N°3 : mars 2013 - Ministère de l`Industrie

Transcription

N°3 : mars 2013 - Ministère de l`Industrie
Direction Générale de l'intelligence économiqu e, des Etudes
et de la Prospective
‫وﺗﺮﻗﯿﺔ اﻻﺳﺘﺜﻤﺎر‬
‫واﳌﺘﻮﺳﻄﺔ‬
‫واﳌﺆﺳﺴﺎت اﻟﺼﻐﲑة‬
‫وزارة اﻟﺼﻨﺎﻋﺔ‬
MBULLETIN
DU SECTEUR
PUBLIC MARCHAND
N°3 17 mars 2013
ND de la Petite et Entreprise
Ministère de l’Industrie,
et de la Promotion de l’investissement
Ministère de l'Industrie et
de la Prom otion des Investissements
Bulletin de veille
N°3
du Secteur Public marchand industriel
ACTUALITES
Les SGP régionales s’impliquent dans le
développement du Sud
Des projets d estiné s a u Su d du pays on t été identifiés da ns
le ca dre de s pla ns d e dé velopp eme nt retenu s pa r le C PE :
 SGP Ouest : C réation de 7 no uvelle s entre prise s
op éra tion nelles à pa rtir de 20 13 et 2 014 à Ad ra r, Bé cha r et
Tin dou f.
 SGP Est-Sud –Est : Réno va tio n et ré ha bilitation d es unités
de prod uction des matéria u x de con struction à
Ta ma nra sse t et à In Sa la h Réa lisation d’une b riqueterie à
In Sa la h.
Une cime nte rie à Ben-Zireg (Béchar) en
2 017
du 17 mars 2013
Sommaire
Actualités
1
Les SGP régionales s’impliquent dans le développement du Sud ................................
Une cimenterie à Ben-Zireg (Béchar) en 2017................................................................
Une délégation du ministère de la santé chez SAIDAL ................................
L’ENAFOR prend le contrôle total de MSIS ................................................................
Partenariat industriel
2
Appel du FCE à la densification du partenariat public-privé ................................
BENAMOR a acquis 60% des actions de l’entreprise Les Moulins
de Corso................................................................................................................................
Les Turcs s’intéressent aux EPE ................................................................................................
Coopération algéro- portugaise : la SGP EQUIPAG préside un
groupe de travail................................................................................................................................
Partenariats pour la création de deux unités sidérurgiques ................................
Focus sur la production nationale
3
SNVI : Reconfiguration des activités stratégiques en filiales ................................
Le s tra va ux de réa lisa tion de la futu re cimente rie d e BenLes Chiffres du secteur industriel public
4
Zire g (wila ya d e Be cha r) seron t lancés très p rochainement
SGP Industries manufacturières : un potentiel industriel
su r un site d’implanta tion de 60 hecta re s. Il s’a git d’un
nécessitant des mesures de redressement ................................................................
inve stissement de plu s de 2 00 millio ns d’eu ro s qui s’in scrit
Filière textiles : de fortes potentialités ................................................................
Une réorganisation de la filière Bois ................................................................
da ns le ca dre de la stra té gie nationa le d’au gmentation d es
Un sauvetage de la filière cuir nécessaire ................................................................
ca pa cité s de p ro du ction de ciment, a indiqué un
re sp on sa ble d u Grou pe GIC A. Dotée de tous les
équipe ments et in sta llation s né ce ssa ires à la protection de l’e nviron ne men t de la po llution e t des stru ctures de
co mmodités et d’hygiène d es trava ille urs, elle sera mise e n se rvice en 2 01 7. Elle p rodu ira 1 ,5 millions d e tonnes de
ciment pa r a n et pe rme ttra la créa tion de plu sie urs centa in es d’e mplois dire cts e t ind irects. Elle co uvrira le s b esoins en
ciment d es région s du Sud -O uest qui a ccu sent a ctuelle ment un importan t dé ficit en la matiè re , selon un respo nsa ble du
grou pe GIC A. Le site d e Ben-Zireg (50 k m au n ord de Bécha r) est connu p our son impo rtan t gisement de ka olin e t a utre s
min erais qui en tren t dan s la fabrica tio n du cimen t.
Une délégation du minis tè re de la santé chez SAIDAL
Au cours d’une visite effe ctuée à SAIDAL pa r une déléga tion cond uite pa r le ministre de la Sa nté, le P DG du groupe
SAID AL a rapp elé le projet de productio n de produits an tica ncéreux en pa rtena ria t a vec u n groupe k oweïtien. De s
produ cteurs privés (u nité de p ro ductio n de ma tériel médica l e t chiru rgica l pour le s hô pita ux et Bio pha rm) p ro duiron t
des médica m ents a ntica ncéreux da ns le ca d re de pa rtena ria ts a vec de s la bo ra toire s étra n gers. A l’issue de la visite de s
trois unité s, les p ro ducteurs na tio na ux, tout en recon na issa nt la b on ne volon té d es p ou voirs pu blics d’encou ra ge r la
produ ction locale, on t de ma ndé l’a ctua lisa tion d e la liste arrêtée à l’importa tio n, q ue la p rio rité soit a ccordé e à
l’e nregistrem ent du p rodu it loca l et q ue le comité de con ce rta tion soit réa ctivé.
L’ENAFOR prend le contrôle total de MSIS
L’en trep rise na tio na le d e fora ge (Ena for) a p ro cé dé cette se maine , a u ra cha t de la to ta lité de s a ctio ns de la join t-ve nture
MSIS (Ma chine Sho p & In sp ectio n Services), so cié té de dro it Algérien spé cialisé e da ns le contrôle, la ré no va tion e t la
répa ra tion de tuba ges et de ma tériels de fo ra ge, devena nt l’unique propriétaire de cette so ciété a près le re tra it d e so n
ca pita l de la so ciété a mérica ine WEATH ERFOR D qui dé te na it la ma jorité des a ction s. L’en se mble d u pe rson nel de MSIS
est de ce fait in té gré à l’effectif d e l’E NAFOR.
MBULLETIN DU SECTEUR PUBLIC MARCHAND N°3 17 mars 2013
ND
PARTENARIAT INDUSTRIEL
Appel du FCE à la densification du parte nariat public-privé
Le P résiden t du FCE a a nno ncé qu e de s rencon tres entre les SGP e t le secte ur privé seron t procha inem ent orga nisée s
da ns l’obje ctif de relan ce r le s entre prises publiq ues fe rmé es à tra ve rs u n pa rtena riat p ublic-p rivé . Il s’a git d e
redyna mise r le po te ntiel in du strie l à tra ve rs de s pa rte na riats a ssocian t les EPE a vec des pa rtena ire s p rivé s a lgérien s et
étra ngers e t qui p ou rraient p re nd re plusie urs forme s : fou rnitu re d’équipe men ts, a ssistan ce te chniqu e, e xp orta tions.
BE NAMOR a acquis 60% des ac tions de l’entreprise Les Moulins de Corso
L’en tre prise a groa lime ntaire BEN AMOR a acquis 6 0% des a ctions de l’en trep rise Le s Moulin s de C orso (relevan t d e
l’ERIAD d’Alger). Son objectif : sa mod ernisa tio n et son redé ma rra ge a vec d es mo ye ns plu s dynam ique s. C ette
expé rien ce peu t être éten due à d’autres secteurs d ’a ctivités qui n écessiten t une co ntribution supplé men ta ire d e
fo nd s et une redyna misa tion de s a ctivité s.
Les Turcs s’intéressent aux EPE
Une re ncontre B to B a réu ni de s op éra teu rs tu rcs e t a lgériens du d oma ine d es p ro duits é lectrique s, de s câ ble ries, des
én ergies renou vela ble s, e t de la fab rica tio n des tra n sfor ma te urs et des gén éra teu rs à l’initiative de la missio n
co mmercia le tu rq ue da n s notre pa ys.
L’ob jectif visé pa r les Turcs est de d oubler le s écha nges c ommercia u x a vec n otre pa ys q ui se situe nt a utou r de 5
millia rds de d olla rs De s investisse men ts ont été concrétisés da ns le s do maines de la sid érurgie (Usine To syali à O ran ),
de l’a groalimen ta ire (Bifa à Blida ), de s déterge nts (Ha ya t). Il semb le que le s pa rte na ires tu rcs sou haiten t s’implique r
da ns le p oten tiel ind ustriel public. D es pa rticipa tion s da ns de s EPE du te xtile ne son t pa s à e xclure.
Coopération algéro- portuga ise : la S GP EQUIPAG prés ide un groupe de travail
Un grou pe d e tra va il présidé pa r la SGP EQUIPAG a été mis en pla ce po ur ide ntifie r de s piste s de
pa rtena ria t « ba sé su r la complé menta rité, le tran sfert d e technologie e t de sa vo ir-fa ire, a in si que
la forma tion». Le s secteurs ciblé s sont en tre au tre s la sidé ru rgie, l’a gro-alimen ta ire , les te xtile s et
le s T I C .
Le gro upe de tra va il, co mpo sé de rep ré senta nts du ministè re portugais d e l’E conom ie et d es ministères a lgé rien s de
l’Ind ustrie, de l’Ene rgie et des Min es, des T ra va ux p ub lics, des Re ssou rces en ea u, des Fina nces, de l’Ha bita t et de
l’Edu ca tion a pou r mission d’id en tifie r les opp ortu nités de co opéra tion écon omiq ue de coopé ration économiqu e e t
te ch nique entre le s de ux pa ys e n fo nctio n de s be soins en pa rticu lie r dans le doma ine du tra nsfert de te chnolo gie.
Partenariats pour la c réa tion de deux unités sidé rurgiques
Le s no uvea ux pa rte na ire s Tu rcs e t Qa ta ris d e la sidé ru rgie algérie nne op tent pou r un cy cle de tra n sforma tion cou rt
selon le procédé de la ré ductio n dire cte. L’unité localisé e à Bella ra, e n pa rtena ria t a ve c le s Qa ta ris, prévoit un
in ve stissem ent de 3 ,2 m illia rds d e dolla rs p ou r une prod uctio n ann ue lle d e 2 million s d e to nn es/a n. Le pa rtena riat
co nclu a vec le Turc Tosyali iron & stee l industry p ré vo it un investisse men t de 13 million s d’eu ro s pour une prod uctio n
de 7 00 .0 00 to nne s/an . L’unité sera insta llée à O ra n.
Ce s no uvelles ca pa cité s vo nt ren force r l’offre interne a fin d e co uvrir le s be so in s d’un ma rch é estim é à 8 million s de
tonnes d’ici 3 a ns. Le comp le xe d’El Ha dja r a ve c u ne p roductio n de 60 0 00 0 to nn es/a n, ne sa tisfait pa s l’e nsemb le des
be soin s d’u n ma rch é en hau sse co mpte ten u de l’en ve rgur e de s proje ts d e dé ve loppeme nt e nga gés. La rela nce du
co mplexe d’E l Ha dja r nécessite de s investisse men ts supplém enta ires a fin de po rter la p ro du ction à 2 millions d e
to n n e s .
Ce co mple xe du grou pe Arcelor Mitta l, a près a voir o péré un e a ugmen ta tion de ca pita l, étudie un pla n
d’investisse men t a ya n t p our ob je ctif de relever la p ro du ction.
2
BULLETIN DU SECTEUR PUBLIC MARCHAND N°3 17 mars 2013
FOCUS SUR LA PRODUCTION NATIONALE
SNVI : Reconfiguration des ac tivités stratégiques en filiales
La Société Na tionale de s Vé hicules Ind ustriels cré ée e n 19 81 , a hé rité de l’en semble de s structu re s, moyens, bie ns,
activité, et du pe rsonnel déten us o u gé ré s pa r l’ex Socié té Nationa le de C onstru ction Mé ca niqu e (SO NACO ME ). C e tte
de rn iè re a vait p ou r missions d’exploiter et de gérer le s usine s de construction méca niq ue du secte ur pub lic. La Sona co me
ava it é ga le men t hé rité de la société africa ine des a utomo biles BERLIET (S.A.A.B / S.A, selo n des co nvention s co nclu s
en tre l’Etat et la SAA B/SA).
L’En trep rise Na tiona le des V éhicules In du striels (SNVI) qui est issue d e la re stru ctura tion de la SO NAC O ME est
cha rgé e de la p ro du ction e t de la distrib ution d es véh icule s ind ustriels et de s comp osan ts suiva nts :
- C a m io n s
- Autoca rs, a utobu s, minica rs, minibu s
- Camions spécia ux
- Ma tériel tra cté (remo rque s, se mi-remorques, etc …)
- Pièces brutes de fon derie.
La SNVI est cha rgée d’a ssu re r et de p ro mou vo ir les a ctivités a près vente de s véh icules indu striels pa r la mise en
pla ce de s mo ye ns d e ma inte na nce. la prod uction e st a ssu rée pa r (04 ) q ua tre unité s opéra tionnelles :
- Divisio n Vé hicu les Ind ustriels (D.V.I)
- Unité Ca rrosserie Rou ïba (U.C .R)
- Unité Fond erie Ro uïba (U.F.R )
Unité Ca rro sserie Tia ret (U.C .T).
Dan s le ca dre des a xe s de red ép loieme nt, la SNVI a pr océd é à une p re mière re co nfigura tion d es a ctivité s
stra tégiques opé ra nt ainsi u ne tra nsfo rma tio n en G roupe In dustriel en 2 01 1 co nstitué de trois (03 ) filiales de
produ ction é rigées en Spa et d’un e (0 1) Société Mère. Il s’a git de s filiales suiva nte s impla ntée s su r le site de
Rouiba :
- V.I.R Spa : Vé hicu les Industriels
- C.I.R Spa : Ca rrosserie In du striels
- FO R Spa : Fo nde rie s
La Société Mère e st essentie lle men t cha rgée d es missio ns su ivan te s :
- Elab orer la stra té gie d e dé ve loppement du G ro upe et en a ssurer le pilo ta ge ;
- Con trô le r les filiales ;
- Elab orer et mettre en œuvre la p olitique fina nciè re du Grou pe ;
- Définir la p olitiqu e de ré mun éra tion e t d e dé ve lo ppement d e la resso urce h uma ine du Groupe.
Deu x a utre s filia les so nt en cours d e création : elle s seron t centrée s su r les métiers de base (Mécan ique et forge ;
Camions et ca rs/bus).
La SNV I a conclu de s contrats de partenariat pour le dévelo ppement de nouveaux produits. Il s’a git :
1. d’ un projet a vec le s pa rtenaires Emira ti (a ctionna ire ) et Da imle r (pa rtenaire techno logique) à Rouiba (site de la
filiale C IR de la SNVI) pou r la p ro duction de poid s lou rd s (ca mio ns et b us) de ma rq ue Me rced es-Ben z,
2. d’un projet a vec le pa rtena ire fra nçais Rena ult VP (a ctio nna ire ) à O ra n (h ors site SNVI) pou r la prod uction de
véhicules pa rticuliers de ma rq ue Renault.
Le pa rtena ria t stra tégique enga gé a vec le pa rtenaire te ch nolo giqu e DAIMLER a déb ou ché su r la créa tio n de trois
J.V en vu e de la productio n de véhicule s indu strie ls à Ro uïba , de moteurs à C o nsta ntine e t de VLTT à T ia ret. Ce s
nou ve lle s op po rtunité s d’in ve stissements ont été va lo risée s pa r la SNVI dan s le cadre de pe rspective s
d’in tégra tion d e la filière méca niqu e a vec la p rise en cha rge de la p rodu ction de s e ssie ux, p onts, ca dre s-châ ssis,
fe rra ge ca bine, réservoirs à ga s-oil, réservo irs a ir, bruts de fonte e t de fo rge de s co mpo sa nts moteurs de la
nou ve lle société commune d e C onsta ntine e t les besoins sp écifiques en bruts du grou pe SNV I et de s en tités de la
SGP EQUIP AG.
3
BULLETIN DU SECTEUR PUBLIC MARCHAND N°3 17 mars 2013
LES CHIFFRES DU SECTEUR INDUSTRIEL PUBLIC
SGP Industries manufacturières : un potentie l indus trie l nécess itant des mesures de
redresseme nt
U : MDA
Agrégats
Chiffre d’affaires
EBE
Effectifs
Valeur ajoutée
2011
2012
Evolution 2012/2011
21 340
173
14 219
6161
21 622
357
14 536
6864
1%
107%
2,2%
11%
Filière textiles : de fortes pote ntia lités
 Groupe Leather Industry (C uir), comp osé d e 10 entreprises de produ ction, a vec un e ffe ctif 1.367 tra va illeurs
réalise u n chiffre d’affaires a nn ue l mo yen de 2 millia rds de d ina rs,
 Groupe T exmaco est comp osé de 23 entreprises de p roduction q ui e mploient un effectif de 8.962 a gents, e t
réalise nt un chiffre d'a ffaires a nn uel de 10 millia rd s de dina rs. Le gro upe co mprend les filiè res suiva nte s :
Filiè re
Filiè re
Filiè re
Filière soie
Filière
coton
textile s industriels
draperie lainière
synthétique et
couverture
artificielle
domestiq ue
9 entre prise s
4 entre prises
3 entreprise s
3 en tre prises
4 e ntre prises
 Groupe C&H Fashion com posé de 15 entreprises de confection et d’ha bille men t (2 397 a gen ts).
Une réorganisation de la filière Bois
Il s’a git d’un secte ur comp osé de 22 entreprises a ctiva nt dan s la me nu iserie généra le , le mobilier, le
préfa briq ué, les ca bine s saha rie nn es e t la distribu tio n a vec u n effectif de 4 978 agents. Ce se cteu r né ce ssite des
mesure s de red re ssem ent qu i se tra d uisent pa r un e ré orga nisa tio n pa r filiè re a fin de re nforce r le pilota ge a u
nivea u centra l et p ermettre a ux site s d’é volu er en stru ctures opé ra tio nnelles. Les filiè re s d’a ctivité identifiées:
1. Une entrep rise de p ré fa briqu é co mpo sée de qua tre (04 ) unité s,
2. Une entrep rise de me nu iserie géné rale co mpo sé e de cinq (0 5) unités,
3. Une entrep rise de mo bilie r con stituée de six (0 6) unités de p ro duction et tro is (0 3) unités de
co mmercia lisa tion,
4. Une fu sion entre l’entre prise de p re miè re tra n sfo rma tio n du bois (TR ANSBO IS) e t l’entrep rise ENA B.
Un sauvetage de la filiè re cuir nécessa ire
La b ra nche cuir e st co nstituée de 10 entrep rise s d e prod uction e t e mploie 1 3 67 tra va ille urs. Elle réalise un
ch iffre d ’affa ire s de 2 millia rds de dina rs pa r a n. Les a ctivité s son t répa rties co mme suit :
5 man ufa ctu re s d e
ta nnerie-mégisserie
1 usin e de production
de cu ir synthé tique
3 ma nu fa ctures de
cha ussu re s
1 u sine d e
ma roq uine rie.
Peaux bru tes : C ette a ctivité fait fa ce à un déficit en p ea ux bovines a u niveau d es tan ne rie s publique s et
privée s. La disp on ibilité en pea u ovine /ca p rine s’est tradu ite pa r de s expo rta tion s de pea ux se mi-finies.
La c haussu re : C e p ro duit sub it de p lein fo ue t la co ncurre nce de s prod uits impo rtés très b on ma rché e t d e
design a pp ré cié pa r le s co nsomma teu rs b ien q ue réa lisés da n s d es ma téria ux m oins n oble s que le cuir. Fa ce à
ce p hé nom ène, le s prod ucteurs loca u x o nt a ba nd onn é les a ctivités de p ro du ctio n a u profit de l’impo rta tion.
Le s en trep rises du cuir, releva n t du groupe Leathe r Industry, formeron t une seule e ntre prise comp osée de 1 0
unités de p rodu ctio n.
4

Documents pareils