction de la sous-traitance de 24% (19% en France)
- Préservation autant que possible de l’emploi durable en lien peut être avec la difficulté observée de longue
date à trouver dans ce secteur de l’emploi qualifié.
Enfin, l’étude de la vulnérabilité des entreprises de la filière rassure sur la pérennité de ce secteur et de l’emploi associé
au cours des prochaines années.
La filière bourguignonne présente cependant quelques points de vigilance.
Les besoins en fonds de roulement d’exploitation sont nettement supérieurs dans la filière bourguignonne en lien avec
un poids des stocks qui s’accroît pour représenter près de 63 jours de chiffre d’affaires en 2009 contre 46 pour la filière
nationale.
Les frais de recherche et développement sont limités et concentrés sur quelques trop rares entreprises.
L’investissement est réduit alors même que les marges d’endettement existent –faiblesse de l’endettement face à des
capitaux propres confortables- et que l’outil productif atteint un degré d’obsolescence élevé.
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 13
L’ÉCONOMIE DE LA BRANCHE
6
- Rentabilité et efficacité
Un niveau de rentabilité élevé
La filière bourguignonne est très performante en matière de rentabilité. Elle enregistre un taux de valeur ajouté de 10
points supérieur à la filière nationale et cela se confirme au niveau du taux de marge brute. L’écart se creuse sur la
période pour atteindre près de 4 points en 2009. Il est à noter que la filière nationale se caractérise par des performances
en retrait par rapport à la filière régionale sur toutes les tailles d’entreprise, notamment sur les plus grandes. A l’inverse la
filière régionale présente des rentabilités brutes favorables, particulièrement pour les entreprises de plus de 50 salariés.
Evolution du chiffre d’affaires (en milliards d’euros)
10
9
8
7
6
5
4
3
2
1
0
2005
2006
2007
2008
2009
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
Premiers niveaux de marges et de rentabilité (en %)
Bourgogne
France
Taux de VA
Taux de marge brute
Taux de VA
Taux de marge brute
2005
31,6
6,7
22,1
5,7
2006
29,5
7,1
21,9
5,5
2007
28
7,8
21,5
5,7
2008
28,2
8
20,9
4,7
2009
31,2
7
21,5
3,2
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
Un investissement réduit
L’effort d’investissement faiblit sur la période et permet juste de stabiliser l’obsolescence de l’outil de production à un
niveau assez élevé. Toutefois, les investissements se focalisent sur les outils d’exploitation et non pas sur la croissance
externe. La filière régionale ne semble pas avoir la volonté ou les moyens d’une structuration de la filière, caractérisée
par des structures juridiques légères (essentiellement des SARL).
14 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie L’ÉCONOMIE DE LA BRANCHE
6
- Rentabilité et efficacité (suite)
Taux d’investissement
brut global* (en %)
40
Bourgogne
35
30
31,9
France de province
31,7
31
30,8
26,5
24
25
22,1
20
* Taux d’investissement brut
global : part de l’ensemble des
investissements réalisés dans
l’année pour 100€ de valeur ajoutée
Source : ACSEL Métallurgie Banque de France - Direction des
entreprises - 2011
15,3
15
10
5
0
2006
Degré d’obsolescence des
immobilisations corporelles
(en %)
2007
2008
2009
72
Bourgogne
71,1
France de province
71
70
69,5
69,2
69,1
69
68,9
68,1
68
67,6
67,7
67,6
67,3
67
66
Source : ACSEL Métallurgie Banque de France - Direction des
entreprises - 2011
65
2005
2006
2007
2008
2009
Le poids des stocks pèse sur la trésorerie
Pour réaliser leur activité de production, les entreprises bénéficient de ressources d’exploitation (crédits fournisseurs) et
financent des besoins d’exploitation (crédits clients, stocks). Ces besoins dépendent notamment des secteurs d’activités,
de la longueur et de l’importance des cycles de production.
Les Besoins en Fonds de Roulement d’exploitation sont très nettement supérieurs dans la filière bourguignonne du fait
sans doute de la plus petite taille des entreprises. Ils sont toutefois en amélioration sur la période permettant de réduire
l’écart avec la filière nationale. A titre d’illustration, le gain de 12 jours sur la période a permis d’alléger les besoins de
près de 55O M€.
En présence de délais clients et fournisseurs similaires sur la filière nationale et régionale, ce sont les stocks qui pèsent
le plus sur le BFR et la trésorerie. Rapporté au chiffre d’affaires ils sont en progression. Ce dernier était lui-même en
forte progression de 2005 à 2008. Quelques sous-secteurs présentent des poids de stocks particulièrement lourds :
- Fabrication de produits informatiques et électriques (94 jours en 2009)
- Fabrication de machine et d’équipements NCA (97 jours en 2009)
- Fabrication d’autres matériels de transport (73 Jours en 2009)
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 15
L’ÉCONOMIE DE LA BRANCHE
6
- Rentabilité et efficacité (suite)
Poids des besoins en
fonds de roulement
et d’exploitation
(en jours de CA)
70
60
Bourgogne
60,1
56,5
France de province
55,3
54,1
51
50
40
31,7
30
27,3
25,2
30,6
27,1
20
10
Source : ACSEL Métallurgie Banque de France - Direction des
entreprises - 2011
0
2005
2006
2007
2008
2009
70
Poids des stocks
(en jours de CA)
Bourgogne
60
France de province
57,4
56,2
63,1
58,8
56,1
50
46,8
45,7
42,9
42,2
40,8
40
30
20
Source : ACSEL Métallurgie Banque de France - Direction des
entreprises - 2011
10
0
2005
Charges de personnel
moyennes par salarié
(en k€)
2006
2007
2008
2009
60
Bourgogne
50
40
38,4
40,4
49,9
48,4
46,4
45,4
42,2
France de province
44,1
49,9
44
30
20
Source : ACSEL Métallurgie Banque de France - Direction des
entreprises - 2011
10
0
2005
16 2006
2007
2008
2009
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Gestion des
ressources
humaines

Points clés

Très peu de femmes dans le secteur
 Des salariés vieillissants sur les métiers spécifiques
 Un manque de cadres par rapport à la filière nationale
 L’intérim repart à la hausse en 2010 après une forte baisse due à la crise
 Beaucoup de départs en retraite et un turn-over assez faible
 Un salaire médian plus élevé que la médiane tous secteurs
 7 000 demandeurs d’emploi (cat A, B, C) inscrits sur les métiers de la métallurgie
 3 550 offres d’emploi sur les métiers de la métallurgie
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 17
LES ACTIFS
7
- Les métiers des actifs salariés
Des actifs salariés vieillissants non remplacés
Le secteur de la métallurgie emploie plus de 50 000 actifs salariés soit près de la moitié des salariés de l’industrie
bourguignonne. Les deux tiers de ces salariés exercent un métier spécifique au secteur. Le tiers restant concerne
principalement des métiers administratifs, commerciaux et d’études. On y retrouve une majorité de cadres et d’employés.
Les femmes sont plus nombreuses sur ces postes puisqu’elles représentent un salarié sur trois (contre un sur cinq
en général dans le secteur). Les métiers spécifiques à la métallurgie sont majoritairement occupés par des hommes
(86 %) et pour une durée indéterminée (94 %). Les femmes y sont sous-représentées quelque soit la tranche d’âge.
Un salarié sur quatre a au moins 50 ans, cette proportion est légèrement supérieure à la proportion de l’industrie et tous
secteurs. Cependant, des disparités sont visibles selon le sexe puisque ce sont les hommes qui sont sur-représentés sur
cette tranche d’âge. De plus, ce phénomène de vieillissement des actifs prend de l’ampleur : la proportion de salariés
de 50-59 ans a presque doublé en 17 ans. Elle est passée de 14 % en 1990 à 26 % en 2007.
Peu de jeunes travaillent dans le secteur puisque les moins de 25 ans ne représentent que 8 % des actifs contre 12
% tous secteurs.
Des disparités existent au niveau de la répartition homme femme selon le secteur d’activité. Ces dernières sont nombreuses
dans la fabrication de produits informatiques et d’équipements électriques particulièrement à partir de 45 ans.
Des ouvriers qualifiés nombreux au détriment des cadres et personnels de recherche
Les métiers spécifiques à la métallurgie concernent principalement les domaines de la mécanique, du travail des métaux,
de l’électronique et de la maintenance. On y retrouve beaucoup de postes d’ouvriers (sept salariés sur dix sur ces
métiers). Le métier le plus exercé est celui d’ouvrier non qualifié de la mécanique, qui regroupe 10 % des salariés du
secteur. La fabrication de produits métalliques étant très présente dans la région, les métiers liés au travail du métal
sont sur représentés par rapport à la moyenne nationale. De même, les ouvriers non qualifiés de l’électricité et des
industries de process sont plus présents en proportion dans la métallurgie bourguignonne qu’au niveau national. En
revanche, les postes d’ingénieurs et cadres de l’industrie et le personnel d’études et de recherche sont sous-représentés
dans la métallurgie bourguignonne.
Les actifs salariés de la métallurgie
Actifs salariés
Ouvriers non qualifiés de la mécanique
Techniciens et agents de maîtrise des industries mécaniques
Ouvriers qualifiés travaillant par formage de métal
Ouvriers qualifiés de la mécanique
Ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal
Techniciens et agents de maîtrise de la maintenance
Ouvriers qualifiés de la maintenance
Ingénieurs et cadres techniques de l'industrie
Ouvriers non qualifiés travaillant par enlèvement ou formage de métal
Ouvriers non qualifiés de l'électricité et de l'électronique
Ouvriers non qualifiés des industries de process
Ouvriers qualifiés des industries de process
Ouvriers qualifiés de l'électricité et de l'électronique
Techniciens et agents de maîtrise de l'électricité et de l'électronique
Techniciens et agents de maîtrise des industries de process
Total métiers de la métallurgie
Fonction support (administratif, logistique, vente,…)
Total secteur métallurgie
Industrie
Tous métiers
5 529
3 944
3 237
3 137
3 053
2 167
2 062
2 037
1 996
1 795
1 746
1 727
1 545
1 360
831
36 167
18 752
54 919
113 394
591 344
Femmes
21%
6%
2%
9%
5%
4%
1%
8%
20%
57%
27%
9%
36%
8%
11%
14%
35%
21%
28%
49%
CDI
90%
97%
95%
98%
97%
94%
92%
96%
89%
92%
90%
96%
98%
96%
97%
94%
94%
94%
93%
85%
Dont
50 ans et plus Moins de 25 ans
20%
16%
28%
6%
25%
9%
26%
5%
27%
6%
24%
8%
26%
12%
32%
4%
17%
15%
28%
8%
29%
11%
30%
6%
31%
7%
26%
6%
35%
3%
26%
9%
27%
7%
26%
8%
24%
9%
24%
12%
Source : INSEE - RP 2007 - Exploitation complémentaire
Des métiers à cibler dans le cadre de la GPEC
5 familles professionnelles spécifiques de la métallurgie (rassemblant 1 salarié sur quatre du secteur dont 28 % de
plus de 50 ans) se caractérisent par la différence de profils entre les salariés expérimentés et les plus jeunes : ouvriers
qualifiés de l’électricité et de l’électronique, ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal, techniciens et agents
de maîtrise des industries mécaniques, techniciens et agents de maîtrise de l’électricité et de l’électronique, techniciens
et agents de maîtrise de la maintenance. Pour ces métiers (caractérisés par un fort « effet d’apprentissage interne »),
les salariés expérimentés ont acquis des compétences souvent propres à l’entreprise. Ils ont pu débuter sur d’autres
métiers et évoluer au sein de l’entreprise grâce à l’importance des marchés internes.
Les jeunes embauchés ont des niveaux de formation plus élevés que leurs aînés et des formations précises sans
pour autant être spécifiques à ces métiers. En d’autres termes, ces jeunes proviennent d’un nombre assez restreint
de formations qui permettent d’accéder à de nombreux métiers. Notons enfin que la question de la transmission des
compétences est moins préoccupante pour la maintenance dans laquelle la part des jeunes est plus importante.
18 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES ACTIFS
7
- Les métiers des actifs salariés (suite)
Pyramide des âges des salariés de la métallurgie
65 ans et plus
Hommes : 79 %
Femmes : 21 %
60 à 64 ans
55 à 59 ans
50 à 54 ans
45 à 49 ans
40 à 44 ans
35 à 39 ans
30 à 34 ans
25 à 29 ans
Moins de 25 ans
14%
12%
10%
8%
6%
4%
2%
Industrie
0%
2%
4%
6%
8%
Source : INSEE - RP 2007 Exploitation complémentaire
Métallurgie
6 salariés sur 10 sont ouvriers
Dans la métallurgie, 58 % des salariés sont des ouvriers (proportion identique à l’ensemble de l’industrie). Près de 60 %
de ces derniers sont qualifiés (55 % dans l’industrie). Les ouvriers qualifiés sont plus âgés que les non qualifiés. De
plus, ils sont sur-représentés par rapport à l’ensemble de l’industrie à partir de 40 ans. Le nombre massif de départs à
la retraite sur ces postes va devenir un enjeu au niveau des compétences acquises par ces salariés.
Les femmes et les hommes de moins de 30 ans sont quant à eux sur-représentés sont sur les postes d’ouvriers non
qualifiés.
On retrouve une forte proportion de cadres dans la fabrication de machines et équipements et la fabrication de produits
informatiques (17 %). Le secteur de la fabrication de matériel de transport compte une forte présence d’ouvriers (64 %).
Par rapport à la filière nationale, la proportion de cadres est moins élevée (11 % contre 18%). Ceci se répercute sur
les ouvriers qui sont plus nombreux en proportion sur le territoire bourguignon.
La qualification des salariés de la métallurgie
Métallurgie Bourgogne
11%
6%
Industrie Bourgogne
10%
9%
Métallurgie France de
province
14%
0%
Cadres
10%
Employés
34%
24%
7%
18%
Métallurgie France
25%
32%
25%
7%
20%
26%
32%
25%
30%
24%
40%
22%
30%
50%
Professions Intermédiaires
60%
20%
70%
Ouvriers qualifiés
80%
90%
100%
Ouvriers non qualifiés
Source : INSEE - RP 2007 - Exploitation complémentaire
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 19
LES ACTIFS
7
- Les métiers des actifs salariés (suite)
Une majorité de niveau V
Les ouvriers étant nombreux dans la métallurgie, on retrouve une forte part de niveau V (BEP/CAP) parmi les salariés
du secteur. Celle-ci est d'ailleurs légèrement plus élevée que dans l'industrie (42 % contre 40 %). Ceci se répercute
sur la part des niveaux inférieurs à V qui est plus faible dans la métallurgie. Pour les autres niveaux de formation, les
proportions sont identiques à l’ensemble de l'industrie avec 15 % de niveau IV (Bac), 12 % de niveau III (BTS) et 7 %
de niveau II et I (licence, master, ingénieur).
Le niveau de
diplôme des
salariés de la
métallurgie
Métallurgie
23%
42%
26%
Industrie
0%
10%
15%
40%
20%
30%
Inférieur à V
40%
Niveau V
15%
50%
Niveau IV
60%
Niveau III
70%
80%
12%
7%
12%
7%
90%
100%
Niveau I et II
Source : INSEE - RP 2007 - Exploitation complémentaire
Validation des acquis de l’expérience
En 2009, 51 certifications ont été validées en totalité dans le domaine de la métallurgie. Les BTS enregistrent le plus grand
nombre de validations : 22 personnes ont validé un BTS, notamment 8 BTS maintenance industrielle et 5 BTS Assistant
technique d’ingénieur. Le niveau V représente 19 validations, principalement des titres professionnels. Enfin, on dénombre
8 validations pour des bac professionnels et 2 licences professionnelles
Un dirigeant sur deux a plus de 50 ans
La pyramide des âges de la filière régionale ne se démarque pas sensiblement de la pyramide nationale. On peut
toutefois souligner des chefs d’entreprises un peu plus âgés qu’au niveau national et que dans d’autres secteurs mais
sans que cela appelle une attention particulière. Plus de la moitié des entrepreneurs ont moins de 50 ans. La proportion
de dirigeants ayant entre 40 et 49 ans et 50 et 59 ans est sensiblement la même (un tiers). Les quinquagénaires sont
majoritairement présents dans les entreprises de 50 à 250 salariés.
600
500
Répartition des
dirigeants par tranches
d’âge
400
300
200
100
Source : ACSEL Métallurgie Banque de France - Direction des
entreprises - 2011
20 0
Moins de 40 ans
40 - 49 ans
50 - 59 ans
60 - 69 ans
70 ans et plus
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES ACTIFS
8
- Le recours à l’intérim
Après une forte chute due à la crise économique, l’intérim repart en 2010
Au début des années 2000, le nombre d’intérimaires travaillant dans la métallurgie diminue avant de repartir à la hausse
jusqu’en 2007 pour atteindre 6 225 équivalents temps plein. Cette période se solde tout de même par une légère
augmentation du nombre d’intérimaire (260 ETP). Dans le même temps, la perte d’emplois permanents se situe aux
alentours des 9 000 postes. La croissance de l’emploi intérimaire de 2000 à 2007 n’explique donc pas la chute des emplois
permanents sur la même période. Dès 2008, on observe une baisse du nombre d’intérimaires due à la forte réduction
d’activité de la fin de l’année. De 2008 à 2009, la chute est de près de 60 % (40 % pour l’ensemble de l’industrie). Pour
faire face à la crise, les entreprises ont fortement réduit l’emploi intérimaire. Les frais de personnel intérimaire ont été
réduits de 46 % (contre 23 % au national). En 2010, l’activité intérimaire redémarre à la hausse.
Le taux de recours est le plus élevé dans le secteur de la réparation et installation de machines et équipements.
Les secteurs fortement demandeurs d’emplois intérimaires que sont la fabrication de produits métalliques, de machines
et équipement et de matériels de transport enregistrent les plus fortes baisses.
Les intérimaires dans la métallurgie (en ETP moyen)
Fabrication de produits métalliques
Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques
Fabrication d'équipements électriques
Fabrication de machines et équipements n.c.a.
Fabrication de matériels de transport
Réparation et installation de machines et d'équipements
Métallurgie
Industrie
2 008
1 924
173
759
1 135
867
828
5 686
9 755
2 009
789
198
376
376
257
360
2 357
5 354
2 010
1 203
199
550
495
380
561
3 388
6 675
Sources : Pôle emploi - Traitement : DARES - DIRECCTE -SEPES - 2008 à 2010
12%
11%
Evolution du taux de
recours à l’intérim dans
la métallurgie depuis
2000
10%
Taux de recours à l'intérim
9%
8%
7%
6%
5%
4%
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
Sources : URSSAF - Pôle emploi - Traitement : DARES - DIRECCTE -SEPES 16
Bourgogne
12
10
13,5
13,4
14
9,9
12,7
12
France
12,9
11,6
10,6
10,3
8
7,1
Poids du personnel
intérimaire dans les
charges de personnel
(en %)
6
4
2
0
2005
2006
2007
2008
2009
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 21
L’ATTRACTIVITÉ DE LA BRANCHE
9
- Les mouvements de main-d’oeuvre
Des entrées en CDI et un nombre important de départs en retraite
La métallurgie représente environ un tiers des mouvements de main d’œuvre de l’industrie en Bourgogne (alors qu’elle
recense la moitié des salariés). Plus d’un tiers des entrées se font en CDI, ce qui est un chiffre élevé. En revanche la
proportion de jeune est plus faible que la moyenne de l’industrie (35 % contre 41 %). Si le nombre d’entrées dans le
secteur a légèrement augmenté entre 2009 et 2010, le nombre de sorties a chuté de 18 %. Ceci étant dû au nombre
de licenciements économiques qui a été divisé par trois dans le secteur. La part des départs à la retraite est quant à elle
toujours élevée (11 %). La part des jeunes dans les sorties est faible (22 % contre 28 % dans l’industrie), en revanche
celle des seniors est forte (36 % contre 28 % dans l’industrie).
Le turn-over est assez faible dans la métallurgie puisque 90 % des salariés exerçaient dans le même secteur (contre
85 % tous secteurs) l’année précédente. La proportion de nouveaux entrants dans ce secteur est faible (2% contre
7% tous secteurs).
Les mouvements de main d’œuvre dans la métallurgie en 2010
Métallurgie
Industrie
Total
Entrées
Dont CDI
Sorties
5 681
16 293
162 251
36%
27%
17%
6 606
18 466
164 218
Dont
Licenciement
Retraite
économique
9%
11%
8%
7%
2%
3%
Source : DIRECCTE - 2010
22 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie L’ATTRACTIVITÉ DE LA BRANCHE
10
- Les salaires
Des salariés rémunérés au dessus de la médiane tous secteurs
Le salaire net médian des salariés de la métallurgie (environ 1 600 €) est supérieur à la moyenne tous secteurs
(1 378 €). Pour la plupart des grands domaines d’activités, les salaires en Bourgogne sont proches de la médiane
nationale. Deux secteurs sont en deçà : la fabrication de produits informatiques et de la fabrication de matériels de
transport. Ceci s’explique par une plus faible présence des cadres en Bourgogne.
Des disparités en fonction du sexe sont visibles. Les salariés de la métallurgie (hommes et femmes) reçoivent un salaire
net médian plus élevé que la moyenne tous secteurs. Les écarts de salaire entre hommes et femmes sont un peu plus
élevés que dans la moyenne. En effet, les femmes sont payées environ 15 % de moins que les hommes. Cette différence
ne se voit pas chez les salariés de moins de 30 ans. En effet, le salaire horaire net de cette tranche d’âge est quasi
équivalent pour les hommes et les femmes pour la plupart des secteurs d’activités. Deux hypothèses peuvent expliquer
ce phénomène : soit un changement de mentalité faisant que les femmes rattrapent leurs retards soit qu’à l’embauche
le salaire est équivalent entre les hommes et les femmes et que les différences se creusent en cours de carrière.
Le salaire mensuel net médian par secteurs dans la métallurgie
Fabrication de produits métalliques
Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques
Fabrication d'équipements électriques
Fabrication de machines et équipements n.c.a.
Fabrication de matériels de transport
Réparation et installation de machines
Tous secteurs
Bourgogne
1 673
1 499
1 657
1 714
1 629
1 441
1 378
France
1 606
2 044
1 676
1 724
1 912
1 508
1 446
Source : DADS - INSEE - 2008
Salaire horaire net des moins de trente ans en Bourgogne
Fabrication de produits métalliques
Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques
Fabrication d'équipements électriques
Fabrication de machines et équipements n.c.a.
Fabrication de matériels de transport
Réparation et installation de machines
Tous secteurs
Hommes
9,9
9,8
10,3
10,1
10,2
8,6
9,0
Femmes
10,0
10,0
9,6
9,7
10,3
8,4
8,4
Source : DADS - INSEE - 2008
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 23
LE MARCHÉ DU TRAVAIL
11
- Les demandeurs d’emploi
Un nombre de demandeurs d’emploi en baisse
En mars 2011, un peu plus de 7 000 demandeurs d’emploi (cat A, B, C) sont inscrits sur un métier de la métallurgie.
Ce nombre est en diminution de 6 % par rapport à mars 2010 alors que le nombre total de demandeurs d’emploi a
augmenté de 4 % sur la même période. Les demandeurs d’emploi inscrits sur les métiers de la métallurgie sont plus
âgés que la moyenne : les moins de 26 ans sont moins présents (16 % contre 20 %) à l’inverse des 50 ans et plus
(22 % contre 20 %). Les femmes sont globalement assez peu représentées. Cependant des disparités sont visibles sur
certains métiers comme montage assemblage mécanique ou conduite d’installation automatisée. Près de la moitié des
demandeurs d’emploi sont chômeurs de longue durée : notamment sur les métiers de conduite d’équipement.
Près de six demandeurs d’emploi sur dix ont un niveau V. Cette sur-représentation entraîne une proportion moindre par
rapport à la moyenne tous métiers sur les autres niveaux de diplôme.
Les deux métiers les plus demandés sont : montage - assemblage mécanique (environ 20 % des inscrits) et soudage
manuel (près de 800 demandeurs d’emploi).
Les demandeurs d’emploi à fin mars 2011 (cat A,B,C)
Nombre de
demandeurs
Montage - assemblage mécanique
Soudage manuel
Conduite d'installation automatisée ou robotisée de fabrication mécanique
Conduite d'équipement d'usinage
Chaudronnerie - tôlerie
Conduite d'équipement de formage et découpage des matériaux
Installation et maintenance d'équipements industriels et d'exploitation
Maintenance mécanique industrielle
Câblage électrique et électromécanique
Management et ingénierie de production
Métallurgie
Tous métiers
Moins de
26 ans
12%
13%
12%
18%
27%
13%
30%
25%
16%
4%
16%
20%
1 275
791
677
569
393
353
333
292
245
218
7 037
98 787
Dont
Femme
44%
2%
32%
11%
1%
24%
0%
0%
12%
15%
18%
52%
Chomage
longue durée
53%
48%
55%
51%
41%
59%
28%
51%
58%
49%
48%
39%
Evolution
depuis
mars 2010
-8%
-9%
-10%
-9%
3%
-20%
28%
-10%
-12%
-8%
-6%
4%
Source : Pôle emploi via DIRECCTE - mars 2011
70%
Métiers de la métallurgie
Répartition des
demandeurs
d’emploi par
niveau (cat
A,B,C)
Tous métiers
59%
60%
50%
45%
40%
30%
20%
16%
7%
10%
20%
18%
16%
9%
7%
3%
0%
I et II
Source : Pôle emploi via DIRECCTE - mars 2011
III
IV
V
V bis et VI
Les jeunes reçus par les missions locales
En 2010, sur les 29 106 jeunes de 16 à 25 ans qui ont formulé une demande de nature emploi ou formation, 949 (soit 3 %)
concernent les métiers de la métallurgie. Ce nombre est en augmentation (20 %) par rapport à 2009. Les mission locales du Creusot/
Montceau et du Chalonnais accueillent le plus de jeunes (un peu plus d'une centaine chacune sur ces métiers). La plupart sont
des hommes (91%). Près de 60 % sont demandeurs d'emploi et 30 % sont en emploi (majoritairement en contrat d'intérim ou à
durée déterminée). Près de 30 % des jeunes ont un niveau V et un sur quatre n'a pas de qualification. Plus le niveau de diplôme
augmente et plus la part des femmes est importante. Les jeunes inscrits sur les métiers de la métallurgie sont plus mobiles que
la moyenne puisque 55 % ont un moyen de locomotion individuel motorisé contre 43 % pour les autres.
Source : ASSOR - 2010
24 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LE MARCHÉ DU TRAVAIL
12
- Les besoins des entreprises
3 352 offres d’emploi sur les métiers de la métallurgie
En 2010, les métiers de la métallurgie ont enregistré 3 352 offres d’emploi. Environ 43 % concernent des postes
d’ouvriers qualifiés. La proportion d’offres durables (CDI ou CDD de plus de 6 mois) est de 41 %, ce qui est supérieure
à la moyenne tous métiers (36 %). Près de la moitié de ces offres sont déposées par le secteur de l’intérim. Les métiers
les plus demandés sont dans le domaine de l’installation, la maintenance, la conduite d’équipement, la chaudronnerie
et le soudage.
Les offres d'emploi déposées en 2010 pour les métiers de la métallurgie
Installation et maintenance d'équipements industriels et d'exploitation
Montage - assemblage mécanique
Conduite d'équipement d'usinage
Chaudronnerie - tôlerie
Soudeur manuel
Ajusteur de fabrication
Conduite d'installation de production des métaux
Technicien en méthodes et industrialisation
Technicien qualité en mécanique et travail des métaux
Câblage électrique et électromécanique
Métiers métallurgie
Tous métiers
Nombre
408
319
284
252
249
137
132
130
127
119
3 352
75 784
Offres durables*
60%
21%
40%
34%
23%
24%
14%
61%
72%
19%
41%
36%
* : CDI ou CDD de plus de 6 mois
Source : Pôle emploi via DIRECCTE - 2010
En 2010, le secteur de la métallurgie a déposé 2 229 offres. Ce qui correspond à 40 % des offres déposées en 2010 par
l’ensemble de l’industrie. Le principal secteur recruteur étant la fabrication de produits métalliques (42 %).
En Bourgogne, la branche professionnelle propose des actions afin de promouvoir les métiers de la métallurgie et d’alimenter ses
besoins de main-d’oeuvre. Voici deux exemples :
En Saône-et-Loire et en Côte-d’Or, «Job evolution» en est un. Il permet de découvrir les métiers de la métallurgie. Il s’adresse
aux demandeurs d’emploi et à toute autre personne intéressée par le secteur. Il peut aussi renseigner sur l’offre de formation
existante ou sur les offres d’emploi.
Un autre dispositif existant est «Boost avenir». Celui-ci a été créé afin de pourvoir les besoins des industries de la métallurgie en
Haute Côte-d’Or (en particulier celles regroupées autour de la Métal’Valley).
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 25
26 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie La formation
professionnelle

Points clés

3 552 formés en dernière année en 2009-2010
 40 % de formés dans le domaine de l’électricité - électrotechnique - électronique
 Des formations qui attirent peu les jeunes
 Environ 550 demandeurs d’emploi formés par an principalement dans le domaine des
Métaux - Usinage - Soudage
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 27
FORMATION INITIALE
13
- Formation initiale : GÉNÉRALITÉS
Un nombre de formés en baisse et des formations qui attirent peu
En formation initiale, pour l’année scolaire 2009-2010, on dénombre 3 552 formés en dernière année dans une spécialité
de la métallurgie. Après avoir été stable entre 2007 et 2008 (autour des 4 000) ce nombre a diminué de 12 % entre
2008 et 2009. Ceci est principalement dû à la réforme du Bac professionnel qui a entraîné la suppression du BEP. En
effet, le nombre de formés en niveau V, a baissé de 40 % entre 2008 et 2009. Ceci provient d’une diminution de moitié
du nombre de formés en dernière année de BEP. Ceci affecte notamment le domaine de l’électricité, électrotechnique,
électronique où le niveau V représente 56 % des formés de la spécialité.
Les niveaux III sont en augmentation de 10 % depuis 2007. Ceci s’explique par la hausse du nombre de formés en BTS,
notamment dans les domaines de l’électricité, électrotechnique, électronique et la mécanique - automatisme.
Ces formations attirent peu les jeunes (cf tableau des taux d’attractivité page suivante). En effet, elles sont parmi les
moins demandées des formations orientées production. Quelque soit le diplôme, leur taux d’attractivité est plus faible
que la moyenne production et tous domaines. Seul les BTS ont un taux d’attractivité supérieur à 1 (plus de voeux numéro
1 que de place). L’électricité, électrotechnique, électronique est le domaine de la métallurgie qui attire le plus et qui
compte le plus de formés (40 %) devant la mécanique - automatisme (27 %) et les métaux - usinage - soudage (24 %).
Sur le territoire bourguignon, une cinquantaine d’établissements dispensent des formations dans les domaines de la
métallurgie. Ceux de la Saône-et-Loire et de l’Yonne sont assez bien répartis sur ces territoires. Pour la Nièvre, seule la
partie ouest du département recense des établissements. En Côte-d’Or, la majorité des établissements se concentrent
dans la zone de Dijon. Cette dernière réunit un tiers des formés de la métallurgie. La deuxième zone est celle d’Auxerre
qui compte près de 600 formés.
Les formés en dernière année par domaine de formation depuis 2007-2008
Domaine de formation
2007-2008
2008-2009
2009-2010
Electricité - Electrotechnique - Electronique
Mécanique - Automatisme
Métaux - Usinage - Soudage
Sous total
Connexe
Total
1 786
1 096
795
3 677
363
4 040
1 717
1 041
958
3 716
358
4 074
1 363
964
838
3 165
387
3 552
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Années scolaires 2007-2008 à
2009-2010
Répartition des formés en dernière année par voie de formation en 2009-2010
762; 21%
2079; 59%
711; 20%
Statut scolaire
Apprentissage
Universitaire
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
28 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie FORMATION INITIALE
13- Formation initiale : GÉNÉRALITÉS (suite)
Taux d'attractivité par niveau de formation
(vœux effectués pour la rentrée scolaire 2009-2010)
Niveau
III
IV
V
Diplôme
Taux
d'attractivité
métallurgie
Taux
d'attractivité
production
1,2
0,6
0,9
0,8
1,4
1
1,2
1,4
BTS
DUT
BAC PRO
CAP
Taux
d'attractivité
toutes
formation
1,6
1,2
1,3
1,6
Source : SAIO - Année scolaire 2008-2009
Evolution de la répartition des formés en dernière année par voie de formation
70%
60%
50%
40%
30%
20%
10%
Statut scolaire
Apprentissage
Universitaire
0%
2007
2008
2009
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Années scolaires 2007-2008 à
2009-2010
Répartition des formés en dernière année par niveau en 2009-2010
274; 8%
784; 22%
317; 9%
742; 21%
1435; 40%
I
II
III
IV
V
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 29
FORMATION INITIALE
14
- Formation initiale : INSERTION
Une meilleure rémunération mais moins de contrats à durée indéterminée
Parmi les formés sous statut scolaire de l’année 2008, 44 % ont trouvé un emploi salarié 6 mois après leur sortie de
formation dont un peu plus d’un tiers en CDI et un quart en intérim. Cette dernière proportion est plus élevée que la
moyenne tous domaines (11 %).
Pour les apprentis, l’insertion est meilleure. En effet, deux tiers ont un emploi salarié 6 mois après leur sortie de formation
dont 60 % en CDI. Ces résultats sont équivalents à la moyenne tous domaines.
Sur la génération de sortants suivante (2009), l’insertion est plus difficile. En effet, les jeunes diplômés en emploi salariés
sont moins nombreux notamment chez les apprentis (moins 13 %). L’embauche en CDI a plus diminué chez les diplômés
de la métallurgie que la moyenne tous domaines. Pour le statut scolaire ce sont les niveaux V qui sont touchés, alors
que ce sont les niveaux III et IV pour les apprentis.
Le salaire net médian déclaré par les répondants est de 1 375 € net. Celui-ci est plus élevé que la moyenne (1 200 €).
Pour les formations universitaires de niveau III (DUT), le taux d’insertion est compris entre 83 % et 100%. Pour les
formations de niveau II et plus, les chiffres ne sont pas significatifs.
L’insertion à 6 mois des formés sous statut scolaire (sortant 2008)
Niveau de
formation
Nombre de
répondants
186
V
312
IV
180
III
679
Métallurgie
4 809
Tous domaines
En emploi
salariés
30%
43%
60%
44%
44%
Dont CDI
52%
25%
41%
36%
41%
Dont
Intérim
28%
27%
25%
26%
11%
Chômage
49%
39%
32%
40%
38%
Source : Rectorat - SSA, enquête IPA - 2009
L’insertion à 6 mois des formés en apprentissage (sortant 2008)
Nombre de
répondants
74
V
173
IV
147
III
53
I
446
Métallurgie
4 067
Tous domaines
Niveau de
formation
En emploi
salariés
45%
67%
74%
81%
67%
60%
Dont CDI
47%
54%
64%
73%
60%
66%
Dont
Intérim
7%
11%
12%
9%
10%
7%
Chômage
39%
28%
19%
19%
26%
30%
Source : Rectorat - SSA, enquête IVA - 2009
30 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie FORMATION INITIALE
15
- Formation initiale : ÉLECTRICITÉ - ÉLECTROTECHNIQUE - ÉLECTRONIQUE
La spécialité comptant le plus de formés
Cette spécialité recense 1 363 formés en dernière année pour l’année scolaire 2009-2010. C’est aussi celle qui attire le
plus les jeunes. En effet ces taux d’attractivités sont assez élevés pour le secteur, surtout les niveaux IV et V. Environ
4 formés sur 5 suivent ces formations sous statut scolaire, ce qui est plus élevé que la moyenne du secteur (60 %).
Plus de la moitié (56 %) suivent une formation de niveau IV, 462 élèves sont en terminale technologique et 301 sont en
année terminale de Bac professionnel (notamment le Bac pro électrotechnique énergie équipements communicants).
Les trois quart des niveau III sont de BTS, notamment en BTS électrotechnique.
Un tiers des formés de cette spécialité le sont à Dijon.
Répartition des formés en dernière année par niveau en 2009-2010
Niveau
Intitulé formation
Licence Professionnelle Electricité et électronique option contrôle par vision
artificielle
Total Niveau II
BTS Electrotechnique
BTS Systemes electroniques
III
DUETI Génie électrique et informatique industrielle
DUT Génie électrique et informatique industrielle
Total Niveau III
Bac Pro Electrotechnique énergie équipements communicants
Bac Pro Micro-informatique et réseaux : installation et maintenance
Bac Pro Système électronique numérique spécialité électrodomestique
IV
Bac Pro Systèmes électroniques numériques
Bac Techno STI Génie électronique
Bac Techno STI Génie électrotechnique
Total Niveau IV
BEP Métiers de l'électrotechnique
BEP Systèmes électroniques industriels et domestiques
V
CAP Préparation et réalisation d'ouvrages électriques
Total Niveau V
Total Electricité - Electrotechnique - Electronique
Nombre de
formés
II
10
10
110
47
6
38
201
223
14
6
58
187
275
763
241
30
118
389
1 363
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
Répartition des formés par voie de formation en 2009-2010
211; 15%
54; 4%
1098; 81%
Statut scolaire
Apprentissage
Universitaire
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 31
FORMATION INITIALE
16
- Formation initiale : MÉCANIQUE - AUTOMATISME
Une spécialité dominée par le niveau III et plus
Cette spécialité recense 964 formés en dernière année en 2009-2010. Un tiers suivent une formation de niveau III,
majoritairement des BTS. La proportion de niveau IV est plus faible que dans les deux autres spécialités, 28 % contre
au moins 40 %. Les diplômes de maintenance industrielle (BEP, Bac pro, BTS) comptent le plus de formés. Dans la
spécialité mécanique - automatisme, ce sont d’ailleurs ces formations qui attirent le plus les jeunes.
Les zones de Dijon et d’Auxerre recensent environ 300 formés chacune, soit deux tiers des formés de cette spécialité.
Répartition des formés en dernière année par niveau en 2009-2010
Niveau
Intitulé formation
I
Ingénieur ITII spécialité génie industriel
Total Niveau I
Licence Professionnelle Production industrielle - conception 3D et calcul de structures II
Licence Professionnelle Production industrielle option management des processus industriels
Total Niveau II
BTS Assistance technique d'ingénieur
BTS Conception de produits industriels
BTS Informatique et réseaux pour l'industrie et les services techniques
BTS Maintenance industrielle
III
BTS Mécanique et automatismes industriels
DUETI Génie industriel et maintenance
DUT Génie industriel et maintenance
Total Niveau III
Bac Pro Etude et définition de produits industriels
Bac Pro Maintenance des équipements industriels
IV
Bac Pro Pilotage des systèmes de production automatisée
Total Niveau IV
BEP Maintenance des équipements industriels
CAP Conduite de systemes industriels option fabrication-assemblage
V
CAP Conduite de systèmes industriels option production et transformation des métaux
Total Niveau V
Total Mécanique - Automatisme
Nombre de
formés
139
139
26
43
69
20
52
50
104
78
2
23
329
27
222
19
268
120
12
27
159
964
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
Répartition des formés par voie de formation en 2009-2010
172; 18%
492; 51%
300; 31%
Statut scolaire
Apprentissage
Universitaire
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
32 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie FORMATION INITIALE
17
- Formation initiale : MÉTAUX - USINAGE - SOUDAGE
La spécialité la moins demandée
Domaine de formation comptant le moins de formés (838) en dernière année en 2009-2010, les métaux - usinage soudage attirent assez peu les jeunes. En effet, les taux d’attractivité sont faibles et quasiment toujours en dessous
de 1. Ce qui veut dire qu’il y a plus de places que de demandes formulées en voeux numéro 1 dans ces formations.
Environ 40 % des formés suivent une formation de niveau IV, ce qui est dans la moyenne. A noter que la principale
formation de niveau III est le DUT Génie mécanique et productique alors que dans les autres domaines, le niveau III
est dominé par les BTS.
La zone de Dijon regroupe 30 % des formés de cette spécialité. La deuxième est celle du Creusot, avec 20 % des formés.
Ceci est dû aux formations universitaires, très présentes dans la zone (40 %).
Répartition des formés en dernière année par niveau en 2009-2010
Niveau
I
Total Niveau I
Intitulé formation
ESIREM Matériaux
Master Chimie des interfaces et matériaux
Master Physique, laser et matériaux
DU Ingénierie en cfao
Licence Professionnelle Production industrielle option mécatronique
Licence Professionnelle Transformations industrielles option ingénierie et
contrôle des matériaux et des structures
Total Niveau II
BTS Constructions métalliques
BTS Industrialisation des produits mécaniques
BTS Réalisation d'ouvrages chaudronnés
III
DUETI Génie mécanique et productique
DUT Génie mécanique et productique
DUT Science et génie des matériaux
Total Niveau III
Bac Pro Réalisation d'ouvrages chaudronnés et de structures métalliques
Bac Pro Technicien d'usinage
Bac Pro Technicien modeleur
IV
Bac Pro Technicien outilleur
Bac Techno STI Génie mécanique option productique mécanique
Bac Techno STI Génie mécanique option structure métallique
Total Niveau IV
BEP Métiers de la production mécanique informatisée
BEP Réalisation d'ouvrages chaudronnés et de structures métalliques
V
MC Operateur regleur sur machines a commande numerique
Total Niveau V
Total Métaux - Usinage - Soudage
II
Nombre de
formés
47
7
12
66
7
18
24
49
10
27
12
7
109
23
188
40
41
6
11
244
18
360
84
83
8
175
838
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
Répartition des formés par voie de formation en 2009-2010
254; 30%
461; 55%
123; 15%
Statut scolaire
Apprentissage
Universitaire
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 33
FORMATION INITIALE
18
- Formation initiale : CONNEXE
Le domaine connexe a été créé dans la mesure où des jeunes formés à des formations relevant de ces domaines peuvent
être amenés à travailler dans les entreprises relevant du champ de la métallurgie.
Ce domaine est dominé par les diplômes universitaires. Les licences professionnelles représentent près de 200 formés.
Les zones de Dijon et d’Auxerre concentrent 78 % des formés du domaine connexe.
A noter qu’il existe un partenariat entre l’université de Marne-la-Vallée et l’UIMM 89. Cela concerne trois licences
professionnelles (commerce, maintenance industrielle et santé) qui comptent une soixantaine de sortants par an ainsi
que deux masters professionnels (qualité et maintenance) pour une vingtaine de sortants.
Répartition des formés en dernière année par niveau en 2009-2010
Niveau
I
Total Niveau I
II
Total Niveau
III
Total Niveau
IV
Total Niveau
V
Total Niveau
Total
Nombre de
formés
43
26
69
Intitulé formation
Master Qualité, environnement et sécurité dans l'industrie
Master Sciences du Management Marketing
Licence Professionnelle Gestion de la production industrielle Management des activités supports à la
production
Licence professionnelle Gestion de la production industrielle Mesures et capteurs intelligents
Licence Professionnelle Management des activités internationales des pme-pmi
Licence Professionnelle Management des organisations, spécialité manager de projet pme-pmi : direction,
création, reprise
Licence Professionnelle Manager technico-commercial en PME-PMI (MATECO)
Licence Professionnelle Système d'information logistique - supply chain
Licence Professionnelle Systèmes informatiques et logiciels option systèmes intra/internet pour l’entreprise
Licence Professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité gestionnaire de système informatique
d'entreprise
II
DUT Qualité, logistique industrielle et organisation
III
BP Installations équipements électriques
IV
CAP Serrurier métallier
V
22
20
16
27
14
20
42
29
189
24
24
44
44
61
61
387
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
Répartition des formés par voie de formation en 2009-2010
28; 7%
77; 20%
282; 73%
Statut scolaire
Apprentissage
Universitaire
Sources : Rectorat, Conseil régional de Bourgogne, Université de Bourgogne - Année scolaire 2009-2010
34 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie FORMATION CONTINUE
19
- Formation continue des demandeurs d’emploi
Le niveau V largement majoritaire.
En 2009, 531 demandeurs d’emploi ont suivi une formation du domaine de la métallurgie dont 373 dans les domaines
principaux. Ce chiffre est en baisse de 10 % par rapport à 2009. Une grande majorité des formés (318) le sont dans
le domaine des métaux - usinage - soudage. Près de 85 % sont formés à l’AFPA dont la moitié dans le centre de
Montceau-les-Mines. Les GRETA ont formé une trentaine de personnes. Environ 120 soudeurs ont été formés en 2009,
ce qui en fait la principale formation des demandeurs d’emploi. Environ 9 demandeurs d’emploi sur 10 sortent de ces
formations avec un niveau V (la moyenne tous domaines est d’environ 45 %).
Les demandeurs d’emploi formés depuis 2007
Domaine de formation
Electricité - Electrotechnique - Electronique
Mécanique - Automatisme
Métaux - Usinage - Soudage
Sous total
Connexe
Préqualification
Total
2007
48
51
381
480
29
78
587
2008
30
74
322
426
165
591
2009
3
52
318
373
36
122
531
Sources : Conseil régional de Bourgogne, Pôle emploi, AFPA - Année 2009 et campagne 2008-2009
Les demandeurs d’emploi formés par voie de formation en 2009
Domaine de formation
Electricité - Electrotechnique - Electronique
Mécanique - Automatisme
Métaux - Usinage - Soudage
Sous total
Connexe
Préqualification
Total
Programme
Formations
Programme régional de
conventionnées
formation
régional
Pôle emploi
de l'AFPA
3
13
39
5
48
265
8
61
304
36
40
42
40
48
103
380
Total
3
52
318
373
36
122
531
Sources : Conseil régional de Bourgogne, Pôle emploi, AFPA - Année 2009 et campagne 2008-2009
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 35
FORMATION CONTINUE
20
- Formation continue des salariés
PLAN DE FORMATION
En 2010, 377 salariés (dont 66 femmes) des entreprises de la métallurgie ont suivi une formation de plus de 70 heures
via le plan de formation. Ce nombre est en baisse de 27 % par rapport à 2009. Deux tiers de ces salariés ont été
formés sur le territoire bourguignon (contre 82 % en 2009). Les principaux pôles de formation extérieurs sont la région
parisienne et lyonnaise. Les deux domaines de formation les plus demandés sont les langues étrangères (30 %) et
les techniques industrielles fondamentales et de transformation (20 %). Près de 9 salariés sur 10 appartiennent à une
entreprise embauchant 10 salariés ou plus. Toutes durées confondues, le total diminue légèrement entre 2009 et 2010.
Excepté dans la Nièvre où ce nombre a fortement augmenté.
Nombre de salariés de la métallurgie ayant suivi une formation en plan de formation
ADEFIM
Durée formation
< 70 heures
Côte-d'Or
> 70 heures
Total Côte-d'Or
< 70 heures
Nièvre
> 70 heures
Total Nièvre
< 70 heures
Saône-et-Loire
> 70 heures
Total Saône-et-Loire
< 70 heures
Yonne
> 70 heures
Total Yonne
< 70 heures
Total
> 70 heures
Total Bourgogne
2009
4 559
229
4 788
600
13
613
7 395
221
7 616
1 441
52
1 493
13 995
515
14 510
2010
4 507
177
4 684
1 069
39
1 108
5 940
113
6 053
1 636
48
1 684
13 152
377
13 529
Source : ADEFIM - 2009-2010
Droit individuel à la formation
En 2010, 167 salariés de la métallurgie (dont 45 femmes) ont suivi une formation de 70 heures ou plus via le droit
individuel à la formation. Ce nombre est en hausse de 42%. Près de 80 % des formations ont lieu en Bourgogne.
Cependant, lorsque que l’on regarde l’évolution de l’ensemble des DIF (sans limite de durée), on constate une baisse
de 38 %. Notamment pour les domaines des langues étrangères, de l’informatique pour les entreprises de Côte-d’Or et
pour les formations ayant lieu en Bourgogne.
Nombre de salariés de la métallurgie ayant suivi une formation en DIF par département
ADEFIM
Durée formation
< 70 heures
Côte-d'Or
> 70 heures
Total Côte-d'Or
< 70 heures
Nièvre
> 70 heures
Total Nièvre
< 70 heures
Saône-et-Loire
> 70 heures
Total Saône-et-Loire
< 70 heures
Yonne
> 70 heures
Total Yonne
< 70 heures
Total
> 70 heures
Total Bourgogne
2009
1 388
22
1 410
239
17
256
1 195
49
1 244
460
29
489
3 282
117
3 399
2010
564
16
580
126
10
136
941
82
1 023
315
59
374
1 946
167
2 113
Source : ADEFIM - 2009-2010
36 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie FORMATION CONTINUE
20
- Formation continue des salariés (suite)
PERIODE DE PROFESSIONNALISATION
En 2010, 563 salariés de la métallurgie (dont 97 femmes) ont suivi une formation de 70 heures ou plus via une
période de professionnalisation. Environ 40 % concerne le domaine des technologies industrielles fondamentales et de
transformations et 14 % le management.
Nombre de salariés de la métallurgie ayant suivi une formation en période de
professionnalisation par département
ADEFIM
Durée formation
< 70 heures
> 70 heures
Total Côte-d'Or
< 70 heures
Nièvre
> 70 heures
Total Nièvre
< 70 heures
Saône-et-Loire
> 70 heures
Total Saône-et-Loire
< 70 heures
Yonne
> 70 heures
Total Yonne
< 70 heures
Total
> 70 heures
Total Bourgogne
Côte-d'Or
2009
1 505
321
1 826
438
51
489
1 825
218
2 043
782
79
861
4 550
669
5 219
2010
1 312
259
1 571
291
40
331
1 675
192
1 867
452
72
524
3 730
563
4 293
Source : ADEFIM - 2009-2010
CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION
En 2010, 393 salariés de la métallurgie (dont 142 femmes) ont suivi une formation de 70 heures via un contrat de
professionnalisation. Ce nombre est en hausse de 25 % par rapport à 2009. Environ 60 % ont suivi une formation
industrielle
Nombre de salariés de la métallurgie ayant suivi une formation en contrat de
professionnalisation par département
ADEFIM
Côte-d'Or
Nièvre
Saône-et-Loire
Yonne
Total
2009
71
18
140
82
311
2010
84
31
194
84
393
Dont CQPM (2010)
33%
74%
64%
70%
60%
Source : ADEFIM - 2009-2010
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 37
FORMATION CONTINUE
20
- Formation continue des salariés (suite)
Congé individuel de formation
44 salariés ont effectué un CIF en 2009 pour une formation dans le domaine de la métallurgie. La majorité (41) sont
des hommes. Près de la moitié ont effectué une formation de niveau V dont 6 soudeurs.
En 2010, ce nombre a diminué pour passer à 35. Près des deux tiers sont des formations de niveau V.
Les salariés ayant effectué un CIF dans une formation de la métallurgie en 2010
CIF CDD
CIF CDI
Total
Femme
1
2
3
Homme
4
28
32
Total
5
30
35
Source : FONGECIF - 2010
Répartition des CIF par domaine de formation
Domaine de formation
Electricité - Electrotechnique - Electronique
Mécanique - Automatisme
Métaux - Usinage - Soudage
Sous Total
Connexe
Total
2009
6
18
16
40
4
44
2010
16
9
7
32
3
35
Source : FONGECIF - 2009-2010
Les certificats de qualification paritaire de la métallurgie (CQPM)
En 2010, 324 salariés de la métallurgie (dont 58 femmes) ont validé un CQPM. Ce nombre est en légère augmentation
(5 %) par rapport à 2009. Plus de 90 % des formations concernent le domaine industriel. Près des trois quarts sont
réalisés via des contrats de professionnalisation et 19 % en période de professionnalisation. Environ un tiers sont
réalisés dans des entreprises de moins de 10 salariés. La plupart des formations non industrielles sont réalisées dans
des entreprises de 50 salariés et plus.
Nombre de salariés ayant validé un CQPM par département
ADEFIM
Côte-d'Or
Nièvre
Saône-et-Loire
Yonne
Total
2009
95
25
126
61
307
2010
87
29
139
69
324
Source : ADEFIM - 2009-2010
38 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Marchés,
innovation

Points clés

Une filière plus exportatrice que la filière nationale mais dont les exportations tardent
à repartir après la crise
 Une filière positionnée sur des activités de moyennes et faibles technologies
 Les personnels d’études et de recherche sont deux fois moins présents que dans la
filière nationale
 Des structures de soutien à l’innovation jeunes et difficiles à évaluer
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 39
LES MARCHÉS, L’INNOVATION
21- Le commerce extérieur
Le commerce international
La filière a connue une nette amélioration de l’activité à l’export dans la période d’avant crise (2005-2008). En 2008,
42,6 % du chiffre d’affaire était réalisé en dehors de France (échantillon banque de France). En contrecoup de cette
progression, la Bourgogne enregistre une très forte baisse de ses exportations entre 2008 et 2009 (-30,9 %).
En 2010, alors que les exportations de produits de la métallurgie repartent à la hausse en France (+14,5 %), la Bourgogne
connait une baisse de 5,6 % et fait partie des rares régions à ne pas connaitre de croissance de ses exportations. La
Franche-Comté ou la région Rhône-Alpes par exemple ont connu une hausse significative en 2010.
Entre 2009 et 2010, es exportations baissent significativement dans les machines et équipements. (-16,6%) en particulier
pour les « autres machines à usage spécifiques ». Ce secteur des machines et équipements est un secteur fortement
exportateur puisqu’il représente 27 % des exportations de la métallurgie bourguignonne (16 % en France).
De manière plus détaillée, le sous secteur qui a le plus diminué à l’exportation est « autres parties et accessoires pour
véhicules automobiles ». Le sous secteur qui a le plus augmenté à l’exportation est « Produits sidérurgiques de base
et ferroalliages ».
L’Union Européenne est largement majoritaire dans les échanges. En France comme en Bourgogne, environ 40 % des
exportations de la branche sont réalisées vers 4 pays : Allemagne, Italie, Espagne, Royaume-Uni.
Hors Union Européenne, l’Amérique du nord est le principal client de la Bourgogne et représente 5,3 % des exportations
de la filière.
Evolution des exportations par produit de 2008 à 2010 en Bourgogne
EQUIPEMENTS ELECTRIQUES
INFORMATIQUE - ELECTRONIQUE - OPTIQUE
MACHINES ET EQUIPEMENTS
MATERIELS DE TRANSPORT
METALLURGIE - PRODUITS METALLIQUES
CONNEXE
Total
2008
784 169
104 130
1 574 095
1 454 006
2 220 300
97 160
6 233 860
2009
516 522
97 357
1 340 624
935 334
1 415 254
57 577
4 305 090
Bourgogne
Evolution 08-09
-34,1%
-6,5%
-14,8%
-35,7%
-36,3%
-40,7%
-30,9%
2010
492 158
127 802
1 117 072
857 687
1 465 875
57 549
4 060 594
Evolution 09-10
-4,7%
31,3%
-16,7%
-8,3%
3,6%
0,0%
-5,7%
Source : Douanes - 2008 -2010
Evolution des exportations par produit de 2008 à 2010 en France
EQUIPEMENTS ELECTRIQUES
INFORMATIQUE - ELECTRONIQUE - OPTIQUE
MACHINES ET EQUIPEMENTS
MATERIELS DE TRANSPORT
METALLURGIE - PRODUITS METALLIQUES
CONNEXE
Total
2008
19 529 030
26 839 856
37 276 202
87 865 205
34 615 742
7 813 392
213 939 427
2009
16 170 470
22 569 351
28 626 082
72 506 205
24 686 515
7 474 001
164 558 624
France
Evolution 08-09
-17,2%
-15,9%
-23,2%
-17,5%
-28,7%
-4,3%
-23,1%
2010
17 754 087
26 699 385
31 264 607
84 031 059
29 424 804
7 749 503
189 173 944
Evolution 09-10
3,7%
9,8%
18,3%
9,2%
15,9%
19,2%
14,5%
Source : Douanes - 2008 -2010
Comparaison des structures régionale et nationale en 2010
Bourgogne
Export %
Import %
EQUIPEMENTS ELECTRIQUES
12,0%
15,1%
INFORMATIQUE - ELECTRONIQUE - OPTIQUE
3,1%
4,1%
MACHINES ET EQUIPEMENTS
27,1%
16,4%
MATERIELS DE TRANSPORT
20,8%
14,2%
METALLURGIE - PRODUITS METALLIQUES
35,6%
46,6%
CONNEXE
1,4%
3,6%
Total
100%
100%
France
Export %
Import %
9,0%
9,2%
13,6%
20,1%
15,9%
15,6%
42,7%
32,6%
14,9%
16,3%
3,9%
6,2%
100%
100%
Source : Douanes - 2009 -2010
40 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES MARCHÉS, L’INNOVATION
21
- Le commerce extérieur (suite)
Les importations et les exportations par produits en 2010
export
import
1 519 913 767
METALLURGIE - PRODUITS METALLIQUES
1 465 875 241
462 929 063
MATERIELS DE TRANSPORT
857 686 693
535 559 913
MACHINES ET EQUIPEMENTS
INFORMATIQUE - ELECTRONIQUE OPTIQUE
1 117 071 686
133 492 739
127 801 680
490 853 328
EQUIPEMENTS ELECTRIQUES
CONNEXE
492 158 354
117 633 277
Source : Douanes - 2009 -2010
57 548 672
Part du chiffre d’affaires réalisé à l’export
45
Bourgogne
40
35
France de province
38,3
37,7
42,6
40,3
39,8
38,3
37,6
34,9
33,9
32,9
30
25
20
15
10
5
0
2005
2006
2007
2008
2009
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 41
LES MARCHÉS, L’INNOVATION
21
- Le commerce extérieur (suite)
France
Bourgogne
Les principaux clients et fournisseurs de produits de la
métallurgie en 2010 de la Bourgogne et de la France
Fournisseurs
Valeur
Palmarès des 5
(en milliers
principaux pays
d'euros)
TOUS PAYS
3 260 382
Allemagne
567 884
Belgique
585 006
Italie
410 345
Chine
192 372
Japon
160 910
TOUS PAYS
212 388 637
Allemagne
49 590 703
Chine
22 245 153
italie
17 922 380
Amérique du nord
15 402 706
Espagne
14 466 686
% par Pays
Palmarès des 5
principaux pays
100%
17,4%
17,9%
12,6%
5,9%
4,9%
100%
23,3%
10,5%
8,4%
7,3%
6,8%
TOUS PAYS
Allemagne
Italie
Espagne
Royaume-Uni
Amérique du nord
TOUS PAYS
Allemagne
Espagne
Italie
Royaume-Uni
Amérique du nord
Clients
Valeur
(en milliers
d'euros)
4 118 142
693 174
414 430
353 736
222 822
218 414
196 923 444
38 131 383
14 268 374
13 435 385
11 351 811
11 504 452
% par Pays
100%
16,8%
10,1%
8,6%
5,4%
5,3%
100%
19,4%
7,2%
6,8%
5,8%
5,7%
Source : Douanes - 2010
Evolutions pour les principaux clients de produits de la métallurgie
Bourgogne
Palmarès des 5
principaux pays
TOUS PAYS
Allemagne
Italie
Espagne
Royaume-uni
Belgique
2008
Valeur
(en milliers
d'euros)
6 246 995
1 097 720
679 770
669 783
361 146
320 950
% par pays
Palmarès des 5
principaux pays
100%
17,6%
10,9%
10,7%
5,8%
5,1%
TOUS PAYS
Allemagne
Italie
Espagne
Royaume-Uni
Amérique du nord
2010
Valeur
(en milliers
d'euros)
4 118 142
693 174
414 430
353 736
222 822
218 414
% par pays
100%
16,8%
10,1%
8,6%
5,4%
5,3%
Source : Douanes - 2008 - 2010
Evolutions pour les principaux fournisseurs de produits de la métallurgie
Bourgogne
Palmarès des 5
principaux pays
TOUS PAYS
Belgique
Allemagne
Italie
Chine
Japon
2008
Valeur
(en milliers
d'euros)
4 348 181
792 600
761 070
749 603
222 362
182 089
% par pays
100%
18,2%
17,5%
17,2%
5,1%
4,2%
Palmarès des 5
principaux pays
TOUS PAYS
Allemagne
Belgique
Italie
Chine
Japon
2010
Valeur
(en milliers
d'euros)
3 260 382
567 884
585 006
410 345
192 372
160 910
% par pays
100%
17,4%
17,9%
12,6%
5,9%
4,9%
Source : Douanes - 2008 - 2010
42 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES MARCHÉS, L’INNOVATION
22
- L’innovation
Une politique industrielle fondée sur le soutien à l’innovation
Depuis la fin des années 1990, le soutien de la puissance publique à l’innovation fait l’objet d’un large consensus, partagé par les
économies les plus avancées de l’Union Européenne.
Dans un contexte d’économie mondialisée, face à des pays dont la compétitivité est basée sur les faibles coûts de main-d’œuvre ou
sur l’abondance des matières premières, la recherche de la compétitivité par l’innovation apparaît en effet comme une voie possible.
Définie en 2000, la stratégie de Lisbonne, proposait ainsi de faire de l’Europe « l’économie de la connaissance la plus compétitive
du monde d’ici 2010 » et s’inscrivait donc dans ce cadre consensuel. Elle pointait en outre le retard pris par l’Europe face au
Japon et aux Etats-Unis. En ce sens, cette stratégie encourageait notamment les états membres à augmenter les dépenses de
recherche et développement pour atteindre 3 % du PIB annuel.
Cette stratégie a cependant été largement remise en cause dans les faits dans un premier temps et contrariée par la crise
financière dans les années plus récentes. En 2010, les effets de cette stratégie à long terme ne peuvent pas encore être évalués.
En outre, l’innovation est un phénomène complexe dont les conséquences sur l’emploi sont difficiles à mesurer. C’est un concept
large qui dépasse les aspects technologiques ou la production de produits nouveaux. Il peut ainsi recouvrir également les
changements organisationnels, commerciaux et financiers.
Le positionnement du secteur
Plusieurs indicateurs traduisent un positionnement moins marqué de la métallurgie bourguignonne sur les activités de
recherche et développement en comparaison de la filière nationale.
Les personnels d’étude et de recherche sont sous représentés dans la filière. Ils sont deux fois moins présents en
proportion par rapport à la filière nationale (1 258 salariés soit 2,3 % des salariés de la branche). Les ingénieurs et
cadres techniques de l’industrie (2037) sont également sous représentés par rapport à la filière nationale
(Source : INSEE - RP 2007).
Rapporté au chiffre d’affaires, le poids des frais de recherche et de brevets de la filière bourguignonne est en retrait,
mais il tend à rattraper son retard sur la filière nationale. En 2009, il atteint son plus haut niveau depuis 2005.
Selon l’indicateur d’intensité technologique, les entreprises de la métallurgie sont largement sous représentées sur
le segment des entreprises à forte intensité technologique en comparaison de la France de province. Elles sont
surreprésentées sur les segments de technologie faible à moyenne-faible.
Positionnement technologique* de la filière en fonction des effectifs (en %)
Haute Techno
60
40
Techno
Indéterminé
20
moyenne-haute
0
Techno
moyenne-faible
Cible
Techno faible
Comparaison
*Le degré d’intensité
t e c h n o l o g i q u e d’u n
secteur dépend de
l’importance, sur longue
période, des frais engagés
en matière de recherche,
de développement et de
créations de brevets. Les
branches industrielles et
des services sont ainsi
ventilées en 4 groupes
d’intensité technologique,
du plus élevé au plus
faible, qui permet ensuite
de déterminer le profil
d’intensité technologique
d’un territoire.
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 43
LES MARCHÉS, L’INNOVATION
22
- L’innovation (suite)
Poids des frais de recherche et brevets dans le chiffre d’affaires
0,6
0,56
Bourgogne
0,5
0,46
0,39
0,4
0,31
0,3
France de province
0,41
0,37
0,48
0,38
0,34
0,29
0,2
0,1
0
Source : ACSEL Métallurgie - Banque de France - Direction des entreprises - 2011
44 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES MARCHÉS, L’INNOVATION
23
- L’accompagnement à l’innovation en Bourgogne
En France, le soutien public à l’innovation adopte une forme proche de la forme actuelle dès 2005 avec la création
d’OSEO et la mise en place des pôles de compétitivité. Plus récemment, le grand emprunt a également pour vocation
de soutenir l’emploi via le financement de projets de recherche aboutissant à l’innovation.
En Bourgogne, la structure « Bourgogne innovation » est opérationnelle depuis le 1er janvier 2006.
La politique des pôles de compétitivité a été décidée lors du comité interministériel d'aménagement et de compétitivité
des territoires (CIACT) du 13 décembre 2002. Elle doit permettre d’encourager le regroupement d’activités économiques
et de recherche d’un même secteur sur un territoire. Les collaborations entre université et entreprises doivent ainsi être
facilitées par la proximité géographique. In fine, ces « clusters » labellisés doivent permettre aux entreprises d’améliorer
leur capacité d’innovation, d’augmenter leur productivité et leur compétitivité.
Le Pôle Nucléaire Bourgogne
Le Pôle Nucléaire Bourgogne (PNB) a obtenu le label de pôle de compétitivité en juillet 2005. Il est spécialisé dans les
domaines de l’énergie et de la Microtechnique / Mécanique et plus particulièrement dans la fabrication de composants
pour centrales nucléaires.
En 2009, Il compte 102 établissements dont 66 en Bourgogne, 46 en Saône et Loire, 18 en Côte d’Or. Son activité est
concentrée sur 4 territoires. Les zones d’emploi de Chalon-sur-Saône, Dijon, Le Creusot et Montceau-les-Mines comptent
53 établissements appartenant au PNB.
Comme les autres pôles, le PNB est une structure jeune et sa pérennité n’est pas assurée.
Suite à l’audit des pôles réalisé en 2008, le Pôle Nucléaire Bourgogne est classé parmi les 13 pôles menacés de perdre
leur label et enjoint à se « reconfigurer en profondeur ». Cette reconfiguration portait alors sur 3 points :
- Clarifier le système de gouvernance
- Veiller à une meilleure implication des PME
- Travailler la recherche et développement
Le 10 mai 2010, le comité interministériel d’aménagement et de développement du territoire décide d’accorder au Pôle
Nucléaire de Bourgogne le maintien de son label pôle de compétitivité.
En 2010, 32 projets de recherche et développement ont été labélisés par le pôle. Ces projets ont nécessités 27 000 k€
d’investissement et ont permis de créer 35 emplois directs.
Au total début 2011, le PNB déclare 149 adhérents :
- 69 PME
- 47 groupes
- 15 membres associés
- 5 organismes « Recherche, transfert, technologie »
- 7 organismes de formation
- 6 organismes d’enseignement
Les centres de recherches et de formation associés au PNB
Le Commissariat à l’énergie Atomique (CEA Valduc)
L’Université de Bourgogne : pôle science des matériaux, ingénierie des procédés
L’école arts et métiers Paristech de Cluny
L’école supérieure d’ingénieurs de recherche en matériaux et infotronique (Esirem) de Dijon
Les IUT du Creusot et de Chalon sur Saône
Le Lycée Léon Blum du Creusot
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 45
LES MARCHÉS, L’INNOVATION
23
- L’accompagnement à l’innovation en Bourgogne (suite)
OSEO : une entreprise publique nationale soutien de l’innovation
C r é é e e n 2 0 0 5 , O s é o e s t u n e s o c i é t é a n o ny m e d é t e n u e p a r l ’ É t a t , l a C a i s s e d e s d é p ô t s e t
consignations, les banques et assureurs, ainsi que certains fonds et entrepreneurs. Elle est née
de l’absorption par la BDPME (Banque des PME) de l’Anvar (Agence de l’innovation) et de la Sofaris.
Oséo a pour principal objectif de faciliter le financement des PME et des entreprises de taille intermédiaire, leur capacité
d’innovation et de croissance. Il garantit, à la demande des banques, les prêts bancaires accordés à des entreprises déjà profitables
et participe (par des aides ciblées ou des prêts) au financement de plusieurs milliers de projets ou d’investissement par an.
En Bourgogne, depuis 2008, OSEO a délivré 45 aides dans 26 entreprises bourguignonnes de la métallurgie pour un
montant de 4 267 000 euros.
Le montant moyen d’une aide pour un programme est 94 822 euros allant de 10 000 à 560 000 euros. La moitié des
programmes ont été financés pour moins de 50 000 euros.
L’ensemble des programmes soutenus représente un investissement total de 16 587 806 euros soit un effet multiplicateur
de 3,9 par rapport aux aides accordées.
Les 45 projets soutenus depuis 2008 par OSEO en Bourgogne pour la métallurgie
Total
Yonne
4
Nb de projets
soutenus
depuis 2008
45
selon la taille de l'établissement :
PME < 50 sal
PME > 50 sal
60%
40%
selon l'ancienneté de création de l'entreprise :
PME de moins de 3 ans
PME de plus de 3 ans
15%
85%
Côte d'Or
18
Saône-et-Loire
13
Source : OSEO - septembre 2011
Nièvre
10
Bourgogne Innovation
Association de Loi 1901 créée en 2006, Bourgogne Innovation constitue le portail de l’innovation en Bourgogne.
Bourgogne Innovation accueille, oriente et simplifie l’accès aux ressources adaptées à la conduite de projets innovants
ou de développement technologique. Elle accompagne techniquement et financièrement les projets.
Bourgogne Innovation s’adresse à différents types de public :
- Les Entreprises innovantes afin de les conseiller et de les mettre en relation, puis de les accompagner financièrement
et techniquement dans leurs premières démarches d’innovation au plan national et européen (Prestation de Conseil
Technologique, Prestation de Protection de Création Innovante, Prestation Technologique Réseau, Projets européens...),
et dans leurs démarches d’éco-conception...
- Les Laboratoires de recherche en finançant le recours à des experts pour appuyer leurs premiers pas dans la
valorisation de leurs résultats de recherche... (Prestation de Conseil en Valorisation).
Nombre de prestations par pôles / CPP
Nombre total de
CPP Métallurgie
prestations*
PNB
Prestations en Conseil Technologique (PCT)
Elles s'adressent aux entreprises bourguignonnes avec une priorité en faveur
de PME qui souhaitent bénéficier de l'avis d'un expert pour formaliser leur
démarche, identifier des solutions technologiques, rechercher des partenaires...
Le montant de l'opération (1 000 € HT) est entièrement pris en charge par
Bourgogne Innovation dans le cadre de conventions avec l'Etat.
Prestations Technologiques Réseau (PTR)
Elles s'adressent aux PME de la région avec une priorité en faveur des TPE qui
souhaitent bénéficier de l'assistance d'un prestataire extérieur afin d'effectuer
une étude de faisabilité, des essais techniques, d'améliorer leur niveau de
performance... L'aide accordée peut couvrir jusqu'à 80 % de coût de la
prestation avec un plafond d'intervention de 10 000 € HT.
2008
2
11
55
2009
6
12
65
2010
9
13
52
2008
2
5
43
2009
2
12
59
2010
8
9
60
Source : Bourgogne Innovation - décembre 2010
* tous secteurs confondus
46 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie LES MARCHÉS, L’INNOVATION
24 - Les brevets publiés par la voie nationale
Bourgogne
Machines et appareils électriques, énergie électrique
Manutention
Machines-outils
Moteurs, pompes, turbines
Machines à fabriquer du papier et des textiles
Autres machines spécialisées
Procédés et appareils thermiques
Composants mécaniques
Transports
Total métallurgie
Total tous domaines
2008
5
19
6
8
1
7
2
4
17
69
151
2009
6
21
7
15
1
5
3
6
15
79
157
2010
12
12
4
9
2
5
6
7
13
70
164
2008
2009
2010
860
879
959
598
363
907
152
577
257
754
2152
6 620
14 830
548
310
1031
134
552
249
724
2324
6 751
14 941
517
294
789
111
582
323
620
2097
6 292
14 458
Source : INPI (OPI) 2009 - 2010 - 2011
France
Machines et appareils électriques, énergie électrique
Manutention
Machines-outils
Moteurs, pompes, turbines
Machines à fabriquer du papier et des textiles
Autres machines spécialisées
Procédés et appareils thermiques
Composants mécaniques
Transports
Total métallurgie
Total tous domaines
Source : INPI (OPI) 2009 - 2010 - 2011
Rapport Bourgogne/France
2010
Machines et appareils électriques, énergie électrique
1,25%
Manutention
Machines-outils
Moteurs, pompes, turbines
Machines à fabriquer du papier et des textiles
Autres machines spécialisées
Procédés et appareils thermiques
Composants mécaniques
Transports
Total métallurgie
Total tous domaines
2,32%
1,36%
1,14%
1,80%
0,86%
1,86%
1,13%
0,62%
1,11%
1,13%
Source : INPI (OPI) 2009 - 2010 - 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 47
48 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Annexes
• Cartographies des formations professionnelles ....................p 50
• Le champ d’activités .........................................................p 58
• Les métiers ......................................................................p 60
• Les formations référencées au contrat d’objectifs ................p 61
• Les niveaux de formation ..................................................p 63
• Notes méthodologiques ....................................................p 64
• Sigles utilisés dans ce document ........................................p 68
• Bibliographie ....................................................................p 69
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 49
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
Cartographie des formations initiales réalisées en 2009-2010
Electricité – Electrotechnique – Electronique
L
E
G
E
N
D
E
Statut scolaire - Education Nationale
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009-2010.
- En italique figurent les formations des établissements privés.
Apprentissage
Statut universitaire
LT Gustave Eiffel
 Bac Techno STI, Génie électrotechnique (47)
 Bac Techno STI, Génie électronique (43)
 BTS Electrotechnique (22)
 BTS Systèmes électroniques (16)
LP Eugène Guillaume
 Bac Pro Systèmes électroniques numériques (9)
LPO Hippolyte Fontaine
LPO Saint Joseph
Montbard
 BEP Métiers de l'électrotechnique (63)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (20)
 Bac Techno STI Génie électrotechnique (31)
Côte-d'Or
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (29)
 Bac Pro Systèmes électroniques numériques (24)
 Bac Techno STI Génie électrotechnique (23)
 Bac Techno STI Génie électronique (16)
 BTS Electrotechnique (16)
 BTS Systèmes électroniques (12)
CFA du bâtiment Antoine Rosati
 BEP Métiers de l'électrotechnique (12)
 CAP Préparation et réalisation d’ouvrages électriques (22)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (26)
Dijon
Longvic
LPO Clos Maire
 CAP Préparation et réalisation d’ouvrages électriques (11)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements communicants (9)
Auxonne
LPO Prieur de la Côte d’Or
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (6)
Beaune
CFA Interprofessionnel La Noue
 BEP Métiers de l'électrotechnique (4)
 Bac Pro Système électronique numérique (6)
LGT Catherine et Raymond Janot
 Bac Techno STI, Génie électrotechnique (25)
 Bac Techno STI, Génie électronique (32)
 BTS Systèmes électroniques (13)
LP PIerre et Marie Curie
 BEP systèmes électronique industriels et
domestiques (19)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (12)
Sens
LPO Joseph Fourier
 BEP Métiers de l'électrotechnique (40)
 Bac Techno STI Génie électrotechnique (35)
Joigny
LPO Saint Jacques
 Bac Pro Micro-informatique et réseaux :
installation et maintenance (14)
Auxerre
CFA du bâtiment
 BEP Métiers de l'électrotechnique (5)
 CAP Préparation et réalisation d’ouvrages électriques (23)
Yonne
Avallon
LPO des Chaumes
CFA de l'industrie de l’Yonne
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements communicants (12)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (10)
Sources : Conseil régional, Rectorat, Université de Bourgogne
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
50 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Cartographie des formations initiales réalisées en 2009-2010
Electricité – Electrotechnique – Electronique
L
E
G
E
N
D
E
Statut scolaire - Education Nationale
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009-2010.
- En italique figurent les formations des établissements privés.
Apprentissage
Statut universitaire
LP Julien De Balleure
 BEP Métiers de l'électrotechnique (43)
 BEP systèmes électronique industriels et
domestiques (11)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (20)
CFA du bâtiment
 CAP Préparation et réalisation d’ouvrages électriques (38)
LT Nicephore Niepce
LPO Léon Blum
 Bac Techno STI, Génie électrotechnique (26)
 Bac Techno STI, Génie électronique (34)
 BTS Systèmes électroniques (6)
 BEP Métiers de l'électrotechnique (23)
 Bac Techno STI Génie électronique (30)
Université de Bourgogne
 DUT Génie électrique et informatique industrielle (38)
 DUETI Génie électrique et informatique industrielle (6)
 Licence Pro Electricité et électronique
option contrôle par vision artificielle (10)
Autun
LP Théodore Monot
Le Creusot
Chalon-sur-Saône
 BEP Métiers de l'électrotechnique (18)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (15)
 Bac Pro Systèmes électroniques numériques (25)
Blanzy
Montceau-les-Mines
LGT Henri Parriat
Saône-et-Loire
 Bac Techno STI Génie électrotechnique (25)
 BTS Electrotechnique (23)
LGT La Prat’s
 Bac Techno STI Génie électrotechnique (22)
Digoin
Paray-le-Monial
LP René Cassin
Cluny
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (24)
LGT Camille Claudel
 Bac Techno STI Génie électronique (14)
Mâcon
LP Astier
LP du Sacré Coeur
 BEP Métiers de l'électrotechnique (8)
 Bac Techno STI Génie électrotechnique (10)
LGT Pierre-Gilles de Gennes
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (13)
Cosne-Cours-sur-Loire
LGT Jules Renard
 Bac Techno STI Génie électrotechnique (31)
 Bac Techno STI Génie électronique (15)
 BTS Electrotechnique (19)
Nièvre
LPO Saint Joseph
 Bac Techno STI Génie électronique (3)
LP Pierre Bérégovoy
 BEP Métiers de l'électrotechnique (25)
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (18)
Fourchambault
Nevers
Marzy
CFA du bâtiment
CFA de l'industrie de la Nièvre
 Bac Pro Electrotechnique énergie équipements
communicants (9)
 BTS Electrotechnique (30)
 CAP Préparation et réalisation d’ouvrages électriques (24)
Sources : Conseil régional, Rectorat, Université de Bourgogne
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 51
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
Cartographie des formations initiales réalisées en 2009-2010 dans le domaine
Mécanique – Automatisme
Post Bac
L
E
G
E
N
D
E
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009-2010.
- En italique figurent les formations des établissements privés.
Statut scolaire - Education Nationale
Apprentissage
Statut universitaire
LP PIerre et Marie Curie
LP Eugène Guillaume
CFA de l’industrie de l’Yonne
CFA de l’industrie 21-71
 BEP Maintenance des équipements industriels (16)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (8)
 CAP Conduite de systèmes industriels
option production et transformation des métaux (14)
LPO Joseph Fourier
 BEP Maintenance des équipements industriels (14)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (15)
CFA de l’industrie de l’Yonne
 BEP Maintenance des équipements industriels (7)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (23)
 Bac Pro Pilotage des systèmes de production
automatisée (6)
 BEP Maintenance des équipements industriels (9)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (56)
 Bac Pro Pilotage des systèmes de production
automatisée (5)
Sens
LPO Saint Joseph
 Bac Pro Etude et définition de produits industriels (10)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (22)
Joigny
LPO Hippolyte Fontaine
 BEP Maintenance des équipements industriels (20)
 Bac Pro Etude et définition de produits industriels (10)
Auxerre
LPO des Chaumes
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (10)
Avallon
LGT Pierre-Gilles de Gennes
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (7)
CFA de l'industrie de la Nièvre
LPO Maurice Genevoix
LPO Prieur de la Côte d’Or
Chenôve
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (19)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (8)
 CAP Conduite de systèmes industriels
option fabrication-assemblage (6)
 Bac Pro Pilotage des systèmes de production
automatisée (8)
Dijon
Cosne-Cours-sur-Loire
LPO Saint Joseph
LP Antoine Antoine
Montbard
Nevers
Autun
Decize
 CAP Conduite de systèmes industriels
option production et transformation des métaux (13)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (2)
Beaune
LPO Clos Maire
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (12)
Chalon-sur-Saône
Blanzy
Louhans
LP PIerre et Marie Curie
Paray-le-Monial
 BEP Maintenance des équipements industriels (8)
LP Théodore Monot
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (4)
Auxonne
LP Julien De Balleure
 BEP Maintenance des équipements industriels (17)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (24)
LPO Henri Vincenot
 CAP Conduite de systèmes industriels
option fabrication-assemblage (6)
Mâcon
LP René Cassin
 BEP Maintenance des équipements industriels (18)
 BEP Maintenance des équipements industriels (5)
LP Astier
 BEP Maintenance des équipements industriels (6)
 Bac Pro Maintenance des équipements industriels (12)
LPO du Sacré Coeur
 Bac Pro Etude et définition de produits industriels (7)
Sources : Conseil régional, Rectorat, Université de Bourgogne
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
52 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Cartographie des formations initiales réalisées en 2009-2010
Mécanique – Automatisme
Post Bac
L
E
G
E
N
D
E
Statut scolaire - Education Nationale
Apprentissage
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009-2010.
- En italique figurent les formations des établissements privés.
Statut universitaire
LGT Catherine et Raymond Janot
 BTS Conception de produits industriels (13)
 BTS Informatique et réseaux pour l’industrie et
les services techniques (10)
CFA de l’industrie 21-71
 BTS Assistance technique d’ingénieur (7)
 BTS Maintenance industrielle (39)
 BTS Mécanique et automatismes industriels (11)
Sens
LPO Chevalier d’Eon
 BTS Assistance technique d’ingénieur (13)
LPO Saint Joseph
 BTS Conception de produits industriels (15)
 BTS Mécanique et automatismes industriels (24)
LPO Joseph Fourier
 BTS Maintenance industrielle (13)
CFA de l’industrie de l’Yonne
 BTS Conception de produits industriels (16)
 BTS Mécanique et automatismes industriels (14)
 Ingénieur ITII spécialité génie industriel (61)
Tonnerre
LT Gustave Eiffel
Auxerre
 BTS Informatique et réseaux pour l’industrie et les
services techniques (20)
 BTS Maintenance industrielle (26)
Université de Bourgogne
 Licence Pro Production industrielle – Management
des processus industriels (43)
 Ingénieur ITII spécialité génie industriel (78)
Dijon
Université de Bourgogne
 Licence Pro Production industrielle – Conception 3d et
calcul de structures (26)
CFA de l'industrie de la Nièvre
 BTS Maintenance industrielle (13)
Nevers
LGT Jules Renard
 BTS Mécanique
automatismes industriels: (19)
Sourceetcartographique
Articque
LT Nicephore Niepce
Chalon-surLe Creusot Saône
 BTS Conception de produits industriels (8)
 BTS Informatique et réseaux pour l’industrie et les
services techniques (20)
Université de Bourgogne
LPO Léon Blum
Tournus
 DUT Génie industriel et maintenance (23)
 DUETI Génie industriel et maintenance (2)
 BTS Maintenance industrielle (13)
LGT Gabriel Voisin
 BTS Mécanique et automatismes industriels (10)
Sources : Conseil régional, Rectorat, Université de Bourgogne
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 53
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
Cartographie des formations initiales réalisées en 2009-2010
Métaux – Usinage - Soudage
Bac et avant Bac
L
E
G
E
N
D
E
Statut scolaire - Education Nationale
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009-2010.
- En italique figurent les formations des établissements privés.
Apprentissage
Statut universitaire
LGT Catherine et Raymond Janot
CFA de l’industrie 21-71
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (10)
 BEP Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures
métalliques (38)
 Bac Pro Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de
structures métalliques (10)
 Bac Pro Technicien d’usinage (8)
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique mécanique (19)
LP PIerre et Marie Curie
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (8)
 BEP Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures
métalliques (12)
LPO Louis Davier
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (24)
LP Blaise Pascal
 Bac Pro Technicien outilleur (1)
LPO Hippolyte Fontaine
Sens
 Bac Pro Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de
structures métalliques (8)
Joigny
Migennes
LPO Saint Joseph
 Bac Pro Technicien d’usinage (7)
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (9)
CFA de l’industrie de l’Yonne
 Bac Pro Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de
structures métalliques (10)
 Bac Pro Technicien d’usinage (4)
Auxerre
LT Gustave Eiffel
LPO Joseph Fourier
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (8)
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (18)
Dijon
Varzy
LP Métiers de la céramique Henry Moisand
Longchamp
LP Le Mont-Chatelet
Beaune
 BEP Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures
métalliques (6)
LPO Saint Joseph
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (19)
Nevers
 Bac Pro Technicien d’usinage (8)
CFA de l'industrie de la Nièvre
Le Creusot
BourbonLancy
 BEP Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures
métalliques (10)
 Bac Pro Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de
structures métalliques (5)
Digoin
LGT Jules Renard
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (35)
Chalon-surSaône
Tournus
Mâcon
 Bac Pro Technicien modeleur (6)
LPO Clos Maire
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (9)
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (22)
LP Julien De Balleure
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (9)
 Bac Pro Technicien outilleur (10)
LT Nicephore Niepce
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (22)
LGT Gabriel Voisin
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (24)
LP René Cassin
Ecole Fpt-powertrain technologies
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (15)
 MC Opérateur régleur sur machines à commandes numériques (8)
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (8)
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (17)
LPO Léon Blum
 BEP Métiers de la production mécanique informatisée (17)
 BEP Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures métalliques (17)
 Bac Pro Réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures métalliques (7)
 Bac Pro Technicien d’usinage (14)
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique mécanique (21)
 Bac Techno STI Génie mécanique option structure métallique (18)
LGT Camille Claudel
 Bac Techno STI Génie mécanique option productique
mécanique (14)
Sources : Conseil régional, Rectorat, Université de Bourgogne
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
54 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Cartographie des formations initiales réalisées en 2009-2010
Métaux – Usinage - Soudage
Post Bac
L
E
G
E
N
D
E
Statut scolaire - Education Nationale
Apprentissage
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009-2010.
- En italique figurent les formations des établissements privés.
Statut universitaire
CFA de l’industrie de l’Yonne
 BTS Industrialisation des produits mécaniques (5)
 BTS Réalisation d’ouvrages chaudronnés (1)
CFA de l’industrie 21-71
Auxerre
 BTS Industrialisation des produits mécaniques (12)
Université de Bourgogne
Dijon
 DUT Génie mécanique et productique (62)
 DUETI Génie mécanique et productique (1)
 ESIREM Matériaux (47)
 Master Chimie spécialité Interface et matériaux (7)
 Master Physique spécialité Laser et matériaux (12)
LPO Léon Blum
 BTS Réalisation d’ouvrages chaudronnés (11)
CFA de l’éducation nationale
 BTS Constructions métalliques (10)
Université de Bourgogne
 DU Ingénierie en CFAO (7)
 DUT Génie mécanique et productique (47)
 DUETI Génie mécanique et productique (6)
 Licence Pro Production industrielle
option mécatronique (18)
Le Creusot Chalon-surSaône
Université de Bourgogne
 DUT Science et génie des matériaux (23)
 Licence Pro Transformations industrielles option
ingénierie et contrôle des matériaux et des structures (24)
Digoin
LGT Camille Claudel
 BTS Industrialisation des produits mécaniques (10)
Sources : Conseil régional, Rectorat, Université de Bourgogne
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 55
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
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• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
Cartographie des formations initiales réalisées en 2009-2010
Connexe
L
E
G
E
N
D
E
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009-2010.
- En italique figurent les formations des établissements privés.
Statut scolaire - Education Nationale
Apprentissage
Statut universitaire
CFA bâtiment
 CAP Serrurier métallier (8)
CFA bâtiment Antoine Rosati
 BP Installations équipements électriques (24)
 CAP Serrurier métallier (14)
LPO Joseph Fourier
 CAP Serrurier métallier (7)
Université de Bourgogne
 DUT Qualité, logistique industrielle et organisation (24)
 Licence Pro Gestion de la production industrielle
spécialité Management des activités supports à la
production (22)
 Licence Pro Management des activités internationales
des pme-pmi (16)
 Licence Pro Manager technico-commercial en pme-pmi
(MATECO) (14)
 Licence Pro Systèmes informatiques et logiciels
spécialité gestionnaire de système informatique
d’entreprise (29)
LPO Hippolyte Fontaine
Auxerre
 CAP Serrurier métallier (6)
Université de Bourgogne
Dijon
CFA bâtiment
 BP Installations équipements électriques (20)
Autun
Marzy
Le Creusot Chalon-surSaône
Blanzy
Université de Bourgogne
 Licence Pro Gestion de la production industrielle
spécialité Mesures et capteurs intelligents (20)
 Licence Pro Management des organisations spécialité
Manager de pme-pmi : direction, création, reprise (27)
 Licence Pro Systèmes informatiques et logiciels spécialité
Systèmes intra/internet pour l’entreprise (42)
 Master Qualité spécialité Environnement et sécurité dans
l’industrie (43)
 Master Sciences du management spécialité Marketing (26)
spécialité Laser et matériaux (12)
CFA bâtiment
 CAP Serrurier métallier (11)
LP Thomas Dumorey
 CAP Serrurier métallier (8)
Université de Bourgogne
 Licence Pro Système d’information logistique –
supply chain (20)
LP Théodore Monot
 CAP Serrurier métallier (7)
Sources : Conseil régional, Rectorat, Université de Bourgogne
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
56 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Cartographie des formations continues des demandeurs d’emploi
réalisées en 2009
L
E
G
E
N
D
E
Formation continue des demandeurs d’emploi
- Entre () figure l’effectif formé en année terminale pour chaque
formation pour l’année 2009.
AFPA
 TP Soudeur à l’arc électrode enrobée et tig (6)
 TP Soudeur semi-auto mig-mag (29)
GRETA 21
 Technicien courant faible (3)
Migennes
AFPI Bourgogne 21-71
 Préparatoire à la qualification multi filière dans la
métallurgie (40)
AFPA
GRETA Loire Morvan
Dijon
 CAP conduite de systèmes industriels
option fabrication-assemblage (1)
AFPI Nièvre
Fourchambault
 Soudeur (5)
AFPA





Chevigny-SaintSauveur
TP Agent de fabrication d’ensembles métalliques (25)
TP Chaudronnier (6)
TP Soudeur à l’arc électrode enrobée et tig (12)
TP Soudeur semi-auto mig-mag (17)
Préprofessionnalisation industrie (19)
Nevers
Decize
GRETA Loire Morvan
 Qualification industrielle (13)
Chalon-surLe Creusot Saône





TP Electricien de maintenance sur systèmes automatisés (20)
TP Chaudronnier (32)
TP Electromécanicien des équipements industriels (26)
TP Soudeur à l’arc électrode enrobée et tig (9)
TP Soudeur semi-auto mig-mag (5)
AFPA
 TP Electricien de maintenance sur systèmes automatisés (16)
GRETA Chalon-Louhans
 CAP Construction d’ensembles chaudronnés (11)
Montceaules-Mines
GRETA d’Entre Saône-et-Loire
 CAP Construction d’ensembles chaudronnés (16)
Cluny
IFPA
 Action préparatoire à la qualification industrie métallurgie (14)
GRETA d’Entre Saône-et-Loire
 Action préparatoire à la qualification industrie métallurgie (15)
Centre de formation permanente des ingénieurs et
Cadres de l’ENSAM
AFPA









TP Technicien de maintenance industrielle (13)
TP Technicien d’études en chaudronnerie et tuyauterie industrielle (14)
TP Agent de fabrication d’ensembles métalliques (30)
TP Fraiseur sur machine conventionnelle et à commande numérique (16)
TP Tourneur sur machine conventionnelle et à commande numérique (14)
TP Soudeur à l’arc électrode enrobée et tig (23)
TP Soudeur semi-auto mig-mag (22)
TP Tuyauteur industriel (26)
Préprofessionnalisation industrie (21)
 Dessinateur / Projeteur XAO (12)
Sources : Conseil régional, AFPA, Pôle emploi
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
Sources : Conseil régional, AFPA, Pôle emploi
Découpage : Les zones d’emploi
Conception : C2R Bourgogne – Septembre 2011
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 57
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
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Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
Le champ d’activités
Code activité
économique en
NAF2008
2410Z
2420Z
2433Z
2434Z
2441Z
2442Z
2443Z
2444Z
2445Z
2451Z
2452Z
2453Z
2454Z
2511Z
2512Z
Métallurgie et fabrication de 2521Z
produits métalliques
2529Z
Domaine CAPéCO
2530Z
Fabrication de produits
informatiques,
électroniques et optiques
2550A
2550B
2561Z
2562A
2562B
2571Z
2572Z
2573A
2573B
2592Z
2593Z
2599A
2599B
2611Z
2612Z
2620Z
2630Z
2640Z
2651A
2651B
2652Z
2660Z
Fabrication d'équipements
électriques
58 2670Z
2680Z
2711Z
2712Z
2720Z
2732Z
2733Z
2740Z
2751Z
2752Z
2790Z
Libellé NAF 2008
Sidérurgie
Fabrication de tubes, tuyaux, profilés creux et accessoires
Profilage à froid par formage ou pliage
Tréfilage à froid
Production de métaux précieux
Métallurgie de l'aluminium
Métallurgie du plomb, du zinc ou de l'étain
Métallurgie du cuivre
Métallurgie des autres métaux non ferreux
Fonderie de fonte
Fonderie d'acier
Fonderie de métaux légers
Fonderie d'autres métaux non ferreux
Fabrication de structures métalliques et de parties de structures
Fabrication de portes et fenêtres en métal
Fabrication de radiateurs et de chaudières pour le chauffage central
Fabrication d'autres réservoirs, citernes et conteneurs métalliques
Fabrication de générateurs de vapeur, à l'exception des chaudières pour
le chauffage central
Forge, estampage, matriçage - métallurgie des poudres
Découpage, emboutissage
Traitement et revêtement des métaux
Décolletage
Mécanique industrielle
Fabrication de coutellerie
Fabrication de serrures et de ferrures
Fabrication de moules et modèles
Fabrication d'autres outillages
Fabrication d'emballages métalliques légers
Fabrication d'articles en fils métalliques, de chaînes et de ressorts
Fabrication d'articles métalliques ménagers
Fabrication d'autres articles métalliques
Fabrication de composants électroniques
Fabrication de cartes électroniques assemblées
Fabrication d'ordinateurs et d'équipements périphériques
Fabrication d'équipements de communication
Fabrication de produits électroniques grand public
Fabrication d'équipements d'aide à la navigation
Fabrication d'instrumentation scientifique et technique
Horlogerie
Fabrication d'équipements d'irradiation médicale, d'équipements
électromédicaux et électrothérapeutiques
Fabrication de matériels optique et photographique
Fabrication de supports magnétiques et optiques
Fabrication de moteurs, génératrices et transformateurs électriques
Fabrication de matériel de distribution et de commande électrique
Fabrication de piles et d'accumulateurs électriques
Fabrication d'autres fils et câbles électroniques ou électriques
Fabrication de matériel d'installation électrique
Fabrication d'appareils d'éclairage électrique
Fabrication d'appareils électroménagers
Fabrication d'appareils ménagers non électriques
Fabrication d'autres matériels électriques
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Le champ d’activités (suite)
Domaine CAPéCO
Code activité
économique en
NAF2008
2812Z
2813Z
2814Z
2815Z
2821Z
2822Z
2825Z
Libellé NAF 2008
2829B
2830Z
2841Z
2849Z
2891Z
2892Z
2893Z
2894Z
2895Z
Fabrication d'équipements hydrauliques et pneumatiques
Fabrication d'autres pompes et compresseurs
Fabrication d'autres articles de robinetterie
Fabrication d'engrenages et d'organes mécaniques de transmission
Fabrication de fours et brûleurs
Fabrication de matériel de levage et de manutention
Fabrication d'équipements aérauliques et frigorifiques industriels
Fabrication d'équipements d'emballage, de conditionnement et de
pesage
Fabrication d'autres machines d'usage général
Fabrication de machines agricoles et forestières
Fabrication de machines-outils pour le travail des métaux
Fabrication d'autres machines-outils
Fabrication de machines pour la métallurgie
Fabrication de machines pour l'extraction ou la construction
Fabrication de machines pour l'industrie agro-alimentaire
Fabrication de machines pour les industries textiles
Fabrication de machines pour les industries du papier et du carton
2896Z
Fabrication de machines pour le travail du caoutchouc ou des plastiques
2899A
2899B
2910Z
2920Z
2931Z
2932Z
3011Z
Fabrication de matériels de
3012Z
transport
3020Z
3030Z
3091Z
3092Z
3099Z
3311Z
3312Z
3313Z
3314Z
3315Z
Autres industries
3316Z
manufacturières- réparation 3317Z
et installation de machines 3319Z
3320A
et d'équipements
3320B
Fabrication de machines d'imprimerie
Fabrication d'autres machines spécialisées
Construction de véhicules automobiles
Fabrication de carrosseries et remorques
Fabrication d'équipements électriques et électroniques automobiles
Fabrication d'autres équipements automobiles
Construction de navires et de structures flottantes
Construction de bateaux de plaisance
Construction de locomotives et d'autre matériel ferroviaire roulant
Construction aéronautique et spatiale
Fabrication de motocycles
Fabrication de bicyclettes et de véhicules pour invalides
Fabrication d'autres équipements de transport n.c.a.
Réparation d'ouvrages en métaux
Réparation de machines et équipements mécaniques
Réparation de matériels électroniques et optiques
Réparation d'équipements électriques
Réparation et maintenance navale
Réparation et maintenance d'aéronefs et d'engins spatiaux
Réparation et maintenance d'autres équipements de transport
Réparation d'autres équipements
Installation de structures métalliques, chaudronnées et de tuyauterie
Installation de machines et équipements mécaniques
Conception d'ensemble et assemblage sur site industriel d'équipements
de contrôle des processus industriels
Installation d'équipements électriques, de matériels électroniques et
optiques ou d'autres matériels
Fabrication de meubles de bureau et de magasin
Fabrication de meubles de cuisine
Fabrication de sièges d'ameublement d'intérieur
Fabrication d'autres meubles et industries connexes de l'ameublement
Fabrication de matériel médico-chirurgical et dentaire
Autres activités manufacturières n.c.a.
Travaux de menuiserie métallique et serrurerie
Travaux de montage de structures métalliques
2829A
Fabrication de machines et
équipements n.c.a.
3320C
3320D
Connexe
3101Z
3102Z
3109A
3109B
3250A
3299Z
4332B
4399B
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 59
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
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• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
Les métiers
FAP 225
Libellé FAP 225
C0Z20
Ouvriers non qualifiés de l'électricité et de l'électronique
C1Z40
Ouvriers qualifiés de l'électricité et de l'électronique
C2Z70
Techniciens en électricité et en électronique
Agents de maîtrise et assimilés en fabrication de matériel
électrique, électronique
C2Z80
D0Z20
Régleurs
D1Z41
Ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal
D2Z41
D2Z42
D3Z20
D4Z40
D4Z41
D6Z70
D6Z80
E0Z22
E1Z43
E2Z70
G0A40
G0A41
G1Z70
H0Z90
H0Z92
60 H2501
H2902
H2903
H2904
Ouvriers non qualifiés travaillant par enlèvement ou formage de
H2905
métal
H2906
D1Z40
D2Z40
Rome V3 Libellé Rome V3
H2601
Bobinage électrique
H2602
Câblage électrique et électromécanique
Conduite d'installation automatisée de production électrique,
H2603
électronique et microélectronique
H2604
Montage de produits électriques et électroniques
H2605
Montage et câblage électronique
H1504
Technicien en contrôle essai qualité en électricité et électronique
H2601
Bobinage électrique
H2602
Câblage électrique et électromécanique
Conduite d'installation automatisée de production électrique,
H2603
électronique et microélectronique
H2604
Montage de produits électriques et électroniques
H2605
Montage et câblage électronique
H1504
Technicien en contrôle essai qualité en électricité et électronique
H2914
H2912
H2903
H2905
H2906
H2908
H2910
H2902
Chaudronniers, tôliers, traceurs, serruriers, métalliers,
H2904
forgerons
H2911
Tuyauteurs
H2914
Soudeurs
H2913
H2901
H2909
H2911
H2913
Ouvriers non qualifiés métallerie, serrurerie, montage
H3401
H3402
H3403
H3404
H1506
Monteurs, ajusteurs et autres ouvriers qualifiés de la mécanique H2901
H2909
H3401
H3402
Agents qualifiés de traitement thermique et de surface
H3403
H3404
H1506
H2908
Techniciens en mécanique et travail des métaux
H2910
H2912
H2503
Agents de maîtrise et assimilés en fabrication mécanique
H2912
Ouvriers non qualifiés en métallurgie, verre, céramique et
H2907
matériaux de construction
Autres ouvriers qualifiés en verre,
H2907
céramique, métallurgie, matériaux de construction et énergie Techniciens des industries de process
H1404
Ouvriers qualifiés de la maintenance en mécanique
I1310
Ouvriers qualifiés de la maintenance en électricité et en
I1309
électronique
H1208
H1303
Techniciens et agents de maîtrise de la maintenance et de
I1302
l'environnement
I1304
I1309
I1310
Ingénieurs et cadres de fabrication et de la production
H2502
H1401
Ingénieurs des méthodes de production, du contrôle qualité
H1402
Encadrement de production de matériel électrique et électronique
Chaudronnerie - tôlerie
Conduite d'équipement d'usinage
Conduite d'équipement de déformation des métaux
Conduite d'équipement de formage et découpage des matériaux
Conduite d'installation automatisée ou robotisée de fabrication
mécanique
Tuyauteur
Réglage d'équipement de production industrielle
Conduite d'équipement d'usinage
Conduite d'équipement de formage et découpage des matériaux
Conduite d'installation automatisée ou robotisée de fabrication
mécanique
Modelage de matériaux non métalliques
Moulage sable
Chaudronnerie - tôlerie
Conduite d'équipement de déformation des métaux
Réalisation de structures métalliques
Tuyauteur
Soudeur manuel
Ajusteur de fabrication
Montage - assemblage mécanique
Réalisation de structures métalliques
Soudeur manuel
Conduite de traitement d'abrasion de surface
Conduite de traitement par dépôt de surface
Conduite de traitement thermique
Peinture industrielle
Technicien qualité en mécanique et travail des métaux
Ajusteur de fabrication
Montage - assemblage mécanique
Conduite de traitement d'abrasion de surface
Conduite de traitement par dépôt de surface
Conduite de traitement thermique
Peinture industrielle
Technicien qualité en mécanique et travail des métaux
Modelage de matériaux non métalliques
Moulage sable
Réglage d'équipement de production industrielle
Pilotage d'unité élémentaire de production mécanique
Réglage d'équipement de production industrielle
Conduite d'installation de production des métaux
Conduite d'installation de production des métaux
Technicien en méthodes et industrialisation
Maintenance mécanique industrielle
Maintenance électrique
Technicien en études et conception en automatisme
Technicien en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel
Installation et maintenance d'automatismes
Installation et maintenance d'équipements industriels et
Maintenance électrique
Maintenance mécanique industrielle
Management et ingénierie de production
Management et ingénierie gestion industrielle et logistique
Management et ingénierie méthodes et industrialisation
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Les formations référencées au CAPéCO
Domaine de formation
Niveau
V
Electricité Electrotechnique Electronique
IV
III
II
SRN
V
Métaux - Usinage Soudage
IV
III
II
I
Intitulé formation
BEP Métiers de l'électrotechnique (dernière session en 2010 remplacé par BEP
électrotechnique énergie équipements communicants)
BEP Systèmes électroniques industriels et domestiques (remplace BEP Métiers de
l'électronique)
CAP Préparation et réalisation d'ouvrages électriques
TP Agent de montage et de câblage en électronique
BAC PRO Electrotechnique énergie équipements communicants
BAC PRO Micro-informatique et reseaux : installation et maintenance
BAC PRO Systèmes électroniques numériques
BAC TECHNO STI génie électronique
BAC TECHNO STI génie électrotechnique
BTS Electrotechnique
BTS Systèmes électroniques
DUT Génie électrique et informatique industrielle
DUETI Génie électrique et informatique industrielle
Licence Professionnelle Electricité et électronique spécialité contrôle par vision artificielle
Technicien courants faibles
BEP Métiers de la production mécanique informatisée
BEP Réalisation d'ouvrages chaudronnés et de structures métalliques
CAP Construction d'ensembles chaudronnés
MC Opérateur régleur sur machines à commande numérique
MC Soudage
TP Agent de fabrication d'ensembles métalliques
TP Chaudronnier(iere)
TP Soudeur arc électrode enrobé et tig remplacé en 2010 par le TP Soudeur
TP Soudeur semi-auto mig-mag remplacé en 2010 par le TP Soudeur
TP Fraiseur sur machine conventionnelle et à commande numérique
TP Tourneur sur machines conventionnelles et à commande numérique
TP Tuyauteur industriel
BAC PRO Réalisation d'ouvrages chaudronnés et de structures métalliques (dernière session
2011 remplacé par BAC PRO Technicien en chaudronnerie industrielle)
BAC PRO Technicien d'usinage
BAC PRO Technicien outilleur
BAC PRO Technicien modeleur
BAC TECHNO STI génie mécanique option productique mécanique
BAC TECHNO STI génie mécanique option structures métalliques
TP Technicien d'etudes en chaudronnerie et tuyauterie industrielle
BTS Constructions métalliques
BTS Industrialisation des produits mécaniques (remplace le BTS Productique mécanique)
BTS Réalisation d'ouvrages chaudronnés
DUT Génie mécanique et productique
DUT Science et génie des matériaux
DUETI Génie mécanique et productique
Licence Professionnelle Production industrielle spécialité mécatronique
Licence Professionnelle Transformation industrielle spécialité ingénierie et contrôle des
matériaux et des structures
Licence Professionnelle Transformation industrielle spécialité Laser
DU Ingénierie en cfao
Master mixte Sciences de la matière spécialité chimie des interfaces et matériaux
Master mixte Sciences de la matière spécialité Physique, laser et matériaux
Ingénieur de recherche en matériaux (ESIREM)
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 61
• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes •
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• Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes • Annexes
Les formations référencées au CAPéCO (suite)
Domaine de formation
Niveau
V
IV
Mécanique - Automatisme
III
II
I
V
IV
III
Connexe
Intitulé formation
BEP Maintenance des équipements industriels
CAP Conduite de systèmes industriels option fabrication-assemblage
CAP Conduite de systèmes industriels option production et transformation des métaux
TP Electromécanicien de maintenance industrielle (remplace Agent de maintenance des
équipements industriels)
TP Conducteur d'installations et machines automatisées
BAC PRO Etude et définition de produits industriels
BAC PRO Maintenance des équipements industriels
BAC PRO Pilotage des systèmes de production automatisée
TP Technicien de maintenance industrielle
BTS Assistance technique d'ingénieur
BTS Conception de produits industriels
BTS Informatique et réseaux pour l'industrie et les services techniques
BTS Maintenance industrielle
BTS Mécaniques et automatismes industriels
DUT Génie industriel et maintenance
DUETI Génie industriel et maintenance
Dessinateur / projeteur cao
Licence Professionnelle Production industrielle spécialité Conception 3D et calculs de
structures
Licence Professionnelle Production industrielle spécialité Management des processus
industriels
Ingénieur ITII spécialité génie industriel
CAP Serrurier métallier
BP Serrurerie métallerie
BP Installations équipements électriques
BP Pilote d'installations de production par procédés
TP Electricien de maintenance des systèmes automatisés (remplace Agent de maintenance
sur systèmes automatisés)
DUT Qualité, logistique industrielle et organisation
Licence Professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité Gestionnaire de
système informatique d'entreprise
Licence Professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité Système Intra/Internet
pour l'entreprise
Licence Professionnelle Commerce spécialité Management des activités internationales des
PME-PMI
Licence Professionnelle Commerce spécialité Manager technico-commercial en PME-PMI
II
I
Formations préparatoires
aux métiers de la
métallurgie
62 V
VI
Licence Professionnelle Logistique spécialité Système d'information logistique - supply chain
Licence Professionnelle Management des organisations spécialité Manager de projets PMEPMI : direction, création, reprise
Licence Professionnelle Gestion de la production industrielle spécialité Mesures et capteurs
intelligents
Licence Professionnelle Gestion de la production industrielle spécialité Management des
activités supports à la production
Master Professionnel Sciences de la matière spécialité Qualité, environnement et sécurité
dans l'industrie
Master Professionnel Sciences du management spécialité Marketing
Préprofessionnalisation industrie
Qualification industrielle
Préqualification métiers de la métallurgie
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Les niveaux de formation au CAPéCO
Niveau VI
Années intermédiaires du premier cycle de l’enseignement secondaire (sections d’éducation spéciale et sections
d’enseignement général et professionnel adapté inclues), hors quatrièmes technologiques. Les formations de
l’enseignement primaire ou bien les formations dispensées dans les institutions pour handicapés peuvent y figurer.
Niveau V bis
Années terminales du premier cycle (troisièmes générales et technologiques), quatrièmes technologiques et sections
terminales de l’enseignement spécial. Années intermédiaires du second cycle court : première année des certificats
d’aptitude professionnelle (CAP) et des brevets d’études professionnelles (BEP) en 2 ans, première année des certificats
d’aptitude professionnelle agricole (CAPA) et des brevets d’études professionnelles agricoles (BEPA) en 2 ans, première
et seconde années des CAP et des CAPA en 3 ans.
Niveau V
Années terminales du second cycle court : années terminales des CAP/BEP, des CAP/BEP en 1 an, des CAPA/BEPA. Sont
également concernés les mentions complémentaires (MC), certains titres professionnels (TP, ex CFP).
Années intermédiaires du second cycle long (secondes et premières générales et technologiques, première année de
préparation des baccalauréats et brevets professionnels).
Niveau IV
Années terminales des seconds cycles longs : baccalauréats, brevets de technicien (BT), brevets de technicien agricole
(BTA). Sont également concernés certains TP.
Formations de l’enseignement supérieur d’où l’individu sort sans diplôme.
Niveau III
Diplômés des cycles courts de l’enseignement supérieur : brevets de technicien supérieur (BTS), brevets de technicien
supérieur agricole (BTSA), diplômes universitaires de technologie (DUT), etc.
Niveau I et II Diplômés des cycles longs de l’enseignement supérieur : licences LMD, licences pro, master, master pro, doctorats,
diplômes des écoles d’ingénieurs et des cycles longs des écoles de commerce, etc.
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 63
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Notes méthodologiques
des indicateurs socio-économiques
Le Recensement de la population (RP) et les enquêtes de recensement annuelles - INSEE
Le recensement de la population a pour objectifs le dénombrement des logements et de la population résidant en France et la
connaissance de leurs principales caractéristiques : sexe, âge, activité, professions exercées, caractéristiques des ménages, taille
et type de logement, modes de transport, déplacements quotidiens.
Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires
communaux au cours d’une période de cinq ans.
Les cinq premières enquêtes de recensement ont été réalisées de 2004 à 2008. Elles permettent de produire les résultats du
recensement, millésimé 2006, date du milieu de la période.
Chaque année, des résultats de recensement sont produits à partir des cinq enquêtes annuelles les plus récentes : abandon des
informations issues de l’enquête la plus ancienne et prise en compte de l’enquête nouvelle.
Ce recensement, organisé suivant une méthode rénovée, succède aux recensements généraux de la population dont
1999 aura été la dernière édition.
Les exportations et importations - Douanes
A la demande du C2R Bourgogne, le département des statistiques et des études économiques de la Direction
générale des douanes et droits indirects fournit des données sur les exportations et les importations par
produit selon la nomenclature CPF (Classification des Produits Française).
Les données de l’Urssaf
Les employeurs du Régime général de Sécurité sociale déclarent leurs cotisations sociales aux Urssaf à l’aide du
Bordereau récapitulatif des cotisations (BRC). Le champ général des données Urssaf porte sur l’ensemble des
établissements du secteur privé (y compris l’éducation et la santé relevant du secteur concurrentiel, hors salariés
de particuliers employeurs). Un établissement est dénombré à la fin d’un trimestre s’il a versé des salaires durant
le trimestre considéré. L’effectif (salarié) par année est un effectif moyen sur les quatre trimestres de l’année. Un
salarié actif un trimestre sur quatre compte pour 0,25.
Etude ACSEL (Analyse Conjoncturelle et Structurelle Economique Localisée) - Banque de France
L’étude ACSEL a été réalisée par la Banque de France à la demande du Conseil régional de Bourgogne dans le cadre
d’une convention. L’étude dresse une analyse de la situation économique et financière de la branche «Métallurgie».
Les résultats ont systématiquement été comparés aux résultats de la branche en France de province (France hors
région Ile-de-France). L’étude porte sur les entreprises relevant du champ de la branche métallurgie (périmètre
élaboré par la Banque de France, le C2R Bourgogne et l’UIMM) et dont le siège social est situé en Bourgogne. Elle
a été réalisée en janvier 2011 par Philippe FLOUR, Adjoint au Directeur régional de la Banque de France à Dijon
et Patrick Garcia, responsable du pôle études économiques à la Banque de France de Lyon. Elle a été présentée
le 9 février 2011 dans les locaux de la maison des entreprises de Dijon aux représentants de la Région, du C2R
Bourgogne, de la filière (UIMM), de l’État notamment ses services de l’emploi et de la formation et de l’Université
de Bourgogne. Les principaux résultats de cette étude sont reproduits dans ce document.
La Validation des acquis de l’expérience (VAE)
La mise en place de la VAE par la loi de Modernisation sociale du 17 janvier 2002 a créé une nouvelle voie d’accès
aux certifications professionnelles. C’est en effet un moyen de faire reconnaître officiellement les compétences
acquises par l’expérience professionnelle : la VAE ouvre la possibilité d’obtenir, uniquement sur la base de cette
expérience, les mêmes certifications que celles attribuées à l’issue d’une formation.
Les données sur l’intérim - Pôle emploi - traitement : Dares/Direccte/Sepes
Il s’agit du nombre d’intérimaires moyen en équivalent temps plein (ETP) qui travaillent dans un établissement
bourguignon relevant du champ de la métallurgie (selon la NAF 2008).
64 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Les offres d’emploi enregistrées - Pôle emploi
Les données présentées dans le document concernent les offres d’emploi déposées à Pôle emploi au cours
d’une année complète (il s’agit donc d’un cumul sur une période). Les statistiques sont présentées selon
selon le métier proposé. A noter que les offres en intérim sont déposées par des agences d’intérim et sont
donc classées dans le secteur «service opérationnel» même si elles concernent des emplois qui s’exercent
dans la métallurgie.
La Déclaration annuelle de données sociales (DADS) - Insee
La déclaration annuelle de données sociales (DADS) est une formalité déclarative que doit accomplir toute
entreprise employant des salariés.
Dans ce document commun aux administrations fiscales et sociales, les employeurs fournissent annuellement
et pour chaque établissement, un certain nombre d’informations relatives à l’établissement et aux salariés.
Pour chaque salarié les informations suivantes sont déclarées : la nature de l’emploi et la qualification, les
dates de début et de fin de période de paie, le nombre d’heures salariées, la condition d’emploi (temps
complet, temps partiel), le montant des rémunérations versées, etc.
Pour l’Insee, les DADS permettent de produire des statistiques sur les salaires et l’emploi.
Les demandeurs d’emploi en fin de mois - Pôle emploi
Le nombre de Demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) est le nombre de personnes inscrites à Pôle
emploi quelle que soit la date de leur inscription (il s’agit du stock présent à la fin du mois). Le mois de mars,
subissant le moins de variations saisonnières, a été choisi pour toutes les études concernant la demande
d’emploi.
Les données sur les demandeurs d’emploi sont présentées selon de nouveaux regroupements statistiques
en vigueur (catégories A,B,C,D,E). La plupart des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi sont tenus de
faire des actes positifs de recherche d’emploi : certains sont sans emploi (catégorie A), d’autres exercent
une activité réduite courte, d’au plus 78h au cours du mois (catégorie B), ou une activité réduite longue, de
plus de 78 heures au cours du mois (catégorie C). Par ailleurs, certaines personnes inscrites à Pôle emploi
ne sont pas tenues de faire des actes positifs de recherche d’emploi : elles sont soit sans emploi et non
immédiatement disponibles (catégorie D), soit pourvues d’un emploi (catégorie E).
Les missions locales
La notion de demande : Tout entretien individuel, information collective, atelier font obligatoirement l’objet
- d’un traitement de la demande - dans le système d’information Parcours3. C’est la demande exprimée par
le jeune qui sera enregistrée par le conseiller.
En cas de pluralité de demandes, le conseiller détermine et enregistre celle qui est la plus importante. Lors
d’une demande d’emploi/formation la précision du métier visé est obligatoire au moyen du code ROME.
Toute demande doit être assortie obligatoirement d’une proposition ou d’une date de prochain rendez-vous.
Les actualités de nature visite, médiation, courrier et téléphone peuvent être assorties d’une demande et
proposition(s).
Les données sur les Mouvements de Main-d’oeuvre (MMO) - Direccte
L’enquête trimestrielle sur les mouvements de main-d’œuvre (EMMO) est réalisée depuis 1988. Elle a pour
but de compléter, sur le champ des établissements de 1 à 49 salariés, l’information obtenue à partir de la
déclaration mensuelle des mouvements de main-d’œuvre (DMMO), à laquelle tous les établissements de 50
salariés ou plus sont assujettis selon le code du travail. Depuis 1996, une refonte de l’enquête a permis de
faciliter sa gestion et de mettre à la disposition des utilisateurs nationaux et régionaux, un outil statistique
de fusion des résultats des deux chaînes DMMO et EMMO (appelé ici MMO), qui permet d’étudier les flux
de main-d’œuvre dans les établissements de 10 salariés et plus, jusqu’au niveau géographique de la zone
d’emploi. Depuis 2007, avec l’extension du champ de l’enquête aux établissements de 1 à 9 salariés, cet
outil statistique permet d’étudier les flux de main-d’œuvre dans l’ensemble des établissements employeurs.
Le champ de l’enquête EMMO sont les établissements de 1 à 49 salariés, identifiés par leur numéro SIRET.
Sont exclus du champ de l’enquête l’administration de l’Etat, les collectivités territoriales, les établissements
publics administratifs et la Poste. Les établissements de travail temporaire et les activités extra-territoriales
sont également exclus.
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 65
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Notes méthodologiques
des indicateurs de la formation et de l’insertion
Périmètre des formations
* Le recensement des formations concerne aussi bien la formation initiale sous statut scolaire, universitaire
et en apprentissage que la formation continue : formation des demandeurs d’emploi, formation alternée,
formations des salariés.
* S’agissant de la formation des salariés, le recensement n’est que partiel, dans la mesure où les plans de
formation financés directement par les entreprises ou par des conventions bilatérales avec des organismes
de formation ne sont pas répertoriés.
* Concernant les formations initiales et celles des demandeurs d’emploi, un classement des formations
professionnelles a été opéré entre les formations propres au domaine métallurgie et les formations
connexes. Il s’agit, dans ce dernier cas, des formations qui peuvent intéresser la branche métallurgie mais
qui concernent également d’autres branches professionnelles (ex : CAP Serrurier métallier). Ce domaine
Connexe a été créé dans la mesure où des jeunes formés à des formations relevant de ces domaines
peuvent être amenés à travailler dans les entreprises relevant du champ de la métallurgie.
Les formations propres à la métallurgie ont été réparties en trois domaines :
-
Electricité - Electrotechnique – Electronique
-
Mécanique – Automatisme
-
Métaux – Usinage – Soudage
La liste des formations propres à chaque domaine figure dans la nomenclature formations page 60.
Années étudiées
L’année étudiée dans ce document est l’année scolaire 2009-2010 pour la formation initiale, l’année 2009
pour la formation continue des demandeurs d’emploi (campagne de juillet 2008 à décembre 2009 pour
le programme régional hors AFPA) et les années 2009 et 2010 pour la formation alternée et la formation
continue des salariés.
Sources statistiques
* Les effectifs de la formation initiale sous statut scolaire, apprentissage et universitaire sont communiqués
respectivement par le Rectorat, le Conseil régional et l’Université de Bourgogne.
Seuls les effectifs en année terminale sont retenus pour se rapprocher le plus possible des sortants (notons
toutefois que les élèves en année terminale de formation ne sont pas tous des sortants qui accéderont au
marché du travail dans la mesure où des poursuites d’études existent).
Par ailleurs, il est difficile de connaître le statut des étudiants suivant une formation universitaire. Aussi,
l’ensemble des effectifs fournis par l’université ont été classés en formation initiale même si certains formés
peuvent être demandeurs d’emploi ou salariés.
Les effectifs de la formation continue des demandeurs d’emploi, ayant bénéficié d’une aide nous ont été
communiqués par les organismes suivants :
- l’AFPA pour les actions du programme régional de formations de l’AFPA,
- Pôle emploi pour les formations conventionnées, pour les chèques formation
- le Conseil régional pour le Programme régional.
* Les effectifs de la formation alternée sont transmis par les ADEFIM de chaque département : Ils concernent
les contrats de professionnalisation (financés sur les fonds de l’alternance).
66 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Notes méthodologiques
des indicateurs de la formation et de l’insertion
* La formation des salariés regroupe :
- les Congés individuels de formation en Contrat à durée indéterminée et déterminée (CIF CDI et CIF CDD),
dont les effectifs sont communiqués par le FONGECIF,
- le plan de formation, le DIF et les périodes de professionnalisation dont les effectifs sont transmis par les
ADEFIM de chaque département.
Cartographie des formations
Sont cartographiées les formations initiales et continues des demandeurs d’emploi. Les formations des
salariés et par alternance ne sont pas cartographiées.
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 67
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Sigles utilisés dans ce document
ACSEL Analyse conjoncturelle et structurelle Economique Localisée
ADEFIM Association de développement des Formations de la Métallurgie
AFPA
Association pour la Formation Professionnelle des Adultes
APE Activité Principale Exercée
ASSOR Association régionale des missions locales de Bourgogne
BAC PRO Baccalauréat Professionnel
BTS Brevet de Technicien Supérieur
BEP Brevet d’études professionnelles
C2R
Centre Régional de Ressources pour le travail, l’emploi et la formation
CA Chiffre d’affaires
CAP
Certificat d’aptitude professionnelle
CAPéCO Contrat d’Appui à la Performance économie et à l’évolution des COmpétences
CDD Contrat à durée déterminée
CDI Contrat à durée indéterminée
CFA
Centre de Formation des Apprentis
CIF
Congé Individuel de Formation
CPF
Classification des Produits Française
CQPM Certificat de Qualification Paritaire de la Métallurgie
DADS
Déclarations Annuelles des Données Sociales
DEFM
Demande d’Emploi en Fin de Mois
DIF
Droit Individuel à la Formation
DIRECCTE Direction régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation,
du Travail et de l’Emploi
DUT
Diplôme Universitaire de Technologie
DUETI
Diplôme Universitaire d’Enseignement de Technologique International
ETP
Equivalent temps Plein
FAP
Famille Professionnelle
INPI
Institut National de la propriété Industrielle
INSEE Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques
MMO
Mouvements de Main-d’Oeuvre
NAF
Nomenclature d’Activités Française
ONQ
Ouvrier Non Qualifié
OQ
Ouvrier Qualifié
PRDF
Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles
ROME Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois
RP
Recensement de la Population
SAIO
Service Académique d’Information et d’Orientation
SEPES Service Etudes, Prospective, Evaluation et Statistiques
UIMB
Union des industries de la Métallurgie Bourgogne
UIMM
Union des industries et des métiers de la Métallurgie
URSSAF Union Recouvrement Sécurité Sociale Allocations Familiales
VAE
Validation des Acquis de l’Expérience
ZE
Zone d’Emploi
68 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Bibliographie
- Filière métallurgie en Bourgogne, Banque de France, ACSEL, 11 avril 2011.
- Le chiffre du commerce extérieur, douanes, 1er trimestre 2011.
- La filière automobile : diagnostic dans le cadre de la GPEC et de l’anticipation des mutations
économiques, C2R Bourgogne, décembre 2010.
- Tableau de bord des pôles de compétitivité, DGCIS, 2010.
- Les pôles de compétitivité bourguignons : les enjeux en termes de recherche et de formation »
CESR de Bourgogne, 25 novembre 2010.
- Contribution à l’analyse quantitative des besoins de renouvellement de main d’œuvre dans la
métallurgie à l’horizon 2015, Céreq, janvier 2008.
- Les Pôles de compétitivité, Que peut-on en attendre ?, CEPREMAP, Gilles Duranton, Philippe
Martin, Thierry Mayer, Florian Mayneris, 2008
- Chardon O., « La spécialité de formation joue un rôle secondaire pour accéder à la plupart des
métiers », économie et statistiques n° 388-389, 2005.
Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie 69
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Ce document a été réalisé par un
comité technique composé des
partenaires suivants
• Etat / DIRECCTE •
• Education nationale •
• Conseil régional de Bourgogne •
• Pôle emploi •
• UIMB •
• Les 4 ADEFIM départementales•
• Banque de France •
• Bourgogne innovation •
• CCIR •
• Association des missions locales de Bourgogne •
• OSEO •
• Université de Bourgogne •
• URSSAF •
Conception / Coordination :
• C2R Bourgogne •
70 Septembre 2011 - Observation Économie Emploi Formation - CAPéCO Métallurgie Production Édition

C2R Bourgogne
Centre régional de ressources
pour le travail, l’emploi et la formation
en Bourgogne
Immeuble le Grama
15 Place Grangier
21000 DIJON
Tél 03 80 54 14 14 Fax 03 80 54 14 15
E-mail [email protected]
Site http://www.c2r-bourgogne.org
de la
Préfecture
Région de Bourgogne
Le C2R est au service
des acteurs et partenaires régionaux
de l’emploi et de la formation
professionnelle
Il intervient en tant qu’outil




d’aide à la décision
de diffusion de l’information
d’animation des réseaux d’acteurs
de prospective et d’innovation
- Septembre 2011 -