presse/"best of" critique de theatre

PRESSE/"BEST OF" CRITIQUE DE THEATRE
Olivier Berger, Die Südostschweiz, 19.8.04: 1692 ist 1952 ist 2004 *
"... La mise en scène après la pièce d'Arthur Miller impressionne avec une excellente affiche ... une œuvre d'art
totale ... Brest et Ulli nous offrent un puissant spectacle ...”
Daniele Musconico, NZZ, 14.12.01 : Kettensägen-Massaker nach Derrida *
"... Jusqu'à ce que Pascal Ulli prenne la scène; avec sa performance comme travesti Arty le théâtre célèbre une heure
de gloire ...”
Review by Robin Eisgrau on www.OffOffOff.com (20 August 2001):
„... Swiss actor Pascal Ulli successfully adapts Jim Carroll's "The Basketball Diaries," ... As a book, "The
Basketball Diaries" is an engrossing, colorful read as Carroll's flair for language blooms on every page. The film
version of the book (starring Leonardo DiCaprio and released in 1995) was an anachronistic mess. As crafted for the
stage by Mr. Ulli, "The Basketball Diaries" is a vivid, gripping, long hard look at what happens when one becomes
addicted to heroin. Ulli is very effective as the smacked-out Carroll; speaking in a dreamlike slur, his eyes rolling as
his hair falls over his forehead. He also sweats like a junkie ... Ulli is a very gifted actor and he takes command of
the stage here. If you've read the book, you'll find that this production captures the vibrant flavor found on the page.
If you haven't read it, Pascal Ulli's "The Basketball Diaries" may make you want to pick up a copy ..."
Review by Gutman on www.curtainup.com (August 2001):
„... Pascal Ulli inhabits the body of diarist Jim Carroll about as thoroughly as we could hope for ... It's a compelling
if not pretty portrait, more personal than the film, and makes surprisingly good theater, thanks in large part to the
boyish faced Ulli's efforts ..."
Constantin Seibt, WoZ, 1.04.99 : Reiner, unverschnittener Stoff*
„... Ulli joue aussi sec que la bouche le matin après un excès. Il semble éprouvant vraie, un coup de poing dans
l'estomac – et en même temps léger comme une plume au vent. Diable! Le regarder est une expérience physique elle se traduit comme un virus: la cupidité, de l'anxiété, de la douleur physique. Wow. On s'attendait à quelque chose
- un échec, une présentation intelligente - mais pas la meilleure performance de sa carrière! On attendait une future
star, on a trouvé un honnête travailleur, un grand acteur ..."
Tobi Müller, Tagesanzeiger der Stadt Zürich, 31.03.99 : Drogenwahnsinn*
„... Pourquoi cette petite production convainc? Parce que nous avons devant nous le "Amérique-Ulli", qui nous
raconte crédible quelque chose sur l'art dramatique d'un pays lointain. Ulli ne tombe pas dans les poses ni dans
l'embarras, car il est tout simplement trop doué, comme dans le film à succès "Nacht der Gaukler" et comme chef de
file de la "OFF OFF Bühne" de Zurich. Tranquillement, très intime et toujours sympathique Ulli nous entraîne dans
le destin de son personnage ... Là déjà, nos poches sous les yeux commencent secrètement à palpiter, et nous
oublions brièvement qui nous sommes ..."
Frankfurter Allgemeine Zeitung, 7.12.98 : Wanderpokal*
„... La production la plus intéressante du théâtre libre dans les pays germanophones était réalisée par la "OFF OFF
Bühne" de Zurich. Au festival "Impulse", que le Secrétariat de la Culture de Rhénanie du Nord-Westphalie a
organisé pour la septième fois, leur production "Forever Godard" est sorti vainqueur et a gagné le trophée et un
enregistrement par ZDF/3sat ..."
Gerda Wurzenberger, NZZ, 18.7.98 : "Don Juan und Faust" vom Theater am Rande*
„... Mouvement dans l'événement difficile sur scène apporte seulement le menaçant chevalier noir (la seule lueur
d'espoir: Pascal Ulli), un produit androgyne du diable ..."
Simone Meier, Tagesanzeiger, 18.7.98 : Grund zur Verzweiflung*
„... Très bon est Pascal Ulli comme fantôme: Le mal coule de sa bouche et son corps, sans aucun effort, comme si il
avait dans lui son siège depuis toujours ..."
Oliver Classen, Zürichseezeitung, 18.7.98 : Tumbe Titanen*
"... Le chevalier maléfique, interprété par la jeune star Pascal Ulli - sataniquement nasal - dans le meilleur style de
Brandauer, sait vous convaincre: Comme il sert d'abord le vin à Faust et ensuite les mots pour le pacte, laisse
personne indifférent dans l'auditoire complet ..."
( * ) : Traduction
PRESSE/"BEST OF" CRITIQUE DE FILM
TV täglich, 15.4.09 : Wirklich Mensch!*
" ... Mike Eschmann nous présente trois protagonistes, qui jouent excellents et nuancés - Mona Petri, Pascal Ulli et
Fredy le chien ... un must ... "
TELE, Nr. 46 / 04 : Alles wegen Hulk mit Pascal Ulli und Miriam Stein*
"... Une production de la télévision suisse, qui convainc sur toute la ligne. Le film a une propre mise en scène, est
joué excellent et a une histoire émouvante ...”
CINEMA, 2004 : Alles wegen Hulk*
„... Le jeune banquier est interprété convaincant par Pascal Ulli avec une présence souple et une instabilité nerveuse
... les moments calmes surmontent particulièrement Miriam Stein et Pascal Ulli très convaincants. Même dans la
soutane l'acteur bernois ne ridiculise jamais son caractère ... "
BLICK, 15.11. 04 : Ein wirklich perfektes Team*
„... Alles wegen Hulk est un "road movie" proprement mis en scène, qui vit principalement à travers ses deux
personnages principaux. Pascal Ulli dans le rôle du banquier et Miriam Stein comme un étudiant sont une équipe
parfaite... "
Nordwest Zeitung, 17.9.99 : Mit dem Idol allein zu Haus*
„... mais Pascal Ulli est très bien. Mystérieux et aussi un peu dangereux, il offre une performance assez cool..."
Sächsische Zeitung, 16.9.99 : Sex, Gewalt und Drogen*
„... L'érotique Pascal Ulli comme Ray est un casting remarquable. Convaincant il mime le chanteur de rock
excentrique, qui est un rêveur aux manières douces à l'intérieur ..."
WoZ, 16.8.96 : Grausame Maschinerie von Macht und Intrigen*
„... Koska, un petit comptable - formidablement joué par Pascal Ulli - est ..."
Variety, 7.10.96 : The Silence Within (Nacht der Gaukler ) *
„... le cinéma suisse reçoit son premier authentique low-budget film "Nacht der Gaukler", un thriller plaisant, demisurrealisique et Kafkaesque, qui a plus d'énergie et d'innovation que l'ensemble de toutes les productions suisses
d'une année ...les performances des trois acteurs principaux sont convaincants ..."
Le Matin, 18.10.96 : Rendez-vous des "Stars de demain"
„... treize espoirs, dont le Suisse Pascal Ulli, brillant, il faut l'avouer, dans "Nacht der Gaukler"..."
Tribune de Genève, 23.10.96 : Le Suisse Pascal Ulli a déjà joué un psychopathe se prenant pour Delon
„... De tous les espoirs présents cette anneé au Festival, le Suisse Pascal Ulli est l'un des plus passionnés ..."
Tagblatt der Stadt Zürich, 30.1.97 : Vom Häschen zum Jungstar*
„... la mentalité vis-à-vis du travail de Boris Becker, le visage de Alain Delon : Pascal Ulli, gagnant du prix
"meilleur espoir européen" pour son interprétation dans "Nacht der Gaukler", prend son chemin vers le top ..."
( * ) : Traduction