Il y a urgence à réduire les risques de catastrophe
Transcription
Il y a urgence à réduire les risques de catastrophe
PAGE 8 sl’express du mercredi 4 février 2014 swww.lexpress.mu O C É A N I N D I E N -!$!'!3#!2s3%9#(%,,%3s#/-/2%3s2²5.)/.s-!9/44%s2/$2)'5%3s-!,$)6%3 COMORES Le scrutin fixé au 22 février Le second tour des législatives comoriennes devra départager le parti du président Ikililou Dhoinine, et le parti Juwa d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, aujourd’hui dans l’opposition. Le parti Juwa est en tête en Grande Comore et sur l’île d’Anjouan, selon les premiers résultats provisoires, rapporte aujourd’hui le site habarizacomores.net. Union pour le développement des Comores, actuellement au pouvoir, devance de son côté ses adversaires sur l’île de Mohéli. Cinq à huit candidats par circonscription sont en lice. Le jeu des alliances devrait déboucher sur un deuxième tour de ces élections législatives comoriennes. La date du scrutin est fixée au dimanche 22 février et celui-ci se tiendra en même temps que les élections municipales. Trois députés comoriens ont d’ores et déjà été élus au premier tour le 25 janvier, dont deux de l’UPCD. Le taux de participation au scrutin législatif a été de 71%. Les électeurs de la capitale Moroni n’ont voté pour leur part qu’à 55%. 33 sièges de députés sont à conquérir dans la nouvelle Assemblée nationale des Comores, mais seuls 24 députés seront élus au suffrage universel direct. Les neuf autres députés seront nommés par leurs pairs des trois parlements de l’archipel. Linfo.re INTENSIFICATION DES ALÉAS NATURELS NEWS Il y a urgence à réduire les risques de catastrophe SEYCHELLES. NEW LAW COMPREHENSIVELY TACKLES DISASTER MANAGEMENT ISSUES Les pertes économiques se chiffrent en milliards. Madagascar par exemple V¼IXI[TM[UWaMV[LMÅVIVKMZTM[WXuZI\QWV[XW[\̉KaKTWVQY]M[ PLUS de 150 000 sinistrés livrés à eux-mêmes ont été recensés, alors que les chiffres venant des régions coupées sont toujours attendus. Le gouvernement arrive péniblement à répondre aux besoins de la population, les mécanismes post-catastrophe en place s’avèrent impuissants. La réduction des risques liés aux catastrophes était le thème de l’atelier national du programme ISLANDS de protection financière (IFPP), un projet de la Commission de l’océan Indien (COI) en collaboration avec l’UNISDR et financé par l’Union européenne. Le projet concerne cinq pays de la région : l’Union des Comores, Madagascar, Maurice, les Seychelles et Zanzibar. Après avoir exprimé au nom de la COI sa solidarité au peuple et aux autorités malgaches à la suite du passage de Chedza à Madagascar, le chef du projet ISLANDS, Christophe Legrand, a insisté sur l’importance de cet atelier national de restitution, à mi-parcours du programme sur les mécanismes de transferts de risques. En effet, après deux ans de travail et de transferts de technologie avec les techniciens malgaches de multiples agences, il lui paraît primordial que les résultats Deux semaines après le passage de «Chedza», les sinistrés attendent toujours de l’aide. obtenus soient maintenant partagés avec les décideurs, pour une appropriation et des actions au plus haut niveau de l’État. Il a précisé, notamment, que le cyclone Chedza nous rappelle notre impuissance sur les aléas naturels, mais qu’il est du devoir de tous d’en limiter les impacts économiques, sociaux et environnementaux, via des stratégies financières contre les risques de catastrophes. Les outils d’aujourd’hui nous permettent de les élaborer sereinement. Lors de cet atelier qui s’est tenu du 28 au 30 janvier, le rapport national sur Madagascar a été dévoilé aux différents participants. Il a été rédigé par les experts de l’UNISDR avec l’aide d’experts locaux. Les représentants de différents ministères et des institutions publiques ont pris connaissance des informations contenues dans le document. Le président de la plateforme régionale de ISLANDS pour la protection financière, le colonel Mamy Razakanaivo, a insisté sur le besoin de plus d’investissements dans la réduction des risques de catastrophes. Pour lui, ce rapport peut être la base de beaucoup de changements à Madagascar, si la volonté politique y est. «Ce rapport est très important, car il s’agit de faire savoir l’importance des investissements dans la gestion de risques liés aux catastrophes. Le cyclone Chedza a récemment démontré que les moyens dont nous disposons sont largement insuffisants et qu’il faut impérativement investir.» L’atelier consistait entre autres en une formation par les experts de l’UNISDR. Elle a été axée sur l’utilisation de méthodologies modernes dans le but de recueillir des informations sur les catastrophes passées. En utilisant ces méthodes, avec l’appui du docteur Pierre Lazamanana et de la Direction générale du Budget, les experts locaux de la CPGU ont pu recueillir et analyser les pertes liées aux catastrophes. L’établissement d’une base de données de pertes grâce aux données recueillies a permis aux décideurs d’avoir des chiffres précis sur les pertes causées par les catastrophes. Ces données aideront ensuite à mettre en place des mécanismes de protection financière, pour ainsi minimiser l’impact des catastrophes sur Madagascar. Les chiffres qui en sont sortis démontrent un problème majeur pour le futur de l’économie malgache si rien n’est fait. Sur ces 30 dernières années, les pertes physiques causées directement par les catastrophes sont estimées à environ 8,84 milliards de dollars américains. Nashreen EDOOBACCUS (De Madagascar) MADAGASCAR Grave sécheresse dans le Sud RFI rapporte qu’à Madagascar, alors que les régions ravagées par la tempête tropicale Chedza souffrent encore des fortes pluies, dans le Sud du pays c’est l’inverse. En effet, une grande sécheresse menace la sécurité alimentaire de centaines de milliers de personnes. On a à faire à la sécheresse la plus grave depuis six ans. La situation s’aggrave et les aides commencent à se mettre en place. Les organismes nongouvernementaux sont inquiets. Les pluies ne sont pas tombées depuis début décembre, rendant les champs secs, et les stocks s’amenuisent. Dans le district de Bekily, grenier de la région Androy, les habitants ont limité leur alimentation à un repas journalier composé unique- ment de manioc. Certains se tournent vers les fruits de cactus rouge pas encore mûrs et d’autres consomment les semences de la prochaine saison agricole. Les prix des produits de base ont augmenté de 100 %. IN August 2014, the Seychelles adopted a new Disaster Risk Management Act, which sets out that country’s first comprehensive legal framework for disaster risk management. The Seychelles Red Cross Society with support from the IFRC Disaster Law Programme was closely involved in advising and assisting the Seychelles authorities in the development of the act. The new legislation designates the Division of Risk and Disaster Management (DRDM) as the national body for disaster risk management responsible for, among other things, the preparation of the National Disaster Risk Management Plan and Strategy and implementation of the integrated emergency management and coordination system. As Divina Sabino and Paul Labaleine from the DRDM point out, “Before the law and policy were established, the DRDM functioned to implement the standards of the HFA (2005-2015) as a guideline. The DRDM had no legal authority to impose or restrict any measures other organizations were taking, but only to provide inputs. Most organizations respected DRDM as an authority but without legal backing, nothing was compulsory.” Many recommendations of the Guidelines for the domestic facilitation and regulation of international disaster relief and initial recovery assistance were incorporated in the new legislation, which deals specifically with international assistance. The law establishes a procedure to request, offer, accept and terminate international assistance. Furthermore, it grants legal facilities to humanitarian organizations including entry of personnel, freedom of movement, temporary recognition of professional qualifications, tax exemptions, recognition of foreign drivers licences, use and setting up of telecommunication equipment, opening of bank account, security and safety. Moreover, the law requires humanitarian organizations to cooperate and coordinate with national authorities, to ensure quality of medications and equipment, to comply with principles of humanity, independence and impartiality, and to dispose of equipment and unused goods in an appropriate manner. During emergencies, these provisions are expected to help limiting delays, restrictions and costs of international disaster relief while ensuring adequate oversight and quality of the assistance provided. The new law also creates different committees, including the National Disaster Risk Management Committee. The Seychelles Red Cross Society’s role as an auxiliary to public authorities in humanitarian activities is reaffirmed as the legislation grants it membership to the committee which advises the government on matters related to disaster risk management. Two other committees, the Vulnerability Assessment Committee and the National Platform for Disaster Risk Reduction, demonstrates the new act’s intention to not only address the relief phase of an emergency but also disaster risk reduction. Moreover, the act ensures that guidance on how to assess and reduce disaster risk is provided to government institutions, as well as private sector entities, non-governmental organisations, communities and individuals. In addition, the new legislation includes several provisions on shelter management. It requires the Disaster Risk Management’s Director General to establish and maintain a list of premises available and suitable for the use as shelter in case of an emergency. It also provides a procedure for temporarily requisitioning land. Consequently, these provisions ensure preparedness for provision of shelter and address certain regulatory barriers to providing emergency and transitional shelter. Mireille LE-NGOC Linfo.re MAYOTTE Une pirogue transportant 40 passagers interceptée LES kwassa-kwassa, ces embarcations d’une capacité moyenne de dix personnes, continuent de transporter des passagers clandestins, commente le site lejournaldemayotte.com. Vendredi 30 janvier, une embarcation de ce type a été interceptée par la brigade nautique de Mayotte avec à son bord 40 personnes ! Le nombre moyen de passagers en provenance d’Anjouan est de 20 à 25 habituellement, pour ces embarcations éphémères, presque du «one shot» pour une embarcation de ce type. Tous les passagers du kwassa-kwassa intercepté ont été présentés à leur arrivée à une infirmière. Parmi eux, une personne a été évacuée pour des raisons sanitaires. 15 passagers ont fait l’objet d’obligation de quitter le territoire français et ont été placés en Le nombre moyen de passagers en provenance d’Anjouan est de 20 à 25 habituellement, pour ces embarcations éphémères. rétention administrative avant éloignement. 24 mineurs leur ont été rattachés. En mars 2014, cinq kwassa-kwassa ont été interceptés avec 116 per- sonnes au total à leur bord. Tous les immigrants clandestins ont aussi fait l’objet d’une évaluation sanitaire avant le déclenchement de la procédure administrative en vue d’une reconduite à la frontière. Les passeurs présumés, qui étaient aux commandes de ces cinq embarcations, ont été placés en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie. Linfo.re Urgence dans la réduction des risques 31.01.2015 | 8:34 Actualités, Social0 Deux semaines après le passage du cyclone Chedza, les séquelles sont toujours visibles. Le gouvernement est dépassé par les évènements. Plus d’une centaine de milliers de sinistrés sont enregistrés, alors que les chiffres venant des régions coupées sont toujours attendus. Le gouvernement arrive péniblement à répondre aux besoins de la population, les mécanismes post-catastrophe, actuellement en place, s’avèrent impuissants. La réduction des risques liés aux catastrophes était le thème de l’atelier national du programme ISLANDS de protection financière (IFPP), un projet de la Commission de l’océan Indien (COI) en collaboration avec l’UNISDR et financé par l’Union européenne. Le projet concerne cinq pays de la région, l’Union des Comores, Madagascar, Maurice, Seychelles et Zanzibar. Après avoir exprimé au nom de la COI sa solidarité au peuple et aux autorités malgaches suite au passage du cyclone Chedza à Madagascar, le chef du projet ISLANDS, Christophe Legrand, a insisté sur l’importance de cet atelier national de restitution, à mi-parcours du programme sur les mécanismes de transferts de risques.En effet, après deux ans de travail et de transferts de technologie avec les techniciens malgaches de multiples agences, il lui paraît primordial que les résultats obtenus soient maintenant partagés avec les décideurs, pour une appropriation et action au plus haut niveau de l’état.Il a précisé, notamment, que le cyclone Chedza nous rappelle notre impuissance sur les aléas naturels, mais qu’il est du devoir de tous d’en limiter les impacts économiques, sociaux et environnementaux, via des stratégies financières contre les risques de catastrophes. Les outils d’aujourd’hui nous permettent de les élaborer sereinement. Lors de cet atelier qui s’est tenu du 28 au 30 janvier, le rapport national sur Madagascar a été dévoilé aux différents participants. Celui-ci a été rédigé par les experts de l’UNISDR avec l’aide d’experts locaux. Les représentants de différents ministères, ainsi que des institutions publiques ont pris connaissance des informations contenues dans le document. Le président de la plateforme régionale de ISLANDS pour la protection financière, le colonel Mamy Razakanaivo, a insisté sur le besoin de plus d’investissements dans la réduction des risques de catastrophes. Pour lui, ce rapport peut être la base de beaucoup de changements à Madagascar, si la volonté politique y est. Meilleure stratégie « Ce rapport est très important, car il s’agit avant tout de communiquer aux décideurs les résultats obtenus lors des phases une et deux du IFPP. Il s’agit de faire savoir l’importance des investissements dans la gestion de risques liés aux catastrophes. Il faut sensibiliser les différents acteurs pour l’intégration des stratégies de réduction de risques liés aux catastrophes, accompagnés de moyens financiers dans le programme sectoriel. Le cyclone Chedza a récemment démontré que les moyens dont nous disposons sont largement insuffisants, et qu’il faut impérativement investir. » L’atelier consistait entre autres en une formation par les experts de l’UNISDR. Elle a été axée sur l’utilisation de méthodologies modernes dans le but de recueillir des informations sur les catastrophes passées.En utilisant ces méthodes, avec l’appui du docteur Pierre Lazamanana et de la Direction générale du Budget, les experts locaux de la CPGU ont pu recueillir et analyser les pertes liées aux catastrophes. L’établissement d’une base de données de pertes grâce aux données recueillies a permis aux décideurs d’avoir des chiffres précis sur les pertes causées par les catastrophes. Ces données aideront ensuite à mettre en place des mécanismes de protection financière, pour ainsi minimiser l’impact des catastrophes sur Madagascar. Les chiffres qui en sont sortis démontrent un problème majeur pour le futur de l’économie malgache si rien n’est fait. Sur ces trente dernières années, les pertes physiques causées directement par les catastrophes sont estimées à environ 8,84 milliards de dollars américains. Ce chiffre fait à peu près 24 124 milliards d’ariary à la valeur actuelle. De plus, en ajoutant les pertes indirectes dues aux catastrophes, ce chiffre augmente de façon considérable. Nashreen EdooBaccus C.O.I. Lancement du programme Eco-Schools dans la région de l’océan Indien MERCREDI, 04 FÉVRIER 2015 08:57 MADAGATE AFFICHE Programme international pour le développement durable Lancement du programme Eco-Schools dans la région de l’océan Indien Ebène le 4 février 2015 - Eco-Schools, un programme global qui aide les écoles à prendre des mesures en faveur du développement durable, est mis en œuvre dans l'océan Indien. Cette semaine, des représentants des Seychelles, des Comores, de Madagascar, de l’ile Maurice et de Zanzibar se réunissent à Mahé, Seychelles, pour un atelier de lancement du programme dans la région. Cette rencontre sera aussi l’occasion pour ces délégations d’apprécier la mise en action du processus dans les écoles locales. Initié dans la région par le projet ISLANDS de la Commission de l’océan Indien (COI), EcoSchools océan Indien, est financé par l'Union européenne, en partenariat avec WWF Madagascar, Océan Indien Occidental, Eco-Schoolsprogramme du gouvernement de Seychelles, et l'ambassade des États-Unis à l'île Maurice et aux Seychelles. Ce programme adopte une approche holistique grâce à un simple processus qui se décline en sept étapes : création du comité Eco-Schools ; évaluation environnementale ; plan d'action ; suivi et évaluation ; établissement de liens entre les curricula ; information et implication de la communauté et élaboration de l’éco-code. EcoSchools océan Indien fonctionnera via son site web où toutes les écoles pourront inscrire leurs activités et partager leurs expériences. Les écoles ne pouvant accéder à Internet pourront prendre part aux activités par le biais de la téléphonie mobile et du manuel Eco-Schools océan Indien qui sera diffusé en plusieurs langues. « Eco-Schools océan Indien va permettre aux jeunes, aux écoles et aux communautés des îles vulnérables de l'océan Indien occidental de travailler ensemble sur les défis du développement durable. Nous espérons que ce programme va encourager davantage la mobilisation des nombreuses initiatives d'éducation au développement durable existantes dans la région, et établir de nouveaux dialogues pour les partenariats et soutiens régionaux et internationaux », explique Riccardo Magini, économiste du projet ISLANDS. Avec le lancement de ce programme, les pays de l'océan Indien sont maintenant représentés parmi les soixante et un autres pays exécutant ce programme international de la Fondation pour l'éducation environnementale (FEE International) et de son drapeau vert, symbole d’excellence international dans le domaine de l'éducation au développement durable(EDD). Interrogé sur l'initiative, Shari Villarosa, ambassadeur des Etats-Unis à Maurice et aux Seychelles déclare que « les défis auxquels les nations insulaires sont confrontés doivent être abordés collectivement. Eco-Schools océan Indien est le type de partenariat novateur entre la société civile, les gouvernements et les groupes internationaux et nationaux, indispensable pour impliquer les générations futures dans l'atténuation du changement climatique. Nous sommes fiers de collaborer avec les îles pour appuyer le projet EcoSchoolsocéan Indien. » Notes aux éditeurs: *Pour plus d'informations sur le programme Eco-Schools océan Indien, veuillez contacter: Riccardo Magini, économiste du projet ISLANDS. Tel: (+230) 402 6100; email : [email protected] *L'atelier de lancement d’Eco-Schools océan Indien se tiendra au Centre international de conférences aux Seychelles (ICCS) à Victoria du 3 au 5 février. *Les petits États insulaires en développement (PEID) de l'océan Indien occidental sont parmi les plus vulnérables dans le monde. Les élèves de la région sont déjà confrontés aux effets dévastateurs du changement climatique au quotidien : l'élévation du niveau de la mer, l'érosion du sol, les inondations, les pénuries d'eau, la fréquence élevée des catastrophes naturelles, et les impacts sociaux et économiques connexes. *La Fondation pour l'éducation environnementale (FEE International) (www.feeinternational.org) est une organisation internationale non-gouvernementale basée à Copenhague Danemark. FEE est principalement active grâce à ses cinq programmes d'éducation à l'environnement: Eco-Schools, Blue Flag, Jeunes reporters pour l'environnement, l'apprentissage sur les forêts et Green Key. Aujourd’hui, 81 organisations mettent en œuvre les programmes de la FEE dans 68 pays à travers le monde. *Eco-Schools (www.eco-schools.org) fournit un cadre pour aider les écoles à : - tirer des leçons sur le développement durable, - encourager et mettre en œuvre des projets environnementaux et des changements de comportement positifs ; - développer de nouvelles aptitudes et compétences; - améliorer la motivation, le bien-être et l'efficacité; - et s’engager davantage dans les communautés. *Le cœur du programme Eco-Schools repose sur une méthode structurée en 7 étapes : ÉTAPE 1 Création du comité Eco-Schools ÉTAPE 2 Revue environnementale ÉTAPE 3 Plan d'action ÉTAPE 4 Suivi et évaluation ÉTAPE 5 Etablissement des liens entre les curricula ÉTAPE 6 Information et implication de la communauté ÉTAPE 7 Elaboration de l’Eco-Code *Ce processus est réalisé par les élèves eux-mêmes dans les écoles, et tourne autour de neuf thématiques : l'énergie, les déchets, l’eau, la vie saine, la biodiversité, les moyens de subsistance, le patrimoine culturel, le sol et l'air, le changement climatique/les catastrophes naturelles et la vie océanique et marine. L’école qui réussira dans ces domaines se verra décerner éventuellement le Drapeau vert des Eco-Schools. Unité communication de la COI - Blue Tower, Ebène - île Maurice MIS À JOUR ( MERCREDI, 04 FÉVRIER 2015 09:18 ) Ecoclip, un concours de vidéos pour les jeunes de 16 à 25 ans x x x Clicanoo.re publié le 3 février 2015 19h53 0 La Commission de l’Océan Indien organise un concours de vidéos "Ecoclip", à l’attention des jeunes réunionnais de 16 à 25 ans. Les vidéos prises avec un téléphone portable, sur les thèmes de l’environnement, l’économie, la culture et la société... Le dépôt des candidatures est ouvert jusqu’au 20 avril. Pour les intéressés, ils devront transmettre leur film de 3 minutes à l’Unité Grenelle et Développement durable de la DEAL, à l’attention de Monsieur Mariotti Sébastien - DEAL/SCED/UGD. Le format est libre : les candidats pourront choisir entre le reportage, la fiction, le clip musical... Tout est permis ! Le lauréat sera invité à L’Île Maurice pour participer au festival Îles Courts à la fin 2015 et son film sera diffusé à cette occasion. Plus d’informations sur la page Facebook du concours : https://www.facebook.com/pages/EcoC... L’Europe est la source principale de touristes pour Maurice, soit 54,9% de part de marché. En 2014, 570 548 touristes de ce continent ont posé leurs valises contre 547 406, soit une hausse de 4,3%. Les touristes de l’Asie ont aussi augmenté de 19,5% l’année dernière avec 158 361 touristes contre 132 554 en 2013. Sur le marché asiatique, c’est principalement, le nombre de touristes venant de la Chine qui connaît un bond extraordinaire. Qui plus est, China Southern Airlines dessert l’île. Cette compagnie d’aviation est classée en première position en Asie et 5ème au monde. Le transporteur aérien, qui est aussi membre de SkyTeam, compte plus de 580 avions incluant des Boeing 787, 777, 757, 737 et l’Airbus A380, A330, A321, A320 et A319. De plus, la région de Guangzhou, située dans le sud de la Chine, représente une opportunité pour l’île Maurice, car Shenzhen est le hub pour 61 autres vols du China Southern Airlines en Chine. De ce fait, les voyageurs chinois peuvent utiliser la connexion de Shenzhen, qui est aussi la ville la plus proche en Chine pour se rendre à Maurice. La possibilité de faire venir plus des touristes du Moyen-Orient est aussi à l’étude. Les Emirats arabes unis représentent encore un marché à fort potentiel pour Maurice. Extrait du journal le Matinal du 09/01/2015 http://www.lematinal.com/news/local/6931-la-barre-d%E2%80%99un-millionde-touristes-d%C3%A9pass%C3%A9e.html Sensibilisation sur le développement durable Young people learn more about EcoClip video contest The organisers of the EcoClip Video Competition in collaboration with Metissage held a briefing session yesterday on the concept of that Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation competition.The meeting, held at the Seychelles Institute of Teachers’ Education (Site), was for youths aged between 16 and 25 years who are interested in taking part.Yesterday’s information session was conducted by Virginie Torrens, expert TIC, Education and Development / Communication of the Indian Ocean Commission.The information session was to provide information needed for those taking part before they start working on the steps required to register for the EcoClip competition. The short film competition is about the youths expressing their vision on sustainable development or best practices on their island. It has to do with everything related to the environment, culture, economy, society, etc.It is open to young people, youth groups and association from six countries of the region – Comoros, Madagascar, Mauritius, Réunion, Seychelles and Zanzibar.It should not exceed three minutes in duration and be submitted in one of the following formats: .MPEG4 / .MOV / .AVI and should be produced in French, English, or in a national language with sub-titles in English or French.The youths are free to choose the style of the video they would like to produce: fiction, drama, documentary, a music video, 2D animation, among others. They have until January 31 to send in their synopsis from which five candidates per country will be selected.Those taking part will be followed, trained and led by a local organisation Metissage who will help them with their script writing or by professionals specialised in audiovisual productions who will guide them in their production process.The selected candidates will be provided with a mobile phone equipped with a camera so they can shoot their images easily before starting the editing process.Ms Torrens also informed those taking part that those who are not selected will still have until April 30 to send in their film at [email protected] but warned them that they will not be trained for that and won’t receive any equipment.“This project is called ISLANDS. It is aimed at enhancing sustainable development in the region,” she said, adding that they are working with the six countries mentioned earlier. She also said apart from discussing the concept of the EcoClip contest, another purpose of yesterday’s meeting was to enhance the knowledge of those taking part on sustainable development which is the topic of the video competition. She presented short videos on sustainable development to give them an idea of what they can produce while stressing that sustainable development is not just about the environment but about meeting the needs of today and that of generations to come but in a sustainable way.“We can repair the Earth, re-think how we build and build responsibly,” were the general messages in those videos.In the meantime interested youths can log on to the following link to know more about the rules and regulation for entries http://commissionoceanindien.org/activites/islands/a-la-une/concoursvideo-regional-ecoclip/ Contributions can also be sent on postal address at CARE House, Freedom Square, Victoria. For more information call 2615277 or email Virginia.torrens@coi-ioc-org Tel: +230 5250 2904 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation Ms Torrens informed the youths that they will choose one representative from Seychelles who will be invited to Mauritius in September or October to be part of an international festival. That person will also be part of a jury and his/her movie will be presented in Mauritius and possibly in all regional countries. She also informed them of the big interest from a festival in Canada where she hopes to have contributions from people of the Indian Ocean.“It can be a great opportunity for you,” she told the youths. The competition is a project of the Indian Ocean Commission funded by the European Union. Among its aims is to promote sustainable development of small island developing states of the Eastern and Southern Africa and the Indian Ocean (ESAIO) regions by raising the social, economic and environmental level of its member countries as well as better integrating them in the region. Extrait du journal Seychelles Nation du 15-January-2015 http://www.nation.sc/article.html?id=244217 DefiMedia Extrait du journal Defimedia du 01/2015 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation Lexpress Extrait du journal l’express 01/2015 La COI lance le concours Eco-Clip1 La Commission de l’Océan Indien organise un concours surnommé « Eco-clip ». Ils appellent les jeunes à s’exprimer à travers des petits films sur leur vision du développement durable. Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation Après le concours du Pocket Film, la Commission de l’Océan Indien à travers le projet Island organise le concours vidéo « Eco-Clip ». Il invite les jeunes mais aussi les groupes, les associations et les groupes de jeunes de 16 à 25 ans à s’exprimer à travers des petits films sur leur vision du développement durable ou sur les meilleures pratiques en vigueur dans leur île en termes de développement durable. « L’année dernier, nous avons travaillé avec des jeunes de 8 à 10 ans. On leur a fait écrire des histoires et là on se dit qu’on donne la parole au vieux pour s’exprimer en image. L’idée est de sensibiliser les jeunes à la thématique du développement durable », a montré Virginie Torrens, expert en TIC Education et développement. Pour le concours, le film doit être de court métrage sur le thème du développement durable. Les candidatures des jeunes originaires des îles nationales autres que la Grande Comores (Comores), Maurice, Mahé (Seychelles), Ungudja (Zanzibar) sont vivement encouragé. A l’issue de ce concours, 5 candidats par pays seront sélectionnés sur présentation d’un synopsis. Ils seront ensuite encadrés par des professionnels audiovisuels qui les aideront à réaliser leur projet et ils recevront également un téléphone portable équipé d’une camera. « Les participants ont libre choix du genre de leur production. Cette dernière peut être un documentaire, une fiction, une animation 2D, un clip musical. Il devrait y avoir une durée maximum de trois minutes et le film peut être réalisé en français, en Anglais ou langue nationale avec sous-titre français ou anglais », a-t-elle poursuivi. Les domaines choisis vont du social, environnemental, économique et culturel. Les participants sélectionnés s’engage à suivre la formation qui leur sera offerte dans son intégralité et mener à terme la production et la réalisation de leur projet de court métrage dans le cadre du concours. Le concours encourage vivement les candidatures féminines. Le projet Eco-Clip est lancé par le projet Island, un projet financé par l’Union Européenne et mis en œuvre par la Commission de l’Océan Indien et qui a objectif de favoriser le développement durable dans la région. Les jeunes ont jusqu’au 31 Janvier pour remettre leur synopsis. Le meilleur des ces 5 candidats sera invité au festival à l’île Maurice. Extrait du journal la gazette des Comores du 14/01/2015 http://www.lagazettedescomores.com/spip.php?article927 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation Développement durable La COI pour les petits Etats insulaires en développement 27.01.2015 C’est aujourd’hui que s’achève l’année internationale des Petits Etats insulaires en développement (PIED). Une cérémonie présidée par le Secrétariat général de l’ONU s’est tenue hier, à New York. Gina Bonn, chargée de mission de la COI, précise que "cet événement fut une opportunité considérable pour la Commission de l’océan Indien (COI) de faire des propositions concrètes en faveur des pays insulaires notamment pour qu’ils soient reconnus comme une catégorie spécifique au sein du Système des Nations unies". Les PIED devraient aussi bénéficier d’un traitement spécial en matière de développement, selon la COI. Durant cette année consacrée aux PEID et dont la Conférence internationale de Samoa a été le point d’orgue au mois de septembre, la COI a porté la voix des îles de l’océan Indien et plus largement d’Afrique et de l’océan Indien. Elle a notamment fait valoir la nécessité d’un traitement spécifique et différencié de la part de la communauté internationale reposant sur une liste des PEID bénéficiaires d’un tel traitement actualisée et reconnue par les Nations unies. La COI a également plaidé pour l’élaboration d’un Programme des Nations unies pour les PEID comme il en existe pour l’environnement ou encore le développement dans son plaidoyer prononcé par le Secrétaire général à Samoa. 4 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation Aux Samoa, la COI a aussi pu faire valoir ses expériences innovantes pour le développement durable notamment son étude pilote sur la comptabilité environnementale menée à Maurice. Cette étude constitue une étape cruciale pour la valorisation des écosystèmes. Toute au long de l’année, la COI a mis l’accent sur la sensibilisation au développement durable en particulier auprès des jeunes. Ainsi, une campagne de sensibilisation sous forme de spectacle de marionnettes sur la protection des ressources marines et côtières a touché plus de 8 000 enfants de la région. http://www.linfo.re/ocean-indien/ile-maurice-rodrigues/661168-la-coipour-les-petits-etats-insulaires-en-developpement « Elevons notre voix, pas le niveau de la mer » La COI fait le bilan de l’Année internationale des Petits Etats insulaires en développement 26 janvier 2015 « Année internationale des Petits Etats insulaires en développement : la COI, force de propositions concrètes pour la défense des intérêts insulaires », c’est le titre du communiqué de la Commission de l’océan Indien rendant compte des actions menées par l’organisation de notre région au cours de l’Année des PEID. Île tropicale, La Réunion se situe dans la région où la montée du niveau de la mer est la plus importante. « L’année internationale des petits Etats insulaires en développement (PEID) se termine aujourd’hui par une cérémonie officielle organisée par le Secrétariat Général des Nations unies à New York. « Cet évènement fut une opportunité considérable pour la Commission de l’océan Indien (COI) de faire des propositions concrètes en faveur des pays insulaires 5 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation notamment pour qu’ils soient reconnus comme une catégorie spécifique au sein du Système des Nations unies et qu’ils bénéficient d’un traitement spécial en matière de développement », précise Gina Bonne, chargée de mission de la COI. Durant cette année dédiée aux PEID et dont la Conférence internationale de Samoa a été le point d’orgue en septembre 2014, la COI a porté la voix des îles de l’Indianocéanie et plus largement d’Afrique et de l’océan Indien. Elle a notamment fait valoir la nécessité d’un traitement spécifique et différencié de la part de la communauté internationale reposant, entre autres, sur une liste des PEID bénéficiaires d’un tel traitement actualisée et reconnue par les Nations unies. Dans son plaidoyer prononcé par le Secrétaire général à Samoa, la COI a également plaidé pour l’élaboration d’un Programme des Nations unies pour les PEID comme il en existe pour l’environnement ou encore le développement. Aux Samoa, la COI a également pu y faire valoir ses expériences innovantes pour le développement durable notamment son étude pilote sur la comptabilité environnementale menée à Maurice. Cette étude constitue une étape cruciale pour la valorisation des écosystèmes. Toute au long de l’année des PEID, la COI a mis l’accent sur la sensibilisation au développement durable en particulier auprès des jeunes. Ainsi, une campagne de sensibilisation sous forme de spectacle de marionnettes sur la protection des ressources marines et côtières a touché plus de 8 000 enfants de la région. La COI a également profité des célébrations de la journée mondiale de l’environnement, pour mettre en valeur le rôle fondamental que les jeunes peuvent jouer dans la gestion de l’environnement. Le thème de cette action cadre fut "Elevons notre voix, pas le niveau de la mer" ». http://www.temoignages.re/developpement/changement-climatique/elevonsnotre-voix-pas-le-niveau-de-la-mer,81276.html 6 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation La COI pour un traitement spécifique des pays insulaires L'année internationale des petits Etats insulaires en développement (PEID) s'est terminée le lundi 26 janvier 2015 par une cérémonie officielle organisée par le secrétariat général des Nations unies à New York. L'occasion pour la COI de porter la voix des îles de l'océan Indien et de militer pour que les pays insulaires bénéficient d'un traitement spécifique en matière de développement. " Cet événement fut une opportunité considérable pour la commission de l’océan Indien (COI) de faire des propositions concrètes en faveur des pays insulaires notamment pour qu’ils soient reconnus comme une catégorie spécifique au sein du système des Nations unies et qu’ils bénéficient d’un traitement spécial en matière de développement ", précise Gina Bonne, chargée de mission de la COI. Durant cette année dédiée aux PEID et dont la conférence internationale de Samoa a été le point d’orgue en septembre 2014, la COI a porté la voix des îles de l’Indianocéanie et plus largement d’Afrique et de l’océan Indien. Elle a notamment fait valoir la nécessité d’un traitement spécifique et différencié de la part de la communauté internationale reposant, entre autres, sur une liste des PEID bénéficiaires d’un tel traitement actualisée et reconnue par les Nations unies. Dans son plaidoyer prononcé par le secrétaire général à Samoa, la COI a également plaidé pour l’élaboration d’un programme des Nations unies pour les PEID comme il en existe pour l’environnement ou encore le développement. Aux Samoa, la COI a également pu y faire valoir ses expériences innovantes pour le développement durable notamment son étude pilote sur la comptabilité environnementale menée à Maurice. Cette étude constitue une étape cruciale pour la valorisation des écosystèmes. Tout au long de l’année des PEID, la COI a mis l’accent sur la sensibilisation au développement durable en particulier auprès des jeunes. 7 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation Ainsi, une campagne de sensibilisation sous forme de spectacle de marionnettes sur la protection des ressources marines et côtières a touché plus de 8 000 enfants de la région. La COI a également profité des célébrations de la journée mondiale de l’environnement, pour mettre en valeur le rôle fondamental que les jeunes peuvent jouer dans la gestion de l’environnement. Le thème de cette action cadre fut " Elevons notre voix, pas le niveau de la mer http://www.ipreunion.com/actualites/reportage/2015/01/28/nations-unies-lacoi-pour-un-traitement-specifique-des-pays-insulaires,29126.html Alwatwan.net http://www.alwatwan.net/pdf/27012015.pdf 8 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation African islands stand united at AU summit 30-January-2015 The African island states have reaffirmed their commitment to strengthening the voice of island states within the African Union by highlighting the real and valuable contributions they can make to the growth and development of the African continent. Meeting on the margins of the African Union’s 26th Ordinary Session of the Executive Council of African Foreign Ministers in Addis Ababa, Ethiopia ahead of Summit of Heads of States later in the week, the island delegations of Cabo Verde, Comoros, Madagascar, Mauritius, were convened at the invitation of Seychelles to discuss the role of islands in the African Union Agenda 2063 ‘The Africa We Want’ development plan. “We have an obligation to defend the commonalities of African island states within the future for Africa envisioned within the Agenda 2063. Though we may be small we must champion the importance of developing our oceanic spaces as an opportunity for the whole of Africa, though we must lead the charge,” said the Minister for Foreign Affairs of the Republic of Seychelles, Jean-Paul Adam, who chaired the gathering. The discussions focused on the outcomes of the recent island consultation on the Agenda 2063 held in Seychelles in December 2014 and the way forward in ensuring that the key priorities for island states are included and advanced in an inclusive and equitable manner within the African Union framework. These priorities include a strong focus on the development of the Blue Economy within Africa, as an opportunity for all African States, the fight against climate change, and the growth and development of the tourism sector as a driver for change and economic growth. The island states also took the opportunity to discuss the under representation of islands in international bodies and expressed solidarity in supporting an increased effort in addressing this matter. With this in mind the delegations made presentations on their respective candidature which included a candidate of Cabo Verde for the post of Presidency of the African Development Bank, the Malagasy candidate for the African Union Commission on Internal Law and the candidacy of Seychelles for a nonpermanent seat of the UN Security Council for the period 2017-2018. 9 Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation