Langue française, lecture
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Forme PB Langue française, lecture Tests d’évaluation en éducation générale Langue française, lecture Test préparatoire officiel Note : Ce test ne doit être administré que dans les centres officiels GED. La possession, la reproduction ou la distribution non autorisées de l’une ou l’autre partie de ce test ou d’une copie sont interdites. GED Testing Service One Dupont Circle N.W., Suite 250 Washington, D.C. 20036 © 2003, American Council on Education. Tous droits réservés. 2 Lecture Directives : Lisez attentivement le texte suivant. Pour les questions 1 à 5, choisissez la meilleure réponse et inscrivez votre choix sur la feuille de réponses fournie. En 1948, Gratien Gélinas, dramaturge québécois, a écrit Tit-Coq, une pièce de théâtre saluée comme l’acte de naissance d’un véritable théâtre populaire québécois. La pièce raconte l’histoire du soldat Arthur Saint-Jean, dit Tit-Coq, né de parents inconnus. À la fête de Marie-Ange Désilets dont il est amoureux, il lui a offert un « Kodak », tandis qu’elle lui a remis un album de photos de famille. Puis les soldats ont appris leur départ pour la guerre en Europe. C’est sur le pont du bateau que vous retrouvez Tit-Coq, rêveur, accoudé au bastingage; l’aumônier de l’armée, le padre, vient s’appuyer près de lui. TIT-COQ LE PADRE Alors, ça y est : on s’en va . TIT-COQ On s’en va. (35) LE PADRE Je t’empêche peut-être de t’ennuyer de ta Marie-Ange? (5) (10) TIT-COQ Oui… mais c’est égal : j’aurai le temps de me reprendre à mon goût. (40) (20) TIT-COQ Yes, sir! Braves d’un travers à l’autre. TIT-COQ Tellement nouveau que j’aime presque ça. Ce qui est triste, je m’en rends compte, c’est pas de s’ennuyer… LE PADRE (Désignant un portrait.) C’est elle Marie-Ange? (45) TIT-COQ Justement… et personne qui s’ennuie de toi. Si je ne l’avais pas rencontrée, elle, je partirais aujourd’hui de la même façon, probablement sur le même bateau. Je prendrais le large, ni triste ni gai, comme un animal, sans savoir ce que j’aurais pu perdre. […] Tandis que là, je pars avec une fille dans le cœur… Une fille qui me trouve beau, figurez-vous! TIT-COQ À ben y penser, c’est une maudite preuve d’amour qu’elle me donne là, elle? (50) (55) (60) LE PADRE (Sourit.) Une preuve écrasante. (30) TIT-COQ Oui, je pars avec une fille qui m’aime, dans le cœur… et un album de famille dans mon sac. […] LE PADRE Y aurait-il moyen de l’admirer, cette merveille-là? TIT-COQ Non, c’est ma belle-sœur Claudia, avec mon neveu Jacquot. (Il tourne la page.) Marie-Ange, la v’là! LE PADRE Une bien belle fille, en effet. LE PADRE Non! (25) LE PADRE Ils ont l’air de bien braves gens. LE PADRE Ce doit être nouveau pour toi, l’ennui? LE PADRE C’est de n’avoir personne de qui s’ennuyer? (15) TIT-COQ Tout de suite, si vous voulez! (Il sort l’album de sa vareuse.) Et vous allez voir la plus belle famille au monde! Je le dis, même si c’est la mienne. (Lui montrant la première page.) Tenez : ça, ça va être mon beau-père et ma belle-mère. (65) TIT-COQ Oui… Il est déjà pas mal fatigué de se faire embrasser, ce portrait-là. […] (Sautant plusieurs feuillets.) J’en passe, et des meilleurs, pour arriver au plus beau portrait de tout l’album. LE PADRE Mais il n’y a rien sur cette pagelà! TIT-COQ Rien pour vous! Mais moi, avec un peu d’imagination, je distingue très bien madame Arthur Saint-Jean… avec le petit Saint-Jean sur ses genoux. À moins que ce soit la petite…Peux pas voir au juste… Et le gars à côté, l’air fendant comme un colonel à la tête de sa colonne, c’est votre humble serviteur. LE PADRE Tu as raison, c’est une page admirable. TIT-COQ Certain! (Il replace l’album dans sa vareuse.) PASSEZ À LA PAGE SUIVANTE Lecture 1. Par quel mot parmi les suivants pourrait-on remplacer le mot « écrasante », à la ligne 27, en respectant le sens du contexte ? (1) (2) (3) (4) (5) 2. Blessante Discutable Incontestable Insultante Pesante Selon Tit-Coq, quelle est la plus belle photo de l’album ? (1) (2) (3) (4) (5) 4. Celle Celle Celle Celle Celle de de de de de ses beaux-parents sa belle-sœur Claudia sa Marie-Ange la famille qu’il rêve d’avoir Mme Arthur Saint-Jean 3 Dans cet extrait, laquelle des valeurs parmi les suivantes est très importante pour Tit-Coq ? (1) (2) (3) (4) (5) 5. Pourquoi peut-on affirmer que le personnage du padre joue un rôle important tout au long de l’extrait ? (1) (2) (3) (4) (5) beauté famille paix religion patrie Quel état d’esprit habite Tit-Coq tout au long de la scène ? (1) (2) (3) (4) (5) 3. La La La La La Tit-Coq est anxieux à l’idée de perdre sa Marie-Ange. Tit-Coq est craintif parce qu’il part à la guerre. Tit-Coq est content d’avoir une photo de famille. Tit-Coq est heureux de servir son pays. Tit-Coq est rêveur parce qu’il pense à sa Marie-Ange. Parce que c’est lui l’aumônier de l’armée Parce que c’est lui qui feuillette l’album Parce qu’il participe à la découverte de l’amour par le jeune homme Parce qu’il dit à Tit-Coq que MarieAnge est une bien belle fille Parce qu’il fait semblant de voir quelque chose sur la page blanche PASSEZ À LA PAGE SUIVANTE 4 Lecture Pour les questions 6 à 9, choisissez la meilleure réponse et inscrivez votre choix sur la feuille de réponses fournie. Le roman Maria Chapdelaine de Louis Hémon, publié en 1914, est un des premiers romans canadiensfrançais à connaître un rayonnement international. À travers l’histoire d’une jeune fille de Péribonka, l’auteur raconte la vie et les mœurs des premiers colons du lac Saint-Jean. Dans cet extrait, vous retrouvez Maria et un de ses prétendants, François Paradis. Ils sont allés aux bleuets avec toute la famille Chapdelaine, mais ils ont trouvé une belle « talle » un peu à l’écart des autres, bien entendu! UNE IDYLLE DANS LES BLEUETS D’innombrables moustiques et maringouins tourbillonnaient dans l’air brûlant de l’après-midi. […] (5) François Paradis regarda autour de lui comme pour s’orienter. Il hésita un peu et demanda abruptement, les yeux à terre : (40) Peut-être… vous a-t-on dit quelque chose contre moi? – Non. – Les autres ne doivent pas être loin, dit-il. – Non, répondit Maria à voix basse. Mais ni l’un ni l’autre ne poussa un cri d’appel. (10) (15) (20) (25) (30) (35) (45) […] François Paradis regarda Maria à la dérobée, puis détourna de nouveau les yeux en serrant très fort ses mains l’une contre l’autre. Qu’elle était donc plaisante à contempler! D’être assis auprès d’elle, d’entrevoir sa poitrine forte, son beau visage honnête et patient, la simplicité franche de ses gestes rares et de ses attitudes, une grande faim d’elle lui venait et en même temps un attendrissement émerveillé, parce qu’il avait vécu presque toute sa vie rien qu’avec d’autres hommes, durement, dans les grands bois sauvages ou les plaines de neige. Il sentait qu’elle était de ces femmes qui, lorsqu’elles se donnent, donnent tout sans compter : l’amour de leur corps et de leur cœur, la force de leurs bras dans la besogne de chaque jour, la dévotion complète d’un esprit sans détours. Et le tout lui paraissait si précieux qu’il avait peur de le demander. – Je vais descendre à Grand’Mère la semaine prochaine, dit-il à mi-voix, pour travailler sur l’écluse à bois. Mais je ne prendrai pas un coup, Maria, pas un seul! (50) (55) – C’est vrai que j’avais coutume de prendre un coup pas mal, quand je revenais des chantiers et de la drave; mais c’est fini. Voyez-vous, quand un garçon a passé six mois dans le bois à travailler fort et à avoir de la misère et jamais de plaisir, et qu’il arrive à la Tuque ou à Jonquière avec toute la paye de l’hiver dans sa poche, c’est quasiment toujours que la tête lui tourne un peu : il fait de la dépense et il se met chaud, des fois… Mais c’est fini. « […] Je vais travailler tout l’été à deux piastres et demie par jour et je mettrai de l’argent de côté, certain. […] Au printemps prochain j’aurai plus de cinq cents piastres de sauvées, claires, et je reviendrai. » Il hésita encore, et la question qu’il allait poser changea sur ses lèvres. (60) – Vous serez encore icitte… au printemps prochain? – Oui. (65) Et après cette simple question et sa plus simple réponse, ils se turent et restèrent longtemps ainsi, muets et solennels, parce qu’ils avaient échangé leurs serments. Louis HÉMON, Maria Chapdelaine, Boréal, 1988, p. 69 -71. PASSEZ À LA PAGE SUIVANTE Lecture 6. Dans laquelle des phrases suivantes a-t-on ajouté une apposition ? (1) (2) (3) (4) (5) 7. François Paradis, lorsqu’il se releva, regarda autour de lui. François Paradis, le prétendant de Maria, regarda autour de lui. François Paradis, que l’on disait bon garçon, regarda autour de lui. François Paradis, n’entendant aucun bruit, regarda autour de lui. François Paradis, qui ne connaissait pas bien les environs, regarda autour de lui. Quelle métaphore l’auteur emploie-t-il pour dire que François Paradis est attiré par Maria ? (1) (2) (3) (4) (5) 8. « François Paradis regarda Maria à la dérobée » (lignes 11 et 12). « Qu’elle était donc plaisante à contempler! » (lignes 14 et 15). « une grande faim d’elle lui venait » (ligne 19). « le tout lui paraissait si précieux » (lignes 30 et 31). « ils avaient échangé leurs serments » (ligne 66). 5 L’attitude et les paroles de François Paradis permettent de découvrir qu’il est : 1. un 2. un 3. un 4. un veut. (1) (2) (3) (4) (5) 9. garçon dépensier. garçon déprimé. garçon rempli de bonnes intentions grand timide qui ne dit pas ce qu’il Les Les Les Les Les énoncés énoncés énoncés énoncés énoncés 1 1 2 2 3 et et et et et 2 3 3 4 4 sont sont sont sont sont vrais. vrais. vrais. vrais. vrais. Quel est le sujet du texte ? (1) (2) (3) (4) (5) La cueillette des bleuets par la famille Chapdelaine La description de la femme idéale pour François La description du travail dans les chantiers Les bonnes résolutions de François Une rencontre déterminante pour François et Maria PASSEZ À LA PAGE SUIVANTE 6 Lecture Pour les questions 10 à 15, choisissez la m e i l l e u re réponse et inscrivez votre choix sur la feuille de réponses fournie. Depuis toujours et dans tous les pays, des légendes et des contes se sont transmis oralement de génération en génération. Henri Gougaud, auteur français, s’est appliqué à les écrire en les groupant selon divers thèmes tels l’amour et la sagesse. Découvrez un de ses contes qui appelle à la réflexion. ET CELA AUSSI PASSERA (5) (10) (15) (20) Un musicien errant, un jour, allait sa route. C’était un homme simple. Sa vie ne l’était pas, et pourtant il l’aimait. Or, ce jour-là (c’était un matin gris d’automne), comme un clocher lointain émergeait de la brume, le chant qu’il fredonnait pour alléger ses pas s’étrangla soudain dans sa gorge. Là, dans le champ voisin, un pauvre homme courbé sous le joug et le fouet tirait une charrue que son maître menait. « Comment peut-on traiter les gens comme des bêtes? » pensa le voyageur, pris de pitié rageuse. À travers le labour il vint à l’attelage. – Honte sur toi! dit-il au tourmenteur d’esclave. Cet homme que tu forces à trimer comme un âne n’ose pas te cracher la vérité en face. Je le ferai pour lui. Ton âme est un caillou, ta tête un désert sombre. Ne t’a-t-on pas appris que nous sommes tous frères? Bandit! […] Bafoueur illégal de dignité humaine! (35) (40) (45) (50) (55) Il brandit son bâton. (25) (30) – De quoi te mêles-tu? lui dit le tourmenté. Le bien, le mal, tout passe. Et cela aussi passera. Tandis que son bourreau riait benoîtement en haussant les épaules, l’homme sans autre mot se remit au labeur. Le brave musicien, pantois comme devant la lune en plein midi, pensa : « Un esclave avocat du méchant qui l’opprime! Seigneur, où va le monde? » Il s’en alla, le pas tout à coup indécis. […] Le redresseur de torts, son violon à l’épaule, après trois ans d’errance un jour vint à passer au bord du même champ. Il se souvint, fit halte, et ses yeux s’allumèrent. Au loin, dans le labour, allait une jument que gouvernait l’esclave enfin libre et prospère. Son allure était franche, il était bien vêtu. Il faisait sa semaille à grands envols tranquilles. Le voyageur surpris s’en fut le saluer. – Grâce au Ciel, lui dit-il, vous avez survécu. Mieux : vous me semblez riche. Et votre tortionnaire, a-t-il été puni comme il le méritait? – Le seigneur d’à côté l’a fait assassiner, répondit le bonhomme. Il avait, paraît-il, séduit sa jeune épouse. On m’a donné sa terre. – Ami, j’en suis heureux. Vous avez eu raison d’avoir confiance en Dieu, lui dit le musicien en lui serrant les mains. Voilà votre avenir désormais assuré. L’homme sourit, reprit dans le sillon sa marche. (60) – Pas plus qu’hier, dit-il. Le bien, le mal, tout passe. Et cela aussi passera. Henri GOUGAUD, « Et cela aussi passera », dans Henri G O U G A U D , L’arbre d’amour et de sagesse, Paris, Éditions du Seuil, 1992, p. 94-95. PASSEZ À LA PAGE SUIVANTE Lecture 10. Laquelle des descriptions suivantes dépeint bien le musicien ? (1) (2) (3) (4) (5) Il était errant, simple et compatissant. Il était errant, simple et malheureux. Il était errant, prospère et compatissant. Il était prospère, malheureux et compatissant. Il était prospère, malheureux et simple. 11. Laquelle des expressions suivantes ne désigne pas l’homme qui fait travailler le malheureux au début du récit ? (1) (2) (3) (4) (5) « son maître » (ligne 10). « tourmenteur d’esclave » (lignes 15 et 16). « son bourreau » (ligne 27). « votre tortionnaire » (ligne 47). « le seigneur » (ligne 49). 12. Quel indice parmi les suivants ne révèle pas que l’action se déroule à une autre époque que la nôtre ? 7 13. Que peut-on affirmer en ce qui a trait aux expressions suivantes : « Ton âme est un caillou, ta tête un désert sombre » (lignes 18 à 20) ? 1. Elles permettent au musicien d’en faire une chanson. 2. Elles permettent de montrer comment le maître est dur et insensible envers son employé. 3. Elles sont des images pour décrire le paysage où les gens travaillent. (1) (2) (3) (4) (5) 14. Quelle était l’intention de l’auteur de ce texte ? (1) (2) (3) (1) (2) (3) (4) (5) On se sert d’une charrue pour les labours. On fait les semailles à la main. On parle d’un « clocher lointain ». On parle du « seigneur d’à côté ». On parle d’un homme qui tire la charrue. L’énoncé 1 seulement est vrai. L’énoncé 2 seulement est vrai. L’énoncé 3 seulement est vrai. Les énoncés 1 et 2 seulement sont vrais. Les énoncés 1 et 3 seulement sont vrais. (4) (5) Amuser et faire rire Faire prendre conscience de la vie d’autrefois Informer des conditions de vie des travailleurs Montrer l’importance des musiciens Transmettre une leçon de vie 15. Quel énoncé parmi les suivants correspond au message que l’auteur a voulu donner en écrivant ce récit ? (1) (2) (3) (4) (5) Il faut avoir de la simplicité pour chanter sur les routes. On passe toujours deux fois par les mêmes chemins. Quelle que soit notre condition, tout est temporaire dans la vie. On doit s’indigner devant l’injustice des maîtres pour leur travailleur. Il faut attendre que les choses passent pour réaliser notre idéal dans la vie. PASSEZ À LA PAGE SUIVANTE 8 Lecture Pour les questions 16 à 20, choisissez la meilleure réponse et inscrivez votre choix sur la feuille de réponses fournie. Vous entendez souvent parler, dans les médias, d’organismes qui se consacrent à des oeuvres humanitaires, autant en temps de guerre qu’en temps de paix. Dans l’extrait qui suit, vous en découvrirez un. À PROPOS D’OXFAM (5) (10) (15) (20) (25) (30) Oxfam international est une confédération de douze organisations qui, avec leurs 3 000 partenaires répartis dans plus de cent pays, élaborent des solutions durables à la pauvreté, à la douleur et à l’injustice. Ainsi, nous coopérons étroitement dans différents domaines d’activités : programmes de développement, aide humanitaire et lobbying en faveur de changements politiques au niveau national et mondial. Grâce à notre soutien aux populations locales, nous permettons aux personnes de (re)prendre les commandes de leur propre vie. Nous travaillons toujours en partenariat avec des organisations de base locales et prioritairement avec les personnes les plus démunies au sein de leurs communautés. Nous travaillons avec les pauvres Notre travail en matière de développement vise à appuyer les personnes de manière à ce qu’elles puissent améliorer leurs conditions de vie et en gérer tous les aspects. Nous travaillons également avec des personnes touchées par des catastrophes humanitaires, en adoptant des mesures préventives, en développant des capacités de réaction et en fournissant aussi de l’aide d’urgence. Nous influençons les puissants (35) (40) (45) (50) (55) Notre expérience des vrais problèmes auxquels les pauvres sont confrontés se double d’un travail de recherche et de plaidoyer de haut niveau qui vise à influer les politiques et les pratiques internationales afin de garantir les mêmes droits, avantages et ressources à chacun. Nous menons des campagnes en faveur de changements de pratiques et de politiques au niveau du commerce mondial ainsi que sur des questions comme la dette ou l’éducation universelle de base. Pour ce faire, une équipe d’Oxfam international assure le travail de lobbying auprès d’institutions comme le Fonds Monétaire International, les Nations Unies ou l’Organisation mondiale du commerce. Et nous tendons la main à tous! Nos campagnes de mobilisation, les alliances que nous bâtissons et notre travail média sont conçus pour sensibiliser le grand public aux solutions réelles à la pauvreté dans le monde. Ils visent ainsi à motiver le grand public et lui permettre, en stimulant un sentiment de citoyenneté mondiale, de jouer un rôle actif dans le mouvement pour le changement. OXFAM INTERNATIONAL, À propos d’Oxfam, [En ligne], 2003, [http://www.oxfam.org/fr/about] (2 avril 2003). PASSEZ À LA PAGE SUIVANTE Lecture 16. Quel énoncé parmi les suivants correspond à la mission des organisations d’Oxfam ? (1) (2) (3) (4) (5) 9 19. Lequel des énoncés parmi les suivants correspond à l’intention de cet article ? Élaborer des solutions durables à la pauvreté et à l’injustice Élaborer des solutions en faveur de changements politiques Tendre la main au public en général Travailler avec des organisations de base locales Visiter les personnes les plus démunies de la société (1) (2) (3) (4) (5) 20. Quel message l’auteur veut-il laisser au public dans cet article ? 17. À quelle idée de l’introduction le troisième paragraphe fait-il référence ? (1) (2) (1) (2) (3) (4) (5) 3 000 partenaires travaillent avec Oxfam. Oxfam intervient dans plus de 100 pays. Oxfam coopère dans les programmes d’aide humanitaire. Oxfam plaide en faveur de changements politiques Oxfam remplace les organisations locales. (3) (4) (5) 18. Par quel mot parmi les suivants pourrait-on remplacer le mot « bâtissons », à la ligne 52, en respectant le sens du contexte ? (1) (2) (3) (4) (5) Défendre les intérêts d’Oxfam dans le monde Expliquer l’organisation locale d’Oxfam Expliquer les liens politiques d’Oxfam Faire connaître le travail d’Oxfam Faire une levée de fonds pour Oxfam Assemblons. Construisons. Érigeons. Établissons. Renversons. . FIN DU TEST Il faut donner de l’argent à l’organisme qui tend la main. Il faut devenir membre d’une organisation Oxfam. Il faut demeurer sensible aux solutions à apporter à la pauvreté. Il faut faire du lobbying auprès d’institutions mondiales. Il faut mener des campagnes pour régler des pratiques du commerce mondial. N’INSCRIVEZ OU N’ÉCRIVEZ RIEN SUR CETTE PAGE N’INSCRIVEZ OU N’ÉCRIVEZ RIEN SUR CETTE PAGE LANGUE FRANÇAISE: LECTURE Tests d’évaluation en éducation générale Directives Le test de lecture a pour objet de mesurer votre capacité à comprendre et à interpréter correctement des textes en français. Il comporte 20 questions portant sur sept courts textes. Chaque extrait est suivi de questions à choix multiples sur le contenu du texte. Lisez d’abord l’extrait, puis répondez aux questions qui le suivent. Retournez aussi souvent que nécessaire au texte lu pour répondre aux questions. Vous avez 35 minutes pour répondre aux 20 questions de ce livret. Travaillez soigneusement, mais ne passez pas trop de temps sur chaque question. Vous devez répondre à toutes les questions. N’écrivez rien dans ce cahier d’examen. Indiquez vos réponses sur la feuille de réponses fournie. N’oubliez pas d’inscrire tous les renseignements demandés sur la feuille de réponses. Pour inscrire vos réponses, noircissez, sur la feuille de réponses, le cercle numéroté qui correspond à la réponse que vous avez choisie pour chaque question du cahier d’examen. PAR EXEMPLE : C’était un engin de rêve. La peinture d’un bleu métallique étincelait; les roues d’allure sportive étaient soigneusement polies. Sous le capot, le moteur avait été l’objet d’autant de soins. A l’intérieur, des voyants illuminaient les instruments du tableau de bord. Les sièges étaient recouverts d’un cuir ultrachic. De quoi parle cet extrait ? (1) (2) (3) (4) (5) d’un avion d’un système de son d’une voiture d’un bateau d’une moto La réponse correcte étant « d’une voiture », c’est donc le chiffre 3 qu’il faut noircir sur la feuille de réponses. N’appuyez pas la pointe de votre crayon sur la feuille de réponses pendant que vous réfléchissez à votre réponse. Évitez de faire des traits ou des marques inutiles. Si vous changez une réponse, effacez entièrement votre première marque. Ne marquez qu’une seule réponse pour chaque question. Les réponses multiples seront notées comme fausses. Évitez de plier ou de froisser votre feuille de réponses. Remettez tous les documents relatifs au test à l’administrateur ou à l’administratrice du test. NE COMMENCEZ PAS À RÉPONDRE AU TEST AVANT QU’ON VOUS DISE DE LE FAIRE.