Français 2nde4 Année 2011-2012 Lycée des Avirons SÉQUENCE

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Français 2nde4 Année 2011-2012 Lycée des Avirons SÉQUENCE
Français 2nde4 Année 2011-2012 Lycée des Avirons
SÉQUENCE III Le roman réaliste (Groupement de Textes)
Objet d’étude : Le roman et la nouvelle au XIXe siècle : Réalisme et Naturalisme.
Problématique : Sur quelles nouvelles ambitions repose la démarche des écrivains dits réalistes ?
Modalités d’évaluation :
Travail d’écriture : un commentaire composé.
Questions sur des textes.
Quelques ‘ramassages’ de questions maison.
Corpus :
Lectures analytiques :
Lectures complémentaires
Supports de commentaire
Film
Maupassant, Bel-Ami (incipit)
Flaubert, Madame Bovary, I, ch.5-6
Goncourt, préface de Germinie Lacerteux
Goncourt, Germinie Lacerteux, ch.43 (extrait)
Maupassant, Pierre et Jean, ch.9 (extrait)
Q. Tarentino, Jackie Brown, « L’échange pour de vrai. »
Séance 1 Le contexte historique
Ier Empire
Restauration
Monarchie
de Juillet
ème
II
Rép
IIIème République
Second Empire
Napoléon III
Séance 2 Observation de deux incipits (Textes A et B)
Comparez les textes A et B :
1. Montrez en quoi les deux textes se ressemblent.
2. Montrez en quoi ils diffèrent ; vous pouvez par exemple comparer
• les intentions des auteurs ;
• les champs lexicaux utilisés.
1894 Début de l’Affaire Dreyfus
1871 La Commune de Paris
1870 Défaite de Sedan
1851 Coup d’État du 2 déc.
1848 Révolution
1830 Les Trois Glorieuses
1815 Défaite de Waterloo
1804 Sacre de Napoléon
►Vous placerez sur cette frise chronologique les titres des œuvres dont nous étudierons des extraits.
Cours : le Réalisme, 1ère approche.
Séance 3 Lecture analytique : Maupassant, Bel-Ami, incipit (Texte C)
Question : En quoi ce début de roman relève-t-il du Réalisme ? Répondez à la question en vous intéressant d’une
part au protagoniste et d’autre part au cadre qui l’entoure.
Séance 4 Les fonctions de l’incipit
Exercice 1 Reproduisez et complétez le tableau suivant :
Sur qui/quoi portent les
L’incipit cherche-t-il à
informations données
faire passer le récit
par l’incipit ?
pour véridique ? Si oui
comment ? Sinon,
pourquoi, à votre
avis ?
Incipit 1
Incipit 2
Incipit 3
Incipit 4
Incipit 5
Incipit 6
Incipit 7
Quelles hypothèses peut-on
formuler sur le genre du
récit ? (autobiographique,
fantastique, comique, tragique, policier ?…)
Comment l’auteur
s’y prend-il pour
capter l’intérêt du
lecteur ?
Incipit 1 Stendhal : Le Rouge et le Noir (1830)
CHAPITRE PREMIER UNE PETITE VILLE
La petite ville de Verrières peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches
avec leurs toits pointus de tuiles rouges s’étendent sur la pente d’une colline, dont les touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications
bâties jadis par les Espagnols et maintenant ruinées.
Incipit 2 Honoré de Balzac : Eugénie Grandet (1834)
Il se trouve dans certaines villes de province des maisons dont la vue inspire une mélancolie égale à celle que
provoquent les cloîtres les plus sombres, les landes les plus ternes ou les ruines les plus tristes. Peut-être y a-t-il à la
fois dans ces maisons et le silence du cloître et l’aridité des landes et les ossements des ruines.
La vie et le mouvement y sont si tranquilles qu’un étranger les croirait inhabitées, s’il ne rencontrait tout à
coup le regard pâle et froid d’une personne immobile dont la figure à demi monastique dépasse l’appui de la croisée,
au bruit d’un pas inconnu. Ces principes de mélancolie existent dans la physionomie d’un logis situé à Saumur, au
bout de la rue montueuse qui mène au château, par le haut de la ville.
Incipit 3 Balzac, La Cousine Bette (1846)
I- Où la passion va-t-elle se nicher ?
Vers le milieu du mois de juillet de l’année 1838, une de ces voitures nouvellement mises en circulation sur les
places de Paris et nommées des milords cheminait, rue de l’Université, portant un gros homme de taille moyenne, en
uniforme de capitaine de la garde nationale.
Dans le nombre de ces Parisiens accusés d’être si spirituels, il s’en trouve qui se croient infiniment mieux en uniforme que dans leurs habits ordinaires, et qui supposent chez les femmes des goûts assez dépravés pour imaginer
qu’elles seront favorablement impressionnées à l’aspect d’un bonnet à poil et par le harnais militaire.
La physionomie de ce capitaine appartenant à la 2e légion respirait un contentement de lui-même qui faisait resplendir son teint rougeaud et sa figure passablement joufflue. À cette auréole que la richesse acquise dans le commerce met au front des boutiquiers retirés, on devinait l’un des élus de Paris, au moins ancien adjoint de son arrondissement. Aussi, croyez que le ruban de la Légion d’honneur ne manquait pas sur la poitrine, crânement bombée à la
prussienne. Campé fièrement dans le coin du milord, cet homme décoré laissait errer son regard sur les passants, qui
souvent, à Paris, recueillent ainsi d’agréables sourires adressés à de beaux yeux absents.
Le milord arrêta dans la partie de la rue comprise entre la rue de Bellechasse et la rue de Bourgogne, à la porte
d’une grande maison nouvellement bâtie sur une portion de la cour d’un vieil hôtel à jardin. On avait respecté l’hôtel,
qui demeurait dans sa forme primitive au fond de la cour diminuée de moitié.
À la manière seulement dont le capitaine accepta les services du cocher pour descendre du milord, on eût reconnu le quinquagénaire. Il y a des gestes dont la franche lourdeur a toute l’indiscrétion d’un acte de naissance. Le capitaine remit son gant jaune à sa main droite, et, sans rien demander au concierge, se dirigea vers le perron du rez-dechaussée de l’hôtel d’un air qui disait : « Elle est à moi ! » Les portiers de Paris ont le coup d’œil savant, ils n’arrêtent
point les gens décorés, vêtus de bleu, à démarche pesante ; enfin ils connaissent les riches.
Incipit 4 Théophile Gautier : Arria Marcella (1852)
Trois jeunes gens, trois amis qui avaient fait ensemble le voyage d’Italie, visitaient l’année dernière le musée des
Studii, à Naples, où l’on a réuni les différents objets antiques exhumés des fouilles de Pompéi et d’Herculanum.
Ils s’étaient répandus à travers les salles et regardaient les mosaïques, les bronzes, les fresques détachés des murs
de la ville morte, selon que leur caprice les éparpillait, et quand l’un d’eux avait fait une rencontre curieuse, il appelait
ses compagnons avec des cris de joie, au grand scandale des Anglais taciturnes et des bourgeois posés occupés à feuilleter leur livret.
Mais le plus jeune des trois, arrêté devant une vitrine, paraissait ne pas entendre les exclamations de ses camarades, absorbé qu’il était dans une contemplation profonde. Ce qu’il examinait avec tant d’attention, c’était un morceau de cendre noire coagulée portant une empreinte creuse : on eût dit un fragment de moule de statue, brisé par la
fonte ; l’œil exercé d’un artiste y eût aisément reconnu la coupe d’un sein admirable.
Incipit 5 Eugène Fromentin, Dominique (1863)
Certainement je n’ai pas à me plaindre – me disait celui dont je rapporterai les confidences dans le récit trèssimple et trop peu romanesque qu’on lira tout à l’heure – car, Dieu merci, je ne suis plus rien, à supposer que j’aie jamais été quelque chose, et je souhaite à beaucoup d’ambition de finir ainsi. J’ai trouvé la certitude et le repos, ce qui
vaut mieux que toutes les hypothèses. Je me suis mis d’accord avec moi-même, ce qui est bien la plus grande victoire
que nous puissions remporter sur l’impossible.
Incipit 6 Zola, Thérèse Raquin (1867)
Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor
étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ;
il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à
angle droit, est noir de crasse.
Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et
traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent
que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble.
À gauche, se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il
y a là des bouquinistes, des marchands de jouets d’enfant, des cartonniers, dont les étalages gris de poussière dorment
vaguement dans l’ombre ; les vitrines, faites de petits carreaux, moirent étrangement les marchandises de reflets verdâtres ; au-delà, derrière les étalages, les boutiques pleines de ténèbres sont autant de trous lugubres dans lesquels
s’agitent des formes bizarres.
À droite, sur toute la longueur du passage, s’étend une muraille contre laquelle les boutiquiers d’en face ont plaqué d’étroites armoires ; des objets sans nom, des marchandises oubliées là depuis vingt ans s’y étalent le long de
minces planches peintes d’une horrible couleur brune. Une marchande de bijoux faux s’est établie dans une des armoires ; elle y vend des bagues de quinze sous, délicatement posées sur un lit de velours bleu, au fond d’une boîte en
acajou.
Au-dessus du vitrage, la muraille monte, noire, grossièrement crépie, comme couverte d’une lèpre et toute couturée de cicatrices.
Incipit 7 Maupassant, Pierre et Jean (1888)
— Zut ! s’écria tout à coup le père Roland qui depuis un quart d’heure demeurait immobile, les yeux fixés sur
l’eau, et soulevant par moments, d’un mouvement très léger, sa ligne descendue au fond de la mer.
Mme Roland, assoupie à l’arrière du bateau, à côté de Mme Rosémilly invitée à cette partie de pêche, se réveilla, et
tournant la tête vers son mari :
— Eh bien !… eh bien !… Gérôme !
Le bonhomme furieux répondit :
— Ça ne mord plus du tout. Depuis midi je n’ai rien pris. On ne devrait jamais pêcher qu’entre hommes ; les
femmes vous font embarquer toujours trop tard.
Ses deux fils, Pierre et Jean, qui tenaient, l’un à bâbord, l’autre à tribord, chacun une ligne enroulée à l’index, se
mirent à rire en même temps et Jean répondit :
— Tu n’es pas galant pour notre invitée, papa.
M. Roland fut confus et s’excusa :
— Je vous demande pardon, madame Rosémilly, je suis comme ça. J’invite des dames parce que j’aime me trouver avec elles, et puis, dès que je sens de l’eau sous moi, je ne pense plus qu’au poisson.
Mme Roland s’était tout à fait réveillée et regardait d’un air attendri le large horizon de falaises et de mer. Elle
murmura :
— Vous avez cependant fait une belle pêche.
Mais son mari remuait la tête pour dire non, tout en jetant un coup d’œil bienveillant sur le panier où le poisson
capturé par les trois hommes palpitait vaguement encore, avec un bruit doux d’écailles gluantes et de nageoires soulevées, d’efforts impuissants et mous, et de bâillements dans l’air mortel.
Synthèse : Les fonctions de l’incipit.
Exercice 2 Parmi les 7 incipits ci-dessus, lesquels ne vous semblent-ils pas relever du Réalisme ? Justifiez votre
réponse.
Séance 5 Lecture analytique : Flaubert, Madame Bovary, I, ch.5-6 (Texte D)
Questions :
1. En quoi ce texte peut-il être considéré comme le portrait réaliste d’un personnage romantique ?
2. À votre avis l’auteur porte-t-il un jugement sur le personnage dont il fait le portrait ? Justifiez votre réponse.
Séance 6 Lecture complémentaire : préface de Germinie Lacerteux (Texte E)
Questions
1. Montrez que les auteurs recourent au registre polémique.
2. Montrez par un relevé des antithèses que le Réalisme est bien un mouvement littéraire qui s’oppose à une littérature préexistente.
3. Montrez que le Réalisme revendique son ancrage dans son époque ; montrez en particulier comment les Goncourt associent évolution de la littérature et évolution politique.
4. Montrez enfin que les auteurs revendiquent à la fois une démarche quasi scientifique et une démarche militante.
Synthèse : Le Réalisme, le Naturalisme. Du bon usage des étiquettes.
Séance 7 Initiation au commentaire composé : Goncourt, Germinie Lacerteux (Texte F)
Problématique : En quoi ce texte relève-t-il du Réalisme ?
Travail d’écriture : Vous ferez le commentaire littéraire de ce texte des frères Goncourt en vous aidant du parcours de lecture suivant :
Axe I- Quels sentiments les auteurs veulent-ils que leurs lecteurs éprouvent pour Germinie ?
Axe II- Quel est l’intérêt de la description de la chambre de Germinie ?
Méthode : l’organisation du commentaire composé.
Séance 8 La focalisation (textes G et H)
Rappel : les trois types de focalisation.
Questions
1. Quelle est la focalisation adoptée dans le texte G ? Justifiez votre réponse par des références précises au texte.
2. Montrez que dans le texte H c’est la focalisation interne qui est adoptée, mais avec un point de vue alterné
(tantôt on suit le point de vue de Julien, tantôt on suit celui de Mme de Rênal).
Séance 9 (en ½ classe) La focalisation au cinéma : extrait de Jackie Brown, de Q. Tarentino
1. Fiche technique du film.
Réalisation : Quentin Tarentino.
Scénario : Quentin Tarentino, d’après Rum Punch, roman d’Elmore Leonard (1992).
Directeur de la photographie : Guillermo Navarro.
Montage : Sally Menke.
Acteurs :
Pam Grier (Jackie Brown); Samuel L. Jackson (Ordell Robbie) ; Robert Forster (Max Cherry) ;
Bridget Fonda (Mélanie) ; Michael Keaton (Ray Nicolette) ; Robert De Niro (Louis Gara)
Sortie US : 1997. Durée du film : 2h28.
2. Situation de l’extrait.
Jackie Brown est hôtesse de l’air. Elle arrondit ses fins de mois en convoyant entre le Mexique et la Californie de l’argent pour le compte d’un trafiquant d’armes, Ordell Robbie. Un jour elle se fait arrêter par un agent
fédéral, Ray Nicolette. En réalité, celui-ci veut se servir d’elle pour coincer Ordell, le trafiquant. Le jour J arrive :
Jackie, surveillée discrètement par Ray Nicolette, doit remettre un sac contenant 500 000 dollars à une jeune fille
envoyée par Ordell Robbie.
Mais ce que l’agent fédéral ne sait pas, c’est que Jackie s’est liée avec Max Cherry, le prêteur de caution
qui lui a permis de sortir de prison. Tous les deux, Max et Jackie, vont essayer de rouler tout le monde et de garder l’argent pour eux.
La séquence que vous allez voir se situe vers la fin du film (de 1:34’54’’ à 1 :54’56’’).
3. Travail collectif oral : Étude de la scène de l’échange (1ère version).
4. L’échange des sacs : 2ème version.
4.1 Par quel plan cette scène commence-t-elle ? Quelle est l’utilité de ce plan ?
4.2. Quels sont les détails qui permettent au spectateur de comprendre qu’il voit la même scène ? Notez deux de
ces détails.
4.3. Quelles informations supplémentaires cette 2ème version nous apporte-t-elle par rapport à la précédente ?
4.4. À l’inverse, quelles informations ont été supprimées ?
4.5. Comment expliquez-vous ces ajouts et ces suppressions d’informations ?
Correction des questions 4.
5. L’échange des sacs : 3ème version.
5.1. Par quel plan cette scène commence-t-elle ? Quelle est l’utilité de ce plan ?
5.2.Quels sont les détails qui permettent au spectateur de comprendre que c’est encore la même scène qu’il voit ?
Notez deux de ces détails.
5.3. Quelle(s) information(s) supplémentaires cette 3ème version apporte-t-elle par rapport aux précédentes ?
5.4. À l’inverse, quelles informations ont été supprimées ?
5.5. Comment expliquez-vous ces ajouts et ces suppressions d’informations ?
Correction des questions 5.
Bilan.
6. Travail collectif oral :
6.1. Pourquoi la version de Max est-elle donnée en dernier ?
6.2. Retour sur la 1ère version : le réalisateur a-t-il vraiment joué le jeu ? Autrement dit, a-t-il vraiment donné
toutes les informations que le point de vue de Jackie Brown devait donner ?
Séance 10 Entraînement au commentaire composé : Maupassant, Pierre et Jean (Texte I)
Problématique : En quoi ce texte relève-t-il du Réalisme ?
Vous ferez le commentaire littéraire du texte de Maupassant en vous aidant du parcours de lecture suivant :
Axe I – En quoi ce texte se présente-t-il comme un compte rendu de la réalité ?
Axe II – En quoi ce texte se présente-t-il comme une dénonciation de la société ?
Séance 11 (en ½ classe) HDA : Peinture romantique vs peinture réaliste
1. Ouvrez votre espace numérique, allez au dossier Données, ouvrez le dossier Realisme-en-peinture, qui comporte les fichiers images (« tableau1 », « tableau2 » etc.) que vous ouvrirez l’un après l’autre.
Question 1 Pour chaque tableau (ils ne sont pas numérotés dans l’ordre chronologique) indiquez s’il relève du
Romantisme ou du Réalisme ; justifiez vos choix.
2. Allez sur le site du musée d’Orsay à l’adresse suivante :
http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/dossier-courbet/
Répondez aux questions :
2.1. Par qui le tableau Une après-dînée à Ornans a-t-il été acheté ?
2.2. Où et quand le tableau Un Enterrement à Ornans est-il exposé1 ? Pourquoi ce tableau choque-t-il ?
2.3. Pourquoi L’Atelier du peintre est-il refusé au Salon de 1855 ? Où Courbet décide-t-il d’exposer son tableau ? Pourquoi ce tableau peut-il être considéré comme un ‘manifeste du Réalisme’ ?
2.4. Pourquoi le tableau Le Retour de la conférence (1863) a-t-il disparu ?
2.5. Pourquoi Courbet finit-il sa vie en Suisse ?
_________________
1. Depuis le XVIIIe siècle, on appelait « Salon » l’exposition annuelle organisée par l’Académie des Beaux-arts pour
promouvoir les jeunes peintres. De nombreux écrivains ont ‘chroniqué’ ces salons : Diderot, Baudelaire, Zola…

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