Financer sa reprise avec HSBC
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Financer sa reprise avec HSBC
Financer sa reprise avec HSBC Marché des Entreprises Sommaire • Le Groupe HSBC : la banque des entreprises • Le réseau international du Groupe HSBC • Pourquoi choisir HSBC en France ? • HSBC Partenaire du CRA • Analyse du dossier • La décision d’octroi de crédit • D’une manière générale • Composantes d’un financement • Qui décide ? • Nos conseils aux repreneurs Le Groupe HSBC : la banque des entreprises Votre Banque partout dans le monde et en France Le croissance du Groupe résulte du rapprochement de banques de proximité, créant un réseau sans pareil de plus de 8 000 implantations dans 87 pays en Europe, en Asie-Pacifique, en Amérique du Nord et du Sud, au moyen-Orient, en Afrique. Fondé en 1894, le CCF et ses filiales rejoint le Groupe HSBC en juillet 2000. Le Groupe en France offre aujourd’hui un service de proximité à ses 1,1 million de clients dont 150 000 clients entreprises, associations et institutionnels. En novembre 2005, le CCF, la Banque Hervet, l’UBP, la Banque de Picardie et la Banque de Baecque Beau adoptent la marque HSBC en France. Ce qui représente un réseau de 400 agences. Le Marché des Entreprises est à la base du Groupe HSBC Créé en 1865, le Groupe finançait à l’origine la croissance du commerce entre la Chine et l’Europe. HSBC a aujourd'hui 3 millions de clients Entreprises accompagnés par un réseau de 8 600 chargés d’affaires Entreprises dans 62 pays et territoires dont : Brésil, Canada, Chine et Hong-Kong, Inde, Mexique, Singapour, UK, USA HSBC est l’un des plus grands organismes bancaires et financiers au monde avec plus de 128 millions de clients, dont 3 millions de clients entreprises. Le Groupe HSBC : 312 000 collaborateurs et plus de 8 000 implantations dans 87 pays et territoires. 3 Le réseau international du Groupe HSBC Le Groupe HSBC a 300000 collaborateurs et plus de 8000 implantations dans 88 pays. 4 Pourquoi choisir HSBC en France ? Une offre complète de qualité pour devenir votre principal partenaire bancaire en France et à l’étranger. Une organisation sur mesure pour les TPE - PME Afin de mieux répondre aux attentes de ses clients entreprises en leur apportant des solutions adaptées à leurs besoins ainsi que toute la disponibilité et l’expertise de ses chargés d’affaires, HSBC a créé les Centres d’Affaires Entreprises (CAE) et les Pôles Entrepreneurs PE), des pôles dédiés au conseil et à la gestion des TPE-PME ainsi que de leurs filiales. HSBC compte ainsi 51 Centres d’Affaires Entreprises sur le territoire français (29 à Paris et en région parisienne et 22 en Province) et 15 Pôles Entrepreneurs (10 à Paris et RP et 5 en province). Un interlocuteur expert 600 chargés d’affaires Entreprises et 300 chargés d’affaires Entrepreneurs qui bénéficient de l'appui de plus de 200 experts, lorsque vous souhaitez aborder des domaines plus spécifiques tels que la gestion de trésorerie, le commerce international, le crédit-bail et plus largement la gestion de flux domestiques et internationaux. Un accompagnement dans de nouveaux marchés HSBC en France vous accompagne vers de nouveaux marchés en vous proposant son savoir-faire et un accès simple à son réseau mondial. 5 HSBC Partenaire du CRA Le CRA et HSBC ont signé un partenariat pour faciliter la transmission d’entreprises : HSBC et le CRA ont mis en place une procédure vous assurant d’obtenir un rendez-vous dans les 48 heures. Pour optimiser votre rendez-vous, HSBC met également à votre disposition sur le site du CRA un dossier de demande de financement à télécharger et imprimer. Le support « homologué » HSBC vous aide à nous remettre un dossier complet et facilite une prise de décision rapide. 6 Analyse du dossier Compréhension du projet Dossier + Entretien Un projet Un homme Une cible 7 La décision d’octroi de crédit La décision d’octroi de crédit sera prise sur la base d’un dossier complet permettant une analyse critique : De la valorisation de la cible (contexte de l’opération, méthodes retenues). Du modèle économique du client (positionnement de l’affaire sur son marché, récurrence de l’activité, risques liés à cette dernière). De la qualité de l’équipe de management et de sa capacité à développer l’affaire selon les hypothèses retenues dans le « business case ». Des éventuels crédits d’accompagnement nécessaires au développement de la ligne (lignes CT, crédits d’investissements). Des prévisions et du business plan de l’opération, en intégrant un cas « dégradé ». 8 D’une manière générale La capacité de la cible à assurer le service de sa dette d’acquisition doit être appréciée à l’aune de ses cash-flows des exercices passés et non dépendre de projections de croissance trop optimistes : le service de la dette (capital et intérêts) ne doit pas excéder 70 % du résultat net moyen, corrigé d’éventuels éléments exceptionnels, des 3 derniers exercices. Le recours à l’effet de levier de l’endettement doit être raisonnable : la dette d’acquisition ne doit pas excéder 3 fois l’EBE . Le repreneur doit faire un effort significatif d’autofinancement : la dette d’acquisition ne doit pas excéder plus de 60 % de la valorisation de la cible. La durée du financement ne devra pas excéder 7 années. 9 Composantes d’un financement Composition du taux Coût du financement. Coût de la liquidité. Coût du risque = marge. Quelles garanties usuelles ? Nantissement de FDC ou des titres de la cible selon les cas. Caution personnelle. Assurance emprunteur homme clé. Contre-garantie (Oséo et SIAGI). 10 Qui décide ? Repreneur Dossier Rendez-vous banque Chargé d’affaires Décision par le directeur du CAE ou du Pôle Entrepreneur avec avis de sa direction de région La plupart des dossiers si : 1. Cible cliente HSBC 2. Respect des ratios précédents A défaut Direction du crédit • A savoir : Une mutualisation du risque est systématiquement recherchée (Oséo/SIAGI/confrères). 11 Nos conseils aux repreneurs Si vous n’êtes pas issu du métier de la cible, justifiez votre choix et expliquez votre stratégie. Pistes pour compléter votre apport : proches, prêt d’honneur, crédit vendeur voir capital risque. Outre la trésorerie et le financement du BFR, conserver une capacité de financement pour les investissements courants ou de renouvellement de la cible. 12