Cendres sur les mains
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Cendres sur les mains
Cendres sur les mains Laurent Gaudé Dossier de présentation Une guerre, certainement longue et meurtrière... injuste et inexplicable bien sur, lie deux hommes, oubliés des leurs, à un triste destin : brûler les morts. Leur pauvre reste de vie s’écoule dans la douleur jusqu’à ce qu’un évènement (enfin ?) modifie l’ordonnancement désuet de leur quotidien: d’entre les morts (leurs morts !) se relève une femme. Elle aussi survit à la guerre. Etrange et insondable aux yeux des fossoyeurs qui la recueillent, elle ne parlera qu’aux morts... Nombre de compagnies se sont « attaquées » à l’adaptation du fameux texte de Laurent Gaudé : « La mort du roi Tsongor ». C’est que chacun trouvait dans ces lignes matière à « jouer » : force épique et phrasé ...théâtre. Et puis, on a découvert un véritable auteur de théâtre. Laurent Gaudé (prix Goncourt 2004 avec « Le soleil des Scorta ») s’impose comme un auteur de théâtre désormais incontournable. Ses pièces sont fortes et universelles : « Pluie de Cendres », « Onysos le Furieux », « Combats de possédés » ou « Le Tigre bleu de l’Euphrate » ont inspiré les plus grands metteurs en scène. Elles sont éditées chez Actes Sud. « Cendres sur les mains » a été créée en juillet 2001 à Villeneuve-les-Avignon. 1 Distribution Mise en scène et scénographie : Jérôme Goudour Avec : Laure Hocquet, Jean Paul Pratt et Piotr Skrzypczak Partenaires : Ville de Grasse, Conseil Général des Alpes Maritimes Mise en scène / Scénographie Ce texte est déjà envoutant à la lecture... c’est un bon présage pour qui prétend le porter sur la scène. Et cette « impression » ne nous lâche plus. Au fil des répétitions, de l’incarnation des personnages, on comprend ce qui fait la magie de ces phrases : il y a là une étrange confrontation de la distance et du réel. Les deux registres se côtoient (et s’accordent) sans jamais se rencontrer vraiment. La mise en scène ne peut que servir humblement ce parti pris de l’auteur qui nous prie de ne pas choisir entre fantastique et quotidienneté. Ici, Brecht rencontre Stanislavski... un régal. Un campement près des morts... C’est d’abord une image de désolation qui nous envahit ... la cendre a tout recouvert, les choses et les hommes... comme si le monde s’était consumé. Et puis, la poésie débarque malgré tout. Quelques voiles déchirés suggèrent la fragilité du monde qui s’étend ... au delà. 2 Presse / Critique 3 4 Portfolio 5 Photos : Carlo Barbiero (droits réservés). 6 Conditions financières Conditions financières : nous contacter pour un devis. Disponibles sur demande : - Une fiche technique détaillée - Un lot d’affiches et de flyers - Un dossier de presse - Vidéo (condensée ou intégrale) - Photos Contacts Le Théâtre de la Nuit Blanche : 4, traverse Victor Hugo 06130 Grasse 04 93 36 58 05 [email protected] Direction artistique : Jérôme Goudour Contact technique : Jérôme Goudour 06 16 32 30 50 WWW.lanuitblanchecompagnie.com 7