Revue de pResse

Revue de presse
du 16/04/2015 au 09/07/2015
Sommaire
Usine d’avions de Nouaceur :
LH Aviation s’explique sur l’arrêt du projet
16/04/2015
Challenge .ma
p.4
Le premier avion marocain en zone de turbulences
17/04/2015
Financial Afrik
p.5
Coup d’arrêt au lancement du premier avion fabriqué
au Maroc
17/04/2015
Menara .ma
p.6
Coup d’arrêt au lancement du premier avion fabriqué
au Maroc
17/04/2015
Hiba Press
p.7
Premier avion fabriqué au Maroc :
LH Aviation annonce l’arrêt du lancement du projet
17/04/2015
Medias 24
p.8
LH Aviation annonce l’arrêt momentané du projet
de sa filiale LH Aviation Maroc
18/04/2015
Aeronautique.ma
p.9
20/04/2015 L’Usine Nouvelle .com
p.10
Coup d’arrêt au projet d’usine d’avion léger LH 10 au Maroc
pour cause de désaccords entre actionnaires
Maroc : Le flop d’LH Aviation, à qui la faute ?
20/04/2015
Afrique Inside
p.12
LH Aviation Maroc : Guerre ouverte entre les actionnaires
20/04/2015
Info Médiaire
p.13
NEWS LH Aviation Maroc :
Guerre ouverte entre les actionnaires
20/04/2015
En Afrique .info
p.14
Maroc : l’avion LH-10 M ne verra peut-être jamais le jour
20/04/2015
Mediapart
p.15
LH Aviation Shuts Down its Construction Site in Morocco
21/04/2015
Maroc Nouvelles
p.16
Le projet LH Aviation Maroc arrêté provisoirement
21/04/2015
Le Journal de
l’Aviation
p.17
Mohsine Bennani-Karim, l’homme
qui met dans l’embarras le Royaume du Maroc
24/04/2015
La Diplomatie
p.18
LH Aviation suspend bel et bien son projet au Maroc !
29/04/2015
La Vie Eco
p.20
2
L’affaire LH Aviation bientôt en procès à Paris et Casa
14/05/2015 Maghreb Confidentiel
p.21
Le litige LH Aviation prend une tournure judiciaire
18/05/2015
Medias 24
p.22
LH Aviation France répond à Mohsine Bennani Karim
25/05/2015
Medias 24
p.24
L’affaire opposant l’avionneur français et son partenaire
marocain Mohcine Bennani continue de faire des vagues...
29/05/2015
Medias 24
p.25
Hamid Benbrahim El-Andaloussi :
«Le salon du Bourget sera l’occasion d’annoncer
des accords d’implantation de nouveaux acteurs au Maroc»
11/06/2015 L’Usine Nouvelle .com
p.26
Le constructeur français LH Aviation
vend 100 drones à l’Inde
15/06/2015
Les Echos .fr
p.28
Signing of Agreement (MOU) for Manufacturing Tactical
LH-D UAVs in India
15/06/2015
Defense-aerospace
News
p.29
Un avion écolo, c’est possible?
16/06/2015
BFM TV
p.30
LH Aviation : surveillance et CAS
à moins de 100€ l’heure de vol
17/06/2015
Portail-aviation.com
p.31
Salon du Bourget : LH aviation, le petit
qui veut jouer dans la cour des grands
17/06/2015
France 24
p.32
Le drone français LH-D va faire sa route en Inde
18/06/2015
La Croix .com
p.33
French drone maker LH Aviation to Make in India now
19/06/2015
Hindustan Times
p.34
20/06/2015 France 3 Ile de France
p.35
Ellipse, Elfe ou Guardian, 3 noms et 3 options pour le LH-10,
un avion léger 100% français
Le succès des avions et drones de LH Aviation
conçus à Villaroche
21/06/2015
Le Parisien .fr
p.36
Le succès des avions et drones de LH Aviation
conçus à Villaroche
22/06/2015
Le Parisien
p.37
LH Aviation aime le proche-orient
25/06/2015
La Lettre A
p.38
LH Aviation invente le drône low-cost
03/07/2015
Le Figaro
p.39
LH Aviation veut produire ses drones bas coûts dans le
monde entier
09/07/2015
L’Usine Nouvelle
p.41
ANNEXES
p.42
3
Support : Challenge.ma
Type : Web
Diffusé le : 16/04/2015
Disponible sur : http://www.challenge.ma/usine-davions-de-nouaceurlh-aviation-sexplique-sur-larret-du-projet-46772/
Usine d’avions de Nouaceur : LH Aviation s’explique sur l’arrêt du projet
LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, dont elle est actionnaire à 51%, sort de son silence suite à l’arrêt du lancement du
LH-10 M. Elle confirme ce coup d’arrêt du projet de construction à Nouaceur de la première usine d’avions du Maroc qu’il qualifie de
momentané et avance comme raison des désaccords importants entre LH AVIATION et Mohsine BENNANI-KARIM, le président
de la filiale marocaine LH Aviation. « Toutefois, contrairement à ce qu’indique le communiqué de presse de LH Maroc du 4 février
2015 qui a été diffusé à l’insu de sa maison mère, les désaccords très importants entre LH Aviation et Mohsine Bennani-Karim , ainsi
que son absence pendant plusieurs mois, sont bien à l’origine de ces retards », indique LH Aviation qui précise qu’elle a déjà investi 3
millions d’euros dans sa filiale LH Maroc et recruté une quinzaine de collaborateurs sur le site de LH Maroc à Tit Mellil qui sont déjà
formés aux savoir-faire en matière de matériaux composites de qualité aéronautique. Et d’ajouter : « Ils travaillent à l’assemblage d’une
version électrique du LH- 10, tandis que la fabrication du LH-10 M, premier avion entièrement fabriqué au Maroc, n’a pu encore
démarrer en raison des désaccords persistants ». Malgré ces divergences, LH AVIATION « réaffirme son attachement à son projet
d’usine marocaine pour la fabrication du LH-10 M qui pourrait être le premier avion entièrement fabriqué au Maroc », le groupe
français.
4
Support : Financial Afrik
Type : Web
Diffusé le : 17/04/2015
Disponible sur : http://www.financialafrik.com/2015/04/17/le-premieravion-marocain-en-zone-de-turbulences/
Le premier avion marocain en zone de turbulences
Coup d’arrêt au lancement du LH-10 M en raison de désaccords importants entre LH AVIATION et M. Mohsine BENNANIKARIM,ble président de la filiale marocaine
LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, dont elle est actionnaire à 51%, a le regret de confirmer l’arrêt momentané de son
projet de construction à Nouaceur de la première usine d’avions du Maroc.
Toutefois, contrairement à ce qu’indique le communiqué de presse de LH Maroc du 4 février 2015 qui a été diffusé à l’insu de sa
maison mère, les désaccords très importants entre LH Aviation et M. Mohsine Bennani-Karim , ainsi que son absence pendant
plusieurs mois, sont bien à l’origine de ces retards.
LH AVIATION France, a déjà investi 3 millions d’euros dans sa filiale LH Maroc et a recruté une quinzaine de collaborateurs sur
le site de LH Maroc à Tit Mellil qui sont déjà formés aux savoir-faire en matière de matériaux composites de qualité aéronautique.
Ils travaillent à l’assemblage d’une version électrique du LH- 10, tandis que la fabrication du LH-10 M, premier avion entièrement
fabriqué au Maroc, n’a pu encore démarrer en raison des désaccords persistants.
Néanmoins, malgré ces divergences, LH AVIATION réaffirme son attachement à son projet d’usine marocaine pour la fabrication du
LH-10 M qui pourrait être le premier avion entièrement fabriqué au Maroc.
5
Support : Menara
Type : Web
Diffusé le : 17/04/2015
Disponible sur : http://www.menara.ma/fr/actualit%C3%A9s/technologie/2015/04/17/1603258-coup-d%E2%80%99arr%C3%AAt-aulancement-du-premier-avion-fabriqu%C3%A9-au-maroc.html
Coup d’arrêt au lancement du premier avion fabriqué au Maroc
Le constructeur aéronautique français LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, annonce l’arrêt momentané de son projet
de construction à Nouaceur de la première usine d’avions du Maroc.
A en croire un communiqué de LH aviation, diffusé le 16 avril, l’arrêt du lancement de l’avion LH-10 M est dû aux « désaccords très
importants entre LH Aviation et le président de la filiale marocaine M. Mohsine Bennani-Karim, ainsi que son absence pendant
plusieurs mois».LH Aviation souligne, toutefois, « son attachement à son projet d’usine marocaine pour la fabrication du LH-10 M
qui pourrait être le premier avion entièrement fabriqué au Maroc ».LH Aviation France a investi 3 millions d’euros dans sa filiale LH
Maroc, dont elle est actionnaire à 51%, et a recruté une quinzaine de collaborateurs sur le site de LH Maroc à Tit Mellil, formés aux
savoir-faire en matière de matériaux composites de qualité aéronautique.Ses collaborateurs travaillent actuellement à l’assemblage
d’une version électrique du LH-10, tandis que la fabrication du LH-10 M n’a pu encore démarrer en raison des désaccords persistants.
6
Support : Hibapress
Type : Web
Diffusé le : 17/04/2015
Disponible sur : http://www.hibapress.com/fr/details-4009.html
Coup d’arrêt au lancement du premier avion fabriqué au Maroc
Le constructeur aéronautique français LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, annonce l’arrêt momentané de son projet
de construction à Nouaceur de la première usine d’avions du Maroc.
A en croire un communiqué de LH aviation, diffusé le 16 avril, l’arrêt du lancement de l’avion LH-10 M est dû aux « désaccords très
importants entre LH Aviation et le président de la filiale marocaine M. Mohsine Bennani-Karim, ainsi que son absence pendant
plusieurs mois».LH Aviation souligne, toutefois, « son attachement à son projet d’usine marocaine pour la fabrication du LH-10 M
qui pourrait être le premier avion entièrement fabriqué au Maroc ».LH Aviation France a investi 3 millions d’euros dans sa filiale LH
Maroc, dont elle est actionnaire à 51%, et a recruté une quinzaine de collaborateurs sur le site de LH Maroc à Tit Mellil, formés aux
savoir-faire en matière de matériaux composites de qualité aéronautique.Ses collaborateurs travaillent actuellement à l’assemblage
d’une version électrique du LH-10, tandis que la fabrication du LH-10 M n’a pu encore démarrer en raison des désaccords persistants.
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Support : Medias 24
Type : Web
Diffusé le : 17/04/2015
Disponible sur : http://www.medias24.com/Les-plus-de-Medias24/154327-Premier-avion-fabrique-au-Maroc-LH-Aviation-annonce-larret-du-lancement-du-projet.html
Premier avion fabriqué au Maroc : LH Aviation annonce l’arrêt du lancement du projet
Des désaccords importants entre les assosicés de LH Aviation Maroc sont à l’origine du coup d’arrêt porté au projet de construction
de la première usine d’avions au Maroc prévue pour construire pour le LH 10 M, selon un communiqué de LH Aviation, diffusé le
16 avril.
LH Aviation, associée avec Mohsine Bennani-Karim dansLH Aviation Maroc (51% - 41%), «confirme l’arrêt momentané de son
projet de construction à Nouaceur de la première usine d’avions du Maroc.»
La société française donne pour explication à cette décision, «les désaccords très importants entre LH Aviation et M. Mohsine Bennani-Karim, ainsi que son absence pendant plusieurs mois.»
Toutefois, l’usine qui compte une quinzaine de collaborateurs travaille actuellement à l’assemblage d’une version électrique du LH10.
LH Aviation ne perd toutefois pas espoir de voir son projet aboutir et souligne «son attachement à son projet d’usine marocaine
pour la fabrication du LH-10 M.»
Médias 24 n’est pas pour l’instant à contacter M. Bennani Karim.
8
Support : Aeronautique
Type : Web
Diffusé le : 18/04/2015
Disponible sur : http://www.aeronautique.ma/LH-Aviation-annonce-larret-momentane-du-projet-de-sa-filiale-LH-Aviation-Maroc_a3945.
html
LH Aviation annonce l’arrêt momentané du projet de sa filiale LH Aviation Maroc
Le constructeur aéronautique français LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, annonce l’arrêt momentané de son projet
de construction à Nouaceur de la première usine d’avions du Maroc.
A en croire un communiqué de LH aviation, diffusé le 16 avril, l’arrêt du lancement de l’avion LH-10 M est dû aux « désaccords très
importants entre LH Aviation et le président de la filiale marocaine M. Mohsine Bennani-Karim, ainsi que son absence pendant
plusieurs mois».LH Aviation souligne, toutefois, « son attachement à son projet d’usine marocaine pour la fabrication du LH-10 M
qui pourrait être le premier avion entièrement fabriqué au Maroc ».
LH Aviation France a investi 3 millions d’euros dans sa filiale LH Maroc, dont elle est actionnaire à 51%, et a recruté une quinzaine de
collaborateurs sur le site de LH Maroc à Tit Mellil, formés aux savoir-faire en matière de matériaux composites de qualité aéronautique.
Ses collaborateurs travaillent actuellement à l’assemblage d’une version électrique du LH-10, tandis que la fabrication du LH-10 M n’a
pu encore démarrer en raison des désaccords persistants.
Le communiqué de LH Aviation France est arrivé pour confirmé une information, publiée dans la presse marocaine en Février
dernier, selon laquelle la filiale Marocaine a un désaccord avec sa maison mère et a adressé à l’Office National Des Aéroports une
demande pour un délai supplémentaire pour le démarrage des travaux de construction du site de Nouacer.
9
Support : L’Usine nouvelle
Type : Web
Diffusion : 1300000 Visiteurs Uniques par mois
Par : Pierre-Olivier Rouaud
Diffusé le : 20/04/2015
Disponible sur : http://www.usinenouvelle.com/article/coup-d-arretau-projet-d-usine-d-avion-leger-lh-10-au-maroc-pour-cause-de-desaccords-entre-actionnaires.N325751
Coup d’arrêt au projet d’usine d’avion léger LH 10 au Maroc
pour cause de désaccords entre actionnaires
Le torchon brûle entre l’associé marocain de LH Aviation et cette jeune PME aéronautique qui a annoncé l’an dernier la
construction d’une usine d’assemblage complet de son avion léger de surveillance LH-10. Le principe du projet ne serait pas
remis en cause.
Le fabricant d’avion ultraléger LH Aviation arrête « momentanément » son projet annoncé en avril 2014 de fabriquer des appareils
complets au Maroc dans une usine dédiée à Casablanca.
A l’origine de cette décision, des tensions entre la maison mère du projet la PME française LH Aviation et son associé marocain
Mohsine Bennani-Karim.
Selon un communiqué de LH Aviation du 16 avril « les désaccords très importants entre LH Aviation et Mohsine Bennani-Karim,
ainsi que son absence pendant plusieurs mois, sont bien à l’origine de ces retards ».
Néanmoin l’entreprise basée à Melun-Villaroche (Seine-et-Marne) «réaffirme son attachement à son projet d’usine marocaine pour la
fabrication du LH-10 M qui pourrait être le premier avion entièrement fabriqué au Maroc».
Pour ouvrir cette usine devant produire à terme 80 appareils par an, LH Aviation,s’était associée au printemps 2014 à Mohsine
Bennani-Karim, un homme d’affaires venu du textile, sans expérience de l’aéronautique. Celui-ci avait pris 10% du capital de
l’entreprise française pour 4 millions d’euros.
En parallèle, les deux partenaires avaient créé LH Aviation Maroc une société commune détenue à 51% de LH Aviation et 49% par
Mohsine Bennani-Karim qui devait porter le projet d’usine à Casablanca.
UN ATELIER EXISTE
Signe des dysfonctionnements entre les parties, LH Maroc avait communiqué en solo en février 2015 auprès de la presse marocaine
au milieu de rumeurs sur l’arrêt du projet, pour indiquer que celui-ci suivait son cours. Ceci sans que LH Aviation n’en ait été informé
au préalable, selon l’entreprise francilienne.
Pour rappel, LH Aviation a été cofondée en 2004 par Sébastien Lefebvre, 34 ans, un ingénieur de Supaero. En 2010, le fonds
d’investissement Magellan est entrée à son capital, le fondateur de ce fonds Christophe Remy devenant président du,jeune constructeur
aéronautique.
L’entreprise n’affichait en 2013 selon les comptes déposés qu’une chiffre d’affaires de 58 000 euros pour 5,8 millions d’euros de charges
d’exploitation. Une levée de fonds de 2 millions d’euros avait été annoncée à l’automne 2013. LH Aviation avait aussi communiqué en
2013 sur un projet d’achat des drones Infotron, société qui a finalement été reprise par Gorgé.
LH-10 M, DÉRIVÉ DE L’APPAREIL LÉGER LH 10 ELLIPSE
Au Maroc, l’usine de Casablanca devait fabriquer le LH-10 M, dérivé «Made in Morocco» de l’appareil léger LH 10 Ellipse, un petit
avion polyvalent tout composite à vocation de formation, surveillance, reconnaissance armée ou opérations spéciales.
LH Aviation explique avoir déjà investi 3 millions d’euros dans sa filiale marocaine. En attendant la construction de l’hypothétique
usine principale qui doit se situer près du site de l’aéroport Mohammed V à Nouaceur près de Casablanca, LH Maroc a d’ailleurs lancé
un atelier à Tit Mellil, un quartier industriel à l’est de Casablanca.
10
Une quinzaine de salariés y ont été embauchés et formés pour travailler sur des éléments du LH10 et «l’assemblage d’une version
électrique du LH-10».
L’annonce du projet avait reçu un important retentissement au Maroc, notamment lors de son annonce lors du Marrakech Air Show
en avril 2014. Il était vu d’un œil très favorable par les pouvoirs publics marocains et toute la filière.
Ce projet, s’il aboutit, serait le premier appareil entièrement construit dans le royaume, alors que les investissements dans la fabrication
de composants aéronautiques (Bombardier, Aerolia, Airbus…) s’y sont multipliés ces dernières années.
11
Support : Afrique Inside
Type : Web
Par : Samantha Ramsamy
Diffusé le : 20/04/2015
Disponible sur : http://afriqueinside.com/maroc-le-flop-dlh-aviation-aqui-la-faute20042015/
MAROC : LE FLOP D’LH AVIATION, À QUI LA FAUTE?
Le constructeur français de petits avions de missions « LH Aviation » renonce à la fabrication du tout premier avion « 100% made in
Morocco ». La PME fondée en 2004 dans le Nord de la France, s’est brouillé avec son associée, l’homme d’affaires marocain Mohsine
Bennani-Karim. Pour autant, LH Aviation affirme ne pas fermer la porte à son projet d’usine au sein du pôle industriel de Casablanca
dédié au secteur de l’aéronautique
Le biplace LH-10 M avait été présenté pour la première fois au salon d’Aéro Marrakech. Cet appareil de surveillance devait être le
premier avion « MADE IN MAROC ». Le projet semble aujourd’hui avorté. LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, dont
elle est actionnaire à 51%, a annoncé la semaine dernière l’arrêt momentané de son projet de construction à Nouaceur de la première
usine d’avions du Maroc. En cause: une mésentente entre la maison mère et le président de sa filiale Mohsine Bennani-Karim. Une
brouille qui prend des allures de règlement de compte via plusieurs communiqués. Le dernier, celui de LH Aviation, qui met en cause
des désaccords importants avec M. Mohsine Bennani-Karim et l’absence de ce dernier à l’origine selon LH Aviation de retards dans
la mise en oeuvre du projet. Si la fabrication du premier avion LH-10 M entièrement fabriqué au Maroc semble remis en cause, les
investissements du groupe français ont permis de recruter sur le site de LH Maroc une quinzaine de collaborateurs à Tit Mellil qui
travaillent à l’assemblage d’une version électrique du LH-10. Par ailleurs, LH Aviation affirme ne pas renoncer à
son projet d’usine marocaine. Une usine de montage censé disposer d’une capacité production de 80 unités par an et pourra, à terme,
atteindre 200 avions annuellement. Le projet prévoyait de créer 300 emplois incluant des ingénieurs et des techniciens qualifiés.
Au regard des enjeux et du manque à gagner pour le Maroc, LH Aviation pourrait bien ne pas avoir dit son dernier mot. Il faut
rappeler que la fabrication du premier avion 100% marocain s’inscrit dans le cadre d’une convention signée avec l’Office marocain
des aéroports (ONDA) permettant sa construction et son exploitation à l’Aéropôle de Nouaceur à Casablanca, un site industriel
d’une superficie de 19.000 m². Montant de l’investissement : 10 millions d’euros. L’accord porte également sur l’extension de l’Institut
de formation aux métiers de l’aéronautique (IMA-Nouaceur). Il vise à encourager le suivi de la réalisation des travaux d’extension,
la formation du personnel d’encadrement de l’IMA et l’ingénierie de nouvelles filières de formation, ainsi que la mise en place d’un
baccalauréat professionnel dans les métiers de l’aéronautique au sein de cet institut. L’IMA forme entre 600 et 700 jeunes par an dans
le but de répondre aux besoins du secteur de l’aéronautique qui connaît une croissance soutenue de 17% par an.
LH Aviation qui avait cédé à l’investisseur industriel marocain Mohsine Bennani-Karim 10% de son capital pour 4 millions d’euros,
ambitionne de rejoindre le clan des grandes firmes internationales telles EADS Aviation, Boeing, Labinal, Dassault Aviation et Groupe
Safran. Son installation au sein de l’Aéropôle de Casablanca, un pôle industriel intégré dédié aux industries aéronautiques devait lui
permettre d’atteindre ses objectifs. Ce « couac » intervient dans un contexte pourtant de relance des échanges franco-marocains après
un an de brouille diplomatique entre Rabat et Paris.
12
Support : Infomédiaire
Type : Web
Diffusé le : 20/04/2015
Disponible sur : http://www.infomediaire.net/news/maroc/lh-aviationmaroc-guerre-ouverte-entre-les-actionnaires
LH Aviation Maroc : Guerre ouverte entre les actionnaires
LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, dont elle est actionnaire à 51%, confirme, dans un communiqué
parvenu à Infomédiaire Maroc, l’arrêt momentané de son projet de construction à Nouaceur de la 1ère usine d’avions du
Maroc.
La même source indique que les désaccords très importants entre LH Aviation et son partenaire Mohsine BennaniKarim, ainsi que m’absence de ce dernier pendant plusieurs mois, sont à l’origine de cette décision.
LH Aviation France, qui a déjà investi 3 millions d’euros dans sa filiale LH Maroc et recruté une quinzaine de collaborateurs
sur le site de LH Maroc à Tit Mellil, ajoute néanmoins que, malgré ces divergences, elle réaffirme son attachement à son
projet d’usine marocaine pour la fabrication du LH-10 M qui pourrait être le 1er avion entièrement fabriqué au Maroc.
A suivre !
13
www.en-afrique.info
Support : En afrique
Type : Web
Diffusé le : 20/04/2015
Disponible sur : http://www.en-afrique.info/?LH-Aviation-Maroc-Guerre-ouverte
NEWS LH Aviation Maroc : Guerre ouverte entre les actionnaires
lh_aviation_2.jpg lh_aviation_2.jpg Maroc (www.infomediaire.ma) - LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, dont elle
est actionnaire à 51%, confirme, dans un communiqué parvenu à In en lire plus
Cet article est repris du site http://www.infomediaire.net/news/ma...
14
Support : Mediapart - Le blog de Daurac
Type : Web
Diffusé le : 20/04/2015
Disponible sur : http://blogs.mediapart.fr/blog/daurac/200415/maroclavion-lh-10-m-ne-verra-peut-etre-jamais-le-jour
Maroc : l’avion LH-10 M ne verra peut-être jamais le jour
Annoncé comme le premier avion intégralement fabriqué au Maroc, le biplace LH-10 M qui devait être construit par la société
LH Aviation Maroc, dirigée par Mohsine Bennani Karim, ne verra peut-être pas le jour, ou du moins pas au Maroc. C’est ce que
vient d’annoncer la maison mère LH Aviation dans un communiqué.
En marge du Marrakech Air Show 2014, LH Aviation Maroc et l’Office National Des Aéroports (ONDA) avaient signé une convention
pour l’installation d’une usine dans la technopole de Nouaceur, dédiée à la fabrication des appareils LH-10 M. La presse marocaine
avait alors repris avec beaucoup d’enthousiasme cette annonce, affichant sa fierté de voir le Maroc abriter un constructeur aéronautique,
alors que, jusqu’ici, les PME locales étaient confinées au rôle de sous-traitants pour les grands groupes du secteur, essentiellement
européens (Safran et Airbus). La nouvelle est d’autant plus réjouissante pour les autorités locales que l’industrie aéronautique est l’une
des priorités du Pacte National pour l’Emergence Industrielle (PNEI) signé en 2009, et bénéficie de l’appui du roi Mohammed VI,
grand passionné d’aviation.
Une success-story française
Le projet a commencé après le succès à l’international du LH-10 Ellipse, la version française construite et commercialisée par la
maison mère LH Aviation. En effet, présenté comme un véritable bijou de technologie, adaptable à de multiples missions civiles
et militaires, l’Ellipse avait réussi à séduire plusieurs pays dont le Bénin, le Mali et plus récemment l’émirat de Dubaï, qui a acquis
une dizaine d’appareils (13M€) pour la surveillance des pipelines, des plates-formes pétrolières et des boutres de contrebande entre
l’Iran et les Émirats Arabes Unis. À partir de ces premières réussites, la PME francilienne a décidé d’axer ses efforts sur l’export en
commençant par les marchés les plus proches c’est-à-dire l’Afrique et le Moyen-Orient. L’idée était de fabriquer « un modèle adapté
aux différents environnements du continent africain et aux conditions d’utilisation des acteurs de la région » selon Sébastien Lefebvre,
le jeune PDG et fondateur de LH Aviation. Et ça sera le LH-10 M. M pour Maroc, car la création de LH Aviation Maroc a été actée en
mars 2014, avec comme associé local l’industriel Mohsine Bennani Karim.
Un partenaire mal choisi ?
Mais malheureusement, ce dernier n’était peut être pas le partenaire qu’il fallait. Quelques mois après la naissance de ce qui devait
être le premier constructeur aéronautique marocain, de gros désaccords apparaissent entre la maison mère et le dirigeant de sa
filiale marocaine, ce dernier n’ayant apparemment pas respecté ses engagements. Le communiqué de presse de la partie française
indique que «les désaccords très importants entre LH Aviation et Mohsine Bennani-Karim , ainsi que l’absence de ce dernier pendant
plusieurs mois, sont bien à l’origine de ces retards»
Pour rappel, la société LH Aviation s’est implantée au Maroc en offrant à Mohsine Bennani Karim 10% de son capital contre 4
millions d’euros. Ceci en plus des 49% de LH Aviation Maroc, la maison mère détenant les 51% restant. Selon un article du Parisien,
l’industriel marocain devait prendre en charge les 10 millions d’euros d’investissements nécessaires à la construction et à l’équipement
de la nouvelle usine. Or, selon un journaliste spécialiste du secteur aéronautique, Mohsine Bennani Karim n’aurait pas honoré ses
engagements. Seule la partie française aurait injecté plusieurs millions d’euros pour ouvrir le premier site industriel de 1500 m2 à Tit
Melil, et former une quinzaine de collaborateurs. Le projet qui devait démarrer en juin 2015 est aujourd’hui complétement à l’arrêt.
Un article de La Vie Éco indiquait déjà en février dernier que l’ONDA a prolongé, à la demande de Mohsine Bennani Karim, les délais
d’exécution. Apparemment sans que même ses partenaires français ne soient au courant !
Une relocalisation comme alternative ?
Quoi qu’il en soit, malgré l’engagement effectif de toutes les autorités marocaines pour la concrétisation de cet ambitieux projet, le
partenaire français, qui détient le savoir-faire et la technologie, risque d’être refroidi par cette expérience et serait peut-être tenté de
chercher un nouveau partenaire sous d’autres cieux, notamment en Algérie ou en Tunisie. Le premier, qui ne rate pas une occasion
pour damer le pion à son voisin de l’ouest, pourrait être sérieusement séduit par le projet, au-delà de son aspect purement « nationaliste
». Et le second bénéficie d’excellents atouts dans la filière aéronautique, tant au niveau du tissu industriel que des ressources humaines,
et déploie en ce moment tous ses efforts pour attirer de nouveaux investisseurs. Dans les deux cas, le «M» du mort-né LH-10 M cèdera
la place à une autre lettre.
15
Support : Maroc Nouvelles
Type : Web
Diffusé le : 21/04/2015
Disponible sur : http://morocco.shafaqna.com/EN/MA/66228
LH Aviation Shuts Down its Construction Site in Morocco
Rabat- French light aircraft manufacturer LH Aviation, the parent company of LH Aviation Morocco, announced a temporary
shutdown of its Nouaceur construction project, the first aircraft factory in Morocco. In a press communiqué released on Thursday, LH
Aviation said that they are stopping the launch of the LH-10M aircraft because of very significant disagreements between LH Aviation
and the President of the Moroccan subsidiary, Mohsin M. Karim Bennani, and of his absence for several months. However, the
aircraft manufacturer highlighted its attachment to its Moroccan project for the production of LH-10M that could be the first aircraft
manufactured entirely in Morocco. Moroccan businessman Karim Bennani has invested more than €10 million in the construction of
a local factory that will have a production capacity of eighty LH-10M aircraft per year. They will be the first aircraft built completely
in Morocco. The Moroccan businessman held 49% of the local facility’s stakes, while 51% went to LH Aviation. The company hired a
dozen employees on site at LH Morocco Tit Mellil, all trained in aeronautics. The post LH Aviation Shuts Down its Construction Site
in Morocco appeared first on Morocco World News.
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Support : Le journal de l’aviation
Type : Web
Diffusion : 120000 Visiteurs Uniques par mois
Par : Mariama Diallo
Diffusé le : 21/04/2015
Disponible sur : http://www.journal-aviation.com/actualites/29494-le-projet-lh-aviation-maroc-arrete-provisoirement
Le projet LH Aviation Maroc arrêté provisoirement
Des tensions entre LH Aviation et son associé marocain Mohsine Bennani-Karim retardent le projet d’implantation à Casablanca de
leur filiale commune LH Aviation Maroc. La société, créée en avril 2014 après que le constructeur français basé à Melun-Villaroche
(Seine-et-Marne) a cédé 10 % de ses parts à cet investisseur marocain, est destinée à la production du LH-10M, un dérivé du LH-10
Ellipse, avion léger tout carbone destiné aux missions de surveillance, ou encore à la formation.
L’entreprise est détenue à hauteur de 51 % par LH Aviation et 49 % par l’homme d’affaires marocain. L’avion, s’il est concrétisé, devrait
devenir le premier à être entièrement construit au Maroc.
Selon un communiqué du constructeur français, ce coup d’arrêt momentané est dû à des « désaccords très importants entre LH
Aviation et Mohsine Bennani-Karim, ainsi que son absence pendant plusieurs mois ». Malgré les différentes discordes, l’entreprise «
réaffirme son attachement à son projet », dans lequel elle a déjà injecté 3 millions d’euros.
Une usine de fabrication devait voir le jour en juin 2015 sur l’aéropôle de Nouaceur, à Casablanca. Le site devait à terme produire
80 avions par an. Des premiers salariés ont déjà été recrutés et formés au sein de l’usine de LH Aviation France à Tit Mellil, dans la
banlieue est de Casablanca. Ils travailleraient actuellement sur « l’assemblage d’une version électrique du LH-10. »
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Support : ladiplomatie.fr
Type : Web
Diffusé le : 24/04/2015
Disponible sur : http://www.ladiplomatie.fr/2015/04/24/mohsine-bennani-karim-lhomme-qui-met-dans-lembarras-le-royaume-du-maroc/
Mohsine Bennani-Karim, l’homme qui met dans l’embarras le Royaume du Maroc
L’homme d’affaires vient de faire encore parler de lui. Cette fois dans le dossier du LH-10 M, une déclinaison de la pépite française
Ellipse, qui devait être le premier avion entièrement fabriqué au Maroc, par LH Aviation Maroc. Malheureusement, les Marocains
devront attendre… Le partenaire français LH Aviation, maison mère de la filiale marocaine, vient de confirmer les profonds désaccords
avec Mohsine Bennani-Karim.
Mohsine Bennani-Karim a-t-il « abattu » le LH-10 M ?
Lancé en 2014 en marge du Marrakech Air Show, le projet a eu un énorme retentissement médiatique car cet appareil de surveillance
devait être le premier avion « 100% Made In Maroc ». Le projet bénéficiait dès le départ d’un soutien affirmé des autorités marocaines,
notamment l’Office Nationale Des Aéroports (ONDA), et ses promoteurs prévoyaient, dans un premier temps, une production
annuelle de 80 unités, avant d’atteindre à terme 200 unités par an. Avec à la clé, 300 emplois incluant des ingénieurs et des techniciens
qualifiés.
Un projet très ambitieux qui a séduit les plus hautes autorités du royaume. Sauf que les choses ne se sont pas du tout passées
comme prévu. Mohsine Bennani-Karim, qui détient 49% de la filiale et 10% de la maison mère, n’aurait pas honoré une partie de
ses engagements, qui c’est-à-dire investir 10 millions d’euros pour la construction et l’équipement de l’usine, mais il a également
complétement disparu des radars, selon le communiqué de la partie française. Ce qui soulève de sérieuses questions sur la fiabilité et
les motivations réelles de l’homme d’affaires, qu’on dit malade et très affaibli, à la suite d’un long séjour médical.
Les affaires fructueuses de Mohsine Bennani-Karim
Ce dernier s’est déjà fait remarqué par le passé dans d’autres affaires, toujours très juteuses pour lui, mais qui ont mal tourné pour les
autres. Au milieu des années 1990, sa société de l’époque, Benitex, active dans le secteur du textile, lance avec le géant anglais de la
distribution Mark & Spencer une joint venture, « Dewhirst », afin de fabriquer des vêtements au Maroc pour le compte de la marque
anglaise. Au milieu des années 2000, plusieurs conflits sociaux éclatent sur les sites de production et se terminent par le licenciement
de plusieurs centaines de salariés. Ces derniers se plaignaient des conditions de travail parfois dangereuses pour leur santé, mais
leurs patrons n’y voyaient qu’une manipulation des syndicats, avant de plier bagages quelques années plus tard pour aller s’installer
en Chine.
Mohsine Bennani-Karim après avoir revendu chèrement ses parts, décide de se lancer dans l’immobilier. Et, là encore, il fait une
excellente affaire… au détriment de son partenaire français la BPCE (Banque populaire-Caisse d’épargne). C’est en tout cas ce que
confirmait Maghreb Confidentiel dans une brève datant de mai 2014 qui précisait que « le programme immobilier -Résidences du
golf Bouznika Bay-, qui a laissé un souvenir cuisant au groupe français (BPCE), s’est révélé en revanche être une affaire pour Mohcine
Bennani-Karim ».
A l’époque, ce dernier était associé à BPCE Maroc Immobilier (BPCE MI) sur deux programmes : Résidences du golf Bouznika Bay
et Sky Elite Tours, où il détenait respectivement 45% et 49% des parts. Ces deux projets se sont révélés être de véritables gouffres
financiers dont les actionnaires ont vite voulu se débarrasser à tout prix. Sauf que l’homme d’affaires marocain avait réussi à revendre
ses parts « discrètement » auparavant, comme le révèle encore Maghreb Confidentiel, non pas à un tiers, mais à… la BPCE MI ! Cette
dernière se retrouva alors avec 100% d’actions « toxiques » sur les bras…
Cette manœuvre éveilla un certain nombre de soupçons quant à sa légalité, à minima quant à sa loyauté, surtout que le patron de la
filiale marocaine de l’époque n’était autre que Nathanaël Majster, actuel proche conseiller de Mohsine Bennani-Karim.
Une mauvaise image du Maroc
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Ce genre de profil donne bien évidemment une mauvaise image du Maroc et de la communauté d’affaires marocaine, ce qui n’est pas
sans inquiéter l’entourage du Roi qui s’émeut, pour le moment en privé, de cette nouvelle affaire. On le comprend : au moment où
les pays de la région essayent par tous les moyens d’attirer de nouveaux investisseurs, surtout dans des secteurs stratégiques tels que
l’aéronautique, le Maroc a tout intérêt à mettre en avant des industriels crédibles au parcours clair et cohérent.
Toujours d’après l’entourage du Roi, d’autres éléments inquiètent dans l’affaire LH Aviation. Les certitudes de la partie française,
d’abord, qui se serait entourée des meilleurs avocats pour défendre ses intérêts, notamment Hicham Naciri, du cabinet Naciri Allen
& Overy, et qui serait prêt à étudier la délocalisation industrielle du projet, signe d’une difficulté insurmontable malgré le potentiel
industriel du projet. Par ailleurs, la présence dans cette affaire d’intermédiaires déjà mis en cause dans d’autres projets industriels,
parmi lesquels Michel Arditti, inquiète au plus haut point le Royaume, qui surveille de très près cette affaire.
Affaire à suivre…
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Support : La vie éco
Type : Web
Diffusé le : 29/04/2015
Disponible sur : http://www.lavieeco.com/news/actualites/lh-aviationsuspend-bel-et-bien-son-projet-au-maroc--33740.html
LH Aviation suspend bel et bien son projet au Maroc !
LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, confirme l’arrêt momentané de son projet de construction à Nouaceur de la
première usine d’avions au Maroc.
En février dernier, La Vie éco publiait en exclusivité l’information selon laquelle le projet était en stand by en raison d’un désaccord entre
la société mère et l’actionnaire marocain du projet. LH Aviation Maroc s’était alors empressée de la démentir dans un communiqué,
arguant «qu’il n’existe aucun désaccord entre les actionnaires».Finalement, la maison mère de la société a réagi en expliquant que le
dit communiqué (où elle est pourtant citée !) a été diffusé à son insu et que «les désaccords très importants entre LH Aviation et M.
Mohsine Bennani-Karim, ainsi que son absence pendant plusieurs mois, sont bien à l’origine de ces retards».
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Support : Magreb Confidentiel
Type : Web
Diffusé le : 14/05/2015
Disponible sur : http://www.africaintelligence.fr/MC-/affaires-reseaux/2015/05/14/l-affaire-lh-aviation-bientot-en-proces-a-pariset-casa,108073332-EVE?CXT=CANP&country=MAROC
L’affaire LH Aviation bientôt en procès à Paris et Casa
Un an après sa signature (MC n°1108), le partenariat entre LH Aviation et Mohcine Bennani­Karim pour fabriquer des avions légers
à Nouaceur risque de finir par un atterrissage forcé
devant les tribunaux français et marocains.
De source proche du dossier, l’avionneur français et ses principaux actionnaires ont assigné en justice l’homme d’affaires marocain,
convoque devant le tribunal de commerce de Paris le 18
juin pour non-respect du pacte d’actionnaires. Parallèlement, LH Aviation a chargé son avocat au Maroc, Hicham Naciri (Allen &
Overy), de travailler sur une plainte au pénal pour escroquerie et détournement de fonds contre Mohcine Bennani-Karim. Celleci est fin prête mais n’a pas encore été déposée devant la justice, les deux patrons de l’avionneur, Christophe Remy et SebastienLefebvre, espérant trouver une issue amiable avec Bennani-Karim.
LH Aviation voyait à l’origine dans ce businessman multicarte (textile, immobilier, importation de matériaux de construction,
carrières de sable, etc.) l’allié idéal pour produire, au Maroc, une version tropicalisée de son LH-10 , appareil léger de renseignement
aérien susceptible d’intéresser les Forces armées royales (FAR) et divers pays africains. D’autant que
l’entreprise française l’a initialement pris pour un proche de l’influent général Abdelazlz Bennani, ex-inspecteur général des FAR.
Mais rien ne s’est passe comme prévu. Mohcine Bennani-Karim, qui a acquis 10% de LH Aviation en France en avril2014 pour 4,06
millions d’euros, n’a jamais signé le pacte d’actionnaires. Toutefois, ce sont les conditions de la création de LH Aviation Maroc (LHAM,
Immatricule à Casablanca), qu’il dirige et dont il détient 49%, qui ont provoqué les tensions les
plus vives. LH Aviation suspecterait l’homme d’affaires marocain d’avoir libéré ses parts sociales dans LHAM, fin avril 2014, en
puisant dans ... les fonds que le groupe français venait de verser sur le compte courant de la société en échange de sa propre
participation, soit 3,06
millions €. LH Aviation n’a pas obtenu la tenue d’un conseil d’administration de LHAM, qui tarde
par ailleurs à clôturer ses comptes. Et l’usine provisoire installée par la société marocaine à Tit
Mellil a cessé ses activités.
Le crash de LHAM est suivi par les autorités marocaines et par le Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales
(Gimas), inquiets à l’idée que cette affaire ne
perturbe le décollage de la filière aéronautique locale.
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Support : Média 24
Type : Web
Par : Samir El Ouardigui
Diffusé le : 18/05/2015
Disponible sur : http://www.medias24.com/DROIT/155024-Le-litigeLH-Aviation-prend-une-tournure-judiciaire.html
Le litige LH Aviation prend une tournure judiciaire
Après une courte idylle ayant fait rêver le Maroc, les associés de la joint-venture franco-marocaine devant transformer le pays en
producteur d’avions légers s’affrontent désormais devant la justice.
Médias24 s’est procuré les copies des plaintes déposées et a recueilli les versions de chaque antagoniste.
Un an après la signature d’un accord d’installation d’une filiale au Maroc détenue respectivement à 51% par
LH Aviation France et 49% par Mohsine Bennani Karim, la perspective de construire une usine produisant des
avions de reconnaissance et d’observation à Nouaceur est plus que compromise.
Le 16 avril 2015, la maison-mère a assigné son associé, présidant aux destinées de la filiale marocaine, devant
le tribunal de commerce de Paris pour manquement au respect de plusieurs obligations contractuelles :
- Non-signature de l’acte d’adhésion au pacte d’associés de LH aviation ;
- Non-libération de fonds sur la part du capital LH Aviation Maroc (LHAM) dont il possède 49% des parts.
- Non-présentation de garantie bancaire prévue en cas de défaut de libération des fonds.
- Non-paiement de trois avions commandés.
- Défaut de cogérance avec double signature avec un représentant de LH Aviation France.
Contacté par Médias 24, le président Christophe Rémy considère que LH Aviation France (LHAF) a tenu tous
ses engagements et que son groupe risque de se retirer du Maroc car «l’attitude du président de LHAM
compromet le projet d’usine d’avions».
«Notre partenaire a bien acquitté 4,06 millions d’euros pour devenir actionnaire à 10% de LHAF mais n’a pas
engagé les 2,94 millions d’euros promis dans LHAM dont il détient 49% des parts».
Il l’accuse «preuves à l’appui» d’avoir libéré ses parts sociales dans LHAM en puisant dans les 3,06 millions
d’euros déposés par la maison mère et correspondant à sa participation, déposée à la banque Attijariwafa bank.
M. Mohsine Bennani Karim est assigné à comparaître le 2 juillet prochain à Paris.
Pessimiste sur l’avenir de la construction de ce qui devait être la première usine d’avions au Maroc, le
président Rémy agite la possibilité de s’installer ailleurs.
Mohsine Bennani Karim a de son côté engagé une procédure judiciaire contre LHAF et l’a assignée à
comparaître le 26 mai devant le tribunal de commerce de Melun.
Selon cette assignation, le point de départ du litige est le refus de M. Bennani Karim, de signer un contrat de
prestation de services et d’accompagnement au bénéfice du président de LHAF, Christophe Rémy.
Cet avenant prévoyait d’acquitter pour ses conseils «une somme de 180.000 euros par an à vie même si la
société mère était complètement rachetée par d’autres investisseurs».
Mohsine Bennani Karim considère également être rentré dans le capital de LHAF sur une sur-valorisation
avec 10% du capital pour plus d’un tiers des financements en fonds propres de la société.
L’actionnaire marocain dénonce que dans un souci de lever des fonds d’investisseurs et de le marginaliser au
sein du conseil d’administration, le groupe n’a pas hésité à diluer sa participation dans la maison mère.
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Dans sa plainte, il ajoute que les délais de livraison des trois aéronefs LH-10 Ellipse commandés pour 2
millions d’euros devant constituer la vitrine commerciale de LHAM n’ont pas été tenus par LHAF.
Suite aux points de désaccord, l’accès de LHAM au serveur LH Aviation a été suspendu empêchant ainsi
toutes actions de transfert de technologie et de savoir-faire.
Ayant réglé la moitié de la somme, il regrette qu’à ce jour, un seul avion ait été livré en kit sans matériel ni
système d’assemblage et que retard pénaliserait l’envol de LHAM qui rate des commandes.
De plus, l’avion livré ne dispose d’aucune homologation de l’aviation civile française ce qui est le préalable à
une commercialisation potentielle sur le territoire marocain ou à l’export.
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Support : Média 24
Type : Web
Par : Samir El Ouardigui
Diffusé le : 25/05/2015
Disponible sur : http://www.medias24.com/ECONOMIE/ENTREPRISES/155212-LH-Aviation-France-repond-a-Mohsine-BennaniKarim.html
LH Aviation France répond à Mohsine Bennani Karim
Le Conseil d’Administration de LH Aviation France a souhaité réagir aux propos de l’actionnaire marocain
Mohsine Bennani Karim parus dans un précédent article de Médias 24.
Après avoir pris connaissance de l’article intitulé le litige LH Aviation prend une tournure judiciaire publié le
18 mai dernier, Philippe Rémy, président du Conseil d’Administration de LHAF a contacté Médias 24 pour
éclaircir la position de la maison-mère.
Affirmant que les membres de son conseil d’administration ne pouvaient pas rester muets face aux
«allégations mensongères» proférées par Mohsine Bennani-Karim, le président de LHAF déclare :
- «Contrairement à ce qu’affirme M. Bennani Karim, le point de départ du litige nous opposant n’est en aucuncas lié à un
quelconque refus de sa part de signer un contrat de prestation, de services et d’accompagnement.
Le montant du contrat auquel il fait référence n’est pas de 180.000 € annuel et encore moins d’une durée
illimitée comme il le soutient.
Cette convention réglementée d’une durée de 12 mois était prévue dans le protocole d’investissement que
Monsieur Bennani-Karim a signé le 21 février 2014. En outre, il a à plusieurs reprises accepté le principe par
écrit mais n’a jamais honoré son engagement.
Tout découle de son refus de signer le pacte d’associé souscrit en mars 2014, puis à son absence de respect de
ses engagements contractuels du protocole d’investissements signé le 21 février 2014».
-«Concernant l’affirmation selon laquelle il considère être rentré au capital de LH Aviation sur une «sur
valorisation», il faut rappeler qu’avant même d’investir, Mohsine Bennani Karim a fait diligenter un audit
complet de LH Aviation France entre le 20 et le 25 mars 2014.
De plus, personne ne l’a contraint à souscrire au capital de LH Aviation».
-«Si le 1e avion de LHAM a été livré avec un planning de finition à réaliser au Maroc, c’est à sa propre
demande afin de pouvoir former sur place les ingénieurs marocains à l’assemblage des systèmes.
Monsieur Bennani-Karim a toujours refusé que les collaborateurs marocains viennent en France pour être
formés, comme cela avait été pourtant été prévu à l’origine dans le protocole d’investissement du 21 février
2014».
- «L’avion Ellipse LH-10 livré par nos soins que Monsieur Bennani Karim accuse de ne pas être homologué,
répond au standard aéronautique international (Federal aviation regulation 23).
Le processus de certification au niveau européen est en cours avec l’EASA (European Aviation Safety
Agency) et la DGAC (direction générale de l’aviation civile) a accordé l’éligibilité du LH10 au certificat de
navigabilité.
Les produits de LH Aviation (avions et drones) sont donc bien commercialisables et commercialisés à l’export
dans les domaines professionnels et milita0ires que nous ciblons».
- «C’est avec l’accord de son fils, Mohamed Bennani-Karim, que LHAF a décalé la livraison prévue en find’année dernière
des deux autres avions commandés. La raison invoquée était les cinq mois d’absence continuede son père».
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Support : Média 24
Type : Web
Diffusé le : 29/05/2015
Disponible sur : http://www.medias24.com/Les-plus-de-Medias24/155364-LH-Aviation-Mohsine-Bennani-reagit.html
L’affaire opposant l’avionneur français et son partenaire marocain Mohcine Bennani continue de faire des
vagues.
Dans un communiqué publié le 29 mai, M. Bennani revient sur le différend, expliquant sa version des faits.
Il signale par ailleurs, employant le conditionnel, qu’il « aurait l’intention de porter plainte pour des faits de
chantage, chantage et tentative d’extorsion commis à son encontre par LH Aviation France et Mr Christophe
Rémy en sa qualité de mandataire de cette société. »
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Support : L’usine nouvelle
Type : Web
OJD : 61 325visites (janvier 2014)
Par : Nasser Djama
Diffusé le : 11/06/2015
Disponible sur : http://www.usinenouvelle.com/article/hamid-benbrahim-el-andaloussi-le-salon-du-bourget-sera-l-occasion-d-annoncer-desaccords-d-implantation-de-nouveaux-acteurs-au-maroc.N333864
Hamid Benbrahim El-Andaloussi :
«Le salon du Bourget sera l’occasion d’annoncer des accords d’implantation
de nouveaux acteurs au Maroc»
Le président du Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales (GIMAS), Hamid Benbrahim El-Andaloussi
présente pour L’Usine Nouvelle les enjeux et perspectives de la filière aéronautique au Maroc à l’occasion de sa présence la semaine
prochaine au salon du Bourget. Il livre son analyse sur l’échec du projet LH aviation au Maroc, mais promet des annonces sur le salon.
Le 51ème salon aéronautique du Bourget se tient du 15 au 21 juin. Le Maroc y sera présent avec un stand du Groupement des
industries marocaines aéronautiques et spatiales (GIMAS) et d’autres organismes marocains (encadré). Moulay Hafid El Alamy,
ministre de l’Industrie doit notamment tenir une conférence de presse le mardi 16 juin pour faire le point sur les investissements
étrangers dans l’aéronautique ou encore la déclinaison de sa politique d’écosystèmes (ou clusters) dans ce secteur.
L’Usine Nouvelle a rencontré, Hamid Benbrahim El-Andaloussi,président du Gimas et délégué général de Safran au Maroc à Paris fin
mai. Il dresse un rapide état des lieux du secteur aéronautique, livre son avis tranché sur le dossier LH aviation et évoque l’extension
de l’IMA, l’institut de formation de la filière. Des annonces seront aussi en vue selon le Gimas, dans un secteur qui compte 106
entreprises installées au Maroc surtout à Casablanca et employant 11 500 salariés. Pour un chiffre d’affaires à l’export quasi stable en
2014 à 650 millions d’euros.
L’Usine Nouvelle : Comment se présente pour le Maroc cette 51ème édition du salon du Bourget ?
Hamid Benbrahim El-Andaloussi : Nous allons y être présents pour la sixième fois. Et parce que nous sommes dans une nouvelle
phase de développement de l’aéronautique, notre participation sera renforcée. Ce sera aussi l’occasion d’annoncer des accords
d’implantation de nouveaux acteurs.
En quoi consiste cette nouvelle phase de développement ?
Essentiellement celle qui est tirée par le Plan d’accélération industrielle (PAI) et que nous finalisons avec le ministre de l’Industrie. Le
salon du Bourget représente pour nous une plateforme idéale pour l’annoncer.
Que va apporter ce PAI pour l’aéronautique marocaine ?
Dans sa déclinaison sectorielle, il accorde une part importante aux PME et inclut des mesures phares que doit dévoiler le ministre. Le
Maroc doit devenir une terre d’accueil pour ces PME.
Avez-vous un exemple ?
Les Ateliers de Haute Garonne (AHG) par exemple ont investi d’une façon importante au Maroc. Cet investissement génère d’ailleurs
une croissance en France. C’est un bel exemple de colocalisation dans la mesure où un investissement au Maroc réalisé par une PME
française engendre du développement et des embauches dans les deux pays. Un investissement de ce type permet d’accéder à de
nouveaux marchés auxquels une PME ne peut accéder avec sa structure de coût française.
Malgré tout, quand on regarde les statistiques du commerce extérieur sur 2014 les exportations aéronautiques du Maroc ont
marqué le pas en 2014, pourquoi ?
En l’espace d’une douzaine d’années, la part de l’aéronautique dans les exportations marocaines, est passé de 0,5% à près de 5 %. C’està-dire qu’elle a été pratiquement multipliée par 10. C’est considérable. L’an dernier, pour la première fois, les exportations industrielles
globales, ont dépassé les exportations de phosphates. C’est un indicateur important de la transformation du tissu industriel dans
lequel l’aéronautique joue une part très importante avec l’implantation dans les aérostructures de l’usine Bombardier ou le projet de
Stelia, une filiale d’Airbus [ex-Aerolia].
La PME française LH Aviation était partie pour investir au Maroc mais le projet a été abandonné. Pour quelles raisons à votre
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avis ?
Je vais vous dire la vérité. J’ai été informé de ce projet par la presse. Quand une société aéronautique veut s’implanter au Maroc
ou créer un partenariat, presque toujours, elle commence par contacter le Gimas. Notre rôle c’est de créer la confiance, car sans la
confiance, il n y a pas de business.
Qu’est-ce qui a manqué au projet LH Aviation pour réussir ?
Quand on monte un partenariat, il faut choisir un partenaire culturellement compatible. Il est fort possible que le terme ne soit pas
tout à fait politiquement correct, mais moi, je l’utilise.
Craignez-vous des retombées négatives à la suite de cet échec ?
Chaque fois qu’il y a une rupture de la confiance, il y a un échec. C’est grave et mauvais pour tout ce que nous faisons. Au risque de
me répéter, j’agis dans un rôle de bâtisseur de confiance entre les porteurs de technologie et le Maroc. Et dieu merci, les témoignages
positifs de Safran et d’autres industriels du secteur vont dans le bon sens.
Le Gimas a décidé l’extension de l’Institut des métiers de l’aéronautique (IMA) pour suivre les besoins de formation des donneurs
d’ordre. Où en êtes-vous ?
Nous avons pris du retard dans le chantier d’extension de l’IMA pour des problématiques purement procédurales et administratives.
Mais le chantier lui est bien lancé. Il s’agit comme prévu d’un doublement de la capacité. Dans les douze mois à venir, nous auront un
bâtiment deux fois plus grand et nous auront créé de nouvelles filières en répondant aux besoins en terme de middle-management,
notamment.
A quoi est-du ce retard ?
Le temps politique ne coïncide pas toujours avec le temps économique. Et il en découle de l’incompatibilité culturelle. Je vais vous
donner un exemple. Je m’arrache les cheveux pour que le dossier Alcoa l’américain ne prenne pas de retard. La douane a pris des
semaines pour autoriser le matériel à rentrer. Voilà un exemple type de décalage de temps. Tout le monde ne va pas au même rythme.
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Support : Les Echos
Type : Web
OJD : 128 009 visites (avril 2015)
Par : Dominique Malécot
Diffusé le : 15/06/2015
Disponible sur : http://www.lesechos.fr/journal20150615/lec2_pme_et_
regions/021126666207-le-constructeur-francais-lh-aviation-vend-100drones-a-linde-1128132.php#
Le constructeur français LH Aviation vend 100 drones à l’Inde
Les appareils seront construits localement sous licence.
Deux autres commandes se profilent en Asie.
Une PME dans le sillage de Dassault et de son Rafale. Le petit constructeur aéronautique français LH Aviation devrait confirmer au
Paris Air Show la signature d’un protocole de vente d’une centaine de ses drones tactiques LH-D à l’Inde.
Selon la presse spécialisée indienne, ces appareils seront produits localement par OIS-Advanced Technology. Les besoins indiens de
ce type d’appareil pour des utilisations tant militaires que civiles sont évalués à 500 appareils.
Ce ne devrait pas être la seule bonne nouvelle pour l’entreprise basée sur l’aéroport de Melun-Villaroche (Seine-et-Marne), qui doit
aussi annoncer au Paris Air Show deux commandes de pays asiatiques qui ont de vastes étendues à surveiller. En toute logique, elles
pourraient être assorties de partenariats industriels. En effet, LH Aviation, qui compte 50 salariés et a réalisé 2 millions d’euros de
chiffre d’affaires en 2014, privilégie cette formule. Si ces commandes se confirment, la firme, qui dispose désormais d’une autorisation
d’exporter du matériel militaire, devrait terminer l’année sur un chiffre d’affaires de l’ordre de 10 millions d’euros. A ce stade, ni LH
Aviation ni son actionnaire, le fonds parisien Magellan Industries, ne confirme ces informations. Selon le descriptif du constructeur,
les drones vendus à l’Inde sont dotés de systèmes de décollage et d’atterrissage automatique sur terrain sommaire, peuvent voler 24
heures avec une charge utile de 280 kilos et à des vitesses comprises entre 113 et 343 kilomètres-heure. Ces caractéristiques, qui le
placent plutôt dans le haut de gamme pour ce type d’appareil, ne l’empêchent pas d’être économique avec un coût de l’heure de vol de
80 euros, à comparer aux 3.000 euros de l’heure d’un hélicoptère.
Un appareil pilotable
Enfin LH Aviation a résolu la question de l’interdiction des vols de drones au-dessus des aires habitées en permettant à son engin
d’embarquer un pilote pour des missions de surveillance urbaine ou des trajets de liaison entre deux théâtres d’opérations. Doté d’ailes
démontables, il peut aussi être logé dans un conteneur ou une remorque routière. Résultat, il faut deux fois moins de personnel pour le
mettre en oeuvre. En France, ces caractéristiques ont convaincu la Direction centrale de la police aux frontières de tester une version
très proche de l’appareil. LH Aviation pourrait lui fournir des heures de vol. En revanche, la firme ne parvient toujours pas à intéresser
l’armée française. Bien qu’elle puisse faire appel à des équipements de Thales, d’Airbus Défense et d’un fournisseur turc de l’armée
américaine, un gage de sérieux, la PME semble trop petite pour intéresser le ministère de la Défense.
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Support : Defense-aerospace.com
Type : Web
Diffusion : 150000 Visiteurs Uniques par mois
Diffusé le : 15/06/2015
Disponible sur : http://www.defense-aerospace.com/cgi-bin/client/modele.pl?shop=dae&modele=release&prod=164538&cat=3
Signing of Agreement (MOU) for Manufacturing Tactical LH-D UAVs in India
After its first participation at the Bangalore Air Show AeroIndia 2015, in partnership with OIS-Advanced Technology Pvt. Ltd
(OIS-AT), where LH Aviation presented its LH-D tactical UAV and ExplorAir45 rotary wing UAV, LH Aviation has signed an
agreement (MOU) with OIS-AT to cooperate in establishing in India a manufacturing plant for the LH-D tactical UAV through an
industrial license. This project should allow OIS to produce locally a hundred tactical LH-D UAVs, intended to the Indian market.
The LH-D is a multi-sensor tactical UAV, with automatic take-off and landing capabilities, developed from the LH-10 platform.
With a payload of 280 kg and an autonomy of 24 hours, it offers its users a wide range of speeds from 61 knots to 185 knots, and
has the ability to be reconfigured as a manned controlled version for escorts or missions over urban areas or to facilitate training
missions or systems testing.
It can be deployed quickly thanks to its removable wings, it can also be sent onto any field of operation and be ready in less than
one hour. Its operating cost of less than € 80 per hour of flight makes the LH-D the most cost-effective French UAV on the market.
“We were really amazed by the capabilities of LH Aviation LH-D when compared to other tactical UAVs on the market,” said Mr
Bhandari, Chairman of the OIS group. “The LH-D displayed at AeroIndia 2015 was very well received by the Indian military and
civilian authorities, especially since it will be manufactured locally which is a real advantage for the Indian market”.
“LH Aviation decided for its expansion abroad to focus exclusively on manufacturing partnerships and transfer of know-how with
credible industrial partners, professionals of defence and security sectors, such as OIS-AT” declared Sebastien Lefebvre, President
of LH Aviation.
LH Aviation is a French aircraft manufacturer located on the airfield of Melun-Villaroche, near Paris. Supported by the aviation
investment fund Magellan Industries, the company produces a full range of aircrafts from the LH-10 Ellipse, an all-carbon tandem
two-seater, dedicated to professional markets, to the Explorair 45 rotary drone and the LH-D tactical UAV.
The LH-10 Ellipse is the first aircraft in light aviation category to enable multi-mission and to put the concept of a “plug & play”
aircraft within the reach of all countries. The LH-10 Ellipse combines operational efficiency, high technology, optimum utilisation
and cost control.
29
Support : BFM TV
Type : TV
OJD : 43 807 029 visites (mars 2015)
Par : Audrey Alos, Melanie Vecchio et Chloé Baïze
Diffusé le : 16/06/2015
Disponible sur : http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/un-avionecolo-c-est-possible-558514.html
Un avion écolo, c’est possible?
Les avions font partie des principaux polluants de la planète mais la technologie est en pleine évolution. L’Union européenne s’est
fixée de diminuer les émissions carbones dues aux avions de 80% d’ici 2050. Plusieurs solutions: le design, les moteurs, mais aussi
une essence moins polluante ou carrément, un avion électrique. Baptisé LH10, il est léger, polyvalent et dispose d’outils de pilotage
dernier cri.
30
Support : Portail-aviation
Type : Web
Par : Bruno Etchenic
Diffusé le : 17/06/2015
Disponible sur : http://www.portail-aviation.com/2015/06/lh-aviationsurveillance-et-cas-a-moins-de-100e-lheure-de-vol.html
LH Aviation : surveillance et CAS à moins de 100€ l’heure de vol
Innovation, simplicité, pragmatisme, passion. Voici les premiers mots qui nous viennent à l’esprit après notre entrevue avec Sébastien
Lefebvre, PDG de LH Aviation. Nous avions voulu savoir ce qui a motivé ce jeune trentenaire, à créer sa propre entreprise dans un
milieu aéronautique qui semble cloisonné et inaccessible, dominé par d’importantes multinationales, et où l’esprit des pionniers
semble s’être quasiment éteint.
Sébastien Lefebvre, partant du constat que l’aviation légère peinait à se renouveler, avec le lancement de nouveaux appareils basés
sur des concepts vieux de plusieurs dizaines d’années, décide d’innover. Avec un ami, il dessine son premier avion dans sa chambre,
en 2003. Le dessin général de l’avion sera très vite arrêté. Une hélice propulsive pour un meilleur rendement, un moteur à l’arrière
pour éviter un trop long arbre de transmission, un avion court, une aile à allongement élevé (ailes courtes), afin de ne pas rallonger
l’avion pour placer le stabilisateur horizontal. Il en résulte une plateforme compacte, offrant au pilote une excellente visibilité. La forte
charge allaire (la masse rapportée à la surface portante) permet à l’avion d’être moins sujet aux turbulences. Et comme le domaine de
prédilection de l’avion est la surveillance ou le support aérien à de faibles altitudes, zones où les masses d’air sont les plus turbulentes,
le confort du pilote est assuré, mais pas seulement : l’avion sera une plateforme de tir plus stable dans sa version militaire, et les
équipements de surveillance optique n’en seront que plus efficaces.
Mis à part un drone à voilure tournante, le dessin original de l’avion a servi de base pour l’élaboration de quatre produits que sont :
-Le LH-10 Guardian, version de surveillance
-Le LH-10 Ellipse, version d’entrainement
-Le LH-10 Elfe, version de support aérien
-Le LH-D, version optionnellement pilotée, de reconnaissance.
Structurellement, tous les avions sont identiques, à l’exception néanmoins du LH-10 Elfe qui dispose d’une aile renforcée. Cette aile
renforcée n’est pas nécessaire sur les autres versions, ce qui complexifierait beaucoup leur vente puisqu’il faudrait un accord soumis à
une licence de type avions d’arme.
Un avion économique
Avec une masse maximale au décollage de 550 kg, et grâce à son efficacité aérodynamique, l’avion obtient de très belles performances
avec un moteur très sobre (9l/h en croisière économique). Bien que capable de croiser à 320 km/h, la plupart des missions requièrent
une présence sur zone maximale où la vitesse n’est nullement requise. En vitesse de croisière économique (150km/h), le LH-10
Guardian (version de surveillance) peut en effet orbiter pendant près de 6H00. Et le tout, pour un coût à l’heure de vol inférieur à 100€
! Le chiffre de 80€ par heure de vol (pour le LH-D) est un argument massue dans un segment de mission réalisé traditionnellement
par les hélicoptères, qui, bien qu’étant plus polyvalents, ne peuvent rivaliser sur ce terrain-là, avec une heure de vol qui n’est pas
inférieure à 3 500 pour les modèles les plus récents. Le prix d’acquisition est sans commune mesure également, avec des systèmes
complets (avions, support, station au sol) qui oscillent entre 450 000 et 1,3 million d’euros.
Un marché potentiellement énorme
Voilà le marché que la jeune entreprise LH Aviation, et son non moins jeune PDG aimeraient capter ! En réalisant 80% des missions
traditionnellement dévolues aux hélicoptères pour un coût quasiment dérisoire, les différents organismes de sécurités pourraient
multiplier leur efficacité opérationnelle, tout en libérant l’usage des voilures tournantes vers des missions prioritaires. Bien que le
système n’est pas concurrentiel aux services offerts par les voilures tournantes, mais complémentaires, on pourrait ne pas comprendre
pourquoi une innovation telle que celle-ci ne trouve pas plus d’écho auprès des autorités françaises.
Lobbysme actif des hélicoptéristes ou inertie de l’administration française ? En attendant, LH Aviation signe des contrats à l’exportation,
dont un hier avec la police des Émirats arabes unis pour la fourniture d’un système de surveillance sans pilotes. Un accord d’entente
a également été signé avec un industriel Indien pour l’implantation d’une chaîne de fabrication locale du LH-D.
Les différentes version des appareils produits par LH Aviation seront détaillées dans un prochain article.
31
Support : France 24
Type : TV
OJD : 10 311 816 visites (mai 2015)
Diffusé le : 17/06/2015
Disponible sur:https://www.youtube.com/watch?v=Y_l0tSVmv-c&feature=youtu.be
Salon du Bourget : LH aviation, le petit qui veut jouer dans la cour des grands
Sébastien Lefebvre a été interviewer par france 24 lors du Salon du Bourget le 17/06/2015 afin de parler de son entreprise plus en
détails.
32
Support : La Croix
Type : Web
OJD : 119 694 visites ( avril 2015)
Par : Alain Guillemoles
Diffusé le : 18/06/2015
Disponible sur : http://www.la-croix.com/Actualite/Economie-Entreprises/Economie/Le-drone-francais-LH-D-va-faire-sa-route-en-Inde-2015-06-18-1325138
Le drone français LH-D va faire sa route en Inde
Une petite entreprise française, LH-Aviation, est en passe de conclure un contrat pour la fabrication d’une centaine de drones en Inde
pour des clients locaux.
Le drone français a séduit les Indiens par son coût d’utilisation très bas et ses performances.
LH-Aviation est une petite entreprise de Melun-Villaroche, en région parisienne, créée en 2003 par un ingénieur âgé de 23 ans,
Sébastien Lefèbvre. Aux côtés des géants de l’aviation qui s’exposent actuellement au Bourget, elle démontre qu’il existe aussi de la
place pour de ceux qui ont su avoir une bonne idée et la développer.
LH-Aviation a mis au point une famille de petits avions légers, en fibre de carbone, capables de voler à 450 km/h pour un coût
d’utilisation de 80 euros de l’heure, ce qui est la meilleure performance du marché.
UNE ALTERNATIVE À BAS COÛT AU RAFALE
Cet avion a déjà été acheté par la Police de l’air et des frontières française, qui l’utilise pour des missions de surveillance, ainsi que par
le Bénin et le Maroc. « Il a une faible signature radar, peut rester 6 à 8 heures en l’air et emporter 280 kg. C’est un produit militaire qui
est destiné aux pays émergents. Il peut faire 80 % des missions confiées à un avion de chasse pour 20 % du coût. Tout le monde ne
peut se payer le Rafale », explique Christophe Rémy, le président du conseil d’administration.
Cet avion existe dans une version sans pilote, sous le nom LH-D. Il peut être déployé en une heure et rester 24 heures en l’air dans un
rayon de 200 km autour du poste de commande.
Cet appareil a séduit les Indiens lorsqu’ils l’ont découvert au salon aéronautique de Bangalore, en février dernier. LH-aviation est en
passe de conclure un beau contrat avec un partenaire local pour la fabrication sur place d’une centaine de drones LH-D, qui seront
destinés au marché local.
UN TRANSFERT DE SAVOIR-FAIRE
Les besoins de l’Inde sont en effet estimés à 500 drones de surveillance pour les dix ans à venir. OIS, le partenaire indien, va monter
une chaîne de fabrication pour produire sur place une centaine d’appareils sous licence.
Il y aura donc un transfert de savoir-faire, avec le risque de donner naissance à un futur concurrent. Mais cela fait désormais partie
de la règle du jeu, afin d’exporter vers de grands pays émergents. Et LH-Aviation estime être protégé par sa licence : « Elle n’est pour
l’instant valable que pour l’Inde et ne leur sera concédée que pour des pays où nous n’irons pas », indique Christophe Rémy.
Aujourd’hui, LH-Aviation emploie cinquante personnes et recrute régulièrement. Après une dizaine d’années à développer son
appareil, l’entreprise entame la commercialisation : huit à dix appareils seront livrés en 2015. Vingt-cinq devraient être livrés l’an
prochain.
Le petit appareil de LH-Aviation, en version drone ou piloté, intéresse la sécurité civile, les gardes frontières ou les armées de nombreux
pays. Un LH-10, avec pilote, coûte autour de 1,3 million d’euros ; le drone est plutôt à 4 millions d’euros.
SURVEILLANCE OU LUTTE CONTRE LE TERRORISME
« Aujourd’hui, le coût d’utilisation d’un hélicoptère tourne autour de 2 500 € par heure de vol. En proposant un appareil qui coûte
beaucoup moins cher à l’utilisation, nous apportons une solution qui permet de faire des économies importantes pour certaines
missions, comme la surveillance des autoroutes ou des feux de forêts, ou bien la lutte contre le terrorisme en Afrique », dit Christophe
Rémy.
Le LH-10 et son cousin, le LH-D, sont des produits de la miniaturisation de l’informatique qui a permis de concevoir un avion très
léger, avec un petit moteur et une faible consommation.
Ce contrat est le premier à l’exportation pour LH-Aviation. Ainsi, la France parvient à se faire une petite place sur le marché des
drones militaires, jusqu’ici dominé par les Américains et les Israéliens, les champions du secteur.
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Support : Hindustan Times
Type : Web
Par : Noopur Tiwari
Diffusé le : 19/06/2015
Disponible sur : http://www.hindustantimes.com/business-news/frenchdrone-maker-lh-aviation-to-make-in-india-now/article1-1360779.aspx
French drone maker LH Aviation to Make in India now
French drone-maker LH Aviation on Friday signed an MoU with Indian OIS Advanced Technologies for the manufacturing of
tactical drones in India, at the ongoing Paris Air Show. The companies will collaborate for setting up a manufacturing plant through
an industrial licence. This will allow a hundred drones intended for the Indian market to be produced locally.
The LH-D is a multi-sensor tactical UAV (unmanned aerial vehicle) with automatic take-off and landing capabilities. UAVs are
generally used for military or non-military securitymissions.
The drone is a new kind of product, which can also be reconfigured as a manned controlled version or a conventional aircraft called
OPV (optionally piloted vehicle), LH Aviation CEO Sebastien Lefebvre told HT.
Declining to comment on financial details of the deal, Lefebvre said the cost per UAV is generally about 4 million euros, including the
global system, which includes transfer of technology, consumables and services.
The MoU has been signed for drones with a payload of 280 kg with an autonomy of 24 hours. These drones run at a speed of 61-185
knots and can be deployed quickly as they have removable wings. They can also be sent into any field of operation and be ready in
less than one hour.
The operating cost of the drone is below 80 euros per hour of flight.
“Our relationship with LH Aviation has enabled us to bring a flexible, advanced technology medium-altitude long endurance (MALE)
UAV platform, which can be customised for Indian requirements,” OIS-AT chairman Sanjay Bhandari said.
34
Support : France 3
Type : Web
OJD : 19 837 654 visites (avril 2015)
Par : Erick Haas
Diffusé le : 20/06/2015
Disponible sur : http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-defrance/2015/06/20/ellipse-elfe-ou-guardian-3-noms-et-3-options-pourle-lh-10-un-avion-leger-100-francais-751231.html
Ellipse, Elfe ou Guardian, 3 noms et 3 options pour le LH-10,
un avion léger 100% français
Parmi tous les modèles d’avions présentés au Bourget, certains passent moins inaperçus que d’autres. Leurs formes originales attirent
le regard des simples curieux comme des «mordus» d’aviation.
C’est le cas du LH-10 de LH Aviation, une toute jeune société qui revendique le drapeau national.
Installée à Melun-Villeroche, en Seine et Marne, la Société LH Aviation fête à peine ses 10 années d’existence. Fondée en 2004 par un
ingénieur aéronautique, Sébastien Lefebvre, elle s’est spécialisée dans la fabrication d’avions légers interarmées.
A son catalogue, Ellipse, Elfe et Guardian, les 3 déclinaisons d’’une même cellule en version pilotée plus 2 autres machines similaires,
mais télécommandées: des drones.
Les différentes versions
Le LH-10 Ellipse est la plateforme légère idéale pour la sélection, l’entrainement et la formation des pilotes et des navigateurs
Le LH-10 Guardian est spécialisé dans la surveillance et la recherche. Il dispose d’une autonomie de 6h, consomme en régime
économique, 6 l/100 km et vole à une vitesse maximum de croisière de 185 noeuds. Il peut être équipés de différents types de caméras
pour la surveillance de sites, la surveillance environnementale et la surveillance urbaine. Il peut aussi servir d’outil de coordination
entre différentes structures au sol
Le LH-10 Elfe ou « Advanced Closed Air support est la version armée de l’Ellipse. Il dispose d’un système de navigation et d’armement
totalement intégré comprenant des capteurs optroniques, des illuminateurs laser et viseur de casque, ainsi que 4 points d’emport
externes pour des missile ou de bombes à visée laser. (280 max)
Dans sa version Drone, le LH-D Tactical UAV est un drone capable de rester en l’air durant 24 heures pour diverses missions de
surveillance. Il se décline en version militaire et civile.
Un des arguments «phare» déployé par ses concepteurs est le faible coût d’utilisation horaire du LH-10 Ellipse et de ses dérivés : 80
euros... Une paille au regard de son prix de vente « catalogue », autour de 1,3 M d’euros,
Travaillant principalement pour l’armée, LH Aviation élargit le cercle de ses commanditaires. Elle a fournit, fin 2014, un premier
drone d’observation à la police de l’air et des frontières (PAF) pour la surveillance des mouvements de migrants en mer Méditerranée.
Elle est également présente à l’exportation en Inde, pays avec lequel elle vient de signer un accord de transfert de compétences avec un
projet d’implantation d’une usine de fabrication d’une centaine de drones tactiques LH-D destinés au marché local.
35
Support : Le Parisien Seine et Marne
Type : Presse et Web
OJD : 265 298 visites (avril 2015)
Par : Marine Legrand
Diffusé le : 21/06/2015
Disponible sur : http://www.leparisien.fr/montereau-sur-le-jard-77950/
le-succes-des-avions-et-drones-de-lh-aviation-concus-a-villaroche-21-06-2015-4880091.php
Le succès des avions et drones de LH Aviation conçus à Villaroche
En quelques années, le petit concepteur d’avion léger LH Aviation, installé à Villaroche près de Snecma, est devenu un vrai acteur du
marché aéronautique.
Il vient de présenter au salon du Bourget ses deux nouveaux modèles : le LH-10 Elfe, un avion de guerre d’une puissance redoutable,
et le LH-D, un drone tactique.
Dès le 2e jour du salon, LH Aviation a signé la vente d’un drone de surveillance civile auprès de la police des Emirats Arabes Unis. «
L’appareil sera livré fin juillet et servira à surveiller les zones urbaines et sistes sensibles », détaille l’entreprise. Plus tôt dans l’année,
LH Aviation a conclu un contrat avec l’Inde pour la production d’une centaine de ses drones tactiques, destinés au marché indien et
qui seront construits là-bas par le biais d’une licence de fabrication.
Le succès de ce drone est lié à sa combinaison de nombreuses performances : autonomie de 24 heures, décollage et atterrissage
automatiques, charge utile supérieure à 250 kg, conception 100 % en carbone, capacité à œuvrer en condition dégradée, coût
d’exploitation à moins de 80 €/heure, l’un des moins chers du marché…
LH Aviation continue son expansion à l’étranger avec l’implantation récente d’une usine dans la banlieue de Casablanca. Une seconde
devait y voir le jour ce mois-ci mais une « mésentente » avec l’associé de la filiale marocaine « retarde » le projet.
36
Support : Le Parisien Seine et Marne Sud
Type : Presse
OJD : 30665 Exemplaires
Par : Marine Legrand
Diffusé le : 22/06/2015
Disponible sur : http://www.leparisien.fr/montereau-sur-le-jard-77950/
le-succes-des-avions-et-drones-de-lh-aviation-concus-a-villaroche-21-06-2015-4880091.php
II
ILE-DE-FRANCE
Le Parisien
Lundi 22 juin 2015
LA FERTÉ-SOUS-JOUARRE
AÉRONAUTIQUE
Ivres, les policiers s’exhibent
devant le monument aux morts
Le succès des avions et drones de
LH Aviation conçus à Villaroche
n Deux policiers nationaux ont été interpellés, samedi soir, à La Fertésous-Jouarre, pour… exhibition sexuelle devant le monument aux
morts de la commune. « Les deux agents étaient en civil car ils sont
rattachés à Paris, indique une source proche de l’enquête. Ils ont été
surpris par un riverain en train d’exhiber leurs parties génitales devant
le monument aux morts. » Le témoin a appelé la gendarmerie locale et
les deux fonctionnaires ont été placés en garde à vue dans la foulée. Ils
étaient alcoolisés au moment des faits. Ils ont été relâchés hier, en
attendant d’éventuelles suites judiciaires.
LE MÉE-SUR-SEINE
Un motard décède dans
un accident
n Terrible drame de la route, hier après-midi au Mée-sur-Seine. Un jeune
motard est décédé après avoir chuté de son deux-roues, alors qu’il
circulait sur le quai Etienne Lallia. L’accident s’est produit aux alentours
de 17 heures. Dans des circonstances qui restent à éclaircir, le
conducteur de la moto — seul sur son engin — a perdu le contrôle du
véhicule avant de tomber et de percuter, dans la foulée, une voiture qui
circulait sur le même axe. « Les secours sont arrivés sur place
rapidement mais le jeune motard est décédé sur place, malgré les
premiers soins qui lui ont été prodigués », rapporte une source policière.
La victime était un habitant du Mée-sur-Seine.
TRIBUNAL
Douze cambrioleurs présumés
jugés à partir de lundi à Meaux
n Douze prévenus, hommes et femmes, originaires d’Albanie, âgés de
22 à 39 ans, sont jugés par le tribunal correctionnel de Meaux, à partir de
ce lundi. Le procès doit durer cinq jours. Ils sont soupçonnés de
multiples vols par effraction en bande organisée dans des pavillons, en
Seine-et-Marne (Trilport, Coupvray, Saint-Pierre-lès-Nemours, Mareuillès-Meaux…), en Seine-Saint-Denis (Montfermeil) et dans le reste de la
France. On leur reproche aussi une association de malfaiteurs et du
blanchiment. Les faits remontent à fin 2013 et début 2014. Près de
130 victimes ont été recensées. Huit des prévenus seront dans le box,
tandis que les quatre autres comparaîtront libres, sous contrôle
judiciaire.
GRANDPUITS
50 caravanes s’installent
sur un site Seveso
n « Cela pose un vrai problème de sécurité ! » Parole de gendarme. Hier
après-midi, une cinquantaine de caravanes de gens du voyage se sont
installées à Grandpuits, non loin de la salle des fêtes, à proximité de la
raffinerie Total. « C’est un site Seveso, cela présente beaucoup de
risques », confirme un militaire. Il semble que le convoi vienne de SivryCourtry, un village proche dans lequel les gens du voyage étaient
installés depuis plusieurs jours. Dans la soirée, les forces de l’ordre
étaient encore occupées à comptabiliser le nombre de caravanes
présentes et à contrôler leurs occupants. Reste à savoir si la municipalité
déposera plainte pour cette occupation illégale, déclenchant ainsi une
procédure d’expulsion.
CHAMPAGNE-SUR-SEINE
Le bar-tabac et Carrefour cibles
des voleurs
n Stupeur hier matin pour le patron du bar-tabac situé au 20, rue
Georges-Clemenceau à Champagne-sur-Seine : il a été victime d’un
cambriolage. Des jeux et divers produits ont été dérobés. On ignore
encore le montant du préjudice. En revanche, la tentative de vol par
effraction commise dans la nuit de samedi à dimanche vers deux heures
du matin au Carrefour Market de Champagne, rue Jean Cocteau, a
échoué : l’alarme s’est déclenchée, le gérant est arrivé sur place et a
trouvé une porte fracturée. Les caméras de vidéosurveillance montrent
la présence de deux hommes encapuchonnés qui ont pris la fuite. Une
Le Bourget, mercredi. Sébastien Lefebvre, patron de LH Aviation, a présenté ses deux nouveaux modèles au salon du Bourget,
dont le drone LH­D, conçu et fabriqué à Villaroche. Il l’a vendu aux Emirats Arabes Unis et à l’Inde. (LP/Rémy Calland.)
EN QUELQUES ANNÉES, le petit
concepteur d’avion léger LH Aviation, installé à Villaroche près de
Snecma, est devenu un vrai acteur
du marché aéronautique. Il vient de
présenter au salon du Bourget ses
deux nouveaux modèles : le LH10 Elfe, un avion de guerre d’une
puissance redoutable, et le LH-D, un
drone tactique.
Dès le 2e jour du salon, LH Aviation a signé la vente d’un drone de
surveillance civile auprès de la police
des Emirats Arabes Unis. « L’appareil
sera livré fin juillet et servira à surveiller les zones urbaines et sites
sensibles », détaille l’entreprise. Plus
tôt dans l’année, LH Aviation a
conclu un contrat avec l’Inde pour la
production d’une centaine de ses
drones tactiques, destinés au marché
indien et qui seront construits là-bas
par le biais d’une licence de fabrication.
La Snecma met
le turbo face
à l’afflux de
commandes
n
Les visiteurs du salon
du Bourget ont pu s’en rendre
compte la semaine passée :
l’aéronautique a le vent en poupe et
les entreprises comme Snecma, qui
fournit les moteurs de nombreux
avions, font face à un afflux de
commandes sans précédent
(8 900 commandes et intentions de
commandes enregistrées rien que
pour le futur moteur Leap).
Le succès de ce drone est lié à sa
combinaison de nombreuses performances : autonomie de 24 heures,
décollage et atterrissage automatiques, charge utile supérieure à
250 kg, conception 100 % en carbone, capacité à œuvrer en condition
dégradée, coût d’exploitation à
moins de 80 €/heure, l’un des moins
chers du marché… LH Aviation
continue son expansion à l’étranger
avec l’implantation récente d’une
usine dans la banlieue de Casablanca. Une seconde devait y voir le jour
ce mois-ci mais une « mésentente »
avec l’associé de la filiale marocaine
« retarde » le projet.
MARINE LEGRAND
37
Support : La Lettre A
Type : Presse et Web
Par : xxx
Diffusé le : 25/06/2015
Disponible sur : http://www.lalettrea.fr/strategies-d-entreprise/2015/06/25/lh-aviation-aime-le-proche-orient,108079663-BRL
38
Support : Le Figaro
Type : Presse et Web
OJD : 314312 Exemplaires / 42248211 Visites
Par : Véronique Guillermard
Diffusé le : 03/07/2015
Disponible sur : http://www.lefigaro.fr/societes/2015/07/02/2000520150702ARTFIG00302-lh-aviation-invente-le-drone-low-cost.php
LH Aviation invente le drone low-cost
«Détruire un 4×4 dans le désert du Mali avec un missile de 300.000 euros, n’a pas de sens économiquement. Nos drones ne feront
pas toutes les missions militaires, mais ils permettront de réduire drastiquement les coûts. Ce qui permettra aux armées de déployer
leurs matériels les plus sophistiquées pour des opérations plus complexes.» Christophe Remy, président du conseil d’administration
du spécialiste de l’aviation légère LH Aviation, en est convaincu. Les armées doivent conjuguer efficacité opérationnelle et
économique. «Nos avions pilotés et nos drones s’adressent aux pays matures sous tension budgétaire et aux pays émergents qui
s’équipent», précise-t-il. Or, le LH D, drone développé en version civile et militaire par la PME, ainsi que le LH Elfe, une version
équipée d’un système d’armes (missiles guidés par laser) développé par Thales, «réalisent 80 % des missions classiques - surveillance
de frontières terrestres ou maritimes, appui aux forces terrestres, collecte d’informations… - pour 10 à 20 % du prix des engins
classiques», ajoute le président du conseil.
L’entreprise n’a pas encore convaincu l’armée française, mais compte déjà plusieurs clients. La direction de la Police aux frontières
(PAF) française va tester un Gardian, la version drone de surveillance civile. Les Émirats arabes unis ont, eux, décidé de doter leurs
forces de police de l’Explorair 45, un drone hélicoptère birotors civil de reconnaissance. Le contrat a été signé mi-juin. L’appareil,
destiné à effectuer des missions au-dessus des zones urbaines et des sites sensibles, sera livré fin juillet. En Inde, LH Aviation
a signé, également mi-juin, un accord de partenariat avec le groupe industriel Offset Indian Solution (OIS), pour implanter à
Bangalore une usine d’assemblage de drones tactiques sous licence. L’usine sera détenue par un joint-venture entre LH Aviation
et OIS. Elle vise une production de 100 machines avec 50 à 70 salariés. Ce qui sera loin de saturer les besoins en drones tactiques
locaux, estimés à 500 exemplaires.
«Nos avions pilotés et nos drones s’adressent aux pays matures sous tension budgétaire et aux pays émergents qui s’équipent»
Christophe Remy, président du conseil d’administration de LH Aviation
LH Aviation a aussi installé son «hub africain» au Maroc. «Nous avons construit une ligne d’assemblage pour une version adaptée
du LH D aux missions de surveillance civile. Notre site marocain nous sert de tremplin vers les autres marchés africains», souligne
Christophe Remy. La gamme d’appareils développés par LH Aviation pourrait intéresser des pays voisins, comme la Tunisie, qui ont
des besoins immenses de surveillance de leur territoire, des frontières en passant par les plages et les centres urbains.
La jeune entreprise de 10 millions d’euros de chiffre d’affaires et 50 salariés, affiche de grandes ambitions. Elle apporte de facto une
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solution «low-cost» mais de qualité, et complémentaire aux matériels classiques, aux problèmes de financement des armées et des
forces de l’ordre.
«Parti de zéro»
À l’origine du concept, un jeune ingénieur, Sébastien Lefebvre (32 ans) qui a créé LH Aviation en 2010. Il a débuté à Lille dans
un Algeco transformé en bureau. Quelques financements privés plus tard, il s’est installé à Villaroche (Seine-et-Marne) et y a
ouvert sa première usine. «Il est parti de zéro et a dessiné son premier avion, le LH 10, un avion-école monomoteur biplace»,
raconte le président du conseil de surveillance, qui représente également le fonds Magellan Industries. En 2013, celui-ci a décidé
d’accompagner le développement de LH Aviation et en a pris le contrôle (60 % du capital). Le business plan a évolué. L’idée est
d’utiliser la plateforme du LH 10 Elipse, la version école, pour décliner une gamme d’avions et de drones à vocation militaire et
civile. Grâce à son design et aux matériaux utilisés (fibre de carbone), le LH 10 est «naturellement furtif». Rapide, grâce à son
moteur placé à l’arrière, cet appareil à hélice est discret. Robuste, il n’a besoin que de 350 mètres pour décoller, même de pistes
sommaires et par tout temps. Et il se transporte en container standard grâce à ses ailes démontables. Frontex, l’agence européenne
de gestion des frontières, s’y intéresse.
40
Support : L’Usine Nouvelle
Type : Web
OJD : 1300000 Visiteurs Uniques par mois
Par : Olivier James
Diffusé le : 09/07/2015
Disponible sur : http://www.usinenouvelle.com/article/lh-aviation-veutproduire-ses-drones-bas-couts-dans-le-monde-entier.N340873
LH Aviation veut produire ses drones bas coûts dans le monde entier
La PME francilienne LH Aviation est en passe de s’implanter en Inde pour produire des drones de surveillance légers. Ses dirigeants
comptent étendre davantage son empreinte industrielle.
Après le Maroc, l’Inde ! Pas à pas, LH Aviation se déploie et internationalise la production de ses avions légers : la PME francilienne a signé récemment un accord de
partenariat avec le groupe industriel Offset
Indian Solution (OIS). Il prévoit l’installation d’une usine qui pourra produire une
centaine de drones, militaires et civils, dans
les six années à venir. Les dirigeants de
cette entreprise spécialisée dans l’aviation
légère ne comptent pas s’arrêter en si bon
chemin. «Nos produits sont adaptés aux
marchés émergents, explique Christophe
Rémy, président du conseil d’administration. Nous sommes en discussion pour
nous implanter en Amérique du Sud, en
Afrique et dans plusieurs pays asiatique».
L’aventure internationale de LH Aviation,
créé en 2004 par son actuel pdg Sébastien Lefebvre et basé à Melun-Villaroche
(Seine-et-Marne), avait pourtant mal commencé. Rappel des faits : son projet d’installation au Maroc lancé en 2014 vire aujourd’hui
à la foire d’empoigne avec l’associé marocain Mohsine Bennani-Karim. Toutefois, pour Christophe Rémy, l’action en justice en cours
«ne devrait pas mettre fin au projet» de construction d’une usine d’avions légers. La PME pourrait même sortir plus forte de cette
mauvaise passe. «Nous n’allons plus à l’étranger qu’avec de vrais professionnels de l’aéronautique et de l’armement, assure Christophe Rémy en faisant référence à l’associé marocain. Un marchand de chemise restera toujours un marchand de chemise».
UN MODÈLE QUI SE VEUT COMPÉTITIF
En Inde, LH Aviation va s’établir à Bangalore, sans bourse délier. La PME, qui emploie aujourd’hui 50 salariés pour un chiffre d’affaires qui pourrait atteindre 10 millions d’euros cette année, compte se déployer à l’international par la vente de licences. La future
usine indienne s’étendra sur 200 m² et emploiera une cinquantaine de personnes. Elle représente pour l’industriel indien Offset
Indian Solution un investissement d’environ 20 millions d’euros. Les drones serviront avant tout à la surveillance des frontières et
des côtes. «Le marché indien est estimé à 500 drones pour les dix prochaines années, chiffre Christophe Rémy. Notre solution légère
se veut complémentaire face aux avions de chasse et aux hélicoptères».
C’est sur ce même modèle industriel que les dirigeants de LH Aviation espèrent s’implanter un peu partout dans le monde. Une
stratégie qui permet à la PME de se développer sans avoir à procéder à d’importants investissements industriels. Après l’Inde, quels
autres pays seront séduits par ces petits drones légers ? «Leur compétitivité constitue l’argument choc.» , avance Christophe Rémy.
Reste à chacun de nos clients à munir nos plateformes avec leurs propres capteurs». A l’heure de la baisse généralisée des budgets de
défense, ce modèle pourrait faire des émules.
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ANNEXEs
Communiqué de presse, Coup d’arrêt au lancement du LH-10 M 16/04/2015
p.43
Communiqué de presse, L’enquête qui conforte la position de LH Aviation 28/04/2015
p.44
Communiqué de presse, Du 15 au 21, juin, LH Aviation présente au Bourget 11/06/2015
son drone tactique LH-D et le LH-10 Elfe, son avion d’intervention
p.45
Communiqué de presse, Signature d’un MOU pour l’implantation d’une chaîne 15/06/2015
de fabrication du drone tactique LH-D en Inde
p.47
Press release, Signing of an agreement (MOU) for manufacturing tactical LH-D UAVs 06/15/2015
in India
p.49
Communiqué de presse, LH Aviation développe ses drones professionnels 17/06/2015
avec Diginext et vend à la police des Emirats Arabes Unis !
p.51
Press release, LH Aviation sells a civil surveillence UAV to the United Arab Emirates 06/17/2015
police forces and signs a strategic partnership with Diginext.
p.52
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Coup d’arrêt au lancement du LH-10 M
en raison de désaccords importants entre LH
AVIATION et M. Mohsine BENNANI-KARIM,
le président de la filiale marocaine
A propos de LH Aviation
Membre du GICAT et du pôle ASTech,
LH Aviation est un constructeur
aéronautique français, basé sur
l’aérodrome de Melun-Villaroche.
Soutenue par les fonds d’investissement
aéronautiques de Magellan Industries,
la société produit une gamme complète
d’aéronefs allant de l’avion LH-10
Ellipse, biplace en tandem tout carbone
dédié aux marchés professionnels,
aux drones contrarotatif ExplorAir 45
et tactique LH-D. Le LH-10 Ellipse
est le premier avion en catégorie
aviation légère à permettre le travail
aérien véritablement multi-missions
et met le concept de l’avion « plug &
play » à la portée de tous les Etats.
Le LH-10 Ellipse combine efficacité
opérationnelle, haute technologie,
optimisation d’utilisation et maîtrise
des coûts.
LH Maroc est une filiale à 51% de LH
Aviation France.
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LH Aviation, maison mère de LH Aviation Maroc, dont elle est actionnaire à
51% , a le regret de confirmer l’arrêt momentané de son projet de construction
à Nouaceur de la première usine d’avions du Maroc.
Toutefois, contrairement à ce qu’indique le communiqué de presse de LH Maroc
du 4 février 2015 qui a été diffusé à l’insu de sa maison mère, les désaccords très
importants entre LH Aviation et M. Mohsine Bennani-Karim , ainsi que son
absence pendant plusieurs mois, sont bien à l’origine de ces retards.
LH AVIATION France, a déjà investi 3 millions d’euros dans sa filiale LH Maroc
et a recruté une quinzaine de collaborateurs sur le site de LH Maroc à Tit Mellil
qui sont déjà formés aux savoir-faire en matière de matériaux composites de
qualité aéronautique. Ils travaillent à l’assemblage d’une version électrique du LH10, tandis que la fabrication du LH-10 M, premier avion entièrement fabriqué au
Maroc, n’a pu encore démarrer en raison des désaccords persistants.
Néanmoins, malgré ces divergences, LH AVIATION réaffirme son attachement à
son projet d’usine marocaine pour la fabrication du LH-10 M qui pourrait être le
premier avion entièrement fabriqué au Maroc.
CONTACTS PRESSE
Alexia Chiche
[email protected]
06 15 34 18 30
Philippe Sclavon
[email protected]
06 70 29 51 29
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L’enquête qui conforte la position de LH Aviation
A propos de LH Aviation
membre du GicAT et du pôle AsTech,
LH Aviation est un constructeur
aéronautique français, basé sur
l’aérodrome de melun-Villaroche.
soutenue par les fonds d’investissement
aéronautiques de magellan industries,
la société produit une gamme complète
d’aéronefs allant de l’avion LH-10
ellipse, biplace en tandem tout carbone
dédié aux marchés professionnels,
aux drones contrarotatif explorAir 45
et tactique LH-d. Le LH-10 ellipse
est le premier avion en catégorie
aviation légère à permettre le travail
aérien véritablement multi-missions
et met le concept de l’avion « plug &
play » à la portée de tous les etats.
Le LH-10 ellipse combine efficacité
opérationnelle, haute technologie,
optimisation d’utilisation et maîtrise
des coûts.
LH maroc est une filiale à 51% de LH
Aviation France.
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Le 24 avril, le site d’information « La diplomatie » a publié un article documenté
mettant en exergue les errements de m moshine Bennani-Karim dans la conduite
de ses affaires et la mauvaise image qu’il confère à la communauté marocaine des
affaires au moment où le royaume est engagé dans de vastes plans d’investissement
et de développement.
pour en prendre connaissance :
http://www.ladiplomatie.fr/2015/04/24/mohsine-bennani-karim-lhommequi-met-dans-lembarras-le-royaume-du-maroc/
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Le LH-10 ELFE
Du 15 au 21 juin, LH Aviation présente au Bourget
son drone tactique LH-D et le LH-10 Elfe,
son avion d’intervention.
A propos de LH Aviation
Membre du GICAT et du pôle ASTech,
LH Aviation est un constructeur
aéronautique français, basé sur
l’aérodrome de Melun-Villaroche.
Soutenu par le fonds d’investissement
aéronautique de Magellan Industries,
la société produit une gamme complète
d’aéronefs allant de l’avion LH-10
Ellipse, biplace en tandem tout carbone,
dédié aux marchés professionnels aux
drones contrarotatifs ExplorAir 45 et
drone tactique LH-D. Le LH-10 est le
premier avion en catégorie aviation
légère à permettre un travail aérien
véritablement multi-missions et à
mettre le concept de l’avion « plug & play
» à la portée de tous les états. Le LH-10
combine efficacité opérationnelle, haute
technologie, optimisation d’utilisation
et maîtrise des coûts.
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Apres avoir présenté en février sa gamme de drone au salon AeroIndia à
Bangalore, LH aviation mettra en lumière lors du Salon International de
l’Aéronautique et de l’Espace 2015, deux modèles particulièrement adaptés aux
besoins des marchés militaires qui sont stratégiques pour le développement de
l’avionneur français.
Le LH-D est un drone tactique avec option OPV, issu directement de la
plateforme technologique du LH-10. De conception 100% carbone, il bénéficie
de toute l’expertise et des innovations techniques développées et testées sur le
LH-10, qui lui assurent une très faible signature radar et maximisent le rapport
poids-puissance de la machine en permettant l’emport d’une charge utile
supérieure à 250 kg en toute sécurité avec une autonomie de 24 heures.
Equipé de systèmes embarqués de dernière génération développés en partenariat
avec les plus grands équipementiers électroniques, le LH-D combine efficacité
opérationnelle, haute technologie, optimisation d’utilisation et maîtrise des
coûts. Il est livré avec sa station sol NRBC à la norme STANAG, conforme aux
standards OTAN.
Capable d’opérer depuis un terrain sommaire, le LH-D peut être mis-en
œuvre dans des conditions dégradées et dirigé par une équipe de seulement 3
personnes. >>
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Le LH-10 ACAS (Advanced Close Air Support), baptisé « ELFE » en référence
aux créatures légendaires de la mythologie qui symbolisaient les forces de la
nature, est d’une puissance redoutable. Adroit, léger et performant, c’est la
plateforme d’intervention de LH Aviation, développée en coopération avec
Thales pour son système d’armes.
Un système de navigation et d’armement totalement intégré comprenant
capteurs optroniques, VU/IR classiques, illuminateurs laser et viseur de casque,
lui confère une capacité nocturne d’arrêt foudroyant, d’objectifs mobiles
dangereux et difficiles à repérer y compris en milieu végétalisé, grâce à son
armement à guidage laser (missiles et bombes)
Projetable rapidement, en cas de besoin, sur n’importe quel théâtre d’opération
grâce à son système unique de KC20/shelter mission équipé, avec l’ensemble
des équipements nécessaires à sa mission (système de préparation de mission,
consommables, outillages, armements) il peut être totalement opérationnel
moins de 1h après son déchargement, pour remplir les missions les plus variées.
Retrouvez LH Aviation au Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace
du 15 au 21 juin 2015 - stand B4 (face au stand presse).
Le drone LH-D
Le LH-10 en opération
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Le drone LH-D
Signature d’un MOU pour l’implantation
d’une chaîne de fabrication du drone tactique LH-D en Inde
A propos de LH Aviation
Membre du GICAT et du pôle ASTech,
LH Aviation est un constructeur
aéronautique français, basé sur
l’aérodrome de Melun-Villaroche.
Soutenu par le fonds d’investissement
aéronautique de Magellan Industries,
la société produit une gamme complète
d’aéronefs allant de l’avion LH-10
Ellipse, biplace en tandem tout carbone,
dédié aux marchés professionnels aux
drones contrarotatifs ExplorAir 45 et
drone tactique LH-D. Le LH-10 est le
premier avion en catégorie aviation
légère à permettre un travail aérien
véritablement multi-missions et à
mettre le concept de l’avion « plug & play
» à la portée de tous les états. Le LH-10
combine efficacité opérationnelle, haute
technologie, optimisation d’utilisation
et maîtrise des coûts.
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Après sa première participation au salon AéroIndia 2015, en partenariat
avec Offset India Solution (OIS-AT), où LH Aviation a présenté son drone
tactique LH-D et son drone contre rotation ExplorAir45, les deux entreprises
viennent de signer un contrat (MOU) pour collaborer à l’implantation en Inde
d’une usine de fabrication du drone tactique LH-D au travers une licence de
fabrication. Ce projet devrait permettre à OIS de produire localement une
centaine de drones tactiques LH-D, destinée au marché indien.
Le LH-D est un drone tactique
multi capteurs, à décollage
et atterrissage automatique,
développé à partir de la plateforme
LH 10. D’une charge utile de
280 Kg pour une autonomie de
24h, il offre à ses utilisateurs une
large gamme de vitesse allant de
61 kts à 185 kts, et dispose de la
capacité d’être reconfiguré en
version piloté pour les convoyages
ou les missions au-dessus des zones urbaines, ou pour faciliter les missions
d’entrainements ou les tests de systèmes. Déployable rapidement grâce à ses ailes
démontables, il peut être projeté sur n’importe quel terrain d’opération et mis en
condition en moins d’une heure. Son coût d’exploitation à moins de 80 € l’heure
de vol, fait du LH-D le drone français le plus économique du marché.
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«Nous avons était réellement étonnés par les capacités du LH-D de LH Aviation
quand on le compare aux autres drones tactiques du marché», a déclaré Mr
Bandari, Président du groupe OIS-AT. « Le LH-D a reçu lors de AéroIndia 2015,
un accueil très favorable de la part des autorités militaires et civiles Indiennes,
d’autant plus qu’il sera fabriqué localement ce qui est un véritable atout sur le
marché Indien »
«LH Aviation a décidé, pour s’implanter à l’étranger, de se concentrer exclusivement
sur des partenariats de fabrication et de transfert de savoir-faire, avec des
partenaires industriels crédibles, professionnels des métiers de la défense et de la
sécurité, comme OIS-AT» déclare de son côté Sebastien Lefebvre, Président de
LH Aviation.
OIS-AT est une société Indien spécialisé dans les programmes d’offset depuis
plus de 10 ans. OIS-AT est directement fabriquant ou distributeur d’une large
gamme de produits technologiques et de services dans les domaines de la
Défense, la Sécurité intérieure et l’Aviation Civile.
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LH-D UAV
Signing of an agreement (MOU) for manufacturing
tactical LH-D UAVs in India
About LH Aviation
Member of GICAT and ASTech
pole, LH Aviation is a French aircraft
manufacturer located on the airfield
of Melun-Villaroche, near Paris.
Supported by the aviation investment
fund Magellan Industries, the company
produces a full range of aircrafts from
the LH-10 Ellipse, an all-carbon tandem
two-seater, dedicated to professional
markets, to the Explorair 45 rotary
drone and the LH-D tactical UAV. The
LH-10 Ellipse is the first aircraft in
light aviation category to enable multimission and to put the concept of a
«plug & play» aircraft within the reach
of all countries. The LH-10 Ellipse
combines operational efficiency, high
technology, optimum utilisation and
cost control.
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After its first participation at the Bangalore Air Show AeroIndia 2015, in
partnership with OIS-Advanced Technology Pvt. Ltd (OIS-AT), where LH
Aviation presented its LH-D tactical UAV and ExplorAir45 rotary wing UAV,
LH Aviation has signed an agreement (MOU) with OIS-AT to cooperate in
establishing in India a manufacturing plant for the LH-D tactical UAV through
an industrial license. This project should allow OIS to produce locally a hundred
tactical LH-D UAVs, intended to the Indian market.
The LH-D is a multi-sensor
tactical UAV, with automatic
take-off and landing capabilities,
developed from the LH-10
platform. With a payload of
280 kg and an autonomy of 24
hours, it offers its users a wide
range of speeds from 61 knots
to 185 knots, and has the ability
to be reconfigured as a manned
controlled version for escorts or missions over urban areas or to facilitate training
missions or systems testing. It can be deployed quickly thanks to its removable
wings, it can also be sent onto any field of operation and be ready in less than one
hour. Its operating cost of less than € 80 per hour of flight makes the LH-D the
most cost-effective French UAV on the market.
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ABOUT OIS-AT
OIS-Advanced Technology Pvt. Ltd
focuses on research, development
and manufacturing of advanced
technologies across Defence, Homeland
Security and Aerospace. It is a systems
integrator of advanced technology
based solutions for Homeland Security
and as a Radar House it is developing
world leading radar systems. OIS-AT
is an eligible IOP-Indian Offset Partner
and is ISO 9001:2008, ISO 14001:2004
and OHSAS 18001:2007 certified.
«We were really amazed by the capabilities of LH Aviation LH-D when compared
to other tactical UAVs on the market» said Mr Bhandari, Chairman of the OIS
group. “The LH-D displayed at AeroIndia 2015 was very well received by the
Indian military and civilian authorities, especially since it will be manufactured
locally which is a real advantage for the Indian market”.
“LH Aviation decided for its expansion abroad to focus exclusively on
manufacturing partnerships and transfer of know-how with credible industrial
partners, professionals of defence and security sectors, such as OIS-AT” declared
Sebastien Lefebvre, President of LH Aviation.
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CONTACT
Alexia Chiche
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LH Aviation développe ses drones professionnels avec
Diginext et vend à la police des Emirats Arabes Unis !
A propos de LH Aviation
Membre du GICAT et du pôle ASTech,
LH Aviation est un constructeur
aéronautique français, basé sur
l’aérodrome de Melun-Villaroche.
Soutenu par le fonds d’investissement
aéronautique de Magellan Industries,
la société produit une gamme complète
d’aéronefs allant de l’avion LH-10
Ellipse, biplace en tandem tout carbone,
dédié aux marchés professionnels aux
drones contrarotatifs ExplorAir 45 et
drone tactique LH-D. Le LH-10 est le
premier avion en catégorie aviation
légère à permettre un travail aérien
véritablement multi-missions et à
mettre le concept de l’avion « plug & play
» à la portée de tous les états. Le LH-10
combine efficacité opérationnelle, haute
technologie, optimisation d’utilisation
et maîtrise des coûts.
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Dans le cadre du développement de sa gamme de drones professionnels,
LH AVIATION et la société DIGINEXT ont décidé de mettre en place un
partenariat stratégique.
La société DIGINEXT est fournisseur de Systèmes Opérationnels, de Systèmes
de Simulation destinés à la conception et au test, ainsi que de Solutions pour
l’apprentissage, la formation et l’entraînement.
DIGINEXT a développé la solution innovante CRIMSON de centre de
commandement pour le maintien de la sécurité et la gestion de crise.
Les 2 entreprises ont décidé de travailler ensemble afin de proposer à leurs clients
une solution unique 100% française, totalement intégrée de drones interfacés
avec un système d’informations collaboratif d’aide à la décision des différents
niveaux de commandements des organisations impliquées dans les opérations de
maintien de sécurité et de gestion de crise. Outre une utilisation opérationnelle, le
système permet de faire de l’entrainement et de la préparation de mission.
Signe de la pertinence de l’offre de LH Aviation, hier, mardi 16 Juin, au Salon du
Bourget, LH Aviation a signé la vente d’un 1er drone de surveillance civile à la
police des Emirats Arabes Unis (EAU). La machine sera livrée pour fin Juillet.
Equipée d’une boule optronique, elle est destinée à effectuer des missions de
surveillance de zones urbaines et de sites sensibles, et peut s’interfacer avec un
système opérationnel d’aide à la décision.
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LH Aviation sells a civil surveillance UAV
to the United Arab Emirates police forces
and signs a strategic partnership with Diginext.
About LH Aviation
Member of GICAT and ASTech
pole, LH Aviation is a French aircraft
manufacturer located on the airfield
of Melun-Villaroche, near Paris.
Supported by the aviation investment
fund Magellan Industries, the company
produces a full range of aircrafts from
the LH-10 Ellipse, an all-carbon tandem
two-seater, dedicated to professional
markets, to the Explorair 45 rotary
drone and the LH-D tactical UAV. The
LH-10 Ellipse is the first aircraft in
light aviation category to enable multimission and to put the concept of a
«plug & play» aircraft within the reach
of all countries. The LH-10 Ellipse
combines operational efficiency, high
technology, optimum utilisation and
cost control.
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Yesterday, Tuesday 16th of June, LH AVIATION signed for the sale of a civil
surveillance UAV to the United Arab Emirates (UAE) police forces. The
machine will be delivered end of July 2015. Equipped with an optronic ball, it is
used to do surveillance missions in urban areas and sensitive sites, and can also
interface itself with a decisional operational system tool.
In the frame of the development of its professional UAVs range, LH AVIATION
and the company DIGINEXT have decided to put in place a strategic
partnership.
DIGINEXT developed the innovative solution CRIMSON command center for
the maintenance of security and crisis management.
The two companies decided to work together to offer their customers a unique,
100% French solution, consisting of a totally integrated interfaced UAV with a
collaborative information system to help with the decision making at the different
commanding levels of the organizations involved in operations of security
maintaining and crisis management. Besides its operational use, the system
allows for the training and mission preparation.
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