L`écrivain bobo Le Clézio s`est-il converti à l`islam
Transcription
L`écrivain bobo Le Clézio s`est-il converti à l`islam
ripostelaique.com http://ripostelaique.com/lecrivain-bobo-le-clezio-converti-a-lislam-symbolise-laffaissement-de-notre-societe/ L’écrivain bobo Le Clézio s’est-il converti à l’islam ? Marcus Graven 16 janvier 2015 Dans les pages du journal de révérences Le Monde, Le Clézio, écrivain nobélisé, y est allé de son soutien à la grande manipulation dans une « Lettre à ma fille, au lendemain du 11 janvier 2015 ». Il y félicite une de ses filles d’avoir participé à la grande marche des « Parce que je le veau bien » de dimanche et surtout d’avoir été « émue d’apercevoir en passant un petit enfant d’origine africaine qui regardait du haut d’un balcon dont la rambarde était plus haute que lui. (…) il y a toujours quelque chose de miraculeux dans un tel moment, qui réunit tant de gens divers, venus de tous les coins du monde, peut-être justement dans le regard de cet enfant que tu as vu à son balcon, pas plus haut que la rambarde, et qui s’en souviendra toute sa vie. Cela s’est passé, tu en as été témoin . » Sacré miracle ! Un enfant noir qui regarde la grande moutonnerie en pensant peut-être comme dans les banlieues « Sont vraiment cons ces chialeurs ». Plus loin, il trouve les excuses habituelles aux tueurs de l’islam : « Trois assassins, nés et grandis en France, ont horrifié le monde par la barbarie de leur crime. Mais ils ne sont pas des barbares. Ils sont tels qu’on peut en croiser tous les jours, à chaque instant, au lycée, dans le métro, dans la vie quotidienne. A un certain point de leur vie, ils ont basculé dans la délinquance, parce qu’ils ont eu de mauvaises fréquentations, parce qu’ils ont été mis en échec à l’école, parce que la vie autour d’eux ne leur offrait rien qu’un monde fermé où ils n’avaient pas leur place, croyaient-ils. A un certain point, ils n’ont plus été maîtres de leur destin. Le premier souffle de vengeance qui passe les a embrasés, et ils ont pris pour de la religion ce qui n’était que de l’aliénation. » Des pauvres types devenus des assassins par « la faute à pas de chance », à cause de l’école, de la vie en banlieue. L’originalité des arguments du prix Nobel est époustouflante ! Il a la lucidité d’éviter le discours que ses petits copains du Club des bien-pensants répètent en boucle : « L’islam n’est pas l’islamisme », « Il ne faut pas faire d’amalgame », « L’islam est paix et tolérance ». Cependant en 2012, l’écrivain des cours de récrés déclarait : « La figure actuelle de l’antisémitisme, c’est l’islamophobie ». Le Clézio soutient l’islam parce qu’il s’est sans doute converti en épousant Jemia, d’origine marocaine, ou plutôt de Saguia El Hamra « une vallée asséchée à l’extrême sud du Maroc » – autrement dit l’ex-Sahara Espagnol. Quand on l’interroge sur cette conversion, il refuse de répondre et botte en touche prétextant que la religion appartient à ses yeux au domaine privé. On devine cependant cette conversion dans quelques confidences : « La richesse apportée par l’islam a beaucoup compté pour moi, dit-il. Le soufisme est un mouvement religieux et philosophique qui est né au Maroc, et je suis un grand lecteur des œuvres écrites par les soufis. Dans la famille de ma femme, l’un des ancêtres qui a laissé une trace, est un grand mystique soufi : Sidi Ahmed Laâroussi. (…) Sidi Ahmed Laâroussi était un homme qui, par sa vie, son exemple et sa générosité d’esprit, a porté ce qu’il y a de mieux en islam. Et à cet égard, je peux dire que je suis converti, car j’adhère totalement à cet idéal. » En septembre 2012, Le Clézio intervenait dans les polémiques soulevées par l’essai de Richard Millet, Éloge littéraire d’Anders Breivik. L’écrivain des bobos qualifiait le texte d’« élucubration lugubre » et de « répugnant » et prévenait que ce genre de littérature pouvait conduire « certains esprits faibles à l’assassinat ». (http://ripostelaique.com/affaire-breivik-millet-le-veritable-assassin-cestlecrivaillon-nobelise-jean-marie-le-clezio/ ) Demain, il nous apprendra que les Kouachi et Coulibaly étaient certainement de grands lecteurs de Richard Millet ! Comme Merah était un grand blond aux yeux bleus. Millet ripostait en disant considérer J.M.G. Le Clézio comme un exemple de ce qu’il nomme la « postlittérature » et avançait : « son style est aussi bête que naïve sa vision manichéenne du monde et ses romans dépourvus de ressort narratif ». Il précisait dans un entretien : « Je ne suis pas anti-Le Clézio. Je trouve que sa syntaxe est bête, c’est-à-dire qu’elle est un peu gnangnan, qu’elle est le parfait reflet de sa pensée qui va dans le sens de la propagande, pensée multiculturaliste facile, manichéenne. Les Blancs, les Occidentaux sont tous épouvantables, mais les Indiens, etc., sont magnifiques… Le Clézio est le parfait représentant de cet effondrement du style…» Et de l’affaissement de notre société. Le Clézio fait partie de cette supposée élite qui après la compromission avec l’islam prône maintenant la collaboration en attendant la soumission. Coran, ou l’incitation à la haine sans complexe agoravox.fr /actualites/religions/article/coran-ou-l-incitation-a-la-haine-113603 par cassandre samedi 31 mars 2012 Je suis surpris de constater la violence de certains musulmans en France (affaires Youssouf FOFANA, Mohamed MERAH et leurs émules...), ainsi que dans le monde où 99% des gens qui meurent au nom d'un dieu meurent en fait au nom d'Allah. J'ai donc décidé de lire le Coran pour voir si ce texte présentait un lien avec cette violence. Ce que j'y ai découvert est effrayant et susceptible de vous intéresser. J'y ai trouvé des versets d'une violence inouïe. Non pas des histoires à lire comme des romans d'aventure, à l'instar de l'Ancien Testament, qui nous conte les démêlés du peuple juif avec ses voisins aujourd'hui disparus. Mais des textes mettant directement en cause nos concitoyens, chrétiens, juifs, ou athées... voire même musulmans jugés trop "modérés". Des textes appelant sans ambiguïté à la haine, à la discrimination, et au meurtre des Français. Non pas 2 ou 3 mais des centaines (!) d'articles aussi allégoriques que le code Napoléon, qui stigmatisent, insultent, condamnent parfois à mort nos concitoyens en raison de leurs croyances religieuses (ou de leur absence de croyance). Des textes contrevenant sans aucun doute à la loi du 29 juillet 1881 modifiée en 2004. Jugez plutôt avec ce petit échantillon : sourate 9 v29 : "Combattez ceux qui ne croient pas en Allah, qui ne considèrent pas comme illicite ce qu'Allah et son prophète ont déclaré illicite (...) jusqu'à ce qu'ils paient, humiliés et de leurs propres mains le tribut." 1 sourate 2 v216 : "Le combat vous est prescrit et pourtant vous l'avez en aversion. Peut-être avez-vous de l'aversion pour ce qui est un bien et de l'attirance pour ce qui est un mal. Allah sait et vous ne savez pas" sourate 9 v5 : "lorsque les mois sacrés seront expirés, tuez les infidèles partout où vous les trouverez. (...)" sourate 8 v17 : "Vous ne les avez pas tué (vos ennemis). C'est Allah qui les a tués. Lorsque tu portes un coup, ce n'est pas toi qui le porte mais Allah qui éprouve ainsi les croyants par une belle épreuve" 2 sourate 47 v35 : "Ne faiblissez pas et ne demandes pas la paix quand vous êtes les plus forts et qu'Allah est avec vous ! (...)" - Concernant l'incitation à la torture (oui, dans un texte religieux de référence !) : 3 sourate 5 verset 33 : "la récompense de ceux qui font la guerre à Allah (...) c'est qu'ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupés leurs mains ou leurs pieds (...)" - Concernant la provocation à la discrimination et à la haine des non-musulmans (athées ou membres des autres confessions) : sourate 9 verset 28 : "les infidèles ne sont que souillure" sourate 9 verset 30 : (les juifs et les chrétiens) "Qu'Allah les maudissent(...)" (Remarque : dans l'Islam, maudire quelqu'un ou l'accuser d'être impur sont ce qu'on peut porter de pire comme attaque verbale ; un peu l'équivalent de notre moderne "fils de pute") Les juifs sont décrits comme des êtres injustes, des pervers sans foi ni loi (sourate 2 verset 5 89/95,4 sourate 2 verset 79/85, sourate 2 verset 73/79, sourate 5 verset 41) 6 La sourate 4 est un torrent de colère et de haine contre les juifs (versets 154, 155, 156, 157) 7 8 tandis que la sourate 62 verset 5 les compare à des ânes... - Concernant la liberté de culte : sourate 4 verset 89 9: "(ceux qui quittent l'Islam) saisissez-les alors, et tuez-les où que vous vous trouviez." - Concernant la liberté de disposer de son corps : 10 sourate 4 verset 19 (ou 15) : (les lesbiennes) "Retenez ces femmes dans vos demeures jusqu'à ce que la mort les rappelle (...)" etc...etc...J'arrête-là la litanie pour ne pas lasser... Ces quelques exemples suffisent amplement à justifier les actes de Mohamed MERAH et de tous ses partisans actuels...et futurs ! Il me semble qu'ils amènent tout citoyen à se poser les questions suivantes : - Comment, en France, les maires peuvent-ils subventionner une religion s'appuyant sur de tels textes (en contournant les loi sur la laïcité !), sans au moins exiger en contre-partie la suppression des versets illégaux ? Simple ignorance, ou préoccupations clientélistes ? - Comment dans notre République laïque, les pouvoirs publics peuvent-ils puiser leur inspiration dans ce même texte scélérat pour les guider dans la gestion de notre société (prescription de repas sans porc, ou de viande hallal dans les cantines scolaires ou militaires, autorisation du voile islamique...) sans s'intéresser à l'ensemble du message véhiculé ? - Est-ce qu'un texte, sous prétexte qu'il sert de référence religieuse, a le droit de véhiculer les idées les plus abjectes et les plus contraires à notre démocratie ? "Mein Kampf" délivre-t-il vraiment un message beaucoup plus haineux, plus liberticide, que ces centaines de versets anti-démocratiques ? Autoriserait-on un parti néo-nazi à diffuser des textes dont certains chapitres approuvent les chambres à gaz, ou la suppression de la démocratie sous prétexte que : -beaucoup d'autres chapitres n'en parlent pas ("seulement" quelques centaines sur 6235) -ces néo-nazis seraient pour la plupart des gens sans histoire, et qu'ils nous feraient la promesse de ne jamais lire les chapitres incriminés (ces chapitres sont donc là juste pour le folklore, élément de culture néo-nazie sous-jacente, pas pour 'action') Il me semble urgent d'engager un débat de fond sur ce sujet, dans la dignité mais sans concessions ni faux-semblants. 1 : ou v212-213 dans certaines éditions 6 : ou v45 dans certaines éditions 2 : ou v37 dans certaines éditions 7 : ou v153/156 dans certaines éditions 3 : ou v37 dans certaines éditions 8 : ou v6 dans certaines éditions 4 : ou v83/89 dans certaines éditions 9 : ou v91 dans certaines éditions 5 : v73/85, ou v67/79 dans certaines éditions 10 : dans certaines éditions