Bidou Jean, bidouilleur

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Bidou Jean, bidouilleur
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Un roman à étudier, un écrivain à découvrir
Bidou Jean, bidouilleur
Alain Denis
« Il y a quelque chose du goût de la dérision, du chant de
désespoir et de la langue inimitable de Réjean Ducharme
dans Bidou Jean, bidouilleur. »
— Suzanne Giguère, Le Devoir
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Alain denis
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Cet automne, ajoutez Bidou Jean, bidouilleur d’Alain Denis à vos cours de
­littérature ! Enthousiasmés par ce roman, deux enseignants du Cégep ­régional
de Lanaudière à Terrebonne (Éric Lamonde et François Garceau), ont tenté
l’expérience avec succès auprès de leurs étudiants à l’hiver 2008. La lecture de
l’œuvre, son analyse en classe ainsi que la visite de l’auteur ont donné lieu à une
rencontre littéraire intense.
« Bidou Jean, bidouilleur a profondément marqué l’imaginaire de mes étudiants.
Où est-ce plutôt mes étudiants qui ont pénétré l’imaginaire de Bidou ? Je crois
qu’il y a un peu des deux. Et, en ce sens, le vocable imaginaire, ont affirmé les
élèves, est hors de doute celui qui résume l’esprit du premier livre d’Alain ­Denis.
Dans tous les cas, cette œuvre bien contemporaine et fort moderne ­touche,
d’avouer les jeunes, par sa simplicité et sa profondeur. Alain Denis ne nous
laisse aucun choix : on doit entrer en communion avec son écriture truffée de
figures et de tropes délicieux, avec une vive plume qui ne laisse pas indifférent »,
explique Éric Lamonde.
« Mes étudiants ont grandement apprécié la rencontre avec l’auteur Alain ­Denis.
Il a su expliquer de façon claire, et avec un humour certain, la genèse de son
­œuvre, sa composition, sa structure, ses thèmes centraux et en quoi le ­traitement
de la langue, plus qu’une marque individuelle, révèle le collectif, l’identité de
notre nation. Bidou Jean, bidouilleur est une œuvre taillée sur mesure pour les
études collégiales », ajoute François Garceau.
Les thèmes du livre
Bidou Jean, bidouilleur aborde la relation père-fils tel un héritage socioculturel prédéterminant et fait de la langue québécoise
non normée un objet d’interrogation constant. On y parle d’amour et de folie, de conte et de transmission de la mémoire,
ainsi que de la capacité de Bidou, le narrateur, d’inventer et de se réinventer sans cesse. Cette œuvre opère la
­synthèse de plusieurs caractéristiques de la littérature québécoise — roman de la terre, modernité dans
le langage, imaginaire, conte, réflexion sur la langue, filiation, mémoire, nation, etc.
Le parcours du livre
Publié une première fois en 2003. Excellentes critiques, notamment dans Le Devoir et The French
Review, aux États-Unis. Finaliste pour le prix Anne-Hébert en 2004. Récompensé d’une ­bourse
du Conseil des arts du Canada la même année. Réédité en 2008 aux Éditions Michel Brulé,
­incluant une postface de Nathalie G. Cornelius, professeure à la Bloomsburg University of
Pennsylvania. Fait également partie du corpus d’analyse de Michel Nareau dans sa thèse de
­doctorat Transferts culturels et sportifs continentaux. Fonction du baseball dans les littératures
d’Amérique, déposée à l’UQAM en 2008, et qui sera publiée cette année.