Le voyage de Berlin Le voyase le HH. Laval et Briand à Berlin
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Le voyage de Berlin Le voyase le HH. Laval et Briand à Berlin
Ofr. 2 5 9 ADMINISTRATION ET RÉDACT1Û« v* 15. Ru« da rort. CLEKMONT-JlMAND 1031 AV. 38* Année. — N* 14.101 MARDI Téléphone : 1 .5 3 , I . M Adr. tâéraphiqM : AVENIR -CLERMONT S A L L E » D K O tP tC H E É 4. R U E » L A T I N . C L E R M O N T -F S TéUpfc. S .4 S SEPT E M B R E ABONNEMENTS Puy-de-DSew «t Dèp. Bail. Ante* D fpirteM » . • • • F n ii|rt (port en phn). 3 mm 22 28 S mom 40 48 DU PLATEAU CENTRAL PUY-DE-DOME • ALLIER CANTAL . HAim-LOIRE 1m 78 80 Directrice T M " A. DUMONT CO M PTE COURANT POSTAL S S S Q U A T R E ÉDITIONS Q U O TID IEN N ES Prtmlèr» : ALLIER, CREUSE. LOUE -'O w ilè K é, H IÜ T E -lO lii CARTIl. LOZERE. METRO! TnltièfR» : PUV-OE-OQME, CREUSE. CORRÉZi LOIRE r Q uiti** »: C U R R M T «I AVEYRON - CORRfcZE CREUSE. LOIRE- LOZÈRE La Publicité e«t Yéfjp é*o» no* BUREAUX. 18. rue da Port, ef t ( AGENCE HAVAS. 42. n . do* États-Unis, Clormont-Fonraod Mtetnr n iM : M a u r k x VALLET L* Publicité ntri-iéfioBik à l’Afoneo H tm , 62, mo do RicboUou, P t r k ■H | LA J «OURNÉE 1 Le voyase le HH. Laval et Briand à Berlin A l'Assemblée de Genève t a i M i a E g a r i B n i u M H m and Le débat sur le désarmement Des étudiants ont tenté d’aeeassiner se heurte à de nouvelles difficultés M. Ouang, ministre des Affaires étran Genève, 28 septembre. gères du Gouvernement de Nankin. Ce m atin, le président de la sous-com mission du d ésarm em ent, M. Munch, et MM. Laval et Briand ont rendu visite son ra p p o rte u r, M. de M adariago, ont in formé la Commission q u ’ils avaient cru au Maréchal Hindenburg. Comme conclusion à ’surs pourparlers les Ministres français et allemande ont décidé la création d'une commission franco-allemande qui étudiera les pro blèmes économiques. Une nouvelle discussion a eu lieu à Genève au sujet du conflit sino-japonais. Le voyage de Berlin Hier soir se sont terminés, à Berlin, les entretiens entre MM. Laval et Briand et le Gouvernement allemand. La conclusion pratique en est la constitution d ’une com mission franco-allemande, chargée de re chercher les moyens de réaliser et de maintenir une entente entre les deux pays sur les grands problèmes économiques qui les sollicitent et parfois les séparent. Ce résultat smisfait peu l'imagination. Il faudra beaucoup de lyrisme pour en nourrir quelque littérature substantielle sur la paix franco-allemande. Il était d ’ailleurs prévu dès l'origine des négocia tions. M. Laval avait, en effet, précisé q u ’il apportait seulement au Reich la sug gestion d'une méthode pratique de travail pour l ’étude et la solution des difficultés économiques intéressant la France et l'Al lemagne. Le communiqué officiel annonce une intention très nette de persuader l ’opinion que cette conclusion comporte réellement des résultats tangibles. On donne quelques détails sur la portée et les directions des travaux de la future commission . Il est dit, par exemple, que les deux Etats ne chercheront jamais les remèdes à leurs difficultés économiques dans une aggrava tion des tarifs douaniers, et que la collar boration des autres pays sera recherchés aussi souvent q u ’il sera néeessaire pour résoudre les problèmes qui dépassent les 'fmntièree de la France et de iAllem agne, par exemple ceux de la navigation aérienne. Tout de même, le public apprendra avec quelque scepticisme, que ce voyage, qu’on chargeait de tant d ’espérances, n ’aboutit qu’à la création d ’une commission de plus. Force est d ’attendre les premières conclu sions pratiques de ses travaux avant de savoir si la visite historique des ministres français à Berlin est un symbole creux ou l ’amorce d ’une paix réelle. Jusque-là, la réserve s’impose. Une ré serve sans acrimonie, d'ailleurs. Les conversations qu’eurent MM. Laml et Briand avec les dirigeants du Reich, traitèrent peut-être plus de sujets qu'on n 'a dit. Si M. iMval a pu compléter son information sur la psychologie allemande et convaincre l ’Allemagne de notre réso lution de ne pas franchir certaines limites dans la voie des complaisances, son voyage n'aura pas été stérile. Mais là encore, on ne sait pas.. ^aura-t-on ? A s’en tenir aux discours et aux com muniqués officiels, on n ’est pas sorti de ce bon désir général : la France et l’Allema gne causent afin de découvrir et d ’établir les bases d ’une entente économique dura ble. M. Laval avait bien discerné que ce programme n ’était pas infini, en indiquant dans ses déclarations à la presse parisienne, avant son départ, qu’il y avait des ques tions qui pourraient être résolues immédia tement, et d ’autres qui devraient atten dre. Car il y aura toujours des problèmes réservés dans des palabres de celte sorte. C'est ce qui fait qu'il n ’en peut sortir que des résultats incertains et des apaisements menacés. En douterait-on. que certains commen taires allemands nous le rappelleraient. Voici une notre du Vorwaerts, organe de la Sozialdemokratie, qui nous redit ce que les socialistes allemands eux-mêmes ûttendent de la France pour être satis faits :. Nou* ne dissimulerons pas qu’un rappro chement purement économique ne constitue pas à nos yeux une garantie suffisante pour une réconciliation sincère entre la France et l’Allemagne. Il y a une série de problèmes politiques dont la solution est indispensable pour l Eu rope. Il est vrai que ce problème ne saurait être résolu au cours d’une visite de deux Jours ; mais ils ne peuvent être ignorés. Nous autres social-déraocrates, qui ne pouvons être soupçonnés d’opposer inutilement des obsta cles aux entretiens de Berlin, nous considé rons comme notre devoir de rappeler que les hommes d ’Etat des deux pays doivent chan ger ouvertement leurs idées sur le désarme ment. A quoi peuvent servir les assurances d ’amitie et les accords économiques si, dans quelques mois, l’abîme doit être rouvert plus grand que Jamais entre les deux peuples par la lutte pour le désarmement T E t le jo u rn a l rappelait à M. Laval q u ’en 1919 il avait, co m m e socialiste, voté contre le traité de Versailles. M. B ru n in g , sous une fo rm e plu s enve loppée, dans ses déclarations à l ’Agence Havas, avait ftarlé d ’une collaboration « su r la base de l ’égalité des droits », q ui éq u iva u t égalem ent à l ’abolition d u passé. On voit ainsi que lorsque la nouvelle co m m issio n aura re m p li sa iâche, q ui est de procurer à la France et à l ’A llem agne des facilités éc onom iques en a ssu ra n t. à leurs in d u stries des débouchés nouveaux ei en d im in u a n t les frais généraux des d eu x Etat* on se retrouvera c o m m e avant d ev o ir-sa isir la séance plénière des diffi cultés pendan tes. S ur le principe de la irève des arm em ents, il y a unanim ité. IJne divergence assez grave « e s t m anifes tée entre Tes délégations française et ita lienne, su r le rem placem ent des anciens pavire s p a r de nouveaux. C’est la réapparitlon de la controverse s u r la parité. Lord Cecil a proposé de s ’en tenir au principe de la trêve. M. Wilson (U.S.A.). in te rv en an t a p rè s d ’au tre s o rate u rs, a semblé se rallier à la proposition de lord Cecil. L a sous-commission v a en délibé rer. En a tten d a n t, depuis la fondation de la S. D. N., pareille situation ne s ’était pas présentée. L ’Assemblée en est paralysée Genève, 28 septembre. On annonce que la sous-commission du désarm em ent, d a n s sa séance de l ’aprèsinidi, c’est mise d ’accord s u r le texte d ’un î déclaration de ca ractère général, qui inviterait les G ouvernem ents à faire con naître, au plus ta rd le l*r novembre pro chain, s’ils acceptent d ’être partie à une trêve des arm e m en ts qui p a r ti r a it du l ,r novembre p o u r une durée d ’un an. La dé claration ne fixerait pas les m odalités de la trêve envisagée, m ais le rap p o rt de la Commission à l’Assemblée d o n n e ra it une Interprétation de la mesure. La Commission du d és arm em en t se réu n ir a a 22 heures, ce soir, pour discuter eu séance publique le texte de la résolu tion et du rapport. Chamüionnn de France de Marathon 1 UNE VISITE AU PRÉSIDENT HINDENBURG f P r * . ' ♦ v ’ » • .•-«’’k ! W üH LU Berlin, 28 septembre. MM. P ierre Laval et Aristide B riand o nt rendu visite ce m a tin au président H indenburg, à la présidence du Reich. Le p résid e nt du Conseil et le m inistre, qui étaient accom pagnés p a r M. F ranço is Poncet, ont été conduits chez le président du Reich p a r le conseiller de légation von Mumm, chef adjo in t du protocole. Il* sont arriv és à 10 h. 30 à la présidence et o nt été in troduits im m éd iatem ent d a n s le cabinet de travail du président du Reich, qui les a reçus avec une g r an d e affabilité.. Le m a ré ch a l von H in d en b u rg a dit im m édiatem ent à MM. Laval e t ,B ria n d q u ’il é tait p articuliè rem e nt touché de leur vi site. Il a dit quelques mots en français, m a is s ’est exprim é ensuite en allem and, le secrétaire d ’E ta t Meissner tr a d u i s a n t ses paroles en français. Le président du Reich a souligné quo la détresse gén érale du m onde re n d a it in dispensable le rap p ro c h e m e n t de tous les peuplés et que tout ce qui pouvait con trib u e r à ren dre plus am icales les rela tions entre la F ra n ce et l’Allerhagne était d 'u n e im portance exceptionnelle. Il a ex primé le so uh a it que les conversations ac tuellement en cours à Berlin soient cou ronnées de succès et ab outissent à des r ésu ltats féconds. Le président du Conseil et M. Aristide B riand se sont ensuite en tre ten u s quel ques in sta n ts avec le P résident, M., F r a n çois Poncet tr a d u i s a n t le u rs paroles en allem and. M. Laval a indiqué q u ’il ava it tenu a rend re visite au chef de l’E ta t allem and et M. B riand a dit au président H ind en burg q u ’en raison de la politique de paix que, comme m inistre des Affaires é t r a n gères de France, il a poursuivie depuis des années, cette visite pren a it p o u r lui une signification spéciale. Le président du Conseil et le m inistre des Affaires é t r a n gères ont alo rs pris congé du Président, chez lequel ils étaie n t restés dix m in u tes environ. Des cordons de police a s s u r a ie n t le ser vice d ’ordre d a n s la W ilhelm strasse où se trouve la présidence du Reich, et quel ques centaines de curieux ont assisté à l’arrivée et au d é p a r t des m in istre s fr&gçais. A 11 h. 15, M. Laval, accom pagné des m em bres de la délégation française, a quitté à nouveau l’hôtel Adlon pou r aller visiter, au Musée Frédéric-Guillaume, les salles consacrées aux magnifiques recons titutions des m o n u m e n ts de P erg am e et de Babylone. Berlin, 28 septembre. M. Laval s’est ren d u h 11 h. 30 au Vieux Musée où l’a tte n d a ie n t le chancelier B ru ning, le m in istre des Affaires étra n g ères Curtius et le chef du protocole, comte de Tattenbach. M. Laval a visité les salles de peinture du Vieux Musée. Il a gagné en suite p a r une galerie couverte le musée de P e r g a m r où se trouve reconstitué un autel grec, g r a n d e u r nature . A la sortie du musée, MM. Laval et B ru n in g sont p a rtis directem ent en au to p our Cladon, où a lieu le déjeuner. PU O TO . Passage des coureurs à Massy LES ELECTIONS DE HAMBOURG Les hitlériens gagnent 40 sièges Berlin, 28 septembre. A la suite des élections d ’hier, la réartition des sièges a u P a rle m e n t de E ta t de H am b o u rg se présente de la façon suivante : Com munistes : 35, contre 27 autrefois ; socialistes : 46, contre 60 ; chrétiens so ciaux : 2, contre 9 ; p a rti d ’E ta t : 14, con tre 21 ; natio n aliste s allem an d s : 9, contre 22 ; centre : 2, contre 2 ; natio naux socialistes : 43, contre 3 ; populistes ; 7, contre 20 ; p a r ti économique : 2, contre 4. F SAN ANTONIO. — Une banque au capital de 16 millions de dollars a fermé temporai rement ses portes aujourd'hui. devant ce m ur hostile : le traité de Ver sailles ei les' réparations. Les habitudes d ’accord que la France et l ’Allemagne auront contractées sur le plan économique, seront-elles alors assez fortes pour que nous puissions renoncer aux ga ranties héritées de notre difficile victoire ? C’est fort improbable . En tout cas, nous sommes payés pour savoir que si nous refusons de combler ses désirs, l ’Allema gne ne tiendra aucun compte des sacrifi ces que nous aurons consentis. Ce n ’est pas être pessimiste avec excès que de penser que les cris de : « Vive la paix ! » qui accueillaient à Berlin MM. La val et Briand à leur descente du train, avaient un sens que nous ne murions ac cepter satis revision. Dans la méditation quelque peu théâ trale q u ’il est allé p ire devant la tombe de Stresemann, M. Briand a pu se rappe ler que ce grand ministre allemand atten dait du temps et de la patience l ’annula tion des actes qui consacraient la défaite de son pays. La venue à Berlin des ministres français était peut-être dajis ses rêves. Le difficile est de ne pas donner à ce nouveau témoi gnage de notre .bonne volonté la signifi cation d ’une complaisance résignée. Seuls, MM. Laval et Briand savent ce qu’ils nous rapportent à ce sujet. Ei les élections de Hambourg accusent une victoire écrasante des nationalistes. En vérité, nous ne sommes pas au bout de nos inquiétudes et. de nos prudences. Maurice VALLET. J LTXPEHTlOlf DO « NAUTILUS i> DANS LES REGIONS POLAIRES La situation est inquiétante à Hong*Kong - Le récit d’un des explorateurs Hong-Kong, 28 septembre. P a r is, 28 septembre. Le gouverneur b rita n n iq u e S ir W illiam Le « New-York H erald » publie une in Feel a fait publier u n e p rocla m ation a n terview du ca p itaine Sloan D anenhower, n o n ç a n t qu en raison des circonstances c o m m an d a n t du sous-m arin « N autilu* » : exceptionnelles, les d étachem ents de vo Je suis gelé et fatigué, dit-il avec bon lontaires b rita n n iq u e s et la com pagnie ne—humeur. Quant au s u je t-d ’aller au pôle des c h a r s d ’a s s a u t étaient mobilisés. Deux en empruntant la vole sous-glacière, c’est Une résolution commune contre-torpilleurs ont reçu l’o rd re d ’a s su un bon projet théoriquement, mais pour que des ministres français et allemands rer la protection du v a p e u r « A sam a Ma- cela réussisse il faut avoir un sous-marin Les m inistres français et allem and s ont ru », à bord duquel se trouvent des réfu d’un type nouveau et fabriqué spécialement. Nous avions discuté avant le départ. La term iné leurs délibérations à 19 heures, giés japonais. question de la solidité de la glace sous la p a r l ’adoption de la résolution su ivante : L a loi m a rtia le a été proclamée, m a is la mer était-elle moindre qu’à la surface T En même temps q u ’ils o n t voulu don situ ation a em piré à u n tel poin t que des Etait-elle hérissée d’aiguilles T Nous la trou n e r une conclusion p ratique à leurs pré patrouilles m ilita ire s circulen t d a n s les vâmes en plongée relativement molle et épaisse de 16 pieds, et nous fûmes égale cédents entretiens, les rep ré se n ta n ts des rues. ment assez surpris d ’avoir sous la couche de deux Gouvernem ents ont été d ’accord pour Manifestations à Canton glace tant de lumière. Nous pouvions voir m a rq u e r que leur but essentiel resta it d ’é clairement devant nous à une distance de Canton, 28 septembre. tablir entre leurs p a y s des relations sui 40 pied« environ. La profondeur de la mer vies et confiantes. Toute la circulation a été obligatoire était d’environ 2.000 brasses. Il leur a p a r u que la crise qui sévit a u m e n t suspendue p e n d a n t itrois m inu tes Nous avons prélevé un échantillon de ta jo u r d ’hui à tra v e rs le m onde leur faisait d u r a n t lesquelles, en signe de protestation couche du fona, de la terre de couleur bleue, un im périeux devoir d ’associer a v a n t tout contre les prétendues atrocités ja p o n aises mais elle suffit à rendre les savants rouges leurs efforts d a n s le dom aine économique, en M andchourie, le public a observé le si d ’é m o t i o n . Le Nautilus a fait trois plongée» glacée. L’une d ’elle,, la plus en vue d ’a r r iv e r à des solutions p rop res lence. Les a u to rités cherchent égalem ent sous la croûte a duré une heure. Le sous-marin à a tté n u e r le m alaise universel. Ils ont re à faire p orter a u public des b ra s s a rd s de longue, s’engagea sous la couche de toutp sa I0nconnu q u ’il éta it nécessaire de constituer deuil <ant que d u r e r a l’occupation ja p o ;ueur, environ 170 pieds. La raison pour uh o rg an ism e spécial et de do n n er à cet naise. aquelle nous ne fîmes plus de plongéé. c’est organism e une m éthode de travail assez P e n d a n t ces d e rn ie rs jours, de n o m b reu que le gouvernail ad hoc resta au fond dès è û r ^ pour ab o u tir â des ré su lta ts con ses m a n ifesta tio n s o n t eu lieu a u cours la première fois. Nou6 fûmes obligés de nous de plonger simplement, d ’engager crets. desquelles les o r a te u rs ont encouragé le contenter le sous-marin sous la croûte glacée et de A cet effet, ils o n t convenu de créer boycottage des m a rc h a n d is e s ja p o n ais es ; pousser en avant, en laissant la glace nou» une Commission franco-allem ande com on n ’a toutefois pas constaté d ’incident recouvrir. posée de rep ré se n ta n ts des a d m in is t r a notoire d a n s cette ville. E xpliqu ant ensuite le type de sub m er tions intéressées, auxquels se ron t ad jo ints Le Japon désavoue sible q u ’il pense être nécessaire po u r un» des r ep rése n tan ts des diverses branches exploration polaire sous-marine, le capi de l’activité économique ainsi que des re les séparatistes mandchous taine estime q u ’il devait a v a n t tou t avoir p rése n tan ts du travail. Tokio, 28 septembre. une hélice et un gouvernail de plongée Les tra v a u x de la Commission seront Le G ouvernem ent ja p o n a is désapprouve suffisamm ent protégés. 11 fa u t aussi, selon dirigés p a r des m em bres des deux Gou vernements. La Commission s e l a assistée én e rg iq u em e n t le m ouvem ent en trepris lui, que l ’am én a g em e n t in té rieu r soit a m é p a r un s e c ré ta ria t général p e r m a n e n t ; p a r certain s r ésid a n ts m a n d ch o u s pour lioré et q u ’urr dispositif soit trouvé po u r elle siégera, su iv a n t le s besoins, d an s u n a s s u re r l ’indépendance de l a , Man'dchou- em pêcher le froid de congeler le c a r b u p a y s ou d a n s l ’au tre . Elle- com m encera r i e . . Le géhéral Honsho a reçu l’ordre r a n t t t réduire l’efficience des batteries. d ’em pêcher tous les J a p o n a is de Mand— P erso n n e ne fut m alade, continue le s»s tra v a u x d a n s le plus bref délai. La Commission a u r a po ur tâche de p ro c h o u n e de p rén d re p a r t à ce mouvement. capitaine, et, somme toute, à p a r t Je vile L a réponse à la note de M. Stimson se brequin perce-glace, qui refusa de m ar céder à l ’examen de tous les problèmes économiques in té ressa n t les deux nations, r a envoyée au secrétaire d ’E ta t a m é ri cher, tout alla t r è s bien. Le « Nautilu» » sa n s perdre de vue les in té rêts des tiers cain dès que le cabinet jap o n ais en a u r a est à Bergen ; il est tou jo u rs la propriété et la nécessité de la collaboration in te r a pprouvé le texte. Cette note confirmera du d ép a rtem e n t de la M arine et l’expédi nationale. Elle étu d ie ra n o ta m m e n t les que lés troupes ja p o n aises de Mandchou-: tion doit le faire r e n tr e r d a n s un port d© moyens de fortifier et de développer les rie s ’ab stie n d ro n t de tout acte d ’hostilité l’Atlantique des Etats-Unis. Mais comme «Mentes existantes, d ’en créer d ’a u tre s et dès que les troupes chinoises ne cherche il doit être désarm é en 1936, on p o u r r a it r o n t p a s à p o rte r atteinte à l’existence et le vendre cù il est, si le G ouvernem ent y H y a lieu, s u r des types différents. aux bien,: as s r ésid a n ts ja po nais, ou à consent. Les 10.000 do lla rs q u ’il a coûté» Elle ex a m in e ra l ’é tat actuel des échan g*s com merciaux entre les deux pays avec e n tra v e r la libre circulation du chemin constituent un prix fort. L’expédition, elle, a coûté d a n s les 300.000 dollar». .e désir de profiter de (’expérience acquise de fer. >, i v ’ . • 1 depuis la mise en vigueur du traité de I f y : , t commerce de 1927. Elle m e ttr a à l ’étude "I 1 "■! M " ~ T là recherche en com m un de nouveaux déjjwM ___ a été entendu que cette é n u m é r a tio n ne se ra it p as limitative. Les r e p ré se n ta n ts des deux Gouverh*ments ont tenu à bien m a rq u e r que le u r 1 initiative n 'é ta it dirigée contre l ’écono mie d ’au c u n ‘ a u tre pay».. Us déclarent q u ’ils repoussent toute idée de tr o u v e r la solution des problèmes posés d ev a n t la Commission dans une augm* n ta tic u con C e st u ne peu ba certée des d r / i t s de douane. nale entrevue qui En se m a in te n a n a t s u r le plan de l ’e f celle qui a eu Uet fort général p e u r lu tte r contre la crise entre Gandhi *i économique, ils teront uopel à la collabo Chariot. ration des au tre s nations aussi souvent C’est Charlie Cha que l’objet considéré Je com portera. C’est plin qui, désirem ainsi, p a r exemple, que po u rro n t être étu de rencontrer le lea diées des formules d ’accords in te r n a tio der hindou, deman naux en m a tiè re de n a v ig a tio n et d ’av ia da au docteur Ra tion commerciales. tial de lui ménagei Les r ep rése n tan ts des G ouvernem ents une entrevue avet allem and et fra nça is espèrent avoir ainsi celui-ci. i ; jeté les bases d ’une œuvre constructive Les deux grandi ouverte à tous, première étape d ’une œu« silencieux » bavar Ï I e d'ensem ble et r é p o n d a n t aux nécessi tés de l ’heure. dèrent agréablemem •'f ’• * -, N > v Une commission franco*allemande va être créée La visite au Vieux Musée W lD l LE t m r o JAPONAIS Le déjeuner des hommes d’Etat Berlin, 28 septembre. Les hom m es d ’E ta t fra n ça is et alle m a n ds ont déjeuné a u j o u r d ’hui, à 12 h. 45, au Country Clade de l’AutomobiieClub d ’Allemagne. Le d éjeun er ava it lieu complètement d an s l'irutimité. Y ont pris pqrt, outre MM. Pierre Laval et Briand, j le chancelier B ru n in g et M. Curtius, M. i A ndré-François Poncet, a m b a s s a d e u r fie F ra nce à Berlin ; M. von Hoesch, a m b a s j s a d e u r d ’Allemagne à P a r is ; le secrétaire d ’E ta t aux Affaires étran gères, \f. von Bulow ; MM. Philippe Berthelot et Buis j son, etc. Le déjeu n e r a eu lieu d a n s un cadre tout à fait c h a r m a n t, le C ountry Clade de l’Automobile-Club d ’Allemagne d o m in a n t le lac de W annsee, avec une vue m a g n i fique s u r le fond du lac, vers Potsdam. Les hom m es d ’E ta t fra n ç a is et leurs co llaborateurs devaient prim itivem ent r e n tr e r à Berlin en t r a v e r s a n t le lac en b a teau j u s q u ’à W annsee, m a is éta n t donné le temps incertain avec ses alternatives d ’éclaircies et d ’averses assez fortes, le re to u r s'effectuera en automobile, comme l’aller. f GANDHI et M e Chaplin pendant une demi heure. Les journalistes font une ovation aux ministres . Cinq cents jou rnalistes, r e p ré se n ta n t la de d I u s de trente pays, étaie n t m a s ses ce son*, d a n s un des g r a n d s salons de 1 Hôtel Adlon, lorsque MM. Laval et Briand y firent leur entrée, à 19 heures, po u r re n dre public le com m uniqué qui fi,\e les ré s u l t a t s de la conférence de Berlin. Le P ré siden t du Conseil et M. Aristide Briand fu rent l ’objet d ’une ovation à leur entrée. M. F ra n ço is P oncet donna lecture du com m uniqué qui provoqua encore de nom breux applaudissem ents. Aucun com m e n taire ne fut ajouté à la lecture du do cument. En s o r ta n t du salon, MM. Laval et B riand d u r e n t s ’a r r ê te r quelques m inutes p our poser ,1’un à côté de l’a u tte , d evant les ap p a reils du film sonore, sous la clarté aveuglante des projecteurs. M. Laval prononça ces paroles : « En tra v a illa n t à l’accord entre nos deux pays, nous avons travaillé p o u r la paix ». Les deux hommes d ’E ta t f u re n t alo rs l ’objet d ’une nouvelle ovation. W in» W O K J PHOTO. p resse Inauguration de la fontaine de Pont>à-Mousson Spirituelle réponse de M. Snowden à un député communiste L ondres, 28 septembre. A la C ham bre des Commune», en ré ponse a u député Wise qui lui pose plu sieurs questions relatives à la dette n a tionale, M. Snowden, chancelier de l ’Echiquier, répond que s ’il faisait une décJaratiôn à ce sujet, il ne m a n q u e r a it pas de faire allusion au fait que le G ouverne ment" de Moscou est redevable de plus d ’un m illia rd de livres sterling à la G ra n de-Bretagne. « E n c o n v a in q u a n t ses ami» bolcheviques, ajoute M. Snowden, de s ’ac q u itte r vis-à-vis de l’Angleterre du p a ie m e n t des intérêts d ’une année, l’h o n o r a ble m em bre r e n d r a i t un g r a n d setvice à son pay s. » VAPEUR ANGLAIS ATTAQUÉ PAR DES CHINOIS C han ghaï, 28 septembre. H i«r soir, p rès de K iangyin, soixante chi nois civils et m ilitaires, en arm es, sont m ontés à bord du v a p e u r brita n n iq u e « Tuck-Wo ». Après avoir b raqué leurs revolvers s u r le ca p itain e et l’avoir forcé à stoper, ils ont fouillé le navire, croy ant y trou ver des arm e s et ae l ’opium. D ^;us de ne rien trouver, ils ont m a ltr a ité plu sieurs Chinois faisa n t partie de l’e^ulpi.^*» du navire. DEUXIÈME PAGE Dernière heur». Le» miette» de l'histeir». TltOlSlEM B PAGE Deanièr» heur». QUATllIEME PAGE Le Saison Ohronlque régionale. CINQUIEME PAGE Le» Sport». La situation doryphorique dan» lo Puy-deDôme. Bourse do Paris. < . SIXIÈME PAGE VUE GENERALE PENDANT L'INAUOURATION T. 8. F. - » » ■ » •■ » ■ » •» •■ (» ■ R » Notre Temps LA JOIE D E VIVRE • Je pense que vous n'avez pas lu sans effroi cette information publiée par tous les jour naux, qu'un savant américain {et il ne‘ pou vait être d'une autre nationalité, étant don né l'Importance de la découverte) venait de trouver le moyen de prolonger la vie ’hu maine, en pleine jeunesse jusqu’à trots mille ans pas moins. •* • Nous ne savions pas que Marseille était »n Amérique. Et, comme pour toute découverte, ce n ’e$t bien entendu, qu'un commencement ; çe qu'un savant trouve est toujours perfectionné par un autre. ^ Si ta chose était exacte, il faudrait y voir le signe le plus probant de ta fin du. monds prochaine. La terre n ’est pas un balkth qui u gonfle à volonté et il n'y aurait bientôt plus assez de place pour tous les humains. Songez aux embarras de Paris, au nombre fantastique de nouvelles autos lancées, tom les jours, dans la rue et d celui très restreint des voitures qui tombent au rebut. Vous aper cevrez les résultats. On ne peut plus circuler. Et supposez qu’un charron génial ou divin, un de ces hommes dont parle le poète, sorts de • dieu tombé qui se souvient d'cssicvCx », trouve demain, le moyen de fabriquer des voitures inusables. OA Irions-noùs ? Plutôt : Où n ’irions nous plus ? Il en est de la circulation dans la vie, com m e de la circulation dans la ville Ce savant américain ne rendrait pas à l'hu m anité un service notoire. Au bout de quelque temps, nous aurions tous très faim , faute dalim ents : très froid, faute de combustibles. Nous serions tou» na« ou presque, parce que trop nom breux relati vem ent aux anim aux dont nous tirons nos vê tements. A moins qu'on ne trouve aussi le moyen de prolonger la vie des anim aux. Alors, ça, ce serait le bouquet ! Il est vrai que, pour éclaircir les rangs 4e l'hum anité, il y aura toujours les grandes catastrophes, telles que grippes espagnoles, volcans japonais et guerres internationales. Jean fU«TiL L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL Le conflit sino-japonais devant la S. D. N. la crise de la livre sterling Au Stock-Exchange Londres, 28 septembre. Au Stock-Exchange, faiblesse d u ster Genève, 28 septembre. ling et stabilité des fonds d ’E tat. Le franc Le secrétaire g énéral J e la S. 1). N. a fra n ça is cote 95 4, le dollar 3,75, le franc «déclaré q u ’il est .vrêt à ad re sser aux bu- suisse 19 1/4, le w a r Loan 93 1/4, le con jreaux de la S. D' N., à Tokio et à N a n solidé 52. kin , des résum és de cette affaire devant Les cercles financiers Insistent à n o u le Conseil, po ur q u ’ils p uissent être p u veau s u r la nécessité d ’un ta rif protec bliés. teur pour les produ cteu rs britanniques. Le re p r é s e n ta n t du Japo n, M. Yosh’zaLa livre remonte w a , a exprimé sa profonde sym pathie au docteu r O uang et le rep rése n tan t de la P a r is, 28 septembre. Chine, d octeur Szé, a remercié. L a livre sterling a coté à la clôture du M. Y oshizawa a pris ensuite la parole p o u r exposer la situation du différend si- m a rc h é officiel des ch anges 99,75. no-japonais. Les libéraux restent opposés La regrettable situatio n s u r laquelle aux élections l'a tte n tio n du Conseil s’est portée depuis Londres, 28 septembre. quelques jours, dit-il, est heureusem ent en bonne voie d ’am élioration. Je tiens à A une réunion du Comité consultatif li d ire combien vivement j ’ai apprécié les béral qui s ’est réuni à Londres a u j o u r efforts du Conseil en vue d ’a s su re r la d ’hui, sous la présidence de Sir H erbert paix. Samuel, il a été déclaré à l’u n a n im ité que M. Yoshizawa a le plaisir de pouvoir le p a r ti libéral s ’opposait énergiquem ent a n n o n c e r au Conseil que le re tra it des à des élections générales. tro u p es ja po naises se poursuit et que la Un candidat travailliste force des effectifs ja p o n a is stationnés à K irin a encore dim inué depuis sa com en remplacement de M. Macdonald m un ic atio n de vendredi dernier. En de Londres, 28 septembre. h o r s de Kirin et de Moukden, le Ja p o n Les délégués du p a rti travailliste de la n ’a plus, hors de la zone du chem in de fer, que des postes restreints pour proté circonscription de S eaha m ont été convo ger les ressortissants ja p o n a is contre les qués à une réunion qui a u r a lieu samedi a tta q u e s de bandes de s o ld a ts .c h in o is et 11) octobre, au cours ae laquelle se ra choi de brig an d s qui r a v a g e n t actuellement si un ca n d id a t travailliste à la place de M. Macdonald. ces régions. En te rm in an t, M. Yoshizawa a tenu à La dissolution du Parlement anglais affirm er de nouveau que le G ouvernement est proche ja p o n a is n ’entretient auc u ne visée te rri toriale en M andchourie et q u ’il m ain tie n t Londres, 28 septembre. ferm em ent l’intention qui, depuis quel En réponse à une question de M. H en q u es jo u rs déjà, s ’est trad u ite en actes derson, le prem ier m inistre a répondu positifs, de réduire ses forces d a n s la zone du chemin de fer, d a n s la m esure où la q u ’il espérait être, le 30 septembre, en m e sécurité de ses ressortissants et de leurs sure d ’an n o n c er la d ate de dissolution du biens se ra effectivement assurée. M. Yo- P arlem en t. Londres, 26 septembre. eh izaw a a l’a r d e n t espoir qu'il lui se ra M. M acdonald a ann oncé q u ’il pensait iermis do réaliser complètement cette inpouvoir fixer mercredi la fin de la session ention d a n s le plus bref délai possible. parlem entaire. Il a réu n i ensuite au x Réplique du représentant Communes un Conseil de cabinet su r le quel on garde le silence, é ta n t donné que de la Chiné le premier m inistre se ra reçu dem ain en Le r e p r é s e n ta n t de la Chine, docteur audience p a r le roi. Szé, a entendu avec le plus g r a n d inté Ces faits confirment l ’impression que rêt l’exposé du rep ré se n ta n t du Japon. Il l’on approche de la fin de l ’incertitude a h a u te m e n t apprécié la déclaration du gouvernem entale et politique, et que la Gouvernem ent ja p o n a is selon laquelle ce sem aine qui commence prom et d ’être dé lui-ci continue a re tire r ses troupes. 11 a u cisive pour le pays. r a i t été plus heureux encore si le Gouver On considère ce soir d a n s les milieux n e m e n t ja p o n a is a v a it pu déclarer que politiques que mercredi a p p o r te ra la so toutes les troup es avaient été retirées ou lution escomptée, sa n s cependant é c arte r bien q u ’il av ait pu fixer la date à laquelle entièrem ent l’éventualité q u ’à la faveur de le d e r n ie r soldat ja p o n a is q u itte ra it le la porte de sortie que s ’est réservée le pre te rrito ire chinois. m ier m inistre d a n s sa réponse à M. H en Le docteur Szé a rappelé que jeudi et derson, il ne puisse pas une fois encore vendredi, il a signalé q u a tre a ttaq u e s d ’a éluder un engagem ent définitif. vions ja p o n a is s u r les tr a i n s Pékin-MoukEn conséquence et Dien que la den où ne se tro uvaient que des civils. a v e c laquelle cette a n n o n c e a été faite ne Il dem ande si le Japon, en r e ti r a n t ses lui donne pas la valeur d ’une a ssu ra n ce troupes, est décidé à ré ta b lir le sta tu quo précise, on semble lui attr ib u e r celle d ’u ante. Il a constaté q u ’il ne s ’est p rod uit ne prévision gouvernem entale qui m é n a en Chine au c u n incident contre des res ge cependant l’avenir. so rtis s a n ts japonais. Quelles décisions M. Macdonald va-t-tl A son avis, le m eilleur moyen d ’accélé proposer dem ain à l ’a g ré m en t du Souve r e r le r e tr a i t des troupes s e ra it l’envoi ra in ? Trois solutions semblent possibles : s u r place d ’une commission d ’enquète ; ou bien M. Macdonald réalise in extremis m a is, p a r esprit de conciliation, il croit l ’agcord de tous les libéraux et des con que les deux p a rtie s p o u rro n t a r r iv e r à se rv a teurs et ce sont les élections s u r le u n accord s u r les lieux, ce qui éviterait progra m m e n atio n al com mun qui dem eu l ’envoi d ’une commission d enquête. r e n t son idéal ; ou il dem ande a u pays un L a discussion entre les r ep rése n tan ts du m a n d a t de « m a in s libres » ; ou, disent Ja p o n et de la Chine se poursuit au cours encore certains, la session p arle m entaire de laquelle la question se trouve peu à est déclarée close et le cabinet continue peu précisée. Il en résulte que d a n s l’es s a gestion. p r it a u r e p ré se n ta n t de la Chine il ne s 'a De même q u ’elle a proédé à la form ation g ir a i t p as d ’envoi s u r place d ’une com du m inistère national, l ’au to rité du Sou mission d ’enquête, m a is si les deux p a r verain jo u e ra su r son sort u n rôle décisif. ties ne p o uv aien t p as a r r iv e r à u n ac c o r d s u r les lieux, le Conseil p o u r ra it y aider. Cette suggestion, approuvée p a r lord P a r is , 28 septembre. Cecil, se ra étudiée de plus près d a n s une p ro ch a in e séance. Un différend vient de s'élever entre les négociants de la Bourse de commerce de P a r i s et les exportateu rs de céréales des bourses de B raila et de Constanza. Ces derniers estiment que les contra ts conclus a v a n t le 29 septem bre dern ie r Un diner à l’ambassade de France doivent donner lieu à des paiem ents en livre or et ils refusaient, s ’il n ’en était pas Berlin, 28 septembre. ainsi, toute livraison. M. F ra n ço is Poncet, a m b a ssa d e u r de Les négociants acheteurs considèrent au F r a n c e en Allemagne, a offert ce soir, contraire q u ’ils sont en droit d ’exiger d a n s les salons de l’am bassade, un d în e r l’exécution des engagem ents pris et des li de 72 couverts en l’h onneur du président vraisons promises et ne sont ten us d ’ac du Conseil et du m inistre des Affaires q uitter le m o n ta n t de ces dernières que étrangères. d an s la m onnaie prévue, quel q u ’en soit :e Berlin, 28 septembre. cours actuel. MM. P ierre Laval et B riand quitteront Berlin dem ain m atin, à 8 heures, p o u r L ’exportation de l’or interdite a r r iv e r à P a r is à 23 heures. Î Un différend à propos de la livre MM. LAVAL ET BRIAND A BERLIN L ’impression en Hongrie Budapest, 28 septembre. L a visite à Berlin de MM. Laval et B ria n d est considérée p a r la presse honroise d ’a u j o u r d ’hui et p a r les jo u rn a u x u soir, comme un véritable événement historique de la politique mondiale et est accueillie avec optimisme. f en Egypte Le Caire, 28 septembre. Le G ouvernem ent égyptien a décidé au jo u r d ’hui d ’interdire les exportations d ’or. Il a décidé égalem ent de relever les droits de d ou an e d o n t est frappée l’im p ortation de ce rtain s articles d ont la v a leur a dim inué, p a r suite de la baisse de la livre sterling. LES EVENEMENTS D’ESPAGNE La Norvège abandonne letalon or Des grévistes incendient un magasin Barcelone, 28 septembre. Des in connus se sont présentés dans un dépôt de m achines à coudre, ont arrosé les portes a"ec de l’essence et ont mis le feu. 40 caisses contenant des m achines o n t été brûlées. Les ouvriers de cette m a i son étaie n t en grève depuis quelques se maines. Les députés catalans rendent compte de leur mandat REVUE DE LA PRESSE Oslo, 28 septembre. Le G ouvernem ent norvégien annonce ’e l ’étalon or est tem p o rairem en t abanSonné en Norvège et q u ’il a mis i’embargo s u r l ’exportation de l ’or. Le déficit du budget américain New-York, 28 septembre. Les dern iè re s statistiq ues fiscales font prévoir que le déficit du budget p o u r ra it d ép asser le chiffre de 300 millions de li vres. Barcelone, 28 septembre. H ier soir, place de la République, les p a rle m e n ta ire s c a ta la n s ont rendu comp Une grande banque américaine te aux h ab ita n ts de Barcelone de leur a t ferme ses portes titude au P arlem ent espagnol au sujet de la discussion de l ’article p rem ier de la P hiladelphie, 28 septembre. Constitution. Une foule Immense a en vahi la place. Des discours ont été pro L a « ITorth Central T ru s t Com pany », noncés du balcon du palais de la G énéra qui compte ici 5 succursales don t les dé lité. pôts se chiffrent à plus de trois millions Le président Macia, qui a fait son a p de dollars, a fermé ses portes ce m atin. paritio n entouré p a r les parlem entaires, a été accueilli p a r des m anifestations d ’en thousiasm e. Le président Macia s ’est dé Mouvement administratif claré sa tisfait de la t&che accomplie p a r _ P aris, 28 septembre. les parlem entaires et de la confiance que Sont nom m és : le peuple lui a toujours témoignée. Il a P ré fe t de la Côte-d’Or, M. Callard p ré recom m andé de rester ferme et calme. fet de l’Orne. P réfet de l’Orne, M. Natalelli, préfet de D ’anciens ministres espagnols l ’Aube. rentrent à Madrid Préfet de l’Aube, M. P eretti délia Rocca, préfet en disponibilité. M adrid, 28 septembre. S ecrétaire général de la préfecture de la L es anciens m inistres du cabinet Bere n g u e r, le duc d ’Albe, MM. Julio W als Haute-Saône, M. Coldefy, sous-préfet chef e t Montés Jovellar, sont arrivés a u j o u r de cabinet du préfet de la Seine-Infé d ’hui à Madrid, v enant de Biarritz, où ils rieure. se tro n v aien t ces temps derniers. Us vien nent se rendre la convocation que Ja Commission parlem ' ‘aire des responsabi Le Congrès de chimie industrielle lités leur a fait conhuître au moyen de la P a r is, 28 septembre. « Gaceta de Madrid), le 18 courant. S’ils Le 11* Congrès de chimie industrielle n ’étaient pas venus d a n s le délai de 16 s ’est ouvert ce m a tin en Sorbonne, sous jo u rs qui leur était fixé ils a u r a ie n t été la présidence de M. Deligne, m in istre des d éc la ré s contum aces et jugés p a r défaut. T ravaux publics. LA FETE DE LA « DESCENTE » DE LA VIERGE DE VASSIVIERES LES COMBINAISONS DE BERLIN Jo u rn al des D ébats. — Les articles de la MARDI 29 SEPTEMBRE 1931 Pour que les taxis stationnent % place Gaillard LETTRE A M. LE MAIRE DE CLERMONT-Fd LES MIETTES DE L’HISTOIRE (28 septembre 1830). LES DEUX DUELS DE SAINTE-BEUVE On n o u s com m unique la lettre su iv an te : Les cérémonies qui, tous les an«, au début Dans l'Histoire de la presse, deux duels as à Ja fin de l’été se déroulent à Besse en Les soussignés commerçants de la place presse allem ande, les nouvelles tendancieuses et l'honneur de N.-D. de Vassivières sont parm i Gaillard à M. le Maire de Clermont-Ferrand. sez originaux de Sainte-Beuve sont restés lé même sont beaucoup plus intéressants que les gendaires. plus pittoresques et aussi les plus émou Monsieur le Maire, les déclarations officielles. Les voyages des vantes Celui du 28 septembre 1R30 est asset curieux. religieuses de la ré m inistres et les conférences ont leur appa gion. Lnm anifestations Nous avons constaté avec plaisir que vous de la statue miraculeuse Comme on ne publiait pas encore les procèsreil conventionnel. Les com muniqués et le qui se fait montée autorisez les taxis à stationner place Gail en juillet attire toujours un grand cinéma en sont l’essentiel. On trouve tou- . roncours de population et le spectacle de cet- lard. Nous vous demandons par la présente verbaux de ces rencontres, la date n'est pas absolument certaine , nous avons choisi dans jour« à l’heure dite ainsi de quoi m onter une «a foule écai _ liée sur la m ontagne aux pelou de rendre cet arrêté définitif. petite m anifestation et allum er quelques ses fleuries ■ revêt De nombreux clients ayant des courses à les lettres de contemporains, celle qui nous un charme incomparable. lampions. sont obligés d’aller à Jatide pour trou parait la plus près de la vérité. Mais la oérémonie de la « descente », qui faire Le voyage de Berlin n ’a pas l’a ir de cons s’effectue ver une voiture. Sainte-Beuve était alors rédacteur du Globe, dans le décor autom nal presque au tituer une exception a ces médiocres usages. crépuscule est encore plus impressionnante. L’absence de taxis place Gaillard nous étant dont le président du Conseil d'Administration M. Laval, avant de partir, a paru avoir une préjudiciable, nous pensons Monsieur le Mai Favorisée cette année par une belle jour notion de ce qu’il ne voulait pas. C’est la née qui succédait à une longue série de bru re que vous ferez le nécessaire pour sauvegar était un certain M. Dubois, de Mantes, an cien professeur, helléniste distingué et que les partie négative de son projet. C'est la plus mes et de froidure, la fête de la descente der nos intérêts. claire. Lee grands sujets lui sont défendus. am ena à Vassivières, puis à Besse. une af Dans cet espoir, veuillez agréer. Monsieur juges des derniers jours du régne de Char Depuis six ans que la détente européenne, le fluence considérable de pèlerins. le Maire, l’assurance de nos sentim ents les les X avaient condamné à quatre mois di meilleurs. rapprochem ent tranco-allem and et la fruterprison qu'il avait faits à Sainte Pélagie. Li Le grand'm esse fut célébrée dans la chapelle niie universelle sont annoncés, le résultat est de Vassivières par M. l ’abbé Langoile, curé Suivent les signatures des commerçants de béré par les journées de juillet, il était revenu la place Gaillard néant. M. Laval semble décidé à ne pas rou d ’Ayat. prendre sa place au journal. U présidait une vrir les stériles et dangereuse« négociations A 17 h. 30, un cortège se forma pour se séance du Conseil d'Adm inistration assez im qui ont abouti à des concessions de notre rendre à Besse. La statue de la Vierge, portée portante. Sans y avoir droit, Sainte-Beuve, part et qui ont été nulles pour les intérêts sur les épaules de robustes m ontagnards était simple rédacteur, assistait A cette délibération français. Souhaitons qu'il ne soit pas en escortée d une foule qui devenait de plus et combattit, non sans vivacité, la manière traîne par la politique d’effusions a sortir en plus dense à mesure que l’on s'approchait de sa reserve. de voir de Dubois qui, impatienté, lui dit . de Besse — « Mais de quoi vous mêlez-vous. M Sain On fit halte au Mèze, où fut tirée une pièce Une Brlvadoise victime d'une chute d’artifice et puis la m arche reprit vers Besse, te-Beuve, vous n'êtes propriétaire d'aucune LE CAS DE M. BRIAND avenue Charras action du Globe ; et cela ne vous regarde Dépêche de T oulouse (Lucien Romier). — où le cortège arriv a à la nuit tombée. Vers 18 h. 30, avenue C harras, Mme Ma pas ? » L’entrée dans la vieille cité pavoisée et il Le surprenant, au prem ier abord, est que M. Briand ait fait une si belle carrière dans la luminée présentait un coup d ’œil unique et rie H éritier, âgée de 58 ans, d e m e u ra n t Agacé, Sainte-Beuve riposta par le mot : République bourgeoise, gui n'adm ire que les digne d’inspirer les artistes en quête de ré plàce Eugène-Gilbert, à Brioude, venue • Insolent ! » répété trois fois. chercher d u trav a il à Clermont, a été pessimistes. Mais cet nomme, en son âge miniscences médiévales. Dubois qui plus tard a publié ses « Sou A l’église de Besse, le R P. Paul, des Ca victime d ’une chute. mûr. sut corriger l'optimisme de son imagi venirs » a raconté ainsi celte scène : nation p ar l’exercice supérieur d ’une faculté pucins de Clermont adressa à la foule qui Une plaie sérieuse à la joue gauche a • Sainte-Beuve était mon ancien élève et qui est, d ’ordinaire, le propre des pessimis s’entassait sous les antiques voûtes une allo nécessité son hospitalisation salle Fleury, tes : la faculté de m anier les ressorts cachés cution em preinte du plus pur esprit de foi. mon obligé. Je ne devais donc pas prendre à l’Hôtel-Dieu. Après la cérémonie religieuse, les rues fu de la société et de jouer sans illusion avec sur moi de provoquer mon adversaire en duel, les faiblesses hum aines. Son savoir-faire d’ap- rent envahies par la foule joyeuse qui, long mais il fallait lui transmettre le rôle de pro Employés indélicats temps, s’a ttard a au to u r des attractions forai arence sceptique lui procura, auprès de la ourgeoisie. le crédit spécial qu’elle accorde nes. Delaigue Claude, 22 ans, formier, et Se- vocateur... Je saisis mon gant et j'en effleurai Nous ne saurions term iner ce bref compte r in d a s Antoine, 27 ans, m a n œ u v re , em- le visage de Sainte-Beuve qui, en effet, m ’en aux « sauveurs ». Le grand paradoxe ou, si l’on veut, l’intérêt de la carrière de M. Briand rendu sans rendre hommage à tous ceux qui playéa aux établissem ents T orrilhon, ont demanda raison ». est que sa fortune politique, favorisée par la s ’efforcent de m aintenir à cette belle fête son été surp ris, à leur sortie de l’usine, em p o r On se rendit sur le terrain où Sainte-Beuve, bourgeoisie, l’a ramené, vieillard, à l’optl- caractère traditionnel, entre autres M. l’abbé qui avait raillé son ancien maître qu'il ap ta n t des pn eu m atiq u es p o u r bicyclette. Us uiismc populaire de sa jeunesse. Rolhion, curé-doven de Besse et toutes les pelait Dubois de la Gloire Inférieure, parce personnes qui veillèrent à la parfaite orga ont été mis en é ta t d ’a rre sta tio n p a r la qu’il était de Nantes, Sainte-Beuve donc, par nisation du corege. Félicitons enfin les h a brigade de g e n d a n n e rie de Chamalières, rut avec une paire de pistolets datant du LA PO LITESSE bitants de Besse d’avoir conservé aussi bien présentés au P a r q u e t de Clermont et temps de François /•» et qui marchaient assez Le M atin (J. Joseph-Renaud). — La poli les pieuses coutumes de leurs ancêtres en dé ëcroués à la maison d 'a r rê t. mal. tesse fait mieux que faciliter les rapports en- corant leurs demeures. Certaines rues, no tre les individus. Elle est la premtlèitre règle tam m ent la rue Mercière avaient un aspect Les balles furent tirées sans résultat ; les Grave imprudence d'un cycliste féérique m ais partout se m anifestait le souci de l’altruism e. Caton se croyait n< pour ut né non deux journalistes se réconcilièrent aisément _M. Lecomte Charles, 28 ans, d e m e u r a n t et ils rentrèrent ensemble au journal. lui seul, m ais pour tout le monde. Goethe d’honorer pour le mieux N.-D. de Vassivières, disait : « Il n'y a aucune règle île courtoisie reine de ces montagnes. 25, ru e de Bien-Assis, employé au g a ra g e Sainte-Beuve avait déjà eu un duel qui était qui ne constitue en même temps un principe Chevrolet, à Chamalières, a y a n t une cour assez plaisant. Comme il pleuvait, le célèbre -------------------------------m oral ». La politesse est aussi un exercice se urg ente à effectuer à Clermont, priit u n critique parut sur le terrain avec un para constant de volonté. Elle oblige à réprim er vélo au g a ra g e et descendit à toutes p é d a pluie qu'il ouvrit pour s'abriter pendant l’acses instincts, à dompter l’anim alité hérédi les l’avenue de Royat. taire, à être bon, à « se surm onter ». Ainsi tion. L a bicyclette éta it à roue libre et d ém u comprise, elle atteste la supériorité mentale Comme les témoins de son adversaire lui d ’un individu, d’une nation, d’une race. Elle nie de tout système de freinage. Si bien faisaient remarquer que c'était contraire A a resplendi pendant toutes les grandes épo q u ’arriv é à la h a u t e u r du r e s t a u r a n t M a r l'usage .ques de notre histoire. tin, le cycliste perd it Je contrôle de sa ma— « Qu'importe dit Sainte-Beuve ; je veux Est-il possible de la rem ettre en honneur chne, fit u n e brusque em bardée s u r s a bien courir le risque d'être tué, mais je ne chez nous ?... Certes !... Pour la ranim er, il gauche et vint, à toute vitesse, don ner têy suffit de bien discerner les causes de son af veux pas être m ouillé et attraper un rhume te baissée contre u n tra m qui m o n ta it s u r de cerveau. » faiblissement actuel, ce qui n'est pas très dif ficile... Royat. On se m it à rire, on se réconcilia sous l’a Le w a ttm a n , devant le danger, a v a it te n verse et on alla déjeuner gaim ent dans une té et réussi, la seule m a n œ u v re qui lui était auberge voisine. J ean-B ern a rd . permise. Il avait bloqué ses freins et le véhicule s ’était a r rê té s u r m oins de deux mètres. Le cycliste, dont la tête ava it porté tr è s exactement d an s la lan tern e de la motrice, gisait ina n im é sous l’a v a n t du tram . Il Un, deux : on compte ju s q u ’à deux les pe rd a it son sa n g en abondance d ’une bles su rv iv an ts de la I gnée des luthiers qui A U J O U R D ’H U I su re profonde à la tête et d’une au tre à ont fait autrefois la célébrité de Jenzat F êtes à so u h a iter S a in t Jérôm e, sa in t ta ja m be droite. (Allier). Claude P im p a rd , qui vivait ol H onoré. A l ’Hôtel-Dieu, où il fut tr a n sp o rté te n ait son atelier comme les luth iers d« d ’urgence p a r l ’am bulance municipale, Crémone, est m ort il y a si peu de mois : — L ever du soleil, 5 h. 46 ; coucher, l’on c o n s tata que la collision a v a it provo c’est un peu de l ’a r t des Vielles à Jenzat 17 h. 36. L ever de la lu n e , 18 h 19 ; coqAurillac, 28 septembre. qué u n enfoncement de la boîte crânienne. cher, 8 h. 28. D im anche dernier, vers 13 h. 30, entre Il avait, en outre, la ja m b re droite brisée, qui s ’en va avec lui... On a s sig n e ra difficilement u n e date, u n --------les g are s de Miécaze et N ieudan-Saint- et l a rotule g auche fracturée. com mencem ent à « l’industrie » des .viel Victor, au lieu dit « Passevite », où se Son é ta t est désespéré. les à Je n za t Un c h a p ite a u décoratif de trouve u n passage à n iveau, témoin de l’église ro m an e de la petite citée repro duit plusieu rs accidents très graves, une a u t o Une rixe Herbet exactement u n vielleux de l ’ancienne éco Modiste, 10, r u e Gauitier-de-Biauzat mobile qui se d irig e a it s u r A urillac a Téléphone 22-85 Vers m inuit 30, à la sortie d ’un dancing, le et ceci fait u n écho délicieux à la joli« fra nchi la b a r r iè r e fermée et s ’est jetée s u r le t r a i n de voyageurs n° 2.911, d ’Ey- rue Claude-Guichard, des jeunes gens ont légende du « Jo n g le u r de Notre-Dame ». p résen tera sa collection d 'H iver g u r a n d e à Aurillac, qui arriv e d a n s cette vidé, à coups de poing et de couteau, u n Vous vous souvenez de ce Miracle de notre à p a rtir de ven d red i 2 octobre différent surv enu au sujet d ’une aim able litté ra tu re du Moyen-Age q u ’a illustré la ville à 2 h. 10. A cet endroit, la route n atio n ale n ° 120 beauté, employée comme balayeuse p a r les m usique de Massenet... Le c ha pite au m on tre encore très bien le vielleux d a n s a n t est en ligne droite de p a r t et d ’a u tre du services m unicipaux. L ’un d ’eux, C h a u ta rd Je an-P ie rre , 29 s u r la tête d evant l ’im age de la Vierge. passage a niveau. La visibilité est excel Q uant à la réalité, ceci commence com lente. C ependan t l’automobile, u n cabrio ans, né à Grandif, employé chez un c h a r let 6 CV. R enault, a r r iv a it à toute vitesse cutier de la rue des Deux-Marchés, a r e me font les belles histoires. Il y ava it une s u r la b arrière. Le pilote essay a it d ’a r r ê çu force horions et a dû se faire soigner fois un bon curé de cam pagne qui sa v ait de la m usigue où il p r e n a it de l’agrém ent. ter son véhicule en b r a q u a n t la direction à l ’Hôtel-Dieu. Un au tre , D ernier Adrien INSTITUTION 8AINT-ALYRE L a rentrée a u r a lieu le jeudi soir 1er oc à gauche. L a voiture p é n é tr a it d a n s le 19 ans, m a n œ u v re , a été hospitalisé, a y a n t Un jo u r qu il m éditait s u r la prière de 6on tobre p o u r les inte rnes et le vendredi 2 fossé m a is en re sso rta it sa n s que son élan été « piqué », légèrement d ’ailleurs, en tre église il résolut d 'a v o ir une «vielle po ur accom pagner la voix des c h a n tre s : son octobre, à h u it heures, p o u r les externes soit coupé et a lla it se r a b a ttr e d a n s la les omoplates. b a r r iè r e fermée du p assage à niveau, Ni l’un, ni l ’autre, n ’ont pu d onn er de r e n neveu, jeune, jo u e ra it de l’in stru m e n t. Et et les dem i-pensionnaires. q u ’elle enfonçait. seignem ents s u r leurs adv e rsaires qui Je neveu jo u a comme il a v a it été prévu A ce m om ent la locomotive du tr a in avaien t pris la fuite, comme eux d ’ailleurs, p a r le bon oncle. Mais il se m a r i a comme PENSIONNAT DE QARÇON8 chacun se m a rie un jour, et le p rêtre qui 2.911 p arv e n ait à h a u t e u r de la b arrière. à la vue des agents. OE PONTGIBAUD a v a it moins de goût p o u r la m usique, Elle finissait d ’a r r a c h e r cette dernière et comme au tem ps où il était plus jeune, La rentrée des classes a u r a lieu le jeudi bousculait l’automobile qui allait s ’éc ra La dispute sanglante de Mezel d onn a la vielle en dot qui sortit ainsi de l*r octobre p o u r les in te rn es et le lende ser d a n s le fossé droit de la voie. Le p i Louis Lerry, qui a porté, l ’a u tre soir, u n l ’église. Cette vielle devait plus ta rd ser lote de l’autom obile était projeté hors de m a in pour les externes. Les autobu s p a r te n t de Clermont, rue son siège p o u r aller s ’ab îm er entre les coup de couteau à R obert Bellizat, a été vir de modèle au neveu devenu s o u d a in e M aréchal-Foch, le m a tin , à 6 h. 50 et le ra ils de la voie, ap rè s avoir eu u n pied présenté hier au P a r q u e t et écroué à la ment, et comme p a r vocation, luthier. Et maison d ’a rrê t ap rè s in te rroga toire de M. ceci se p a s s a à Jenzat. soir, à 5 heures, place G aillard et rue Ma sectionné p a r un e roue de wàgon. Après une course de 150 m ètres environ, P ython, iuge d’instruction. Depuis, on a toujours fabriqué des viel réchal-Foch. S ur l’état de la victime, qui a subi l’opé les à Je n z a t où le modèle est resté et se le tr a in réu ssissait à s'a r rê te r. On r e tr o u vait la b a r r iè r e tord ue à une centaine de ration de la la parotom ie, il ne semble pas voit encore... EGOLES DE FONTGIEVE m ètres de l ’accident. Q u an t à la victime, que le docteur A. Fiollet puisse form uler On définit assez bien la vielle, « u n ins La rentrée des classes é ta n t fixée au ven qui av a it perd u connaissance, elle était un pronostic d ’ici quelques jours. tr u m e n t à cordes, agréable, brillant et bon dredi 2 octobre, la Directrice et le Direc im m édiatem ent placée d a n s un c o m p a rti p o u r jo u e r seul et faire d a n s e r » sa posi te u r seront à la disposition des familles m e n t et tr a n sp o rté e à A urillac et de là à Suites mortelles tion est bien curieuse. On l’attache avec les m ercredi et jeudi, de 10 heures à midi, l ’Hôpital-Hospice. d’un accident de mine une ceinture de cu ir a u to u r du corps, l’em et de 14 heures à 16 heures. Il s ’ag it de M. Joseph Gourdy, 20 ans, p ê c h a n t ainsi de vaciller. O rdinairem ent, Saint-EIoy-les-Mines, 28 stpium iu*. dont le père est no ta ire à Goufie (Corrèle vielleux est assis, su r sa cuisse gauche L’ou vrier polonais Knbacisnki F rancis- il retient la tête de l ’in stru m e n t m onocor ze). Le jeune hom m e v ena it voir des am is ECOLE D'APPLICATION (JAUDE) à Aurillac. L’état du blessé inspire de zek, âgé de 39 ans, victime u un eLouleui^nt de, as su re le corps de la vielle s u r la c u is Le Directeur de l ’Ecole d ’application très vives inquiétudes. aux Houillères de Saint-Lloy, d«jnt nous se droite et renverse le clavier en dessous (Ecole de Jaude), recevra les familles m er Les causes de cet accident p a r a is s e n t avons parlé d an s l ’un de nos derniers n u po ur perm ettre aux touches de mieux re credi 31 et jeudi l #r, le m a tin de 10 heures très obscureSj d ’a u t a n t plus que M. Gour méros du jo u rn a l, a y a n t été tr a n sp o rté à venir. U joue de la m a in g auche ta n d is à midi et le soir, de 15 heures à 18 heures. dy co nnaissait la route et l ’existen ce d ’u n la clinique du docteur P iq u a n d , à Montlu- que sa droite actionne en rond la m anivel Se p rése nter au b u re a u de l ’école (3* é ta passage à niveau à cet endroit. çon, pour y recevoir les soins que nécessi le q u ’il retient d a n s la paum e, les doigt« ge). E ntrée rue du Théâtre. ------------------------- ta i t son état, y est décédé d a n s la matinée légèrem ent repliés. Les p a r e n ts des nouveaux élèves sont du 28 septembre. On trouve à la vielle des cordes comme in sta m m e n t priés de faire inscrire leurs au violon et deux de plus. Deux corde«, en fa n ts m ercredi et jeudi. A pporter un Collision mortelle entre auto et moto les chanterelles s'ac co rd en t en sol ; un« bulletin de naissan c e ou le livret de fa au tre , la trom pette s'accorde en do ; une Moulins, 28 septembre. mille. M. Joseph Thomas, 32 ans, .tailleur à autre, la Mouche à l ’octave de la C han --------------------Vieure, é ta n t à motocyclette, est entré en terelle. La cinquièm e corde dite le Petit INAUGURATION OU RESEAU collision avec une automobile. Il a suc Bourdon donne le do octave de la T rom pet. U t 3 e t 4 oetobre 1931 te et la sixième, le Gros B ourdon b o u rd o n combé presque aussitôt. ne le sol octave au dessous de la M ouche. 54, ru e d u P o rt PaOGRAMMZ Enfin, voici la grosse difficulté de le Un vol de 10.000 francs Sam edi 3 octobre retour de Paris, avec les dernières vielle : c’est la roue. S ans la roue p a i C h a m p s-su r-T a re n tain e (Cantal). 8 h., Montcel ; 8 h. 30, Jozerand nouveautés de la Saison : de vielle. L a roue est à la vielle ce* qu« 9 h.. ; 9 h. 30, St-HlJair«-la-Croix 10 h., M. Jouve Jean-Baptiste, c o u rrie r de 1 archet est a u violon. Bien m a n œ u v r e r le ROBES, MANTEAUX, FOURRURES Champs St-Pardoux ; 10 h. 30, M arcillat ; 11 h.. St- Cham ps (Cantal), à Bort (Corrèze), s ’a p e r roue, c ’est jo u e r de la vielle. Les plu« — et LAINAGES DE LUXE — Quentin ; 11 h. 30, St-Gal ; 12 h., Pouzol’ (dé çut jeudi q u ’un vol avait été commis chez Jeûner) ; 14 h., Lisseuil ; 14 h. 30, St-Rémv- lui, une liasse de 10.000 fra n c s a v a it dis sû r s vielleux de chez nous savent do n n er au tou r de roue la v aleu r d ’une m esu re de-Blot ; 15 h., Châteauneuf-les-Bains ; 15 h 30 p a r u de sa caisse. en musique selon q u ’il s 'a g it d ’une ronde, Queuille ; 16 h., Vitrac ; 16 h. 30, St-Angel ; H déposa une plainte à la gendarm erie. d 'u n e blanche, d ’une noire ou d ’une cro 17 h., Charbonnières. Une enquête menée nvec pru dence permit che. Deux tours de roue m a rq u e n t la ro n Dimanche 4 octobre de découvrir la coupable, Marie Malguid, de alors q u ’un tour suffit à la blanche un A partir de 9 heures, visite des stands de l’exposltjon des appareils électriques utili6és femme Lebeau, qui pressée de question«’ dem i-tour à la noire et un q u a r t de lour N ous recevons la lettre su iv a n te : fit des aveux et rem it la somme de 8.900 f r ’ à la croche... par les cam pagnes (agriculture et artisanat) C lerm ont, le 28 septem bre 1931. A U heures : Réception des autorités et des qui lui restait. Bien d ’a u tre s règles s ’a p p liq u e n t enco arlem entaires, route de Charbonnières-lev Elle a n éa n m o in s été arrêté e et tra n sfé M adam e la D irectrice, re au jeu de la vielle. Elles « 'a p p re n n e n t jellies et visite du poste de distribution de rée à Aurillac. avec les m a ître s: il fa u t les voir... S ’il» o n t R e n tr a n t de voyage ce m a tin , je lis, l’énergie éU ctrique aux communes du syn la blouse com me a u tre fo is et le la rg e c h a d a n s votre n u m éro du d im an ch e 27 cou dicat. peau ou encore le costum e vieux bourbon r ant, ce q u i su it : A 11 h. 30 Visite de l’exposition p ar les n a is c'est to u t sim plem ent ra v issa n t. L eurs D a n s l e s C i n é m a s « La nouvelle des difficultés éprouvées autorités. au b a d es et le u rs bourrées vous em plis A midi, grand banquet sou* la présidence p a r la B anque N atio n ale de C réd it s ’ésent 1 Ame de gaieté : je les aim e, c a r « ta it ré p a n d u e à C lerm ont où la B anque d ’honneur de M. Clémentel, président de la P r o g r a m m « Su t s «eptem br« a u i»’ octobro Commission des Finances du Sénat, président elles so n t p o u r moi com m e une louange <« a u n e su ccu rsale, et a provoqué m e r du NOVILTY. - Tou» les « olrs, à 30 h. AS. M a ti n s « Conseil général, ancien m inistre et la Dréim m ortelle de l'an c ien n e province, u n e « m a tin u n e c e rta in e effervescence à l’in- sidence effective de M. le Préfet et des P ar les Jeudi», d im a n c h e s e t fêtes, à 15 h e u re s. <« té rie u r et d ev an t l’en trée de l ’im m euble lementaires du Puy-de-Dôme. La m e ille u re o p é re tte ré a lis é e a u c in é m a p a r p a r t de son âm e anccsitrale. — D. L. « où so n t in stallés les b u rea u x de la BanA 15 h. 30 : Conférence par M. Caron, In la n t. Lo C hem in du P arad is, im m e n s e succès a re c « que. Les gu ich ets o n t d û être ferm és. » génieur agronome à la Compagnie Hydro L ilia n H a rv e y «t H e n ri G a ra t. - M am an Colibri, VI«, u n e c o m é d i e é m o u v a n t e a v e c N o r m » S h erer — Je tien s essen tiellem en t à vous d ire q u ’à électrique d ’Auvergne su r ; L'Electricité à la d ’a p rè s H e n ry B a ta ille nvec M a ria J a c o b ln l e t J e a n Parada 4«a Haricot«, d e ssin s anim és aonoraa. — O ax — Les A c tu alités, etc.. au c u n m om ent les g u ich ets de la S u ccu r Ferme. A c tu alité» p a r la n te s e tc .... a tc ... A 16 h e u r e s : C a u s e r ! « n n r tu a » O I R Q O V I A — M atin ée s to u s les J o u rs (s a u f ven sale de la B anque N atio n ale de C rédit à CINEM A PATHB-OAM EO. - Tou* le« Jo u r« , a o l. d re d i), à 14 h ., 45 S o irée * 9 0h 45 Clerm om t-Forrand n ’o n t été ferm és ré e à 90 b 45 ; d im a n c h e m a tin é e s à 14 b e u r r a a t Le film to u r n é lo rs de la P o lr e -lip o e ltio n d# sont restés ouverts, com me les a u tre s 16 h 45 . J eu d i m a tin é e A U b 46 C le rm o n t — Le ré c e n t su ccès d u O a u m o n t-P a la c e médis de sem ain e an g laise, de 9 h eu re s dé Blot-l’E* Oam«o «ournal. o rg a n e d ’in fo r m a tio n p a r l ’é c r a n Passep ort 13.444, film p a r la n t, in te r p r é té p a r T aLa T errent d« flam m e«, co m é d ie d ra m a tk iu « à m idi. sons fleuries doté de nombreux prix. n ia F é d o r. R ené F e rté , M a rie d e L ’ts le e t Léon a v ec M alco lm M ac G re g o r. P a u lin e C a ro n e t M a n V euillez ag ré er, M adam e la D irectrice Grande fôte foraine, bals, manèges, M a th o t C a r r. - A lib i, g r a n d film p o lic ie r in te r p r é té n a r l’a ssu ra n c e de m a co ératio nn dd istin is tin-. ’ A 18 J». 30, Illum ination générale. co nn sid sid ératio RI ALTO-PAL A G I. - T o u s les s o irs , à 90 h. 45 C h e s te r M orrt*. H a r r y S tu b b s . Mac B usch at Les discours, la conférence e t la causerie guéa. M atin ée les ie u d ls, .lltn a n c b e s e t rétes A U h 45 n o r G rlffitb . seront d:ffusés par haut-parleurs. Le D irecteur : L e P rocu reu r Hallore, u n e tr o u b la n te co m é d ie Le Président .- A. Guyot, d r a m a tiq u e p a rlé e en fr a n ç a is av ec J e a n M ax ; Illisible. Conseiller général. Maire de Blot-l'Eglise. G eo rg es C o llin e t C o lette D a rfe u ll. — Au Pli de la La publicité tfc r « Avenir • act la m alllew e inaugure M. Dour fl a uguratio Echou-Bou' grâce à Ml the qui a lain«. M. Douir F ra nch e t d adm inist Meurthe Dumont, 1 région. Le ma ré chef de l ’ß datrice et Maison de M. Duint de la Meu çaise. Au chant noncés. M. m enade da est reparti R am bouille o FAITS DIVERS LE E & ironique Locale -Sp w Les avia rendant à soir à 16 b Les avia av a ie n t at heures, on direction d »l’huile, il 6 heures, t a p rè s être fu ir la zor quelle ils Le reto y LES VIELLES DE JENZAT UNE AUTOMOBILE défonce one barrière et se jette sur on train LOUISE MOUTON Le « Gr complir sa ï ’Amériqui F riedrichs au-dessus Lie aititud Le r ,r: du n 5ne d:rig( vers F f.e « Gra voyage en F riedrichs! a v a it à bo p assage rs LE CON A TE à Le 13* Co •es tra v a u . com posaien n ière jo u rn 9 h. 30, à ï ban q u et au et une rend m édailles breuses. M. Bove: Cham bre problèm e C om parant d ’une n a tit en souhait* aux meres com pensati m éritent. Un bunqt F'alais de li •ist es. LA RENTRÉE DES CLASSES Congrès Le Cong ouv ert ce I présidence d ’Etat à 1’ C hiappe, p A pres l’a! cée par M tions de M lice de Ne police de V été levée à Priso SYNDICAT ELECTRIQUE de la rive droite de la Sioule Les journ ce n tral exef de m ettre n u s dans lè dition q u ’ilj v rière ou n i r un «tra MAURICE A la Banque Nationale de Crédit FEU1LL i Le Ma Ç Aiguillée celui, en p ciclles de Y conversatio du repas, t' ticulier. Assis, sel «re, les de porté visiblj plus calme ne laissant rien devine Seule, M de cette sé quelle p a rt vent, même tanéité de Déçue da Lambert, Yi m a ria it non sim plem ent conscient d sa rivale, p MARDI 29 SEPTEMBRE 1931 L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL DERNIERE HEURE Un attentat contre le ministre inaugure la « Maison des Ailes » chinois des Affaires étrangères M. D O U M ER N an k in , 28 septembre. De nom breux étudiants, m écontents de la décision de la S.D.N. au suje t des évé nem ents de Mandchourie, ont, ce m a tin a tta q u é M. Ouang, m inistre chinois des affaires étrangères, d a n s son bu rea u du ministère. Ils l'ont frappé violemment à la tête et au corps et l'a u r a i e n t tué si les fidèles employés du m inistre ne l’avaient au ssitôt emmené d a n s une automobile. Voici des détails s u r l’a t te n ta t : M. O uang était d a n s u n b u r e a u lors q u ’une bande d ’étu d ian ts envuhit le m i nistère des affaires étrangères, b r isa n t et saccageant tout. On le p r ia de p a rtir. Il refusa énergiquem ent d isa n t : « Je resterai à mon poste et po u rsu iv rai m a tâche même si je dois périr s u r place ». Et il était tranqu illem ent assis d ev a n t sa table uan d les énergum ènes firent irru p tio n an s la pièce et le frapp èrent avec tout ce qui leur tom ba sous la main. Il eut bien tôt la moitié du corps et la tête tout en sang. 11 a u r a i t ce rtainem ent succombé sa n s le courage de son personnel qui, pé n é t r a n t d a n s son bu rea u p a r la fenêtre, ap rès une lutte violente avec ses ag re s seurs, p a rv in re n t à l ’a r r a c h e r de leurs m ains. Ils l’em portèrent, en p a s s a n t p a r la fenêtre, d a n s une automobile qui le r a m e n a à son domicile. Syrie, 28 septembre. On n ’éprouve pas de crainte im m édiate Les av ia te u rs Goulette et Sahel, qui se r e n d a n t à M ad ag a sca r, ont a tte r r i hier pour la vie de M. Ouang. Il a trois fortes blessures à la poitrine ainsi que de n o m soir à 16 h., à Syrte, v e n a n t de Tunis. breuses entailles et contusions à la tête, au * ♦ * corps et aux jambes. Le présiden t C hang Les av ia te u rs Goulette et Sahel, qui Kai Chek a fait en to u re r d ’un fort cordon a v a ie n t a t te r r i â Syrthe h ie r soir, à 16 de troupes le domicile du m inistre, avec heures, ont repris leur vol à 20 h. 50, en l’ordre de tirer sa n s pi'tié s u r quiconque direction d ’Assouan. P a r suite d ’une fuite te n te ra it d ’entrer. d'h uile, ils ont dO a t te r r ir ce m atin, à La p lu p a rt des ém eutiers de ce m a tin 6 heures, à Borg el Arab, près d ’Aboukir, étaient des étudiants de Chan ghaï. Une a p rè s être rem ontés vers le nord pour 2® colonne de 2.000 étu d ian ts est en route fu ir la zone désertique au-dessus de la et des instru c tio n s ont été données pour quelle ils se trouvaient. faire a r r ê te r leur tr a in et les faire fouil ler p a r la troupe, a v a n t q u ’ils atteig n en t N ankin. Melun, 28 septembre. A ï. D oum er a présidé a u j o u r d ’h ui H .fa u g u ra tio n de la Maison d e s Ailes, a ■Echou-Boulains. Cette œuvre a été fondée Igràce à Mlle Suzanne Deutsch de la Meurthe qui a fait don du ch â te au de Bou* lains. , , . . . . M D oumer a été salué p a r le m a ré c h a l F ra n c h e t d ’Espérey, p réside n t d u Conseil d 'a d m in istr a tio n ; Sille Deutsch de la Meurthe ; MM. J.-L. Dumesnil, Charles D um ont, les députés et sé n a te u rs de la région. Le m a ré ch a l a souhaité la bienvenue au chef de l ’E ta t qui a complimenté la fon d atrice et tous les o r g a n isa te u rs de la Maison des Ailes. M. Dumesnil a remercié Mlle Deutsch de la Meurthe a u nom de l’av iation f r a n çaise. Au cham pagne, des toasts o n t été p ro noncés. M. Doumer, ap rès une longue p ro m e nade d a n s les b âtim ents et les ja rd in s, est r e p a rti à 16 heu re s pour P a r i s «t Rambouillet. Ol .* Sou t e et endre duel, e pro leu rai m ’en 3 LE RAID PAR1S-MADAGASCAR euve, il apparce e, pa ît du assez les ém ent 1 était élèbre parat l'ac re lui ire à Le retour du « Graf-Zeppelin » LA REBELLION DE BIRMANIE Arles, 28 septembre. T.e « Graf Zeppelin », qui vient d ’ac R ango un, 28 septembre. com plir sa deuxième liaison postale avec l ’Amérique du Sud, rejoin t sa base de Les rebelles continuent à faire preuve Friedricnsh afen. Il a été signalé ce m a tin d ’activité d a n s les parties soulevées de au-dessus d ’Arles, à G h. 20, volant à fai B irm anie. Samedi, une q u a r a n ta in e d ’en ble altitude. tre eux se sont em parés, p a r surprise, d'u n village, e m p o rtan t les fusils et les Lyon, 28 septembre. Le « Graf Zeppelin » a quitté la vallée m un itio n s des sentinelles. Vendredi, une du Rhône en raison du brouillard et se douzaine de rebelles ont a tta q u é une villa isolee d a n s la forêt. d ir ig e v ers Genève. A la suite d ’u n i attaq u e de la gare de F rie d rich sh a fe n , 28 septembre. P adigon p a r les rebelles, jeudi dernier, Le « Graf Zeppelin », de re to u r de son trois détachem ents de policiers envoyés a voyage en Amérique du Sud, a a tte r r i à leu r poursuite les ont rejoints d a n s u n F rie d rich sh a fe n à 11 h. 40. Le dirigeable m on astère où ils s ’étaient réunis. 17 hom a v a it à bord, outre son équipage, sept mes, p a rm i lesquels se tr o u v a ie n t deux p a s sa g e rs et 170 kilos de c o u rrie r postal. prêtres, ont été arrêté s, m a is 15 des re belles on t pu s ’enfuir en e m m en a n t deux canons. s l’as une a rd . un LE CONGRES DE LA NATALITE A TERMINÉ SES TRAVAUX ivielde d u it écojolie je ». otre é la üonsant Grenoble, 28 septembre. Le 13* Congrès de la n a ta lité a term iné •es trav a u x . Trois cérémonies principales com posaient le p ro g ra m m e de cette der n iè re iournée : une réunion le m a tin , à 9 h. 30, à la Cham bre de commerce ; un b a n q u e t au P ala is de la Houille blanche, et une remise solennelle de décorations et m édailles a u x m ères de familles no m breuses. M. Boverat a présidé la réunion à la Cham bre de commerce. 11 a abordé le problèm e d ’une politique de natalité. C o m p a ra n t nos efforts législatifs avec ceux d ’une nation arnie, l'Italie, il a term iné e n so u h a ita n t de voir la F rance do n n er aux m eres de familles nom breuses les c om pensations et les allocations q u ’elles m éritent. Un banquet de 600 couverts a réuni au P a la is de la Houille blanche les congres sistes. t. Icomune vait ent. son pour son . Et révu nm e qui que, une, i de se r ineEt C Congrès international de policiers viel- Une désespérée se noie dans le lac du Parc de la Tête d’Or Lyon, 28 septembre. Hier soir, d a n s des circonstances assez m ystérieuses, M. Claude P a r re l, 28 ans, cu ltivateur à Soucieu-en-Jarrez (Rhône), et Mlle Simone P a r r a u d , 17 ans, qui lon geaient la berge du lac du p arc de la Tête d ’Or. étaient tombés à l ’eau. Le je u ne homme était p arve nu â r eg a g n er la berge, ruais la jeune fille s'éta it noyée et on avait repêché son corps p a r 0 m. 80 de fond. Interrogé, le rescapé n ’ava it pu r a conter d ’une façon explicite ce qui s ’était, passé et le com missaire, j u s q u ’à plus a m ple inform é, l’ava it g a rd é à sa disposi tion. Questionné a u j o u r d ’hui, M. Claude P a rre l a expliqué q u ’il était venu à Lyon pou r signifier à la je une fille que son père s ’opposait à leur m ariage. Celle-ci, déses pérée, s ’était jetée à l’eau en l ’e n t r a în a n t avec elle. Ces d éc la ra tio n s ont été confir mées par son père. M. P a r r e l a été ce soir rem is en liberté. t ne J E U N E S B A N D IT S P aris, 28 septembre. Le Congrès de police in te rn atio n a le s’est Aix-en-Provence, 28 septembre. o u v e r t ce m a tin à la Sorbonne, sous la présidence de M. Cathala, sous-secrétaire Un groupe de jeunes gens q u ’on so u p d ’E ta t à l’In térie u r, en présence de M. çonne d ’être les mêmes qui ont attaqué, Chiappe, préfet de police. samedi soir, plusieurs m ilitaires, ont a s Apres l ’allocution de bienvenue p r o n o n sailli, la n u it dernière, M. .Mas, m é ca n i cée p a r M. C a th a la et diverses in te rven cien, au m om ent où il tra v e rs a it la place tions de M. John A. Leach, préfet de po de la Rotonde. Relevé inanim é, M. Mas lice de New-York, et du d irec teu r de la a été tr a n s p o r té à son domicile ; il est police de Vienne, cette première séance a grièvem ent blessé à la tête. é t é levée à midi. insbon osivec 'ement, ehe coruis>us re dis veligts Prisonniers politiques russes remis en liberté T allinn, 28 septembre. Les jo u r n a u x a n n o n c e n t que le Comité c e n tra l exécutif de l ’U. R. S. S. a décidé de m e ttre en liberté 500 prisonn iers déte n u s dans les p riso ns de Moscou, à la con dition q u ’ils soient utiles à la classe ou vrière ou q u ’ils soient capables de fo u r n i r un tr a v a il profitable. F EU ILLETO N de L ’A V E N I R (9) Le Maître de la Moisson Par DÉOLS U Marseille, 28 septembre. Le paquebot «< M aréchal Lyautey », de la Com pagnie P aquet, faisa n t route s u r Marseille, vient de sig n a le r p a r radio q u ’il a rencontré à 18 nulles au sud-est de B a r celone un brick-goélette d 'a p p a re n c e es pagnole chaviré, toutes voiles dessus, et qui constftue un obstacle très dangereux p our la navigation. jeune e<t m oins a ttr a y a n te , au jeu, q u ’en am our. Revanche comme une au tre , mais n ’ex clu a n t en rien d a n s la pensée secrète de Violette, celle que Jui p erm e tta ien t d'es compter, p o u r l’avenir, ses forces encore intactes d 'in tré p id e et résolue sportwoman. IV Venu en flâna nt, à Villefranche, ce m a tin-là. lentem ent, le m a jo r S a u r in g r a v is Aiguillée s u r les événements du jour, et sait la pente rocailleuse qui, de ram pe s celui, en p articu lie r des fiançailles offi en ram p e s, d ’escaliers en escaliers, a b o u cielles de Violettfe et de F reddy W a rt, la tit à la place de l’Octroi. Plongé d a n s une rêverie profonde, à co n v e rsatio n générale exclut j u s q u ’à la fin du repas, toute possibilité d'entretien p a r peine prenait-il g ard e à ce qui ^e p assait a u t o u r de lui, préoccupé, depuis le m atch ticulier. Assis, selon l ’usage, l’un près de a u Eveling-Lambert, q u ’était son esprit, de tr e , les deux fiancés étaient, lui, t r a n s celle qui, à son indicible s u rp rise n u a n porté visiblem ent ou troisième ciel, elle, cée de secret m alaise, en qui s ’in c a r n a it plus calm e, trèâ m aîtresse d ’elle-même] la p erso n n a lité de l ’écrivain d u livre ne la issa n t sous l’énigm e de son sourire, « Nos M aîtres ». Si, d é b a rq u an t, le mois précédent, à rien deviner de ses intimes sentiments. Seule, Mme OrtlrfsT'n ’était point uupe Villefranche, Michel s ’a tte n d a it à quelque d e cette sérénité ap p a ren te , s a c h a n t l.ien chose, ce n ’était certes point à cette coïn cidence à tout le moins épineuse d ’y re n quelle p a r t de désillusion, déterm ine sou vent, même à notre p ropre insu, a spon co n tre r l’a u t e u r de cet ouv rag e à la lois de talen t de p arti-pris que lui a v a it lais ta n éité de nos actes. Déçue d a n s son espoir de v aincre Eva sé tout loisir d ’a n a ly s e r à fond les longues L a m b e r t, Violette, je u n e fille moderne, se heures inactives de s a convalescence. m a r i a i t non p a r vocation, ni am o u r, nais D ’u n je u , so u s l’e m p ire de l ’a d m ir a tio n s im p le m e n t p a r dépit, peut-être d an s l’In te m p é ré e d 'a g a c e m e n t so u le v é e e n lu i p a r c o n s c ie n t dessein d ’éclipser s u r ce point c e tte le c tu re , il a v a it é la b o ré e t g lissé p a r • a riv a le , p lu s heureuse, parce que m oins m i d ’a u tr e s le ttr e s c o n fié es le m ê m e jo u r ni i E PA V E D ’UN BRICK dans la Méditerranée S E S S IO N D ’E X A M E N S pour les étrangers VICHY EN FOLIE La Reine des Braderies Questionnez Une session de l’exam en organisé pour les é tra n g e rs qui dem an d e n t l’équivalence du b ac ca la u ré at de l ’enseignem ent secon daire en vue des études u niv e rsitaire s s’ouv r ira au siège de l’Université de Clermont le m a rd i 3 novembre 1931. Le registre d ’inscription s e ra ouvert au siège de l’Académie, 3, avenue Vercingétorix, du mercredi 30 septem bre au m ercredi 14 octobre inclusivement. Ces dim anche et lu n d i 4 et 5 octobre les rues de Vichy, encombrées d ’un peuple tu r bulent, retentiront de cris, d ’appels, de rires, vibreront d ’un joyeux tumulte. Gens dos villes et des com pagnes s’apprê tent déjà à s ’y rendre par tous les moyens de locomotion : cljemin de fer, carioles, a u tos, bicyclettes. Toutes les routes, toutes les voies am èneront vers la Reine des Villes d ’Eaux des foules attirées p ar ce sensation nel événem ent économique comme de« m o u ches p a r le miel. C’est q u ’e n effet nul ne vo ud ra m a n q u e r une occasion unique de faire des affaires Léon MATHOT d’or et. en même temps, de se divertir fr a n T ania FEDOR chement. joyeusement. A qui ne manque-t-il pas quelques chose T Quelle est la ménagère, le célibataiye, le p a y san, l’ouvrier qui n ’a pas besoin d ’un a rti Parlé cle de ménage, d ’habillement, de mobilier ? Et même ceux qui n ’ont besoin de rien vien français dront à Vichy les 4 et 5 octobre, sac h a n t bien q u ’ils s ’en retourneront les bras pleins. Com ment ne trouveraient-ils pas p arm i les m il lions de m arc han dise neuve, étalée su r les trottoirs et liquidée à des prix incroyables p a r plus de 4Ö0 m agasins, cent occasions de faire de bonnes affaires, occasions q u ’ils n ’o seront pas laisser éc hap pe r toutes ? On trouvera de tout su r la chaussée vlchyssoise, confection, lingerie pour hom m es et femmes, chaussures, meubles, instru m e nts (le musique, bijouterie, horlogerie, joaillerie, Nous avons le p la isir d ’inform er nos lec etc..., le tout donné, liquidé a n ’importe quel teurs que la Maison RIBEROLLES (Chaus prix et les restau ran ts serviront des repas à sures à La Botte Rouge), 27, avenue des des prix d ’avant-guerre et dans les cafés on Etats-Unis, à Clermont, offrira gracieuse- boira pour rien ! C’est donc une foule considérable qui défer ment, j u s q u ’au 7 octobre, des Billets de sur Vichy les 4 et 5 octobre et à qui les Tombola de la B raderie pour n’importe lera bradeurs. pleins d ’entrain et jo yeusem ent cos quel a ch a t effectué d u r a n t les quelques tumés, offriront leurs articles et leurs b on i jo u rs qui nous sé p a r e n t du tirage. ments Vichy s'apprête à recevoir ses in n o m Voilà un excellent moyen de g a g n e r la brables visiteurs La Reine des Villes d’Eaux leur offrira toutes ses attractions de saison : PRIMAQUATRE pour rien... T out en re c o m m a n d a n t cette Maison à théâtres, concerts, jeux, etc..., etc..., et, en nos lecteurs, nous ten o n s à la féliciter de plus, une fête foraine com m e on n ’en a j a mais vu d a ns la région. Des attractions sen ce geste de propagande. sationnelles se g rouperont place de la Répu blique et dispenseront à tous rires et ém o tions. PERDU deux chiens de chasse blancs. Dans les rues pavoisées, su r la ville entiè P ré v en ir VERNY, Nébouzat. rement décorée, su r les brad e u rs qui crieront leurs prix et leurs mots drôles, s u r les ache teurs tentés de tous côtés à la fois p a r de m a gnifiques occasions rég nera donc ce jour-là un esprit de joie sans frèin, de gaieté débridée, un peu de la douceur de vivre et de l ’insou ciance d ’avant-guerre qui renaîtro nt pour quelques heures. , Nul ne vo ud ra m a n q u e r un tel événement. On nous an n o n c e égale ment une braderie . . . T O U T E S T GAITÉ automobile ex trao rd inaire qui sera située su r la place de .I’Hôtel-de-Ville, une q uantité de PROCHAINEMENT -------voitures d ’occasions seront exposées et ven OUVERTURE dues à des prix e x tra o rd in a ire s de bon m a r ché. s 8 votre fournisseur ! Cadum Où que vous habitiez, questionnez votre four nisseur. Il vous dira que Cadum est vendu, à lui seul, presque autant que tous les autres savons de toilette réunis. Puisqu’il est partoutle premier, n'est-ce pas la preuve de sa supériorité ? Depuis des années, des militons d'hommes et de femmes le préfèrent E t parmi celles-ci, les plus exigeantes : les plus belles artistes, qui savent la valeur de la beauté. Cadum ravive délicatement le teint. Les mamans le trou vent si pur et si doux pour elles-mêmes, quelles l’emploient en toute sécurité pour leurs enfants. Son parfum est exquis et léger. Dur et durable, Cadum est extrêmement économique. Un très long séchage le débarrasse de toute trace d’humidité. Sa fabrication est si moderne, si hygié nique, qu’il n'est touché par aucune autre main que la vôtre. est parto le plus m GERGOVIA La “ Primaquatre ” de la Braderie p o u r rie n Q . AU P E T I T C A F É . . . o Pèlerinage de Notre-Dame de Buron Dimanche, 20 septembre. Duron célébrait Notre-Dame, sa douce patronne La veille au soir, illum ination grandiose, défilé des cons crits, déçoratlon des rues et de la chapelle par l'es jeun es filles, sonneries retentissan tes de la lourde cloche et de la fanfare. Au matin, le« pèlerins arrivent nom breux de Clerm ont et des villages voisins. Une large banderolle : » Soyez les bienvenus » les accueille à l’entrée du bourg. Un lourd m an tea u de brum e enserre le pittoresque vil lage, m ais la dévotion n ’en souffrira pas et. l’on com m unie avec piété à la messe m a tinale. A 10 heures, ta g r a n d ’messe est chantée p a r M. le curé de P aren t, A l'Evangile, Mgr Chaumont, qui préside la fête, explique en un tou chan t la n g ag e pourquoi Notre-Dame volt les foules se presser au pied de ses autels. Les chants sont exécutés avec goût par les 6éminarlstes présents, les ch antres et les chanteuses de la paroisse et. des pèlerins à la voix harm onieuse. La messe s'achève. La procession traditionnelle commence. Les ri ches b annières se déploient, on prie, on chante avec entrain et confiance. La g r a cieuse etaîue de Notre-Dame de Buron. por tée par les jeunes filles, encadrée par les conscrits, suit le dédale des rues. De loin en loin des banderolles voyantes se d éta chent : « Augmentez notre foi », « Bénissez nos champe «... Sur la place une courte s t a tion. qui permet au célébrant, dans un geste symbolique, les reliques â la m ain, de bénir les maisons, les champs, les ruines im po santes du château féodal, l’horizon qui s'é tend à perte de vue. Minute im p ressionnante où tous les fronts s'inclinent avec respect. Le soir, à 4 heures, vêpres solennelles. L'assistance n ’a point faibl/1 et déborde le sanctuaire. Un généreux bienfaiteur a fait don â la chapelle d'un gracieux petit g rou pe représentant la Sainte Famille Avant de le bénir, Mgr Chaurnont en tire la plus c h a r m ante leçon à l’adreese de la foule pieuse. Le salut term ine la soirée. M le curé re mercie avec c h ale ur le* assistants, le pré dicateur, les sém inaristes, les chantres, les chanteuses, les bienfaiteur«, les d écorateurs de la petite chapc-He, et récite une dernière invocation a Notre-Dame de Buron. De m ém oire d'h om m e, Buron n 'a v a it vu si nombreuse assistance ni p lus belle déco ration. P ropos d ’un pèlerin : « Très belle iournée. m alh eureu sem ent trop courte ! » Nous voulons que l'an prochain ce soit en core plus beau et nous invitons les pèlerins â revenir plus nom breux. Si vous souffrez de rhumatismes rappelez-vous que, toujours bien tolérée par l’estom ac, L ’A S P i R i N E BAYER aspira la m al, supprim a la doulaur IMPRIMERIE? OE L’ a AVENIR li tO IIE C m CENTRAL par ch au d ière ou par cu isin ière vous d on nera toute sa tisfa c tio n , s ’il est étu dié par les in g én ieu rs et exécu tés par les sp é cia listes de la S . A. REUGE F a u c a p it a l de 1.200.000 f r a n c s 200, av. d’Aubière, à CLERMONT-Fd DEVIS GRATUIT SUR DEMANDE AVIS E T C O NVO CATIO NS Société d ’H ortleultur» «t d» V iticu ltu re du P u ydc-D ém c. - Le b u r e a u p rie les m e m b re s d e la so cié té d a s s is te r, e n p lu s g r a n d n o m b re p o ssible, a u x o b s e iu e s de n o tre re g r e tté s o c ié ta ire M. A r n a u d A n to in e . R é u n io n m a is o n m o rtn n lre . 50, ru e d e la T re ille , m e rc re d i 30 s e p te m b re , à 7 It. 4.V D A N S L E S SY N D IC A T S S y n d ic a t p ro fe ssio n n e l des Chem inot». — I.a r é u n io n m e n su e lle de r e n tr é e a u r a lie u m e rc re d i 30 se p te m b re p ro c h a in à 18 h. Ib é la P e rm a n e n c e . 43, ru e de C h a te a u dut» La p ré s e n te tie n d r a lie u de c o n v o c a tio n In d iv i d u e lle P r le r o I n s ta n te a to u s nos adhérents d ’ê tre p ré sen ts. ETAT CIVIL DE CLERMONT-FERRAND du 28 septembre Naissances. — L a p o n e Germaine. — La porte Guy-André. — Baspeyrut MichelineJeanne — T a ria n t Franck-âves. — Vasson Pierro-Henri. — Monerou Georgette-Einilienpe. -- B erirand Anne-Marie-Thêrèse. Décès. — Dravert Jean-üaptiste, retraité d» la Compagnie P.-L.-M., (39 ans, 140, rue Ana tole-France — Gnlvagnon Marcelle. 11 ans. — A rnaud Antoine, retruité de la ville, 68 ans, 29, rue de la Treille. — P om m ier Louis, limonadier, 74 ans, 4, place de l'Hôtel-deVi Ho. — Lavigne Marie-Jeunne, épouse Mun det, 35 ans. — Milson Alfred, m an œ uv re, 20 ans. — P ach eu Jules-Paul-Louis-.Marc, ouvrier d'usine, 64 ans. 2 S avon C adum EMBLÈME DE PURETÉ T AVIS D’OBSEQUES Mme veuve Antoine ARNAUD ; M. et Mme ARNAUD-VERDIER et leurs enfants ; M. et Mme ARNAUD-HAUSSINAGUE ; M. Maurice ARNAUD ; M. et Mme ARNAUD-BELLAT ot le urs enfants ; Mme veuve DF.BORD-ARNAUD et ses enfants, on t la douleur de vous faire p a rt de la perte cruelle q u ’ils vienn ent d'ép ro uv er en lu personne de OFFICE DE QUARANTAINE Mme et M. BEAL-COHENDY et leurs en fants ; les familles 1’ELIS.SIER-CHAPUT, CÛHENDY, DOURDOUILLE. VALLEIX, SERGEAT. DOREYRE, FAUGERAS et MONTEL* prient leurs am is et connaissances de bien vouloir assister à l'office de q u a ra n ta in e do Monsieur Antoine A R N A U D Née Antoinette CHAPUT Qui sera célébré demain mercredi 30 sep» tembae, en l'église de MONTFERRAND, à neuf neures trente. Retraité de la ville de Clermont L eu r époux, père, beau-père, grand-père, frère, oncle et parent, pieusement décéaé le 28 septembre, auris sa 69® année, inuni de» Sacrem ents de l’Eglise. Et vous p rient de bien vouloir assister aux obsèques qui au ro n t lieu demain mercredi, a huit heures, en l'église Saint-Genès-les-Cartries. Réunion m aison m ortuaire, 29, rue de la Treille, à 7 h. 45. L’inh u m atio n a u ra lieu le mêm e jo u r à JOZERAND, vers 10 heures. “ ■ ■ ■ H K J tiM d a ii M. Jean Baptiste D R A V E R T Retraité de la Compagnie P.-L.-M. Leur époux, père, beau-père, grand-père, frère, neveu et cousin, décédé à ClermontF errand le 28 septembre 1931, ù l’âge de 70 ans. Et vous prient d ’ussister aux obsèques qui auront lieu demain mercredi 30 septembre, à dix heures, en l'église Suint-Juseph. Réunion maison m ortuaire, 140, rue Anatole-France, à 9 h. 45. et sa sécurité ; l’éloignem ent présum é de l'a u te u r de « Nos Maîtres », à l'é g a rd de ce sexe, objet si l’on en croyait le livre p r é nommé, de son évidente mésestime. Ainsi, tro u v a it brisé d a n s s a fieur. le rêve d 'a m o u r encore à i'étot nébuleux, caressé secrètem ent p a r le médecin m ilita ire et q u ’a v a it fait éclore à son insu, le tr o u blant p arfu m d'énigme qu edégageait, en outre de son charm e, la personnalité si étra ng em e n t a ttr a y a n t e de la je une et bel le ». au th o re ss ». Non, v raim ent, le m a jo r ne se recon n aissait plus, lui si pondéré, et m a ître o r d in a ire m e n t de lui-même, de se se ntir ainsi ner.veux, disposé pou r une rien à broyer du noir. Toute indiquée, en ce cas, s ’im posait, plus vite q u ’il ne l’av a it pensé, la diversion d ’un voyage, d ’une cure de Plusieurs mois en m ontagne, remède clas sique et souvent efficace à cette r u p tu re d ’équilibre bien connue en médecine sous le nom de neurasthénie. Se m u n ir d’un in d ic a te u r de chem in de fer, fut en conséquence de cette dé te rm i nation, le pre m ie r soin, en a r r i v a n t ce jour-lù à Villefranche, du médecin mili taire. Rapides de jo u r et de nuit, r en d e n t fa ciles à n o tre époque les com m unications avec les mille et une stations balnéaires, offertes s u r toute la surface d u globe à la diversité de nos m aux. R e s ta u ra n ts et wagons-lits a s s u re n t aux voyageurs, avec le choix de l ’heure, tout t Madame veuve C O H E N D Y OFFICE ANNIVERSAIRE A DURTOL Mlle Claire GODELON et sa famille p rien t leurs am is et connaissances de bien voulotl. assister à l’office an niv ersa ire de Monsieur Maurice GO DELO N Qui sera célébré demain mercredi 30 sep tembre, à neuf heures trente, en l ’église de DURTOL. AVIS D'OBSEQUES A CUNLHAT M. Henri MANDET ; Mme veuve LAVIGNE, à Saint-Dier; M et Mme MANDET, à Cunlhat; Mlle LAVIGNE, à Saint-Dier; les familles LA VIGNE, MANDET, FERRY, BERODY, PRAT, FONLUPT, CNOS et TEHROLLE, ont la dou le u r de vous faire p a rt de la perte cruelle qu ’ils vien nen t d ’é prouver en la personne de OFFICE ANNIVERSAIRE Le Docteur et Mme Emile PAPON ; Mme et M. Léon PAPON et leur fille Micheline ; Mme et M. RAMBAULT-PAPON ; Mme et M. NEBOUT-PAPON. prient leurs am is et connais sances de vouloir bien assister à l ’office a n niversaire de Madame Henri M A N D E T Madame veuve Michel PAPO N Leur épouse, fille, belle-fille, sœ ur, nièce et cousine décédée à la clinique Saint-Dominique, le 28 septembre 1931, à l ’âge de 25 ans. Et vous p rien t d ’assister a u x obsèques qui au ro n t lien demain mercredi 30 septembre, à neuf heures, en l ’église de CUNLHAT. AVIS D’OBSEQUES A LOUBEYRAT M. et Mme LEYRIT-TAMISIER et leurs e n fants ; Mlle Marguerite EYDIF.UX ; les fam il les LÉYRIT et EYDIEUX, ont la do uleur de vous faire part de la perte cruelle q u ’ils vien n ent d ’épro uv er en la personne de Madame veuve L E Y R IT Née Marie EYDIEUX Leur mère, g r a n d ’mère, s œ u r et parente, pieusem ent décédée le 28 septembre da ns sa 85® année. Les obsèques a u ro n t lieu en l ’église de LOUBEYRAT, demain mercredi 30 septembre, à dix heures. Priez pour elle I AVIS D’OBSEQUES A PESSAT-VILLENEUVE M. Emile ROBIN et son fils Roger ; M. et Mme BOCHE-RAVEL; M. et Mme BOCHECERET et leu r fils ; Mlle Hélène BOCHE ; M. et Mme BOCHE-GRAND et leur fils ; Mme veuve ROBIN-ROCHIAS et ses en fants ; M. et Mme GAILLOT-ROBIN et leurs enfants ; les familles ROBIN, BOCHE. PF.RSIGNAT et RA VEL, o nt la d ou leu r de vous faire p a rt du décès de Madame Marie ROBIN AVIS D’OBSEQUES Mme veuve DRAVERT ; M. et. Mme Louis DRAVERT ; M. et Mme E rnest DRAVERT et leurs en fan ts ; Ip s familles DRAVERT et PE R RIER. ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils v ienn ent d ’êprouver en ia personne de TUA VAUX EN TOUS GENHES à la poste l’éloquent plaidoyer, dont il ne s a v a it trop, n ’a y a n t reçu a u c u n e ré ponse, s ’il était ou non, p arve n u à son adresse. Q uestionner à cet ég a rd la jeune femme, ne serait-ce point p a ra ître vouloir donner à l ’incident plus d ’im portance q u ’il ne seyait ? Le silence de Mme Orthis, son p arti-pris visible de rester p o u r lui « l’é tran g è re » qui feint d ’avoir toujo urs igno ré votre nom. ne lui dictait-il jms, s sa lettre ava it été lue, une conduite a n a lo gue ?... x Guidé? p a r cette pensée, rien en a p p a rence n ’av a it chan gé d a n s l’a ttitu d e re m plie de déférence du médecin m ilitaire à l'é g a rd de la je une pseudo-veuve, sinon le soin plus m a rq u é d'éviter rie se trouver seul av<rc elle, ce qui, en revanche, n ’était pas, a u vague m écontentem ent de Michel, le cas du peintre Delcourt. H eureux d ’en être venu, à force d ’insis tance, à ses fin3, de fixer s u r la toile les tra its pu rs de Sylviane, il n ’était, sous ce prétexte, d'occasions q u ’il ne fisse n a î tre pour se m é n ag e r a u p rè s de celle-ci, ig n o ran te ju s q u ’ici de sa rép u ta tio n dou teuse, la faveur de fréquents tête-à-tête. A vertir la jeune femme a v a it été d ’a bord la pensée du m ajor. Mais quel titre, ù la réflexion, lui conférait le droit de s ’im m iscer ainsi d a n s la conduite privée de la sé d u isan te veuve ? R ongeant son frein, il s ’était tu, r a s s u ré p a r ce qui faisait à la fois son to u rm e n t Un savon très dur9 £r utilise jusqu’à la * dernière parcelle Née BOCHE Leur épouse, mère, fille, sœ ur, tan te et p a rente, pieusem ent décédée dans sa 32« année. Et vous prient de bien vouloir assister a u x obsèques qui a u ro n t lieu demain mercredi, à dix heures trente (heure légale), à PESSATVILLENEUVE. OFFICE ANNIVERSAIRE A SAINT-GERVAIS-D’AUVERCNE Vous êtes priés d'assister à l ’office a n n i v ersaire de Née Anne-Marie LADEVIE Qui sera célébré en l’église des M in im es demain mercredi 30 septembre, à neuf heures. OFFICE ANNIVERSAIRE Mme veuve Jean ne COIJRNOL ; M. et Mm« Antoine COURNOL, à Orcet ; Mme BOU CHAI DY et ses enfants au Mont-Dore ; M. et Mme MOLIMARD et leurs enfants, à P a ris ; M. et Mme CHAS-SAGNY et leurs enfants, à Riom ; M. Joseph BUFFET et ses enfants, a u C e n d re ; M. et Mme TIMBAUD, à V ichy ; M. et Mme VERDIEH et leur fille, à Vichy ; M. Roger MIOCHE, avocat ù P a ris ; M. Antonin GENDRE, prient leurs am is et connaissances de vouloir bien assister à l’office anniver* saire de M. l’abbé Gaston COURNOL Qui sera célébré demain mercredi 30 Mf m tembre, à neuf heures, en la basilique NotreDame du Port. REMERCIEMENTS M et Mme CAIRE-BLANC ; Mlle Marie CAIRE et leur famille, rem ercient bien sincè rem ent toutes les personnes qui leur ont té moigné de la sym pathie à l’occasion du deu il cruel qui vient de les frapper. REMERCIEMENTS Mme Louis BACHEI.ARD, in stitu trice ho n oraire ; Mme et M. AUGE, employé a u P.L.-M. ; M. René AUGE et toute la fam ille, re mercient bien sincèrem ent toutes les person nes qui leur ont témoigné de la sym pathie à l’occasion du deuil cruel qui vient de le* frap pe r en la personne de Monsieur Louis BACHELARD REMERCIEMENTS Mme veuve GOURMELON ; M. et Mme René GOURMEl.ON et toute la famille, rem ercient bien sin cèrem ent toutes les personnes qui le ur ont témoigné de la sym pathie à l'occa» sion du deuil cruel qui vient de les frapper. Ancien Curé-Doyen de Saint-Gervais Qui sera célébré à SAINT-GERVAIS-D’AU* VERGNE. demain mercredi 30 septembre, a dix heures trente. De la part de M. le Curé de Saint-Gervais- RIOM. — REMERCIEMENTS Madame et Monsieur Octave FROMENT, leur fille et toute la famille, rem ercient bien sincèrem ent toutes les personnes qui leu r o n t témoigné tant de sym pathie à l'occasion du deuil cruel qui les a frappés en la perso n n e de leur ch er p e u t RENE. le confort désirable : salons de le ctures et de jeux... ap pareils de T .S F . .. et au tre s modernes passe-temps, vulgarisés peu a peu p a r notre siècle d’incessant progrès. R enseignem ent pris, il ne resta it à Mi chel q u ’à se pu rv o ir d ’un ca rnet de circu lation q u ’il glissa d a n s son portefeuille, .«’in te rd isa n t ainsi à lui-même toute vel léité d an g e reu se p o u r son repos de r eto u r en arrière. Frôlé de près p a r les rails du tr a m w a y , le tro tto ir qu ’il suivait à pied, lentem ent, n ’offre guère q u ’une sécurité relative au pro m en e u r, réduit, au cas de d érap age de l’un quelconque des ca rs ou autos, en circulation s u r la route adjacente, d ’être, à son choix, écrasé sons merci, ou préci pité p a r delà le r e m p a r t d’une fragilité inquiétante, s u r les rocailles en c o n tre bas, des pentes escarpées q u ’elle su rp lo m be. S ans q u ’elle y prêtasse attention, ce pé ril mortel g u e tta it Sylviane, partie, de son côté, dès le m a tin , à la recherche de ca rtes postales inédites du vieux Villefranche. Absorbée d a n s ses réflexions, ig n o ran te du d a n g e r auquel s’expose à cet endroit le piéton, s ’il ne s’applique . strictem ent contre le para p et, l’étroitesse du passage, paisible, elle long eait la route, in soucieu se parce que d istraite, de l'approche, d e r rière elle, de deux lo urdes ra m e s de t r a m w ays Un Dieu, heureusem ent, veille su r nous. A la m in u te précise où se p ro d u it le choc inévitable qui renverse à terre b r u talem ent l’im prudente, une m ain fo rte la saisit et vivement la retire en a r r iè r e , l’obligeant à s'appuy er, évanouie à d e m i, contre le p arapet, ta n d is que p a ss e e n trombe, d an s un fracas asso u rd issa n t d* chaînes et d ’essieux, le lourd convoi, c a u se accidentelle de ce d r a m a tiq u e Jeu da scène. — Remettez-vous, Madame, ce n ’est rien m ais vous l’avez éc h a p p é belle, fit alors, étranglée p a r l’émotion une voix familiè re, celle du m a jo r S au rin . Arrivé juste à point, à la h a u t e u r de la place, d’un bond, voyant le d a n g e r c o * ru p a r lu jeune femme, il s'était élan c é, sa u v a n t ainsi d ’une m ort affreuse cent q u ’à cette m inute précise, il projetait m en talem ent de fuir. Toute étourdie, sa c h a n t à peine c« q* l lui arriv ait, Sylviane, muette d abord 4a saisissem ent, ne t a r d a gu ère à rep ren d re toute s a lucidité. — Vous m ’uvez sauvé la vie, M ajoi; m urm ura-t-eile enfin faiblement... C o ^ m ent assez vous remercier... J'eu sse 4t|u sa n s vous, sû re m e n t écrasée... Un petit m a lh eu r, en somme, ajoutu-t-elle, •'effor çant de sourire, nul, en ce m o n d e, qu* j* sache, n ’a y a n t souci de m a p récieuse port sonne. , — Ne parlez pas ainsi, M adam e, c’MÉ mal, protesta avec véhémence, Michel, bo*> M. l’abbé François B O N N E F O N T d’Auvergne._______________________________ L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL O1 VLA SAISON I VICHY Concert à 15 tv 30 p a r l 'H a r m o n i e M un ici p a le au k ;o sq u e d u s q u a r e de l'H ô p ita l. m * * AU GRAND CASINO A 20 h. 30 très précises, a u t h é â t r e : L 'A v e n t u r i è r e , pièce e n 4 a ctes e n v e rs d 'E m ile Augler, q u t s e r a In te r p r é té e p a r la g r a n d e a r t i s t e Mme Cécile C o m é d ie - F ra n ç a is e . Sorel, s o c iétaire de la • * DEMAIN Clôture de la s a i s o n l y r iq u e : Coppélia, ballet en 2 a c t e s de Léo Delibes. Paillasse, d r a m e l y r i q u e e n 2 a c t e s d e Léoncavallo. Variété* c h o ré g ra p h iq u e s , su ite de d a n s e s a v e c Mlle L. Baldi. # * S a l o n s d e le c tu re e t de c o r re s p o n d a n c e . Jeu de la Boule — B a c c a r a . ELYStE-PALAOE PETIT CASINO C 'e st ce s o i r q u ’a lieu la p re m i è r e r e p r é s e n t a t i o n d u g r a n d suc c ès d ’o p é rette m o d e r n e , S o S o Nanetie, q u e les T o u r n é e s Millebert et M arcel F r a n c k n o u s p r é s e n t e n t av ec la troup t d u T h é â t r e M o g a d o r e t ses a rtiste s. a la B ra sse rie, c o n c e r ts avec les r e m a r q u a bles c h a n t e u r s d ’o p é ra. j e u de lu Boule. • • CINEMAS LA RESTAURATION. — Le T e m p s des Ce rises. VICHY-CINE, 13. r u e de P a r i s . — L 'A ig lon , d ' a p r è s la célèbre pièce d ’E d m o n d R o sta n d . NOVELTY-C1XEMA, 8, ru e J e a n -J a u r è s . — Le Bled En c o m p lé m e n t, C a r m e n Boni d a n s S c a m - pola. CINE PA TH E, F a u b o u rq . ru e Sornin. — Le • • PARC D’ENFANTS Lys du • . P rès de lu laiterie des n o u v e a u x parcs T o u s tes |o u rs, jeu x et div e rtisse m e n ts. G u ig n o l de 10 a 1/ h e u res. SPORTING-CLUB DE VICHY COMPETITION DE COUP 2? se p t e m b r e CONCOURS AU DRAPEAU P r i x o f fe r t p a r M. A. de F i g u e ir e d o Mlle M G erm ot, à 50 cent, du t r o u d u 17. M. A. de R o n s e r a y à 1 m è t r e du 17« trou . Capt. P a w e ll s u r le g r e e n 17. S u r 10 j o u e u r s . Mlle M. G e rm ot g a g n e le prix. — ---------------------------- INSTITUT INTERNATIONAL de Sténographie Duployé Voici le p a l m a r è s d e s é p r e u v e s g é n é ra le s q u i o n t eu lieu d a n s to u te la F r a n c e , e n j u i l let d e r n ie r , c o n c e r n a n t le« e x a m e n s q u i o n t e u heu à C lerm ont-Ferrand, o rganisés p ar l'A ssocia tion s t é n o g r a p l n q u e ü u p l o y e n n e de C lerm ont-Ferrand. S té n o g ra p tiie . — E p r e u v e s de vitesse : 1-> m o t s p a r m i n u t e : Mlles B r u n e i M a rie, Séger a l J e a n n e , KeLler O lga 110 m o ts p a r m i n u t e : Mlles Bê G e r m a in e , B e r t r a n d M.-L., G allo Rose, C h a d e l a s Hélène, G a u t i e r Irène . Vialette M .-L, B o n n y M a rthe. 100 m o ts p a r m i n u t e : M. L ac roix Je a n . 90 mot« p a r m i n u t e : Mlles M alfériol An d r é e , G tbert A n to inette ; MM. A d m ira i An t o in e , G e l a i r e René, Cellier H e n r i, D a e m s MA 80 m o ts p a r m i n u t e : Mlle V a l a r c h e r M.-L. 70 m o ts p a r m in u t e : MM. M a z a u d i e r R a y m o n d , Bœuf R a y m o n d ; Mlles Fa u Andrée. B l a n c S im o n e , F e n o u l F e r n a n d e , G ascou A drienne 60 m o ts p a r m i n u t e : Mlles L a b u s siè r e O de tte , Michel Aim ée. Vidal M aria, G e nestie r S u z a n n e , S i m o n Renée. 50 m o ts p a r m i n u t e : Mlle F a u r e MarteT h é r è s e ; M. Aubin P a u l . Degré th é o r i q u e (th èm e et v ersio n) : Mme Bellot M a r g u e r ite D a ctv lo g r a p h ie . — Degré s u p é r i e u r : Mlle Ca r r t a s Louise, L a b u s s i è r e Odette. Degré m o y e n : Mlles Ré, G. Gallo, R. Séger a l , J. C ha d elas. II. B e r tr a n d , M.-L. L acure. Degré é lé m e n t a i r e : Mlles B lanc S , Besse G., Q u a l n o n , M C hapelle. M. B ru ne i. M Vtalelte, M.-L R ic h a rd , J. G a u th ie r, Ir B e r tra n d , Adr. Baffeleuf, V. Boudot, Yv. M alfériol. A. G a m e s , M.-T Issalie, Odette Gibert, M -A. R a o n , B e rthe B o n n y , M. M ayet, H. Keller, O. L a n d le r. G. F a u , A. S im o n , R. Goy, M. Béa), A. G a rret. Degré s c o laire : Mlles F e n o u l F., C h a rdon n e t A .-M , F a u r e M -T., Mme Reliât ; MM. V id a l M , B œ uf A.. Aubin P.; Mme M a m et ; MM. G ascou Ad., G e n es tie r S., A dm irai A., P o n s a r d R., M a z a u d i e r IL, V a l a rc h e r M.-L., Beneth V , D e n g o n M , Michel A. D 'a u t r e p a rt, o n t été j u g é e s dign?6 de r e c e v o i r le • C e rtifica t d ’é tu d e s c o m m e rc i a l e s • ( s té n o - d a c ty lo g r a p h ie . c o m p ta b ilité , ré d a c tio n c o m m e rc i a l e , calcul ra p id e , a r i t h m é t i q u e cornm e r c ia t e ) , les c a n d i d a t e s d o n t les n o m s s u i vent : Miles B e r tra n d M.-L., Gallo R., Goy M., Gi b e r t M.-A., R ic h a r d J.. Béai A., C h a d e la s H., H a o n B., K eller O., B ru n e ) M. leversé q u ’il était p a r cet aveu d ’une dé tresse intime, échappé, malgré elle, des lèvres décolorées de Sylvia ne. A défaut de famille, n ’avez-vous pas m a in te n a n t des am is : Miss EveJing, les Dupuy-Lnrronde. moi-même, qui ne pren d raie n t point si a i sé m en t qu'il vous plait de le croire, le ur p a rti de votre perte. Vibrante de sincérité, cette assu ra n ce dans une telle bouche peu encline, elle le sa v ait à déguiâr sa pensée, toucha jusqu’au vif l ’être ébranlé de la jeune fem me. — Que vous êtes bon, Major, merci, je n'oublierai pas cette parole, fit-elle avec une émotion que tr a h issa it le trem blement de sa, vcix. C’est si triste de n ’avoir au m onde Aine qui vive s u r qui reporter la eoif de tendresse que n ’étanche guère la •tériJe sympathie, souvent entachée de snobisme, des b an a ls a d m ir a te u rs sans juge m ent ni portée de mon pauvre talent d ’écrivain. Un seul, ajouta-t-elle, levant s u r lui ses D ru luutées, où brillait à trav e rs les pleurs, une lueur furtive de malice, a m o n tré plus de franchise et n ’a pas cra in t de me dire tout net ce q u ’il pensait du liv r t, tombé bien p a r h a s a r d entre ses BSftins, de l ’a u t e u r de *« Nos Maîtres ». -p- Dois-je com prendre, M adam s, puis q u e vous-même, abordez la question, in te rr o g e a Michel, allégé p a r cette allusion 4«s doutes, qui l ’obsédaient, que vous ne M O U LIN S EDITION DU PUY-DE-DOME BANLIEUE DE CLERMONT CHA M ALIÊRES Eooles c o m m u n a le s. — R e n tré e d e s c la ss e s . — La r e n tr é e des c la ss es a u x écoles c o m m u n a le s a u r a lie u le v e n d r e d i, 2 octobre. P a r su ite d e s t r a v a u x e n c ours, l’e n tr é e des e n f a n ts de l'école de filles se fe ra p a r l ’a v e n u e de R oya t, l ’e n tr é e de l ’école de g a r ç o n s p a r la ru e d u Pont-de -la -G ra v iè re. ♦ ♦ + --------------- mon C ollège M ichel-L ’H o sp ita l e t E cole p r im a i re s u p é rie u re . — Le p r i n c i p a l r a p p e lle a u x ram illes q u e la r e n tr e e a lieu le je u d i soir 1er o ctobre p o u r les i n t e r n e s et le v e n d r e d i 2 octo bre, à 8 h e u r e s p o u r le s e x te r n e s . MONTAICUT I m m e n s e su ccès de la n o u v e l l e re v u e / L a g r a n d e re v u e Le Chic de P aris ! p ré s e n t é e p a r M u s ic ian a -S p e cta cles avec u n lu x e de m ise e n sc è n e qui s u r p a s s e to u t ce qu on a v a i t vu j u s q u ’à ce j o u r : q u a r a n t e t a b l e a u x f a s t u e u x , 350 c o s t u m e s d’un é c l a t é b lo u iss a n t, des sk e tc h e s d ’un e irré s is tib le d r ô le r ie , to u t c o n c o u r t a u g r a n d su c c è s de ce m e rv e iU e u x a p ectao e. • • • A la B r a s s e r i e : C on c erts p e r m a n e n t s . Jeu de la Boule. • • M A R D I 29 S E P T E M B R E SA INT-ELOY -LE8-M INE8. — M ort S ubite. — D im a n c h e , M. feouilhat E m ile, proprié ta i r e d u b a z a r de l a M é n a g è re et c o q u e t i e r à S a int-E toy, s ’é ta i t r e n d u à s o n g a r a g e p o u r y p r e n d r e s a v o itu re . S a fe m m e n e le v o y a n t p a s re v e n i r, et a y a n t u n e c o in m ise io n à fa i re à sa s œ u r , q u i f a n le c o u r r i e r de S e r v a n t à Sain t-E loy , p a s s a a u g a r a g e p o u r v o ir t e qu e f a is a i t * s o n m a r i . Q ue lle n e fu t p a s s a s u r p r i s e de le t r o u v e r r â l a n t a u m il i e u d u g a r a g e ; e ll e a p p e l a a u se c o u rs , de6 v o isin s a c c o u r u r e n t e t a i d è r e n t à t r a n s p o r t e r M. S o u i l h a t chez u n e vo isine. Le d o c te u r Daum y f u t p r é v e n u en to u te h â te p o u r d o n n e r ses soin s, m a i s ce f u t in u tile, M. S o u i l h a t su c c o m b a p r e s q u e a u ssitô t à u n e e m b o l i e a u c œ u r , croit-on. Cette m o r t a c a u s é u n e p r o f o n d e é m o t i o n à S a in t-E lo y , o ù M. S o u i l h a t , â g é de 43 an«, é t a i t très estim é. N ous o ff r o n s à s a veuve, a in s i q u ’à sa j e u ne fille â g é e de 13 a n s , n o s b ie n 6 i n c è re s c o n d o lé a n c e s . A m é lio ra tio n d u se rv io e a u to b u s S a in t-E lo y C lerm o n t. — Nbus a v o n s s o u v e n t p a r l é d t s a m é l i o r a t i o n s d a n s le se rv ic e d e s t r a i n s de S a in t-E lo y à Gouttières. Ces j o u r s d e r n i e r s n o u s a v o n s a p p r i s q u e le servio e d ’a u t o b u s M o n ta ig u t- e n -C o m b r a ille« et C l e r m o n t v a ê tre c o m p l è t e m e n t r é o r g a n isé e t q u ’il o f f r i r a de s é r i e u x a v a n t a g e s a u x u s a g e rs . E n effet, il y a u r a i t , p a ra ît- il, u n s e r v i c e d i r e c t p a r t a n t de C l e r m o n t le m a l i n et a r r i v a n t à S a in t- E lo y v e r s 10 h. 15. Le s o 'r , il y a u r a i t u n d é p a r t de S a in t- E lo y et a r r i v é e à C l e r m o n t v e rs 18 h e u re s . Bien m ie u x , on e n v i s a g e d e s se rv ic e s r a pide« e t il n e f a u d r a i t q u e 2 h e u r e s e n v ir o n p o u r se r e n d r e à C lerm o u t. Des q u e cela s e r a officiel n o u s e n r e p a r lerons. PONTAUMUR GIAT. — R é u n io n d e l’A sso c ia tio n A m icale d e l’Ecole lib re . — D i m a n c h e , l'A ss o cia tio n A m icale de l ’Ecole libre a t e n u son a s s e m blée g é n é r a l e a n n u e l l e . P a r m i les a s s o c i a t i o n s q u i, n é e s de n o s écoles c a th o liq u e s , en p r o l o n g e n t l ’a c t i o n b i e n f a is a n t e et en a s s u r e n t le r e c r u t e m e n t et a u besoin l a d é fen se , l’A m tca le de G iat Compte p a r m i les m e ille u re s . Elle est un foye r v i v a n t d a p o s t o la t p a r o i s s i a l et, a p r è s c inq a n n é e s d ’e x is te n ce , a d é j à c r é é u n c in é m a et u n e so ciété de g y m n a s t i q u e q u i a s s u r e n t à l a j e u n e s s e de Giat d e s d i s t r a c t i o n s s a i n e s et m o r a l e s asse z a p p r é c ié e s p o u r s u s c i t e r q u e lq u e s j a l o u s i e s in té re s sé e s . La j o u r n é e de d i m a n c h e e u t t o u t l’a t t r a i t d ’u n e fêle de fa m ille . Elle se d é r o u l a t o u t e n tiè re d a n s l'E cole. A 10 h e u r e s , la m es se f ut célébrée, d a n s la c h a p e ll e de l ’Ecole, p a r M. l’a b b é M onn et, v i c a i re à Giat, q u i, à l'E v a n g ile , m o n t r a avec u n e é lo q u e n c e trè s p e r s u a s i v e les lie ns p r o f o n d s q u i u n i s s e n t le p a t r i o t i s m e e t la fot e t fo n t de l ’e n s e ig n e m e n t c a t h o l iq u e le m e i l l e u r a u x i l i a i r e de l’o r d r e social. , . A l’issu e de l a m es se , les a n c i e n s é lè v es a ll è re n t se r e c u e il l ir p i e u s e m e n t d e v a n t l a p la q u e p o r t a n t les n o m s d e s a n c i e n s élèves m o r ts p o u r la F r a n c e . Le « De P r o f u n d i s » fut c h a n té . L’a ssç m b lé e g é n é r a l e su iv it. M. A lex is Ribéry, p ré sid e n t, r é s u m a la vie de l’A m icale p e n d a n t l ’a n n é e . Il d o n n a d e s c h iff r e s ré c o n f o r t a n t s ; s o u l i g n a les h e u r e u x r é s u l ta t s d é jà r é a lis é s p a r le C in é m a et la Société de g y m n a s tiq u e , o r g a n is é s s o u s les a u s p i c e s de l ’Amicale, et eut u n s o u v e n i r é m u p o u r la m é m o i r e d e s a sso c iés m o r t s p e n d a n t l ’a n n é e . M. Louis Boissier, tr é s o r ie r , fit e n s u ite a d o p t e r la s i t u a t i o n f i n a n c iè r e , t r è s s a t i s f a i sa nte. L’A m icale se r e n d i t e n s u i te , en c o r tè g e a u m o n u m e n t a u x m o r ts . Une g e r b e de fle u r s fut dé po sé e e t M. l ’a b b é M o n n e t r é c ita le « De P r o f u n d i s », a u q u e l r é p o n d i t l ’a s s i s tance. A m id i, le b a n q u e t t r a d i t i o n n e l r é u n i t l’Am icale a u r é fe c to ire de l ’Ecole, t r è s a r t i s tiq u e m e n t p a r é p a r les s o in s de M. R o u b i n e t Un m e n u délicat et s u b s ta n t ie l , des p r o p o s c o n f ia n ts et j o y e u x , u n s e rv ic e a i m a b l e m e n t a tte n tif, d o n n è r e n t à cet épi«ode obligé le c h a r m e e x q u is d ’u n e r é u n i o n fa m ilia le . M M a urice Vailet, r é d a c t e u r en c h e f de « l ’A v e n ir du P l a t e a u C e n tr a l », p r é s i d a i t , e n to u r é de N ahrin , d i r e c t e u r de l’Ecole • M l ’ab bé Monet. v i c a i r e ; M. R ib éry , p r é s i d e n t de l ’A m icale ; les F r è r e s H a r i o lf et H i l a i r e • M. l ’abb é D evedeix, c u ré - d o y e n de Crocq (Creuse) ; M. l ’ab b é R ré c h a r d , c u r é de RaintMerd (Creuse) ; M. S m a n d o n p è re, d é lé g u é d ’Ussel ; MM. Jo s ep h Rob ert, X a v i e r G oubly Rou binet, C h a z a u d , C h a rle s Rob ert, L u cien Boissier, d o c te u r Roches, etc... Au c h a m p a g n e , M. R ib éry s o u h a i t a en t e r m e s d é lic a ts la b i e n v e n u e à l’A m ica le e t à ses hôte« et r a p p e l a les lie ns qu i u n i s s a i e n t les a n c i e n s élè ves à l e u r Ecole et à ses m a î tres. M N a b r in p a r l a a vec l’a u to r i t é p a te r n e l l e qu e lui c o n f è r e n t ses 36 a n s de d é v o u e m e n t e n v e r s la je u n e s s e de Giat. Il é v o q u a la m é m o ir e de s m o r ts avec é m o tio n et d o n n a a u x v i v a n t s de« c o n se ils p l e i n s de d é lic a te s se et de bonté. M. l’abbé D e b o rd dit, c o m m e p a s t e u r , la joie q u e lui c a u s a i t la p r é s e n c e d a n s s a p a ro isse de l ’Ecole où la j e u n e s s e de G ia t t r o u va it la solide f o r m a t i o n m o r a l e e t re lig ie u s e qui en fa is a i t u n v i v a n t fo y e r de c a t h o l ic is me a g is s a n t. Le F r è r e H ilaire s’a s s c o ia à ces h o m m a g e s a f fe c tu e u x à l ’A m icale et à l’Ecole. Il d e m a n d a q u ’on n 'o n n ’o u b l i â t p o i n t q u ’il ne s a u r a i t su b s is te r d ’école s a n s m a î t r e s , et a p me gardez pas ran c une de vous avoir a i n si, sans ambages, exprimé mon sentiment. Bien des cas, croyez-le, d a n s m a c a r r iè re de Major, p o u rra ie n t en illustrer les motifs, jsi ne m ’obligeait a u silence l’im périeux devoir du secret professionnel. Les a y a n t alors sous les yeux, Pouvaisje, sans protester, me r a n g e r à u ne thè se q u ’infirm aient tous les jo urs de si m u l tiples preuves d ’une réalité toute c o n tra i re. — Inutile d ’insister, Major, vous p rê chez un e convertie, se h â t a de dire Syl* viane, ju g e a n t m a lgré l’in o p po rtun ité du moment et du lieu l ’heure venue de s’ex pliquer loyalement. Ayant, depuis lors, beaucoup réfléchi, j ’ai reconnu mon tort ’avoir érigé en principe ce qui n’était, je le sais m a in te n an t, q u ’une triste, la m e n ta ble exception, conelut-elle avec une tris tesse plus expressive, en l ’occurence, que Les paroles elles-m^mes. Ainsi, Michel ne s ’v était pas trompé. S u r cette âm e close, a o n t lui dem eu raie n t scellées, m algré cette demi-confidence, les mystérieuses profondeurs, une tourm ente a v a it passé... l’une quelconque de ces t r a gédies obscures, que, sa n s en rien soup çonner. côtoie journellem ent notre égoïste indifférence. Quelle sorte de d ram e ?... ou de tempê te ?... sa n s doute l’ignorerait-il toujours psychologue t -op averti pour se flatter de [’illusion, même aprè s ce qui venait de se pela de ses v œ u x les v o c a tio n s q u i p e rm e t t r o n t à l ’e n s e i g n e m e n t libre d ’a s s u r e r «on r e c r u t e m e n t et sa d u ré e. M. M a u r ic e V allet r e m e r c i a a vec é m o tio n l’A m icale de G ia t de l ’h o n n e u r qu'elle lui a v a i t f a it en l’a p p e l a n t à pFésider cette belle r é u n io n f r a t e r n e l l e . Il r e p o r t a cet h o n n e u r s u r le j o u r n a l qui, d e p u is 33 a n s, n ’a v a i t cessé de l u t t e r p o u r to u te s les no b les eauseß, et n o t a m m e n t p o u r la libe rté de r e n s e i g n e m e n t. A nc ien élève des F r è r e s lu i-m ê m e il a pu m e s u r e r la v a l e u r des d is c ip lin e s in te lle c tu e lle s et m o r a l e s qu e l ’Ecole de Giat d i s p e n s e à 6es élèves. E n lui s o u h a i t a n t , a i n si q u ’à l ’A m ica le q u ’elle a b r ite , u n e p r o s p é rité a c c ru e , il a c o n sc ie n c e de fo rm u le r un v œ u de bo n c a t h o l iq u e et de bo n F r a n çais. A 15 h e u r e s , u n e a t t r a y a n t e s é a n c e de ci n é m a r a s s e m b l a d a n s la n o u v e lle sa lle a m é n a g é e à l ’Ecole, ur. p u b lic n o m b r e u x et c h a r mé) Au c o u r s d ' u n e n t r ’acte, M. Maurice V alle t é v o q u a la c o m m é m o r a t i o n de la li be rté de l’e n s e ig n e m e n t p r i m a i r e fêtée --elle a n n é e p a r les c a t h o l iq u e s f r a n ç a is . Il r a p pe la l'ép iso d e de l'école o u v e r te h ors de la lég a lité en 1831 p a r M o n t a le m b e r t . Lacordaîre et de Coux ; le p r o c è s p e r d u d e v a n t la C h a m b r e d e s p a ir s , m a i s g a g n é d e v a n t Yop i n io n p u b l iq u e ; la lib erté e n fin conquise. Ce c e n t e n a i r e f u t fêté avec é c la t p a r les c n lh o liq u e s . Il é t a i t u n e r é p li q u e n C c esfiire à la c o m m é m o r a t i o n de la n a is s o n c e de Jules F e r r y et d u c i n q u a n t e n a i r e de l'enseignem e n t laïq u e . M. V a lle t m o n t r a c o m m e n t, en fait, les c é r é m o n i e s officielles, p r i s e s en c h a r ge p a r la L ig u e de l ’E n s e ig n e m e n t , le S j n d ic a t d e s I n s t i t u t e u r s e t le p a rti S.F.I.O., r e v ê t i r e n t u n se n s n e t t e m e n t a n ti c l é r i c a l et so cialiste. Ainsi l ’e n s e i g n e m e n t c a t h o l iq u e s ’offre n o n s e u l e m e n t c o m m e l ’a f f i r m a t t o n d ’u n e liber té p r i m o r d i a l e , m a i s c o m m e u n é lé m e n t Ainsi l e n s e i g n e m e n t c a t h o l iq u e s 'a ff irm e esse n tie l de ! o r d r e so cial et de la pa ix irui.çaise II fa u t le d é f e n d r e p o u r des ra is o n s à la fois religieuses et n a t i o n a l e s Mais s a li be rté n e sera v r a i m e n t e ffe c u v e que le j o u r où s e r o n t effacée« les d e r n i è r e s lois légu é es p a r le c o m b ism e . C’est p o u r cette œ u v r e de r e d r e s s e m e n t m o r a l et p o litiq u e q u e tou s les b o n s c it o y e n s d o i v e n t s ’u n i r . AMBERT C h em in p a s to ra l. — Le c h e m i n p a s t o r a l qui p e r m e t t r a de d e s s e r v i r de n o m b r e u s e s h a b i t a t i o n s d ’été de la m o n t a g n e et de faciliter l ’a cc ès d e s s o m m e t s s u r les c o m m u n e s de S a m t- A n th é m e , Valcivières, A m b ert, SaintM a r tin , G r a n d r if . e s t e n t r é d a n s la voie de l'e x é c u t i o n . En effet, l ’a d j u d i c a t i o n des t r a v a u x p o u r l’o u v e r t u r e d u t r o n ç o n de SaintA n t h ê m e à P r a b o u r é a u r a lie u le 1G octobre, à 10 h e u r e s d u m u ti n , à la m a i r i e de Saint! A n th ê m e . Le d e v is q u i e n a été fa it p o u r cette p a r t i e c o m p r e n d u n e d é p e n s e totale de 242.734 fr. 80. P iè tr e e n c o u r a g e m e n t à la p ro b ité . — 11 y a q u e lq u e s j o u r s , le j e u n e H é ritie r , d e m e u r a n t à A m b e r t, a v e n u e de L yon , l’u n des m e m b r e s d 'u n e n o m b r e u s e fa m ille , et de s i t u a t i o n m o d es te , t r o u v a u n p o rte fe u ille qui c o n te n a i t , en e sp è ce s o u en titre s, un e s o m m e d ’e n v i r o n 10.000 fra n c s. Il s ’e m p r e s s a a u s sitô t de r e m e t t r e sa t r o u v a i l l e à Ja g e n d a r m e r i e qui fu t a sse z n e u r e u s e de d é c o u v r i r le pro priétaire .S ’il n o u s est a g r é a b l e de fé liciter le Jeune H é r i t i e r de s o n bel acte, il n o u s est pénibl6 d ’a p p r e n d r e q u e la l à d r e r i e d u p r o p r i é t a i r e a été telle q u e l 'h o n n ê t e p e tit g a r ç o n n 'a reçu c o m m e ré c o m p e n s e de sa p ro b ité q u 'u n e s o m m e v é r i t a b l e m e n t d é ris o ire . G a m in e rie . — D e p u is q u e l q u e s tem ps, de n o m b r e u x p r o p r i é t a i r e s de la ville a v a i e n t a Se p l a i n d r e de fa rc e s a b s o l u m e n t d é p la cé e s o u m ê m e de d é p r é d a t i o n s c o m m i s e s a leu rs i m m e u b le s, p r é c i s é m e n t le soir, lo rs q u e per s o n n e n e p o u v a it c o n n a î t r e les a u te u r s . Une e n q u ê t e f a ite p a r la g e n d a r m e r i e p p e r m i s de d é c o u v r i r les j e u n e s g a r n e m e n t s qui n ’o n t agi q u e p a r p u r e g a m i n e r i e , et qui p o u r cette r a i s o n n e s e r o n t p a s d é f é ré s en ju stic e . M a is si les fa it s se r e n o u v e l a i e n t, o n a u r a p lu s de r a is o n de f a ir e p r e u v e à l e u r é g a r d de la m ê m e m a n s u é t u d e . Q u'ils s o ie n t donc bien a v e r tis . P u b lic a tio n s d e m a ria g e s . — G r a m rn o n t P ie r r e -B e n o ît-E tie n n e , i n d u s t r ie l à L yon, et G e n e b r i e r S im o n e - J a c q u e l i n e , do m ic ilié e à Am bert. — G o u r b e y re M a riu s, g r a i n e t i e r , et L a c h a l M a rie-A nto nia. A m icale d e s M u tilé s. — L’a ss e m b lé e g é n é r a le de l’A m ica le d ’A m b e rt a u r a lieu le d i m a n c h e 4 octobre, à 9 h e u r e s d u m a t i n , d a n s la «aile du T h é â t r e m u n i c i p a l , c o u r s des Allées. P o u r d o n n e r p l u s de p o rtée à ces i m p o r t a n t e s a s s is e s a n n u e l l e s et a u ssi p o u r r é p o n d r e a u d é s i r d ’u n i o n e n tr e to u s les A.C.. qut s ’e st m a n i f e s t é a u x C o n g rè s d e P u v -G u illa u m e et d u M ont-Dore, n o u s a u r o n s le p la isir, a p r è s n o i r e r é u n i o n a n n u e l l e , de t e n i r u n e se a n c e p l é n i è re c o m m u n e avec la Se c tion de 1TJ.N.C. d ’A m b e r t q u i a a cc ep té n o t r e in v i ta tio n . N o us a u r o n s d o n c la s a t is f a c ti o n d ’e n t e n d r e les p o rt e - p a r o le s les p lu s a u t o r i s é s des d e u x Sociétés L’U n io n F é d é r a l e s e r a r e p r é s e n t é e p a r n o tre c a m a r a d e P e n q u e r , t r é s o r i e r g é n é r a l de n o t r e A s so c ia tio n Nationale', d o n t il est la c h ev ille o u v r i è r e et m i l i t a n t c h e v r o n n é de la p r e m i è r e h e u re. La F é d é r a t i o n D é p a r t e m e n t a l e n o u s a p r o m is le c o n c o u r s d é v o u é de Mm e D elprach, la m a m a n a u g r a n d c œ u r d e h o s P u p ille s de la Nation, et la p ré s e n c e de no s c a m a r a d e s R o u x e t V a sso n, v ie u x m il i t a n t s de la F D , qu e vous c o n n a i s s e z d é jà et d o n t l'éloge n ’est p lu s à faire, n o u s e st a ssu r é e . C’est d i r e q u e n o u s n e p o u v i o n s f a ire m e il l e u r c h # ix et que n o u s a v o n s e n e u x des m i l i t a n t s a v e r t is c o n n a i s s a n t à f o n d les q u e s t io n s i n t é r e s s a n t les v ic tim e s de la g u e rre . Il s e r a a u s s i p ro c é d é a u r e n o u v e l l e m e n t du b u r e a u qui est o b lig a to ire . C h a q u e a d h é r e n t a u r a à c œ u r d ’ê tre p ré s e n t à cette i m p o r t a n t e a sse m b lé e g é n é ra le et il a c c o m p l i r a a i n s i u n d e v o ir d ’h o n n e u r en v e n a n t t é m o i g n e r s a s y m p a t h i e et «on e n ti è re c o n f ia n c e à i’œ u v r e a d m i r a b l e p o u r su i v i e p a r n o s A ssoc ia tion s. . A l 'i s s u e de la r é u n i o n a u r a lieu a n d î n e r a m i c a l à l ’h ô t e l F o n l u p t , m o y e n n a n t le p r ix de 20 fr. Se f a ir e in s c r ire , à la p e r m a n e n c e a v a n t le l«r octo bre. passer, d ’e n tre r ja m a is, s u r ce point déli cat, plus a v a n t d a n s la confiance que ve nait, si sp o n ta n ém en t, d e lui tém oigner la je u ne femme. Aussi s ’ab3tint-ll de poser la moindre question. Se r a p p e la n t seulem net q u ’il était médecin, d ’autorité, l’espace d ’une m inute, il a p p u y a son doigt s u r le fin poignet veiné de bleu do nt il s’était em paré, geste au ssi simple que le ton q u ’il eu t pour dire en conclusion de ce bref examen : — C’est bien ce que je pensais... pouls en déroute... c œ u : qui bat la chamade... les nerfs à fleur de peau. A u ta n t d ’in dices d ’un léger début de fièvre... Un bon cordial pris là. s u r le com ptoir de la p h a r macie voisine, va vous aider, Madame, a rep ren d re p rom ptem ent vos forces. San3 protester, c a r elle se s e n ta it vrai m ent lasse, Sylviane, docilement, obtem p é ra à l’injonction et, biehtôt ap rè s pén é tro it avec son sa u v e u r à l ’in té rieu r de l ’officine ou lui fu re n t versées, s u r l ’or dre de Michel, quelques gouttes d ’un elixir réconfortant. A petites gorgées lentes, elle se m it à le déguster, heureuse de se voir ainsi l’objet, elle ei peu gâtée, sous ce r a p port, d ’une aussi p rév enante sollicitude; Quelques la rm e j qu ’elle s’efforça de dissim uler perlèrent à ses yeux, déshabituée qu elle était de ces témoignages d ’intérêt m onnaie co u ra n te de l ’amitié, et l’une dé ses p lu s to uchantes m anifestations. MAR8AC-EN-LIVRADOIS. R é u n io n du S y n d io a t a g ric o le . — Le d i m a n c h e 20 se p t e m bre, à 10 h e u r e s , les a d h é r e n t s a u s y n d i c a t a g r ic o le se so nt r é u n is , à l'école de g a r ç o n s , en a es e m b ié e g é n é r a le . M. G a r r a i t , vice -p resid e nt, o u v r i t la s é a n c e . d e v a n t u n e c i n q u a n t a i n e de c u lt i v a t e u r s s e u l e m e n t . 11 dit n o t a m m e n t : * C’est sous ie c ou p d 'u n e g r a n d e p e in e , d ’un e ind ic ible d o u l e u r p e r s o n n e lle q u e je v e ux , en o u v r a n t cette s é a n ce , v o u s r a p p e l e r le décès de Jo s ep h R o ussel, n o t r e d is t in g u é p r é sid e n t. * Sa m o r t 6 e r a p r o f o n d é m e n t r e s s e n tie d a n s n o t r e s y n d i c a t q u ’H d i r ig e a i t d e p u is s a fo n d a ti o n av ec c o m p é te n c e et activité. * D é fen s eu r c o n v a i n c u d e s i n té r ê t s a g r i coles, i n te r p r è t e v i g il a n t d r le u rs r e v e n d i c a tions. il a t m a i t la vie r u r a l e , sa d o u c e u r , s a ru d e sse , et tout ce q u ’ello r e n f e r m e d 'e f f o r t s e t de p e rs é v é r a n c e . » En n o tr e n o m , m es c h e r s a m is, J’a d r e s s e à sa v e u v e et à s«6 e n f a n t s si c r u e l le m e n t f r a p p é s l ’e x p r e s s i o n de n o s c o n d o l é a n c e s é m u e s ». F o u r m i e u x c o m m é m o r e r la m é m o i r e d u r e g re tté p r é s i d e n t , u n e m i n u t e de r e c u e ille m e n t fut f i d è l e m e n t observée. Le p r é s i d e n t i n v i t a l ’a s s e m b lé e à é lire lé« m e m b r e s d u b u r e a u d o n t les f o n c ti o n s s o n t e x p iré es . li fut e n s u i te p ro c é d é à l'éle ctio n d u p r é sid e n t. A près d e u x t o u r s de voie à b u lle tin secret, M. L u r ie n P o m m e y r o l , c u l t i v a t e u r a u b o u rg , f u t é lu p r é s i d e n t d u s y n d i c a t a g r ic o le avec u n e forte m o jo r ité . M. G a r r a i t , v ice-présiden t, est élu p r é s i d e n t d ’h o n n e u r p a r a c c la m a t i o n s . MM. G r e n ie r î e a n - B a p t i s t e et M aillet L o u ts s o n t élus v ic e -p r é s id e n ts à m a i n s levées. MM C h a u ta r d et C h a u m y so n t é lus t r é s o r ie r et s e c r é t a i r e p a r a c c la m a t i o n s . Une d i s c u s s i o n s ’e n g a g e a u sujet d u t r ie u r . D’u n e açor. rigoureuse^ 11 e st dé cidé que s e u ls les s y n d i q u é s a u r a i e n t le d ro it d e s en se rv ir. D i m p o r t a n t e s a m é l i o r a t i o n s se ro n t a p p o r tées a ce t r i e u r d a n s le c o u r a n t de l’a n n é e . 11 e st e n s u i te p ro c é d é à l ’é le ctio n o u bu r e a u de la m u tu e l le a g ric o ie -a o cid en ts, q u i est le m ê m e q u e celui a u s y n d i c a t . Cette m u tu e l le p e u t f o n c ti o n n e r dès à présent. Il est p ris n o t e d e s c o m m a n d e s de s u p e r et de scories. L ’o r d r e du j o u r é t a n t é puisé, la sé a n c e est levée. S A IN T -G E R M A IV -L ’H E R M C o n trib u a b le s à v o s p o ch es. — Vous i g n o rez c e r t a i n e m e n t 1a g r a n d e n o u v e lle et qui c e p e n d a n t in té r e s s e votre p o rte - m o n n a ie . Votre tr è s v é n é r a b le et d e s in té re s s é m a ir e de S a in t- G e r r n a in -l’H e r m , v i e n t de se fa ire v oter p a r le conseil m u n ic i p a l la 6 o m m e a n n u e l l e de d e u x m ille f r a n c s , so it d i s a n t p o u r f r a i s de r e p r é s e n t a t i o n , d é je u n e r s , à o f f r i r à s é n a te u r s , d é p u té s et a u tr e s . C’est g e ntil, n ’eist-ce pa s et q u ’e n penßezv o u s h a b i t a n t s de S a i n t- G e r m a i n - l ’H e r m î • M -f- ISSO IR E JUMEAUX LA COM BELLE. — C o n c ert. — L a Société • La F a n f a r e de La Coinbelle d o n n e r a un n o u v e a u c o n c e r t le m e r c r e d i 30 c o u r a n t , à 19 h. 45, p la c e d u M a rch é , sou« la d ire c tio n de M. II. B ard. Voici ie p r o g r a m m e : 1. Ciiâtillou en fête, p a s r e d o u b lé ( A nton in Bon). 2. M a r g u e r i t e des prés, o u v e r t u r e (A. P la n e l) 3. Les b o r d s de la F u r e , f a n ta is i e (Robby) 4. Le P r é a u x Clércs, m o s a ï q u e (H é roîd). 5. Le Coq g a u lo is, m a r c h e (P. A n d r é ). E n c a s de m a u v a i s tem p s, le c o n c e r t a u r a lie u à la sa lle d u C in ém a , à S e lla m in e 6. MM. les m e m b r e s h o n o r a i r e s so n t c o r d i a l e m e n t in v ité s. ------------- T H IE R S Recherches. — Le n o m m é B a u x ou Bost J e a n , d it R ém y , né à S a i n t- J e a n - d 'H e u r s , le 30 j a n v i e r 1883, e st p r ié de se p r é s e n t e r à la M a irie (3« b u r e a u ) , p o u r a f f a i r e le c o n c e r n a n t. En c a s d ’im p o ssib ilité , lli est p r i é de fa ire c o n n a î t r e so n a d r e s s e d ’u r g e n c e . DANS m U E R Vichy e t sa Région VICHY. QUI L’EUT CRU..... Qui d o n c a u r a i t osé a f f i r m e r q u e l'id ée d ’u n e B r a d e r i e V jchyssoise o b t i e n d r a i t en si pe u de t e m p s u n su c c ès si r a p id e et si plein de p ro m e s se s, s i n o n n o u s, qui c o n n a i s s io n s l 'e n t h o u s i a s m e des c o m m e r ç a n t s V ichyssois p o u r t o u t ce q u i a f f i r m e u n e in it i a t i v e n o u velle in té re s s a n te . Déjà c h a c u n règle l ’o r g a n i s a t i o n de sa v e nte , c h e r c h e la t r o u v a ille qu i a t t i r e r a a u t o u r de son i n s t a l l a t i o n de f o r t u n e la foule d e s p a s s a n t s . Cette a c tiv ité et c e t e s p r i t d ’é m u l a t i o n n o u s font p r é s a g e r u n e belle ré u ssite. TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE CUS8ET (suite) Coitps et b lessure s réciproq ues. — Le 25 ju ille t, v e rs 11 h e u re s , u n e d i s p u t e é c l a t a i t a u et la g é r a n t e . Mine M icheline L eb œ uf, é pou se S a in t-J o n n in , â g é e de 51 a n s , a u s u j e t d ’un e q u e s tio n d ’in té rê ts . Au c o u r s de cette a lt e rc a ti o n , qui d u t être. d ’a p r è s les d é b ats, a sse z violente, les d e u x e n tà g o n i s t e s se p o r t è r e n t d e s c o u p s r é c ip ro ques. Ap-rès (plaidoiries de M« M on icat, p o u r M. Désolrmière, et de M« L av a u d , p o u r M m e S a in t- J o n n in , le t r i b u n a l c o n d a m n e Jes d eux p r é v e n u s à 16 f r a n c s d ’a m e n d e c h a c u n . P o u r la prem ière fois depuis bien des années, elle en g oûta it l’intime douceur, et s ’en éto n n ait comme d ’une chose a n o r male. indice, craignait-elle, d ’un sérieux ébranlement. Etait-elle donc si nerveuse q u ’il su lfisa lt d ’un rien, d ’une attention toute simple pour l’ém ouvoir à ce point; ou serait-il de l’essence de ce rtain s êtres de faire vibrer en nous la corde sensible que n ’effleurent même p a s les banales m anifestations d’intérêt du vulgaire. P a s beau cependant, a u sens plastique du mot, le M ajor S au rin , m a is d ’une b on té si g r a n d e q u ’on n songe point à lui faire grief de sa c a r r u r e massive, de son absence de distinction rachetées p a r l’ex pression de si loyale franchise de son in tuitif, divin a te u r regard. Mentalement, Sylviane le c o m p a r a it à son m ari, raqé celui-ci, combien, et doué, en dépit de son triste défaut de buveur, des p lus brillantes qualités. Comme ils s ’étaient aimés, et quel écroulem ent dè son rêve lorsqu’elle av a it dû fuir, em po rtan t avec elle, ternie, défigurée, mais vivace comme à la première heure, l’i mage de celui que, m a lg ré ses efforts et sa volonté d ’o u b li,,elle n ’a pu p arv e n ir à chasser com plètem ent do sa pensée ni de son affection. Défendue de la sorte à son insu contre toute su rp rise équivoque du coeur, rien des hom m ages rendu s à sa beauté n ’a pu e n ta m e r Ju sq u ’ici la p ure intégrité de son âme. D’a u t a n t plus av e r tie est, de ce fait, s a clairvoyance et [‘in B lessures i n v o lo n ta ir e s . — R e n t r a n t à son d om icile, à Mariol, le *olr du 14 juillet, vers 21 h e u r e s 3o. M Je a n-U aptiste L am b e r t. .18 ans. e m p lo y é de b a n q u e , r e n v e r s a to u te u n e fam ille e spa gn ole , le père, la m è r e et Ten tant, qu i s u i v a ie n t l 'a c c o te m e n t de la r ou te d a n s la tr a v e r s é e d u b o u r g de Saint-Y orre Les tro is Moléro f u r e n t top s p l u s ou m o in s c o n tu s io n n é s : ils se p o r t e n t - p a r t i e civile. Il* L av a u d . av oca t, a ssisté d e ’ M» Renon, a voue, r é c la m e en l e u r n o m u n e s o m m e de 33.036 fr. 50 A p rè s pla id o irie de M* P la ce , le t r i b u n a l c o n d a m n e l ’i m p r u d e n t c h a u f f e u r à 25 f ra n c s d 'a m e n d e , m a i s il fixe à 4.000 fr. se u l e m e n t ie m o n t a n t d u p ré ju d ic e c a u s é à la fa m ille e sp a g no le. I ot de volailles. — Le n o m m é F r a n ç o is Maillet, se d i s a n t t o u c h e u r de b e stia u x , s a n s d o m ic ile fixe, est le s i m u l a t e u r qui d u t être e x a m i n é p a r de n o m b r e u x m é d e c in s- a lié n is tes d u C en tre de la F r a n c e e t qui c o n c l u r e n t du reste à so n e n tiè re re sp on sa bilité. II est i n c u l p é de vols de v o laille s c o m m i s d a n s la n u i t a u 23 a u 24 s e p t e m b re 1929. chez u n p r o p r i é t a i r e de P e r r i g n v et fait en o u tre l'objet d 'u n e in f r a c ti o n à u n a r r ê t é d ' i n t e r d ictio n de sé jou r. Après p l a i d o i r ie de M* E p ina t. le t r ib u n a l c o n d a m n e MaiJIet à 3 m o is de prieon. Coups et blessures. — C'est un e c o n s é q u e n ce de l ’a c c id e n t p o u r lequel, ie l e u n e Neury. de L ap a iis se, v i e n t d ’ê ire c o n d a m n é Au c o u r s des e x p li c a t io n s s u r les c a u s e s de l 'a c c id e n t, u n e d i s p u t e é c l a t a e n t r e le p r o p r i é t a i r e de la m o to é c ra sé e, H e n ri Lazzerini, 31 a n s, c h if f o n n i e r , et u n a m i de Neury, le j e u n e Léon G i r a r d i n , 20 a n s, J o u r n a l ie r , d om ic ilié s l ’u n et l ’a u t r e à L apaiisse. Ils so n t p o u r s u i v i s p o u r c o u p s et b lessures r é c ip ro q u e s , m a i s se ul L a z z e r ih i se p r é s e n te ; il écope de 16 f r a n c s d ’a m e n d e . G i r a r d i n . qui a p r é fé r é fa ire d é f a u t , e st c o n d a m n é à 3 m o is d ’e m p r i s o n n e m e n t . Vol. — Y von ne B r u n e a u , fe m m e Jo u r d o l n , 46 ans, d e m e u r a n t a c t u e l l e m e n t à P a r i s , est i n c u lp é e de vois c o m m i s a u p ré ju d i c e do Mme L ab ro u s se. d ir e c tr ic e de sa lle s de s p e c ta c le s à Vichy. Alors q u ’e lle é ta it a u sê rvlce de cette d a m e , celle-ci c o n s t a t a la d i s p a r i t i o n de n o m b r e u x objets, m a i s le t r i b u r ^ i ne re ti e n t q u e celui d ’u n c h a p e a u et de 2 se rv ie tte s à tné. Après p l a i d o i r ie de M« Nigay, l ’i n d é lic a te so u b r e tte s 'e n t e n d c o n d a m n e r à 50 f r a n c s d'amc-nde avec su rs is . B a n q u er o u te . — P o u r s u iv i p o u r b a n q u e rou te sim p le , Alfred Mottet, a c t u e l l e m e n t p l â tr ie r, à P a r i s , s’e n te n d c o n d a m n e r à 25 fr. d ’a m e n d e . H a rm o n ie « La S em eu ee ». - r Les m e m bres a ctifs de l’h a r m o n i e • La S e m e u s e » sont in f o r m é s qu e les ré p é t it i o n s r e p r e n d r o n t le m a r d i 29 s e p te m b re , à 20 h e u r e s 30, s o u s la d ir e c tio n de M. R. D a n j a u m e . Elies a u r o n t l ie u , c o m m e p r é c é d e m m e n t , les m a r d i et v e n d r e d i, à 20 h. 30. Les m u s i c i e n s h a b i t a n t Cusset, q u i d é s ir e ra ie n t a d h é r e r à • La S e m e u s e », p e u v e n t 6’a d r e s s e r a u siège social, salle des r é p é ti tio ns, c o u r de la M airie, les. j o u r s e t h e u r e s m e n t i o n n é s ci-dessus. Collecte« de m a ria g e s . — A l’oc ca sion du m a r i a g e de M. P i e r r e C o n iito u a vec Mlle G a u d ia t, u n e q u ê te a p r o d u i t la so m m e de 82 fr. 35 a u p r o f it de la Caisse de s e c o u rs i m m é d ia t s . Au p r o f it de la m ê m e caisse, u n e quête , qui a r a p p o r t é l a s o m m e de 90 fr. 90, a été faite a u m a r i a g e de M. P a u l B a r d e t avec Mlle Y v onn e P o u l a in . An nom des p a u v r e s de Cusset, M. le M aire a v i v e m e n t r e m e r c i é to u s ces g é n é r e u x d o nateurs. ................ - - - GANNAT E cole p r im a ir e e u p é rlo u re ot E cole P r a tiq u e d ’in d u e trie d e G a n n a t. — G râ ce à la réce nte c r é a ti o n des' c o u r s d ’a g r i c u l t û r e à l ’E.P.1., le d e u x écoles de n o t r e ville s o n t m a i n t e n a n t en m e s u r e de p r é p a r e r l e u r s élèv es a u x n o m b r e u s e s c a r r i è r e s de p l u s e n p lu s s p é c ia lisées q u ’exig e l a vie m o d e r n e . • L ’E .P .S . p r é p a r e a u b re v e t é l é m e n t a i r e e t a u b r e v e t d ’e n s e i g n e m e n t p r i m a i r e s u p é r i e u r (5 s u c c ès s u r 7 c a n d i d a t s en j u il l e t 1931) et d i r e c t e m e n t a u x c o n c o u rs . d ’e n tr é e à l'Ecole N o rm a le , a u x P o s te s, a u x C o n tr ib u tio n s, a u T r é s o r public, B a n q u e s , etc... Elle a s s u r e une so lide cultpre. g é n é r a le , et g r â c e a u x c o u r s s p é c ia u x dé c o m p t a b il i té et de sténo-dacty log r a p h ie , fo rm e d e s élè ves q u i se d e s t i n e n t a u x c a r r i è r e s c o m m e rc ia le s. L ’E .P .I., d o n t lés a te l ie r s n e c e s s e n t de s ’e n r i c h i r de m a c h i n e s m o d e r n e s f o r m e des te c h n i c i e n s t r è s vite a p te s à fa ire d e s c o n tr e m a î t r e s é c l a i r é s ( m e n u i s e r ie , a ju s ta g e , forge). Les a n c i e n s élèves t r o u v e n t d e . n o i n b r e u x d é b o u c h é s d a n s la m a r i n e et d a n s l ’a v ia t i o n civile e t m il i ta i r e . E nfin , cette a n n é e , ' u n e l a c u n e est comblée, g râ c e à l a - l i b é r a l i t é d u S o u s - S e c r é t a r i a t de l 'E n s e i g n e m e n t T e c h n iq u e et du- Conseil Gé né r a l. Les, c u lt i v a t e u r ^ g u i v o u d r o n t d o n n e r à l e u r fils u n e n s e i g n e m e n t a g ric o le tr o u v e ront à l’E .P .I. u n e se c tjo n d ’a r t i s a n a t r u f a l bien a d a p t é e a u x b e so in s ré g io n a u x . A côté des p ro fe s s e u rs s p é c ia lis é s qu i e n s e i g n e r o n t l ' a g r i c u l t u r e e t la te c h n o lo g ie a g ric o le , on a fait a p p el a u c o n c o u r s de : 1° M. B o u llg n o t, v é té r in a i r e à G a n n a t , p o u r l ’é tu d e d e s a n i m a u x de la fe rm e ; 2° do g a r a g i s t e s et de m é c a n i c ie n * q u i m e t t r o n t so u s les y e u x des élèves, t r a c te u r s , m a c h i n e s a g ric o le s, pom pes, é cr é m e u s e s . etc...; 3° d 'a g r i c u l t e u r s é c la ire s qui c o n s e n te n t à se p r ê t e r a u x e x p é r i e n c e s qui ill u s t re n t l e s cour.s t h é o r i q u e s : ' h o . x des e n g r a i s , sélection d e s sexnericës, a d a p t a t i o n des p l a n t e s a u x dlfféfe rtts t e r r a i n s , etc... Ces c o u r s s e r o n t o u v e r ts n o n s e u l e m e n t a u x élèves i n t e r n e s et e x te r n ë s , m a i s a u x Je un is a g r i c u l t e u r s de 14 à 18 a n s qu i, de n o v e m b r e à P â q u e s , . p o u r r o n t consacre-- u n à deux jo u rs p ar sem aine à parfaire leu r instruc tio n . - . P o u r to u t r e n s e i g n e m e n t , - s ’a d r e s s e r a u Di r e c t e u r dé l'E .P .S . et de i Ë .P .I., q u i reçoit to u s les m a t i n s ‘ ' * •* La r e n t r é e des c la ss es a u r a lieu le Jeudi 1 " octobre i m i r l e s i n t e r n e s et ie v e n d r e d i m a t i n 2 oc tob re p o u r les e x te r n e s . A ncien« c o m b a tta n te . — La ré u n io n g é n é ra le s t a t u t a i r e de la F é d é r a tio n des section« des V é téra n s e t de« s o ld a ts d e la grande g u e r r e d u d é p a r t e m e n t de l ’Ailier, aura lieu à M o u lin s le d i m a n c h e 18 o ctob re 1931, à 10 h. 30 d u m a t i n , d a n s u n e d e s salies d e la m a irie . S o ciété d ’é m u la tio n . — La p r o c h a i n e sé a n ce de la Société d 'é m u l a ti o n d u Bourbon n a is a u r a lieu le l u n d i 5 octobre, à 20 h e u res. à Ja b i b lio th è q u e m u n ic i p a l e , a v e c ordre du j o u r s u i v a n t : S é a n c e p u b liq u e , p ro te c tio n d e s site« e t m o n u m e n t s , q u e s t io n s diverses. A ocidente d u t r a v a il. — F e rn a n d A lexan dre , 41 a n s, b r o c h e u r en c h a u s s u r e s , ru e d e s G a r e e a u x . 17, s ’e«t c o u p é à l 'a u r i c u l a i r e d r o it avec u n e m p o rte-p iè ce . I n c a p a c i t é d e t r a v a il de q u i n z e jo u rs. L 'A S . Mot talres que lei de basket-ba à p a r t i r du j continueront MONTLUÇON O HURIEL. — C o n co u rs a g ric o le . — R o m p a n t a vec l a t ra d i t io n , le c o n c o u r s a g ric o le a n n u e l d u Comice a g r ic o le de M ontluçon, q u i se t e n a i t h a b it u e ll e m e n t le d i m a n c h e , s 'e s t d é r o u lé h i e r l u n d i , à H uriel. P o u r c ette c ir c o n s ta n c e , le g r a c i e u x chefiie u de c a n t o n qu e d o m in e sa t o u r féodale, la • T o q u e », a v ait, d a n s u n e ffo rt de s a p o p u la tion, re vêtu u ne p a r u r e de fête. De p a r t o u t d e s o ri fla m m e s , des fleurs et des g u i r l a n d e s de v e r d u r e j e t a i e n t u n e n o te g a ie , plac e d u M arché. D a n s les Ecoles p u b liqu e s, des e x p o sitio n s r e t i e n n e n t l o n g u e m e n t l ’a tte n tio n d e s v isi t eu rs . M a lh e u r e u s e m e n t , u n e é p id é m ie de fièvre a p h te u s e e m p ê c h a d 'a m e n e r des a n i m a u x qui s ’é ta i e n t révélés m e r v e il l e u x lors d e s c o n c o u r s de visite. A 10 he ures, à l ’Hôtel de Ville, la M un ici palité offrit un vin d 'h o n n e u r a u x o r g a n i s a t eu rs . a u x m e m b r e s d u j u r y , a u x p e r s o n n a l ité s p ré se n te s et a u x invités. Après un p ie u x p è le rin a g e au m o n u m e n t a u x m orts, le c o r tège d e s officiels visita les d i ff é r e n te s e x p o sitio ns. A m idi, u n b a n q u e t de 200 c o u v erts fut servi a u C h a m p de Foire. Des disc o u rs éloqiié’ots f u r e n t (prononcés p a r MM. le DoctPiir Relia, m a i r e d ’H u r ie l ; Villatte des P r u g n e s , p r é s i d e n t du Com ice a g ric o le de l’a r r o n d i s s e m ent de M o ntluçon , et Lucien l.nmourcùX. d é p u té de l ’Ailier, r a p p o r t e u r g é n é r a l du budget ^mercredi et C o û ts d u credl et ver Ed Mercre di e C du Fillette» . G arçon» : Messieurs 17 h. à 18 h. et de 16 h 4 à 8 h. 15 et 17 h. à 18 h Dam es — c redi, de 6 h et de 16 h. à 8 h. 15, d 16 h. 45. Cours d u h. 45 ; ga rç «NT R ugby. JeudC de 18 B aeket. — A 19 h. 30 ; A utres éq 18 h. 30 à 1 Croee «t • ta d e , de 18 Boxo. — I CREUSE ( AUBU 8 8 ON. — E ta t c iv il d u 18 a u >5 se p tem b re. — N a issa n ce s. — C a m ille Roucourou x. P u b l i c a t i o n s de m a r i a g e s . — Je a n P ê r l e r to n n e lie r , d o m ic ilié à A u b usson, et M arié C h a tre ix . M a riag e s. — A r m a n d Latvglois, mécanicien, a ju s te u r , et F ra n ç o is e C o u tu r ie r . — Marcel B a r r ie r , c im e n ti e r , et A u g u s tin e Brifouiière Décès — A u g u s tin e F r a n c , 73 a ns. — René C haule), 14 a n s . — P i e r r e Se rre. 26 a ns. CROCQ. — Vol de trois. — P l a in t e c o n tr e m c o n n u a été portée p a r M. C h a r p e a u d E m i le, c u lt i v a t e u r à Snin t-A gnant- près Crocq p o u r vol de bois et m u ti l a t i o n d ’a r b ie 6 .’ inedi, de 18 L u tta , — «nedî, de 18 N a tatio n . V endredi, d Les Inscri ,'sique et ru e Mon m a n c h e , de &hy: LES NATO Equipe 1 le C h a lle n g Equipe 2 C m o n t. Equipe 3 c Equipe 4 Une. LOIRE Entraînent Une co Enseignement commercial \ \ x ----Nos l e c te u r s n ’o n t p a s été s a n s r e m a r q u e r les ré s u l ta t s p a r ti c u l i è r e m e n t brillan t» ob te n u s a u x é p r e u v e s g é n é r a le s de l’In stitu t I n t e r n a t i o n a l de s t é n o g r a p h i e Duployé, de Juillet d e r n ie r , d o n t le p a l m a r è s a été p u b lie en te m p s o p p o r t u n p a r la presse locale. P a r m i les l a u r é a t s de notre région, f ig u r e n t en n o m b r e fort im p o s a n t les élèves d e - ^ F ECOLE ■ DACTYLA », n o tre é ta b l is s e m e n t ^ d e n s e ig n e m e n t p ro fes sio n n el de sté n o-dac ty- * lo g r a p h i e q ui, s u r 125 c a n d i d a t e s p r é se n té e s a u x e x a m e n s d e s d iv e r s de g rés, a vu 99 de celles-ci d é c la r é e s ad m iss ib le s. Si l’on c o n si dè re la sé v é rité avec laqu e lle le J u r v P a r i s i e n c o r rig e les copies, on p e u t a p p r é c i e r toute l a v a l e u r d ’un se m b la b le ré sulta t, q u e le m o in d r e c o m m e n t a i r e rn> p o u r r a i t q u ’a f f a i b li r et qui fa it le p lu s g r a n d h o n n e u r a u p e r s o n nel e n s e i g n a n t de l ’Ecole • D a cty la ». d o n t le p r o g r a m m e ré p o n d si bien a u x be so ins a c tu e ls de l’a c tiv ité c o m m e rc ia le : s t é n o g r a ph ie. sté n o ty p ie , d a c t y l o g r a p h i e , r é d a c tio n et a r i t h m é t i q u e c o m m e rc ia le s , c o m p ta b ilité , m a c h in e à c a lc u le r. î.es p e r s o n n e s so u c ie u s e s d ’u ne e xc e lle n te f o r m a tio n p ro fes sio n n elle peuvent donc, en to u te c o n fia n c e , se fa ire i n s c r ire dès à Drése n t à l’Ecole . DACTYLA », d o n t ils rece v r o n t i m m é d i a t e m e n t to u s r e n s e i g n e m e n t s et program m e. C o u rs d u J o u r et c o u r s du s o i r P l a c e m e n t a s s u r é des élèves ECOLE . DACTYLA ». d irig é e p a r Mme et M. R. C a r n a s (*.*), p ro f e s s e u rs d ip lô m é s rtfeg r é s u p é r i e u r ) C h a m p i o n d u C o n c o u rs g é n é ra l de P a r i s (L ycée Condorcet. oc to bre 1924) P r e m i e r P r i x d e M. le P r é s i d e n t de la R é p u blique. 2, ru e d u P o rt (tél. 16-53), C lerm on t-F d Un repos forcé A l ’occasi d u • P e t it O d ire c tio n d u c o u r s d u Sy C lerm on t, u ie d im a n c h e Cette c o u r d e p rix , d o n Les c o u re u café, serviet m ain. L’i t i n é r a i r e go v ia (déna p la c e G a iüa IJnis et a t r i L a co urse •antes pour t a t e u rs qui, d ’a u t a n t pim tio n sp o rtiv e m ont pour 1 La lis te de t u t r e s dota; LE CA8IN A ssocia b a t As» Cette j» tem ps sep •em ee. Le Cash souffle et dées, conji Cet excel b Chez les a v a n t four m édiocre, f u r e n t le | d e m i s ne j advt-rse. L d e s c inq I f u t nd uuri a lo r s q u ’i m anqua d M. D a rb a r b i t r a cet A CEZEV' •portivs d« P o u r le u r •anfloraines le n ie équipe ui fut 1res u déb ut, p o u r m ener s o u t e n u e s pal le m e i l le u r d • i o n les arri i ’U.S.C. d ’ou les l o c a u x m Î faillible instinct de l’a n m u r d ’une m e na ce. Laquelle ?... suspendue, épée de Dam o dès, s u r Je fragile cnistul de son r ê f t de bonheur. Plausible, en somme, l’entente secrète soulignée p a r plus d'un indice entre la je une médecin m ilita ire et cette tron sé d u isa n te veuve, assez jeune pour se ram a rie r, m ais incapable, même aux yeux d Armelle qui l'a d m ira it b ca u ctu u , da ^ tout calcul d intérêt ou de vuluoire c#» quetterie. Une âm e de celle vSîeur M p o u v a u a im e r que p o u r le bon motif èÉ e u ce c a s’ Pcsait d ans la I*Iance des chances à venir de la jeûna Ile, en rega rd d ’une telle supériorité, a p p o r t du naïf m ais sincère am our, ti m idem ent éclos d a n s le fond de son cœur. Toutefois ne voulait-elle pas dése»perer. T a n t de choses, ici-bas, militent e 1 notre faveur, pa/rni lesquelles, en te» circonstance, était peut-être ce départ dm médecin dont échappait, à la clairv oyan ce ue Sylviane, les motifs impérieux. Quoi I Allnit-i| s ’éloigner ainsi, ju ste u m om ent où »e forgeait entre leurs cœ urs le prem ier chaînon d ’une mutuel!# sy m p a th ie l * Pr êcieuse cependant lui eOt é t . 1 a p pui de celle ci d a n s la crise mo rale que subissait Sylviane, en«e à 'a . A d u 6 Müj o r S a u r i q,ü S é " a " 8ère • U su s v t %.j Equipe 1 c Equipe l c Autres éq J MONTBRISON. — E ta t c iv il d u 17 a u 24 se p te m b re . — N a issa nce s. — I’i errr-M rfruP a u l F a v e r jo n — M artin- B e n o lt-Jo ^ 'p h R o n del. — H e n ri-F élix M o n ta illa rd . — Lucien. C laude-G eorges l’in o n . — Andree-Marie-Léoiitin e F a f o u r n o u x Décès. — Je a n -M a r ie P o n t o n n i e r . 15 Jours. F o ire d e S a in t-L u c . — Le 18 oeio hre étant, cette a n n é e , un d i m a n c h e , la g r a n d e foire dé S a in t-L u c a u r a lieu, s u i v a n t l ’usage, le l u n di 19 octobre . peut e n tra în e r la perte de votre emploi an la dim inution de vos salaires. Les priwT tiens et les soucis viendront encore a u * men ter votre faiblesse. Eloignez ces d u res extrémités en b u vant a v a n t chaque l i BIOZAT. — U ne belle ohaeee. — Nos j e u n e s pas, un verre du plus actif des f o rtifla n u c h a s e e u rs , R o g e r S u je t e t M a r c e l Bayot, v i e n que vous ferez vous-même en versaru n e n t de t u e r u n b e a u m a r c a s s i n p e s a n t 11 Ki d a n s un litre de vin de table, un flacon los. Quintonine, coû tan t seulem ent 4 fr » A ces h e y r e u x et b o n s t i r e u r s n o s si n c è r e s P h a rm a c ie Fourton et P a tr ia rc h e • Gros A fé lic ita tio n s. C lerm ont-Ferrand, et toutes p h a r m a c W faillible instinct qui lui fait discerner sous les espèces, ’ en ap p a re n c e inoffensives, d'u n quelconque compliment, o u tre chose qu une m a rq u e b an a le d ’ég a rd ou de po litesse. Ainsi n ’a-t-elle q u ’une demi confiance d a n s le mnnège s a v a n t et quelque peu suspect que tra h it, a u p rè s d ’elle, l ’atti tude, correcte p o u rtan t, j u s q u ’a l o r s . ' d u peintre Deicourt. 1 A utant elle s ’y fie peu, a u t a n t donnérait-elle sa tête à couper, qu'av ec le Ma jor, rien de ce g en re n ’est à craindre. S a n s doute ne semble-t-il pas la tr a i ter en indifférente.... Mais d a n s quelle m esure lui platt-elie ? elle ne le sa it et tient à l’ig n o rer to ujours, te n a n t p d u r trop précieuse la n a issa n te sy m p a th ie que b riserait sa n s reto u r une plus f ra n che explication. G ra n de fut, en conséquence, la décep tion de la je une femme, à l’annonce le soir, au dîner, de l ’im m in en t d é p a r t ’ dû médecin m ilitaire. — Quoi, Major, vous n o u s quittez 1... Déjà I... s a n s crie r gare, gém it à cette o uverture in a tte n due Mrrte D upuy-Larronde, navrée d ’une aussi brusque inexplica ble déterm ination. — Qu’allons-nous devenir, sa n s vous ? ren c h érire n t à le u r to u r Inez et JeanneMarie désolées, elles aussi, de voir s ’é loigner leur hôte préféré. Seule, Armelle ne fit a u c u n e réflexion, avertie p a r l ’in Cours du «t jeudi. i Cours du o L'AVENIR PU PLATEAU CENTRAL MARfDI 29 SEPTEMBRE 1931 T LA SITUATION D O R Y PH O R IQ U E gênéniûn« jr a n d e ra lieu 1931. à d e la DANS LE PUY-DE-DOME « tiH iim w w i i wwttMiMWHtww sêan burbonK> heuo rd re Education physique, natation et sports et L ’A S. M o htferrnndalse Inform e ses socié ta ire s que les cours d'éd u catio n physique et de basket-ball com m enceront à fonctionner à p a rtir du jeu d i 1** octobre p ro ch ain ; ils se co n tin u e ro n t su iv an t l’h o raire ci-dessous : liexafv ■ue des *uia:re Cité de e d u c a tio n |>mpant )le an[>ri. qui s'e st cheflaie, la popnbartout Mandes lu e du k itto n s visi b le de nm|x lors Idu iifci- isn isafsntüiapieux Pe corexpo)t se rvi kq iienf« [ R elia. préIhdisse} u reu x , ral du [25 seplUUCOll|lV rle r, Marie |ntci«n[M arcel iuiière René B O U R SE D E P A R IS du 28 Septembre 1931 1 p h y s iq u e hom m es C ours du m atin , de 6 h. 46 à 7 h. 30. m ard i et jeu d i. t C ours du soir, de 18 h. 30 & 19 h. 15, lu n d i, ^m ercredi et vendredi Basket-Ball Cours du m a tin , de 6 h. 30 à 7 h 30, m er cre d i e t v endredi E ducation phy siq u e dam es M ercredi et sam edi, de 9 h. à 10 h. 30. E d u catio n physique e n ta n ts F illettes . jeu d i, de 14 h. 30 A 15 h. G arçons : jeu d i, de 15 h. à 15 h. 45. N atation M essieurs . m ard i, de 6 h. 45 à 8 h. 15 et de 17 h. à 18 h. 45 ; jeu d i, de 6 h. 45 à 8 h. 15 et de 16 h 45 à 18 h. 45 : vendredi, de 6 h 45 à 8 h. 15 et de 17 h à 18 h. 45 ; sam edi, de 17 h. à 18 h. 45 ; dim anche, de 8 h. à lu h. 45. Dames. — Lundi, de 16 h. 30 à 18 h. 45 ; m er cred i, de 6 h. 45 à 8 h. 15, de 9 h. 30 A 10 h. 45 et de 16 h. 30 à 18 h. 45 ; sam edi, de 6 h. 45 A 8 h. 15. de 9 h. à 10 h. 45 et de 15 h. à 16 h. 45. C ours d u jeudi. — F illettes, de 15 h. à 15 h. 45 ; g arço n s, de 16 h. à 16 h. 45. ENTRAINEMENT8 SPO RTIFS R ugby. — P o u r tous les équipiers, m ard i et J e u d C d e 18 h. 30 à 19 h. 30. B asket. — E quipes 1, 2, 3, m ard i, de 18 h. 30 à 19 h. 30 ; jeu d i, de 20 h 30 à 21 h. 30. A utres équipes ; m ercred i et vendredi, de 18 h. 30 à 19 h. 30. C ross e t athlétlsm o. — M ardi e t jeu d i, a u sta d e , de 18 h. 30 à 19 h. 30. Boxa. — Lundi, m a rd i, je u d i, vendredi, sa m edi, de 18 h. 30 A 19 h. 30. Lutte. — L undi, m ard i, jeu d i, v endredi, sa m edi, de 18 h. 30 à 19 h. 30. N atation. — L undi, m ard i, m ercred i, Jeudi, V endredi, de 19 à 2u heures. Les in scrip tio n s p o u r les cours d ’éducatJon sique et sportive sont reçues à l ’A.S.M., rue M ontlosier, chaque jo u r, sau f le di m an ch e, de 8 h . à m id i et de 15 à 18 h. 30. ------------- -M-?------------LES MATOHES DE DIMANCHE PROOHAIN A L’A.S.M. T o u t ré c e m m e n t a été p u b lié e u n e in fo rm a tio n de p re s se s u s c e p tib le de fa ire p e n s e r q u e le P u y -d e-D ô m e e s t . s é r ie u se m e n t c o n ta m in é p a r le D o ry p h o re de la p o m m e de te r re (in secte c a la m ite u x d o n t n o u s av o n s d é jà p a rlé ). N o u s re ce v o n s à ce s u je t la n o te r a s s u r a n te re p r o d u ite ci-de3sous (q u i é m a n e de l’In s p e c te u r de la D éfen se d es V é g é ta u x p o u r n o tre ré g io n d u M assif C en tr a l). D ans tm a rticle p a ru il y a quelques Jours (et, d ’a ille u rs, ex trêm em en t in té re ssa n t), je trouve le Puy-de-Dôm e d a n s une liste de dé p a rte m e n ts qui se ra ie n t « fortem e n t ra v a gés » p a r le D oryphore — ce coléoptère que vous avez à p lu sie u rs rep rise s dénoncé û vos lecteurs, com m e très nuisible à la pom m e de terre. Je sera is h eu reu x q u ’il vous fû t possible de rectifier, su r ce point, l’in fo rm atio n de votre co nfrère — c ar la nouvelle d ont s’a g it p o u rra it a v o ir des conséquences fâcheuses et môme très g rav es p o u r la p roduction et le com m erce des pom m es de te rre d a n s le Mas sif C entral, et n o ta m m e n t d a n s le Puy-deDôme. On a trouvé du D oryphore près d ’Aigueperse, m ais le d ép a rte m en t est bien loin d ’ètre « fo rtem e n t rav ag é ». En fait, l’insecte d estru c te u r de la pom m e de terre n ’a été ren co n tré q u ’en un seul e n d ro it — et, pour préciser, d an s un u nique cham p. Encore n ’a-oe été q u ’à l’état de la r ve, et en nom bre infim e (quelques exem p la ire s seulem ent). Cette c o n stata tio n rem onte à la m l-Juillet. L’em bryon de foyer fut, san s re ta rd , sinalé au* d ire c te u r des Services agricoles, M. ioche, qui in te rv in t au ssitô t. Le cham p a tte in t fut soigneusem ent visité, a in si que les pièces voisines. En dehors des q uelques D oryphores a u sta de la rv aire, p rim itiv em en t recu eillis et dé g VA LEURS tru its, on ne tro u v a p a s trace de l’insecte. A ucune nouvelle a le rte n ’a eu lieû. On peut donc, ju s q u ’à preu v e du c o n tra i re, co n sid érer le « foyer » de V enset com m e étouffé, grâce à l ’actio n énergique et effi cace du d ire c te u r des Services ag rico les — ac tio n qui a été ren d u e possible, parce que la présence du D oryphore fut tout de su ite sig n alée à ce fonctionnaire-technicien (qui a v a it p ris soin de faire co n n aître le dang er, ain si que le Jo u rn al l 'Avenir l ’a fa it lu im êm e). D’a u tre p a rt, d a n s le m êm e tem p s — c ’està-dire au cours des h u it d e rn iè re s sem ai nes — .M. Roche p ro sp ectait p ersonnellem ent ou fa isa it prospecter p a r des co ntrôleurs consciencieux les p la n ta tio n s de pom m es de terre de sa circonscription, et n o tam m en t du nord-ouest du Puy-de-Dôme. Nul a u tre fo y er (m êm e aussi lim ité) n ’e été ren co n tré d a n s le départem ent. La situ atio n n ’est donc p as in q u iétan te, bien loin de là, d a n s cette p a rtie a u M assif C entral. Ce qui a pu p rê te r à confusion est le fa it que — su r l’a v is du p ro fesseu r docteur Feytaud, d irecteu r de la S tation entom ologique de B ordeaux et spécialiste de la question dory p h o riq u e — l’on a jugé p ru d en t de délim i ter une zone de protection relativ em en t éten due a u to u r de la com m une où Turent tro u vées les larv es peu nom breuses dont j ’ai parlé. 11 fau t bien voir q u ’il n ’y a p as lieu d ’en tire r des conclusions a la rm a n te s et su rto u t alarm istes. Bien au co n traire, ceci m o n tre q u ’on ag it d a n s le Puy-de-Dôm e — a p rè s com m e a v a n t l ’a le rte — de la m an ière la plu s propre à éviter les désag réab les su rp ris e s que l ’on a éprouvées ailleu rs. R oger LEQUERTIER, 5 % ............. THERMOGENE • n p e n d r e la c h a le u r e t o o m b a l TOUX - BRONCHITES - BRIFFE DOULEURS RHUMATISMALES A NEVRAL6IQUES Mode d ’emploi. A p p liq u e r le Thet^ m ogéne s u r l’e n d ro it d o u lo u reu x , on a y a n t noin q u e la feu ille d ’o u a te a d h e re b ien à la p eau . P o u r o b t o n ir une ac tio n plus rapide e t plua énergique, il .suffit d 'a s p e rg e r le T h erm o g èn e, a va n t no n ap p l ic atio n , d ’un p eu d ’e a u o u d 'alco o l. Toutes Pharmacies. Ir botte 4 fra /impôt compris) In gén ieur-A gron om e, I n sp e cte u r ae la Défense des Végétaux. L’image ci-dessus du P IE R R O T ORACH A NT LE FEU d o it se trouvez a u dos de chaque botte. C lerm ont-Fd, le 22 septem bre. Si vous n ’ête s p a s e n n e m is de vos im térêts a c h e te z vos f o u r r u r e s à La MAISON d e GROS — E tfta b lis s . Usine RUGBY I | Jours. étant, lire de le iun- ia î irn y er ohfe|ut Injuil|lié en figufcs d e ^ tm e n tf )f <m |ti v%|a u ( du re |a n t» sa m h de 96 >9. à FEU1LLETON de L'AVENIR Quand la cloche sonna P a r M ARY H ELLA III • A u ssi, je t ’a im e plu3 q u e to u t. E t p o u r t a n t ... il m e m a n q u e q u elq u e chose p o u r ê tr e h e u re u s e , com m e le s o n t m es a m ie s. — Q uoi d o n c , m ig n o n n e ? — C ’e st d iffic ile à d ire . D evine, p iu tô t. — C o m m e n t v eu x -tu ?... Je c h e rc h e , m a is ... — C herche plus, tien s ! J ’aim e a u ta n t l’a v o u e r to u t de suite. Il m e m an q u e un père à ca jo le r, à lu tin e r, si tu p r é fè re s .. « E t p u is, des frère3... des s œ u r s .. Je m ’ennuie, vois-tu, seule à la m aison, q u an d tu es a u p rè s des p etits m alad es ou que tu étu d ies encore, to u jo u rs, d a n s tes bouquins. D 'un m om ent fébrile, Ja cq u elin e serre l ’adolescente s u r son cœ u r et, to u t bas, d a n s une caresse : — A lors, S u zan n e , si to n « g ra n d Ami • devenait... Elle n’a p a s le tem ps d’achever. Du sen d e r qui co n d u it de la g r a n d ’ro u te à Font- L fE 102 10 99 100 134 101 102 107 720 552 548 15 65 .. 55 45 40 .. .. 60 99 56 514 .. <022 .. 629 521 516 628 610 526 555 ü .. .. .. .. .. . 102 .. 517 !! 94 26 ic i 10C 101 135 101 102 107 735 660 558 30 25 25 75 50 60 60 .. .. 50 ÎÔO !*. 514 1029 593 644 536 518 520 525 540 570 102 496 518 .. .. .. .. .. 50 .. .. .. .. 20 .. .. 888 .. 85 . . 67 3 4 600 690 450 280 65 400 386 91 19 13 64 518 1017 ?.T.T. 4 1 / 2 % 29 517 1027 ïo ü g 6 7 / 2 " % . 692 N T .. 75 60 .. .. .. .. .. .. .. .. 80 .. .. C o u rt d u jo m V o t r e P a ii u o t id im i . M v . - H r S v V \ T 'Y * { '- • > W h 4t Fard 137g — — 1876 — — 1176 — — 1892 — — 1894 — — 1898 — — 1899 — — 1904 — — 1995 9% X I9I0 V. é a firitlX 1910 — 1912 — — 1919 — 1921 Hb. — — 1922 — — 1923 V. éo Chrmont7% ...... 401 610 606 302 301 378 376 390 5 .. 640 .. 735 450 300 70 425 405 94 21 14 .. .. .. .. .. .. .. 50 25 !! 619 .. 1025 .. 516 .. . . 806 .. .. .. .. .. .. .. .. • •• •• 358 336 280 500 .. .. .. .. — — — — . .. . .. ... . .. 1883 1885 1896 1883 380 400 415 425 . . . 1909 212 .. 53 .. .. 513 351 405 420 435 .. .. .. .. .. .. 212 .. — — syt % ItU — 4% 1811 iiô *; — 1917 392 .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. 50 .. ••• • • ... . 522 . . 523 . . ............ .............. O om m unolM Vo t r e ' W P  T IS S E R IE Pour c o m p lé te r la c o m m u n ic a tio n q u ’on v ie n t de lire , et d o n t n o u s r e m e r c io n s l ’In s p e c te u r de la D éfen se d es V é g é ta u x , voici la c a rte de l ’in v a s io n d o ry p h o riq u e à la fin de la s a is o n 1931. L es d é p a rte m e n ts m a r q u é s d ’u n ro n d s o n t c e u x où le D o ry p h o re a été tro u v é (ils s o n t a u n o m b re de 26 co m m e o n vo it). Le p o in t de d é p a r t de l’in v a s io n — le d é p a rte m e n t de la G iro n d e — e st m a r q u é d ’u n cercle. Le g ro s ro n d n o ir e st p la c é a u c e n tré de g ra v ité de l ’in v a s io n , c ’e st-à -d ire d a n s la ré g io n q u e n o u s s ig n a lio n s d a n s u n ré c e n t a rtic le (v o ir 1’« A v e n ir » d u 20 se p te m b re ) com m e l ’e n d ro it de n o tre p a y s le p lu s fa v o ra b le à ia m u ltip lic a tio n lo c a le d u D o ry p h o re e t à s a d ifu sio n d a n s le re ste de la F r a n c e — à s a v o ir la ré g io n lim o u s in e . Ce q u ’il c o n v ie n t de n o te r — c a r il s e r a i t a u s s i d a n g e re u x d ’e x a g é re r l ’im p o r n a n t m ieux le u r effo rt p rire n t l’a v an ta g e et m a rq u è re n t deux jo lis b uts p a r l'in te rm é d ia i re de G aulharel et de Roche. C’est su r ce ré su lta t que la fin fu t sifflée p a r M. A. Si m on, d o n t l ’a rb itra g e fut ap précié de tous. ♦ ♦ ♦ ------------- R u g b y A VIERZON. — 8.C. M ontluçonnais 1 b at C.O. V ierzonnais p a r 11 (3 essais, 1 but) a 3 (1 essai). Les • violets » du S.C.M. o n t fo u rn i à Vierzon une bonne p artie. Q uoique am p u té s de cinq titu laires, ils se so n t a ssu rés la victoire p a r une m arq u e p lu s n ette que celle qui a v a it concrétisé le u r succès du m atch aller. Le S n o rtin g d o m in a larg em en t. Les a v a n ts s'a s s u rè re n t un net a v a n ta g e ta n t a u x m ê lées q u ’a u x rem ises en touche. A n o ter que 20 m in u tes a v a n t la fin les lo caux m en aien t a u tab leau p a r 3 à 0. P a r la suite. M ontluçon m a rq u a 3 essais p a r l ’in term é d ia ire de E stow eigt qui fit une p a rtie splendide ; M oulinet et M onnot, un n o u v eau qui prom et. S auzelle ré u ssit une tra n sfo rm a tion. L’a rb itra g e de M. M aguabal, de V ierzon, fu t bon. Les réserves du S C.M. b a ttire n t celles du C.O.V. en un m atch de lev er de rid eau . vive, u n g a r s d ’u n e q u in z a in e d ’a n n é e s e n v iro n d é b o u c h é s o u d a in . R o u g e, esso u fflé d ’a v o ir c o u ru , in tim i dé a u s s i, il in te rro g e d ’u n e v o ix m a l a s su rée ; — C’est-y voua, M m e de L o s ta n g e ? — O ui, m o n g a rç o n . Q u ’y a -t-il ? — J e ariens... O n m ’a c o m a n d é d ’a lle r v ite à ... C o lm a rs, c h e rc h e r le m é d e c in ... S e u le m e n t, v o ilà. P a r a î t q u e ... q u ’il e st p a r t i h ie r et q u e ... o u i... q u e c ’e st à v o u s, m ’a d it s a d o m e s tiq u e , q u ’il a la is s é ses m a la d e s. — F.n effet. S es y e u x s ’a r r o n d is s e n t. — Vé 1 J ’a u r a i s p a s c ru to u t de m êm e. U n e fem m e I... — P o ss ib le 1 s ’é g a le J a c q u e lin e . C ela e s t p o u r ta n t. « De q u o i s ’a g it-il ? — D ’un « p itc h o u n » q u 'e s t b ie n m a l, à ce q u ’il p a r a it. — O ù ce la ? — A u v illu g e de C h a sse , chez m a s œ u r, M a rie tte G ro u x . — S o n fils ? — N o n , vu q u ’elle n ’a p a s d ’e n fa n t. C ’e st le fils à d e s to u r is te s a r r iv é s h ie r s o ir e n a u to m o b ile ... U a jo u te d ’u n a i r I m p o r ta n t : « C es g e n s d e ia v ille, ç a n e d o u te de rie n . D es m a c h in e s co m m e ç a d a n s n o s g o rg e s , m a is c ’e s t le d ia b le 1 — E n fin q u ’est-il a r r iv é ? — B e u la m a c h in e q u i n ’a p lu s (voulu .a.,. CONVOCATIONS ' C h Vo t r e A R C U TM R IB Nous fabriquons égalem ent le foyer-four « LENTZ s (cuisinière m unie d’un four à pain) ; Cuisinières noires et émaillée® ; Poèles-chauffe colle et sorbonnee pour: m enuisiers, ébénistes et fabriques de m eubles ; Fours spéciaux pour charcutier et pâ tissiers ; Fumoirs à viandes ; séchoirs à fruits. Demandez, dès aujourd'hui, Catalogua n° 53 ta n c e de l’in v a s io n q u e de la s o u s -e s ti m e r — ée q u ’il c o n v ie n t de n o te r d ’u n e façon fo rm e lle c ’e st q u e s u r les d é p a r te m e n ts o ù l ’on a tro u v é le D o ry p h o re , u n bon n o m b re n e s o n t a tte in ts que d ’u n e m a n iè re s p o r a d iq u e ( p a r p e tits fo y ers, r a r e s q u a n d ce n ’e st p a s isolés) T el e s t le ca s en p a r tic u lie r p o u r la p lu p a r t des d é p a rte m e n ts q u i o n t été to u ch és c ette a n n é e s e u le m e n t. A jo u to n s en c o re q u e d a n s p lu s ie u r s de ces d é p a rte m e n ts p eu c o n ta m in é s l a vi g ila n c e e t l ’a c tiv ité d u D ire c te u r d es S e r vices A g rico les s e m b le n t a v o ir a b o u ti à l ’e x tin c tio n im m é d ia te et, e sp é ro n s-le , d é fin itiv e m e n t d u ou d e s fo y e rs s ig n a lé s de b o n n e h e u re p a r l’e x p lo ita n t. E n to u t cas, il en été a in s i d a n s le P u y de D ôm e — et, n o u s d it-o n , é g a le m e n t d a n s Ja H a u te -L o ire , où u n e ta c h e D oryp h o riq u e a v a it été c o n sta té e . DEMANDE DE MATOHES L’A.S. C asino dem ande m atches s u r son te rra in ou s u r te rrain adverse avec bonnes équipes régionales. E crire à M. N uguet, se crétaire, 13, rue du Pré-la-R eine, CJermontF erran d . Tous les jo u eu rs sont convoqués p o u r l’enirain em en t obligatoire, qui a u ra lieu le m ardi 29 en vue de la form ation des équipes. ♦♦«♦----------- W ECRIVEZ : Etabl. J. LENTZ, bureau com m ercial, 7, rue de Belfort, à NANOY (M.-et-M.). BULLETIN METEOROLOGIQUE du lundi 28 septem bre C le rm o n t § s S £ [ 1 ) f M in u it...................... 6 h. du m a l i n .... M idi.......................... 6 h. du so ir ......... 723 729 72» 728 8 7 0 6 P.-de-D. ! 643 642 643 642 8 9 2 6 ® / M in u it...................... s 6 h. du m a t i n .... « \ M idi.......................... | ; 6 h. du so ir . . . . . . 4 9 2 9 13 1 11 8 4 8 4 8 10 9 60 | [ M in im a.................... ' M ax im a.................... 2 0 19 8 4 6 12 5 h is 2 E 2 ( M in u it...................... > 6 h. du m a t i p .... j M idi.......................... . f 6 b. du s o i r . 100 100 64 76 100 100 76 100 450 .. 483 .. 506 . . Communales 1879 503 . . _ 527 . . . . . 188«. 628 . . — . . . 189* 346 50 350 50 410 . . . . . 1892 410 . . 396 . . . . . 1899 390 . . 415 . . 420 . . . . . 1906 --- . . . 1912 219 . . 211 . . --- . . . 1920 . . . • . • • • A• ■--- 1921 Ub. . . . . . 1922 lib. 510 . . 512 --- . . . 1926 740 . . 780 . . --- . . . 1927 600 . . 605 . . PaMma (bons à lots) 126 . . 128 . . .......... ............. .............. . . . . . . . .......... .................. .............. . . . . . . . .......... ................. .............. .............. C o u rt d u jo u i C oure prOcéd TRANSPORTE (Obligation^ PA.-B. tua. a an .. — h t. u n W 8 % ......... ■w 3 ............ Nard 1 % ............ OriéMt 3 % ----Oussl tm. 3 % .. BN 4 % ............ Etal « % ............ Namat-Hama prit. DMubn-AdrUtique k W .. 485 . . 401 1! 417 . . 443 242 Ü »57 . . BAMOURS langue 8e francs. 1 2 6 0 0 .. 12509 399 485 407 402 427 402 .. ., .*! .. .. .. 448 483 243 261 Ü .; .. «. ftlMOê I'lE üii a•• »600 . . 9506. D EE^M w MM nvE Union Parisienne.. Comp“ Algérienne. Crédit MA lle r ... Crédit lyanm ls... Comptoir N .d ise. Crédit Fancier... Société Cénérale.. ||H |y | P |fj| 580 1430 425 2000 1228 5000 1108 1626 .. .. .. .. .. .. .. .. 660 t42S 435 2040 1260 5005 1205 1676 VALBURS cotée» a n B an g u * Mstocca................. Et! atiattgu* danois M m .................. Hutchinson............ Royil-Dutch......... S M t ............. 6ro*ny1.................. Naphta................... VltlNâ mra • • YT*lllc*H IRmi ü"A tifni« Dniéprovienne. . . . Montecatinl........... Thirsit... . . . . . . DM Csggar......... Tsasanylka........... Charta rod.............. Banana K” Crédit. CréOé Commercial. 756 ü 805 3500 . . 3550 Crédit Fonc. Egypt. 1900 Cr.Fone. Fr.-Canad. 5250 . . 5050 Bangne du Baatgus 100 50 101 Banque Ottomane. 348 . . 380 Land la n k ............ • • • • • 635 . .. , Compt Lyon-Alem. 185 lents tone., a c t .. 650 . : 686 own-Mines . . . . I t loon srd......... INDUSTRIELLES (Anttonu) Sun actions........ 13700 13600.. Suez parts.......... 11925 Pennaroya .......... 260 Omnibus.............. 1006 loigg ....... 77 400 Gafsa................ 52 Pathé..................... Saint-Sobain........ 2270 Bergougnan ........ Thomson............. 436 Cu d énergie électr. 875 Nyà-Elaci d’Auver. 1275 Energie du Littoral. 1250 Pyrénéenne d’éner. 1816 C(’ l " d'Electricité 2300 Electricité do Psris 1185 11850.. 270 . . 1018 . 35 . . 410 . . 54 60 2305 .. 780 . . 433 . . 900 . . 1235 . . 1041 . . Flvea-lllle... . . . . 511 506 812 301 388 385 399 409 365 340 280 504 VALEURS PnneHree Fndtrtt... 1879 614 . . 1835 2280 1126 2276 875 76 Chétillon-Comment. 2200 Fourchambault. . . 820 75 Forges d’A to ls... Aciéries de la Bar. 605 Crsusot— « . . . 622 . . 629 . . ............ C o u rt p ré e fd . 58 .. 4 50 OBLIGATION« VIII« « â (Bas-Rhin) i / r • I ’» * V . „ A l ’occasion des rep rése n ta tio n s de g ala d u « P e tit Café », avec M aurice C hevalier, la d irectio n du G ergovia o rganise, avec le con c o u rs du S y n d icat des G arçons de Café de C lerm ont, une course à pied qui a u ra JIpu le dim an ch e 4 octobre, à 10 h eu res du m atin . Cette course se ra dotée de plus de 1.000 fr. de prix , d ont p lu s de la m oitié en espèces. Les c o u reu rs sero n t en ten u e de garçon de café, serviette s u r le bras, p la te a u chargé en m ain . L 'itin é ra ire sera le su iv a n t : C iném a Ger go v ia (d ép art), place de Jau d e, rue Neuve, place G aillard, re to u r p a r l’avenue des EtatsU nis et a rriv ée d evant le Gergovia. La course sera ém aillée de su rp rise s am u sa n te s p o u r les co u reu rs et... p o u r les spec ta te u rs qui, n o u s n ’en d o u to n s pas, sero u t d 'a u ta n t plus nom breux que cette m a n ife sta tio n sportive et h u m o ristiq u e a u ra lieu à Cler m o n t p o u r la p rem ière fois. La liste des lots, celle des co u reu rs et toux au tre s d étails sero n t donnés ultérieu rem en t. * ♦ > ---------- LE CASINO A BOEN EN CHAMPIONNAT A ssociation Sportive S téphanoise 1 b at Association S portive du L ignon 1, p a r 5 buts à 3 Cette p artie officielle fut jouée p a r un tem p s soperbe, m ais d ev an t une g ale rie c la ir sem ée. Le Lasm o p résen ta une équipe bien en eouffle et d o n t toutes les ligues, bien so u dées, co n ju g u èren t p arfa ite m e n t le u rs efforts. Cet excellent onze m é rita it la victoire Chez les fpeaux. la triiplette du centre a v a n t fo u rn it un gros effort, l a ilie r d ro it fut m édiocre. Les a rriè re s s a v e n tu rè re n t trop et lu re n t le p lus souvent débordés. La ligne de d em is ne p arv in t pas à riv a liser avec ia ligne adverse. U iazelles fit de son m ieux et au cu n d es cinq buts ne lui est im putable. Le Bob t ut ad m irab le de cran , m ais son indécision alo rs q u ’il se tro u v a it seul d ev an t les bols m a n q u a deux b uts qui p ara issa ie n t a c q u is’ M. D arbouret, du sous-com ité de la Loire, a rb itra cette p artie à la satisfactio n de tous. • K — S a n flaraln a <2j b at Union S p o rtlv a do Cézono (1) p ar 2 buts à 1. P o u r leu r m atch d ’o u v ertu re les réserves a a n flo ra in e s ren co n tra ie n t chez elles l’excel len te équipe de J’U.S.C. en un m atch am ical q u i fut ires d isp u té et indécis ju s q u ’au bout Au début, les locaux p ro fitèren t du vent p o u r m en er de d an g ereu ses attaq u es bien so u ten u es p a r le dem i-centre : Coime qui fut le m eilleu r du « onze ». P a r m an q u e de décile* a rriè re s sa n flo ra m s p e rm ire n t à 1 U.S.C. d ’o u v rir le score et ia m i-tem ps vit les locaux m en er p a r 1 but à rien. A près le repos les s a n flo ra in s coordon- a l. DRULINGEN P o u r C u ir Vo u s M ê m e Une course des garçons de café clermontois s s o c i a t i o n ä Le Four à Pain « LENTZ » Equipe 1 contre S.C. Vichy 1, à C lerm ont. Equipe t co n tre équipe 3. A utres éq u ip es : en traîn em en t. A T HL E T I S ME ET ROUTE. E n tra în e m e n t à 9 h. 30, a u S tade. . A — P I I I T Il/A T E IIQ Ç P ° u r r é a l i s e r d e s uU L ItV A ItU no é c o n o m ie s ap p ré c ia b le s e t m a n g e r u n b o n p a i n n a t u r e l p ro c u re z -v o u s : BASKET au 24 [Mat .* ri nul: tiieien-Léon- 44, ru e d e s G ra s, 44 Spéci al i t és d e M a n te a u x 5 % 19 20 ........ i % 1928 (« « .). 6 % 1920 ........ 6 % ! 927 ........ B o n T ré* o r6 % 2 5 — 7 % 26 — - 27 ObL Me. 1 9 -2 1 .. — 2 2 -2 3 .. ObL 6 % 1 9 2 7 .. Cils, a u l 1 9 2 8 .. Crédit National 19 20 National 21 (bais) National 2 2 ........ National nou vom . . — Janvier 23 — Juin 23 — Janvier 24 Rente o r ............ Maroc 4 % 1914 Maroc 5 % 1918 Indo-Chine 3)41013 Italien................. E itériéure .......... Portugais............. Japon 1905........ 1910........ Russe 19 0 6 ....... Consolidé.. Brésil 1909 (anc.) 1910 — 1911 — Chine 13 réorg. . 1925........ Mexique 1910 est. Roumain 1 9 2 2 ... Serbe 18 9 5 ........ 19 0 8 ........ 19 0 9 ........ 1 9 1 3 ........ Turc unifié.......... - 1 9 1 4 .......... gypte unifié_ _ _ Douanes ottomanes. P. T. T. 5 % 1928 94 .. V A LEURS ‘240 Tréflhrlas du Havre 685 E quipe 1 co n tre C.A.S.G. 1, à P a ris, p o u i le C hallenge Yves d u M anoir. Equipe 2 co n tre A .S E . L yonnaise 1, à Cler m ont. E quipe 3 co n tre Stade Forézien, à Clerm ont. Equipe 4 co n tre U.S. F lorinoise, à Ste-Flo U ne. contre |rl KmiCrocq IW C o u rt pr*c«d FOND» D’ETAT H 46 -88 40 3 %.................. 3 % w i u r t ........ 3 1 / 2 % ............ 4 % 1 0 1 7 ........ 4 % 1 9 1 8 ....... r tns. f> ° ” [du J o u r 1012 DEPECHES COMMERCIALES L ondres, 28 septem bre. Oaoulohouo, P a ra fine H ard, 3 sh. 3/4. Le H avre, 28 septem bre. Cotons. — T endance à peine soutenue. Ven tes, 2.350 balles. Jan v ier, 210 ; février, 213 ; m ars, 213 ; av ril, 214 ; m ai, 216 ; Juin, 218 ; ju illet, 220 ; août, 220 ; septem bre, incoté ; oc tobre, 209 : novem bre, 205 ; décem bre , 209. septem bre 1932, 221. Cafés. — T endance soutenue. V entes, 500 sacs. Jan v ier, 184,25 ; février, 284,25 ; m ars, 186.75 ; av ril, 186,75 ; m al, 188,23 ; ju in , 188,25 ; ju illet, 188,75 ; aot, incoté ; septem bre, 181,25; octobre, 184,75 ; novem bre, 184,75 ; décem bre, 184.25. Sucros. — T endance ferm e. C ourant, 218,50; prochain, 212, payé ; 3 d ’octobre, 212, 212,50 ; 3 de novem bre. 212,50, 213, payés. — Cote of ficielle : 217 à 221. Laine«. — T endance caüme. Jan v ier, 500 ; février, 500 ; m ars, 500 ; av ril, m ai, ju in , ju il let, août, incotés ; septem bre, 500 ; octobre, 500 ; novem bre, 500 ; décem bre, 500. BOULE DU CENTRE. — Tous les sociétaires sont priés d ’assister à la réunion, qui a u ra lieu jeu d i, 1«- octobre, à 20 h. 30, Café Chan- P luie ou neige (d : m idi telauze, place G ainbetta. à m idi) ........................ 1 4 • a O bjet de la réu n io n : L’o rg an isatio n d ’un concours en tre socié Nord Nord taires et m em bres h o n o raires. Vent (â m id i)................. tr. faible tr. faible UNION CYCLISTE OLERMONTOI8E. — Mer credi, 30 septem bre, à 20 h 30, a u siège so B arom ètre à m idi (niv. de la m er) : 764 0 cial, café Brousse, réu n io n p o u r tous les m em bres du Comité, sa n s exception. TEMPS PROBABLE O rdre du jo u r. — 1. C om pte-rendu du G rand P rix « G uitiard » ; 2. S an ctio n s à prendre, p o u r le m ard i 29 septem bre co n c e rn a n t le ch am p io n n at de fond ae la so Un an ticyclone persiste s u r l ’E urope Occi ciété ; 3. q uestions diverses. (767 su r la F ran ce). Une dépression La présence de tous les m em bres du Comité dentale est au sud du P o rtu g a l (756). est indispensable. Tem ps ch aud, ciel n u ag eu x et brum eux. Oour« de clô tu re du 98 eeptem bre BLES. — Soutenue. D isponible, cote offi cielle, 155-157 ; c o u ran t, 163,25, 163, payés ; p ro ch ain , 163,25, payé ; novem bre-décem bre, 163,50, 163,75 ; 4 de novem bre, 164,75, payé ; jan v ier-fév rier, 165, 165,50. FARINES. — T endance sans affaires. Coura n t, Incoté ; pro ch ain , 221 v en d eu r ; novem bre-décem bre, incoté ; 4 de novem bre et janvier-févrieT, incotés. MAIS. — T ous inçoté«. m a r c h e r, là , to u é d ’u n co u p , e t q u i ne IV v e u t p lu s r e p a r ti r . — M ais je v ous p a rle de l’e n fa n t, v o y o n s Ta g o rg e de la C lue e s t d é jà b le u ie p a r s ’im p a tie n te u n p eu l a je u n e fem m e. De l ’o m b re d u jo u r d é c lin a n t, lo rs q u e M m e d e q u o i se p la in t- il ?... S av ez-v o u s ?... ' L o sta n g e a r r iv e a u h a m e a u de C h asse. — De la g o rg e , a d it m a s œ u r. M êm e — N o u s v ’Jà chez n o u s , dirt le g u id e e n qu e, p a r m o m en t, il é to u ffe et a lo r s , il f a it m o n t r a n t d u d o ig t l ’u n e d e s prem ière® q u a s im e n t c o m m e... u n je u n e coq. m aison® d e v a n t la q u e lle p lu s ie u r s e n fa n ts . L a g o rg e ... voix r a u q u e .., m o n o lo g u e s ta tio n n e n t a u to u r d e l ’a u to q u e le c h a u f a d o c to re sse d e v e n u e a n x ie u s e . S e ra it-c e fe u r e ssa ie de r é p a r e r . le co u p ? S u r la p o rte s ’o u v r a n t a u re z -d e -c h a u s E t v iv e m e n t : sée, la je u n e p a y s a n n e , q u i g u e tte le r e to u r A M endez-m oi là , n o u s p a r t ir o n s cn- de so n fr è re , l ’a c c u ie lle av ec u n v if m é c o n sem b le, d écid e-t-elle en se d ir ig e a n t v e rs te n te m e n t. la v illa . — E h ben, Jo s e p h , tu n e r a m è n e s d o n c Q u elq u es m in u te s p lu s ta r d , elle e n r e * p a s le m é d e c in ? s ? r L coiffée d ’u n c h a p e a u de to ile e t m u —- B en, n o n , M a rie tte . U n ’y é ta i t p a s. n ie de so n p a r a p lu ie en g u is e d ’a lp e n s E lle lève les b r a s a u ciel. tock, c a r elle s ’e st e n fin p a e rç u e de la — P a u v r e s de n o u s ! Q u ’aid o n s-n o u s de d e p re s s io n p r é s a g e a n t l’o ra g e . — S i je ne s u is p a s re n tré e à la n u it, m i v e n ir a v ec ce p itc h o u n q u ’a l ’à i r d e v o u lo ir g n o n n e , d it-elle à S u z a n n e e n l ’e m b ra s tr é p a s s e r ! — T ’in q u iè te p a s. L a d a m e q u e v ’i à d o it s a n t, tu n e t ’in q u ié te r a s p a s. C’esit ru e je en s a v o ir a u t a n t q u e M ’sieu le d o c te u r, s e r a i re s té e a u c h e v e t d u p e tit m a la d e . P u is , a u c o m m is s io n n a ire , e n lu i Pen p u is q u ’elle le re m p la c e . U n n a ïf é to n n e m e n t se p e in t s u r les d a n t sa p h a rm a c ie p o rta tiv e : t r a i t s d e M a rie tte q u i se re m e t a sse z n é a n « D o u cem en t, je u n e h o m m e, c ’e st fr a g ile Ils s ’é lo ig n e n t d e F o n tv iv e p a r le ra c m o in s p o u r d ire à J a c q u e lin e : — E n tre z , M ad am e. J e v a is v o u s c o n co u rc i p le in d ’o m b re e t d e f r a îc h e u r q u i a b o u tiit n o n lo in d u b u re a u de p o ste où d u ir e p rè s d u m a la d e . « Q u elle a v e n tu r e , S e ig n e u r I C’e st h e u J a c q u e lin e la is s e le m o t d e s tin é à C la u d e S y lv e s tre . re u x q u e v o u s soyez m é d e c in , c a r je le P u is , to u jo u r s en c o m p a g n ie d u g u id e , tro u v e b ie n b a s, ce p a u v r e t » elle so h â te v e rs le d ra m e in c o n n u o u i d é Dès le se u il d e la c h a m b re o ù , d u g r a n d b u te e t l’a tte n d là - h a u t. * l i t 4 b a ld a q u in , s ’e x h a le en saccade® b rè ves la re sp ira tio n sifflan te de l’enfan t, la doctoresse étab lit 6on d iagnostic. A llons, c ’est bien ce qu elle c ra ig n a it, il est sa n s d oute g ra n d tem ps d ’aviser. T oute à son d evoir professionnel, elle va a u m a la d e sa n s se p réo ccu p er de l'e n to u rag e. Une double ex clam atio n, m élange de su rp rise , d ’effroi, brise son élan. — Jacq u e lin e 1... Vous 1!I Un p eu décontenancée, elle fixe ses in te rlo c u te u rs et recule, b a lb u tia n t à son to u r : — P ie rre 1... B erthe 1.. Elle recule encore, p âle, les lèvres ser rées. U n trem b lem en t nerveux la secoue ; ses a rtè re s b a tte n t à se ro m p re ; elle étQuffe e t se d em an d e u n in s ta n t si son én erg ie physique trio m p h e ra de l ’angoisse qui la poigne. Il le fa u t cep en d an t. Ce n ’est p lu s elle qui d o it co u rb er le fro n t, d év o rer en «ilence des la rm e s de h o n te ou de d o u leu r. Les rôles so n t c h a n gé«. Le couple q u i eot là, h o rrib lem e n t an^ xieux à cette h eu re, s !est jo u é d'eiie j a dis. E t, de cela, elle g a rd e u n e ra n c œ u r d o n t la cendre des a n n é e s a pu rec o u v rir la b raise sa n s l ’étein d re, p u isq ue cette r e n contre am asse u n e colère fo rm idable en so n âm e. âm e bonne, co m p atissan te, créée p o u r to u tes les ten d resses, to u tes les m isé rico rd es au ssi eit qui, p o u r ta n t,’ au souve n ir des in ju re s d ’a u tre fo is, sen t g ro n d er a u fond d'elle-m èm e une h a in e féroce. Bourse de Commerce de Paris AOTIONB 765 774 41 560 !! 1100 . . 3200 .. Pdchlney............ 1225 Sazde Lyen........ 1300 7oô 1780 3100 1860 450 2105 375 1880 290 396 1881 305 370 1260 950 !! .. .. .. .. — _ prie.. 1000 1400 1127 1176 .. .. •• .. .. .. •• • .. .. .. 876 1406 681 1380 1970 Tréma de Lyen. . . 600 Mines h lenkte, C. 866 — de 8tonzy.. . 776 960 1400 1424 600 de la Loire. --lo c h e -la Met 286 36 35 StoîdMwière111!1.1. Firmln.............. 197 Lake Conlre (Ast). 234 370 orliaa tio nb 900 ♦ 1/1% Micheln 6 % . . . Mydre-floctr. d’Aev PAYS (A etl« f» ) .. .. .. .. , BOURSE DE LYON Nydreémcér.d'Auv 1206 2030 359 1251 925 988 1375 1105 1930 1290 870 1370 ••• 995 910 1200 •••• • •• 690 841 1845 , 166 . . 229 . . ‘»4 50 »1 . . 82 . . 63 . . 468 . . 450 . . 3 3 0 « .. 342 . . 60 . . 55 . . 79 75 84 . . ... . . 995 . . 1025 . . 44 . . 48 75 88 . . 83 . . ... .. ••• •• 21 75 27 . . 269 . . 274 . . 18 60 16 25 83 . . 82 . . 62 . . 65 . . 48 50 48 . . 1125 . . 1136 . . * • •• •• • *•*•••• 546 . . 1060 .. 569 552 128 50 140 330 325 1800 1850 865 898 1530 1506 TR A N SPO R TS E lf....................... P^L-M.................. Miéi...................... S o i t . . . .............. QrléOM . . . . . . . . Ouwt.................... Métro.................... Nord-Sud.............. Roaario ord.......... Santa F é ........... Ouénos Aires___ Chem. do for Maroc Tanoor à Foi — Tunisiens.............. T.C.8.P............... S.I.T.A................ .. .. .. .. .. .. 74 . . 2600 . . 220 . . 1780 . . 1 5 2 0 0 .. 206 . . ... . . ** ’ ' 1260 I! '686 Charboenag. Tonkin 3150 ÜoaiHèm Hto-Loire 685 Maries.................. Pontgibaud............ 1680 Mokta-et-NadW. . . 2660 lig-THito............... 1645 Sesnowies........... 425 Sucreries d'Egypte. Central Mining. . . Wagons Lits......... Energie Industrielle Signaux électriques Micheviila.............. Denain 4 Anzbi... Économats du Cent, fiez du Nord et Est. Lorraine d Electric. Havraise d'énergie. Union d’Electricité. Kandelatt.............. Kuhlmann............. Sucreries Say — Hydro-Elect. Cèrs.. East Rato............. CoidRelds.............. HiftllltOH NotckkUs it C *.. . Nuanchaca ........... Jagnthntoia......... Maltzofl................ Mozambique......... Rand-Minot........... Shanxi.................. Transvaal Land... Fin. Caoutchoucs.. Wist Rand........... MichtUa 1/6 pari. • • ••• • • • • • ••• 73 . . 2505 . . 2C6 . . 1725 . . 1 5 5 0 0 .. 202 . . ••• •• ... . . 1180 . . •• •• 172 . . 220 . . Etoto4Me. Italie........... Norvège.. . . . Tchéco-Skvag s is 1000 1200 Sulsee... Autriche.. 695 640 1450 Pologne.. Argentine. 9» 76 26 31 88 25 23 31 353 35 450 228 25 1 0 1 7 .. 125 476 *• 363 7 6 227 50 102125 128 75 684 7 •• 511 496 . . 496 .. • sa & . 1, , . •• 7 • • AVOINES. — S outenue. C ourant, 86,50, payé; prochain, 84,84,25 ; novem bre-décem bre, 89,25, payé ; 4 de novem bre, 84,25 payé ; janvierfévrier, 85, payé. SEIGLES. — Tous Incotés. ALCOOLS LIBRES. — T endance calm e. Cou ran t. 815, payé ; octobre, Incoté : 3 d ’octobre, 780, payé : novem bre, Incoté ; 3 de novem bre, incoté ; décem bre, incoté ; 3 de décembre* incoté ; 3 de Janvier, incoté ; 3 de lévrier, iiv coté. HUIES DE LIN et COLZA. — Tous incotés. S U P P R E S S IO N O I S TR A IN S DE LU X E PY R ÉN É E8-C O TE D ’ARGENT E T B A R O E L O N E -E X PR E S8 Les tra in s de luxe ■ Pyrénée-Côle d ’Argent » et « B arceJone-Express » seroDt su p prim és ju s q u ’à nouvel avis au d ép art de P aris, le p rem ier à p a rtir du 11 octobre, le second A d a te r du 4 octobre 1931. P o u r le retour, le d ern ier d é p a rt de ces tra in s a u ra lieu pour le < Pyrénéea-Côte d ’A rgent le 11 d'H endaye et pour le ■ Barcelone-E xprcss » de Cerbère le 4 octobre 1931. P e n d an t les périodes de suppression de C66 train s, des w agons-lits sero n t incorporés, d ’une p art, d an s les tra in s 23 à d estination d ’Iru n (départ de P aris-Q uai-d’O rsay ■ à 10 h. 23) et 24 en provenance d'H endaye (a r rivée à P aris-Q uai-d'O rsay à lo h. 30) ; d ’a u tre p art, d an s les tra in s 67 n destination de Port-Bou (départ de P aris-Q uai-d’O rsay S 10 h. 15). Les tra in s 23 et 24 com porteront des wagon«-llts de 1 " et de 2» classes. En affaires, il est indispensable da lutter contre l’inattention, 1*indifférence ou l’oubli : c ’est précisément la réla de la Publicité. D urant quelques seconde« in te rm in ab lss, elle se ta it. P uis, d ’une ivoix rau q u e , h a chée d an s sa bru sq u erie : — Cet en fan t... est à vous... M on«l«ur..a M onsieur ü o rn o c ? interroge-t-elle. — Oui... Ja c ... M adam e, b albutie l'in terpellé. — U nique, probablem ent ? — E n effet. — C’est à l’o rd re du jo u r, ironise-t-ells. V ous en avez donc fa it votre idole, l ’o r gueil d ’un nom que vous êtes le d e rn ie r a p o rter... — Je l ’avoue. Mon p etit A ndré ost c i que j ’ai de plus c h e r au m ondé. — Aussi exclusif que m a la d ro it, c’ést com plet 1 gronde en tre scs d ents Mme de L ostange dont le re g a rd fu lg u rs sous les sourcils rapprochés. «< “ CMSt d ev an t m ol. ù m oi-m êm e, -continue-t-elie s u r u n to n d ’am ère raillerie« que vous oses cet aveu 1 « C ynism e ou inconscience ? Je ne sais« En to u t cas, m es sc ru p u les s’évanouts* « e n t M au d lw g i la p a n n e qui vous a Im m obilisés d a n s ce désert. — Que voulez-vous d ire t — Ceci : J« tie n s m a revanch« — sp len dide, v raim en t i — j e ne la lâ c h e ra i dS L ” ~~ k vôtpe. le « sien scande-t-elle avec u n geste de m ép ris vers «Mme D ornàc, est a tte in t d s d ip h té rie la ry n g ée, du croup... («i su ivre). L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL vosyewr. — Grand-père, pourquoi portezvous ces affreuses lunettes ? — Mon enfant, c'est que, de notre temps, on ne savait pas s’éclairer» Une, lumière mauvaise Or, une bonne vue est une chose si précieuse que l’on dit ; “ J’y tiens comme à la prunelle de mes yeux O ocasion ex cep tio n n elle par t i c u l i e r v en d M athle enaysix 1929, c o n d u ite in térieu re, 4 p la c e s w e y m a n 8.500 fr. ; P eu geot 10 CV c o n d u ite i n té r ie u r e 4 p la c e s 1929 im pec. 7.500 fr. 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MARCHE AUX BESTIAUX La Villette, 28 septem bre, r, ALLURE GENERALE DU MARCHE GROS BETAIL. — Vente m a u v a is , cour* faible*. ’. . ' ‘ j On cote à la livre n ette : * BŒUFS'. — Les bœ ufs b lan cs ch aro lia is, n iv e rn a is. b o u rb o n n ais, berrich o n s, o n t valu en beaux ch â tro n s e x tra a ila n t ju s q u 'à .«mu liv re s de vian d e nette. 4.60 à 4.90 ; bons a n i m au x de 800 a l.iîoo liv res 4.30. a ' 4.60 ; bœ ut« o rd in a ire s 4 à 4.30. Les S aiers du Centre et bœuf* ro u g es d i vers ont été la its en e x tra 4.30 à, 4.t>u ; en bons bœ ufs 3.70 à 4.20 et en o rd in a ire s 3.30 à 3.60. Les bœ ufs lm ousins ou d o rach o n s m a n q uent. Le» bœ ufs d u Midi 6e so n t vendus de 3 4 4. VACHES. — Les génisses e x tra on t été tr a i tées en lim o u sin es ou b lanches 5 a 5.4u ; ro u ges e x tra 4.50 a 5 ; genisses o rd in aire« de to u tes races 4.20 a 4.4o. En vaches, les je u n e s ont changé de m ain* de 4.10 a 4.50 ; o rd in aire * 3.50 a 4 ; u ie d l» c re s 2.80 à 3.40 ; viande à saucisson, 1.50 à 2. TAUREAUX. — Jeunes ta u re a u x de ferm a e x tra 3.60 à 4 ; o rd in aire s, 2.70 a 3 50. VEAUX. — Vente très m au v aise, recul <>.e *ix à dix sous p a r livre. On cote a -a livre nette : Les veaux to u t à fait e x tra de 130 à 170 li v res de viande des m eilleu res pravenoncesj o n t v alu p a r b an d es de 5.60 à 6.3o et de 6,30 à 6.60 a u détail. Veaux p lus o rd in a ire s des bous ray o n s 5.20 a 5 Go. En veaux a robe blan ch e on a fait les m eil leu rs de 5.30 a 5.80 et les nuorvandiaux da 4.80 4 5.20. Las veaux de service se « ont v en d u s en aveyronnui» 5 4 5 Go ; lim ousins 5 à ô.Gü ; a u v e rg n a ts m an q u en t. MOUTONS. — Vente m au v aise, cours fai* b1 « . U n cote à la liv re nette : Les ag n eau x e x tra fa isan t ju s q u 'à 36 liv res de viande n ette ont été traitéâ en S o uihdow u 8 4 8.80 ; croisés 8.50 à 8.70 ; Ü ishleys-tnénno», 7.70 à 8.20 ; b o u rb o nn ais, n iv ern ats, b er richons 8 30 a 9.30. En m outons de term e on. a tenu les D tshJ leys-rnennos 7.10 à 7.80 ; b o u rb o n n ais, u t veruaia 7.80 a 8.40 ; b errich o n s 7.70 a 8.30 Le* m outons a u v e rg n a ts se sont étab lis de5.90 4 650 ; lim o u sin s 6.70 a 7.20 ; hizets du P la te a u C entrai 6 20 à 6.70 ; lozérots 5 90 à 6.30 ; gascon s 5 50 à 6 ; a v e y ro n n a is 5.50 à 6; Puy-de-Dôm e 5.80 4 6.40. E n b reb is on a vendu les D ishleys-m érlnos 4.80 4 5.90 ; b o u rb o n n aises, n iv ern aise s 4.70 a 5.20 : gasco n n es 4.50 4 4.80 ; m eres usées, ».70 4 l i a ” ............... *' R A D I O - P A R I S : 1 .7 » m . — 6 b . 45 : C u ltu re p h y «iqi.«. — l h . 30 : M étéo. — 7 h . 45 : M u siq u e enr e u s tr é e . — 8 û. : lu to n n a tlo n s . — là ù . 30 ; L a d e n n -h e u re O déon. — 13 h : b o u rs e . — 13 h. 05 : M u s.q u e e n re g is tré e . — 13 h. 30, 14 b ., 15 b . 35. 18 n . £> . b o u rs e . — 18 ù. 30 : M u siq u e e n re g is tré e . — ta n. : C h ro n iq u e de l ’E r p o s itio n c o lo n ia le . — 19 h . 30 : c o m m u n iq u é a g ric o le . — 19 b. 45 : in f o r m a tio n s . — 90 n . ; S u i t e de vals e s ( F ra n z Le h a r). — 90 b . 30 : R é s u lta ts s p o rtifs . — 20 h» 40 ; C h ro n iq u e de P a u l R eb o u x . —91 h. 15 ; I n f o r m a tio n s . TO U R E I F F E L : 1.444,8 m . — 18 b 45 : J o u r n a l p a r lé . — 90 h. 20 ; M étéo. — 20 h. 30 : M étéo. — i d h: 30 : C ita tio n s in te rp r é té e s . — 91 b. .- R ad io c o n c e rt. à Riom. l/[|IO de ta b le et de d essert lln ô — p rix m odérés R EPR ESEN TA N TS sérieux acceptés. Ecr. BREGOULAT, à Salces (P yrénées-O rient.) « L ’A V E N I R » DU PLATEAU CENTRAL est en vente tou* les jours dans les kiosques suivants i P A R IS B oulevard S t-G erm atn, d ° 134. Place de la République, n° 13. Place de la République, n<> 3. B oulevard S a:nt-M arttn, n* 1. B oulevard du Tem ple, n» £9. Boulevard Diderot, n® 21. Bd D iderot (lib rairie), u° 43. Bue S aint-D euis, o* 5. B oulevard Saint-M ichel, n° 63 Boulevard Montmartre, n* 20. Boulevard P oissonnière, n» 2. Boulev Bonne-Nouvelle, d ® 18 Boulevard Saint-Denis, nr 22. B oulevard S aint-D enis, n® 13. Bue M ontm artre, n® 183. B o ulevard des Italien s, o® 8. — — n® 1«. — — n® 20. REMBOURSÉ Encore Terribles des HanxPreuves: Insomnie et Douleurs Soulage rapidement les de dents bannis Maux de Tête P«r “ iSPR0 Comme j’emploie régulièrement votre « ASPRO », j ’estime qu’il est de mon devoir de vous écrire concernant tout le bien que ces tablettes m’ont fait, .Pendant des années, j’ai souffert de forts maux de tête et j ’ai trouvé qu* «ASPRO» me soulage très rapidem ent sans laisser aucun mauvais effet quel conque. J ’ai recommandé les tablettes « ASPRO * à tous mes amis et tous en font l’éloge. « ASPRO » devrait se trouver dans chaque m aison. .. (Signé) M«® O. N . LEE, f r . Boulev. des C apucines, n® 2. Boulev. des Capucine*, n® 10. Boulev des C apucines, n® 12. Place du P alais-R oyal. P lace du T h éâtre-F rançais. Avenue F ried ian d , n® 81. Rue Saint-A ntoine, n® 100. Boulev df la M adeleine, n® 15 Bibliothèques de la gare de Lyon. NICE LYON B ibliothèques g are P errache, vestibule et quai. VW----- Sommaire du num éro opéeial do toptombro L a ré g to n de L a V o û te -C h ilh a c : L a V oûte e t son p rie u ré n o tic e s s u r to u te s les c o m m u n e s d u c a n to n ; le u rs n o m s a n c ie n s (H e n ri G ilb e rt). — S a in tllp lz e (L M a u ra n n e s ). — V ieux c h e m in s d e la ré g io n de L a V oûte ( P ie r re M am et). — P ro c è s -v e r b a l d » l ’Io v d n tlo n d e N o tre -D a m e T ro u v é e , 14M ( E x tr a it d e s y N o tices h is to riq u e s • d u c h a n o in e E y m è re ' — Lis P e n ite n s , c o n te e n la n g u e d ’oc (H e n ri G ilb e rt). — R e g io n a lism # : l ’im p r im e r ie à l ’é co le (V ic to r C o u d e rt I n s titu te u r à M ercœ u r). — Nos c o m p a trio te s h o rs d u p a y s (H e n ri G ilb e rt). — B u lle tin de la S o ciété ■ L ’A u v e rg n e ». d e L y o n (A n to in e G ilb e rt). • Ce b e au n n n é r o c o n te n a n t s ix Illu s tr a tio n s , d o n t iu g tr e d u p e in tr e G a b rie l M olselet. e s t en v e a te a a L ib r a ir ie d e « L ’A v e n ir »,,4. ru e B la tln , à C le r m o n t P r ix , t fr . 50 E n v e n te à la m ê m e l i b r a i r i e ’ : « L a C o v lsa d a », p a r H e n ri G ilb e rt (G ra n d P r ix de p ro se e n la n g u e d ’orJ e t 1 • A rm a n a c d ’A u v e rn h a ». S Pendant un certain tem ps, j ’ai terriblement souffert de maux de dents. On me conseil la de prendre vos merveilleu ses tablettes « ASPRO * et j ’ai trouvé le remède vraiment efficace. Les douleurs dispa raissent au bout de 10 minu tes. je vous autorise à publier ces quelques lignes en signe de reconnaissance. (signé) CUISINIER Valére (Fils) 8, r . du Médecin, Pâturages. ’ASPRO’ BTMHNEI LIEUX CONTRE L E S MAUX DE TETEZ C IN S 0 H N IE >MÊME UN ENFANT PEUT PREN DRE ® ASPRO ’ Il y * deux méthodes très sim ples de donner « ASPRO n aux enfants : a) avec un peu de laltg b) casser la tablette et l’admi nistrer dans une cuillerée à café déconfiture. Les doses son t! Enfant» dé S à 6 ans, une demi« tablette — de * à 14 ans, une tablette — de 14 à 18 ans, une tablette et demie. « ASPRO » comme tout autre médicament ne devra pas être donné aux enfants ftgés de moins de trois ans sans avis médical. FOIRES i MARCHES che, de 2.25 à 2.50 l'u n ; fro m ag es de chèvre 1.50. P ouiets, d e 6 à 6.50 le dem i-kilo ; can ard s, 3.75 à 4 fr. ; oies', 4 fr. ; pigeons, 10 à J2 it. la p a ire ; la p in s dom estiques, 3.75 à 4 fr. la livre. G ibier : lièvres, 5 à 5.25 la liv re ; lap in e de g a re n n e de 10 à 12 fr. l ’u n ; p erd rix g ri ses 9 à 10 fr. lu n e ; p e rd rix rouges, 12 fr. M ontluçon. — Le m arch é du 26 septem bre. — U fu t favorisé p a r le beau tem ps et d u t à cette circo n stan ce une im portance pins g ran d e. B eaucoup de p ro d u its de la ftrm e e t de p ro d u its m araîch ers. Les cours t« m a in tie n n e n t. On co ta it : B eurre. 7 fr. la livre ; œ ufs, 7 fr. la dou zain e ; fro m ag es d u pays, de 2 à 5 fr. pièce su iv a n t p o ids et qu alité. P oulets, 5.75 ; la pin s, 3.50 ; oies, 4.50. ; c a n a rd s 5 fr., le to u t à la livre. Én fin de m arché, la baisse s u r les v o lailles a été sensible. P o m m es de terre, 30 à 35 fr. les 100 kilo». Douleur so u la g ée ou argent remboursé o'est la Garantie d’ “ ASPRO ” Voici an message d'espoir pour tous ceux qui so u ffren t : « S i « ASPRO » ne soulage pas votre douleur, nous nous engageons & vous rembourser votre argent sans discussion à condition que vous nous écriviez endéans les quinze jours qui suivent Immédiatement votre achat et que vous nous retourniez le carton vide. Pouvons-nous faire quelque chose de mieux ? Pouvons-nous m ontrer une plus grande confiance dans notre merveilleu emede ? Pourquoi ne pas acheter un paquet de tablettes « ASPRO » aujourd'hui et en faire l’essai? Vous ne faites pas tous les jo u rs une expérience et «ASPRO» est merveilleux. « ASPRO » n ’est pas une drogue dangereuse ni un narcotique, il ne drogue pas, il n ’affecte p as le coeur, un enfant peut en faire usage. U calm e, apaise et fait dispa raître toute douleur, laissant la Nature com pléter la guérison. Exigez que l ’on vous donne bien « ASPRO » lorsque vous le demandez ». LES E F F E T S D ’ “ A S P R O ” Il a r r ê ta un violan t m a l do tê ta an 6 à 1 O m in u ta * . Il t r i o m p h a d a l 'I n a o m n l a a t g a r a n t i t u n a o m m a il p a ia ib la . lit. Il Il aou laga la s tr o u b le s d e la erolaaan oe. Il aauva la* d on ts sa in e * an o a lm a n t la d ou leu r. * Il aoulaga s a n s Ja m a is d é te r m in e r d* trou b le* e t l ’o r g a n is m e n e * ’y aoooutum * p a s. Il n 'a f's o ts ja m a is la ooour. Il a p a is e l’irrita b ilité. la 10 la 25 : . . De L u n ile r e e t R a d io 17 h.. B ru x e lle s f r a u ç a ls ; C o n c e rt c o n s a c ré & Lezoux. — F o ire du 26 septem bre. — Marché l ’o p é r a f r a n ç a is . — 19 h ., R ig a t C o n c e rt B e e th o ven. -^ ,'49 h . 20 : B e rlin : C o n c e rt W a g n e r. — co u v ert . B eurre, 7 fr. la livre ; œuf», 8 à 19 k . .30. B u d a p e s t : F a ls ta ff, d e V erdi. — 90 h ., 8.50 la do u zaine ; lap in s, 3.50 à 3.75 la livre ; poulets, 25 à 40 fr. la p aire ; can ard s, 30 à B ru x e lle s ' f r a n ç a is . C o n c e rt M en d e lsso h n . — 90 h., R a d io -P a ris : R êve de V alse. d ’O sc a r S ta u ss. 40 fr. la p a ire ; oies, 60 à 100 fr. la p aire ; 7 ir. la paire. —' 90 b .. L o n d re s e t M id la n d : P ro m s : C o pigeons, n c e rt H alle a u blé . Blé, 160 fr. ; avoine, 60 fr. H a y d n e t M o za rt. — 90 b ., S to c k h o lm : C o n ce rt B a c h . '— 90 h . 3o. P a r is P .T .T . : La- M are a u D ia à 70 fr. les 100 kilos. M arché a u bétail : Vaches, 5 à 6 fr. Je ki b le , 4. a c t e s d e H u g u e s L a p a ire , m u s iq u e d e F o u rlo veaux, 6 à 8 fr. le kilo ; m outons, 6 fr. d r a i n , - r 90 h. 50, L y o n -la -b o u a : C o n c e rt d e p le in a i r p a r l ’H a rm o n ie jdu R h ô n e. — 21 h ., B re sla u : le kilo ; porcs, 6,50 à 7 fr. le kilo. Le Rot L e a r-B e ru n N. O ., p iè c e p o p u la ir e d ’E ric h :— «e. E. S e h w a b a c h m u s iq u e d e C a ri S c z u k a. — 21 h .. Bourbon-l’A rcham bault. — M arché du 86 P o ste P a ris ie ri • C o n c e rt. — 21 h .. M ila n : C on septem bre. — Bien ap p ro v isio n n é « t asse? c e r t s y m p h o n iq u e . — 21 h ,, T o u r E iffel : C o n c e rt L. G u y S e lla e t s a t r o u p e — 22 h. to, N a tio n a l A n actif. C ours g én éralem en t p ratiq u ée : B eurre, 5 à 6 fr. la i livré ; œuf», de 6 à ^ l g l a i s . ; T b o W re c k e rs (3* a cte), d e M m e E th e l fr. la d ouzaine, en hausse ; from ages de va S m y th . < L ’ALAUZA D ’AUVERNHA » disparaissent J 'a i récemment souffert d'une attaque de fièvre rhumatismale et depuis que je suis rentré i la taaison j ’ai eu bien des nuits d’tnsomnie dues aux douleurs dans mes membres. J ’ai'essayé plusieurs remèdes mais sans résultat jusqu'au jour où mon mari me rapporta un paquet d ’ « AS PRO ». Le résultat fut étonnant. Je pris deux tablettes la première nuit et déjà je me reposai beaucoup mieux; lorsque j’eus pris tout le paquet à rai son de six tablettes par jour, j’étais beaucoup plus gaie, considérablement soulagée de ma douleur et je remar quai que le gonflement de mes articu lations avait diminué. (signé) M “ ®E. A. QODEAN. 91 R A D IO -T O U L O U SE : 361 m . — 12 h. 45 : C o n ce rt. p - 18. h. 15 C h a n s o n n e tte s . — 13 h. 30 : I n f o r m a tio n s . — 13 h 45. 17 b. : P h o to g r a p h ie s . — 17 h. NOVA. — Les kiosques en 15 : M u siq u e d e d a n se . — 17 h. 30 . in f o r m a tio n s . c a racières g ras sont ceux dont — 17 h. 45 : O rc h e s tre v ie n n o is . —18leh .dépôt : M uest si plus im p o rta n t et q u e m ilit a ir e . — 18 h- 15 : P e tits e n se m b le s. — où nos lecteurs sont toujours 18 h. 30 : in fo r m a tio n s . — 18 b. assu 45: orés p é r a de ,c h atro n t u v er l ’A V E N IR - r 19 h. 15 : S oli d iv e rs . — 19 h. 3o :In f o rm a tio n s . —' 19 h 45 : M élodies. — » h. : O rc h e s tre a r g e n tin . — 20 h. 15 : A cco rd éo n . — 20 h 55 : C h ro n i • iriPHItoERlE MU q u e de la m ode. - - 2 1 h. : O rc h e stre , o p é ra -c o m i OERNE, 15. rue du q u e . — 21 h. 30 : Soli d ’o rg u o . — 21 h . 45 : C h a n b"ort. — l.e G r’-ani s o n n e tte s . — 29h . ; O rc h e s tre d u S io n . — 22 h. H 8AINRAPT 30 : In f o r m a tio n s — 22 h. 45 : Jaz z . — 23 h . : C h a n s o n s e sp a g n o le s. — 23 h. 15 : In f o rm a tio n s . — 23 h . 30 : O rc h e s tre d iv e rs . y G* qu'il faut entendre aujourd’hui i fu' « i Douleur soulagée ou argent remboursé. Telle est la garantie d* « ASPRO ». Ceci est sans nul doute une offre exceptionnelle. Elle vous facilite Fessai d ' « ASPRO ». Elle vous permet non seulement de faire la preuve qu’ « ASPRO » PEUT CALMER VOTRE DOULEUR — mais aussi de vous assurer qu* « ASPRO » peut EN DISPERSER LA CAUSE pour la simple raison qu* « ASPRO », après ingestion, est anti-pyrétique, anti-fermentatif, antiseptique et puissant germicide^ DE PLUS, « ASPRO » A LE REMARQUABLE AVANTAGE D’ÊTRE ENTIÈREMENT ELIMINE DE L’ORGANISME QUELQUES HEURES APRÈS VOUS AVOIR SOULAGÉ. Il y a peu de remèdes possédant cette vertu. En outre, « ASPRO » ne • donne pas de nausée, il ne crée pas d’habitude — il est si pur qu’un enfant peut le prendre — il n’affecte pas le cœ ur — il ne cause pas de troubles digestifs. Emballé suivant une méthode hygiénique et merveilleuse, il vous permet de recevoir la tablette prête pour la consommation exactement dans le même état de pureté que celui où elle quitte l’usine. Pas une main d’homme ne la touche et plus important encore est le fait que les tablettes ne sont pas sujettes aux conditions atmosphériques, ainsi l’hydrolise ne peut s’y développer. Lorsque vous achetez de 1’ « ASPRO » vous recevez le plus utile remède du monde — vous recevez le remède qui a la plus grande variété d’usages — vous recevez le remède qui agit TOUT DE SUITE, il n’est pas nécessaire d’attendre jusqu’à LA SEMAINE PROCHAINE. Action rapide et sûre est son mot d’ordre. Place M asséna. P ro m en ad e des Anglais. Rue de France. Place W llscn. P A R I S P . T . T . : 447 m . — 8 h . : In fo rm a tio n s . — 19 H. : C h ro n iq u e de la v ie p a r is ie n n e e t so R oulevard G am betta. c ia le . — 19 h. lo : C h ro n iq u e d u to u ris m e . — 12 Et d an s le* p rin cip au x kios b . 25 L ’h e u re U itra p b o n e . - 13 b. 30 : M u siq u e ques de Nice. e n re g is tré e . — 18 h. : C a u se rie . — 18 b. 15 : Radio' J o u r n a l de F r a n c e — 19 h. 30 : C o u rs d ’a n g la is . — 19 h . 45 : M u siq u e e n re g is tré e . — 20 h . 98 : C a u s e r ie , te c h n iq u e . — 20 h. 30 : La M a r e a u D ia b le , piè c e en 4 a c te s, d e H u g u e s La p a ire , UmA y / ' / / / / //n ,y L ettres de N aissan ce de M ariage, de D écès clientèle bourgeoise, b ail 9 an s. P rix à d éb attre. S ’a d re sse r à D E LFIEU et VARENNE, 135, G ra n d ’ R ue, ALES (G ard). Les auditions de i.N.L ’ C artes de C om m erce C H EM ISERIE B O N NETER IE • BLANCS à rem ettre avec ou sa n s m a rch an d ise Cours approxim atifs constatés par kilo poids * vif » : 1™ q. 2« q. 3» q. Ex. Bœufs .............................. 5 58 4 53 3 45 6 39 V a c h e s ................. y .......... 5 58 4 38 3 26 6 78 Veaux .............................. 7 50 5 87 5 U 10 49 T a u r e a u x ......................... 4 80 3 84 3 15 5 33 M outons .......................... 8 65 5 69 4 40 9 60 P b rcs ............................... 7 » 6 10 4 50 7 20 A rrivages : 370 bœ ufs, 1.676 vaches, 296 ta u re au x , 1.781 veaux 15.894 m outons, 2.952 porcs. In v en d u s : 390 bœ ufs, 330 vaches, 50 ta u rea u x , 135 veaux, 2.420 m outons. i F actu res PO U R CAUSE D EPA RT PORCS. — Vente m au v aise, b aisse de d ix à vin g t centim es au kilo vif. On cote a u kilo vif ; porcs m aigre* e x tra d ’en viron 100 k ilos vifs 7 à 7.20 ; b o n s m a i g res de p ay s 6.30 à 6.80 ; p etite m arch an d ise 6.20 à 6 40 ; cochons un peu ép ais de l ’ouest et du cen tre 6.50 à 6.70 ; porc6 de l’A veyron, de Corrèze, du L im ousin, du Midi (culs-noirs) 6.30 à 6.50. Coches 4 à 5 ; laito n n es, 5 à 5.50. P orcelets d ’élevage 150 à 250 fr. la pièce su iv an t g ro sseu r e t q ualité. A rrivages p a r d é p a rte m e n ts d u ra n t la se m aine : Puy-de-Dôm e, 370 m o u to n s ; C antal. 10 bœuf*, 200 m o u to n s ; H aute-L oire. 720 m ou tons ; A llier, 50 bœ ufs, 20 vaches, 10 ta u reau x , 20 veaux, 500 m o u to n s ; A veyron, CO veaux, 480 m outons, 80 porcs ; Corrèze, lü bœ ufs, 10 v eau x ; Lozère, 400 m outons. LA GARANTIE VICHY- Vous conserverez vos yeux de 20 ans SdaireZ'VOus rationnellement MARDI 29 SEPTEMBRE 1931 boîte de tablettes boîte de tablettes 9 . U ne b o isso n ohaude e t 2 ou 3 ta b le tte s « A SPR O » a r r ê te r o n t an una n uit une a tta q u e de rhum * ou d* grippa. 1 0 . Il fa it to m b er la te m p é r a tu r e an q u el q u es m in u tes. 1 1 . Il peut ê tr e p r is à tou t m o m en t, d a n s le tr a m , d a n s le tr a in , à la m a ieo n , au bureau, p artou t e t tou jou rs. 12.11 e s t al pur qu ’un en fa n t p eu t le prendra. 1 3 . 1 1 e s t le plue gran d o a lm a n t d e s d o u leu rs d e la m en stru a tio n . 1 4 . Il am p êoh e Isa s u ite s p ern loleu aea d'un a b u s d ’aloool. 31« 7 5 71«50 ÉCRIVEZ-nous e t D ITES-nous c e q u v 11 ASPRO » m f a it p o u r VOUS. Aidez les antre* et vous vous aiderez vous-même — c’est une loi universelle. Aussi, dans l’intérêt de ceux qui souf J . H AN O N , p h a r m a c i e n de l n frent, écrivez-nous et dites-nou* com Laboratoires de conditionnem ent : ment « ASPRO » est venu à votre secours. Sonfez à tout le bien que veus 8 , rue F lattere, AMI EN8. 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A nim aux de boucherie. — V eaux, 5 à 6.80 le kilo* ; porcs g ras, 6 à 6.50 le kilo. A nim aux divers. — V aches d e .tr a it, 3.800 à 4.300 fr. pièce ; vaches laitières, 2.000 à 3.Q00 fr. pièce ; jeu n es p o rc s ' Jaltons, 6.50 à 8 ir. le kilo ; n o u rra in s, 6 à 7.50 le kilo. poulets, 15 fr. le kilo ; lap in s, 6 fr. le kilo ; ch âtaig n es, de 1 à 130 le kilo. A nim aux de boucherie. — V eaux, 6 à 6.50 le kilo ; m outons, 4 à 5 fr. le kilo ; porcs g ras, 7 fr. le kilo LES FOIRES DE LA SEMAINE [Suite) JFUDI l " OCTOBRE Loire : B oën-sur-L ignon, F irm in y (m arché au x bestiau x ), M aclas (m arché au x bestiaux), Saint-C ham ond (m arché au x bestiaux), Usson-en-Forez (m arché a u x bestiaux), Vougy. Lozère : Le Coliet-de-Dèze, Paulhac-en-M argeride. Puy-de-Dôme : A m bert (m archés a u x veaux et au x porcs). St-Genest-CHampespe, m arché au x veaux),' M nrtres-sur-M orge. M ontaigut-lelanc, P ont-du-C hâteau, Saint-D onat, S ulntChalinargue*. — La Faire. — L a foire qui B s ’est ten u e à C halin arg u és le 25 septem bre Réiny-sur-D urolle, T auves. VENDREDI 2 a été tré6 im p o rtan te De trè s, bonne heure les d iv ers ch am p s de foire é ta ie n t bien g a r Allier : M onlins-sur-À llier, Salnt-L éon (m ar n is d 'an im au x de to u tes catégories. On e n re ché a u x veaux), U rçay. g istra une baisse sérieuse s u r les cours pré Aveÿron : Aubin (m arché a u x g rain s), P ru lcédente. Aussi beaucoup d 'a n im a u x , su rto u ti nés, R ieupeyroux, ,Sainte-G eneviève-sur-A rdes m outons, re stè re n t invendus. Voici un gence. aperçu des co u rs p ra tiq u é s : G antai : Cheylade, T alizat. Bœufs de tra v a il, 5.000 à 6.800 fr. la p aire; Corrèze : Juillac, Lu be rsa c (foire a u x che bœ uîs de boucherie, 150 à 230 fr. les 50 kilos; vaux), Saint-M erd-de-Lapleau. vaches laitières, 2.000 à 2.500 fr. l'u n e ; d o u Creuse : B onnat (foire au x ch evaux et a u blons e t doublonnee. 2.000 à 2.700 fr. ; m ou tons, peu d em andés ; porcs gro s 310 à 330 tre s a n im a u x ), F elletin, Le G rand-B ourg, StD izier-L eyrenne. Saint-Sulpice-les-C ham ps. fr. les 50 kilos. Les m a rch an d s fo ra in s e t les com m erçants Haute-Loire : Le Puy-en-V elay (m arché a u x de la localité firent, m alg ré u n froid trè s vif, veaux). d'ex cellen tes recette*. Lelre t R oanne (m arché au x b estiau ?), StBonnet-le-C hûteau, Saint-B onnet-le-C ourrèau V illefort (Lozère). — M arché d u 24 septem (m arch é a u x bestiaux), Saint-É tienne (m ar bre). — B eurre, 16 à 18 fr. le kilo ; from ages, ché au x bestiaux). Lozère : L aval-du-T am . 5 fr le kilo ; œ ufs, 8 à 9 fr. la douzaine ; Puy-de-Dôme : Giat, P ionsat, V olbelaix (m arché au x veaux). SAMEDI 3 Allier t Cusset, Le D onjon. Aveyron : A uhrac (com m une de Saint-Chê» ly-d’A ubrac), C ransac (m arché a u x grain»), D urenque, Rodez (foire p o u r les a n im a u x de boucherie, les chevaux et les cuirs), V abre. Cantal i L avastrie, R iom -ès-M ontagne (m ar ché aiix from ages en gros), V ieillespesse. Corrèze ! Ayen, B eaulieu - su r - Dordogne (C orps-Saints). Bort. Brive, C ondat-sur-G anaveix, L agarde, M eym ac, Uzerche. C reuse : Blessac, G uéret, M arsac. Haute-Loire : B rioude. L oire: C harlieu (m arché au x b e stia u x ), M ontbrlson (m arché a u x bestiau x ), St-Etlen«4 ne (m arché a u x porcs). " Lozère : Aliène, Les L aubies, Mende. Puy-de-Dôm e : H erm ent, La Bourbould (m arché a u x veaux), Issoire (foire et m tr» chés a u x vins et a u x v eau x ), O lliergues, btA m ant-T allende. Saint-A vit. M ARCHÉ AUX VINS Nîmes, 28 septembre. Cours officiels de la Cham bre de commerce | Trois-6lx bon goût, 100 degrés, 700 fr.; de-vie bon goût. 100 degrés, 650 à 650 ff.; eaude-vie m arc. 100 degrés. 630 à 650 fr. V ins rouges aram o n s p la in e et supérieur, 9 fr. 50 à 10 fr. le degré ; m ontagne et cootlères, 11 à 12 fr. le degré, su iv an t couleur, q u alité, récolte 1931 à enlever. Le to u t n u p ris à la propriété. » H IIP R IM B R IS 8 OB L* e A V BN IH g t r a v a u x en t o u s g e n r e s