Le voyage de Berlin Le voyase le HH. Laval et Briand à Berlin

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Le voyage de Berlin Le voyase le HH. Laval et Briand à Berlin
Ofr. 2 5
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ADMINISTRATION ET RÉDACT1Û«
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15. Ru« da rort. CLEKMONT-JlMAND
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SEPT E M B R E
ABONNEMENTS
Puy-de-DSew «t Dèp. Bail.
Ante* D fpirteM » . • • •
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DU PLATEAU CENTRAL
PUY-DE-DOME • ALLIER
CANTAL . HAim-LOIRE
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Directrice T M " A. DUMONT
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| LA J
«OURNÉE 1
Le voyase le HH. Laval et Briand à Berlin
A l'Assemblée de Genève
t a i M i a E g a r i B n i u M H m and
Le débat sur le désarmement
Des étudiants ont tenté d’aeeassiner se heurte à de nouvelles difficultés
M. Ouang, ministre des Affaires étran­
Genève, 28 septembre.
gères du Gouvernement de Nankin.
Ce m atin, le président de la sous-com­
mission du d ésarm em ent, M. Munch, et
MM. Laval et Briand ont rendu visite son ra p p o rte u r, M. de M adariago, ont in­
formé la Commission q u ’ils avaient cru
au Maréchal Hindenburg.
Comme conclusion à ’surs pourparlers
les Ministres français et allemande ont
décidé la création d'une commission
franco-allemande qui étudiera les pro­
blèmes économiques.
Une nouvelle discussion a eu lieu à
Genève au sujet du conflit sino-japonais.
Le voyage de Berlin
Hier soir se sont terminés, à Berlin, les
entretiens entre MM. Laval et Briand et le
Gouvernement allemand. La conclusion
pratique en est la constitution d ’une com­
mission franco-allemande, chargée de re­
chercher les moyens de réaliser et de
maintenir une entente entre les deux pays
sur les grands problèmes économiques qui
les sollicitent et parfois les séparent.
Ce résultat smisfait peu l'imagination.
Il faudra beaucoup de lyrisme pour en
nourrir quelque littérature substantielle
sur la paix franco-allemande. Il était
d ’ailleurs prévu dès l'origine des négocia­
tions. M. Laval avait, en effet, précisé
q u ’il apportait seulement au Reich la sug­
gestion d'une méthode pratique de travail
pour l ’étude et la solution des difficultés
économiques intéressant la France et l'Al­
lemagne.
Le communiqué officiel annonce une
intention très nette de persuader l ’opinion
que cette conclusion comporte réellement
des résultats tangibles. On donne quelques
détails sur la portée et les directions des
travaux de la future commission . Il est
dit, par exemple, que les deux Etats ne
chercheront jamais les remèdes à leurs
difficultés économiques dans une aggrava­
tion des tarifs douaniers, et que la collar
boration des autres pays sera recherchés
aussi souvent q u ’il sera néeessaire pour
résoudre les problèmes qui dépassent les
'fmntièree de la France et de iAllem agne,
par exemple ceux de la navigation aérienne.
Tout de même, le public apprendra avec
quelque scepticisme, que ce voyage, qu’on
chargeait de tant d ’espérances, n ’aboutit
qu’à la création d ’une commission de plus.
Force est d ’attendre les premières conclu­
sions pratiques de ses travaux avant de
savoir si la visite historique des ministres
français à Berlin est un symbole creux ou
l ’amorce d ’une paix réelle.
Jusque-là, la réserve s’impose. Une ré­
serve sans acrimonie, d'ailleurs.
Les conversations qu’eurent MM. Laml
et Briand avec les dirigeants du Reich,
traitèrent peut-être plus de sujets qu'on
n 'a dit. Si M. iMval a pu compléter son
information sur la psychologie allemande
et convaincre l ’Allemagne de notre réso­
lution de ne pas franchir certaines limites
dans la voie des complaisances, son voyage
n'aura pas été stérile. Mais là encore, on
ne sait pas.. ^aura-t-on ?
A s’en tenir aux discours et aux com­
muniqués officiels, on n ’est pas sorti de ce
bon désir général : la France et l’Allema­
gne causent afin de découvrir et d ’établir
les bases d ’une entente économique dura­
ble. M. Laval avait bien discerné que ce
programme n ’était pas infini, en indiquant
dans ses déclarations à la presse parisienne,
avant son départ, qu’il y avait des ques­
tions qui pourraient être résolues immédia­
tement, et d ’autres qui devraient atten­
dre. Car il y aura toujours des problèmes
réservés dans des palabres de celte sorte.
C'est ce qui fait qu'il n ’en peut sortir que
des résultats incertains et des apaisements
menacés.
En douterait-on. que certains commen­
taires allemands nous le rappelleraient.
Voici une notre du Vorwaerts, organe de
la Sozialdemokratie, qui nous redit ce
que les socialistes allemands eux-mêmes
ûttendent de la France pour être satis­
faits :.
Nou* ne dissimulerons pas qu’un rappro­
chement purement économique ne constitue
pas à nos yeux une garantie suffisante pour
une réconciliation sincère entre la France
et l’Allemagne.
Il y a une série de problèmes politiques
dont la solution est indispensable pour l Eu­
rope. Il est vrai que ce problème ne saurait
être résolu au cours d’une visite de deux
Jours ; mais ils ne peuvent être ignorés. Nous
autres social-déraocrates, qui ne pouvons être
soupçonnés d’opposer inutilement des obsta­
cles aux entretiens de Berlin, nous considé­
rons comme notre devoir de rappeler que les
hommes d ’Etat des deux pays doivent chan­
ger ouvertement leurs idées sur le désarme­
ment. A quoi peuvent servir les assurances
d ’amitie et les accords économiques si, dans
quelques mois, l’abîme doit être rouvert plus
grand que Jamais entre les deux peuples
par la lutte pour le désarmement T
E t le jo u rn a l rappelait à M. Laval q u ’en
1919 il avait, co m m e socialiste, voté contre
le traité de Versailles.
M. B ru n in g , sous une fo rm e plu s enve­
loppée, dans ses déclarations à l ’Agence
Havas, avait ftarlé d ’une collaboration
« su r la base de l ’égalité des droits », q ui
éq u iva u t égalem ent à l ’abolition d u passé.
On voit ainsi que lorsque la nouvelle
co m m issio n aura re m p li sa iâche, q ui est
de procurer à la France et à l ’A llem agne
des facilités éc onom iques en a ssu ra n t. à
leurs in d u stries des débouchés nouveaux
ei en d im in u a n t les frais généraux des
d eu x Etat* on se retrouvera c o m m e avant
d ev o ir-sa isir la séance plénière des diffi­
cultés pendan tes. S ur le principe de la
irève des arm em ents, il y a unanim ité.
IJne divergence assez grave « e s t m anifes­
tée entre Tes délégations française et ita­
lienne, su r le rem placem ent des anciens
pavire s p a r de nouveaux. C’est la réapparitlon de la controverse s u r la parité.
Lord Cecil a proposé de s ’en tenir au
principe de la trêve. M. Wilson (U.S.A.).
in te rv en an t a p rè s d ’au tre s o rate u rs, a
semblé se rallier à la proposition de lord
Cecil. L a sous-commission v a en délibé­
rer.
En a tten d a n t, depuis la fondation de la
S. D. N., pareille situation ne s ’était pas
présentée. L ’Assemblée en est paralysée
Genève, 28 septembre.
On annonce que la sous-commission du
désarm em ent, d a n s sa séance de l ’aprèsinidi, c’est mise d ’accord s u r le texte d ’un î déclaration de ca ractère général, qui
inviterait les G ouvernem ents à faire con­
naître, au plus ta rd le l*r novembre pro­
chain, s’ils acceptent d ’être partie à une
trêve des arm e m en ts qui p a r ti r a it du l ,r
novembre p o u r une durée d ’un an. La dé­
claration ne fixerait pas les m odalités de
la trêve envisagée, m ais le rap p o rt de la
Commission à l’Assemblée d o n n e ra it une
Interprétation de la mesure.
La Commission du d és arm em en t se réu­
n ir a a 22 heures, ce soir, pour discuter
eu séance publique le texte de la résolu­
tion et du rapport.
Chamüionnn de France de Marathon
1
UNE VISITE AU PRÉSIDENT HINDENBURG
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Berlin, 28 septembre.
MM. P ierre Laval et Aristide B riand
o nt rendu visite ce m a tin au président
H indenburg, à la présidence du Reich.
Le p résid e nt du Conseil et le m inistre,
qui étaient accom pagnés p a r M. F ranço is
Poncet, ont été conduits chez le président
du Reich p a r le conseiller de légation
von Mumm, chef adjo in t du protocole. Il*
sont arriv és à 10 h. 30 à la présidence et
o nt été in troduits im m éd iatem ent d a n s le
cabinet de travail du président du Reich,
qui les a reçus avec une g r an d e affabilité..
Le m a ré ch a l von H in d en b u rg a dit im ­
m édiatem ent à MM. Laval e t ,B ria n d q u ’il
é tait p articuliè rem e nt touché de leur vi­
site. Il a dit quelques mots en français,
m a is s ’est exprim é ensuite en allem and,
le secrétaire d ’E ta t Meissner tr a d u i s a n t
ses paroles en français.
Le président du Reich a souligné quo
la détresse gén érale du m onde re n d a it in ­
dispensable le rap p ro c h e m e n t de tous les
peuplés et que tout ce qui pouvait con­
trib u e r à ren dre plus am icales les rela­
tions entre la F ra n ce et l’Allerhagne était
d 'u n e im portance exceptionnelle. Il a ex­
primé le so uh a it que les conversations ac­
tuellement en cours à Berlin soient cou­
ronnées de succès et ab outissent à des
r ésu ltats féconds.
Le président du Conseil et M. Aristide
B riand se sont ensuite en tre ten u s quel­
ques in sta n ts avec le P résident, M., F r a n ­
çois Poncet tr a d u i s a n t le u rs paroles en
allem and.
M. Laval a indiqué q u ’il ava it tenu a
rend re visite au chef de l’E ta t allem and
et M. B riand a dit au président H ind en­
burg q u ’en raison de la politique de paix
que, comme m inistre des Affaires é t r a n ­
gères de France, il a poursuivie depuis
des années, cette visite pren a it p o u r lui
une signification spéciale. Le président du
Conseil et le m inistre des Affaires é t r a n ­
gères ont alo rs pris congé du Président,
chez lequel ils étaie n t restés dix m in u ­
tes environ.
Des cordons de police a s s u r a ie n t le ser­
vice d ’ordre d a n s la W ilhelm strasse où se
trouve la présidence du Reich, et quel­
ques centaines de curieux ont assisté à
l’arrivée et au d é p a r t des m in istre s fr&gçais.
A 11 h. 15, M. Laval, accom pagné des
m em bres de la délégation française, a
quitté à nouveau l’hôtel Adlon pou r aller
visiter, au Musée Frédéric-Guillaume, les
salles consacrées aux magnifiques recons­
titutions des m o n u m e n ts de P erg am e et
de Babylone.
Berlin, 28 septembre.
M. Laval s’est ren d u h 11 h. 30 au Vieux
Musée où l’a tte n d a ie n t le chancelier B ru ­
ning, le m in istre des Affaires étra n g ères
Curtius et le chef du protocole, comte de
Tattenbach. M. Laval a visité les salles de
peinture du Vieux Musée. Il a gagné en­
suite p a r une galerie couverte le musée
de P e r g a m r où se trouve reconstitué un
autel grec, g r a n d e u r nature .
A la sortie du musée, MM. Laval et
B ru n in g sont p a rtis directem ent en au to
p our Cladon, où a lieu le déjeuner.
PU O TO .
Passage des coureurs à Massy
LES ELECTIONS DE HAMBOURG
Les hitlériens gagnent 40 sièges
Berlin, 28 septembre.
A la suite des élections d ’hier, la réartition des sièges a u P a rle m e n t de
E ta t de H am b o u rg se présente de la façon suivante :
Com munistes : 35, contre 27 autrefois ;
socialistes : 46, contre 60 ; chrétiens so­
ciaux : 2, contre 9 ; p a rti d ’E ta t : 14, con­
tre 21 ; natio n aliste s allem an d s : 9, contre 22 ; centre : 2, contre 2 ; natio naux socialistes : 43, contre 3 ; populistes ; 7,
contre 20 ; p a r ti économique : 2, contre 4.
F
SAN ANTONIO. — Une banque au capital
de 16 millions de dollars a fermé temporai­
rement ses portes aujourd'hui.
devant ce m ur hostile : le traité de Ver­
sailles ei les' réparations.
Les habitudes d ’accord que la France et
l ’Allemagne auront contractées sur le plan
économique, seront-elles alors assez fortes
pour que nous puissions renoncer aux ga­
ranties héritées de notre difficile victoire ?
C’est fort improbable . En tout cas, nous
sommes payés pour savoir que si nous
refusons de combler ses désirs, l ’Allema­
gne ne tiendra aucun compte des sacrifi­
ces que nous aurons consentis.
Ce n ’est pas être pessimiste avec excès
que de penser que les cris de : « Vive la
paix ! » qui accueillaient à Berlin MM. La­
val et Briand à leur descente du train,
avaient un sens que nous ne murions ac­
cepter satis revision.
Dans la méditation quelque peu théâ­
trale q u ’il est allé p ire devant la tombe
de Stresemann, M. Briand a pu se rappe­
ler que ce grand ministre allemand atten­
dait du temps et de la patience l ’annula­
tion des actes qui consacraient la défaite
de son pays.
La venue à Berlin des ministres français
était peut-être dajis ses rêves. Le difficile
est de ne pas donner à ce nouveau témoi­
gnage de notre .bonne volonté la signifi­
cation d ’une complaisance résignée. Seuls,
MM. Laval et Briand savent ce qu’ils nous
rapportent à ce sujet.
Ei les élections de Hambourg accusent
une victoire écrasante des nationalistes.
En vérité, nous ne sommes pas au bout
de nos inquiétudes et. de nos prudences.
Maurice VALLET.
J
LTXPEHTlOlf DO « NAUTILUS i>
DANS LES REGIONS POLAIRES
La situation est inquiétante
à Hong*Kong -
Le récit d’un des explorateurs
Hong-Kong, 28 septembre.
P a r is, 28 septembre.
Le gouverneur b rita n n iq u e S ir W illiam
Le « New-York H erald » publie une in­
Feel a fait publier u n e p rocla m ation a n ­ terview du ca p itaine Sloan D anenhower,
n o n ç a n t qu en raison des circonstances c o m m an d a n t du sous-m arin « N autilu* » :
exceptionnelles, les d étachem ents de vo­
Je suis gelé et fatigué, dit-il avec bon­
lontaires b rita n n iq u e s et la com pagnie ne—humeur.
Quant au s u je t-d ’aller au pôle
des c h a r s d ’a s s a u t étaient mobilisés. Deux en empruntant la vole sous-glacière, c’est
Une résolution commune
contre-torpilleurs
ont
reçu
l’o
rd
re
d
’a
s
su
­
un bon projet théoriquement, mais pour que
des ministres français et allemands rer la protection du v a p e u r « A sam a Ma- cela
réussisse il faut avoir un sous-marin
Les m inistres français et allem and s ont ru », à bord duquel se trouvent des réfu­ d’un type nouveau et fabriqué spécialement.
Nous avions discuté avant le départ. La
term iné leurs délibérations à 19 heures, giés japonais.
question de la solidité de la glace sous la
p a r l ’adoption de la résolution su ivante :
L a loi m a rtia le a été proclamée, m a is la mer
était-elle moindre qu’à la surface T
En même temps q u ’ils o n t voulu don­ situ ation a em piré à u n tel poin t que des Etait-elle hérissée d’aiguilles T Nous la trou­
n e r une conclusion p ratique à leurs pré­ patrouilles m ilita ire s circulen t d a n s les vâmes en plongée relativement molle et
épaisse de 16 pieds, et nous fûmes égale­
cédents entretiens, les rep ré se n ta n ts des rues.
ment assez surpris d ’avoir sous la couche de
deux Gouvernem ents ont été d ’accord pour
Manifestations
à
Canton
glace tant de lumière. Nous pouvions voir
m a rq u e r que leur but essentiel resta it d ’é­
clairement devant nous à une distance de
Canton, 28 septembre.
tablir entre leurs p a y s des relations sui­
40 pied« environ. La profondeur de la mer
vies et confiantes.
Toute la circulation a été obligatoire­ était d’environ 2.000 brasses.
Il leur a p a r u que la crise qui sévit a u ­ m e n t suspendue p e n d a n t itrois m inu tes
Nous avons prélevé un échantillon de ta
jo u r d ’hui à tra v e rs le m onde leur faisait d u r a n t lesquelles, en signe de protestation couche du fona, de la terre de couleur bleue,
un im périeux devoir d ’associer a v a n t tout contre les prétendues atrocités ja p o n aises mais elle suffit à rendre les savants rouges
leurs efforts d a n s le dom aine économique, en M andchourie, le public a observé le si­ d ’é m o t i o n . Le Nautilus a fait trois plongée»
glacée. L’une d ’elle,, la plus
en vue d ’a r r iv e r à des solutions p rop res lence. Les a u to rités cherchent égalem ent sous la croûte
a duré une heure. Le sous-marin
à a tté n u e r le m alaise universel. Ils ont re­ à faire p orter a u public des b ra s s a rd s de longue,
s’engagea sous la couche de toutp sa I0nconnu q u ’il éta it nécessaire de constituer deuil <ant que d u r e r a l’occupation ja p o ­ ;ueur, environ 170 pieds. La raison pour
uh o rg an ism e spécial et de do n n er à cet naise.
aquelle nous ne fîmes plus de plongéé. c’est
organism e une m éthode de travail assez
P e n d a n t ces d e rn ie rs jours, de n o m b reu ­ que le gouvernail ad hoc resta au fond dès
è û r ^ pour ab o u tir â des ré su lta ts con­ ses m a n ifesta tio n s o n t eu lieu a u cours la première fois. Nou6 fûmes obligés de nous
de plonger simplement, d ’engager
crets.
desquelles les o r a te u rs ont encouragé le contenter
le sous-marin sous la croûte glacée et de
A cet effet, ils o n t convenu de créer boycottage des m a rc h a n d is e s ja p o n ais es ; pousser
en avant, en laissant la glace nou»
une Commission franco-allem ande com­ on n ’a toutefois pas constaté d ’incident recouvrir.
posée de rep ré se n ta n ts des a d m in is t r a ­ notoire d a n s cette ville.
E xpliqu ant ensuite le type de sub m er­
tions intéressées, auxquels se ron t ad jo ints
Le Japon désavoue
sible q u ’il pense être nécessaire po u r un»
des r ep rése n tan ts des diverses branches
exploration polaire sous-marine, le capi­
de l’activité économique ainsi que des re­
les séparatistes mandchous
taine estime q u ’il devait a v a n t tou t avoir
p rése n tan ts du travail.
Tokio,
28
septembre.
une hélice et un gouvernail de plongée
Les tra v a u x de la Commission seront
Le G ouvernem ent ja p o n a is désapprouve suffisamm ent protégés. 11 fa u t aussi, selon
dirigés p a r des m em bres des deux Gou­
vernements. La Commission s e l a assistée én e rg iq u em e n t le m ouvem ent en trepris lui, que l ’am én a g em e n t in té rieu r soit a m é ­
p a r un s e c ré ta ria t général p e r m a n e n t ; p a r certain s r ésid a n ts m a n d ch o u s pour lioré et q u ’urr dispositif soit trouvé po u r
elle siégera, su iv a n t le s besoins, d an s u n a s s u re r l ’indépendance de l a , Man'dchou- em pêcher le froid de congeler le c a r b u ­
p a y s ou d a n s l ’au tre . Elle- com m encera r i e . . Le géhéral Honsho a reçu l’ordre r a n t t t réduire l’efficience des batteries.
d ’em pêcher tous les J a p o n a is de Mand— P erso n n e ne fut m alade, continue le
s»s tra v a u x d a n s le plus bref délai.
La Commission a u r a po ur tâche de p ro ­ c h o u n e de p rén d re p a r t à ce mouvement. capitaine, et, somme toute, à p a r t Je vile­
L a réponse à la note de M. Stimson se­ brequin perce-glace, qui refusa de m ar­
céder à l ’examen de tous les problèmes
économiques in té ressa n t les deux nations, r a envoyée au secrétaire d ’E ta t a m é ri­ cher, tout alla t r è s bien. Le « Nautilu» »
sa n s perdre de vue les in té rêts des tiers cain dès que le cabinet jap o n ais en a u r a est à Bergen ; il est tou jo u rs la propriété
et la nécessité de la collaboration in te r ­ a pprouvé le texte. Cette note confirmera du d ép a rtem e n t de la M arine et l’expédi­
nationale. Elle étu d ie ra n o ta m m e n t les que lés troupes ja p o n aises de Mandchou-: tion doit le faire r e n tr e r d a n s un port d©
moyens de fortifier et de développer les rie s ’ab stie n d ro n t de tout acte d ’hostilité l’Atlantique des Etats-Unis. Mais comme
«Mentes existantes, d ’en créer d ’a u tre s et dès que les troupes chinoises ne cherche­ il doit être désarm é en 1936, on p o u r r a it
r o n t p a s à p o rte r atteinte à l’existence et le vendre cù il est, si le G ouvernem ent y
H y a lieu, s u r des types différents.
aux bien,: as s r ésid a n ts ja po nais, ou à consent. Les 10.000 do lla rs q u ’il a coûté»
Elle ex a m in e ra l ’é tat actuel des échan
g*s com merciaux entre les deux pays avec e n tra v e r la libre circulation du chemin constituent un prix fort. L’expédition, elle,
a coûté d a n s les 300.000 dollar».
.e désir de profiter de (’expérience acquise de fer.
>,
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.
•
1
depuis la mise en vigueur du traité de I f y : , t
commerce de 1927. Elle m e ttr a à l ’étude
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là recherche en com m un de nouveaux déjjwM
___
a été entendu que cette é n u m é r a tio n
ne se ra it p as limitative.
Les r e p ré se n ta n ts des deux Gouverh*ments ont tenu à bien m a rq u e r que le u r
1
initiative n 'é ta it dirigée contre l ’écono­
mie d ’au c u n ‘ a u tre pay»..
Us déclarent
q u ’ils repoussent toute idée de tr o u v e r la
solution des problèmes posés d ev a n t la
Commission dans une augm* n ta tic u con­
C e st u ne peu ba
certée des d r / i t s de douane.
nale entrevue qui
En se m a in te n a n a t s u r le plan de l ’e f ­
celle qui a eu Uet
fort général p e u r lu tte r contre la crise
entre
Gandhi
*i
économique, ils teront uopel à la collabo­
Chariot.
ration des au tre s nations aussi souvent
C’est Charlie Cha
que l’objet considéré Je com portera. C’est
plin qui, désirem
ainsi, p a r exemple, que po u rro n t être étu­
de rencontrer le lea
diées des formules d ’accords in te r n a tio ­
der hindou, deman
naux en m a tiè re de n a v ig a tio n et d ’av ia ­
da au docteur Ra
tion commerciales.
tial de lui ménagei
Les r ep rése n tan ts des G ouvernem ents
une entrevue avet
allem and et fra nça is espèrent avoir ainsi
celui-ci.
i ;
jeté les bases d ’une œuvre constructive
Les deux grandi
ouverte à tous, première étape d ’une œu« silencieux » bavar
Ï I e d'ensem ble et r é p o n d a n t aux nécessi­
tés de l ’heure.
dèrent agréablemem
•'f
’•
*
-, N >
v
Une commission franco*allemande va être créée
La visite au Vieux Musée
W lD l
LE t m r o JAPONAIS
Le déjeuner des hommes d’Etat
Berlin, 28 septembre.
Les hom m es d ’E ta t fra n ça is
et alle­
m a n ds ont déjeuné a u j o u r d ’hui, à 12 h.
45, au Country Clade de l’AutomobiieClub d ’Allemagne. Le d éjeun er ava it lieu
complètement d an s l'irutimité. Y ont pris
pqrt, outre MM. Pierre Laval et Briand,
j
le chancelier B ru n in g et M. Curtius, M.
i A ndré-François Poncet, a m b a s s a d e u r fie
F ra nce à Berlin ; M. von Hoesch, a m b a s ­
j
s a d e u r d ’Allemagne à P a r is ; le secrétaire
d ’E ta t aux Affaires étran gères, \f. von
Bulow ; MM. Philippe Berthelot et Buis­
j son, etc.
Le déjeu n e r a eu lieu d a n s un cadre
tout à fait c h a r m a n t, le C ountry Clade de
l’Automobile-Club d ’Allemagne d o m in a n t
le lac de W annsee, avec une vue m a g n i­
fique s u r le fond du lac, vers Potsdam.
Les hom m es d ’E ta t fra n ç a is et leurs
co llaborateurs devaient prim itivem ent r e n ­
tr e r à Berlin en t r a v e r s a n t le lac en b a ­
teau j u s q u ’à W annsee, m a is éta n t donné
le temps incertain avec ses alternatives
d ’éclaircies et d ’averses assez fortes, le
re to u r s'effectuera en automobile, comme
l’aller.
f
GANDHI
et M e Chaplin
pendant une demi
heure.
Les journalistes
font une ovation aux ministres .
Cinq cents jou rnalistes, r e p ré se n ta n t la
de d I u s de trente pays, étaie n t m a s ­
ses ce son*, d a n s un des g r a n d s salons de
1 Hôtel Adlon, lorsque MM. Laval et Briand
y firent leur entrée, à 19 heures, po u r re n ­
dre public le com m uniqué qui fi,\e les ré ­
s u l t a t s de la conférence de Berlin.
Le P ré siden t du Conseil et M. Aristide
Briand fu rent l ’objet d ’une ovation à leur
entrée. M. F ra n ço is P oncet donna lecture
du com m uniqué qui provoqua encore de
nom breux applaudissem ents. Aucun com­
m e n taire ne fut ajouté à la lecture du do­
cument.
En s o r ta n t du salon, MM. Laval et
B riand d u r e n t s ’a r r ê te r quelques m inutes
p our poser ,1’un à côté de l’a u tte , d evant
les ap p a reils du film sonore, sous la clarté
aveuglante des projecteurs.
M. Laval prononça ces paroles : « En
tra v a illa n t à l’accord entre nos deux pays,
nous avons travaillé p o u r la paix ».
Les deux hommes d ’E ta t f u re n t alo rs
l ’objet d ’une nouvelle ovation.
W in» W O K J PHOTO.
p resse
Inauguration de la fontaine de Pont>à-Mousson
Spirituelle réponse de M. Snowden
à un député communiste
L ondres, 28 septembre.
A la C ham bre des Commune», en ré­
ponse a u député Wise qui lui pose plu­
sieurs questions relatives à la dette n a ­
tionale, M. Snowden, chancelier de l ’Echiquier, répond que s ’il faisait une décJaratiôn à ce sujet, il ne m a n q u e r a it pas de
faire allusion au fait que le G ouverne­
ment" de Moscou est redevable de plus
d ’un m illia rd de livres sterling à la G ra n ­
de-Bretagne. « E n c o n v a in q u a n t ses ami»
bolcheviques, ajoute M. Snowden, de s ’ac­
q u itte r vis-à-vis de l’Angleterre du p a ie ­
m e n t des intérêts d ’une année, l’h o n o r a ­
ble m em bre r e n d r a i t un g r a n d setvice à
son pay s. »
VAPEUR ANGLAIS ATTAQUÉ
PAR DES CHINOIS
C han ghaï, 28 septembre.
H i«r soir, p rès de K iangyin, soixante chi­
nois civils et m ilitaires, en arm es, sont
m ontés à bord du v a p e u r brita n n iq u e
« Tuck-Wo ». Après avoir b raqué leurs
revolvers s u r le ca p itain e et l’avoir forcé
à stoper, ils ont fouillé le navire, croy ant
y trou ver des arm e s et ae l ’opium. D ^;us
de ne rien trouver, ils ont m a ltr a ité plu­
sieurs Chinois faisa n t partie de l’e^ulpi.^*»
du navire.
DEUXIÈME PAGE
Dernière heur».
Le» miette» de l'histeir».
TltOlSlEM B PAGE
Deanièr» heur».
QUATllIEME PAGE
Le Saison
Ohronlque régionale.
CINQUIEME PAGE
Le» Sport».
La situation doryphorique dan» lo Puy-deDôme.
Bourse do Paris.
< . SIXIÈME PAGE
VUE GENERALE PENDANT L'INAUOURATION
T. 8. F.
-Â
» » ■ » •■ » ■ » •» •■ (» ■ R »
Notre Temps
LA JOIE D E VIVRE
•
Je pense que vous n'avez pas lu sans effroi
cette information publiée par tous les jour­
naux, qu'un savant américain {et il ne‘ pou­
vait être d'une autre nationalité, étant don­
né l'Importance de la découverte) venait de
trouver le moyen de prolonger la vie ’hu­
maine, en pleine jeunesse jusqu’à trots mille
ans pas moins.
•*
• Nous ne savions pas que Marseille était »n
Amérique.
Et, comme pour toute découverte, ce n ’e$t
bien entendu, qu'un commencement ; çe qu'un
savant trouve est toujours perfectionné par
un autre.
^
Si ta chose était exacte, il faudrait y voir
le signe le plus probant de ta fin du. monds
prochaine. La terre n ’est pas un balkth qui u
gonfle à volonté et il n'y aurait bientôt plus
assez de place pour tous les humains.
Songez aux embarras de Paris, au nombre
fantastique de nouvelles autos lancées, tom
les jours, dans la rue et d celui très restreint
des voitures qui tombent au rebut. Vous aper­
cevrez les résultats. On ne peut plus circuler.
Et supposez qu’un charron génial ou divin,
un de ces hommes dont parle le poète, sorts
de • dieu tombé qui se souvient d'cssicvCx »,
trouve demain, le moyen de fabriquer des
voitures inusables. OA Irions-noùs ?
Plutôt : Où n ’irions nous plus ?
Il en est de la circulation dans la vie, com­
m e de la circulation dans la ville
Ce savant américain ne rendrait pas à l'hu­
m anité un service notoire.
Au bout de quelque temps, nous aurions
tous très faim , faute dalim ents : très froid,
faute de combustibles. Nous serions tou» na«
ou presque, parce que trop nom breux relati­
vem ent aux anim aux dont nous tirons nos vê­
tements.
A moins qu'on ne trouve aussi le moyen de
prolonger la vie des anim aux.
Alors, ça, ce serait le bouquet !
Il est vrai que, pour éclaircir les rangs 4e
l'hum anité, il y aura toujours les grandes
catastrophes, telles que grippes espagnoles,
volcans japonais et guerres internationales.
Jean fU«TiL
L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
Le conflit sino-japonais
devant la S. D. N.
la crise de la livre sterling
Au Stock-Exchange
Londres, 28 septembre.
Au
Stock-Exchange,
faiblesse d u ster­
Genève, 28 septembre.
ling et stabilité des fonds d ’E tat. Le franc
Le secrétaire g énéral J e la S. 1). N. a fra n ça is cote 95 4, le dollar 3,75, le franc
«déclaré q u ’il est .vrêt à ad re sser aux bu- suisse 19 1/4, le w a r Loan 93 1/4, le con­
jreaux de la S. D' N., à Tokio et à N a n ­ solidé 52.
kin , des résum és de cette affaire devant
Les cercles financiers Insistent à n o u ­
le Conseil, po ur q u ’ils p uissent être p u ­ veau s u r la nécessité d ’un ta rif protec­
bliés.
teur pour les produ cteu rs britanniques.
Le re p r é s e n ta n t du Japo n, M. Yosh’zaLa livre remonte
w a , a exprimé sa profonde sym pathie au
docteu r O uang et le rep rése n tan t de la
P a r is, 28 septembre.
Chine, d octeur Szé, a remercié.
L a livre sterling a coté à la clôture du
M. Y oshizawa a pris ensuite la parole
p o u r exposer la situation du différend si- m a rc h é officiel des ch anges 99,75.
no-japonais.
Les libéraux restent opposés
La regrettable situatio n s u r laquelle
aux élections
l'a tte n tio n du Conseil s’est portée depuis
Londres, 28 septembre.
quelques jours, dit-il, est heureusem ent
en bonne voie d ’am élioration. Je tiens à
A une réunion du Comité consultatif li­
d ire combien vivement j ’ai apprécié les béral qui s ’est réuni à Londres a u j o u r ­
efforts du Conseil en vue d ’a s su re r la d ’hui, sous la présidence de Sir H erbert
paix.
Samuel, il a été déclaré à l’u n a n im ité que
M. Yoshizawa a le plaisir de pouvoir le p a r ti libéral s ’opposait énergiquem ent
a n n o n c e r au Conseil que le re tra it des à des élections générales.
tro u p es ja po naises se poursuit et que la
Un candidat travailliste
force des effectifs ja p o n a is stationnés à
K irin a encore dim inué depuis sa com­ en remplacement de M. Macdonald
m un ic atio n de vendredi dernier. En de­
Londres, 28 septembre.
h o r s de Kirin et de Moukden, le Ja p o n
Les délégués du p a rti travailliste de la
n ’a plus, hors de la zone du chem in de
fer, que des postes restreints pour proté­ circonscription de S eaha m ont été convo­
ger les ressortissants ja p o n a is contre les qués à une réunion qui a u r a lieu samedi
a tta q u e s de bandes de s o ld a ts .c h in o is et 11) octobre, au cours ae laquelle se ra choi­
de brig an d s qui r a v a g e n t actuellement si un ca n d id a t travailliste à la place de
M. Macdonald.
ces régions.
En te rm in an t, M. Yoshizawa a tenu à La dissolution du Parlement anglais
affirm er de nouveau que le G ouvernement
est proche
ja p o n a is n ’entretient auc u ne visée te rri­
toriale en M andchourie et q u ’il m ain tie n t
Londres, 28 septembre.
ferm em ent l’intention qui, depuis quel­
En réponse à une question de M. H en­
q u es jo u rs déjà, s ’est trad u ite en actes derson,
le prem ier m inistre a répondu
positifs, de réduire ses forces d a n s la zone
du chemin de fer, d a n s la m esure où la q u ’il espérait être, le 30 septembre, en m e­
sécurité de ses ressortissants et de leurs sure d ’an n o n c er la d ate de dissolution du
biens se ra effectivement assurée. M. Yo- P arlem en t.
Londres, 26 septembre.
eh izaw a a l’a r d e n t espoir qu'il lui se ra
M. M acdonald a ann oncé q u ’il pensait
iermis do réaliser complètement cette inpouvoir fixer mercredi la fin de la session
ention d a n s le plus bref délai possible.
parlem entaire. Il a réu n i ensuite au x
Réplique du représentant
Communes un Conseil de cabinet su r le­
quel on garde le silence, é ta n t donné que
de la Chiné
le premier m inistre se ra reçu dem ain en
Le r e p r é s e n ta n t de la Chine, docteur audience p a r le roi.
Szé, a entendu avec le plus g r a n d inté­
Ces faits confirment l ’impression que
rêt l’exposé du rep ré se n ta n t du Japon. Il l’on approche de la fin de l ’incertitude
a h a u te m e n t apprécié la déclaration du gouvernem entale et politique, et que la
Gouvernem ent ja p o n a is selon laquelle ce­ sem aine qui commence prom et d ’être dé­
lui-ci continue a re tire r ses troupes. 11 a u ­ cisive pour le pays.
r a i t été plus heureux encore si le Gouver­
On considère ce soir d a n s les milieux
n e m e n t ja p o n a is a v a it pu déclarer que politiques que mercredi a p p o r te ra la so­
toutes les troup es avaient été retirées ou lution escomptée, sa n s cependant é c arte r
bien q u ’il av ait pu fixer la date à laquelle entièrem ent l’éventualité q u ’à la faveur de
le d e r n ie r soldat ja p o n a is q u itte ra it le la porte de sortie que s ’est réservée le pre­
te rrito ire chinois.
m ier m inistre d a n s sa réponse à M. H en­
Le docteur Szé a rappelé que jeudi et derson, il ne puisse pas une fois encore
vendredi, il a signalé q u a tre a ttaq u e s d ’a ­ éluder un engagem ent définitif.
vions ja p o n a is s u r les tr a i n s Pékin-MoukEn conséquence et Dien que la
den où ne se tro uvaient que des civils.
a v e c laquelle cette a n n o n c e a été faite ne
Il dem ande si le Japon, en r e ti r a n t ses lui donne pas la valeur d ’une a ssu ra n ce
troupes, est décidé à ré ta b lir le sta tu quo précise, on semble lui attr ib u e r celle d ’u ­
ante. Il a constaté q u ’il ne s ’est p rod uit ne prévision gouvernem entale qui m é n a ­
en Chine au c u n incident contre des res­ ge cependant l’avenir.
so rtis s a n ts japonais.
Quelles décisions M. Macdonald va-t-tl
A son avis, le m eilleur moyen d ’accélé­ proposer dem ain à l ’a g ré m en t du Souve­
r e r le r e tr a i t des troupes s e ra it l’envoi ra in ? Trois solutions semblent possibles :
s u r place d ’une commission d ’enquète ; ou bien M. Macdonald réalise in extremis
m a is, p a r esprit de conciliation, il croit l ’agcord de tous les libéraux et des con­
que les deux p a rtie s p o u rro n t a r r iv e r à se rv a teurs et ce sont les élections s u r le
u n accord s u r les lieux, ce qui éviterait progra m m e n atio n al com mun qui dem eu­
l ’envoi d ’une commission d enquête.
r e n t son idéal ; ou il dem ande a u pays un
L a discussion entre les r ep rése n tan ts du m a n d a t de « m a in s libres » ; ou, disent
Ja p o n et de la Chine se poursuit au cours encore certains, la session p arle m entaire
de laquelle la question se trouve peu à est déclarée close et le cabinet continue
peu précisée. Il en résulte que d a n s l’es­ s a gestion.
p r it a u r e p ré se n ta n t de la Chine il ne s 'a ­
De même q u ’elle a proédé à la form ation
g ir a i t p as d ’envoi s u r place d ’une com­ du m inistère national, l ’au to rité du Sou­
mission d ’enquête, m a is si les deux p a r ­ verain jo u e ra su r son sort u n rôle décisif.
ties ne p o uv aien t p as a r r iv e r à u n ac­
c o r d s u r les lieux, le Conseil p o u r ra it y
aider.
Cette suggestion, approuvée p a r lord
P a r is , 28 septembre.
Cecil, se ra étudiée de plus près d a n s une
p ro ch a in e séance.
Un différend vient de s'élever entre les
négociants de la Bourse de commerce de
P a r i s et les exportateu rs de céréales des
bourses de B raila et de Constanza.
Ces derniers estiment que les contra ts
conclus a v a n t le 29 septem bre dern ie r
Un diner à l’ambassade de France doivent donner lieu à des paiem ents en
livre or et ils refusaient, s ’il n ’en était pas
Berlin, 28 septembre.
ainsi, toute livraison.
M. F ra n ço is Poncet, a m b a ssa d e u r de
Les négociants acheteurs considèrent au
F r a n c e en Allemagne, a offert ce soir, contraire q u ’ils sont en droit d ’exiger
d a n s les salons de l’am bassade, un d în e r l’exécution des engagem ents pris et des li­
de 72 couverts en l’h onneur du président vraisons promises et ne sont ten us d ’ac­
du Conseil et du m inistre des Affaires q uitter le m o n ta n t de ces dernières que
étrangères.
d an s la m onnaie prévue, quel q u ’en soit :e
Berlin, 28 septembre.
cours actuel.
MM. P ierre Laval et B riand quitteront
Berlin dem ain m atin, à 8 heures, p o u r
L ’exportation de l’or interdite
a r r iv e r à P a r is à 23 heures.
Î
Un différend à propos de la livre
MM. LAVAL ET BRIAND A BERLIN
L ’impression en Hongrie
Budapest, 28 septembre.
L a visite à Berlin de MM. Laval et
B ria n d est considérée p a r la presse honroise d ’a u j o u r d ’hui et p a r les jo u rn a u x
u soir, comme un véritable événement
historique de la politique mondiale et est
accueillie avec optimisme.
f
en Egypte
Le Caire, 28 septembre.
Le G ouvernem ent égyptien a décidé au
jo u r d ’hui d ’interdire les exportations d ’or.
Il a décidé égalem ent de relever les
droits de d ou an e d o n t est frappée l’im­
p ortation de ce rtain s articles d ont la v a ­
leur a dim inué, p a r suite de la baisse de
la livre sterling.
LES EVENEMENTS D’ESPAGNE La Norvège abandonne letalon or
Des grévistes incendient un magasin
Barcelone, 28 septembre.
Des in connus se sont présentés dans un
dépôt de m achines à coudre, ont arrosé
les portes a"ec de l’essence et ont mis le
feu. 40 caisses contenant des m achines
o n t été brûlées. Les ouvriers de cette m a i­
son étaie n t en grève depuis quelques se­
maines.
Les députés catalans
rendent compte de leur mandat
REVUE DE LA PRESSE
Oslo, 28 septembre.
Le G ouvernem ent norvégien annonce
’e l ’étalon or est tem p o rairem en t abanSonné en Norvège et q u ’il a mis i’embargo s u r l ’exportation de l ’or.
Le déficit du budget américain
New-York, 28 septembre.
Les dern iè re s statistiq ues fiscales font
prévoir que le déficit du budget p o u r ra it
d ép asser le chiffre de 300 millions de li­
vres.
Barcelone, 28 septembre.
H ier soir, place de la République, les
p a rle m e n ta ire s c a ta la n s ont rendu comp­
Une grande banque américaine
te aux h ab ita n ts de Barcelone de leur a t ­
ferme ses portes
titude au P arlem ent espagnol au sujet de
la discussion de l ’article p rem ier de la
P hiladelphie, 28 septembre.
Constitution. Une foule Immense a en ­
vahi la place. Des discours ont été pro­
L a « ITorth Central T ru s t Com pany »,
noncés du balcon du palais de la G énéra­ qui compte ici 5 succursales don t les dé­
lité.
pôts se chiffrent à plus de trois millions
Le président Macia, qui a fait son a p ­ de dollars, a fermé ses portes ce m atin.
paritio n entouré p a r les parlem entaires,
a été accueilli p a r des m anifestations d ’en­
thousiasm e. Le président Macia s ’est dé­
Mouvement administratif
claré sa tisfait de la t&che accomplie p a r
_
P aris, 28 septembre.
les parlem entaires et de la confiance que
Sont nom m és :
le peuple lui a toujours témoignée. Il a
P ré fe t de la Côte-d’Or, M. Callard p ré ­
recom m andé de rester ferme et calme.
fet de l’Orne.
P réfet de l’Orne, M. Natalelli, préfet de
D ’anciens ministres espagnols
l ’Aube.
rentrent à Madrid
Préfet de l’Aube, M. P eretti délia Rocca, préfet en disponibilité.
M adrid, 28 septembre.
S ecrétaire général de la préfecture de la
L es anciens m inistres du cabinet Bere n g u e r, le duc d ’Albe, MM. Julio W als Haute-Saône, M. Coldefy, sous-préfet chef
e t Montés Jovellar, sont arrivés a u j o u r ­ de cabinet du préfet de la Seine-Infé­
d ’hui à Madrid, v enant de Biarritz, où ils rieure.
se tro n v aien t ces temps derniers. Us vien­
nent se rendre
la convocation que Ja
Commission parlem ' ‘aire des responsabi­ Le Congrès de chimie industrielle
lités leur a fait conhuître au moyen de la
P a r is, 28 septembre.
« Gaceta de Madrid), le 18 courant. S’ils
Le 11* Congrès de chimie industrielle
n ’étaient pas venus d a n s le délai de 16 s ’est ouvert ce m a tin en Sorbonne, sous
jo u rs qui leur était fixé ils a u r a ie n t été la présidence de M. Deligne, m in istre des
d éc la ré s contum aces et jugés p a r défaut. T ravaux publics.
LA FETE DE LA « DESCENTE »
DE LA VIERGE DE VASSIVIERES
LES COMBINAISONS DE BERLIN
Jo u rn al des D ébats. — Les articles de la
MARDI 29 SEPTEMBRE 1931
Pour que les taxis stationnent
% place Gaillard
LETTRE A M. LE MAIRE DE CLERMONT-Fd
LES MIETTES DE L’HISTOIRE
(28 septembre 1830).
LES DEUX DUELS DE SAINTE-BEUVE
On n o u s com m unique la lettre su iv an te :
Les cérémonies qui, tous les an«, au début
Dans
l'Histoire de la presse, deux duels as­
à Ja fin de l’été se déroulent à Besse en
Les soussignés commerçants de la place
presse allem ande, les nouvelles tendancieuses et
l'honneur de N.-D. de Vassivières sont parm i Gaillard à M. le Maire de Clermont-Ferrand. sez originaux de Sainte-Beuve sont restés lé­
même sont beaucoup plus intéressants que les
gendaires.
plus pittoresques et aussi les plus émou­
Monsieur le Maire,
les déclarations officielles. Les voyages des vantes
Celui du 28 septembre 1R30 est asset curieux.
religieuses de la ré­
m inistres et les conférences ont leur appa­ gion. Lnm anifestations
Nous
avons
constaté
avec
plaisir
que
vous
de la statue miraculeuse
Comme on ne publiait pas encore les procèsreil conventionnel. Les com muniqués et le qui se fait montée
autorisez
les
taxis
à
stationner
place
Gail­
en juillet attire toujours un grand
cinéma en sont l’essentiel. On trouve tou- . roncours de population et le spectacle de cet- lard. Nous vous demandons par la présente verbaux de ces rencontres, la date n'est pas
absolument certaine , nous avons choisi dans
jour« à l’heure dite ainsi de quoi m onter une «a foule écai
_
liée sur la m ontagne aux pelou­ de rendre cet arrêté définitif.
petite m anifestation et allum er quelques ses fleuries
■ revêt
De nombreux clients ayant des courses à les lettres de contemporains, celle qui nous
un
charme
incomparable.
lampions.
sont obligés d’aller à Jatide pour trou­ parait la plus près de la vérité.
Mais la oérémonie de la « descente », qui faire
Le voyage de Berlin n ’a pas l’a ir de cons­ s’effectue
ver une voiture.
Sainte-Beuve était alors rédacteur du Globe,
dans
le
décor
autom
nal
presque
au
tituer une exception a ces médiocres usages. crépuscule est encore plus impressionnante.
L’absence de taxis place Gaillard nous étant dont le président du Conseil d'Administration
M. Laval, avant de partir, a paru avoir une
préjudiciable,
nous
pensons
Monsieur
le
Mai­
Favorisée cette année par une belle jour­
notion de ce qu’il ne voulait pas. C’est la née qui succédait à une longue série de bru­ re que vous ferez le nécessaire pour sauvegar­ était un certain M. Dubois, de Mantes, an­
cien professeur, helléniste distingué et que les
partie négative de son projet. C'est la plus mes et de froidure, la fête de la descente der nos intérêts.
claire. Lee grands sujets lui sont défendus. am ena à Vassivières, puis à Besse. une af­
Dans cet espoir, veuillez agréer. Monsieur juges des derniers jours du régne de Char­
Depuis six ans que la détente européenne, le fluence considérable de pèlerins.
le Maire, l’assurance de nos sentim ents les les X avaient condamné à quatre mois di
meilleurs.
rapprochem ent tranco-allem and et la fruterprison qu'il avait faits à Sainte Pélagie. Li­
Le
grand'm
esse
fut
célébrée
dans
la
chapelle
niie universelle sont annoncés, le résultat est de Vassivières par M. l ’abbé Langoile, curé
Suivent les signatures des commerçants de béré par les journées de juillet, il était revenu
la place Gaillard
néant. M. Laval semble décidé à ne pas rou­ d ’Ayat.
prendre sa place au journal. U présidait une
vrir les stériles et dangereuse« négociations
A 17 h. 30, un cortège se forma pour se
séance du Conseil d'Adm inistration assez im ­
qui ont abouti à des concessions de notre rendre à Besse. La statue de la Vierge, portée
portante. Sans y avoir droit, Sainte-Beuve,
part et qui ont été nulles pour les intérêts sur les épaules de robustes m ontagnards était
simple rédacteur, assistait A cette délibération
français. Souhaitons qu'il ne soit pas en­ escortée d une foule qui devenait de plus
et combattit, non sans vivacité, la manière
traîne par la politique d’effusions a sortir en plus dense à mesure que l’on s'approchait
de sa reserve.
de voir de Dubois qui, impatienté, lui dit .
de Besse
— « Mais de quoi vous mêlez-vous. M Sain­
On fit halte au Mèze, où fut tirée une pièce Une Brlvadoise victime d'une chute
d’artifice et puis la m arche reprit vers Besse,
te-Beuve, vous n'êtes propriétaire d'aucune
LE CAS DE M. BRIAND
avenue Charras
action du Globe ; et cela ne vous regarde
Dépêche de T oulouse (Lucien Romier). — où le cortège arriv a à la nuit tombée.
Vers 18 h. 30, avenue C harras, Mme Ma­ pas ? »
L’entrée dans la vieille cité pavoisée et il­
Le surprenant, au prem ier abord, est que M.
Briand ait fait une si belle carrière dans la luminée présentait un coup d ’œil unique et rie H éritier, âgée de 58 ans, d e m e u ra n t
Agacé, Sainte-Beuve riposta par le mot :
République bourgeoise, gui n'adm ire que les digne d’inspirer les artistes en quête de ré­ plàce Eugène-Gilbert, à Brioude, venue • Insolent ! » répété trois fois.
chercher d u trav a il à Clermont, a été
pessimistes. Mais cet nomme, en son âge miniscences médiévales.
Dubois qui plus tard a publié ses « Sou­
A l’église de Besse, le R P. Paul, des Ca­ victime d ’une chute.
mûr. sut corriger l'optimisme de son imagi­
venirs » a raconté ainsi celte scène :
nation p ar l’exercice supérieur d ’une faculté pucins de Clermont adressa à la foule qui
Une
plaie
sérieuse
à
la
joue
gauche
a
• Sainte-Beuve était mon ancien élève et
qui est, d ’ordinaire, le propre des pessimis­ s’entassait sous les antiques voûtes une allo­ nécessité son hospitalisation salle Fleury,
tes : la faculté de m anier les ressorts cachés cution em preinte du plus pur esprit de foi.
mon obligé. Je ne devais donc pas prendre
à
l’Hôtel-Dieu.
Après la cérémonie religieuse, les rues fu­
de la société et de jouer sans illusion avec
sur moi de provoquer mon adversaire en duel,
les faiblesses hum aines. Son savoir-faire d’ap- rent envahies par la foule joyeuse qui, long­
mais il fallait lui transmettre le rôle de pro­
Employés
indélicats
temps,
s’a
ttard
a
au
to
u
r
des
attractions
forai­
arence sceptique lui procura, auprès de la
ourgeoisie. le crédit spécial qu’elle accorde nes.
Delaigue Claude, 22 ans, formier, et Se- vocateur... Je saisis mon gant et j'en effleurai
Nous ne saurions term iner ce bref compte r in d a s Antoine, 27 ans, m a n œ u v re , em- le visage de Sainte-Beuve qui, en effet, m ’en
aux « sauveurs ». Le grand paradoxe ou, si
l’on veut, l’intérêt de la carrière de M. Briand rendu sans rendre hommage à tous ceux qui playéa aux établissem ents T orrilhon, ont demanda raison ».
est que sa fortune politique, favorisée par la s ’efforcent de m aintenir à cette belle fête son été surp ris, à leur sortie de l’usine, em p o r­
On se rendit sur le terrain où Sainte-Beuve,
bourgeoisie, l’a ramené, vieillard, à l’optl- caractère traditionnel, entre autres M. l’abbé
qui avait raillé son ancien maître qu'il ap­
ta
n
t
des
pn
eu
m
atiq
u
es
p
o
u
r
bicyclette.
Us
uiismc populaire de sa jeunesse.
Rolhion, curé-doven de Besse et toutes les
pelait Dubois de la Gloire Inférieure, parce
personnes qui veillèrent à la parfaite orga­ ont été mis en é ta t d ’a rre sta tio n p a r la qu’il était de Nantes, Sainte-Beuve donc, par
nisation du corege. Félicitons enfin les h a­ brigade de g e n d a n n e rie de Chamalières, rut avec une paire de pistolets datant du
LA PO LITESSE
bitants de Besse d’avoir conservé aussi bien présentés au P a r q u e t de Clermont et
temps de François /•» et qui marchaient assez
Le M atin (J. Joseph-Renaud). — La poli­ les pieuses coutumes de leurs ancêtres en dé­ ëcroués à la maison d 'a r rê t.
mal.
tesse fait mieux que faciliter les rapports en- corant leurs demeures. Certaines rues, no­
tre les individus. Elle est la premtlèitre règle tam m ent la rue Mercière avaient un aspect
Les balles furent tirées sans résultat ; les
Grave
imprudence
d'un
cycliste
féérique
m
ais
partout
se
m
anifestait
le
souci
de l’altruism e. Caton se croyait
n< pour
ut né non
deux journalistes se réconcilièrent aisément
_M. Lecomte Charles, 28 ans, d e m e u r a n t et ils rentrèrent ensemble au journal.
lui seul, m ais pour tout le monde. Goethe d’honorer pour le mieux N.-D. de Vassivières,
disait : « Il n'y a aucune règle île courtoisie reine de ces montagnes.
25, ru e de Bien-Assis, employé au g a ra g e
Sainte-Beuve avait déjà eu un duel qui était
qui ne constitue en même temps un principe
Chevrolet, à Chamalières, a y a n t une cour­ assez plaisant. Comme il pleuvait, le célèbre
-------------------------------m oral ». La politesse est aussi un exercice
se urg ente à effectuer à Clermont, priit u n critique parut sur le terrain avec un para­
constant de volonté. Elle oblige à réprim er
vélo au g a ra g e et descendit à toutes p é d a ­ pluie qu'il ouvrit pour s'abriter pendant l’acses instincts, à dompter l’anim alité hérédi­
les l’avenue de Royat.
taire, à être bon, à « se surm onter ». Ainsi
tion.
L a bicyclette éta it à roue libre et d ém u ­
comprise, elle atteste la supériorité mentale
Comme les témoins de son adversaire lui
d ’un individu, d’une nation, d’une race. Elle
nie de tout système de freinage. Si bien faisaient remarquer que c'était contraire A
a resplendi pendant toutes les grandes épo­
q u ’arriv é à la h a u t e u r du r e s t a u r a n t M a r­ l'usage .ques de notre histoire.
tin, le cycliste perd it Je contrôle de sa ma— « Qu'importe dit Sainte-Beuve ; je veux
Est-il possible de la rem ettre en honneur
chne, fit u n e brusque em bardée s u r s a bien courir le risque d'être tué, mais je ne
chez nous ?... Certes !... Pour la ranim er, il
gauche
et
vint,
à
toute
vitesse,
don
ner
têy
suffit de bien discerner les causes de son af­
veux pas être m ouillé et attraper un rhume
te baissée contre u n tra m qui m o n ta it s u r de cerveau. »
faiblissement actuel, ce qui n'est pas très dif­
ficile...
Royat.
On se m it à rire, on se réconcilia sous l’a­
Le w a ttm a n , devant le danger, a v a it te n ­ verse et on alla déjeuner gaim ent dans une
té et réussi, la seule m a n œ u v re qui lui était auberge voisine.
J ean-B ern a rd .
permise. Il avait bloqué ses freins et le
véhicule s ’était a r rê té s u r m oins de deux
mètres.
Le cycliste, dont la tête ava it porté tr è s
exactement d an s la lan tern e de la motrice,
gisait ina n im é sous l’a v a n t du tram . Il
Un, deux : on compte ju s q u ’à deux les
pe rd a it son sa n g en abondance d ’une bles­ su rv iv an ts de la I gnée des luthiers qui
A U J O U R D ’H U I
su re profonde à la tête et d’une au tre à ont fait autrefois la célébrité de Jenzat
F êtes à so u h a iter
S a in t Jérôm e, sa in t
ta ja m be droite.
(Allier). Claude P im p a rd , qui vivait ol
H onoré.
A l ’Hôtel-Dieu, où il fut tr a n sp o rté te n ait son atelier comme les luth iers d«
d ’urgence p a r l ’am bulance municipale, Crémone, est m ort il y a si peu de mois :
— L ever du soleil, 5 h. 46 ; coucher,
l’on c o n s tata que la collision a v a it provo­ c’est un peu de l ’a r t des Vielles à Jenzat
17 h. 36. L ever de la lu n e , 18 h 19 ; coqAurillac, 28 septembre.
qué u n enfoncement de la boîte crânienne.
cher, 8 h. 28.
D im anche dernier, vers 13 h. 30, entre Il avait, en outre, la ja m b re droite brisée, qui s ’en va avec lui...
On a s sig n e ra difficilement u n e date, u n
--------les g are s de Miécaze et N ieudan-Saint- et l a rotule g auche fracturée.
com mencem ent à « l’industrie » des .viel­
Victor, au lieu dit « Passevite », où se
Son é ta t est désespéré.
les à Je n za t Un c h a p ite a u décoratif de
trouve u n passage à n iveau, témoin de
l’église ro m an e de la petite citée repro duit
plusieu rs accidents très graves, une a u t o ­
Une
rixe
Herbet
exactement u n vielleux de l ’ancienne éco­
Modiste, 10, r u e Gauitier-de-Biauzat
mobile qui se d irig e a it s u r A urillac a
Téléphone 22-85
Vers m inuit 30, à la sortie d ’un dancing, le et ceci fait u n écho délicieux à la joli«
fra nchi la b a r r iè r e fermée et s ’est jetée
s u r le t r a i n de voyageurs n° 2.911, d ’Ey- rue Claude-Guichard, des jeunes gens ont légende du « Jo n g le u r de Notre-Dame ».
p résen tera sa collection d 'H iver
g u r a n d e à Aurillac, qui arriv e d a n s cette vidé, à coups de poing et de couteau, u n Vous vous souvenez de ce Miracle de notre
à p a rtir de ven d red i 2 octobre
différent surv enu au sujet d ’une aim able litté ra tu re du Moyen-Age q u ’a illustré la
ville à 2 h. 10.
A cet endroit, la route n atio n ale n ° 120 beauté, employée comme balayeuse p a r les m usique de Massenet... Le c ha pite au m on­
tre encore très bien le vielleux d a n s a n t
est en ligne droite de p a r t et d ’a u tre du services m unicipaux.
L ’un d ’eux, C h a u ta rd Je an-P ie rre , 29 s u r la tête d evant l ’im age de la Vierge.
passage a niveau. La visibilité est excel­
Q uant à la réalité, ceci commence com­
lente. C ependan t l’automobile, u n cabrio­ ans, né à Grandif, employé chez un c h a r ­
let 6 CV. R enault, a r r iv a it à toute vitesse cutier de la rue des Deux-Marchés, a r e ­ me font les belles histoires. Il y ava it une
s u r la b arrière. Le pilote essay a it d ’a r r ê ­ çu force horions et a dû se faire soigner fois un bon curé de cam pagne qui sa v ait
de la m usigue où il p r e n a it de l’agrém ent.
ter son véhicule en b r a q u a n t la direction à l ’Hôtel-Dieu. Un au tre , D ernier Adrien
INSTITUTION 8AINT-ALYRE
L a rentrée a u r a lieu le jeudi soir 1er oc­ à gauche. L a voiture p é n é tr a it d a n s le 19 ans, m a n œ u v re , a été hospitalisé, a y a n t Un jo u r qu il m éditait s u r la prière de 6on
tobre p o u r les inte rnes et le vendredi 2 fossé m a is en re sso rta it sa n s que son élan été « piqué », légèrement d ’ailleurs, en tre église il résolut d 'a v o ir une «vielle po ur
accom pagner la voix des c h a n tre s : son
octobre, à h u it heures, p o u r les externes soit coupé et a lla it se r a b a ttr e d a n s la les omoplates.
b a r r iè r e fermée du p assage à niveau, Ni l’un, ni l ’autre, n ’ont pu d onn er de r e n ­ neveu, jeune, jo u e ra it de l’in stru m e n t. Et
et les dem i-pensionnaires.
q u ’elle enfonçait.
seignem ents s u r leurs adv e rsaires qui Je neveu jo u a comme il a v a it été prévu
A ce m om ent la locomotive du tr a in avaien t pris la fuite, comme eux d ’ailleurs, p a r le bon oncle. Mais il se m a r i a comme
PENSIONNAT DE QARÇON8
chacun se m a rie un jour, et le p rêtre qui
2.911 p arv e n ait à h a u t e u r de la b arrière. à la vue des agents.
OE PONTGIBAUD
a v a it moins de goût p o u r la m usique,
Elle finissait d ’a r r a c h e r cette dernière et
comme au tem ps où il était plus jeune,
La rentrée des classes a u r a lieu le jeudi bousculait l’automobile qui allait s ’éc ra­
La dispute sanglante de Mezel
d onn a la vielle en dot qui sortit ainsi de
l*r octobre p o u r les in te rn es et le lende­ ser d a n s le fossé droit de la voie. Le p i­
Louis Lerry, qui a porté, l ’a u tre soir, u n l ’église. Cette vielle devait plus ta rd ser­
lote de l’autom obile était projeté hors de
m a in pour les externes.
Les autobu s p a r te n t de Clermont, rue son siège p o u r aller s ’ab îm er entre les coup de couteau à R obert Bellizat, a été vir de modèle au neveu devenu s o u d a in e ­
M aréchal-Foch, le m a tin , à 6 h. 50 et le ra ils de la voie, ap rè s avoir eu u n pied présenté hier au P a r q u e t et écroué à la ment, et comme p a r vocation, luthier. Et
maison d ’a rrê t ap rè s in te rroga toire de M. ceci se p a s s a à Jenzat.
soir, à 5 heures, place G aillard et rue Ma­ sectionné p a r un e roue de wàgon.
Après une course de 150 m ètres environ, P ython, iuge d’instruction.
Depuis, on a toujours fabriqué des viel­
réchal-Foch.
S ur l’état de la victime, qui a subi l’opé­ les à Je n z a t où le modèle est resté et se
le tr a in réu ssissait à s'a r rê te r. On r e tr o u ­
vait la b a r r iè r e tord ue à une centaine de ration de la la parotom ie, il ne semble pas voit encore...
EGOLES DE FONTGIEVE
m ètres de l ’accident. Q u an t à la victime, que le docteur A. Fiollet puisse form uler
On définit assez bien la vielle, « u n ins­
La rentrée des classes é ta n t fixée au ven­ qui av a it perd u connaissance, elle était un pronostic d ’ici quelques jours.
tr u m e n t à cordes, agréable, brillant et bon
dredi 2 octobre, la Directrice et le Direc­ im m édiatem ent placée d a n s un c o m p a rti­
p o u r jo u e r seul et faire d a n s e r » sa posi­
te u r seront à la disposition des familles m e n t et tr a n sp o rté e à A urillac et de là à
Suites mortelles
tion est bien curieuse. On l’attache avec
les m ercredi et jeudi, de 10 heures à midi, l ’Hôpital-Hospice.
d’un accident de mine
une ceinture de cu ir a u to u r du corps, l’em ­
et de 14 heures à 16 heures.
Il s ’ag it de M. Joseph Gourdy, 20 ans,
p ê c h a n t ainsi de vaciller. O rdinairem ent,
Saint-EIoy-les-Mines, 28 stpium iu*.
dont le père est no ta ire à Goufie (Corrèle vielleux est assis, su r sa cuisse gauche
L’ou vrier polonais Knbacisnki F rancis- il retient la tête de l ’in stru m e n t m onocor­
ze). Le jeune hom m e v ena it voir des am is
ECOLE D'APPLICATION (JAUDE)
à Aurillac. L’état du blessé inspire de zek, âgé de 39 ans, victime u un eLouleui^nt de, as su re le corps de la vielle s u r la c u is­
Le Directeur de l ’Ecole d ’application très vives inquiétudes.
aux Houillères de Saint-Lloy, d«jnt nous se droite et renverse le clavier en dessous
(Ecole de Jaude), recevra les familles m er­
Les causes de cet accident p a r a is s e n t avons parlé d an s l ’un de nos derniers n u ­ po ur perm ettre aux touches de mieux re ­
credi 31 et jeudi l #r, le m a tin de 10 heures très obscureSj d ’a u t a n t plus que M. Gour­ méros du jo u rn a l, a y a n t été tr a n sp o rté à venir. U joue de la m a in g auche ta n d is
à midi et le soir, de 15 heures à 18 heures. dy co nnaissait la route et l ’existen ce d ’u n la clinique du docteur P iq u a n d , à Montlu- que sa droite actionne en rond la m anivel­
Se p rése nter au b u re a u de l ’école (3* é ta­ passage à niveau à cet endroit.
çon, pour y recevoir les soins que nécessi­ le q u ’il retient d a n s la paum e, les doigt«
ge). E ntrée rue du Théâtre.
------------------------- ta i t son état, y est décédé d a n s la matinée légèrem ent repliés.
Les p a r e n ts des nouveaux élèves sont
du 28 septembre.
On trouve à la vielle des cordes comme
in sta m m e n t priés de faire inscrire leurs
au violon et deux de plus. Deux corde«,
en fa n ts m ercredi et jeudi. A pporter un
Collision mortelle entre auto et moto les chanterelles s'ac co rd en t en sol ; un«
bulletin de naissan c e ou le livret de fa­
au tre , la trom pette s'accorde en do ; une
Moulins, 28 septembre.
mille.
M. Joseph Thomas, 32 ans, .tailleur à autre, la Mouche à l ’octave de la C han­
--------------------Vieure, é ta n t à motocyclette, est entré en terelle. La cinquièm e corde dite le Petit
INAUGURATION OU RESEAU
collision avec une automobile. Il a suc­ Bourdon donne le do octave de la T rom pet.
U t 3 e t 4 oetobre 1931
te et la sixième, le Gros B ourdon b o u rd o n ­
combé presque aussitôt.
ne le sol octave au dessous de la M ouche.
54, ru e d u P o rt
PaOGRAMMZ
Enfin, voici la grosse difficulté de le
Un vol de 10.000 francs
Sam edi 3 octobre
retour de Paris, avec les dernières
vielle : c’est la roue. S ans la roue p a i
C
h
a
m
p
s-su
r-T
a
re
n
tain
e
(Cantal).
8 h., Montcel ; 8 h. 30, Jozerand
nouveautés de la Saison :
de vielle. L a roue est à la vielle ce* qu«
9 h..
; 9 h. 30, St-HlJair«-la-Croix 10 h.,
M. Jouve Jean-Baptiste, c o u rrie r de 1 archet est a u violon. Bien m a n œ u v r e r le
ROBES, MANTEAUX, FOURRURES Champs
St-Pardoux ; 10 h. 30, M arcillat ; 11 h.. St- Cham ps (Cantal), à Bort (Corrèze), s ’a p e r ­ roue, c ’est jo u e r de la vielle. Les plu«
—
et LAINAGES DE LUXE —
Quentin ; 11 h. 30, St-Gal ; 12 h., Pouzol’ (dé çut jeudi q u ’un vol avait été commis chez
Jeûner) ; 14 h., Lisseuil ; 14 h. 30, St-Rémv- lui, une liasse de 10.000 fra n c s a v a it dis­ sû r s vielleux de chez nous savent do n n er
au tou r de roue la v aleu r d ’une m esu re
de-Blot ; 15 h., Châteauneuf-les-Bains ; 15 h 30 p a r u de sa caisse.
en musique selon q u ’il s 'a g it d ’une ronde,
Queuille ; 16 h., Vitrac ; 16 h. 30, St-Angel ;
H déposa une plainte à la gendarm erie. d 'u n e blanche, d ’une noire ou d ’une cro­
17 h., Charbonnières.
Une enquête menée nvec pru dence permit che. Deux tours de roue m a rq u e n t la ro n ­
Dimanche 4 octobre
de découvrir la coupable, Marie Malguid, de alors q u ’un tour suffit à la blanche un
A partir de 9 heures, visite des stands de
l’exposltjon des appareils électriques utili6és femme Lebeau, qui pressée de question«’ dem i-tour à la noire et un q u a r t de lour
N ous recevons la lettre su iv a n te :
fit des aveux et rem it la somme de 8.900 f r ’ à la croche...
par les cam pagnes (agriculture et artisanat)
C lerm ont, le 28 septem bre 1931.
A U heures : Réception des autorités et des qui lui restait.
Bien d ’a u tre s règles s ’a p p liq u e n t enco­
arlem entaires, route de Charbonnières-lev
Elle a n éa n m o in s été arrêté e et tra n sfé
M adam e la D irectrice,
re au jeu de la vielle. Elles « 'a p p re n n e n t
jellies et visite du poste de distribution de rée à Aurillac.
avec les m a ître s: il fa u t les voir... S ’il» o n t
R e n tr a n t de voyage ce m a tin , je lis, l’énergie éU ctrique aux communes du syn­
la blouse com me a u tre fo is et le la rg e c h a ­
d a n s votre n u m éro du d im an ch e 27 cou­ dicat.
peau ou encore le costum e vieux bourbon­
r ant, ce q u i su it :
A 11 h. 30 Visite de l’exposition p ar les
n a is c'est to u t sim plem ent ra v issa n t. L eurs
D a n s
l e s
C i n é m a s
« La nouvelle des difficultés éprouvées autorités.
au b a d es et le u rs bourrées vous em plis­
A midi, grand banquet sou* la présidence
p a r la B anque N atio n ale de C réd it s ’ésent 1 Ame de gaieté : je les aim e, c a r
« ta it ré p a n d u e à C lerm ont où la B anque d ’honneur de M. Clémentel, président de la
P r o g r a m m « Su
t s «eptem br« a u i»’ octobro
Commission des Finances du Sénat, président
elles so n t p o u r moi com m e une louange
<« a u n e su ccu rsale, et a provoqué m e r du
NOVILTY. - Tou» les « olrs, à 30 h. AS. M a ti n s «
Conseil général, ancien m inistre et la Dréim m ortelle de l'an c ien n e province, u n e
« m a tin u n e c e rta in e effervescence à l’in- sidence effective de M. le Préfet et des P ar­ les Jeudi», d im a n c h e s e t fêtes, à 15 h e u re s.
<« té rie u r et d ev an t l’en trée de l ’im m euble lementaires du Puy-de-Dôme.
La m e ille u re o p é re tte ré a lis é e a u c in é m a p a r ­ p a r t de son âm e anccsitrale. — D. L.
« où so n t in stallés les b u rea u x de la BanA 15 h. 30 : Conférence par M. Caron, In­ la n t. Lo C hem in du P arad is, im m e n s e succès a re c
« que. Les gu ich ets o n t d û être ferm és. » génieur agronome à la Compagnie Hydro­ L ilia n H a rv e y «t H e n ri G a ra t. - M am an Colibri,
VI«, u n e c o m é d i e é m o u v a n t e a v e c N o r m » S h erer —
Je tien s essen tiellem en t à vous d ire q u ’à électrique d ’Auvergne su r ; L'Electricité à la d ’a p rè s H e n ry B a ta ille nvec M a ria J a c o b ln l e t J e a n Parada
4«a Haricot«, d e ssin s anim és aonoraa. —
O ax — Les A c tu alités, etc..
au c u n m om ent les g u ich ets de la S u ccu r­ Ferme.
A
c tu alité» p a r la n te s e tc .... a tc ...
A 16 h e u r e s : C a u s e r ! « n n r tu
a »
O I R Q O V I A — M atin ée s to u s les
J o u rs (s a u f ven­
sale de la B anque N atio n ale de C rédit à
CINEM A PATHB-OAM EO. - Tou* le« Jo u r« , a o l.
d re d i), à 14 h ., 45 S o irée * 9 0h 45
Clerm om t-Forrand n ’o n t été ferm és
ré e à 90 b 45 ; d im a n c h e m a tin é e s à 14 b e u r r a a t
Le film to u r n é lo rs de la P o lr e -lip o e ltio n d#
sont restés ouverts, com me les a u tre s
16
h 45 . J eu d i m a tin é e A U b 46
C le rm o n t — Le ré c e n t su ccès d u O a u m o n t-P a la c e
médis de sem ain e an g laise, de 9 h eu re s dé Blot-l’E*
Oam«o «ournal. o rg a n e d ’in fo r m a tio n p a r l ’é c r a n
Passep ort 13.444, film p a r la n t, in te r p r é té p a r T aLa T errent d« flam m e«, co m é d ie d ra m a tk iu «
à m idi.
sons fleuries doté de nombreux prix.
n ia F é d o r. R ené F e rté , M a rie d e
L ’ts le
e t Léon
a v ec M alco lm M ac G re g o r. P a u lin e C a ro n e t M a n
V euillez ag ré er, M adam e la D irectrice
Grande fôte foraine, bals, manèges,
M a th o t
C a r r. - A lib i, g r a n d film p o lic ie r in te r p r é té n a r
l’a ssu ra n c e de m a co
ératio nn dd istin
is tin-. ’ A 18 J». 30, Illum ination générale.
co nn sid
sid ératio
RI ALTO-PAL A G I. - T o u s les s o irs , à 90 h. 45
C h e s te r M orrt*. H a r r y S tu b b s . Mac B usch at
Les discours, la conférence e t la causerie
guéa.
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seront d:ffusés par haut-parleurs.
Le D irecteur :
L e P rocu reu r Hallore, u n e tr o u b la n te co m é d ie
Le Président .- A. Guyot,
d r a m a tiq u e p a rlé e en fr a n ç a is av ec J e a n M ax ;
Illisible.
Conseiller général. Maire de Blot-l'Eglise. G eo rg es C o llin e t C o lette D a rfe u ll. — Au Pli de la
La publicité tfc r « Avenir • act la m alllew e
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MARDI 29 SEPTEMBRE 1931
L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
DERNIERE HEURE
Un attentat contre le ministre
inaugure la « Maison des Ailes » chinois des Affaires étrangères
M. D O U M ER
N an k in , 28 septembre.
De nom breux étudiants, m écontents de
la décision de la S.D.N. au suje t des évé­
nem ents de Mandchourie, ont, ce m a tin
a tta q u é M. Ouang, m inistre chinois des
affaires étrangères, d a n s son bu rea u du
ministère. Ils l'ont frappé violemment à
la tête et au corps et l'a u r a i e n t tué si les
fidèles employés du m inistre ne l’avaient
au ssitôt emmené d a n s une automobile.
Voici des détails s u r l’a t te n ta t :
M. O uang était d a n s u n b u r e a u lors­
q u ’une bande d ’étu d ian ts envuhit le m i­
nistère des affaires étrangères, b r isa n t et
saccageant tout. On le p r ia de p a rtir. Il
refusa énergiquem ent d isa n t : « Je resterai
à mon poste et po u rsu iv rai m a tâche même
si je dois périr s u r place ». Et il était
tranqu illem ent assis d ev a n t sa table
uan d les énergum ènes firent irru p tio n
an s la pièce et le frapp èrent avec tout ce
qui leur tom ba sous la main. Il eut bien­
tôt la moitié du corps et la tête tout en
sang. 11 a u r a i t ce rtainem ent succombé
sa n s le courage de son personnel qui, pé­
n é t r a n t d a n s son bu rea u p a r la fenêtre,
ap rès une lutte violente avec ses ag re s­
seurs, p a rv in re n t à l ’a r r a c h e r de leurs
m ains. Ils l’em portèrent, en p a s s a n t p a r
la fenêtre, d a n s une automobile qui le
r a m e n a à son domicile.
Syrie, 28 septembre.
On n ’éprouve pas de crainte im m édiate
Les av ia te u rs Goulette et Sahel, qui se
r e n d a n t à M ad ag a sca r, ont a tte r r i hier pour la vie de M. Ouang. Il a trois fortes
blessures à la poitrine ainsi que de n o m ­
soir à 16 h., à Syrte, v e n a n t de Tunis.
breuses entailles et contusions à la tête, au
*
♦ *
corps et aux jambes. Le présiden t C hang
Les av ia te u rs Goulette et Sahel, qui Kai Chek a fait en to u re r d ’un fort cordon
a v a ie n t a t te r r i â Syrthe h ie r soir, à 16 de troupes le domicile du m inistre, avec
heures, ont repris leur vol à 20 h. 50, en l’ordre de tirer sa n s pi'tié s u r quiconque
direction d ’Assouan. P a r suite d ’une fuite te n te ra it d ’entrer.
d'h uile, ils ont dO a t te r r ir ce m atin, à
La p lu p a rt des ém eutiers de ce m a tin
6 heures, à Borg el Arab, près d ’Aboukir, étaient des étudiants de Chan ghaï. Une
a p rè s être rem ontés vers le nord pour 2® colonne de 2.000 étu d ian ts est en route
fu ir la zone désertique au-dessus de la ­ et des instru c tio n s ont été données pour
quelle ils se trouvaient.
faire a r r ê te r leur tr a in et les faire fouil­
ler p a r la troupe, a v a n t q u ’ils atteig n en t
N ankin.
Melun, 28 septembre.
A ï. D oum er a présidé a u j o u r d ’h ui H .fa u g u ra tio n de la Maison d e s Ailes, a
■Echou-Boulains. Cette œuvre a été fondée
Igràce à Mlle Suzanne Deutsch de la Meurthe qui a fait don du ch â te au de Bou*
lains.
, ,
.
. . .
M D oumer a été salué p a r le m a ré c h a l
F ra n c h e t d ’Espérey, p réside n t d u Conseil
d 'a d m in istr a tio n ; Sille Deutsch de la
Meurthe ; MM. J.-L. Dumesnil, Charles
D um ont, les députés et sé n a te u rs de la
région.
Le m a ré ch a l a souhaité la bienvenue au
chef de l ’E ta t qui a complimenté la fon­
d atrice et tous les o r g a n isa te u rs de la
Maison des Ailes.
M. Dumesnil a remercié Mlle Deutsch
de la Meurthe a u nom de l’av iation f r a n ­
çaise.
Au cham pagne, des toasts o n t été p ro­
noncés. M. Doumer, ap rès une longue p ro ­
m e nade d a n s les b âtim ents et les ja rd in s,
est r e p a rti à 16 heu re s pour P a r i s «t
Rambouillet.
Ol .*
Sou­
t e et
endre
duel,
e pro­
leu rai
m ’en
3
LE RAID PAR1S-MADAGASCAR
euve,
il apparce
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ît du
assez
les
ém ent
1 était
élèbre
parat l'ac­
re lui
ire à
Le retour du « Graf-Zeppelin »
LA REBELLION DE BIRMANIE
Arles, 28 septembre.
T.e « Graf Zeppelin », qui vient d ’ac­
R ango un, 28 septembre.
com plir sa deuxième liaison postale avec
l ’Amérique du Sud, rejoin t sa base de
Les rebelles continuent à faire preuve
Friedricnsh afen. Il a été signalé ce m a tin d ’activité d a n s les parties soulevées de
au-dessus d ’Arles, à G h. 20, volant à fai­ B irm anie. Samedi, une q u a r a n ta in e d ’en­
ble altitude.
tre eux se sont em parés, p a r surprise,
d'u n village, e m p o rtan t les fusils et les
Lyon, 28 septembre.
Le « Graf Zeppelin » a quitté la vallée m un itio n s des sentinelles. Vendredi, une
du Rhône en raison du brouillard et se douzaine de rebelles ont a tta q u é une villa
isolee d a n s la forêt.
d ir ig e v ers Genève.
A la suite d ’u n i attaq u e de la gare de
F rie d rich sh a fe n , 28 septembre.
P adigon p a r les rebelles, jeudi dernier,
Le « Graf Zeppelin », de re to u r de son trois détachem ents de policiers envoyés a
voyage en Amérique du Sud, a a tte r r i à leu r poursuite les ont rejoints d a n s u n
F rie d rich sh a fe n à 11 h. 40. Le dirigeable m on astère où ils s ’étaient réunis. 17 hom ­
a v a it à bord, outre son équipage, sept mes, p a rm i lesquels se tr o u v a ie n t deux
p a s sa g e rs et 170 kilos de c o u rrie r postal. prêtres, ont été arrêté s, m a is 15 des re­
belles on t pu s ’enfuir en e m m en a n t deux
canons.
s l’as une
a rd .
un
LE CONGRES DE LA NATALITE
A TERMINÉ SES TRAVAUX
ivielde
d u it
écojolie
je ».
otre
é la
üonsant
Grenoble, 28 septembre.
Le 13* Congrès de la n a ta lité a term iné
•es trav a u x . Trois cérémonies principales
com posaient le p ro g ra m m e de cette der­
n iè re iournée : une réunion le m a tin , à
9 h. 30, à la Cham bre de commerce ; un
b a n q u e t au P ala is de la Houille blanche,
et une remise solennelle de décorations et
m édailles a u x m ères de familles no m ­
breuses.
M. Boverat a présidé la réunion à la
Cham bre de commerce. 11 a abordé le
problèm e d ’une politique de natalité.
C o m p a ra n t nos efforts législatifs avec ceux
d ’une nation arnie, l'Italie, il a term iné
e n so u h a ita n t de voir la F rance do n n er
aux m eres de familles nom breuses les
c om pensations et les allocations q u ’elles
m éritent.
Un banquet de 600 couverts a réuni au
P a la is de la Houille blanche les congres­
sistes.
t.
Icomune
vait
ent.
son
pour
son
. Et
révu
nm e
qui
que,
une,
i de
se r­
ineEt
C
Congrès international de policiers
viel-
Une désespérée se noie
dans le lac du Parc de la Tête d’Or
Lyon, 28 septembre.
Hier soir, d a n s des circonstances assez
m ystérieuses, M. Claude P a r re l, 28 ans,
cu ltivateur à Soucieu-en-Jarrez (Rhône),
et Mlle Simone P a r r a u d , 17 ans, qui lon­
geaient la berge du lac du p arc de la
Tête d ’Or. étaient tombés à l ’eau. Le je u ­
ne homme était p arve nu â r eg a g n er la
berge, ruais la jeune fille s'éta it noyée et
on avait repêché son corps p a r 0 m. 80
de fond.
Interrogé, le rescapé n ’ava it pu r a ­
conter d ’une façon explicite ce qui s ’était,
passé et le com missaire, j u s q u ’à plus a m ­
ple inform é, l’ava it g a rd é à sa disposi­
tion. Questionné a u j o u r d ’hui, M. Claude
P a rre l a expliqué q u ’il était venu à Lyon
pou r signifier à la je une fille que son père
s ’opposait à leur m ariage. Celle-ci, déses­
pérée, s ’était jetée à l’eau en l ’e n t r a în a n t
avec elle. Ces d éc la ra tio n s ont été confir­
mées par son père. M. P a r r e l a été ce
soir rem is en liberté.
t ne
J E U N E S B A N D IT S
P aris, 28 septembre.
Le Congrès de police in te rn atio n a le s’est
Aix-en-Provence, 28 septembre.
o u v e r t ce m a tin à la Sorbonne, sous la
présidence de M. Cathala, sous-secrétaire
Un groupe de jeunes gens q u ’on so u p ­
d ’E ta t à l’In térie u r, en présence de M. çonne d ’être les mêmes qui ont attaqué,
Chiappe, préfet de police.
samedi soir, plusieurs m ilitaires, ont a s ­
Apres l ’allocution de bienvenue p r o n o n ­ sailli, la n u it dernière, M. .Mas, m é ca n i­
cée p a r M. C a th a la et diverses in te rven­ cien, au m om ent où il tra v e rs a it la place
tions de M. John A. Leach, préfet de po­ de la Rotonde. Relevé inanim é, M. Mas
lice de New-York, et du d irec teu r de la a été tr a n s p o r té à son domicile ; il est
police de Vienne, cette première séance a grièvem ent blessé à la tête.
é t é levée à midi.
insbon
osivec
'ement,
ehe
coruis>us
re ­
dis
veligts
Prisonniers politiques russes
remis en liberté
T allinn, 28 septembre.
Les jo u r n a u x a n n o n c e n t que le Comité
c e n tra l exécutif de l ’U. R. S. S. a décidé
de m e ttre en liberté 500 prisonn iers déte­
n u s dans les p riso ns de Moscou, à la con­
dition q u ’ils soient utiles à la classe ou ­
vrière ou q u ’ils soient capables de fo u r­
n i r un tr a v a il profitable.
F EU ILLETO N
de
L ’A V E N I R
(9)
Le Maître de la Moisson
Par DÉOLS
U
Marseille, 28 septembre.
Le paquebot «< M aréchal Lyautey », de
la Com pagnie P aquet, faisa n t route s u r
Marseille, vient de sig n a le r p a r radio q u ’il
a rencontré à 18 nulles au sud-est de B a r ­
celone un brick-goélette d 'a p p a re n c e es­
pagnole chaviré, toutes voiles dessus, et
qui constftue un obstacle très dangereux
p our la navigation.
jeune e<t m oins a ttr a y a n te , au jeu, q u ’en
am our.
Revanche comme une au tre , mais n ’ex­
clu a n t en rien d a n s la pensée secrète de
Violette, celle que Jui p erm e tta ien t d'es­
compter, p o u r l’avenir, ses forces encore
intactes d 'in tré p id e et résolue sportwoman.
IV
Venu en flâna nt, à Villefranche, ce m a ­
tin-là. lentem ent, le m a jo r S a u r in g r a v is ­
Aiguillée s u r les événements du jour, et sait la pente rocailleuse qui, de ram pe s
celui, en p articu lie r des fiançailles offi­ en ram p e s, d ’escaliers en escaliers, a b o u ­
cielles de Violettfe et de F reddy W a rt, la tit à la place de l’Octroi.
Plongé d a n s une rêverie profonde, à
co n v e rsatio n générale exclut j u s q u ’à la fin
du repas, toute possibilité d'entretien p a r ­ peine prenait-il g ard e à ce qui ^e p assait
a u t o u r de lui, préoccupé, depuis le m atch
ticulier.
Assis, selon l ’usage, l’un près de a u ­ Eveling-Lambert, q u ’était son esprit, de
tr e , les deux fiancés étaient, lui, t r a n s ­ celle qui, à son indicible s u rp rise n u a n ­
porté visiblem ent ou troisième ciel, elle, cée de secret m alaise, en qui s ’in c a r n a it
plus calm e, trèâ m aîtresse d ’elle-même] la p erso n n a lité de l ’écrivain d u livre
ne la issa n t sous l’énigm e de son sourire, « Nos M aîtres ».
Si, d é b a rq u an t, le mois précédent, à
rien deviner de ses intimes sentiments.
Seule, Mme OrtlrfsT'n ’était point uupe Villefranche, Michel s ’a tte n d a it à quelque
d e cette sérénité ap p a ren te , s a c h a n t l.ien chose, ce n ’était certes point à cette coïn­
cidence à tout le moins épineuse d ’y re n ­
quelle p a r t de désillusion, déterm ine sou
vent, même à notre p ropre insu, a spon­ co n tre r l’a u t e u r de cet ouv rag e à la lois
de talen t de p arti-pris que lui a v a it lais­
ta n éité de nos actes.
Déçue d a n s son espoir de v aincre Eva sé tout loisir d ’a n a ly s e r à fond les longues
L a m b e r t, Violette, je u n e fille moderne, se heures inactives de s a convalescence.
m a r i a i t non p a r vocation, ni am o u r, nais
D ’u n je u , so u s l’e m p ire de l ’a d m ir a tio n
s im p le m e n t p a r dépit, peut-être d an s l’In­ te m p é ré e d 'a g a c e m e n t so u le v é e e n lu i p a r
c o n s c ie n t dessein d ’éclipser s u r ce point c e tte le c tu re , il a v a it é la b o ré e t g lissé p a r ­
• a riv a le , p lu s heureuse, parce que m oins m i d ’a u tr e s le ttr e s c o n fié es le m ê m e jo u r
ni
i
E PA V E D ’UN BRICK
dans la Méditerranée
S E S S IO N D ’E X A M E N S
pour les étrangers
VICHY EN FOLIE
La Reine des Braderies
Questionnez
Une session de l’exam en organisé pour
les é tra n g e rs qui dem an d e n t l’équivalence
du b ac ca la u ré at de l ’enseignem ent secon­
daire en vue des études u niv e rsitaire s s’ouv r ira au siège de l’Université de Clermont
le m a rd i 3 novembre 1931.
Le registre d ’inscription s e ra ouvert au
siège de l’Académie, 3, avenue Vercingétorix, du mercredi 30 septem bre au m ercredi
14 octobre inclusivement.
Ces dim anche et lu n d i 4 et 5 octobre les
rues de Vichy, encombrées d ’un peuple tu r­
bulent, retentiront de cris, d ’appels, de rires,
vibreront d ’un joyeux tumulte.
Gens dos villes et des com pagnes s’apprê­
tent déjà à s ’y rendre par tous les moyens
de locomotion : cljemin de fer, carioles, a u ­
tos, bicyclettes. Toutes les routes, toutes les
voies am èneront vers la Reine des Villes
d ’Eaux des foules attirées p ar ce sensation­
nel événem ent économique comme de« m o u ­
ches p a r le miel.
C’est q u ’e n effet nul ne vo ud ra m a n q u e r
une occasion unique de faire des affaires
Léon MATHOT
d’or et. en même temps, de se divertir fr a n ­
T ania FEDOR
chement. joyeusement.
A qui ne manque-t-il pas quelques chose T
Quelle est la ménagère, le célibataiye, le p a y ­
san, l’ouvrier qui n ’a pas besoin d ’un a rti­
Parlé
cle de ménage, d ’habillement, de mobilier ?
Et même ceux qui n ’ont besoin de rien vien­
français
dront à Vichy les 4 et 5 octobre, sac h a n t bien
q u ’ils s ’en retourneront les bras pleins. Com­
ment ne trouveraient-ils pas p arm i les m il­
lions de m arc han dise neuve, étalée su r les
trottoirs et liquidée à des prix incroyables
p a r plus de 4Ö0 m agasins, cent occasions de
faire de bonnes affaires, occasions q u ’ils n ’o­
seront pas laisser éc hap pe r toutes ?
On trouvera de tout su r la chaussée vlchyssoise, confection, lingerie pour hom m es et
femmes, chaussures, meubles, instru m e nts (le
musique, bijouterie, horlogerie, joaillerie,
Nous avons le p la isir d ’inform er nos lec­ etc..., le tout donné, liquidé a n ’importe quel
teurs que la Maison RIBEROLLES (Chaus­ prix et les restau ran ts serviront des repas à
sures à La Botte Rouge), 27, avenue des des prix d ’avant-guerre et dans les cafés on
Etats-Unis, à Clermont, offrira gracieuse- boira pour rien !
C’est donc une foule considérable qui défer­
ment, j u s q u ’au 7 octobre, des Billets de
sur Vichy les 4 et 5 octobre et à qui les
Tombola de la B raderie pour n’importe lera
bradeurs. pleins d ’entrain et jo yeusem ent cos­
quel a ch a t effectué d u r a n t les quelques tumés, offriront leurs articles et leurs b on i­
jo u rs qui nous sé p a r e n t du tirage.
ments Vichy s'apprête à recevoir ses in n o m ­
Voilà un excellent moyen de g a g n e r la brables visiteurs La Reine des Villes d’Eaux
leur offrira toutes ses attractions de saison :
PRIMAQUATRE pour rien...
T out en re c o m m a n d a n t cette Maison à théâtres, concerts, jeux, etc..., etc..., et, en
nos lecteurs, nous ten o n s à la féliciter de plus, une fête foraine com m e on n ’en a j a ­
mais vu d a ns la région. Des attractions sen­
ce geste de propagande.
sationnelles se g rouperont place de la Répu­
blique et dispenseront à tous rires et ém o­
tions.
PERDU deux chiens de chasse blancs.
Dans les rues pavoisées, su r la ville entiè­
P ré v en ir VERNY, Nébouzat.
rement décorée, su r les brad e u rs qui crieront
leurs prix et leurs mots drôles, s u r les ache­
teurs tentés de tous côtés à la fois p a r de m a ­
gnifiques occasions rég nera donc ce jour-là un
esprit de joie sans frèin, de gaieté débridée,
un peu de la douceur de vivre et de l ’insou­
ciance d ’avant-guerre qui renaîtro nt pour
quelques heures.
, Nul ne vo ud ra m a n q u e r un tel événement.
On nous an n o n c e égale ment une braderie
. . . T O U T E S T GAITÉ
automobile ex trao rd inaire qui sera située su r
la place de .I’Hôtel-de-Ville, une q uantité de
PROCHAINEMENT
-------voitures d ’occasions seront exposées et ven­
OUVERTURE
dues à des prix e x tra o rd in a ire s de bon m a r ­
ché.
s 8
votre fournisseur !
Cadum
Où que vous habitiez,
questionnez votre four­
nisseur. Il vous dira que
Cadum est vendu, à lui
seul, presque autant que
tous les autres savons de
toilette réunis. Puisqu’il
est partoutle premier, n'est-ce pas la preuve de sa supériorité ?
Depuis des années, des militons d'hommes et de femmes le
préfèrent E t parmi celles-ci, les plus exigeantes : les plus
belles artistes, qui savent la valeur de la beauté.
Cadum ravive délicatement le teint. Les mamans le trou­
vent si pur et si doux pour elles-mêmes, quelles l’emploient
en toute sécurité pour leurs enfants. Son parfum est exquis
et léger.
Dur et durable, Cadum est extrêmement économique.
Un très long séchage le débarrasse de toute trace d’humidité.
Sa fabrication est si moderne, si hygié­
nique, qu’il n'est touché par aucune autre
main que la vôtre.
est
parto
le plus
m
GERGOVIA
La “ Primaquatre ” de la Braderie
p o u r rie n
Q .
AU P E T I T C A F É . . .
o
Pèlerinage de Notre-Dame
de Buron
Dimanche, 20 septembre. Duron célébrait
Notre-Dame, sa douce patronne La veille au
soir, illum ination grandiose, défilé des cons­
crits, déçoratlon des rues et de la chapelle
par l'es jeun es filles, sonneries retentissan ­
tes de la lourde cloche et de la fanfare.
Au matin, le« pèlerins arrivent nom breux
de Clerm ont et des villages voisins. Une
large banderolle : » Soyez les bienvenus »
les accueille à l’entrée du bourg. Un lourd
m an tea u de brum e enserre le pittoresque vil­
lage, m ais la dévotion n ’en souffrira pas et.
l’on com m unie avec piété à la messe m a­
tinale.
A 10 heures, ta g r a n d ’messe est chantée p a r
M. le curé de P aren t, A l'Evangile, Mgr Chaumont, qui préside la fête, explique en un
tou chan t la n g ag e pourquoi Notre-Dame volt
les foules se presser au pied de ses autels.
Les chants sont exécutés avec goût par les
6éminarlstes présents, les ch antres et les
chanteuses de la paroisse et. des pèlerins à
la voix harm onieuse. La messe s'achève. La
procession traditionnelle commence. Les ri­
ches b annières se déploient, on prie, on
chante avec entrain et confiance. La g r a ­
cieuse etaîue de Notre-Dame de Buron. por­
tée par les jeunes filles, encadrée par les
conscrits, suit le dédale des rues. De loin
en loin des banderolles voyantes se d éta­
chent : « Augmentez notre foi », « Bénissez
nos champe «... Sur la place une courte s t a ­
tion. qui permet au célébrant, dans un geste
symbolique, les reliques â la m ain, de bénir
les maisons, les champs, les ruines im po­
santes du château féodal, l’horizon qui s'é­
tend à perte de vue. Minute im p ressionnante
où tous les fronts s'inclinent avec respect.
Le soir, à 4 heures, vêpres solennelles.
L'assistance n ’a point faibl/1 et déborde le
sanctuaire. Un généreux bienfaiteur a fait
don â la chapelle d'un gracieux petit g rou ­
pe représentant la Sainte Famille Avant de
le bénir, Mgr Chaurnont en tire la plus c h a r­
m ante leçon à l’adreese de la foule pieuse.
Le salut term ine la soirée. M le curé re­
mercie avec c h ale ur le* assistants, le pré­
dicateur, les sém inaristes, les chantres, les
chanteuses, les bienfaiteur«, les d écorateurs
de la petite chapc-He, et récite une dernière
invocation a Notre-Dame de Buron.
De m ém oire d'h om m e, Buron n 'a v a it vu
si nombreuse assistance ni p lus belle déco­
ration. P ropos d ’un pèlerin : « Très belle
iournée. m alh eureu sem ent trop courte ! »
Nous voulons que l'an prochain ce soit en­
core plus beau et nous invitons les pèlerins
â revenir plus nom breux.
Si
vous souffrez de
rhumatismes
rappelez-vous que, toujours
bien tolérée par l’estom ac,
L ’A S P i R i N E
BAYER
aspira la m al, supprim a la doulaur
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a u x o b s e iu e s de n o tre re g r e tté s o c ié ta ire M. A r­
n a u d A n to in e .
R é u n io n m a is o n m o rtn n lre . 50, ru e d e la T re ille ,
m e rc re d i 30 s e p te m b re , à 7 It. 4.V
D A N S L E S SY N D IC A T S
S y n d ic a t p ro fe ssio n n e l des Chem inot». — I.a r é u ­
n io n m e n su e lle de r e n tr é e a u r a lie u m e rc re d i 30
se p te m b re p ro c h a in à 18 h. Ib é la P e rm a n e n c e .
43, ru e de C h a te a u dut»
La p ré s e n te tie n d r a lie u de c o n v o c a tio n In d iv i­
d u e lle P r le r o I n s ta n te a to u s nos adhérents d ’ê tre
p ré sen ts.
ETAT CIVIL DE CLERMONT-FERRAND
du 28 septembre
Naissances. — L a p o n e Germaine. — La
porte Guy-André. — Baspeyrut MichelineJeanne — T a ria n t Franck-âves. — Vasson
Pierro-Henri. — Monerou Georgette-Einilienpe. -- B erirand Anne-Marie-Thêrèse.
Décès. — Dravert Jean-üaptiste, retraité d»
la Compagnie P.-L.-M., (39 ans, 140, rue Ana
tole-France — Gnlvagnon Marcelle. 11 ans.
— A rnaud Antoine, retruité de la ville, 68
ans, 29, rue de la Treille. — P om m ier Louis,
limonadier, 74 ans, 4, place de l'Hôtel-deVi Ho. — Lavigne Marie-Jeunne, épouse Mun­
det, 35 ans. — Milson Alfred, m an œ uv re, 20
ans. — P ach eu Jules-Paul-Louis-.Marc, ouvrier
d'usine, 64 ans.
2
S avon C adum
EMBLÈME DE PURETÉ
T
AVIS D’OBSEQUES
Mme veuve Antoine ARNAUD ; M. et Mme
ARNAUD-VERDIER et leurs enfants ; M. et
Mme ARNAUD-HAUSSINAGUE ; M. Maurice
ARNAUD ; M. et Mme ARNAUD-BELLAT ot
le urs enfants ; Mme veuve DF.BORD-ARNAUD et ses enfants, on t la douleur de vous
faire p a rt de la perte cruelle q u ’ils vienn ent
d'ép ro uv er en lu personne de
OFFICE DE QUARANTAINE
Mme et M. BEAL-COHENDY et leurs en­
fants ; les familles 1’ELIS.SIER-CHAPUT,
CÛHENDY, DOURDOUILLE. VALLEIX, SERGEAT. DOREYRE, FAUGERAS et MONTEL*
prient leurs am is et connaissances de bien
vouloir assister à l'office de q u a ra n ta in e do
Monsieur Antoine A R N A U D
Née Antoinette CHAPUT
Qui sera célébré demain mercredi 30 sep»
tembae, en l'église de MONTFERRAND, à
neuf neures trente.
Retraité de la ville de Clermont
L eu r époux, père, beau-père, grand-père,
frère, oncle et parent, pieusement décéaé le
28 septembre, auris sa 69® année, inuni de»
Sacrem ents de l’Eglise.
Et vous p rient de bien vouloir assister aux
obsèques qui au ro n t lieu demain mercredi, a
huit heures, en l'église Saint-Genès-les-Cartries.
Réunion m aison m ortuaire, 29, rue de la
Treille, à 7 h. 45.
L’inh u m atio n a u ra lieu le mêm e jo u r à
JOZERAND, vers 10 heures.
“ ■ ■ ■ H K J tiM d a ii
M. Jean Baptiste D R A V E R T
Retraité de la Compagnie P.-L.-M.
Leur époux, père, beau-père, grand-père,
frère, neveu et cousin, décédé à ClermontF errand le 28 septembre 1931, ù l’âge de 70
ans.
Et vous prient d ’ussister aux obsèques qui
auront lieu demain mercredi 30 septembre,
à dix heures, en l'église Suint-Juseph.
Réunion maison m ortuaire, 140, rue Anatole-France, à 9 h. 45.
et sa sécurité ; l’éloignem ent présum é de
l'a u te u r de « Nos Maîtres », à l'é g a rd de
ce sexe, objet si l’on en croyait le livre p r é ­
nommé, de son évidente mésestime. Ainsi,
tro u v a it brisé d a n s s a fieur. le rêve
d 'a m o u r encore à i'étot nébuleux, caressé
secrètem ent p a r le médecin m ilita ire et
q u ’a v a it fait éclore à son insu, le tr o u ­
blant p arfu m d'énigme qu edégageait, en
outre de son charm e, la personnalité si
étra ng em e n t a ttr a y a n t e de la je une et bel­
le ». au th o re ss ».
Non, v raim ent, le m a jo r ne se recon­
n aissait plus, lui si pondéré, et m a ître
o r d in a ire m e n t de lui-même, de se se ntir
ainsi ner.veux, disposé pou r une rien à
broyer du noir. Toute indiquée, en ce cas,
s ’im posait, plus vite q u ’il ne l’av a it pensé,
la diversion d ’un voyage, d ’une cure de
Plusieurs mois en m ontagne, remède clas­
sique et souvent efficace à cette r u p tu re
d ’équilibre bien connue en médecine sous
le nom de neurasthénie.
Se m u n ir d’un in d ic a te u r de chem in de
fer, fut en conséquence de cette dé te rm i­
nation, le pre m ie r soin, en a r r i v a n t ce
jour-lù à Villefranche, du médecin mili­
taire.
Rapides de jo u r et de nuit, r en d e n t fa­
ciles à n o tre époque les com m unications
avec les mille et une stations balnéaires,
offertes s u r toute la surface d u globe à
la diversité de nos m aux.
R e s ta u ra n ts et wagons-lits a s s u re n t aux
voyageurs, avec le choix de l ’heure, tout
t
Madame veuve C O H E N D Y
OFFICE ANNIVERSAIRE A DURTOL
Mlle Claire GODELON et sa famille p rien t
leurs am is et connaissances de bien voulotl.
assister à l’office an niv ersa ire de
Monsieur Maurice GO DELO N
Qui sera célébré demain mercredi 30 sep­
tembre, à neuf heures trente, en l ’église de
DURTOL.
AVIS D'OBSEQUES A CUNLHAT
M. Henri MANDET ; Mme veuve LAVIGNE,
à Saint-Dier; M et Mme MANDET, à Cunlhat;
Mlle LAVIGNE, à Saint-Dier; les familles LA­
VIGNE, MANDET, FERRY, BERODY, PRAT,
FONLUPT, CNOS et TEHROLLE, ont la dou­
le u r de vous faire p a rt de la perte cruelle
qu ’ils vien nen t d ’é prouver en la personne de
OFFICE ANNIVERSAIRE
Le Docteur et Mme Emile PAPON ; Mme et
M. Léon PAPON et leur fille Micheline ; Mme
et M. RAMBAULT-PAPON ; Mme et M. NEBOUT-PAPON. prient leurs am is et connais­
sances de vouloir bien assister à l ’office a n ­
niversaire de
Madame Henri M A N D E T
Madame veuve Michel PAPO N
Leur épouse, fille, belle-fille, sœ ur, nièce
et cousine décédée à la clinique Saint-Dominique, le 28 septembre 1931, à l ’âge de 25 ans.
Et vous p rien t d ’assister a u x obsèques qui
au ro n t lien demain mercredi 30 septembre,
à neuf heures, en l ’église de CUNLHAT.
AVIS D’OBSEQUES A LOUBEYRAT
M. et Mme LEYRIT-TAMISIER et leurs e n­
fants ; Mlle Marguerite EYDIF.UX ; les fam il­
les LÉYRIT et EYDIEUX, ont la do uleur de
vous faire part de la perte cruelle q u ’ils vien­
n ent d ’épro uv er en la personne de
Madame veuve L E Y R IT
Née Marie EYDIEUX
Leur mère, g r a n d ’mère, s œ u r et parente,
pieusem ent décédée le 28 septembre da ns sa
85® année.
Les obsèques a u ro n t lieu en l ’église de
LOUBEYRAT, demain mercredi 30 septembre,
à dix heures.
Priez pour elle I
AVIS D’OBSEQUES
A PESSAT-VILLENEUVE
M. Emile ROBIN et son fils Roger ; M. et
Mme BOCHE-RAVEL; M. et Mme BOCHECERET et leu r fils ; Mlle Hélène BOCHE ;
M. et Mme BOCHE-GRAND et leur fils ; Mme
veuve ROBIN-ROCHIAS et ses en fants ; M. et
Mme GAILLOT-ROBIN et leurs enfants ; les
familles ROBIN, BOCHE. PF.RSIGNAT et RA­
VEL, o nt la d ou leu r de vous faire p a rt du
décès de
Madame Marie ROBIN
AVIS D’OBSEQUES
Mme veuve DRAVERT ; M. et. Mme Louis
DRAVERT ; M. et Mme E rnest DRAVERT et
leurs en fan ts ; Ip s familles DRAVERT et PE R ­
RIER. ont la douleur de vous faire part de la
perte cruelle qu'ils v ienn ent d ’êprouver en ia
personne de
TUA VAUX EN TOUS GENHES
à la poste l’éloquent plaidoyer, dont il
ne s a v a it trop, n ’a y a n t reçu a u c u n e ré ­
ponse, s ’il était ou non, p arve n u à son
adresse.
Q uestionner à cet ég a rd la jeune femme,
ne serait-ce point p a ra ître vouloir donner
à l ’incident plus d ’im portance q u ’il ne
seyait ? Le silence de Mme Orthis, son
p arti-pris visible de rester p o u r lui « l’é­
tran g è re » qui feint d ’avoir toujo urs igno­
ré votre nom. ne lui dictait-il jms, s sa
lettre ava it été lue, une conduite a n a lo ­
gue ?...
x
Guidé? p a r cette pensée, rien en a p p a ­
rence n ’av a it chan gé d a n s l’a ttitu d e re m ­
plie de déférence du médecin m ilitaire à
l'é g a rd de la je une pseudo-veuve, sinon
le soin plus m a rq u é d'éviter rie se trouver
seul av<rc elle, ce qui, en revanche, n ’était
pas, a u vague m écontentem ent de Michel,
le cas du peintre Delcourt.
H eureux d ’en être venu, à force d ’insis­
tance, à ses fin3, de fixer s u r la toile les
tra its pu rs de Sylviane, il n ’était, sous
ce prétexte, d'occasions q u ’il ne fisse n a î­
tre pour se m é n ag e r a u p rè s de celle-ci,
ig n o ran te ju s q u ’ici de sa rép u ta tio n dou­
teuse, la faveur de fréquents tête-à-tête.
A vertir la jeune femme a v a it été d ’a ­
bord la pensée du m ajor. Mais quel titre,
ù la réflexion, lui conférait le droit de
s ’im m iscer ainsi d a n s la conduite privée
de la sé d u isan te veuve ?
R ongeant son frein, il s ’était tu, r a s s u ­
ré p a r ce qui faisait à la fois son to u rm e n t
Un savon très dur9
£r utilise jusqu’à la
* dernière parcelle
Née BOCHE
Leur épouse, mère, fille, sœ ur, tan te et p a ­
rente, pieusem ent décédée dans sa 32« année.
Et vous prient de bien vouloir assister a u x
obsèques qui a u ro n t lieu demain mercredi,
à dix heures trente (heure légale), à PESSATVILLENEUVE.
OFFICE ANNIVERSAIRE
A SAINT-GERVAIS-D’AUVERCNE
Vous êtes priés d'assister à l ’office a n n i­
v ersaire de
Née Anne-Marie LADEVIE
Qui sera célébré en l’église des M in im es
demain mercredi 30 septembre, à neuf heures.
OFFICE ANNIVERSAIRE
Mme veuve Jean ne COIJRNOL ; M. et Mm«
Antoine COURNOL, à Orcet ; Mme BOU­
CHAI DY et ses enfants au Mont-Dore ; M. et
Mme MOLIMARD et leurs enfants, à P a ris ;
M. et Mme CHAS-SAGNY et leurs enfants, à
Riom ; M. Joseph BUFFET et ses enfants, a u
C e n d re ; M. et Mme TIMBAUD, à V ichy ; M.
et Mme VERDIEH et leur fille, à Vichy ; M.
Roger MIOCHE, avocat ù P a ris ; M. Antonin
GENDRE, prient leurs am is et connaissances
de vouloir bien assister à l’office anniver*
saire de
M. l’abbé Gaston COURNOL
Qui sera célébré demain mercredi 30 Mf m
tembre, à neuf heures, en la basilique NotreDame du Port.
REMERCIEMENTS
M et Mme CAIRE-BLANC ; Mlle Marie
CAIRE et leur famille, rem ercient bien sincè­
rem ent toutes les personnes qui leur ont té­
moigné de la sym pathie à l’occasion du deu il
cruel qui vient de les frapper.
REMERCIEMENTS
Mme Louis BACHEI.ARD, in stitu trice ho­
n oraire ; Mme et M. AUGE, employé a u P.L.-M. ; M. René AUGE et toute la fam ille, re­
mercient bien sincèrem ent toutes les person­
nes qui leur ont témoigné de la sym pathie à
l’occasion du deuil cruel qui vient de le*
frap pe r en la personne de
Monsieur Louis BACHELARD
REMERCIEMENTS
Mme veuve GOURMELON ; M. et Mme René
GOURMEl.ON et toute la famille, rem ercient
bien sin cèrem ent toutes les personnes qui
le ur ont témoigné de la sym pathie à l'occa»
sion du deuil cruel qui vient de les frapper.
Ancien Curé-Doyen de Saint-Gervais
Qui sera célébré à SAINT-GERVAIS-D’AU*
VERGNE. demain mercredi 30 septembre, a
dix heures trente.
De la part de M. le Curé de Saint-Gervais-
RIOM. — REMERCIEMENTS
Madame et Monsieur Octave FROMENT,
leur fille et toute la famille, rem ercient bien
sincèrem ent toutes les personnes qui leu r o n t
témoigné tant de sym pathie à l'occasion du
deuil cruel qui les a frappés en la perso n n e
de leur ch er p e u t RENE.
le confort désirable : salons de le ctures et
de jeux... ap pareils de T .S F . .. et au tre s
modernes passe-temps, vulgarisés peu a
peu p a r notre siècle d’incessant progrès.
R enseignem ent pris, il ne resta it à Mi­
chel q u ’à se pu rv o ir d ’un ca rnet de circu­
lation q u ’il glissa d a n s son portefeuille,
.«’in te rd isa n t ainsi à lui-même toute vel­
léité d an g e reu se p o u r son repos de r eto u r
en arrière.
Frôlé de près p a r les rails du tr a m w a y ,
le tro tto ir qu ’il suivait à pied, lentem ent,
n ’offre guère q u ’une sécurité relative au
pro m en e u r, réduit, au cas de d érap age
de l’un quelconque des ca rs ou autos, en
circulation s u r la route adjacente, d ’être,
à son choix, écrasé sons merci, ou préci­
pité p a r delà le r e m p a r t d’une fragilité
inquiétante, s u r les rocailles en c o n tre­
bas, des pentes escarpées q u ’elle su rp lo m ­
be.
S ans q u ’elle y prêtasse attention, ce pé­
ril mortel g u e tta it Sylviane, partie, de
son côté, dès le m a tin , à la recherche de
ca rtes postales inédites du vieux Villefranche.
Absorbée d a n s ses réflexions, ig n o ran te
du d a n g e r auquel s’expose à cet endroit
le piéton, s ’il ne s’applique . strictem ent
contre le para p et, l’étroitesse du passage,
paisible, elle long eait la route, in soucieu­
se parce que d istraite, de l'approche, d e r­
rière elle, de deux lo urdes ra m e s de t r a m ­
w ays Un Dieu, heureusem ent, veille su r
nous.
A la m in u te précise où se p ro d u it le
choc inévitable qui renverse à terre b r u ­
talem ent l’im prudente, une m ain fo rte la
saisit et vivement la retire en a r r iè r e ,
l’obligeant à s'appuy er, évanouie à d e m i,
contre le p arapet, ta n d is que p a ss e e n
trombe, d an s un fracas asso u rd issa n t d*
chaînes et d ’essieux, le lourd convoi, c a u ­
se accidentelle de ce d r a m a tiq u e Jeu da
scène.
— Remettez-vous, Madame, ce n ’est rien
m ais vous l’avez éc h a p p é belle, fit alors,
étranglée p a r l’émotion une voix familiè­
re, celle du m a jo r S au rin .
Arrivé juste à point, à la h a u t e u r de la
place, d’un bond, voyant le d a n g e r c o *
ru p a r lu jeune femme, il s'était élan c é,
sa u v a n t ainsi d ’une m ort affreuse cent
q u ’à cette m inute précise, il projetait m en­
talem ent de fuir.
Toute étourdie, sa c h a n t à peine c« q* l
lui arriv ait, Sylviane, muette d abord 4a
saisissem ent, ne t a r d a gu ère à rep ren d re
toute s a lucidité.
— Vous m ’uvez sauvé la vie, M ajoi;
m urm ura-t-eile enfin faiblement... C o ^
m ent assez vous remercier... J'eu sse 4t|u
sa n s vous, sû re m e n t écrasée... Un petit
m a lh eu r, en somme, ajoutu-t-elle, •'effor­
çant de sourire, nul, en ce m o n d e, qu* j*
sache, n ’a y a n t souci de m a p récieuse port
sonne.
,
— Ne parlez pas ainsi, M adam e, c’MÉ
mal, protesta avec véhémence, Michel, bo*>
M. l’abbé François B O N N E F O N T
d’Auvergne._______________________________
L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
O1
VLA SAISON I
VICHY
Concert à 15 tv 30 p a r l 'H a r m o n i e M un ici­
p a le au k ;o sq u e d u s q u a r e de l'H ô p ita l.
m
* *
AU GRAND CASINO
A 20 h. 30 très précises, a u t h é â t r e : L 'A ­
v e n t u r i è r e , pièce e n 4 a ctes e n v e rs d 'E m ile
Augler, q u t s e r a In te r p r é té e p a r la g r a n d e
a r t i s t e Mme Cécile
C o m é d ie - F ra n ç a is e .
Sorel, s o c iétaire
de la
• *
DEMAIN
Clôture de la s a i s o n l y r iq u e : Coppélia,
ballet en 2 a c t e s de Léo Delibes.
Paillasse, d r a m e l y r i q u e e n 2 a c t e s d e
Léoncavallo.
Variété* c h o ré g ra p h iq u e s , su ite de d a n s e s
a v e c Mlle L. Baldi.
# *
S a l o n s d e le c tu re e t de c o r re s p o n d a n c e .
Jeu de la Boule — B a c c a r a .
ELYStE-PALAOE
PETIT CASINO
C 'e st ce s o i r q u ’a lieu la p re m i è r e r e p r é s e n ­
t a t i o n d u g r a n d suc c ès d ’o p é rette m o d e r n e ,
S o S o Nanetie, q u e les T o u r n é e s Millebert et
M arcel F r a n c k n o u s p r é s e n t e n t av ec la troup t d u T h é â t r e M o g a d o r e t ses a rtiste s.
a la B ra sse rie, c o n c e r ts avec les r e m a r q u a ­
bles c h a n t e u r s d ’o p é ra.
j e u de lu Boule.
• •
CINEMAS
LA RESTAURATION. — Le T e m p s des Ce­
rises.
VICHY-CINE, 13. r u e de P a r i s . — L 'A ig lon ,
d ' a p r è s la célèbre pièce d ’E d m o n d R o sta n d .
NOVELTY-C1XEMA, 8, ru e J e a n -J a u r è s . —
Le Bled
En c o m p lé m e n t, C a r m e n Boni d a n s S c a m -
pola.
CINE PA TH E,
F a u b o u rq .
ru e
Sornin.
— Le
• •
PARC D’ENFANTS
Lys
du
•
.
P rès de lu laiterie des n o u v e a u x parcs
T o u s tes |o u rs, jeu x et div e rtisse m e n ts.
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Mlle M G erm ot, à 50 cent, du t r o u d u 17.
M. A. de R o n s e r a y à 1 m è t r e du 17« trou .
Capt. P a w e ll s u r le g r e e n 17.
S u r 10 j o u e u r s .
Mlle M. G e rm ot g a g n e le prix.
—
----------------------------
INSTITUT INTERNATIONAL
de Sténographie Duployé
Voici le p a l m a r è s d e s é p r e u v e s g é n é ra le s
q u i o n t eu lieu d a n s to u te la F r a n c e , e n j u i l ­
let d e r n ie r , c o n c e r n a n t le« e x a m e n s q u i o n t
e u heu à C lerm ont-Ferrand, o rganisés p ar
l'A ssocia tion s t é n o g r a p l n q u e ü u p l o y e n n e de
C lerm ont-Ferrand.
S té n o g ra p tiie . — E p r e u v e s de vitesse : 1->
m o t s p a r m i n u t e : Mlles B r u n e i M a rie, Séger a l J e a n n e , KeLler O lga
110 m o ts p a r m i n u t e : Mlles Bê G e r m a in e ,
B e r t r a n d M.-L., G allo Rose, C h a d e l a s Hélène,
G a u t i e r Irène . Vialette M .-L, B o n n y M a rthe.
100 m o ts p a r m i n u t e : M. L ac roix Je a n .
90 mot« p a r m i n u t e : Mlles M alfériol An­
d r é e , G tbert A n to inette ; MM. A d m ira i An­
t o in e , G e l a i r e René, Cellier H e n r i, D a e m s
MA
80 m o ts p a r m i n u t e : Mlle V a l a r c h e r M.-L.
70 m o ts p a r m in u t e : MM. M a z a u d i e r R a y ­
m o n d , Bœuf R a y m o n d ; Mlles Fa u Andrée.
B l a n c S im o n e , F e n o u l F e r n a n d e , G ascou
A drienne
60 m o ts p a r m i n u t e : Mlles L a b u s siè r e
O de tte , Michel Aim ée. Vidal M aria, G e nestie r
S u z a n n e , S i m o n Renée.
50 m o ts p a r m i n u t e : Mlle F a u r e MarteT h é r è s e ; M. Aubin P a u l .
Degré th é o r i q u e (th èm e et v ersio n) : Mme
Bellot M a r g u e r ite
D a ctv lo g r a p h ie . — Degré s u p é r i e u r : Mlle
Ca r r t a s Louise, L a b u s s i è r e Odette.
Degré m o y e n : Mlles Ré, G. Gallo, R. Séger a l , J. C ha d elas. II. B e r tr a n d , M.-L. L acure.
Degré é lé m e n t a i r e : Mlles B lanc S , Besse
G., Q u a l n o n , M C hapelle. M. B ru ne i. M Vtalelte, M.-L R ic h a rd , J. G a u th ie r, Ir B e r tra n d ,
Adr. Baffeleuf, V. Boudot, Yv. M alfériol. A.
G a m e s , M.-T Issalie, Odette Gibert, M -A.
R a o n , B e rthe B o n n y , M. M ayet, H. Keller,
O. L a n d le r. G. F a u , A. S im o n , R. Goy, M.
Béa), A. G a rret.
Degré s c o laire : Mlles F e n o u l F., C h a rdon n e t A .-M , F a u r e M -T., Mme Reliât ; MM.
V id a l M , B œ uf A.. Aubin P.; Mme M a m et ;
MM. G ascou Ad., G e n es tie r S., A dm irai A.,
P o n s a r d R., M a z a u d i e r IL, V a l a rc h e r M.-L.,
Beneth V , D e n g o n M , Michel A.
D 'a u t r e p a rt, o n t été j u g é e s dign?6 de r e ­
c e v o i r le • C e rtifica t d ’é tu d e s c o m m e rc i a l e s •
( s té n o - d a c ty lo g r a p h ie . c o m p ta b ilité , ré d a c tio n
c o m m e rc i a l e , calcul ra p id e , a r i t h m é t i q u e cornm e r c ia t e ) , les c a n d i d a t e s d o n t les n o m s s u i ­
vent :
Miles B e r tra n d M.-L., Gallo R., Goy M., Gi­
b e r t M.-A., R ic h a r d J.. Béai A., C h a d e la s H.,
H a o n B., K eller O., B ru n e ) M.
leversé q u ’il était p a r cet aveu d ’une dé­
tresse intime, échappé, malgré elle, des
lèvres décolorées de Sylvia ne. A défaut de
famille, n ’avez-vous pas m a in te n a n t des
am is : Miss EveJing, les Dupuy-Lnrronde.
moi-même, qui ne pren d raie n t point si a i­
sé m en t qu'il vous plait de le croire, le ur
p a rti de votre perte.
Vibrante de sincérité, cette assu ra n ce
dans une telle bouche peu encline, elle
le sa v ait à déguiâr sa pensée, toucha
jusqu’au vif l ’être ébranlé de la jeune fem­
me.
— Que vous êtes bon, Major, merci, je
n'oublierai pas cette parole, fit-elle avec
une émotion que tr a h issa it le trem blement
de sa, vcix. C’est si triste de n ’avoir au
m onde Aine qui vive s u r qui reporter la
eoif de tendresse que n ’étanche guère la
•tériJe sympathie, souvent entachée de
snobisme, des b an a ls a d m ir a te u rs sans
juge m ent ni portée de mon pauvre talent
d ’écrivain.
Un seul, ajouta-t-elle, levant s u r lui ses
D ru
luutées, où brillait à trav e rs
les pleurs, une lueur furtive de malice, a
m o n tré plus de franchise et n ’a pas cra in t
de me dire tout net ce q u ’il pensait du liv r t, tombé bien p a r h a s a r d entre ses
BSftins, de l ’a u t e u r de *« Nos Maîtres ».
-p- Dois-je com prendre, M adam s, puis­
q u e vous-même, abordez la question, in­
te rr o g e a Michel, allégé p a r cette allusion
4«s doutes, qui l ’obsédaient, que vous ne
M O U LIN S
EDITION DU PUY-DE-DOME
BANLIEUE DE CLERMONT
CHA M ALIÊRES
Eooles c o m m u n a le s. — R e n tré e d e s c la ss e s .
— La r e n tr é e des c la ss es a u x écoles c o m m u ­
n a le s a u r a lie u le v e n d r e d i, 2 octobre. P a r
su ite d e s t r a v a u x e n c ours, l’e n tr é e des e n ­
f a n ts de l'école de filles se fe ra p a r l ’a v e n u e
de R oya t, l ’e n tr é e de l ’école de g a r ç o n s p a r
la ru e d u Pont-de -la -G ra v iè re.
♦ ♦ + ---------------
mon
C ollège M ichel-L ’H o sp ita l e t E cole p r im a i­
re s u p é rie u re . — Le p r i n c i p a l r a p p e lle a u x
ram illes q u e la r e n tr e e a lieu le je u d i soir
1er o ctobre p o u r les i n t e r n e s et le v e n d r e d i
2 octo bre, à 8 h e u r e s p o u r le s e x te r n e s .
MONTAICUT
I m m e n s e su ccès de la n o u v e l l e re v u e /
L a g r a n d e re v u e Le Chic de P aris ! p ré ­
s e n t é e p a r M u s ic ian a -S p e cta cles avec u n lu x e
de m ise e n sc è n e qui s u r p a s s e to u t ce qu on
a v a i t vu j u s q u ’à ce j o u r : q u a r a n t e t a b l e a u x
f a s t u e u x , 350 c o s t u m e s d’un é c l a t é b lo u iss a n t,
des sk e tc h e s d ’un e irré s is tib le d r ô le r ie , to u t
c o n c o u r t a u g r a n d su c c è s de ce m e rv e iU e u x
a p ectao e.
•
• •
A la B r a s s e r i e : C on c erts p e r m a n e n t s .
Jeu de la Boule.
• •
M A R D I 29 S E P T E M B R E
SA INT-ELOY -LE8-M INE8. — M ort S ubite.
— D im a n c h e , M. feouilhat E m ile,
proprié­
ta i r e d u b a z a r de l a M é n a g è re et c o q u e t i e r à
S a int-E toy, s ’é ta i t r e n d u à s o n g a r a g e p o u r
y p r e n d r e s a v o itu re . S a fe m m e n e le v o y a n t
p a s re v e n i r, et a y a n t u n e c o in m ise io n à fa i­
re à sa s œ u r , q u i f a n le c o u r r i e r de S e r v a n t
à Sain t-E loy , p a s s a a u g a r a g e p o u r v o ir t e
qu e f a is a i t * s o n m a r i . Q ue lle n e fu t p a s s a
s u r p r i s e de le t r o u v e r r â l a n t a u m il i e u d u
g a r a g e ; e ll e a p p e l a a u se c o u rs , de6 v o isin s
a c c o u r u r e n t e t a i d è r e n t à t r a n s p o r t e r M.
S o u i l h a t chez u n e vo isine. Le d o c te u r Daum y f u t p r é v e n u en to u te h â te p o u r d o n n e r
ses soin s, m a i s ce f u t in u tile, M. S o u i l h a t
su c c o m b a p r e s q u e a u ssitô t à u n e e m b o l i e
a u c œ u r , croit-on.
Cette m o r t a c a u s é u n e p r o f o n d e é m o t i o n à
S a in t-E lo y , o ù M. S o u i l h a t , â g é de 43 an«,
é t a i t très estim é.
N ous o ff r o n s à s a veuve, a in s i q u ’à sa j e u ­
ne fille â g é e de 13 a n s , n o s b ie n 6 i n c è re s
c o n d o lé a n c e s .
A m é lio ra tio n d u se rv io e a u to b u s S a in t-E lo y C lerm o n t. — Nbus a v o n s s o u v e n t p a r l é d t s
a m é l i o r a t i o n s d a n s le se rv ic e d e s t r a i n s de
S a in t-E lo y à Gouttières.
Ces j o u r s d e r n i e r s n o u s a v o n s a p p r i s q u e
le servio e d ’a u t o b u s M o n ta ig u t- e n -C o m b r a ille« et C l e r m o n t v a ê tre c o m p l è t e m e n t r é o r g a ­
n isé e t q u ’il o f f r i r a de s é r i e u x a v a n t a g e s
a u x u s a g e rs .
E n effet, il y a u r a i t , p a ra ît- il, u n s e r v i c e
d i r e c t p a r t a n t de C l e r m o n t le m a l i n et a r r i ­
v a n t à S a in t- E lo y v e r s 10 h. 15.
Le s o 'r , il y a u r a i t u n d é p a r t de S a in t- E lo y
et a r r i v é e à C l e r m o n t v e rs 18 h e u re s .
Bien m ie u x , on e n v i s a g e d e s se rv ic e s r a ­
pide« e t il n e f a u d r a i t q u e 2 h e u r e s e n v ir o n
p o u r se r e n d r e à C lerm o u t.
Des q u e cela s e r a officiel n o u s e n r e p a r ­
lerons.
PONTAUMUR
GIAT. — R é u n io n d e l’A sso c ia tio n A m icale
d e l’Ecole lib re . — D i m a n c h e , l'A ss o cia tio n
A m icale de l ’Ecole libre a t e n u son a s s e m ­
blée g é n é r a l e a n n u e l l e .
P a r m i les a s s o c i a t i o n s q u i, n é e s de n o s
écoles c a th o liq u e s , en
p r o l o n g e n t l ’a c t i o n
b i e n f a is a n t e et en a s s u r e n t le r e c r u t e m e n t et
a u besoin l a d é fen se ,
l’A m tca le de G iat
Compte p a r m i les m e ille u re s . Elle est un foye r
v i v a n t d a p o s t o la t p a r o i s s i a l et, a p r è s c inq
a n n é e s d ’e x is te n ce , a d é j à c r é é u n c in é m a
et u n e so ciété de g y m n a s t i q u e q u i a s s u r e n t
à l a j e u n e s s e de Giat d e s d i s t r a c t i o n s s a i n e s
et m o r a l e s asse z a p p r é c ié e s p o u r s u s c i t e r
q u e lq u e s j a l o u s i e s in té re s sé e s .
La j o u r n é e de d i m a n c h e e u t t o u t l’a t t r a i t
d ’u n e fêle de fa m ille . Elle se d é r o u l a t o u t
e n tiè re d a n s l'E cole. A 10 h e u r e s , la m es se
f ut célébrée, d a n s la c h a p e ll e de l ’Ecole, p a r
M. l’a b b é M onn et, v i c a i re à Giat, q u i, à
l'E v a n g ile , m o n t r a avec u n e é lo q u e n c e trè s
p e r s u a s i v e les lie ns p r o f o n d s q u i u n i s s e n t le
p a t r i o t i s m e e t la fot e t fo n t de l ’e n s e ig n e ­
m e n t c a t h o l iq u e le m e i l l e u r a u x i l i a i r e de
l’o r d r e social.
, .
A l’issu e de l a m es se , les a n c i e n s é lè v es
a ll è re n t se r e c u e il l ir p i e u s e m e n t d e v a n t l a
p la q u e p o r t a n t les n o m s d e s a n c i e n s élèves
m o r ts p o u r la F r a n c e . Le « De P r o f u n d i s »
fut c h a n té .
L’a ssç m b lé e g é n é r a l e su iv it. M. A lex is Ribéry, p ré sid e n t, r é s u m a la vie de l’A m icale
p e n d a n t l ’a n n é e . Il d o n n a d e s c h iff r e s ré c o n ­
f o r t a n t s ; s o u l i g n a les h e u r e u x r é s u l ta t s d é jà
r é a lis é s p a r le C in é m a et la Société de g y m ­
n a s tiq u e , o r g a n is é s s o u s les a u s p i c e s de
l ’Amicale, et eut u n s o u v e n i r é m u p o u r la
m é m o i r e d e s a sso c iés m o r t s p e n d a n t l ’a n n é e .
M. Louis
Boissier, tr é s o r ie r , fit e n s u ite
a d o p t e r la s i t u a t i o n f i n a n c iè r e , t r è s s a t i s f a i ­
sa nte.
L’A m icale se r e n d i t e n s u i te , en c o r tè g e a u
m o n u m e n t a u x m o r ts . Une g e r b e de fle u r s
fut dé po sé e e t M. l ’a b b é M o n n e t r é c ita le
« De P r o f u n d i s », a u q u e l r é p o n d i t l ’a s s i s ­
tance.
A m id i, le b a n q u e t t r a d i t i o n n e l r é u n i t
l’Am icale a u r é fe c to ire de l ’Ecole, t r è s a r t i s ­
tiq u e m e n t p a r é p a r les s o in s de M. R o u b i n e t
Un m e n u délicat et s u b s ta n t ie l , des p r o p o s
c o n f ia n ts et j o y e u x , u n s e rv ic e a i m a b l e m e n t
a tte n tif, d o n n è r e n t à cet épi«ode obligé le
c h a r m e e x q u is d ’u n e r é u n i o n fa m ilia le .
M M a urice Vailet, r é d a c t e u r en c h e f de
« l ’A v e n ir du P l a t e a u C e n tr a l », p r é s i d a i t , e n ­
to u r é de N ahrin , d i r e c t e u r de l’Ecole • M
l ’ab bé Monet. v i c a i r e ; M. R ib éry , p r é s i d e n t
de l ’A m icale ; les F r è r e s H a r i o lf et H i l a i r e •
M. l ’abb é D evedeix, c u ré - d o y e n de Crocq
(Creuse) ; M. l ’ab b é R ré c h a r d , c u r é de RaintMerd (Creuse) ; M. S m a n d o n p è re, d é lé g u é
d ’Ussel ; MM. Jo s ep h Rob ert, X a v i e r G oubly
Rou binet, C h a z a u d , C h a rle s Rob ert, L u cien
Boissier, d o c te u r Roches, etc...
Au c h a m p a g n e , M. R ib éry s o u h a i t a en t e r ­
m e s d é lic a ts la b i e n v e n u e à l’A m ica le e t à
ses hôte« et r a p p e l a les lie ns qu i u n i s s a i e n t
les a n c i e n s élè ves à l e u r Ecole et à ses m a î ­
tres.
M N a b r in p a r l a a vec l’a u to r i t é p a te r n e l l e
qu e lui c o n f è r e n t ses 36 a n s de d é v o u e m e n t
e n v e r s la je u n e s s e de Giat. Il é v o q u a la m é ­
m o ir e de s m o r ts avec é m o tio n et d o n n a a u x
v i v a n t s de« c o n se ils p l e i n s de d é lic a te s se et
de bonté.
M. l’abbé D e b o rd dit, c o m m e p a s t e u r , la
joie q u e lui c a u s a i t la p r é s e n c e d a n s s a p a ­
ro isse de l ’Ecole où la j e u n e s s e de G ia t t r o u ­
va it la solide f o r m a t i o n m o r a l e e t re lig ie u s e
qui en fa is a i t u n v i v a n t fo y e r de c a t h o l ic is ­
me a g is s a n t.
Le F r è r e H ilaire s’a s s c o ia à ces h o m m a g e s
a f fe c tu e u x à l ’A m icale et à l’Ecole. Il d e ­
m a n d a q u ’on n 'o n n ’o u b l i â t p o i n t q u ’il ne
s a u r a i t su b s is te r d ’école s a n s m a î t r e s , et a p ­
me gardez pas ran c une de vous avoir a i n ­
si, sans ambages, exprimé mon sentiment.
Bien des cas, croyez-le, d a n s m a c a r r iè ­
re de Major, p o u rra ie n t en illustrer les
motifs, jsi ne m ’obligeait a u silence l’im ­
périeux devoir du secret professionnel.
Les a y a n t alors sous les yeux, Pouvaisje, sans protester, me r a n g e r à u ne thè­
se q u ’infirm aient tous les jo urs de si m u l­
tiples preuves d ’une réalité toute c o n tra i­
re.
— Inutile d ’insister, Major, vous p rê ­
chez un e convertie, se h â t a de dire Syl*
viane, ju g e a n t m a lgré l’in o p po rtun ité du
moment et du lieu l ’heure venue de s’ex­
pliquer loyalement. Ayant, depuis lors,
beaucoup réfléchi, j ’ai reconnu mon tort
’avoir érigé en principe ce qui n’était, je
le sais m a in te n an t, q u ’une triste, la m e n ta ­
ble exception, conelut-elle avec une tris­
tesse plus expressive, en l ’occurence, que
Les paroles elles-m^mes.
Ainsi, Michel ne s ’v était pas trompé.
S u r cette âm e close, a o n t lui dem eu raie n t
scellées, m algré cette demi-confidence, les
mystérieuses profondeurs, une tourm ente
a v a it passé... l’une quelconque de ces t r a ­
gédies obscures, que, sa n s en rien soup­
çonner. côtoie journellem ent notre égoïste
indifférence.
Quelle sorte de d ram e ?... ou de tempê­
te ?... sa n s doute l’ignorerait-il toujours
psychologue t -op averti pour se flatter de
[’illusion, même aprè s ce qui venait de se
pela de ses v œ u x les v o c a tio n s q u i p e rm e t­
t r o n t à l ’e n s e i g n e m e n t libre d ’a s s u r e r «on
r e c r u t e m e n t et sa d u ré e.
M. M a u r ic e V allet r e m e r c i a a vec é m o tio n
l’A m icale de G ia t de l ’h o n n e u r qu'elle lui
a v a i t f a it en l’a p p e l a n t à pFésider cette belle
r é u n io n f r a t e r n e l l e . Il r e p o r t a cet h o n n e u r
s u r le j o u r n a l qui, d e p u is 33 a n s, n ’a v a i t
cessé de l u t t e r p o u r to u te s les no b les eauseß,
et n o t a m m e n t p o u r la libe rté de r e n s e i g n e ­
m e n t. A nc ien élève des F r è r e s lu i-m ê m e il
a pu m e s u r e r la v a l e u r des d is c ip lin e s in ­
te lle c tu e lle s et m o r a l e s qu e l ’Ecole de Giat
d i s p e n s e à 6es élèves. E n lui s o u h a i t a n t , a i n ­
si q u ’à l ’A m ica le q u ’elle a b r ite , u n e p r o s­
p é rité a c c ru e , il a c o n sc ie n c e de fo rm u le r
un v œ u de bo n c a t h o l iq u e et de bo n F r a n ­
çais.
A 15 h e u r e s , u n e a t t r a y a n t e s é a n c e de ci­
n é m a r a s s e m b l a d a n s la n o u v e lle sa lle a m é ­
n a g é e à l ’Ecole, ur. p u b lic n o m b r e u x et c h a r ­
mé) Au c o u r s d ' u n e n t r ’acte, M. Maurice
V alle t é v o q u a la c o m m é m o r a t i o n de la li­
be rté de l’e n s e ig n e m e n t p r i m a i r e fêtée --elle
a n n é e p a r les c a t h o l iq u e s f r a n ç a is . Il r a p ­
pe la l'ép iso d e de l'école o u v e r te h ors de la
lég a lité en 1831 p a r M o n t a le m b e r t . Lacordaîre et de Coux ; le p r o c è s p e r d u d e v a n t la
C h a m b r e d e s p a ir s , m a i s g a g n é d e v a n t Yop i n io n p u b l iq u e ; la lib erté e n fin conquise.
Ce c e n t e n a i r e f u t fêté avec é c la t p a r les
c n lh o liq u e s . Il é t a i t u n e r é p li q u e n C c esfiire
à la c o m m é m o r a t i o n de la n a is s o n c e de Jules
F e r r y et d u c i n q u a n t e n a i r e de l'enseignem e n t laïq u e . M. V a lle t m o n t r a c o m m e n t, en
fait, les c é r é m o n i e s officielles, p r i s e s en c h a r ­
ge p a r la L ig u e de l ’E n s e ig n e m e n t , le S j n d ic a t d e s I n s t i t u t e u r s e t le p a rti S.F.I.O.,
r e v ê t i r e n t u n se n s n e t t e m e n t a n ti c l é r i c a l et
so cialiste.
Ainsi l ’e n s e i g n e m e n t c a t h o l iq u e s ’offre n o n
s e u l e m e n t c o m m e l ’a f f i r m a t t o n d ’u n e liber­
té p r i m o r d i a l e , m a i s c o m m e u n é lé m e n t
Ainsi l e n s e i g n e m e n t c a t h o l iq u e s 'a ff irm e
esse n tie l de ! o r d r e so cial et de la pa ix irui.çaise II fa u t le d é f e n d r e p o u r des ra is o n s à
la fois religieuses et n a t i o n a l e s Mais s a li­
be rté n e sera v r a i m e n t e ffe c u v e que le j o u r
où s e r o n t effacée« les d e r n i è r e s lois légu é es
p a r le c o m b ism e . C’est p o u r cette œ u v r e de
r e d r e s s e m e n t m o r a l et p o litiq u e q u e tou s les
b o n s c it o y e n s d o i v e n t s ’u n i r .
AMBERT
C h em in p a s to ra l. — Le c h e m i n p a s t o r a l qui
p e r m e t t r a de d e s s e r v i r de n o m b r e u s e s h a b i ­
t a t i o n s d ’été de la m o n t a g n e et de faciliter
l ’a cc ès d e s s o m m e t s s u r les c o m m u n e s de
S a m t- A n th é m e , Valcivières, A m b ert, SaintM a r tin , G r a n d r if . e s t e n t r é d a n s la voie de
l'e x é c u t i o n . En effet, l ’a d j u d i c a t i o n des t r a ­
v a u x p o u r l’o u v e r t u r e d u t r o n ç o n de SaintA n t h ê m e à P r a b o u r é a u r a lie u le 1G octobre,
à 10 h e u r e s d u m u ti n , à la m a i r i e de Saint! A n th ê m e . Le d e v is q u i e n a été fa it p o u r
cette p a r t i e c o m p r e n d u n e d é p e n s e totale de
242.734 fr. 80.
P iè tr e e n c o u r a g e m e n t à la p ro b ité . — 11 y
a q u e lq u e s j o u r s , le j e u n e H é ritie r , d e m e u ­
r a n t à A m b e r t, a v e n u e de L yon , l’u n des
m e m b r e s d 'u n e n o m b r e u s e fa m ille , et de s i ­
t u a t i o n m o d es te , t r o u v a u n p o rte fe u ille qui
c o n te n a i t , en e sp è ce s o u en titre s, un e s o m ­
m e d ’e n v i r o n 10.000 fra n c s. Il s ’e m p r e s s a a u s ­
sitô t de r e m e t t r e sa t r o u v a i l l e à Ja g e n d a r ­
m e r i e qui fu t a sse z n e u r e u s e de d é c o u v r i r le
pro priétaire .S ’il n o u s est a g r é a b l e de fé liciter le Jeune
H é r i t i e r de s o n bel acte, il n o u s est pénibl6
d ’a p p r e n d r e q u e la l à d r e r i e d u p r o p r i é t a i r e
a été telle q u e l 'h o n n ê t e p e tit g a r ç o n n 'a reçu
c o m m e ré c o m p e n s e de sa p ro b ité q u 'u n e
s o m m e v é r i t a b l e m e n t d é ris o ire .
G a m in e rie . — D e p u is q u e l q u e s tem ps, de
n o m b r e u x p r o p r i é t a i r e s de la ville a v a i e n t a
Se p l a i n d r e de fa rc e s a b s o l u m e n t d é p la cé e s
o u m ê m e de d é p r é d a t i o n s c o m m i s e s a leu rs
i m m e u b le s, p r é c i s é m e n t le soir, lo rs q u e per­
s o n n e n e p o u v a it c o n n a î t r e les a u te u r s .
Une e n q u ê t e f a ite p a r la g e n d a r m e r i e p
p e r m i s de d é c o u v r i r les j e u n e s g a r n e m e n t s
qui n ’o n t agi q u e p a r p u r e g a m i n e r i e , et qui
p o u r cette r a i s o n n e s e r o n t p a s d é f é ré s en
ju stic e .
M a is si les fa it s se r e n o u v e l a i e n t, o n a u r a
p lu s de r a is o n de f a ir e p r e u v e à l e u r é g a r d
de la m ê m e m a n s u é t u d e . Q u'ils s o ie n t donc
bien a v e r tis .
P u b lic a tio n s d e m a ria g e s . — G r a m rn o n t
P ie r r e -B e n o ît-E tie n n e , i n d u s t r ie l à L yon, et
G e n e b r i e r S im o n e - J a c q u e l i n e , do m ic ilié e à
Am bert. — G o u r b e y re M a riu s, g r a i n e t i e r , et
L a c h a l M a rie-A nto nia.
A m icale d e s M u tilé s. — L’a ss e m b lé e g é n é r a le
de l’A m ica le d ’A m b e rt a u r a lieu le d i m a n c h e
4 octobre, à 9 h e u r e s d u m a t i n , d a n s la «aile
du T h é â t r e m u n i c i p a l , c o u r s des Allées.
P o u r d o n n e r p l u s de p o rtée à ces i m p o r ­
t a n t e s a s s is e s a n n u e l l e s et a u ssi p o u r r é p o n ­
d r e a u d é s i r d ’u n i o n e n tr e to u s les A.C.. qut
s ’e st m a n i f e s t é a u x C o n g rè s d e P u v -G u illa u m e et d u M ont-Dore, n o u s a u r o n s le p la isir,
a p r è s n o i r e r é u n i o n a n n u e l l e , de t e n i r u n e
se a n c e p l é n i è re c o m m u n e avec la Se c tion de
1TJ.N.C. d ’A m b e r t q u i a a cc ep té n o t r e in v i ­
ta tio n .
N o us a u r o n s d o n c la s a t is f a c ti o n d ’e n t e n ­
d r e les p o rt e - p a r o le s les p lu s a u t o r i s é s des
d e u x Sociétés
L’U n io n F é d é r a l e s e r a r e p r é s e n t é e p a r n o ­
tre c a m a r a d e P e n q u e r , t r é s o r i e r g é n é r a l de
n o t r e A s so c ia tio n Nationale', d o n t il est la
c h ev ille o u v r i è r e et m i l i t a n t c h e v r o n n é de la
p r e m i è r e h e u re.
La F é d é r a t i o n D é p a r t e m e n t a l e n o u s a p r o ­
m is le c o n c o u r s d é v o u é de Mm e D elprach,
la m a m a n a u g r a n d c œ u r d e h o s P u p ille s
de la Nation, et la p ré s e n c e de no s c a m a ­
r a d e s R o u x e t V a sso n, v ie u x m il i t a n t s de la
F D , qu e vous c o n n a i s s e z d é jà et d o n t l'éloge
n ’est p lu s à faire, n o u s e st a ssu r é e .
C’est d i r e q u e n o u s n e p o u v i o n s f a ire m e il­
l e u r c h # ix et que n o u s a v o n s e n e u x des
m i l i t a n t s a v e r t is c o n n a i s s a n t à f o n d les q u e s ­
t io n s i n t é r e s s a n t les v ic tim e s de la g u e rre .
Il s e r a a u s s i p ro c é d é a u r e n o u v e l l e m e n t du
b u r e a u qui est o b lig a to ire .
C h a q u e a d h é r e n t a u r a à c œ u r d ’ê tre p ré ­
s e n t à cette i m p o r t a n t e a sse m b lé e g é n é ra le
et il a c c o m p l i r a a i n s i u n d e v o ir d ’h o n n e u r
en v e n a n t t é m o i g n e r s a s y m p a t h i e et «on
e n ti è re c o n f ia n c e à i’œ u v r e a d m i r a b l e p o u r ­
su i v i e p a r n o s A ssoc ia tion s.
. A l 'i s s u e de la r é u n i o n a u r a lieu a n d î n e r
a m i c a l à l ’h ô t e l F o n l u p t , m o y e n n a n t le p r ix
de 20 fr. Se f a ir e in s c r ire , à la p e r m a n e n c e
a v a n t le l«r octo bre.
passer, d ’e n tre r ja m a is, s u r ce point déli­
cat, plus a v a n t d a n s la confiance que ve­
nait, si sp o n ta n ém en t, d e lui tém oigner la
je u ne femme.
Aussi s ’ab3tint-ll de poser la moindre
question. Se r a p p e la n t seulem net q u ’il
était médecin, d ’autorité, l’espace d ’une
m inute, il a p p u y a son doigt s u r le fin
poignet veiné de bleu do nt il s’était em­
paré, geste au ssi simple que le ton q u ’il
eu t pour dire en conclusion de ce bref
examen :
— C’est bien ce que je pensais... pouls
en déroute... c œ u : qui bat la chamade...
les nerfs à fleur de peau. A u ta n t d ’in­
dices d ’un léger début de fièvre... Un bon
cordial pris là. s u r le com ptoir de la p h a r ­
macie voisine, va vous aider, Madame, a
rep ren d re p rom ptem ent vos forces.
San3 protester, c a r elle se s e n ta it vrai­
m ent lasse, Sylviane, docilement, obtem­
p é ra à l’injonction et, biehtôt ap rè s pén é tro it avec son sa u v e u r à l ’in té rieu r de
l ’officine ou lui fu re n t versées, s u r l ’or­
dre de Michel, quelques gouttes d ’un elixir
réconfortant. A petites gorgées lentes, elle
se m it à le déguster, heureuse de se voir
ainsi l’objet, elle ei peu gâtée, sous ce r a p ­
port, d ’une aussi p rév enante sollicitude;
Quelques la rm e j qu ’elle s’efforça de dissim uler perlèrent à ses yeux, déshabituée
qu elle était de ces témoignages d ’intérêt
m onnaie co u ra n te de l ’amitié, et l’une dé
ses p lu s to uchantes m anifestations.
MAR8AC-EN-LIVRADOIS. R é u n io n
du
S y n d io a t a g ric o le . — Le d i m a n c h e 20 se p t e m ­
bre, à 10 h e u r e s , les a d h é r e n t s a u s y n d i c a t
a g r ic o le se so nt r é u n is , à l'école de g a r ç o n s ,
en a es e m b ié e g é n é r a le .
M. G a r r a i t , vice -p resid e nt, o u v r i t la s é a n ­
c e . d e v a n t u n e c i n q u a n t a i n e de c u lt i v a t e u r s
s e u l e m e n t . 11 dit n o t a m m e n t :
* C’est sous ie c ou p d 'u n e g r a n d e p e in e ,
d ’un e ind ic ible d o u l e u r p e r s o n n e lle q u e je
v e ux , en o u v r a n t cette s é a n ce , v o u s r a p p e l e r
le décès de Jo s ep h R o ussel, n o t r e d is t in g u é
p r é sid e n t.
* Sa m o r t 6 e r a p r o f o n d é m e n t r e s s e n tie d a n s
n o t r e s y n d i c a t q u ’H d i r ig e a i t d e p u is s a fo n ­
d a ti o n av ec c o m p é te n c e et activité.
* D é fen s eu r c o n v a i n c u d e s i n té r ê t s a g r i ­
coles, i n te r p r è t e v i g il a n t d r le u rs r e v e n d i c a ­
tions. il a t m a i t la vie r u r a l e , sa d o u c e u r , s a
ru d e sse , et tout ce q u ’ello r e n f e r m e d 'e f f o r t s
e t de p e rs é v é r a n c e .
» En n o tr e n o m , m es c h e r s a m is, J’a d r e s s e
à sa v e u v e et à s«6 e n f a n t s si c r u e l le m e n t
f r a p p é s l ’e x p r e s s i o n de n o s c o n d o l é a n c e s
é m u e s ».
F o u r m i e u x c o m m é m o r e r la m é m o i r e d u
r e g re tté p r é s i d e n t , u n e m i n u t e de r e c u e ille ­
m e n t fut f i d è l e m e n t observée.
Le p r é s i d e n t i n v i t a l ’a s s e m b lé e à é lire lé«
m e m b r e s d u b u r e a u d o n t les f o n c ti o n s s o n t
e x p iré es .
li fut e n s u i te p ro c é d é à l'éle ctio n d u p r é ­
sid e n t.
A près d e u x t o u r s de voie à b u lle tin secret,
M. L u r ie n P o m m e y r o l , c u l t i v a t e u r a u b o u rg ,
f u t é lu p r é s i d e n t d u s y n d i c a t a g r ic o le avec
u n e forte m o jo r ité .
M. G a r r a i t , v ice-présiden t, est élu p r é s i d e n t
d ’h o n n e u r p a r a c c la m a t i o n s .
MM. G r e n ie r î e a n - B a p t i s t e et M aillet L o u ts
s o n t élus v ic e -p r é s id e n ts à m a i n s levées.
MM C h a u ta r d et C h a u m y so n t é lus t r é s o r ie r
et s e c r é t a i r e p a r a c c la m a t i o n s .
Une d i s c u s s i o n s ’e n g a g e a u sujet d u t r ie u r .
D’u n e açor. rigoureuse^ 11 e st dé cidé que
s e u ls les s y n d i q u é s a u r a i e n t le d ro it d e s en
se rv ir.
D i m p o r t a n t e s a m é l i o r a t i o n s se ro n t a p p o r ­
tées a ce t r i e u r d a n s le c o u r a n t de l’a n n é e .
11 e st e n s u i te p ro c é d é à l ’é le ctio n o u bu
r e a u de la m u tu e l le a g ric o ie -a o cid en ts, q u i
est le m ê m e q u e celui a u s y n d i c a t .
Cette m u tu e l le p e u t f o n c ti o n n e r dès à présent. Il est p ris n o t e d e s c o m m a n d e s de s u ­
p e r et de scories.
L ’o r d r e du j o u r é t a n t é puisé, la sé a n c e est
levée.
S A IN T -G E R M A IV -L ’H E R M
C o n trib u a b le s à v o s p o ch es. — Vous i g n o ­
rez c e r t a i n e m e n t 1a g r a n d e n o u v e lle et qui
c e p e n d a n t in té r e s s e votre p o rte - m o n n a ie .
Votre tr è s v é n é r a b le et d e s in té re s s é m a ir e
de S a in t- G e r r n a in -l’H e r m , v i e n t de se fa ire
v oter p a r le conseil m u n ic i p a l la 6 o m m e
a n n u e l l e de d e u x m ille f r a n c s , so it d i s a n t
p o u r f r a i s de r e p r é s e n t a t i o n , d é je u n e r s , à
o f f r i r à s é n a te u r s , d é p u té s et a u tr e s .
C’est g e ntil, n ’eist-ce pa s et q u ’e n penßezv o u s h a b i t a n t s de S a i n t- G e r m a i n - l ’H e r m î
• M -f-
ISSO IR E
JUMEAUX
LA COM BELLE. — C o n c ert. — L a Société
• La F a n f a r e de La Coinbelle d o n n e r a un
n o u v e a u c o n c e r t le m e r c r e d i 30 c o u r a n t , à
19 h. 45, p la c e d u M a rch é , sou« la d ire c tio n
de M. II. B ard.
Voici ie p r o g r a m m e :
1. Ciiâtillou en fête, p a s r e d o u b lé ( A nton in
Bon).
2. M a r g u e r i t e des prés, o u v e r t u r e (A. P la n e l)
3. Les b o r d s de la F u r e , f a n ta is i e (Robby)
4. Le P r é a u x Clércs, m o s a ï q u e (H é roîd).
5. Le Coq g a u lo is, m a r c h e (P. A n d r é ).
E n c a s de m a u v a i s tem p s, le c o n c e r t a u r a
lie u à la sa lle d u C in ém a , à S e lla m in e 6.
MM. les m e m b r e s h o n o r a i r e s so n t c o r d i a l e ­
m e n t in v ité s.
-------------
T H IE R S
Recherches. — Le n o m m é B a u x ou Bost
J e a n , d it R ém y , né à S a i n t- J e a n - d 'H e u r s , le
30 j a n v i e r 1883, e st p r ié de se p r é s e n t e r à la
M a irie (3« b u r e a u ) , p o u r a f f a i r e le c o n c e r ­
n a n t.
En c a s d ’im p o ssib ilité , lli est p r i é de fa ire
c o n n a î t r e so n a d r e s s e d ’u r g e n c e .
DANS m U E R
Vichy e t sa Région
VICHY.
QUI L’EUT CRU.....
Qui d o n c a u r a i t osé a f f i r m e r q u e l'id ée
d ’u n e B r a d e r i e V jchyssoise o b t i e n d r a i t en si
pe u de t e m p s u n su c c ès si r a p id e et si plein
de p ro m e s se s, s i n o n n o u s, qui c o n n a i s s io n s
l 'e n t h o u s i a s m e des c o m m e r ç a n t s V ichyssois
p o u r t o u t ce q u i a f f i r m e u n e in it i a t i v e n o u ­
velle in té re s s a n te .
Déjà c h a c u n
règle
l ’o r g a n i s a t i o n de sa
v e nte , c h e r c h e la t r o u v a ille qu i a t t i r e r a a u ­
t o u r de son i n s t a l l a t i o n de f o r t u n e la foule
d e s p a s s a n t s . Cette a c tiv ité et c e t e s p r i t d ’é­
m u l a t i o n n o u s font p r é s a g e r u n e belle
ré u ssite.
TRIBUNAL CORRECTIONNEL
DE CUS8ET (suite)
Coitps et b lessure s réciproq ues. — Le 25
ju ille t, v e rs 11 h e u re s , u n e d i s p u t e é c l a t a i t a u
et la g é r a n t e . Mine M icheline L eb œ uf, é pou se
S a in t-J o n n in , â g é e de 51 a n s , a u s u j e t d ’un e
q u e s tio n d ’in té rê ts .
Au c o u r s de cette a lt e rc a ti o n , qui d u t être.
d ’a p r è s les d é b ats, a sse z violente, les d e u x
e n tà g o n i s t e s se p o r t è r e n t d e s c o u p s r é c ip ro
ques.
Ap-rès (plaidoiries de M« M on icat, p o u r M.
Désolrmière, et de M« L av a u d , p o u r M m e
S a in t- J o n n in , le t r i b u n a l c o n d a m n e Jes d eux
p r é v e n u s à 16 f r a n c s d ’a m e n d e c h a c u n .
P o u r la prem ière fois depuis bien des
années, elle en g oûta it l’intime douceur,
et s ’en éto n n ait comme d ’une chose a n o r ­
male. indice, craignait-elle, d ’un sérieux
ébranlement. Etait-elle donc si nerveuse
q u ’il su lfisa lt d ’un rien, d ’une attention
toute simple pour l’ém ouvoir à ce point;
ou serait-il de l’essence de ce rtain s êtres
de faire vibrer en nous la corde sensible
que n ’effleurent même p a s les banales
m anifestations d’intérêt du vulgaire.
P a s beau cependant, a u sens plastique
du mot, le M ajor S au rin , m a is d ’une b on­
té si g r a n d e q u ’on n songe point à lui
faire grief de sa c a r r u r e massive, de son
absence de distinction rachetées p a r l’ex­
pression de si loyale franchise de son in­
tuitif, divin a te u r regard.
Mentalement, Sylviane le c o m p a r a it à
son m ari, raqé celui-ci, combien, et doué,
en dépit de son triste défaut de buveur,
des p lus brillantes qualités. Comme ils
s ’étaient aimés, et quel écroulem ent dè
son rêve lorsqu’elle av a it dû fuir, em ­
po rtan t avec elle, ternie, défigurée, mais
vivace comme à la première heure, l’i­
mage de celui que, m a lg ré ses efforts et
sa volonté d ’o u b li,,elle n ’a pu p arv e n ir à
chasser com plètem ent do sa pensée ni de
son affection. Défendue de la sorte à son
insu contre toute su rp rise équivoque du
coeur, rien des hom m ages rendu s à sa
beauté n ’a pu e n ta m e r Ju sq u ’ici la p ure
intégrité de son âme. D’a u t a n t plus av e r­
tie est, de ce fait, s a clairvoyance et [‘in ­
B lessures i n v o lo n ta ir e s . — R e n t r a n t à son
d om icile, à Mariol, le *olr du 14 juillet, vers
21 h e u r e s 3o. M Je a n-U aptiste L am b e r t. .18
ans. e m p lo y é de b a n q u e , r e n v e r s a to u te u n e
fam ille e spa gn ole , le père, la m è r e et Ten­
tant, qu i s u i v a ie n t l 'a c c o te m e n t de la r ou te
d a n s la tr a v e r s é e d u b o u r g de Saint-Y orre
Les tro is Moléro f u r e n t top s p l u s ou m o in s
c o n tu s io n n é s : ils se p o r t e n t - p a r t i e civile. Il*
L av a u d . av oca t, a ssisté d e ’ M» Renon, a voue,
r é c la m e en l e u r n o m u n e s o m m e de 33.036
fr. 50
A p rè s pla id o irie de M* P la ce , le t r i b u n a l
c o n d a m n e l ’i m p r u d e n t c h a u f f e u r à 25 f ra n c s
d 'a m e n d e , m a i s il fixe à 4.000 fr. se u l e m e n t ie
m o n t a n t d u p ré ju d ic e c a u s é à la fa m ille e sp a
g no le.
I ot de volailles. — Le n o m m é F r a n ç o is
Maillet, se d i s a n t t o u c h e u r de b e stia u x , s a n s
d o m ic ile fixe, est le s i m u l a t e u r qui d u t être
e x a m i n é p a r de n o m b r e u x m é d e c in s- a lié n is­
tes d u C en tre de la F r a n c e e t qui c o n c l u r e n t
du reste à so n e n tiè re re sp on sa bilité.
II est i n c u l p é de vols de v o laille s c o m m i s
d a n s la n u i t a u 23 a u 24 s e p t e m b re 1929. chez
u n p r o p r i é t a i r e de P e r r i g n v et fait en o u tre
l'objet d 'u n e in f r a c ti o n à u n a r r ê t é d ' i n t e r ­
d ictio n de sé jou r.
Après p l a i d o i r ie de M* E p ina t. le t r ib u n a l
c o n d a m n e MaiJIet à 3 m o is de prieon.
Coups et blessures. — C'est un e c o n s é q u e n ­
ce de l ’a c c id e n t p o u r lequel, ie l e u n e Neury.
de L ap a iis se, v i e n t d ’ê ire c o n d a m n é
Au c o u r s des e x p li c a t io n s s u r les c a u s e s de
l 'a c c id e n t, u n e d i s p u t e é c l a t a e n t r e le p r o
p r i é t a i r e de la m o to é c ra sé e, H e n ri Lazzerini, 31 a n s, c h if f o n n i e r , et u n a m i de Neury,
le j e u n e Léon G i r a r d i n , 20 a n s, J o u r n a l ie r ,
d om ic ilié s l ’u n et l ’a u t r e à L apaiisse.
Ils so n t p o u r s u i v i s p o u r c o u p s et b lessures
r é c ip ro q u e s , m a i s se ul L a z z e r ih i se p r é s e n te ;
il écope de 16 f r a n c s d ’a m e n d e . G i r a r d i n . qui
a p r é fé r é fa ire d é f a u t , e st c o n d a m n é à 3
m o is d ’e m p r i s o n n e m e n t .
Vol. — Y von ne B r u n e a u , fe m m e Jo u r d o l n ,
46 ans, d e m e u r a n t a c t u e l l e m e n t à P a r i s , est
i n c u lp é e de vois c o m m i s a u p ré ju d i c e do
Mme L ab ro u s se. d ir e c tr ic e de sa lle s de s p e c ­
ta c le s à Vichy.
Alors q u ’e lle é ta it a u sê rvlce de cette d a m e ,
celle-ci c o n s t a t a la d i s p a r i t i o n de n o m b r e u x
objets, m a i s le t r i b u r ^ i ne re ti e n t q u e celui
d ’u n c h a p e a u et de 2 se rv ie tte s à tné.
Après p l a i d o i r ie de M« Nigay, l ’i n d é lic a te
so u b r e tte s 'e n t e n d
c o n d a m n e r à 50 f r a n c s
d'amc-nde avec su rs is .
B a n q u er o u te . — P o u r s u iv i p o u r b a n q u e ­
rou te sim p le , Alfred
Mottet, a c t u e l l e m e n t
p l â tr ie r, à P a r i s , s’e n te n d c o n d a m n e r à 25 fr.
d ’a m e n d e .
H a rm o n ie « La S em eu ee ». - r Les m e m ­
bres a ctifs de l’h a r m o n i e • La S e m e u s e » sont
in f o r m é s qu e les ré p é t it i o n s r e p r e n d r o n t le
m a r d i 29 s e p te m b re , à 20 h e u r e s 30, s o u s la
d ir e c tio n de M. R. D a n j a u m e .
Elies a u r o n t l ie u , c o m m e p r é c é d e m m e n t ,
les m a r d i et v e n d r e d i, à 20 h. 30.
Les m u s i c i e n s h a b i t a n t Cusset, q u i d é s ir e ­
ra ie n t a d h é r e r à • La S e m e u s e », p e u v e n t
6’a d r e s s e r a u siège social, salle des r é p é ti­
tio ns, c o u r de la M airie, les. j o u r s e t h e u r e s
m e n t i o n n é s ci-dessus.
Collecte« de m a ria g e s . — A l’oc ca sion du
m a r i a g e de M. P i e r r e C o n iito u a vec Mlle
G a u d ia t, u n e q u ê te a p r o d u i t la so m m e de
82 fr. 35 a u p r o f it de la Caisse de s e c o u rs
i m m é d ia t s .
Au p r o f it de la m ê m e caisse, u n e quête ,
qui a r a p p o r t é l a s o m m e de 90 fr. 90, a été
faite a u m a r i a g e de M. P a u l B a r d e t avec
Mlle Y v onn e P o u l a in .
An nom des p a u v r e s de Cusset, M. le M aire
a v i v e m e n t r e m e r c i é to u s ces g é n é r e u x d o ­
nateurs.
................ - - -
GANNAT
E cole p r im a ir e e u p é rlo u re ot E cole P r a tiq u e
d ’in d u e trie d e G a n n a t. — G râ ce à la réce nte
c r é a ti o n des' c o u r s d ’a g r i c u l t û r e à l ’E.P.1.,
le d e u x écoles de n o t r e ville s o n t m a i n t e n a n t
en m e s u r e de p r é p a r e r l e u r s élèv es a u x
n o m b r e u s e s c a r r i è r e s de p l u s e n p lu s s p é c ia ­
lisées q u ’exig e l a vie m o d e r n e . •
L ’E .P .S . p r é p a r e a u b re v e t é l é m e n t a i r e e t
a u b r e v e t d ’e n s e i g n e m e n t p r i m a i r e s u p é r i e u r
(5 s u c c ès s u r 7 c a n d i d a t s en j u il l e t 1931) et
d i r e c t e m e n t a u x c o n c o u rs . d ’e n tr é e à l'Ecole
N o rm a le , a u x P o s te s, a u x C o n tr ib u tio n s, a u
T r é s o r public, B a n q u e s , etc... Elle a s s u r e une
so lide cultpre. g é n é r a le , et g r â c e a u x c o u r s
s p é c ia u x dé c o m p t a b il i té et de sténo-dacty log r a p h ie , fo rm e d e s élè ves q u i se d e s t i n e n t
a u x c a r r i è r e s c o m m e rc ia le s.
L ’E .P .I., d o n t lés a te l ie r s n e c e s s e n t de
s ’e n r i c h i r de m a c h i n e s m o d e r n e s f o r m e des
te c h n i c i e n s t r è s vite a p te s à fa ire d e s c o n tr e ­
m a î t r e s é c l a i r é s ( m e n u i s e r ie , a ju s ta g e , forge).
Les a n c i e n s élèves t r o u v e n t d e . n o i n b r e u x d é ­
b o u c h é s d a n s la m a r i n e et d a n s l ’a v ia t i o n
civile e t m il i ta i r e .
E nfin , cette a n n é e , ' u n e l a c u n e est comblée,
g râ c e à l a - l i b é r a l i t é d u S o u s - S e c r é t a r i a t de
l 'E n s e i g n e m e n t T e c h n iq u e et du- Conseil Gé­
né r a l. Les, c u lt i v a t e u r ^ g u i v o u d r o n t d o n n e r
à l e u r fils u n e n s e i g n e m e n t a g ric o le tr o u v e ­
ront à l’E .P .I. u n e se c tjo n d ’a r t i s a n a t r u f a l
bien a d a p t é e a u x b e so in s ré g io n a u x . A côté
des p ro fe s s e u rs s p é c ia lis é s qu i e n s e i g n e r o n t
l ' a g r i c u l t u r e e t la te c h n o lo g ie a g ric o le , on a
fait a p p el a u c o n c o u r s de : 1° M. B o u llg n o t,
v é té r in a i r e à G a n n a t , p o u r l ’é tu d e d e s a n i ­
m a u x de la fe rm e ; 2° do g a r a g i s t e s et de
m é c a n i c ie n * q u i m e t t r o n t so u s les y e u x des
élèves, t r a c te u r s , m a c h i n e s a g ric o le s, pom pes,
é cr é m e u s e s . etc...; 3° d 'a g r i c u l t e u r s é c la ire s
qui c o n s e n te n t à se p r ê t e r a u x e x p é r i e n c e s
qui ill u s t re n t l e s cour.s t h é o r i q u e s : ' h o . x des
e n g r a i s , sélection d e s sexnericës, a d a p t a t i o n
des p l a n t e s a u x dlfféfe rtts t e r r a i n s , etc...
Ces c o u r s s e r o n t o u v e r ts n o n s e u l e m e n t a u x
élèves i n t e r n e s et e x te r n ë s , m a i s a u x Je un is
a g r i c u l t e u r s de 14 à 18 a n s qu i, de n o v e m b r e
à P â q u e s , . p o u r r o n t consacre-- u n à deux
jo u rs p ar sem aine à parfaire leu r instruc­
tio n .
- . P o u r to u t r e n s e i g n e m e n t , - s ’a d r e s s e r a u Di­
r e c t e u r dé l'E .P .S . et de i Ë .P .I., q u i reçoit
to u s les m a t i n s
‘ ' *
•*
La r e n t r é e des c la ss es a u r a lieu le Jeudi
1 " octobre i m i r l e s i n t e r n e s et ie v e n d r e d i
m a t i n 2 oc tob re p o u r les e x te r n e s .
A ncien« c o m b a tta n te . — La ré u n io n g é n é ­
ra le s t a t u t a i r e de la F é d é r a tio n des section«
des V é téra n s e t de« s o ld a ts d e la grande
g u e r r e d u d é p a r t e m e n t de l ’Ailier, aura lieu
à M o u lin s le d i m a n c h e 18 o ctob re 1931, à
10 h. 30 d u m a t i n , d a n s u n e d e s salies d e la
m a irie .
S o ciété d ’é m u la tio n . — La p r o c h a i n e sé a n ­
ce de la Société d 'é m u l a ti o n d u Bourbon­
n a is a u r a lieu le l u n d i 5 octobre, à 20 h e u ­
res. à Ja b i b lio th è q u e m u n ic i p a l e , a v e c ordre
du j o u r s u i v a n t :
S é a n c e p u b liq u e , p ro te c tio n d e s site« e t
m o n u m e n t s , q u e s t io n s diverses.
A ocidente d u t r a v a il. — F e rn a n d A lexan­
dre , 41 a n s, b r o c h e u r en c h a u s s u r e s , ru e d e s
G a r e e a u x . 17, s ’e«t c o u p é à
l 'a u r i c u l a i r e
d r o it avec u n e m p o rte-p iè ce . I n c a p a c i t é d e
t r a v a il de q u i n z e jo u rs.
L 'A S . Mot
talres que lei
de basket-ba
à p a r t i r du j
continueront
MONTLUÇON
O
HURIEL. — C o n co u rs a g ric o le . — R o m p a n t
a vec l a t ra d i t io n , le c o n c o u r s a g ric o le a n ­
n u e l d u Comice a g r ic o le de M ontluçon, q u i
se t e n a i t h a b it u e ll e m e n t le d i m a n c h e , s 'e s t
d é r o u lé h i e r l u n d i , à H uriel.
P o u r c ette c ir c o n s ta n c e , le g r a c i e u x chefiie u de c a n t o n qu e d o m in e sa t o u r féodale, la
• T o q u e », a v ait, d a n s u n e ffo rt de s a p o p u ­
la tion, re vêtu u ne p a r u r e de fête. De p a r t o u t
d e s o ri fla m m e s , des fleurs et des g u i r l a n d e s
de v e r d u r e j e t a i e n t u n e n o te g a ie , plac e d u
M arché.
D a n s les Ecoles p u b liqu e s, des e x p o sitio n s
r e t i e n n e n t l o n g u e m e n t l ’a tte n tio n d e s v isi­
t eu rs . M a lh e u r e u s e m e n t , u n e é p id é m ie de
fièvre a p h te u s e e m p ê c h a d 'a m e n e r des a n i ­
m a u x qui s ’é ta i e n t révélés m e r v e il l e u x lors
d e s c o n c o u r s de visite.
A 10 he ures, à l ’Hôtel de Ville, la M un ici­
palité offrit un vin d 'h o n n e u r a u x o r g a n i s a ­
t eu rs . a u x m e m b r e s d u j u r y , a u x p e r s o n n a ­
l ité s p ré se n te s et a u x invités. Après un p ie u x
p è le rin a g e au m o n u m e n t a u x m orts, le c o r­
tège d e s officiels visita les d i ff é r e n te s e x p o ­
sitio ns.
A m idi, u n b a n q u e t de 200 c o u v erts fut servi
a u C h a m p de Foire. Des disc o u rs éloqiié’ots
f u r e n t (prononcés p a r MM. le DoctPiir Relia,
m a i r e d ’H u r ie l ; Villatte des P r u g n e s , p r é ­
s i d e n t du Com ice a g ric o le de l’a r r o n d i s s e ­
m ent de M o ntluçon , et Lucien l.nmourcùX.
d é p u té de l ’Ailier, r a p p o r t e u r g é n é r a l du
budget
^mercredi et
C o û ts d u
credl et ver
Ed
Mercre di e
C du
Fillette» .
G arçon» :
Messieurs
17 h. à 18 h.
et de 16 h 4
à 8 h. 15 et
17 h. à 18 h
Dam es —
c redi, de 6 h
et de 16 h.
à 8 h. 15, d
16 h. 45.
Cours d u
h. 45 ; ga rç
«NT
R ugby.
JeudC de 18
B aeket. —
A 19 h. 30 ;
A utres éq
18 h. 30 à 1
Croee «t
• ta d e , de 18
Boxo. — I
CREUSE
(
AUBU 8 8 ON. — E ta t c iv il d u 18 a u >5 se p ­
tem b re. — N a issa n ce s. — C a m ille Roucourou x.
P u b l i c a t i o n s de m a r i a g e s . — Je a n P ê r l e r
to n n e lie r , d o m ic ilié à A u b usson,
et M arié
C h a tre ix .
M a riag e s. — A r m a n d Latvglois, mécanicien,
a ju s te u r , et F ra n ç o is e C o u tu r ie r . — Marcel
B a r r ie r , c im e n ti e r , et A u g u s tin e Brifouiière
Décès — A u g u s tin e F r a n c , 73 a ns. — René
C haule), 14 a n s . — P i e r r e Se rre. 26 a ns.
CROCQ. — Vol de trois. — P l a in t e c o n tr e
m c o n n u a été portée p a r M. C h a r p e a u d E m i ­
le, c u lt i v a t e u r à Snin t-A gnant- près Crocq
p o u r vol de bois et m u ti l a t i o n d ’a r b ie 6 .’
inedi, de 18
L u tta , —
«nedî, de 18
N a tatio n .
V endredi, d
Les Inscri
,'sique et
ru e Mon
m a n c h e , de
&hy:
LES NATO
Equipe 1
le C h a lle n g
Equipe 2 C
m o n t.
Equipe 3 c
Equipe 4
Une.
LOIRE
Entraînent
Une co
Enseignement
commercial
\ \ x ----Nos l e c te u r s n ’o n t p a s été s a n s r e m a r q u e r
les ré s u l ta t s p a r ti c u l i è r e m e n t brillan t» ob te ­
n u s a u x é p r e u v e s g é n é r a le s de l’In stitu t I n ­
t e r n a t i o n a l de s t é n o g r a p h i e Duployé, de Juillet d e r n ie r , d o n t le p a l m a r è s a été p u b lie en
te m p s o p p o r t u n p a r la presse locale.
P a r m i les l a u r é a t s de notre région, f ig u ­
r e n t en n o m b r e fort im p o s a n t les élèves d e - ^
F ECOLE ■ DACTYLA », n o tre é ta b l is s e m e n t ^
d e n s e ig n e m e n t p ro fes sio n n el de sté n o-dac ty- *
lo g r a p h i e q ui, s u r 125 c a n d i d a t e s p r é se n té e s
a u x e x a m e n s d e s d iv e r s de g rés, a vu 99 de
celles-ci d é c la r é e s ad m iss ib le s. Si l’on c o n si­
dè re la sé v é rité avec laqu e lle le J u r v P a r i s i e n
c o r rig e les copies, on p e u t a p p r é c i e r toute
l a v a l e u r d ’un se m b la b le ré sulta t, q u e le
m o in d r e c o m m e n t a i r e rn> p o u r r a i t q u ’a f f a i b li r
et qui fa it le p lu s g r a n d h o n n e u r a u p e r s o n ­
nel e n s e i g n a n t de l ’Ecole • D a cty la ». d o n t
le p r o g r a m m e
ré p o n d si bien a u x be so ins
a c tu e ls de l’a c tiv ité c o m m e rc ia le : s t é n o g r a ­
ph ie. sté n o ty p ie , d a c t y l o g r a p h i e , r é d a c tio n et
a r i t h m é t i q u e c o m m e rc ia le s , c o m p ta b ilité , m a ­
c h in e à c a lc u le r.
î.es p e r s o n n e s so u c ie u s e s d ’u ne e xc e lle n te
f o r m a tio n p ro fes sio n n elle peuvent donc, en
to u te c o n fia n c e , se fa ire i n s c r ire dès à Drése n t à l’Ecole . DACTYLA », d o n t ils rece­
v r o n t i m m é d i a t e m e n t to u s r e n s e i g n e m e n t s et
program m e.
C o u rs d u J o u r et c o u r s du s o i r
P l a c e m e n t a s s u r é des élèves
ECOLE . DACTYLA ». d irig é e p a r Mme et
M. R. C a r n a s (*.*), p ro f e s s e u rs d ip lô m é s rtfeg r é s u p é r i e u r ) C h a m p i o n d u C o n c o u rs g é n é ­
ra l de P a r i s (L ycée Condorcet. oc to bre 1924)
P r e m i e r P r i x d e M. le P r é s i d e n t de la R é p u ­
blique. 2, ru e d u P o rt (tél. 16-53), C lerm on t-F d
Un repos forcé
A l ’occasi
d u • P e t it O
d ire c tio n d u
c o u r s d u Sy
C lerm on t, u
ie d im a n c h e
Cette c o u r
d e p rix , d o n
Les c o u re u
café, serviet
m ain.
L’i t i n é r a i r e
go v ia (déna
p la c e G a iüa
IJnis et a t r i
L a co urse
•antes pour
t a t e u rs qui,
d ’a u t a n t pim
tio n sp o rtiv e
m ont pour 1
La lis te de
t u t r e s dota;
LE CA8IN
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P o u r le u r
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le n ie équipe
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u déb ut,
p o u r m ener
s o u t e n u e s pal
le m e i l le u r d
• i o n les arri
i ’U.S.C. d ’ou
les l o c a u x m
Î
faillible instinct de l’a n m u r d ’une m e na­
ce. Laquelle ?... suspendue, épée de Dam o dès, s u r Je fragile cnistul de son r ê f t
de bonheur.
Plausible, en somme, l’entente secrète
soulignée p a r plus d'un indice entre la
je une médecin m ilita ire et cette tron sé­
d u isa n te veuve, assez jeune pour se ram a rie r, m ais incapable, même aux yeux
d Armelle qui l'a d m ira it b ca u ctu u , da ^
tout calcul d intérêt ou de vuluoire c#»
quetterie. Une âm e de celle vSîeur M
p o u v a u a im e r que p o u r le bon motif èÉ
e u ce c a s’ Pcsait d ans la I*Iance des chances à venir de la jeûna
Ile, en rega rd d ’une telle supériorité,
a p p o r t du naïf m ais sincère am our, ti­
m idem ent éclos d a n s le fond de son
cœur. Toutefois ne voulait-elle pas dése»perer. T a n t de choses, ici-bas, militent
e 1 notre faveur, pa/rni lesquelles, en te»
circonstance, était peut-être ce départ dm
médecin dont échappait, à la clairv oyan ­
ce ue Sylviane, les motifs impérieux.
Quoi I Allnit-i| s ’éloigner ainsi, ju ste
u m om ent où »e forgeait entre leurs
cœ urs le prem ier chaînon d ’une mutuel!#
sy m p a th ie l
*
Pr êcieuse cependant lui eOt
é t . 1 a p pui de celle ci d a n s la crise mo­
rale que subissait Sylviane, en«e à 'a .
A
d u 6 Müj o r S a u r i q,ü S é " a " 8ère
•
U su s v t %.j
Equipe 1 c
Equipe l c
Autres éq
J
MONTBRISON. — E ta t c iv il d u 17 a u 24
se p te m b re . — N a issa nce s. — I’i errr-M rfruP a u l F a v e r jo n — M artin- B e n o lt-Jo ^ 'p h R o n ­
del. — H e n ri-F élix M o n ta illa rd . — Lucien.
C laude-G eorges l’in o n . — Andree-Marie-Léoiitin e F a f o u r n o u x
Décès. — Je a n -M a r ie P o n t o n n i e r . 15 Jours.
F o ire d e S a in t-L u c . — Le 18 oeio hre étant,
cette a n n é e , un d i m a n c h e , la g r a n d e foire dé
S a in t-L u c a u r a lieu, s u i v a n t l ’usage, le l u n ­
di 19 octobre .
peut e n tra în e r la perte de votre emploi an
la dim inution de vos salaires. Les priwT
tiens et les soucis viendront encore a u *
men ter votre faiblesse. Eloignez ces d u ­
res extrémités en b u vant a v a n t chaque l i
BIOZAT. — U ne belle ohaeee. — Nos j e u n e s pas, un verre du plus actif des f o rtifla n u
c h a s e e u rs , R o g e r S u je t e t M a r c e l Bayot, v i e n ­ que vous ferez vous-même en versaru
n e n t de t u e r u n b e a u m a r c a s s i n p e s a n t 11 Ki­ d a n s un litre de vin de table, un flacon
los.
Quintonine, coû tan t seulem ent 4 fr »
A ces h e y r e u x et b o n s t i r e u r s n o s si n c è r e s P h a rm a c ie Fourton et P a tr ia rc h e • Gros A
fé lic ita tio n s.
C lerm ont-Ferrand, et toutes p h a r m a c W
faillible instinct qui lui fait discerner sous
les espèces, ’ en ap p a re n c e
inoffensives,
d'u n quelconque compliment, o u tre chose
qu une m a rq u e b an a le d ’ég a rd ou de po­
litesse.
Ainsi n ’a-t-elle q u ’une demi confiance
d a n s le mnnège s a v a n t et quelque peu
suspect que tra h it, a u p rè s d ’elle, l ’atti­
tude, correcte p o u rtan t, j u s q u ’a l o r s . ' d u
peintre Deicourt.
1
A utant elle s ’y fie peu, a u t a n t donnérait-elle sa tête à couper, qu'av ec le Ma­
jor, rien de ce g en re n ’est à craindre.
S a n s doute ne semble-t-il pas la tr a i­
ter en indifférente.... Mais d a n s quelle
m esure lui platt-elie ? elle ne le sa it et
tient à l’ig n o rer to ujours, te n a n t p d u r
trop précieuse la n a issa n te sy m p a th ie
que b riserait sa n s reto u r une plus f ra n ­
che explication.
G ra n de fut, en conséquence, la décep­
tion de la je une femme, à l’annonce le
soir, au dîner, de l ’im m in en t d é p a r t ’ dû
médecin m ilitaire.
— Quoi, Major, vous n o u s quittez 1...
Déjà I... s a n s crie r gare, gém it à cette
o uverture in a tte n due Mrrte D upuy-Larronde, navrée d ’une aussi brusque inexplica­
ble déterm ination.
— Qu’allons-nous devenir, sa n s vous ?
ren c h érire n t à le u r to u r Inez et JeanneMarie désolées, elles aussi, de voir s ’é­
loigner leur hôte préféré. Seule, Armelle
ne fit a u c u n e réflexion, avertie p a r l ’in ­
Cours du
«t jeudi.
i Cours du
o
L'AVENIR PU PLATEAU CENTRAL
MARfDI 29 SEPTEMBRE 1931
T
LA SITUATION D O R Y PH O R IQ U E
gênéniûn«
jr a n d e
ra lieu
1931. à
d e la
DANS LE PUY-DE-DOME
« tiH iim w w i i wwttMiMWHtww
sêan burbonK> heuo rd re
Education physique, natation
et sports
et
L ’A S. M o htferrnndalse Inform e ses socié­
ta ire s que les cours d'éd u catio n physique et
de basket-ball com m enceront à fonctionner
à p a rtir du jeu d i 1** octobre p ro ch ain ; ils se
co n tin u e ro n t su iv an t l’h o raire ci-dessous :
liexafv
■ue des
*uia:re
Cité de
e d u c a tio n
|>mpant
)le an[>ri. qui
s'e st
cheflaie, la
popnbartout
Mandes
lu e du
k itto n s
visi­
b le
de
nm|x lors
Idu iifci-
isn isafsntüiapieux
Pe corexpo)t se rvi
kq iienf«
[ R elia.
préIhdisse} u reu x ,
ral du
[25 seplUUCOll|lV rle r,
Marie
|ntci«n[M arcel
iuiière
René
B O U R SE D E P A R IS du 28 Septembre 1931
1
p h y s iq u e
hom m es
C ours du m atin , de 6 h. 46 à 7 h. 30. m ard i
et jeu d i.
t C ours du soir, de 18 h. 30 & 19 h. 15, lu n d i,
^m ercredi et vendredi
Basket-Ball
Cours du m a tin , de 6 h. 30 à 7 h 30, m er­
cre d i e t v endredi
E ducation phy siq u e dam es
M ercredi et sam edi, de 9 h. à 10 h. 30.
E d u catio n physique e n ta n ts
F illettes . jeu d i, de 14 h. 30 A 15 h.
G arçons : jeu d i, de 15 h. à 15 h. 45.
N atation
M essieurs . m ard i, de 6 h. 45 à 8 h. 15 et de
17 h. à 18 h. 45 ; jeu d i, de 6 h. 45 à 8 h. 15
et de 16 h 45 à 18 h. 45 : vendredi, de 6 h 45
à 8 h. 15 et de 17 h
à 18 h. 45 ; sam edi, de
17 h. à 18 h. 45 ; dim anche, de 8 h. à lu h. 45.
Dames. — Lundi, de 16 h. 30 à 18 h. 45 ; m er­
cred i, de 6 h. 45 à 8 h. 15, de 9 h. 30 A 10 h. 45
et de 16 h. 30 à 18 h. 45 ; sam edi, de 6 h. 45
A 8 h. 15. de 9 h. à 10 h. 45 et de 15 h. à
16 h. 45.
C ours d u jeudi. — F illettes, de 15 h. à 15
h. 45 ; g arço n s, de 16 h. à 16 h. 45.
ENTRAINEMENT8 SPO RTIFS
R ugby. — P o u r tous les équipiers, m ard i et
J e u d C d e 18 h. 30 à 19 h. 30.
B asket. — E quipes 1, 2, 3, m ard i, de 18 h. 30
à 19 h. 30 ; jeu d i, de 20 h 30 à 21 h. 30.
A utres équipes ; m ercred i et vendredi, de
18 h. 30 à 19 h. 30.
C ross e t athlétlsm o. — M ardi e t jeu d i, a u
sta d e , de 18 h. 30 à 19 h. 30.
Boxa. — Lundi, m a rd i, je u d i, vendredi, sa­
m edi, de 18 h. 30 A 19 h. 30.
Lutte. — L undi, m ard i, jeu d i, v endredi, sa ­
m edi, de 18 h. 30 à 19 h. 30.
N atation. — L undi, m ard i, m ercred i, Jeudi,
V endredi, de 19 à 2u heures.
Les in scrip tio n s p o u r les cours d ’éducatJon
sique et sportive sont reçues à l ’A.S.M.,
rue M ontlosier, chaque jo u r, sau f le di­
m an ch e, de 8 h . à m id i et de 15 à 18 h. 30.
------------- -M-?------------LES MATOHES DE DIMANCHE PROOHAIN
A L’A.S.M.
T o u t ré c e m m e n t a été p u b lié e u n e in ­
fo rm a tio n de p re s se s u s c e p tib le de fa ire
p e n s e r q u e le P u y -d e-D ô m e e s t . s é r ie u ­
se m e n t c o n ta m in é p a r le D o ry p h o re de la
p o m m e de te r re (in secte c a la m ite u x d o n t
n o u s av o n s d é jà p a rlé ).
N o u s re ce v o n s à ce s u je t la n o te r a s ­
s u r a n te re p r o d u ite ci-de3sous (q u i é m a ­
n e de l’In s p e c te u r de la D éfen se d es V é­
g é ta u x p o u r n o tre ré g io n d u M assif C en­
tr a l).
D ans tm a rticle p a ru il y a quelques Jours
(et, d ’a ille u rs, ex trêm em en t in té re ssa n t), je
trouve le Puy-de-Dôm e d a n s une liste de dé­
p a rte m e n ts qui se ra ie n t « fortem e n t ra v a ­
gés » p a r le D oryphore — ce coléoptère que
vous avez à p lu sie u rs rep rise s dénoncé û
vos lecteurs, com m e très nuisible à la pom ­
m e de terre.
Je sera is h eu reu x q u ’il vous fû t possible
de rectifier, su r ce point, l’in fo rm atio n de
votre co nfrère — c ar la nouvelle d ont s’a g it
p o u rra it a v o ir des conséquences fâcheuses et
môme très g rav es p o u r la p roduction et le
com m erce des pom m es de te rre d a n s le Mas­
sif C entral, et n o ta m m e n t d a n s le Puy-deDôme.
On a trouvé du D oryphore près d ’Aigueperse, m ais le d ép a rte m en t est bien loin d ’ètre « fo rtem e n t rav ag é ».
En fait, l’insecte d estru c te u r de la pom m e
de terre n ’a été ren co n tré q u ’en un seul e n ­
d ro it — et, pour préciser, d an s un u nique
cham p. Encore n ’a-oe été q u ’à l’état de la r­
ve, et en nom bre infim e (quelques exem ­
p la ire s seulem ent).
Cette c o n stata tio n rem onte à la m l-Juillet.
L’em bryon de foyer fut, san s re ta rd , sinalé au* d ire c te u r des Services agricoles, M.
ioche, qui in te rv in t au ssitô t.
Le cham p a tte in t fut soigneusem ent visité,
a in si que les pièces voisines.
En dehors des q uelques D oryphores a u sta­
de la rv aire, p rim itiv em en t recu eillis et dé­
g
VA LEURS
tru its, on ne tro u v a p a s trace de l’insecte.
A ucune nouvelle a le rte n ’a eu lieû.
On peut donc, ju s q u ’à preu v e du c o n tra i­
re, co n sid érer le « foyer » de V enset com m e
étouffé, grâce à l ’actio n énergique et effi­
cace du d ire c te u r des Services ag rico les —
ac tio n qui a été ren d u e possible, parce que
la présence du D oryphore fut tout de su ite
sig n alée à ce fonctionnaire-technicien (qui
a v a it p ris soin de faire co n n aître le dang er,
ain si que le Jo u rn al l 'Avenir l ’a fa it lu im êm e).
D’a u tre p a rt, d a n s le m êm e tem p s — c ’està-dire au cours des h u it d e rn iè re s sem ai­
nes — .M. Roche p ro sp ectait p ersonnellem ent
ou fa isa it prospecter p a r des co ntrôleurs
consciencieux les p la n ta tio n s de pom m es de
terre de sa circonscription, et n o tam m en t du
nord-ouest du Puy-de-Dôme.
Nul a u tre fo y er (m êm e aussi lim ité) n ’e
été ren co n tré d a n s le départem ent.
La situ atio n n ’est donc p as in q u iétan te,
bien loin de là, d a n s cette p a rtie a u M assif
C entral.
Ce qui a pu p rê te r à confusion est le fa it
que — su r l’a v is du p ro fesseu r docteur Feytaud, d irecteu r de la S tation entom ologique
de B ordeaux et spécialiste de la question dory p h o riq u e — l’on a jugé p ru d en t de délim i­
ter une zone de protection relativ em en t éten­
due a u to u r de la com m une où Turent tro u ­
vées les larv es peu nom breuses dont j ’ai
parlé.
11 fau t bien voir q u ’il n ’y a p as lieu d ’en
tire r des conclusions a la rm a n te s et su rto u t
alarm istes.
Bien au co n traire, ceci m o n tre q u ’on ag it
d a n s le Puy-de-Dôm e — a p rè s com m e a v a n t
l ’a le rte — de la m an ière la plu s propre à
éviter les désag réab les su rp ris e s que l ’on
a éprouvées ailleu rs.
R oger LEQUERTIER,
5 % .............
THERMOGENE
• n p e n d r e la c h a le u r e t o o m b a l
TOUX - BRONCHITES - BRIFFE
DOULEURS RHUMATISMALES
A NEVRAL6IQUES
Mode d ’emploi. A p p liq u e r le Thet^
m ogéne s u r l’e n d ro it d o u lo u reu x ,
on a y a n t noin q u e la feu ille d ’o u a te
a d h e re b ien à la p eau . P o u r o b t o
n ir une ac tio n plus rapide e t plua
énergique, il .suffit d 'a s p e rg e r le
T h erm o g èn e, a va n t no n ap p l ic atio n ,
d ’un p eu d ’e a u o u d 'alco o l.
Toutes Pharmacies. Ir botte 4 fra
/impôt compris)
In gén ieur-A gron om e,
I n sp e cte u r ae la Défense des Végétaux.
L’image ci-dessus du P IE R R O T
ORACH A NT LE FEU d o it se
trouvez a u dos de chaque
botte.
C lerm ont-Fd, le 22 septem bre.
Si vous n ’ête s p a s e n n e m is de vos im térêts
a c h e te z vos f o u r r u r e s à
La MAISON d e GROS
—
E tfta b lis s .
Usine
RUGBY
I
| Jours.
étant,
lire de
le iun-
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>9. à
FEU1LLETON
de
L'AVENIR
Quand la cloche sonna
P a r M ARY H ELLA
III
• A u ssi, je t ’a im e plu3 q u e to u t. E t p o u r­
t a n t ... il m e m a n q u e q u elq u e chose p o u r
ê tr e h e u re u s e , com m e le s o n t m es a m ie s.
— Q uoi d o n c , m ig n o n n e ?
— C ’e st d iffic ile à d ire . D evine, p iu tô t.
— C o m m e n t v eu x -tu ?... Je
c h e rc h e ,
m a is ...
— C herche plus, tien s ! J ’aim e a u ta n t
l’a v o u e r to u t de suite. Il m e m an q u e un
père à ca jo le r, à lu tin e r, si tu p r é fè re s ..
« E t p u is, des frère3... des s œ u r s .. Je
m ’ennuie, vois-tu, seule à la m aison,
q u an d tu es a u p rè s des p etits m alad es ou
que tu étu d ies encore, to u jo u rs, d a n s tes
bouquins.
D 'un m om ent fébrile, Ja cq u elin e serre
l ’adolescente s u r son cœ u r et, to u t bas,
d a n s une caresse :
— A lors, S u zan n e , si to n « g ra n d Ami •
devenait...
Elle n’a p a s le tem ps d’achever. Du sen­
d e r qui co n d u it de la g r a n d ’ro u te à Font-
L
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— 1904
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1885
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1883
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..
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— 4% 1811 iiô *;
—
1917 392 ..
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522 . .
523 . .
............
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O om m unolM
Vo t r e
' W
P Â T IS S E R IE
Pour
c o m p lé te r
la
c o m m u n ic a tio n
q u ’on v ie n t de lire , et d o n t n o u s r e m e r ­
c io n s l ’In s p e c te u r de la D éfen se d es V é­
g é ta u x , voici la c a rte de l ’in v a s io n d o ry p h o riq u e à la fin de la s a is o n 1931.
L es d é p a rte m e n ts m a r q u é s d ’u n ro n d
s o n t c e u x où le D o ry p h o re a été tro u v é
(ils s o n t a u n o m b re de 26 co m m e o n vo it).
Le p o in t de d é p a r t de l’in v a s io n — le
d é p a rte m e n t de la G iro n d e — e st m a r q u é
d ’u n cercle.
Le g ro s ro n d n o ir e st p la c é a u c e n tré
de g ra v ité de l ’in v a s io n , c ’e st-à -d ire d a n s
la ré g io n q u e n o u s s ig n a lio n s d a n s u n
ré c e n t a rtic le (v o ir 1’« A v e n ir » d u 20 se p ­
te m b re ) com m e l ’e n d ro it de n o tre p a y s
le p lu s fa v o ra b le à ia m u ltip lic a tio n lo c a ­
le d u D o ry p h o re e t à s a d ifu sio n d a n s le
re ste de la F r a n c e — à s a v o ir la ré g io n
lim o u s in e .
Ce q u ’il c o n v ie n t de n o te r — c a r il s e ­
r a i t a u s s i d a n g e re u x d ’e x a g é re r l ’im p o r­
n a n t m ieux le u r effo rt p rire n t l’a v an ta g e et
m a rq u è re n t deux jo lis b uts p a r l'in te rm é d ia i­
re de G aulharel et de Roche. C’est su r ce
ré su lta t que la fin fu t sifflée p a r M. A. Si­
m on, d o n t l ’a rb itra g e fut ap précié de tous.
♦ ♦ ♦ -------------
R u g b y
A VIERZON. — 8.C. M ontluçonnais 1 b at
C.O. V ierzonnais p a r 11 (3 essais, 1 but) a
3 (1 essai).
Les • violets » du S.C.M. o n t fo u rn i à Vierzon une bonne p artie. Q uoique am p u té s de
cinq titu laires, ils se so n t a ssu rés la victoire
p a r une m arq u e p lu s n ette que celle qui
a v a it concrétisé le u r succès du m atch aller.
Le S n o rtin g d o m in a larg em en t. Les a v a n ts
s'a s s u rè re n t un net a v a n ta g e ta n t a u x m ê­
lées q u ’a u x rem ises en touche.
A n o ter que 20 m in u tes a v a n t la fin les lo ­
caux m en aien t a u tab leau p a r 3 à 0. P a r la
suite. M ontluçon m a rq u a 3 essais p a r l ’in ­
term é d ia ire de E stow eigt qui fit une p a rtie
splendide ; M oulinet et M onnot, un n o u v eau
qui prom et. S auzelle ré u ssit une tra n sfo rm a ­
tion.
L’a rb itra g e de M. M aguabal, de V ierzon,
fu t bon.
Les réserves du S C.M. b a ttire n t celles du
C.O.V. en un m atch de lev er de rid eau .
vive, u n g a r s d ’u n e q u in z a in e d ’a n n é e s
e n v iro n d é b o u c h é s o u d a in .
R o u g e, esso u fflé d ’a v o ir c o u ru , in tim i­
dé a u s s i, il in te rro g e d ’u n e v o ix m a l a s ­
su rée ;
— C’est-y voua, M m e de L o s ta n g e ?
— O ui, m o n g a rç o n . Q u ’y a -t-il ?
— J e ariens... O n m ’a c o m a n d é d ’a lle r
v ite à ... C o lm a rs, c h e rc h e r le m é d e c in ...
S e u le m e n t, v o ilà. P a r a î t q u e ... q u ’il e st
p a r t i h ie r et q u e ... o u i... q u e c ’e st à v o u s,
m ’a d it s a d o m e s tiq u e , q u ’il a la is s é ses
m a la d e s.
— F.n effet.
S es y e u x s ’a r r o n d is s e n t.
— Vé 1 J ’a u r a i s p a s c ru to u t de m êm e.
U n e fem m e I...
— P o ss ib le 1 s ’é g a le J a c q u e lin e . C ela
e s t p o u r ta n t.
« De q u o i s ’a g it-il ?
— D ’un « p itc h o u n » q u 'e s t b ie n m a l, à
ce q u ’il p a r a it.
— O ù ce la ?
— A u v illu g e de C h a sse , chez m a s œ u r,
M a rie tte G ro u x .
— S o n fils ?
— N o n , vu q u ’elle n ’a p a s
d ’e n fa n t.
C ’e st le fils à d e s to u r is te s a r r iv é s h ie r
s o ir e n a u to m o b ile ...
U a jo u te d ’u n a i r I m p o r ta n t :
« C es g e n s d e ia v ille, ç a n e d o u te de
rie n . D es m a c h in e s co m m e ç a d a n s n o s
g o rg e s , m a is c ’e s t le d ia b le 1
— E n fin q u ’est-il a r r iv é ?
— B e u la m a c h in e q u i n ’a p lu s (voulu
.a.,.
CONVOCATIONS
'
C
h
Vo t r e
A R C U TM R IB
Nous fabriquons égalem ent
le foyer-four « LENTZ s (cuisinière
m unie d’un four à pain) ;
Cuisinières noires et émaillée® ;
Poèles-chauffe colle et sorbonnee pour:
m enuisiers, ébénistes et fabriques
de m eubles ;
Fours spéciaux pour charcutier et pâ­
tissiers ;
Fumoirs à viandes ; séchoirs à fruits.
Demandez, dès aujourd'hui, Catalogua n° 53
ta n c e de l’in v a s io n q u e de la s o u s -e s ti­
m e r — ée q u ’il c o n v ie n t de n o te r d ’u n e
façon fo rm e lle c ’e st q u e s u r les d é p a r ­
te m e n ts o ù l ’on a tro u v é le D o ry p h o re ,
u n bon n o m b re
n e s o n t a tte in ts
que
d ’u n e m a n iè re s p o r a d iq u e ( p a r p e tits
fo y ers, r a r e s q u a n d ce n ’e st p a s isolés)
T el e s t le ca s en p a r tic u lie r p o u r la p lu ­
p a r t des d é p a rte m e n ts q u i o n t été to u ­
ch és c ette a n n é e s e u le m e n t.
A jo u to n s en c o re q u e d a n s p lu s ie u r s de
ces d é p a rte m e n ts p eu c o n ta m in é s l a vi­
g ila n c e e t l ’a c tiv ité d u D ire c te u r d es S e r­
vices A g rico les s e m b le n t a v o ir a b o u ti à
l ’e x tin c tio n im m é d ia te et, e sp é ro n s-le , d é ­
fin itiv e m e n t d u ou d e s fo y e rs s ig n a lé s de
b o n n e h e u re p a r l’e x p lo ita n t.
E n to u t cas, il en été a in s i d a n s le P u y de D ôm e — et, n o u s d it-o n , é g a le m e n t
d a n s Ja H a u te -L o ire , où u n e ta c h e D oryp h o riq u e a v a it été c o n sta té e .
DEMANDE DE MATOHES
L’A.S. C asino dem ande m atches s u r son
te rra in ou s u r te rrain adverse avec bonnes
équipes régionales. E crire à M. N uguet, se­
crétaire, 13, rue du Pré-la-R eine, CJermontF erran d .
Tous les jo u eu rs sont convoqués p o u r l’enirain em en t obligatoire, qui a u ra lieu le m ardi
29 en vue de la form ation des équipes.
♦♦«♦-----------
W
ECRIVEZ : Etabl. J. LENTZ, bureau com m ercial, 7, rue de Belfort, à
NANOY (M.-et-M.).
BULLETIN METEOROLOGIQUE
du lundi 28 septem bre
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1922 lib. 510 . .
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Banana K” Crédit.
CréOé Commercial.
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3500 . . 3550
Crédit Fonc. Egypt. 1900
Cr.Fone. Fr.-Canad. 5250 . . 5050
Bangne du Baatgus 100 50 101
Banque Ottomane. 348 . .
380
Land la n k ............ • • • • • 635
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Compt Lyon-Alem.
185
lents tone., a c t .. 650 . :
686
own-Mines . . . .
I t loon srd.........
INDUSTRIELLES (Anttonu)
Sun actions........ 13700
13600..
Suez parts.......... 11925
Pennaroya .......... 260
Omnibus.............. 1006
loigg .......
77
400
Gafsa................
52
Pathé.....................
Saint-Sobain........ 2270
Bergougnan ........
Thomson............. 436
Cu d énergie électr. 875
Nyà-Elaci d’Auver. 1275
Energie du Littoral. 1250
Pyrénéenne d’éner. 1816
C(’ l " d'Electricité 2300
Electricité do Psris 1185
11850..
270 . .
1018 .
35 . .
410 . .
54 60
2305 ..
780 . .
433 . .
900 . .
1235 . .
1041 . .
Flvea-lllle... . . . .
511
506
812
301
388
385
399
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365
340
280
504
VALEURS
PnneHree
Fndtrtt... 1879 614 . .
1835
2280
1126
2276
875
76
Chétillon-Comment. 2200
Fourchambault. . . 820
75
Forges d’A to ls...
Aciéries de la Bar. 605
Crsusot— « . . .
622 . .
629 . .
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C o u rt
p ré e fd .
58 ..
4 50
OBLIGATION«
VIII« «
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(Bas-Rhin)
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I ’» * V . „
A l ’occasion des rep rése n ta tio n s de g ala
d u « P e tit Café », avec M aurice C hevalier, la
d irectio n du G ergovia o rganise, avec le con­
c o u rs du S y n d icat des G arçons de Café de
C lerm ont, une course à pied qui a u ra JIpu
le dim an ch e 4 octobre, à 10 h eu res du m atin .
Cette course se ra dotée de plus de 1.000 fr.
de prix , d ont p lu s de la m oitié en espèces.
Les c o u reu rs sero n t en ten u e de garçon de
café, serviette s u r le bras, p la te a u chargé en
m ain .
L 'itin é ra ire sera le su iv a n t : C iném a Ger­
go v ia (d ép art), place de Jau d e, rue Neuve,
place G aillard, re to u r p a r l’avenue des EtatsU nis et a rriv ée d evant le Gergovia.
La course sera ém aillée de su rp rise s am u ­
sa n te s p o u r les co u reu rs et... p o u r les spec­
ta te u rs qui, n o u s n ’en d o u to n s pas, sero u t
d 'a u ta n t plus nom breux que cette m a n ife sta ­
tio n sportive et h u m o ristiq u e a u ra lieu à Cler­
m o n t p o u r la p rem ière fois.
La liste des lots, celle des co u reu rs et toux
au tre s d étails sero n t donnés ultérieu rem en t.
* ♦ > ----------
LE CASINO A BOEN EN CHAMPIONNAT
A ssociation Sportive S téphanoise 1
b at Association S portive du L ignon 1,
p a r 5 buts à 3
Cette p artie officielle fut jouée p a r un
tem p s soperbe, m ais d ev an t une g ale rie c la ir­
sem ée.
Le Lasm o p résen ta une équipe bien en
eouffle et d o n t toutes les ligues, bien so u ­
dées, co n ju g u èren t p arfa ite m e n t le u rs efforts.
Cet excellent onze m é rita it la victoire
Chez les fpeaux. la triiplette du centre
a v a n t fo u rn it un gros effort, l a ilie r d ro it fut
m édiocre. Les a rriè re s s a v e n tu rè re n t trop et
lu re n t le p lus souvent débordés. La ligne de
d em is ne p arv in t pas à riv a liser avec ia ligne
adverse. U iazelles fit de son m ieux et au cu n
d es cinq buts ne lui est im putable. Le Bob
t ut ad m irab le de cran , m ais son indécision
alo rs q u ’il se tro u v a it seul d ev an t les bols
m a n q u a deux b uts qui p ara issa ie n t a c q u is’
M. D arbouret, du sous-com ité de la Loire,
a rb itra cette p artie à la satisfactio n de tous.
• K
— S a n flaraln a <2j b at Union
S p o rtlv a do Cézono (1) p ar 2 buts à 1.
P o u r leu r m atch d ’o u v ertu re les réserves
a a n flo ra in e s ren co n tra ie n t chez elles l’excel­
len te équipe de J’U.S.C. en un m atch am ical
q u i fut ires d isp u té et indécis ju s q u ’au bout
Au début, les locaux p ro fitèren t du vent
p o u r m en er de d an g ereu ses attaq u es bien
so u ten u es p a r le dem i-centre : Coime qui fut
le m eilleu r du « onze ». P a r m an q u e de décile* a rriè re s sa n flo ra m s p e rm ire n t à
1 U.S.C. d ’o u v rir le score et ia m i-tem ps vit
les locaux m en er p a r 1 but à rien.
A près le repos les s a n flo ra in s coordon-
a l.
DRULINGEN
P o u r C u ir
Vo u s M ê m e
Une course des garçons de café
clermontois
s s o c i a t i o n
ä
Le Four à Pain « LENTZ »
Equipe 1 contre S.C. Vichy 1, à C lerm ont.
Equipe t co n tre équipe 3.
A utres éq u ip es : en traîn em en t.
A T HL E T I S ME ET ROUTE.
E n tra în e m e n t à 9 h. 30, a u S tade.
.
A
—
P I I I T Il/A T E IIQ Ç P ° u r r é a l i s e r d e s
uU L ItV A ItU no
é c o n o m ie s
ap p ré ­
c ia b le s e t m a n g e r u n b o n p a i n n a t u r e l
p ro c u re z -v o u s :
BASKET
au 24
[Mat .*
ri nul:
tiieien-Léon-
44, ru e d e s G ra s, 44
Spéci al i t és d e M a n te a u x
5 % 19 20 ........
i % 1928 (« « .).
6 % 1920 ........
6 % ! 927 ........
B o n T ré* o r6 % 2 5
—
7 % 26
—
- 27
ObL Me. 1 9 -2 1 ..
— 2 2 -2 3 ..
ObL 6 % 1 9 2 7 ..
Cils, a u l 1 9 2 8 ..
Crédit National 19
20
National 21 (bais)
National 2 2 ........
National nou vom . .
— Janvier 23
— Juin
23
— Janvier 24
Rente o r ............
Maroc 4 % 1914
Maroc 5 % 1918
Indo-Chine 3)41013
Italien.................
E itériéure ..........
Portugais.............
Japon 1905........
1910........
Russe 19 0 6 .......
Consolidé..
Brésil 1909 (anc.)
1910 —
1911 —
Chine 13 réorg. .
1925........
Mexique 1910 est.
Roumain 1 9 2 2 ...
Serbe 18 9 5 ........
19 0 8 ........
19 0 9 ........
1 9 1 3 ........
Turc unifié..........
- 1 9 1 4 ..........
gypte unifié_ _ _
Douanes ottomanes.
P. T. T. 5 % 1928
94 ..
V A LEURS
‘240
Tréflhrlas du Havre 685
E quipe 1 co n tre C.A.S.G. 1, à P a ris, p o u i
le C hallenge Yves d u M anoir.
Equipe 2 co n tre A .S E . L yonnaise 1, à Cler­
m ont.
E quipe 3 co n tre Stade Forézien, à Clerm ont.
Equipe 4 co n tre U.S. F lorinoise, à Ste-Flo
U ne.
contre
|rl KmiCrocq
IW
C o u rt
pr*c«d
FOND» D’ETAT
H 46 -88 40
3 %..................
3 % w i u r t ........
3 1 / 2 % ............
4 % 1 0 1 7 ........
4 % 1 9 1 8 .......
r
tns.
f> ° ”
[du J o u r
1012
DEPECHES COMMERCIALES
L ondres, 28 septem bre.
Oaoulohouo, P a ra fine H ard, 3 sh. 3/4.
Le H avre, 28 septem bre.
Cotons. — T endance à peine soutenue. Ven­
tes, 2.350 balles. Jan v ier, 210 ; février, 213 ;
m ars, 213 ; av ril, 214 ; m ai, 216 ; Juin, 218 ;
ju illet, 220 ; août, 220 ; septem bre, incoté ; oc­
tobre, 209 : novem bre, 205 ; décem bre , 209.
septem bre 1932, 221.
Cafés. — T endance soutenue. V entes, 500
sacs. Jan v ier, 184,25 ; février, 284,25 ; m ars,
186.75 ; av ril, 186,75 ; m al, 188,23 ; ju in , 188,25 ;
ju illet, 188,75 ; aot, incoté ; septem bre, 181,25;
octobre, 184,75 ; novem bre, 184,75 ; décem bre,
184.25.
Sucros. — T endance ferm e. C ourant, 218,50;
prochain, 212, payé ; 3 d ’octobre, 212, 212,50 ;
3 de novem bre. 212,50, 213, payés. — Cote of­
ficielle : 217 à 221.
Laine«. — T endance caüme. Jan v ier, 500 ;
février, 500 ; m ars, 500 ; av ril, m ai, ju in , ju il­
let, août, incotés ; septem bre, 500 ; octobre,
500 ; novem bre, 500 ; décem bre, 500.
BOULE DU CENTRE. — Tous les sociétaires
sont priés d ’assister à la réunion, qui a u ra
lieu jeu d i, 1«- octobre, à 20 h. 30, Café Chan- P luie ou neige (d : m idi
telauze, place G ainbetta.
à m idi) ........................
1 4
• a
O bjet de la réu n io n :
L’o rg an isatio n d ’un concours en tre socié­
Nord
Nord
taires et m em bres h o n o raires.
Vent (â m id i)................. tr. faible tr. faible
UNION CYCLISTE OLERMONTOI8E. — Mer­
credi, 30 septem bre, à 20 h 30, a u siège so­ B arom ètre à m idi (niv. de la m er) : 764
0
cial, café Brousse, réu n io n p o u r tous les
m em bres du Comité, sa n s exception.
TEMPS PROBABLE
O rdre du jo u r. — 1. C om pte-rendu du G rand
P rix « G uitiard » ; 2. S an ctio n s à prendre,
p o u r le m ard i 29 septem bre
co n c e rn a n t le ch am p io n n at de fond ae la so­
Un an ticyclone persiste s u r l ’E urope Occi­
ciété ; 3. q uestions diverses.
(767 su r la F ran ce). Une dépression
La présence de tous les m em bres du Comité dentale
est au sud du P o rtu g a l (756).
est indispensable.
Tem ps ch aud, ciel n u ag eu x et brum eux.
Oour« de clô tu re du 98 eeptem bre
BLES. — Soutenue. D isponible, cote offi­
cielle, 155-157 ; c o u ran t, 163,25, 163, payés ;
p ro ch ain , 163,25, payé ; novem bre-décem bre,
163,50, 163,75 ; 4 de novem bre, 164,75, payé ;
jan v ier-fév rier, 165, 165,50.
FARINES. — T endance sans affaires. Coura n t, Incoté ; pro ch ain , 221 v en d eu r ; novem ­
bre-décem bre, incoté ; 4 de novem bre et janvier-févrieT, incotés.
MAIS. — T ous inçoté«.
m a r c h e r, là , to u é d ’u n co u p , e t q u i ne
IV
v e u t p lu s r e p a r ti r .
— M ais je v ous p a rle de l’e n fa n t, v o y o n s
Ta g o rg e de la C lue e s t d é jà b le u ie p a r
s ’im p a tie n te u n p eu l a je u n e fem m e. De l ’o m b re d u jo u r d é c lin a n t, lo rs q u e M m e d e
q u o i se p la in t- il ?... S av ez-v o u s ?... '
L o sta n g e a r r iv e a u h a m e a u de C h asse.
— De la g o rg e , a d it m a s œ u r. M êm e
— N o u s v ’Jà chez n o u s , dirt le g u id e e n
qu e, p a r m o m en t, il é to u ffe et a lo r s , il f a it m o n t r a n t d u d o ig t l ’u n e d e s prem ière®
q u a s im e n t c o m m e... u n je u n e coq.
m aison® d e v a n t la q u e lle p lu s ie u r s e n fa n ts
.
L a g o rg e ... voix r a u q u e .., m o n o lo g u e s ta tio n n e n t a u to u r d e l ’a u to q u e le c h a u f ­
a d o c to re sse d e v e n u e a n x ie u s e . S e ra it-c e fe u r e ssa ie de r é p a r e r .
le co u p ?
S u r la p o rte s ’o u v r a n t a u re z -d e -c h a u s­
E t v iv e m e n t :
sée, la je u n e p a y s a n n e , q u i g u e tte le r e to u r
A M endez-m oi là , n o u s p a r t ir o n s cn- de so n fr è re , l ’a c c u ie lle av ec u n v if m é c o n ­
sem b le, d écid e-t-elle en se d ir ig e a n t v e rs te n te m e n t.
la v illa .
— E h ben, Jo s e p h , tu n e r a m è n e s d o n c
Q u elq u es m in u te s p lu s ta r d , elle e n r e *
p a s le m é d e c in ?
s ? r L coiffée d ’u n c h a p e a u de to ile e t m u ­
—- B en, n o n , M a rie tte . U n ’y é ta i t p a s.
n ie de so n p a r a p lu ie en g u is e d ’a lp e n s E lle lève les b r a s a u ciel.
tock, c a r elle s ’e st e n fin p a e rç u e de la
— P a u v r e s de n o u s ! Q u ’aid o n s-n o u s de­
d e p re s s io n p r é s a g e a n t l’o ra g e .
— S i je ne s u is p a s re n tré e à la n u it, m i­ v e n ir a v ec ce p itc h o u n q u ’a l ’à i r d e v o u lo ir
g n o n n e , d it-elle à S u z a n n e e n l ’e m b ra s ­ tr é p a s s e r !
— T ’in q u iè te p a s. L a d a m e q u e v ’i à d o it
s a n t, tu n e t ’in q u ié te r a s p a s. C’esit ru e je
en s a v o ir a u t a n t q u e M ’sieu le d o c te u r,
s e r a i re s té e a u c h e v e t d u p e tit m a la d e .
P u is , a u c o m m is s io n n a ire , e n lu i Pen­ p u is q u ’elle le re m p la c e .
U n n a ïf é to n n e m e n t se p e in t s u r les
d a n t sa p h a rm a c ie p o rta tiv e :
t r a i t s d e M a rie tte q u i se re m e t a sse z n é a n ­
« D o u cem en t, je u n e h o m m e, c ’e st fr a g ile
Ils s ’é lo ig n e n t d e F o n tv iv e p a r le ra c ­ m o in s p o u r d ire à J a c q u e lin e :
— E n tre z , M ad am e. J e v a is v o u s c o n ­
co u rc i p le in d ’o m b re e t d e f r a îc h e u r q u i
a b o u tiit n o n lo in d u b u re a u de p o ste où d u ir e p rè s d u m a la d e .
« Q u elle a v e n tu r e , S e ig n e u r I C’e st h e u ­
J a c q u e lin e la is s e le m o t d e s tin é à C la u d e
S y lv e s tre .
re u x q u e v o u s soyez m é d e c in , c a r je le
P u is , to u jo u r s en c o m p a g n ie d u g u id e , tro u v e b ie n b a s, ce p a u v r e t »
elle so h â te v e rs le d ra m e in c o n n u o u i d é ­
Dès le se u il d e la c h a m b re o ù , d u g r a n d
b u te e t l’a tte n d là - h a u t.
*
l i t 4 b a ld a q u in , s ’e x h a le en saccade® b rè ­
ves la re sp ira tio n sifflan te de l’enfan t, la
doctoresse étab lit 6on d iagnostic.
A llons, c ’est bien ce qu elle c ra ig n a it, il
est sa n s d oute g ra n d tem ps d ’aviser.
T oute à son d evoir professionnel, elle va
a u m a la d e sa n s se p réo ccu p er de l'e n to u ­
rag e. Une double ex clam atio n, m élange
de su rp rise , d ’effroi, brise son élan.
— Jacq u e lin e 1... Vous 1!I
Un p eu décontenancée, elle fixe ses in ­
te rlo c u te u rs et recule, b a lb u tia n t à son
to u r :
— P ie rre 1... B erthe 1..
Elle recule encore, p âle, les lèvres ser­
rées. U n trem b lem en t nerveux la secoue ;
ses a rtè re s b a tte n t à se ro m p re ; elle
étQuffe e t se d em an d e u n in s ta n t si son
én erg ie physique trio m p h e ra de l ’angoisse
qui la poigne.
Il le fa u t cep en d an t.
Ce n ’est p lu s elle qui d o it co u rb er le
fro n t, d év o rer en «ilence des la rm e s de
h o n te ou de d o u leu r. Les rôles so n t c h a n ­
gé«.
Le couple q u i eot là, h o rrib lem e n t an^
xieux à cette h eu re, s !est jo u é d'eiie j a ­
dis. E t, de cela, elle g a rd e u n e ra n c œ u r
d o n t la cendre des a n n é e s a pu rec o u v rir
la b raise sa n s l ’étein d re, p u isq ue cette r e n ­
contre am asse u n e colère fo rm idable en
so n âm e. âm e bonne, co m p atissan te, créée
p o u r to u tes les ten d resses, to u tes les m isé­
rico rd es au ssi eit qui, p o u r ta n t,’ au souve­
n ir des in ju re s d ’a u tre fo is, sen t g ro n ­
d er a u fond d'elle-m èm e une h a in e féroce.
Bourse de Commerce de Paris
AOTIONB
765
774
41
560 !!
1100 . .
3200 ..
Pdchlney............ 1225
Sazde Lyen........ 1300
7oô
1780
3100
1860
450
2105
375
1880
290
396
1881
305
370
1260
950
!!
..
..
..
..
— _ prie..
1000
1400
1127
1176
..
..
••
..
..
..
••
•
..
..
..
876
1406
681
1380
1970
Tréma de Lyen. . . 600
Mines h lenkte, C. 866
— de 8tonzy.. . 776
960
1400
1424
600
de la Loire.
--lo c h e -la Met
286
36
35
StoîdMwière111!1.1.
Firmln.............. 197
Lake Conlre (Ast).
234
370
orliaa tio nb
900
♦ 1/1%
Micheln 6 % . . .
Mydre-floctr. d’Aev
PAYS
(A etl« f» )
..
..
..
..
,
BOURSE DE LYON
Nydreémcér.d'Auv 1206
2030
359
1251
925
988
1375
1105
1930
1290
870
1370
•••
995
910
1200
••••
• ••
690
841
1845
,
166 . .
229 . .
‘»4 50
»1 . .
82 . .
63 . .
468 . .
450 . .
3 3 0 « ..
342 . .
60 . .
55 . .
79 75
84 . .
... . .
995 . . 1025 . .
44 . .
48 75
88 . .
83 . .
... ..
••• ••
21 75
27 . .
269 . .
274 . .
18 60
16 25
83 . .
82 . .
62 . .
65 . .
48 50
48 . .
1125 . . 1136 . .
* • •• •• • *•*••••
546 . .
1060 ..
569
552
128 50 140
330
325
1800
1850
865
898
1530
1506
TR A N SPO R TS
E lf.......................
P^L-M..................
Miéi......................
S o i t . . . ..............
QrléOM . . . . . . . .
Ouwt....................
Métro....................
Nord-Sud..............
Roaario ord..........
Santa F é ...........
Ouénos Aires___
Chem. do for Maroc
Tanoor à Foi —
Tunisiens..............
T.C.8.P...............
S.I.T.A................
..
..
..
..
..
..
74 . .
2600 . .
220 . .
1780 . .
1 5 2 0 0 ..
206 . .
... . .
** ’ '
1260 I!
'686
Charboenag. Tonkin 3150
ÜoaiHèm Hto-Loire
685
Maries..................
Pontgibaud............ 1680
Mokta-et-NadW. . . 2660
lig-THito............... 1645
Sesnowies........... 425
Sucreries d'Egypte.
Central Mining. . .
Wagons Lits.........
Energie Industrielle
Signaux électriques
Micheviila..............
Denain 4 Anzbi...
Économats du Cent,
fiez du Nord et Est.
Lorraine d Electric.
Havraise d'énergie.
Union d’Electricité.
Kandelatt..............
Kuhlmann.............
Sucreries Say —
Hydro-Elect. Cèrs..
East Rato.............
CoidRelds..............
HiftllltOH
NotckkUs it C *.. .
Nuanchaca ...........
Jagnthntoia.........
Maltzofl................
Mozambique.........
Rand-Minot...........
Shanxi..................
Transvaal Land...
Fin. Caoutchoucs..
Wist Rand...........
MichtUa 1/6 pari.
• • ••• • • • • • •••
73 . .
2505 . .
2C6 . .
1725 . .
1 5 5 0 0 ..
202 . .
••• ••
... . .
1180 . .
•• ••
172 . .
220 . .
Etoto4Me.
Italie...........
Norvège.. . . .
Tchéco-Skvag
s is
1000
1200
Sulsee...
Autriche..
695
640
1450
Pologne..
Argentine.
9» 76
26 31
88 25
23 31
353 35
450
228 25
1 0 1 7 ..
125
476 *•
363 7 6
227 50
102125
128 75
684 7
••
511
496 . .
496
..
• sa
&
. 1, , .
•• 7
• •
AVOINES. — S outenue. C ourant, 86,50, payé;
prochain, 84,84,25 ; novem bre-décem bre, 89,25,
payé ; 4 de novem bre, 84,25 payé ; janvierfévrier, 85, payé.
SEIGLES. — Tous Incotés.
ALCOOLS LIBRES. — T endance calm e. Cou­
ran t. 815, payé ; octobre, Incoté : 3 d ’octobre,
780, payé : novem bre, Incoté ; 3 de novem bre,
incoté ; décem bre, incoté ; 3 de décembre*
incoté ; 3 de Janvier, incoté ; 3 de lévrier, iiv
coté.
HUIES DE LIN et COLZA. — Tous incotés.
S U P P R E S S IO N O I S TR A IN S DE LU X E
PY R ÉN É E8-C O TE D ’ARGENT
E T B A R O E L O N E -E X PR E S8
Les tra in s de luxe ■ Pyrénée-Côle d ’Argent » et « B arceJone-Express » seroDt su p ­
prim és ju s q u ’à nouvel avis au d ép art de
P aris, le p rem ier à p a rtir du 11 octobre, le
second A d a te r du 4 octobre 1931.
P o u r le retour, le d ern ier d é p a rt de ces
tra in s a u ra lieu pour le < Pyrénéea-Côte
d ’A rgent le 11 d'H endaye et pour le ■ Barcelone-E xprcss » de Cerbère le 4 octobre 1931.
P e n d an t les périodes de suppression de
C66 train s, des w agons-lits sero n t incorporés,
d ’une p art, d an s les tra in s 23 à d estination
d ’Iru n
(départ de P aris-Q uai-d’O rsay ■ à
10 h. 23) et 24 en provenance d'H endaye (a r­
rivée à P aris-Q uai-d'O rsay à lo h. 30) ; d ’a u ­
tre p art, d an s les tra in s 67 n destination de
Port-Bou (départ de P aris-Q uai-d’O rsay S
10 h. 15).
Les tra in s 23 et 24 com porteront des wagon«-llts de 1 " et de 2» classes.
En affaires, il est indispensable da
lutter contre l’inattention, 1*indifférence
ou l’oubli : c ’est précisément la réla
de la Publicité.
D urant quelques seconde« in te rm in ab lss,
elle se ta it. P uis, d ’une ivoix rau q u e , h a ­
chée d an s sa bru sq u erie :
— Cet en fan t... est à vous... M on«l«ur..a
M onsieur ü o rn o c ? interroge-t-elle.
— Oui... Ja c ... M adam e, b albutie l'in ­
terpellé.
— U nique, probablem ent ?
— E n effet.
— C’est à l’o rd re du jo u r, ironise-t-ells.
V ous en avez donc fa it votre idole, l ’o r­
gueil d ’un nom que vous êtes le d e rn ie r
a p o rter...
— Je l ’avoue. Mon p etit A ndré ost c i
que j ’ai de plus c h e r au m ondé.
— Aussi exclusif que m a la d ro it, c’ést
com plet 1 gronde en tre scs d ents Mme de
L ostange dont le re g a rd fu lg u rs sous les
sourcils rapprochés.
«< “
CMSt d ev an t m ol. ù m oi-m êm e, -continue-t-elie s u r u n to n d ’am ère raillerie«
que vous oses cet aveu 1
« C ynism e ou inconscience ? Je ne sais«
En to u t cas, m es sc ru p u les s’évanouts*
« e n t M au d lw g i la p a n n e qui vous a Im ­
m obilisés d a n s ce désert.
— Que voulez-vous d ire t
— Ceci : J« tie n s m a revanch« — sp len ­
dide, v raim en t i — j e ne la lâ c h e ra i dS L
”
~~
k vôtpe. le « sien
scande-t-elle avec u n geste de m ép ris
vers «Mme D ornàc, est a tte in t d s d ip h té rie
la ry n g ée, du croup...
(«i su ivre).
L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
vosyewr.
— Grand-père, pourquoi portezvous ces affreuses lunettes ?
— Mon enfant, c'est que, de
notre temps, on ne savait pas
s’éclairer»
Une, lumière
mauvaise
Or, une bonne vue est une chose si précieuse que l’on
dit ; “ J’y tiens comme à la prunelle de mes yeux
O ocasion ex cep tio n n elle par­
t i c u l i e r v en d M athle enaysix 1929, c o n d u ite in térieu re,
4 p la c e s w e y m a n 8.500 fr. ;
P eu geot 10 CV c o n d u ite i n ­
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A ven d re VILLA 12 p ., tout
con fort (e., g., éJ., s. de b.,
ch. ce n tr.) s n r la rg e avenue,
à côté ja rd . des P lan te s. LL
bre im m éd. M. A. LASTIOLAS, L u s s a t (P.-de-D.).
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vous donner une lumière agréable et
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P R O PR IE T E S,
D om ainee : V en te, a c h a t. E cr.
SAVIGNAC,
PROGRAMMES DU 29 SEPTEMBRE
PREPARATION à la PRATIQUE
DES A FF A IR E S
CLERMONT-Fd
ECOLE 1&J2u«
A ndré-M oi n i « p
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E ntrée à tout âge et à toute époqut
S itu atio n s procurées aux élèves
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MARCHE AUX BESTIAUX
La Villette, 28 septem bre, r,
ALLURE GENERALE DU MARCHE
GROS BETAIL. — Vente m a u v a is , cour*
faible*.
’.
. '
‘ j
On cote à la livre n ette : *
BŒUFS'. — Les bœ ufs b lan cs ch aro lia is,
n iv e rn a is. b o u rb o n n ais, berrich o n s, o n t valu
en beaux ch â tro n s e x tra a ila n t ju s q u 'à .«mu
liv re s de vian d e nette. 4.60 à 4.90 ; bons a n i­
m au x de 800 a l.iîoo liv res 4.30. a ' 4.60 ; bœ ut«
o rd in a ire s 4 à 4.30.
Les S aiers du Centre et bœuf* ro u g es d i­
vers ont été la its en e x tra 4.30 à, 4.t>u ; en
bons bœ ufs 3.70 à 4.20 et en o rd in a ire s 3.30
à 3.60.
Les bœ ufs lm ousins ou d o rach o n s m a n ­
q uent.
Le» bœ ufs d u Midi 6e so n t vendus de 3 4
4.
VACHES. — Les génisses e x tra on t été tr a i­
tées en lim o u sin es ou b lanches 5 a 5.4u ; ro u ­
ges e x tra 4.50 a 5 ; genisses o rd in aire« de
to u tes races 4.20 a 4.4o.
En vaches, les je u n e s ont changé de m ain*
de 4.10 a 4.50 ; o rd in aire * 3.50 a 4 ; u ie d l»
c re s 2.80 à 3.40 ; viande à saucisson, 1.50 à 2.
TAUREAUX. — Jeunes ta u re a u x de ferm a
e x tra 3.60 à 4 ; o rd in aire s, 2.70 a 3 50.
VEAUX. — Vente très m au v aise, recul <>.e
*ix à dix sous p a r livre.
On cote a -a livre nette :
Les veaux to u t à fait e x tra de 130 à 170 li­
v res de viande des m eilleu res pravenoncesj
o n t v alu p a r b an d es de 5.60 à 6.3o et de 6,30 à
6.60 a u détail. Veaux p lus o rd in a ire s des
bous ray o n s 5.20 a 5 Go.
En veaux a robe blan ch e on a fait les m eil­
leu rs de 5.30 a 5.80 et les nuorvandiaux da
4.80 4 5.20.
Las veaux de service se « ont v en d u s en
aveyronnui» 5 4 5 Go ; lim ousins 5 à ô.Gü ;
a u v e rg n a ts m an q u en t.
MOUTONS. — Vente m au v aise, cours fai*
b1 « .
U n cote à la liv re nette :
Les ag n eau x e x tra fa isan t ju s q u 'à 36 liv res
de viande n ette ont été traitéâ en S o uihdow u
8 4 8.80 ; croisés 8.50 à 8.70 ; Ü ishleys-tnénno», 7.70 à 8.20 ; b o u rb o nn ais, n iv ern ats, b er­
richons 8 30 a 9.30.
En m outons de term e on. a tenu les D tshJ
leys-rnennos 7.10 à 7.80 ; b o u rb o n n ais, u t veruaia 7.80 a 8.40 ; b errich o n s 7.70 a 8.30
Le* m outons a u v e rg n a ts se sont étab lis de5.90 4 650 ; lim o u sin s 6.70 a 7.20 ; hizets du
P la te a u C entrai 6 20 à 6.70 ; lozérots 5 90 à
6.30 ; gascon s 5 50 à 6 ; a v e y ro n n a is 5.50 à 6;
Puy-de-Dôm e 5.80 4 6.40.
E n b reb is on a vendu les D ishleys-m érlnos
4.80 4 5.90 ; b o u rb o n n aises, n iv ern aise s 4.70
a 5.20 : gasco n n es 4.50 4 4.80 ; m eres usées,
».70 4 l i a ”
...............
*'
R A D I O - P A R I S : 1 .7 » m . — 6 b . 45 : C u ltu re p h y «iqi.«. — l h . 30 : M étéo. — 7 h . 45 : M u siq u e enr e u s tr é e . — 8 û. : lu to n n a tlo n s . — là ù . 30 ; L a
d e n n -h e u re O déon. — 13 h : b o u rs e . — 13 h. 05 :
M u s.q u e e n re g is tré e . — 13 h. 30, 14 b ., 15 b . 35.
18 n . £> . b o u rs e . — 18 ù. 30 : M u siq u e e n re g is tré e .
— ta n. : C h ro n iq u e de l ’E r p o s itio n c o lo n ia le . —
19 h . 30 : c o m m u n iq u é a g ric o le . — 19 b. 45 :
in f o r m a tio n s . — 90 n . ; S u i t e de vals e s ( F ra n z Le­
h a r). — 90 b . 30 : R é s u lta ts s p o rtifs . — 20 h» 40 ;
C h ro n iq u e de P a u l R eb o u x .
—91 h. 15 ; I n f o r m a ­
tio n s .
TO U R E I F F E L : 1.444,8 m . — 18 b 45 : J o u r n a l
p a r lé . — 90 h. 20 ; M étéo. — 20 h. 30 : M étéo. —
i d h: 30 : C ita tio n s in te rp r é té e s . — 91 b. .- R ad io c o n c e rt.
à
Riom.
l/[|IO de ta b le et de d essert
lln ô
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« L ’A V E N I R »
DU PLATEAU CENTRAL
est en vente tou* les jours
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Boulevard Montmartre, n* 20.
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Boulevard Saint-Denis, nr 22.
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n® 20.
REMBOURSÉ
Encore Terribles
des HanxPreuves:
Insomnie et Douleurs
Soulage
rapidement les de dents bannis
Maux de Tête P«r “ iSPR0
Comme j’emploie régulièrement
votre « ASPRO », j ’estime qu’il
est de mon devoir de vous écrire
concernant tout le bien que ces
tablettes m’ont fait, .Pendant des
années, j’ai souffert de forts maux
de tête et j ’ai trouvé qu* «ASPRO»
me soulage très rapidem ent sans
laisser aucun mauvais effet quel­
conque. J ’ai recommandé les
tablettes « ASPRO * à tous mes
amis et tous en font l’éloge.
« ASPRO » devrait se trouver
dans chaque m aison.
..
(Signé) M«® O. N . LEE, f r .
Boulev. des C apucines, n® 2.
Boulev. des Capucine*, n® 10.
Boulev des C apucines, n® 12.
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Bibliothèques de la gare de
Lyon.
NICE
LYON
B ibliothèques g are P errache,
vestibule et quai.
VW-----
Sommaire du num éro opéeial do toptombro
L a ré g to n de L a V o û te -C h ilh a c : L a V oûte e t son
p rie u ré
n o tic e s s u r to u te s les c o m m u n e s d u c a n ­
to n ; le u rs n o m s a n c ie n s (H e n ri G ilb e rt). — S a in tllp lz e (L M a u ra n n e s ). — V ieux c h e m in s d e la
ré g io n de L a V oûte ( P ie r re M am et). — P ro c è s -v e r­
b a l d » l ’Io v d n tlo n d e N o tre -D a m e T ro u v é e , 14M
( E x tr a it d e s y N o tices h is to riq u e s • d u c h a n o in e
E y m è re ' — Lis P e n ite n s , c o n te e n la n g u e d ’oc
(H e n ri G ilb e rt). — R e g io n a lism # : l ’im p r im e r ie à
l ’é co le (V ic to r C o u d e rt I n s titu te u r à M ercœ u r). —
Nos c o m p a trio te s h o rs d u p a y s (H e n ri G ilb e rt). —
B u lle tin de la S o ciété ■ L ’A u v e rg n e ». d e L y o n
(A n to in e G ilb e rt).
• Ce b e au n n n é r o c o n te n a n t s ix Illu s tr a tio n s , d o n t
iu g tr e d u p e in tr e G a b rie l M olselet. e s t en v e a te a
a L ib r a ir ie d e « L ’A v e n ir »,,4. ru e B la tln , à C le r­
m o n t P r ix , t fr . 50
E n v e n te à la m ê m e l i b r a i r i e ’ : « L a C o v lsa d a »,
p a r H e n ri G ilb e rt (G ra n d P r ix de p ro se e n la n g u e
d ’orJ e t 1 • A rm a n a c d ’A u v e rn h a ».
S
Pendant un certain tem ps,
j ’ai terriblement souffert de
maux de dents. On me conseil­
la de prendre vos merveilleu­
ses tablettes « ASPRO * et
j ’ai trouvé le remède vraiment
efficace. Les douleurs dispa­
raissent au bout de 10 minu­
tes. je vous autorise à publier
ces quelques lignes en signe
de reconnaissance.
(signé)
CUISINIER Valére
(Fils)
8, r . du Médecin, Pâturages.
’ASPRO’
BTMHNEI LIEUX
CONTRE L E S
MAUX DE TETEZ
C IN S 0 H N IE
>MÊME UN ENFANT PEUT PREN­
DRE ® ASPRO ’
Il y * deux méthodes très sim­
ples de donner « ASPRO n aux
enfants : a) avec un peu de laltg
b) casser la tablette et l’admi­
nistrer dans une cuillerée à café
déconfiture. Les doses son t!
Enfant» dé S à 6 ans, une demi«
tablette — de * à 14 ans, une
tablette — de 14 à 18 ans, une
tablette et demie. « ASPRO »
comme tout autre médicament
ne devra pas être donné aux
enfants ftgés de moins de trois
ans sans avis médical.
FOIRES i MARCHES
che, de 2.25 à 2.50 l'u n ; fro m ag es de chèvre 1.50.
P ouiets, d e 6 à 6.50 le dem i-kilo ; can ard s,
3.75 à 4 fr. ; oies', 4 fr. ; pigeons, 10 à J2 it.
la p a ire ; la p in s dom estiques, 3.75 à 4 fr. la
livre.
G ibier : lièvres, 5 à 5.25 la liv re ; lap in e
de g a re n n e de 10 à 12 fr. l ’u n ; p erd rix g ri­
ses 9 à 10 fr. lu n e ; p e rd rix rouges, 12 fr.
M ontluçon. — Le m arch é du 26 septem bre.
— U fu t favorisé p a r le beau tem ps et d u t
à cette circo n stan ce une im portance pins
g ran d e. B eaucoup de p ro d u its de la ftrm e
e t de p ro d u its m araîch ers. Les cours t«
m a in tie n n e n t. On co ta it :
B eurre. 7 fr. la livre ; œ ufs, 7 fr. la dou­
zain e ; fro m ag es d u pays, de 2 à 5 fr. pièce
su iv a n t p o ids et qu alité. P oulets, 5.75 ; la­
pin s, 3.50 ; oies, 4.50. ; c a n a rd s 5 fr., le to u t
à la livre. Én fin de m arché, la baisse s u r les
v o lailles a été sensible.
P o m m es de terre, 30 à 35 fr. les 100 kilo».
Douleur so u la g ée
ou argent remboursé
o'est la Garantie d’ “ ASPRO ”
Voici an message d'espoir pour tous ceux qui so u ffren t :
« S i « ASPRO » ne soulage pas votre douleur, nous nous
engageons & vous rembourser votre argent sans discussion
à condition que vous nous écriviez endéans les quinze jours
qui suivent Immédiatement votre achat et que vous nous
retourniez le carton vide. Pouvons-nous faire quelque chose
de mieux ? Pouvons-nous m ontrer une plus grande confiance
dans notre merveilleu emede ? Pourquoi ne pas acheter un
paquet de tablettes « ASPRO » aujourd'hui et en faire l’essai?
Vous ne faites pas tous les jo u rs une expérience et «ASPRO»
est merveilleux. « ASPRO » n ’est pas une drogue dangereuse
ni un narcotique, il ne drogue pas, il n ’affecte p as le coeur,
un enfant peut en faire usage. U calm e, apaise et fait dispa­
raître toute douleur, laissant la Nature com pléter la guérison.
Exigez que l ’on vous donne bien « ASPRO » lorsque vous le
demandez ».
LES E F F E T S D ’ “ A S P R O ”
Il a r r ê ta un violan t m a l do tê ta an 6 à
1 O m in u ta * .
Il t r i o m p h a d a l 'I n a o m n l a a t g a r a n t i t u n
a o m m a il p a ia ib la .
lit.
Il
Il aou laga la s tr o u b le s d e la erolaaan oe.
Il aauva la* d on ts sa in e * an o a lm a n t la
d ou leu r. *
Il aoulaga s a n s Ja m a is d é te r m in e r d*
trou b le* e t l ’o r g a n is m e n e * ’y aoooutum *
p a s.
Il n 'a f's o ts ja m a is la ooour.
Il a p a is e l’irrita b ilité.
la
10
la
25
: . .
De L u n ile r e e t R a d io
17 h.. B ru x e lle s f r a u ç a ls ; C o n c e rt c o n s a c ré &
Lezoux. — F o ire du 26 septem bre. — Marché
l ’o p é r a f r a n ç a is . — 19 h ., R ig a t C o n c e rt B e e th o ­
ven. -^ ,'49 h . 20 : B e rlin : C o n c e rt W a g n e r. — co u v ert . B eurre, 7 fr. la livre ; œuf», 8 à
19 k . .30. B u d a p e s t : F a ls ta ff, d e V erdi. — 90 h ., 8.50 la do u zaine ; lap in s, 3.50 à 3.75 la livre ;
poulets, 25 à 40 fr. la p aire ; can ard s, 30 à
B ru x e lle s ' f r a n ç a is . C o n c e rt M en d e lsso h n . — 90
h., R a d io -P a ris : R êve de V alse. d ’O sc a r S ta u ss.
40 fr. la p a ire ; oies, 60 à 100 fr. la p aire ;
7 ir. la paire.
—' 90 b .. L o n d re s e t
M id la n d : P ro m s : C o pigeons,
n c e rt
H alle a u blé . Blé, 160 fr. ; avoine, 60 fr.
H a y d n e t M o za rt. —
90 b ., S to c k h o lm : C o n ce rt
B a c h . '— 90 h . 3o. P a r is P .T .T . : La- M are a u D ia ­ à 70 fr. les 100 kilos.
M arché a u bétail : Vaches, 5 à 6 fr. Je ki­
b le , 4. a c t e s d e H u g u e s L a p a ire , m u s iq u e d e F o u rlo veaux, 6 à 8 fr. le kilo ; m outons, 6 fr.
d r a i n , - r 90 h. 50, L y o n -la -b o u a : C o n c e rt d e p le in
a i r p a r l ’H a rm o n ie jdu R h ô n e. — 21 h ., B re sla u : le kilo ; porcs, 6,50 à 7 fr. le kilo.
Le Rot L e a r-B e ru n N. O ., p iè c e p o p u la ir e d ’E ric h
:—
«e.
E. S e h w a b a c h m u s iq u e d e C a ri S c z u k a. — 21 h ..
Bourbon-l’A rcham bault. — M arché du 86
P o ste P a ris ie ri • C o n c e rt. — 21 h .. M ila n : C on­
septem bre. — Bien ap p ro v isio n n é « t asse?
c e r t s y m p h o n iq u e . — 21 h ,, T o u r E iffel : C o n c e rt
L.
G u y S e lla e t s a t r o u p e — 22 h. to, N a tio n a l A n­ actif. C ours g én éralem en t p ratiq u ée :
B eurre, 5 à 6 fr. la i livré ; œuf», de 6 à ^ l
g l a i s . ; T b o W re c k e rs (3* a cte), d e M m e
E th e l
fr.
la
d
ouzaine,
en
hausse
;
from
ages
de
va­
S m y th .
< L ’ALAUZA D ’AUVERNHA »
disparaissent
J 'a i récemment souffert d'une attaque de fièvre rhumatismale et depuis
que je suis rentré i la taaison j ’ai eu
bien des nuits d’tnsomnie dues aux
douleurs dans mes membres.
J ’ai'essayé plusieurs remèdes mais
sans résultat jusqu'au jour où mon
mari me rapporta un paquet d ’ « AS­
PRO ». Le résultat fut étonnant. Je
pris deux tablettes la première nuit
et déjà je me reposai beaucoup mieux;
lorsque j’eus pris tout le paquet à rai­
son de six tablettes par jour, j’étais
beaucoup plus gaie, considérablement
soulagée de ma douleur et je remar­
quai que le gonflement de mes articu­
lations avait diminué.
(signé) M “ ®E. A. QODEAN.
91
R A D IO -T O U L O U SE : 361 m . — 12 h. 45 : C o n ce rt.
p - 18. h. 15
C h a n s o n n e tte s . — 13 h. 30 : I n f o r ­
m a tio n s . — 13 h 45. 17 b. : P h o to g r a p h ie s . — 17 h.
NOVA. — Les kiosques en
15 : M u siq u e d e d a n se . — 17 h. 30 . in f o r m a tio n s .
c a racières g ras sont ceux dont
— 17
h.
45 : O rc h e s tre
v ie n n o is . —18leh .dépôt
: M uest
si­ plus im p o rta n t et
q u e m ilit a ir e . — 18 h- 15 : P e tits e n se m b le s. — où nos lecteurs sont toujours
18 h.
30
: in fo r m a tio n s .
— 18
b. assu
45: orés
p é r a de
,c h atro
n t u v er l ’A V E N IR
- r 19
h.
15 : S oli d iv e rs .
— 19
h. 3o :In f o rm a tio n s .
—' 19 h 45 : M élodies. — » h. : O rc h e s tre a r g e n ­
tin . —
20 h. 15 : A cco rd éo n . — 20 h 55 : C h ro n i­
• iriPHItoERlE MU
q u e de la m ode. - - 2 1 h. : O rc h e stre , o p é ra -c o m i­
OERNE, 15. rue du
q u e . — 21 h. 30 : Soli d ’o rg u o . — 21 h . 45 : C h a n ­
b"ort.
— l.e G r’-ani
s o n n e tte s . — 29h . ; O rc h e s tre d u S io n . — 22 h.
H 8AINRAPT
30 : In f o r m a tio n s — 22 h. 45 : Jaz z . — 23 h . :
C h a n s o n s e sp a g n o le s. — 23 h. 15 : In f o rm a tio n s .
— 23 h . 30 : O rc h e s tre d iv e rs .
y G* qu'il faut entendre aujourd’hui i
fu' « i
Douleur soulagée ou
argent remboursé. Telle
est la garantie d* « ASPRO ». Ceci est sans
nul doute une offre
exceptionnelle.
Elle
vous facilite Fessai d ' « ASPRO ». Elle vous permet non seulement de faire la preuve qu’ « ASPRO »
PEUT CALMER VOTRE DOULEUR — mais aussi de vous assurer qu* « ASPRO » peut EN
DISPERSER LA CAUSE pour la simple raison qu* « ASPRO », après ingestion, est anti-pyrétique,
anti-fermentatif, antiseptique et puissant germicide^ DE PLUS, « ASPRO » A LE REMARQUABLE
AVANTAGE D’ÊTRE ENTIÈREMENT ELIMINE DE L’ORGANISME QUELQUES HEURES APRÈS
VOUS AVOIR SOULAGÉ. Il y a peu de remèdes possédant cette vertu. En outre, « ASPRO » ne
• donne pas de nausée, il ne crée pas d’habitude — il est si pur qu’un enfant peut le prendre — il
n’affecte pas le cœ ur — il ne cause pas de troubles digestifs. Emballé suivant une méthode
hygiénique et merveilleuse, il vous permet de recevoir la tablette prête pour la consommation
exactement dans le même état de pureté que celui où elle quitte l’usine. Pas une main d’homme ne
la touche et plus important encore est le fait que les tablettes ne sont pas sujettes aux conditions
atmosphériques, ainsi l’hydrolise ne peut s’y développer. Lorsque vous achetez de 1’ « ASPRO »
vous recevez le plus utile remède du monde — vous recevez le remède qui a la plus grande
variété d’usages — vous recevez le remède qui agit TOUT DE SUITE, il n’est pas nécessaire
d’attendre jusqu’à LA SEMAINE PROCHAINE. Action rapide et sûre est son mot d’ordre.
Place M asséna.
P ro m en ad e des Anglais.
Rue de France.
Place W llscn.
P A R I S P . T . T . : 447 m . — 8 h . : In fo rm a tio n s .
— 19 H. : C h ro n iq u e de la v ie p a r is ie n n e e t so ­ R oulevard G am betta.
c ia le . — 19 h. lo : C h ro n iq u e d u to u ris m e . — 12 Et d an s le* p rin cip au x kios­
b . 25
L ’h e u re U itra p b o n e .
- 13 b. 30 : M u siq u e
ques de Nice.
e n re g is tré e . — 18 h. : C a u se rie . — 18 b. 15 : Radio' J o u r n a l de F r a n c e — 19 h. 30 : C o u rs d ’a n g la is . —
19 h . 45 : M u siq u e e n re g is tré e . — 20 h . 98 : C a u ­
s e r ie , te c h n iq u e . — 20 h. 30 : La M a r e a u D ia b le ,
piè c e en 4 a c te s, d e H u g u e s La p a ire ,
UmA
y / ' / / / / //n
,y
L ettres de N aissan ce
de M ariage, de D écès
clientèle bourgeoise, b ail 9
an s. P rix à d éb attre.
S ’a d re sse r à D E LFIEU
et VARENNE, 135, G ra n d ’
R ue, ALES (G ard).
Les auditions de i.N.L
’
C artes de C om m erce
C H EM ISERIE
B O N NETER IE • BLANCS
à rem ettre
avec ou sa n s m a rch an d ise
Cours approxim atifs constatés
par kilo poids * vif » :
1™ q. 2« q. 3» q. Ex.
Bœufs .............................. 5 58 4 53 3 45 6 39
V a c h e s ................. y .......... 5 58 4 38 3 26 6 78
Veaux .............................. 7 50 5 87 5 U 10 49
T a u r e a u x ......................... 4 80 3 84 3 15 5 33
M outons .......................... 8 65 5 69 4 40 9 60
P b rcs ............................... 7 » 6 10 4 50 7 20
A rrivages : 370 bœ ufs, 1.676 vaches, 296
ta u re au x , 1.781 veaux 15.894 m outons, 2.952
porcs.
In v en d u s : 390 bœ ufs, 330 vaches, 50 ta u ­
rea u x , 135 veaux, 2.420 m outons.
i
F actu res
PO U R CAUSE D EPA RT
PORCS. — Vente m au v aise, b aisse de d ix
à vin g t centim es au kilo vif.
On cote a u kilo vif ; porcs m aigre* e x tra
d ’en viron 100 k ilos vifs 7 à 7.20 ; b o n s m a i­
g res de p ay s 6.30 à 6.80 ; p etite m arch an d ise
6.20 à 6 40 ; cochons un peu ép ais de l ’ouest
et du cen tre 6.50 à 6.70 ; porc6 de l’A veyron,
de Corrèze, du L im ousin, du Midi (culs-noirs)
6.30 à 6.50.
Coches 4 à 5 ; laito n n es, 5 à 5.50.
P orcelets d ’élevage 150 à 250 fr. la pièce
su iv an t g ro sseu r e t q ualité.
A rrivages p a r d é p a rte m e n ts d u ra n t la se­
m aine :
Puy-de-Dôm e, 370 m o u to n s ; C antal. 10
bœuf*, 200 m o u to n s ; H aute-L oire. 720 m ou­
tons ; A llier, 50 bœ ufs, 20 vaches, 10 ta u ­
reau x , 20 veaux, 500 m o u to n s ; A veyron, CO
veaux, 480 m outons, 80 porcs ; Corrèze, lü
bœ ufs, 10 v eau x ; Lozère, 400 m outons.
LA GARANTIE
VICHY-
Vous conserverez vos yeux de 20 ans
SdaireZ'VOus rationnellement
MARDI 29 SEPTEMBRE 1931
boîte de
tablettes
boîte de
tablettes
9 . U ne b o isso n ohaude e t 2 ou 3 ta b le tte s
« A SPR O » a r r ê te r o n t an una n uit une
a tta q u e de rhum * ou d* grippa.
1 0 . Il fa it to m b er la te m p é r a tu r e an q u el­
q u es m in u tes.
1 1 . Il peut ê tr e p r is à tou t m o m en t, d a n s le
tr a m , d a n s le tr a in , à la m a ieo n , au
bureau, p artou t e t tou jou rs.
12.11 e s t al pur qu ’un en fa n t p eu t le prendra.
1 3 . 1 1 e s t le plue gran d o a lm a n t d e s d o u leu rs
d e la m en stru a tio n .
1 4 . Il am p êoh e Isa s u ite s p ern loleu aea d'un
a b u s d ’aloool.
31« 7 5
71«50
ÉCRIVEZ-nous e t
D ITES-nous
c e q u v 11 ASPRO »
m f a it p o u r VOUS.
Aidez les antre* et vous vous aiderez
vous-même — c’est une loi universelle.
Aussi, dans l’intérêt de ceux qui souf­
J . H AN O N , p h a r m a c i e n de l n
frent, écrivez-nous et dites-nou* com­
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I m p ô t o o m p rla »
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M arché au x g rain s. Blé en cu ltu re, 155 à
157 ; farin e, 227 à 228 ; seigle incoté ; orge 85;
avoine, 75 à 80 ; sen, 60, le to u t au x 100 kgs.
S aint-P ourçaln-sur-S 'oule. — Foire d u 26
septem bre. — From ent fin, 150 à 152 fr. ; son,
65 à 8 Ofr. ; farine, 220 à 225 fr. ; orge, 80 à 85
fr. ; avoine, 80 à 82 fr. ; pom m es de terre,
à. 40 fra ie s 100 kilos ; fôin; 200 à 220 fr. les
1.000 kilos ; p aille, 120 à 130 fr. les 1.000 kilos
B eurre, 12 fr. le kilo ; from ages, 2. à 2.20
pièce ; œ ufs, 7.50 à 8 fr. la douzaine ; pou­
lets, 9 à 10 fr. le kilo ; oies, 6.50 à 7 fr. le
kilo ; lapine, 6 à 6.50 le kilo.
A nim aux de boucherie. — V eaux, 5 à 6.80
le kilo* ; porcs g ras, 6 à 6.50 le kilo.
A nim aux divers. — V aches d e .tr a it, 3.800 à
4.300 fr. pièce ; vaches laitières, 2.000 à 3.Q00
fr. pièce ; jeu n es p o rc s ' Jaltons, 6.50 à 8 ir.
le kilo ; n o u rra in s, 6 à 7.50 le kilo.
poulets, 15 fr. le kilo ; lap in s, 6 fr. le kilo ;
ch âtaig n es, de 1 à 130 le kilo.
A nim aux de boucherie. — V eaux, 6 à 6.50
le kilo ; m outons, 4 à 5 fr. le kilo ; porcs
g ras, 7 fr. le kilo
LES FOIRES DE LA SEMAINE
[Suite)
JFUDI l " OCTOBRE
Loire : B oën-sur-L ignon, F irm in y (m arché
au x bestiau x ), M aclas (m arché au x bestiaux),
Saint-C ham ond (m arché au x bestiaux), Usson-en-Forez (m arché a u x bestiaux), Vougy.
Lozère : Le Coliet-de-Dèze, Paulhac-en-M argeride.
Puy-de-Dôme : A m bert (m archés a u x veaux
et au x porcs). St-Genest-CHampespe, m arché
au x veaux),' M nrtres-sur-M orge. M ontaigut-lelanc, P ont-du-C hâteau, Saint-D onat, S ulntChalinargue*. — La Faire. — L a foire qui B
s ’est ten u e à C halin arg u és le 25 septem bre Réiny-sur-D urolle, T auves.
VENDREDI 2
a été tré6 im p o rtan te De trè s, bonne heure
les d iv ers ch am p s de foire é ta ie n t bien g a r­
Allier : M onlins-sur-À llier, Salnt-L éon (m ar­
n is d 'an im au x de to u tes catégories. On e n re ­ ché a u x veaux), U rçay.
g istra une baisse sérieuse s u r les cours pré­
Aveÿron : Aubin (m arché a u x g rain s), P ru lcédente. Aussi beaucoup d 'a n im a u x , su rto u ti nés, R ieupeyroux, ,Sainte-G eneviève-sur-A rdes m outons, re stè re n t invendus. Voici un gence.
aperçu des co u rs p ra tiq u é s :
G antai : Cheylade, T alizat.
Bœufs de tra v a il, 5.000 à 6.800 fr. la p aire;
Corrèze : Juillac, Lu be rsa c (foire a u x che­
bœ uîs de boucherie, 150 à 230 fr. les 50 kilos; vaux),
Saint-M erd-de-Lapleau.
vaches laitières, 2.000 à 2.500 fr. l'u n e ; d o u ­
Creuse : B onnat (foire au x ch evaux et a u ­
blons e t doublonnee. 2.000 à 2.700 fr. ; m ou­
tons, peu d em andés ; porcs gro s 310 à 330 tre s a n im a u x ), F elletin, Le G rand-B ourg, StD izier-L eyrenne. Saint-Sulpice-les-C ham ps.
fr. les 50 kilos.
Les m a rch an d s fo ra in s e t les com m erçants
Haute-Loire : Le Puy-en-V elay (m arché a u x
de la localité firent, m alg ré u n froid trè s vif, veaux).
d'ex cellen tes recette*.
Lelre t R oanne (m arché au x b estiau ?), StBonnet-le-C hûteau, Saint-B onnet-le-C ourrèau
V illefort (Lozère). — M arché d u 24 septem ­ (m arch é a u x bestiaux), Saint-É tienne (m ar­
bre). — B eurre, 16 à 18 fr. le kilo ; from ages, ché au x bestiaux).
Lozère : L aval-du-T am .
5 fr le kilo ; œ ufs, 8 à 9 fr. la douzaine ;
Puy-de-Dôme : Giat, P ionsat, V olbelaix
(m arché au x veaux).
SAMEDI 3
Allier t Cusset, Le D onjon.
Aveyron : A uhrac (com m une de Saint-Chê»
ly-d’A ubrac), C ransac (m arché a u x grain»),
D urenque, Rodez (foire p o u r les a n im a u x de
boucherie, les chevaux et les cuirs), V abre.
Cantal i L avastrie, R iom -ès-M ontagne (m ar­
ché aiix from ages en gros), V ieillespesse.
Corrèze ! Ayen, B eaulieu - su r - Dordogne
(C orps-Saints). Bort. Brive, C ondat-sur-G anaveix, L agarde, M eym ac, Uzerche.
C reuse : Blessac, G uéret, M arsac.
Haute-Loire : B rioude.
L oire: C harlieu (m arché au x b e stia u x ),
M ontbrlson (m arché a u x bestiau x ), St-Etlen«4
ne (m arché a u x porcs).
"
Lozère : Aliène, Les L aubies, Mende.
Puy-de-Dôm e : H erm ent, La Bourbould
(m arché a u x veaux), Issoire (foire et m tr»
chés a u x vins et a u x v eau x ), O lliergues, btA m ant-T allende. Saint-A vit.
M ARCHÉ AUX VINS
Nîmes, 28 septembre.
Cours officiels de la Cham bre de commerce |
Trois-6lx bon goût, 100 degrés, 700 fr.;
de-vie bon goût. 100 degrés, 650 à 650 ff.; eaude-vie m arc. 100 degrés. 630 à 650 fr.
V ins rouges aram o n s p la in e et supérieur,
9 fr. 50 à 10 fr. le degré ; m ontagne et cootlères, 11 à 12 fr. le degré, su iv an t couleur,
q u alité, récolte 1931 à enlever.
Le to u t n u p ris à la propriété.
»
H IIP R IM B R IS 8 OB L* e A V BN IH g
t r a v a u x en t o u s g e n r e s

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