dinh van-CP-FR - SOPHIE CARRÉE presse+communication
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dinh van-CP-FR - SOPHIE CARRÉE presse+communication
dinh van - le joaillier iconoclaste En 1965, Jean Dinh Van fonde sa maison avec une ambition : inventer une joaillerie essentielle, personnelle, une joaillerie du quotidien. Il inverse la démarche joaillière en créant des bijoux qui se destinent à ceux qui les portent davantage qu’à ceux qui les regardent. Une création dinh van se reconnaît entre mille. Contemporaine et intemporelle, elle offre ses formes pures, simples et douces pour devenir le bijou complice des femmes, des hommes et des enfants. Bijoux sensuels et essentiels, ils créent un lien fusionnel avec ceux qui les portent et c’est ainsi qu’ils prennent toute leur dimension. Ce sont des symboles universels, nés de l’observation optimiste de l’époque et de ses contemporains, à l’image des collections qui ont fait le succès de la marque : Cible, Pi Chinois, Maillon, Seventies et Menottes dinh van. d’un porte-clé... Genèse d’une collection iconique - menottes dinh van Les créations dinh van sont inspirées de l’observation optimiste du monde et des objets du quotidien. Menottes dinh van : Le concept du fermoir « menottes » est né d’un porte-clefs, en 1976. Jean Dinh Van, toujours à la recherche du bijou simple et facile à porter, flirte avec l’astuce en créant « le porte-clefs menottes », fondé sur le principe de la séparation en un tour de main d’un jeu de clés. Il saura ensuite transformer cet heureux hasard en une réussite puisqu’il va faire de ce fermoir un bijou à part entière qui est encore un « best-seller » de la maison. ...à un design classique de la joaillerie française Jean Dinh Van - un esprit libre à l’origine de la joaillerie minimaliste Né en 1927 près de Paris, d’origine vietnamienne et bretonne, Jean Dinh Van voulait être marin. Heureusement pour les femmes, il décide, sous l’influence de son père, artisan laqueur, de créer des bijoux. Après avoir étudié aux Beaux-arts de Paris, il apprend le métier d’artisan joaillier chez Cartier, et entame une histoire d’amour avec le métal. Cette expérience lui a permis de se forger une vision très personnelle du luxe et de la beauté. Au milieu des années 60, fatigué de façonner des fleurs et des panthères pour les mondaines et les aristocrates, il souhaite faire descendre le bijou dans la rue. Il s’intéresse à son époque, à tout ce qui est nouveau : au prêt-à-porter de Paco Rabanne et Pierre Cardin, aux meubles de Knoll, à la publicité de Marcel Bleustein-Blanchet. Au sein d’un groupe de créateurs, il aspire à plus de modernité et souhaite sortir le bijou des contraintes de la préciosité. Il ambitionne de créer des bijoux à porter tous les jours pour des femmes en pleine émancipation. Loin d’une joaillerie d’apparat, il propose un luxe intime et spirituel et insuffle un profond renouveau dans le monde de la Joaillerie Française. Il opère alors une véritable rupture en travaillant des pierres ornementales et en créant des bijoux aux formes épurées, simples et dépouillées, avec cette ingénieuse capacité à faire sortir un objet de valeur de la matière brute. Les créations de Jean Dinh Van répondent à une double logique : celle de la simplicité et de l’exceptionnel. Ainsi, le bijou sort de son carcan traditionnel et poussiéreux, du cadeau ostentatoire et précieux. Un luxe intimiste, un luxe pour soi. Les formes carrées, géométriques ou encore le métal martelé sont emblématiques de ses collections, tout comme cette dualité matérielle entre le «vide» et le «plein». Le même bijou devient alors différent selon le fond sur lequel il repose. Les mélanges de matières et les jeux de formes s’inscrivent parfaitement dans sa recherche de l’originalité. En quelques années, il a su imposer un style marqué, identifiable entre tous : un mélange de luxe, de poésie, des formes épurées, stylisées, douées d’un équilibre parfait. Une simplicité essentielle dans la création en s’inspirant du monde pour mieux le fasciner, sublimer des objets usuels pour en faire des bijoux. dinh van - chronologie d’une success story les années 70 : révolution rue de la paix les années 60 : les débuts En 1976, il s’installe au n°7 rue de la Paix. Sa boutique est conçue comme une galerie accueillant les œuvres d’artistes contemporain. Il expose ainsi les créations de son ami César. Guidé par son intuition, au début des années 60, Jean Dinh Van quitte Cartier, s’intéresse à tout ce qui l’entoure, aux évolutions artistiques de son époque : à la naissance du prêt-à-porter, au développement du design et de la publicité. Il installe son atelier place Gaillon, près de la place Vendôme en 1960, et rejoint un groupe de joailliers (dont Henri Gargat et Gilles Jonneman) désirant faire sortir le bijou de son carcan traditionnel de préciosité. En 1967, il dessine la bague deux perles pour Pierre Cardin. Sélectionné comme l’un des quatre meilleurs joailliers français, il expose à Montréal. Grâce à ce premier pas sur le continent américain, il commence une collaboration avec Cartier New York, dont les créations seront cosignées «Cartier dinh van». Après quelques années, la distribution s’étend à tout le continent Nord Américain. A la fin des années 60, Jean Dinh Van surprend à nouveau en distribuant ses créations au Drugstore Publicis des Champs Elysées. les années 80 : chéri de la presse et des distributeurs les années 2000 : la consécration Résolumment avant-gardiste, il prend l’audacieuse décision d’exposer et d’être le premier à distribuer les montres SWATCH. Il fera la une des journaux de l’époque, qui dénoncent alors un « malheur rue de la Paix ». En 2000, dinh van crée la surprise en révolutionnant une nouvelle fois le monde de la joaillerie. Il invente un nouveau porté : un bijou porté sur un cordon en coton. Cette création apporte un vent de fraîcheur et une dimension mode au bijou dont le cordon peut s’accorder au gré des envies et des tenues. Véritable phénomène, le bracelet sur cordon sera repris par tous. De nombreux bijoutiers lui font confiance depuis ses débuts et distribuent ses créations à Paris, en province, en Suisse et en Belgique. Au cours des années 80, le style de Jean Dinh Van s’affirme et son réseau de distribution se renforce en France et à l’étranger. Chéri de la presse, il est de toutes les fêtes et manifestations parisiennes. les années 90 : la création d’une icône Dans les années 90, une loi autorise l’importation en France de l’or 9 carats (un alliage où la proportion d’or est plus faible). Clin d’œil espiègle à ce substitut de précieux, dinh van va créer le Pi Chinois, en or pur 24 carats. Inspiré des disques chinois en Jade, le Pi Chinois est martelé à la main, faisant ainsi de chaque pièce une création unique. En 2003, le musée des Arts décoratifs consacre le talent créatif de Jean Dinh Van en accueillant ses créations emblématiques dans sa collection permanente. Au cours des années 2000 et 2010, dinh van invite deux esprits libres a réinterpréter le Pi Chinois. En 2004, Milan Vukmirovic, co-fondeur de Colette, associe l’onyx et agathe à ce disque mythique. A l’occasion de la nouvelle décennie, Lapo Elkann choisit la fibre de carbone et le diamant noir pour sublimer le Pi. Profitant de ses succès, en 1998, il cède sa maison à un binôme d’investisseurs, qui permettra l’accélération du développement de dinh van. les années 2010 : l’internationalisation A la fin des années 2000, dinh van ouvre sa cinquième boutique, avenue des Champs Elysées, non loin du flagship de Louis Vuitton. Après près de 50 années de création, le style dinh van est toujours aussi actuel. En 2013, dinh van ouvre ses deux premières boutiques à Hong Kong. La maison perpétue plus que jamais « ’esprit libre de la joaillerie». dinhvan.com contact presse : SOPHIE CARREE presse+communication bureau : +32 (0)2 346 05 00 e-mail : [email protected]