1. Mode - Classe modale 2. Médiane
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1. Mode - Classe modale 2. Médiane
Silaréparlition enfréquences recèle I'information toute - Classe 2.Médiane médiane statistique contenue danslasérie desobservations, il est souvent souhaitable derésumer celle-ci enquelques a) Médiane caractéristiques simples. Lapremière caractéristique à considérer, dansl'exa- Soitunesériestatistique par numérique ordonnée mend'unesériestatistique, estsatendance centrale. Les valeurs croissanles,la nédiane estlavaleur deI'observaprésentés quantifient indicateurs trois notion. cette tioncentrale, lavaleur c'est-à-dire numérique tellequ'ily quiluisoient ait50%desobservations inférieures et50% quiluisoient supérieures. Elle est souvent notée : Me. 1.Mode- Classe modale Exemple. Lamédiane delasérie : 1,1,1,2,2,3,4,5, 8.10.13est3. a)ttode pair,onconvient Pourdesséries d'etfectif deprendre desdeux observations centrales. prenant Soitunesérieslatistique desvaleurs isolées lamoyenne (couleur desyeux, CSP, nombre d'enfants...), lernode est lavaleur laplusfréquente. llestnoté: Mo. b) Classemédiane Exenple. Lemodedela sériestatistique relevant la Soitunesérienumérique regroupée enclasses, la couleur desyeux desFrançais esllemarron. quicontient classe médiane estla classe l'observation centrale, oumédiane. End'autres lermes, lapremière c'est b) Classe nodale quivoitleskéquences classe cumulées atteindre 0,50 (ou50%). Soitunesériestatistique numérique regroupée en pasdesdonnées Si,nedisposant initiales, onsouhaile la c/asse classes, nodaleestla classe defréquence la ponctuelle valeur une dela médiane, onlailuneinterpoplusélevée (silesclasses sontd'amplitudes inégales, il qu'oncalcule médiane, c'est-à-dire s'agira delaclasse defréquence laplusélevée). Iatilndansla classe conigée parprop0rtionnalité le point decette classe oùle polypeutavoirplusieurs Unesériestatistique modes, ou gonedefréquences cumulées laligne coupe horizontale : classes modales. Lemode oula classe modale désigne lc= 0,50 (fig. 2). l'endroit oùlarépartilion estlaplusdense etcorrespond à lapartie laplushaute dudiagramme (fig.t ). defréquences Figure 2 Figure 1 variable ffiffi,Np,cArE, INDICATEURS DELA TENDANCE CENTRALE BEPERES jniiii+iiiïi' 3.Moyenne arithmétique Lanoyenne arithnétique estlaplususuelle. Elleestle plussouvent appelée simplement moyenne. a)ttoyenned'unesérieslmple parlesa,estlenombre Lamoyenne desx,pondérée : ' x , 2 a ' ,,= 2a' pondérée Lamoyenne n'estpasmodifiée si tousles poids parunmême sontmultipliés nombre. Soitunesérie deN obærvations numériques : x', rr, d) Moyenne d'une sérieregroupée ... , xN.Lamoyenne arithmétique decesN nombres, notée Soitunesérie parvaleurs : statistique regroupée I estlenombre : x', 12, ..., xr,observées avecleseffectifs respectifs : n,,nr,..., x . t + x 2 + . . .+ x N desobservations est: 4. Onvoitquelamoyenne ,= N n 1. x 1 +n 2 . x 2 + . . . + n k . x k x= Exenple. Onachète troislitres delaitauxprix: 4 , 2 0F n 1+ n 2 + . . . + n k 4,30Fet3,95F.Lamoyenne est: 4,20+4,30+3,95 = 4 , 1 5( F ) . 0U quiaurait Ceprixmoyen estle prixunique faitdépen. pourlestroislitres. serautanl _ ,= Lni. xi l,' e tp u i s q ut ,e = = * tr, x, (avectrl= !ni), n, o n a: x = ,r,. *-, ?1 b) Symbole En d'autres sigma termes,la moyenne de la sérieest la moyenne pondérée parleseffecregroupées, desvaleurs Enstatistique, onestfréquemment amené à écrire des tifsconespondants. que: sommes telles x 1 +x 2 + x 3 + . . . + x N o u b i e nx; t . f t + x z . f z + . . . +X p . f p . lesfréquences Comme sontproportionnelles auxeffectifs,la moyenne de la sérieestaussila moyenne des pondérée valeurs parlesfréquences, regroupées, cellesci étantdesomme égaleà 1. ll estalors æmmode d'utiliser unenotation abrégée, le (delalettre grecque symbole sigma'.8 majuscule). sigma Lasomme E' + E2+ ...+ E,s'écril ainsi: 4.Autres moyennes SF L - l Lamoyenne arithmétique estla méthode la plusfréquemment pour . D utilisée définir une valeur moyenne et,s'iln'ya pasd'ambiguité surl'ensemble desexpresgrandeur d'observations (par d'une additive exemple, des E,,E2,..., Eeà additionner, sions onécritsimplement : poids, dessommes d'argent, desdurées, etc.); il est cependant variables d'aulres dontl'addition a moins de sens(latempérature, lecoefficient intellectuel...). quisecombinent ll estdesgrandeurs, Lesymbole enfin, I traduit autrement doncunesuited'additions ; il queparaddition (parexemple, lestauxd'inflation conserve lespropriétés succesdeI'addition. Encasd'incertitude parcours, surdifférents etc.)Dansces surle sensd'uneformule, il estfacile derevenir à une sils,lesvitesses cas,afindedéterminer écriture desvaleurs moyennes, développée, avecdespoints desuspension. derniers il faut reporter la se à grandeurs. définition même des Lamoyenne delasérie simple : x1,x2,..., xxs'écrit Oneslalors conduit à d'autres types decalculs. doncplussimplement : t =1 ? t'' 1 =I xt. ' =r i r , , 5.Conclusions Ona défini troisindicateurs dela tendance cenlrale ; pondérée c)ttroyenne (ouaveccoetficients) leursvaleurs sontengénéral (exemple différentes fig.3 '. Soitunesuite deNnombres x1,X2, ..., xxauxquelspagesuivante), particulières saufdansle casdeséries sont associés lespolds, oucoefficients ! \, â2,..., âs1. (parexemple dedistribution symétrique). Leurinterprétation etleuremploi sontégalement diffépourunestatistique rents : desalaires ;ainsi, - lesalaire modal estlesalaire leplusfréquent; - le salaire médian quivoitautant estceluidusalarié gagner plusquedepersonnes depersonnes gagner moins{ue lui: - lesalaire moyen, enfin, estceluiquechacun loucheraitsitouslessalaires étaient éoaux. Mo Mer-