Compte-rendu de l`audience du 18 10 2016 - Sgen

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Compte-rendu de l`audience du 18 10 2016 - Sgen
Compte-rendu de
l’audience du 18 octobre 2016
accordée par Madame la Rectrice
de l’Académie d’Orléans-Tours
La nouvelle Rectrice, Mme Katia BEGUIN, a reçu le Sgen-CFDT Orléans-Tours en présence du Secrétaire
Général du Rectorat, M. Michel DAUMIN, et de son Directeur de Cabinet, M. Dominique MALROUX.
La délégation du Sgen-CFDT Orléans-Tours était composée de : Anne HEDDE, Secrétaire Académique
adjointe et conseillère fédérale, Yann MASSINA, responsable académique pour les équipes de direction,
Barkaroum REAILLI, secrétaire fédérale et Trésorière, Bernadette ROBIN, secétaire fédérale, élue CAPA et
CAPN, responsable académique des COP et DCIO, et Michel de PEYRET, Secrétaire académique et membre
du CTA. L'audience a duré de 11 h 10 à 13 h 10. Mais la Rectrice a dû se retirer à 12 h 45.
En préambule, la Rectrice a fait allusion à la « protestation solennelle » du syndicat pour ne pas avoir eu
rapidement de réponse à sa demande d’audience (Cf. Déjà fâché avec la nouvelle Rectrice ?).
Au nom du syndicat, le Secrétaire académique a remercié la Rectrice d’avoir accordé cette audience, lui a
souhaité la bienvenue dans l’Académie, et expliqué rapidement pourquoi notre expression de mauvaise
humeur est celle d’un syndicat général et anti-corporatiste, mais soulignant que l’incident est clos et que
l’essentiel est d’ouvrir un dialogue franc et constructif. Puis il a rappelé les sujets sur lesquels Le Sgen-CFDT
demande audience à la nouvelle Rectrice.
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Le premier des six points prévus a été l’avenir du Collège Jean Moulin à Chartres, fortement menacé par
les projets du CD d’Eure-et-Loir. Notre intention étant de faire le point, au moment où se réunit le CDEN
sur l’état du dossier chartrain et savoir si la position exprimée par la précédente Rectrice, Mme REYNIER,
sera maintenue. Le Sgen-CFDT Orléans-Tours ne se résigne pas à la suppression d’un collège public au
centre-ville de Chartres et au risque de disparition de la mixité sociale alors que tout indique, du côté du
Conseil Départemental, une intention longuement préparée de réaffecter ces élèves sur d’autres
établissements où des travaux ont été engagés. Mais nous n’ignorons pas que ce dossier est complexe
puisque l’antenne de l’Espé est aussi concernée.
La Rectrice partage notre crainte d’une disparition programmée de ce collège et n’accepte pas que la
phase transitoire s’allonge avant le réaménagement du site, qui atteint à présent 4 ans. Elle réaffirme la
nécessité de garder un établissement public en centre-ville. Elle a chargé l’IA-Dasen de dire au CDEN son
opposition au projet du Conseil Départemental d’Eure-et-Loir : les solutions proposées ne sont pas
satisfaisantes. Elle en a parlé avec le Préfet du département et compte rencontrer l’équipe du Collège Jean
Moulin en novembre. Elle se dit déterminée à refuser la disparition du collège du centre. Du côté de l’Espé,
dont le site chartrain doit déménager vers un pôle universitaire, il est selon elle non prioritaire compte
tenu des difficultés budgétaires de l’Université d’Orléans. Elle se dit sûre que personne n’est de mauvaise
foi, mais n’accepte pas une situation inconfortable qui durerait 4 ans.
Pour le Sgen-CFDT Orléans-Tours, les inquiétudes fortes s’expriment depuis deux ans, il est temps de
rassurer les personnels et les familles.
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Le Sgen-CFDT Orléans-Tours exprime avec insistance le besoin d’un temps de concertations régulières
pour la mise en œuvre concrète de la réforme du Collège. L’organisation et le suivi des EPI, de l’AP, des
parcours, de l’évaluation par compétences, la prise en main du nouveau livret scolaire (LSUN) concernent
non seulement les personnels de direction mais l’ensemble des professeurs et nous devons aussi avoir une
information claire pour les élèves et les parents. Tout ceci nécessite un temps de coordination et de
coordination régulier tout au long de l’année, faute de quoi toutes ces nouveautés risquent d’échouer.
Notre fédération a clairement affirmé qu’il faut laisser du temps aux équipes pédagogiques pour que cela
se passe bien. Or la pression actuelle nous amène à craindre que trop de réformes, trop techniques, trop
Audience du Sgen-CFDT Orléans-Tours avec la nouvelle Rectrice le 18/10/2016 – p. 1/4
vite, cela mènerait à un échec et qu’il serait grave car dissuasif pour prolonger l'esprit de réforme. Or celleci, qui est la coïncidence de la réforme de l’évaluation, des cycles, et du Collège, donne justement du sens
aux apprentissages.
La Rectrice déclare avoir perçu les inquiétudes, en particulier les difficultés de l’évaluation et de
l’articulation entre les disciplines et les compétences du socle. Le Ministère a donné aux recteurs
l’assurance qu’on ne reviendra pas en arrière et un calendrier de mise au point du Livret Scolaire Unique
Numérique (Lsun). Une 2° version doit, en novembre, intégrer les compétences ; en février, la 3° version
doit intégrer les bilans de fin de cycle ; la 4° en avril permettra, en vue du Brevet, la conversion des points
sur Affelnet. Et l’utilisation en sera simple. La Rectrice est consciente des difficultés des chefs
d’établissement pour rassurer les enseignants et les familles.
Nous savons déjà que les Inspecteurs y travaillent et que tout le monde est navré du retard pris. Pour l’AP
et les EPI, les contingences de la mise en place, de la définition des contenus n’ont pas été prises en
compte. Avec en plus l’évaluation des compétences, les collègues ont l’impression d’être submergés.
La Rectrice est tout à fait d’accord : il faut du temps et ne pas aggraver les inquiétudes, c’est pourquoi
elle a demandé aux IA-IPR d’accompagner les équipes et de les rassurer. Elle admet que l’impression existe
d’une réforme précipitée mais rappelle que les réformes réussies se sont faites rapidement, comme en
Finlande. Elle cite en exemple un EPI sur les montres connectées fait à Tours.
Au Sgen-CFDT, nous pensons qu’il ne faut pas arrêter la dynamique de formation enclenchée l’an dernier.
La Rectrice semble voir là une demande de moyens supplémentaires et répond que tout ne renvoie pas à
la question des moyens, il y a aussi des temps de concertation entre collègues et pas seulement sur le
temps de formation, on ne peut pas tout réglementer d’en haut. Mais il faudra faire le bilan en fin d’année.
Le Sgen-CFDT Orléans-Tours se réjouit que soit formé un Groupe de Travail académique « collèges et 3°
prépa pro » pour accompagner l’évolution des modalités d’évaluation dont la première réunion a
justement lieu le mardi 18 octobre de 14 h à 17 h.
En revanche, comme le signale Yann MASSINA, il va falloir informer et préparer les collègues exerçant
dans les lycées qui vont en 2017 accueillir les premiers élèves de 3° sortis du nouveau Collège, formés
autrement, et évalués par compétences.
La Rectrice estime que les items donnent une idée de ce que les élèves maîtrisent et il y a déjà des
différences entre les lycées sur l’accueil des nouveaux élèves de 2 nde. Avec le temps, on verra mieux le
profil de chaque élève. Mais elle juge que c’est une bonne suggestion de penser à ce travail de liaison entre
collèges et lycées, car « la moulinette Affelnet ne résout pas tout ».
Pour le Sgen-CFDT, nous touchons du doigt la transition entre une époque où le collège fut conçu comme
un « petit lycée » et l’ère nouvelle où il entre, dans le prolongement de l’école primaire jusqu’à la fin de la
scolarité obligatoire. C’est une petite révolution.
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Au nom du Sgen-CFDT Orléans-Tours, Bernadette ROBIN expose un Etat des lieux des CIO d'Orléans-Tours
établi en réunion académique du syndicat et pointant les conséquences de la réorganisation des CIO
départementaux : la carte actuelle témoigne d’un souci d’équilibre territorial, mais le désengagement de
tous les Conseils Départementaux et la reprise par l’Etat de seulement 19 structures sur les 23 CIO et
antennes existants a provoqué une reconfiguration de la carte : fusion des deux CIO d’Orléans,
transformation du CIO de Nogent en antenne, transformation de 2 antennes en CIO à Gien et Pithiviers,
obligation de déménager les 3 antennes de Loches, Amboise et Nogent. En effet le ministère n’accepte de
financer des antennes en surnombre par rapport à la carte cible des CIO repris par l’Etat que si les locaux
sont gratuits : le budget de fonctionnement du CIO support est alors abondé par le ministère.
Nous voulons éclaircir le statut des antennes : elles doivent garder une UAI (Unité Administrative
Indépendante) afin de pouvoir y affecter les personnels et d’y conserver un personnel administratif
permanent. [NB : les points d’accueil n’ont pas d’UAI, ce sont des sites non pérennes sans personnel
administratif où des COP font des permanences d’accueil, comme des bureaux dans une mairie, ce qui pour
le Sgen-CFDT n’est pas acceptable].
Audience du Sgen-CFDT Orléans-Tours avec la nouvelle Rectrice le 18/10/2016 – p. 2/4
L’hébergement des antennes en établissements scolaires pose plusieurs problèmes : le signal d’un
recentrage sur l’Education Nationale qui risque de dissuader les publics non scolaires, l’obligation de
s’aligner sur les horaires et les permanences de congés du lycée dans la mesure où l’entrée n’est pas
indépendante. Il y a à terme une réelle menace sur la pérennité de la mission d’accueil de tous les publics
dans les CIO. Le Secrétaire Général du Rectorat se dit attentif à ces difficultés d’hébergement et prêt à rechercher
d’autres lieux si nécessaire.
Le Secrétaire Général du Rectorat précise aussi que les antennes garderont leur UAI [Cf. info
complémentaire ci-dessous] afin d’y affecter les personnels administratifs et d’orientation. Pour lui, le
problème est de savoir si nous aurons les moyens de notre carte des CIO. Pour le moment, nous sommes
une des rares académies soutenues par l’administration centrale dans sa proposition de carte des CIO en
raison de la taille de l’académie et de ses larges zones rurales. Mais cette opération se fait à moyens
constants, il n’y aura pas de création de poste de DCIO pour le poste supplémentaire lié à la transformation
des deux antennes en CIO.
Le Secrétaire Général rappelle que la plupart des Conseils Généraux donnaient des moyens conséquents
(pour les locaux, les véhicules... ). Le Ministère nous garantit des moyens de fonctionnement tenant
compte du nombre de CIO d’Etat et le renouvellement du parc informatique devrait compenser le matériel
vieillissant repris par les conseils départementaux.
Les cas particuliers d’Amboise, Bourges, Nogent-le-Rotrou et Pithiviers sont évoqués. Pour le Sgen-CFDT
Orléans-Tours le dispositif concernant Pithiviers ne peut pas fonctionner car un-e DCIO ne peut pas
assumer en même temps un poste de CO-P. Pour le Rectorat, cette année scolaire au CIO de Pithiviers est
une année d’observation, il est prêt à reconsidérer la situation au vu des difficultés mises en lumière cette
année. [Le syndicat devra donc faire le suivi avec les collègues des difficultés de fonctionnement au cours de
l’année pour demander au Rectorat des améliorations tant sur le plan des budgets, des équipements que
des hébergements. Nous avons demandé à avoir des audiences plus régulières pour permettre de régler les
problèmes plus rapidement.]
[Dans un mèl du 21 octobre, le Secrétaire Général ajoute une précision de nature à rassurer les collègues
suite à l'audience : nous pouvons bien créer des UAI pour les antennes, et c'est ce qui a été fait
conformément à ma demande de la fin de l'année dernière. Il n'y a donc aucun souci à se faire de ce côtélà, les personnels de ces antennes restent bien affectés sur ces sites qui - même s'ils n'ont pas d'entité
juridique comme un CIO de plein exercice - ont en revanche un numéro d'UAI.]
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Le Sgen-CFDT Orléans-Tours désire une mise au point du Rectorat sur le statut des GRETA au regard de la
Région Centre Val de Loire qui les considère à tort comme des GIP avec un fonctionnement spécifique
alors que la formation tout au long de la vie est une mission des EPLE (Cf. Suivi de la réforme des Greta) qui
se sentent un peu à l’abandon. Le courrier de la Région reçu début septembre semblant remettre en
question la place des Greta dans les missions de l'Education Nationale (les CFC sont payés par le Rectorat)
a fait l’effet à la fois d’une incongruité et d’une monstruosité, comme le dit Yann MASSINA. La Région
change la donne en cours de route.
Le Secrétaire Général rappelle que le GRETA est sur un terrain concurrentiel et que la Région a affaire
aussi aux autres acteurs de la formation continue qui font pression sur elle en arguant d’une inégalité de
traitement en faveur des Greta, et la menacent de déposer un contentieux. C’est pourquoi le Rectorat
prévoit le 29 novembre un Groupe de Travail avec les chefs d’établissement pour se réinterroger sur ce qui
est demandé au Greta (il y a des détails aberrants, jusqu’à donner le détail des communications
téléphoniques !). Pour le Rectorat, l’EPLE est un tout.
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Le Sgen-CFDT Orléans-Tours s’étonne de ne pas avoir reçu de réponse à sa demande (envoyée le 29 août
et visiblement non reçue au Rectorat) de Groupe de Travail sur les règles de répartition et d’affectation des
Professeurs d’Ecole stagiaires dans l’académie. Anne HEDDE et Bernadette ROBIN développent
l’argumentation du syndicat, insistent sur le nombre de démissions (il faut se donner les moyens de garder
les lauréats du CRPE) et celui des demandes de disponibilité qui pourraient être réduits. On peut citer le
cas d’une PES de Montargis affectée en Eure-et-Loir. Nous ne comprenons pas que l’intégration de la
Audience du Sgen-CFDT Orléans-Tours avec la nouvelle Rectrice le 18/10/2016 – p. 3/4
situation familiale dans le barème qui intervient déjà pour les stagiaires du 2 nd degré ne puisse pas être
mise en œuvre pour les stagiaires du 1er degré (inégalité de traitement).
Le Secrétaire Général se montre d’abord réticent, souligne que les bassins du Loiret sont déséquilibrés,
croit que nous parlons des néo-titulaires dont une vingtaine voient une amélioration d’affectation en
fonction de leur situation familiale, comprend que l’effort déjà fait en leur faveur pourrait s’étendre aux
stagiaires, admet qu’il y a déjà des ajustements quant au lieu de formation qui est attribué aux stagiaires,
se refuse à adopter des règles plus souples pour les stagiaires que pour les néo-titulaires. Mais il accepte,
en définitive, de « regarder ce qu’on peut faire ».
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Le Sgen-CFDT Orléans-Tours exprime ses craintes sur les conséquences possibles de la situation
financière de l'Université d'Orléans. Lors du Comité Technique du 28 septembre 2016, il y a eu une
Déclaration des élu-e-s Sgen-CFDT concernant la campagne d’emploi 2017 d’enseignants du 2nd degré à
l’Université d’Orléans. Puis, au Conseil d’Administration du 14 octobre de l’Université d'Orléans : les élu-e-s
AEPNU s'expriment sur la situation budgétaire. Pour le Sgen-CFDT Orléans-Tours, il est important
d’entendre le point de vue de la Rectrice, Chancelière de l’Université.
En son absence, le Secrétaire Général livre l’analyse du Rectorat. Pour lui, ce qui compte, c’est la
trésorerie, pas le fond de roulement, qu’il faut reconsidérer même du point de vue de l’Inspection
Générale car ce n’est pas un bon indicateur et il ne s’est pas dégradé, au contraire il a évolué positivement.
Comme le Sgen-CFDT, il estime qu’il faut aux élus les éléments d’une analyse fiable et ces éléments doivent
être partagés. L’analyse de l’Inspection Générale est une expertise, certes, et elle contient des
inexactitudes, mais n’est pas celle du Rectorat : ce n’est pas la peine de faire des coupes sombres plus que
nécessaire, et il est impossible de raisonner pour l’Université d’Orléans (qui est « multisites », avec la
charge des sites de l’Espé en plus) comme pour une université sur un seul site.
Le Rectorat est en train d’étudier le dossier avec la DRFip (Direction régionale des finances publiques du
Centre-Val de Loire), qui suit régulièrement les budgets rectificatifs, afin de produire une analyse
consolidée. En tout cas, l’actuelle campagne de presse contient des allégations très contestables voire
fausses, alors qu’il faut reconnaître les efforts faits par les équipes précédentes, et qu’il n’y a pas eu
dérapage de l’équipe sortante ni de manque de vigilance de la part de la Rectrice Marie REYNIER. En 2008,
un rapport pointait déjà une difficulté de l’Université d’Orléans à joindre les deux bouts, avec des dépenses
en Ressources Humaines importantes. Elle reste en danger et n’a pas fait suffisamment d’efforts, certes,
mais elle n’a que l’année 2015 de déficitaire, d’environ 400 000 €. Ce qu’il faut, c’est s’attaquer à la
structure même du budget, s’accorder sur les niveaux et sur les mesures à prendre, et il faut changer de
logique entre l’Université (qui mutualise les pertes) et chacune de ses composantes (qui gardent les
éventuels excédents) [*Cf notre commentaire ci-dessous]. Le Secrétaire Général regrette que la presse ait
publié trop rapidement des informations biaisées, et annonce que l’analyse consolidée devrait sortir
prochainement.
Le Sgen-CFDT Orléans-Tours se félicite d’avoir jugé prématuré, en tant qu’organisation syndicale
responsable, de s'exprimer publiquement sur la situation de l'Université d'Orléans avant que les instances
internes aient analysé le dossier le plus complètement possible.
*L'IUT de l'Indre qui disposait d'un fond de roulement chaque année avant le passage à l'autonomie de
l'Université a vu ce fond de roulement disparaitre de son budget sans l'avoir lui-même utilisé. Dans certains
cas, l'Université a donc utilisé les réserves des uns pour compenser la mauvaise gestion de certaines autres
composantes.
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L’audience s’est déroulée dans une ambiance cordiale. Notre délégation a eu le sentiment d’être non
seulement écoutée mais entendue, notamment sur la liaison Collège-Lycée pour la rentrée 2017, sur
l’introduction d’un barème tenant compte de la situation familiale des PE stagiaires. Nos analyses se
rejoignent sur le temps nécessaire à la réforme du Collège et sur la prudence à avoir quant aux finances de
l’Université d’Orléans.
Cerise sur le gâteau : nous nous réjouissons que Mme BEGUIN se fasse appeler « Mme la Rectrice » (Cf. «
Rectrice » et non « Recteur »).
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