Dossier de presse

Transcription

Dossier de presse
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LA
VIE
BIEN QU’ELLE SOIT
COURTE
DE
STANISLAV STRATIEV
C A T H E R I N E L E P R O N T MISE EN SCÈNE S O P H I E A C C A R D MUSIQUE ORIGINALE C A S C A D E U R
AV E C S O P H I E A C C A R D , T C H A V D A R P E N T C H E V E T L É O N A R D P R A I N
L ice nce n° 1-10 4 377 9 - Vis uel : © F ranço is Supiot
TRADUCTION
THÉÂTRE CONTEMPORAIN
P R É S E NT É PA R
DU 23 MARS AU 7 MAI 2016 À 19H DU MARDI AU SAMEDI
5 3 R U E N OT R E - D A M E - D E S - C H A M P S 7 5 0 0 6 PA R I S . R É S E R VAT I O N S : 0 1 4 5 4 4 5 7 3 4 E T S U R W W W . L U C E R N A I R E . F R
Q U A N D L ’ A V E N I R N E T I E N T Q U ’ À U N F I L . . . D E PA N T A L O N
C O N TA C T P R E S S E : J e a n - P h i l i p p e R i g a u d
06 60 64 94 27 / [email protected]
E
THÉÂTRE CONTEMPORAIN
LA VIE BIEN QU’ELLE SOIT COURTE
STANISLAV STRATIEV
TRADUCTION DE C A T H E R I N E L E P R O N T
MISE EN SCÈNE DE S O P H I E A C C A R D
DE
AV E C
SOPHIE ACCARD (LA FEMME)
T C H AV D A R P E N T C H E V ( L ’ H O M M E )
LÉ O N A R D P R A I N (L’ARCHITECTE)
MUSIQUE : CASCADEUR
S C É N O G R A P H I E : B L A N D I N E V I E I L LOT
LU M I È R E S : S É B A S T I E N L A N O U E
C O S T U M E S : ATO S S A
P R O D U C T I O N : C O M PA G N I E C ’ E S T - PA S - D U - J E U
C O R É A L I S AT I O N : T H É ÂT R E LU C E R N A I R E , L I E U PA RT E N A I R E D E L A S A I S O N É G A L I T É 3 I N I T I É E PA R H F Î L E - D E - F R A N C E
PA RT E N A I R E S : T H É ÂT R E L E S F R È R E S P O U S S I È R E S , T H É ÂT R E D E L ’ A B B AY E
R E M E R C I E M E NT S : T H É ÂT R E D E L ’ A B B AY E , T H É ÂT R E D E S F R È R E S P O U S S I È R E S , L E C E NT R E S O C I A L E T C U LT U R E L D E S B L A G I S ,
B L A N D I N E V I E I L LOT, M AYA L A F F O R G U E , M AT H I E U C A N E Y
TA R I F : 2 6 € / + D E 6 5 A N S : 2 1 € / É T U D I A N T, D E M A N D E U R D ’ E M P L O I , R S A , I N T E R M I T T E N T : 1 6 € / - D E 2 6 A N S : 1 1 €
1 H 1 5 / D U 2 3 M A R S A U 7 M A I 2 0 1 6 D U M A R D I A U S A M E D I À 1 9 H / C O N TA C T R E L A T I O N S P U B L I Q U E S L U C E R N A I R E :
L A U R I E M I C H A L O N R E L AT I O N S - P U B L I Q U E S @ L U C E R N A I R E . F R ( 0 1 4 2 2 2 6 6 8 7 )
Q U A N D L ’ A V E N I R N E T I E N T Q U ’ À U N F I L . . . D E PA N T A L O N
LE SPECTACLE
Ce matin, l’architecte Stilianov a décidé de changer de vie : il s’opposera dorénavant à l’édification d’immeubles lamentables.
Mais en se rendant à la réunion où il exposera son refus, il perd le bouton de son pantalon. Catastrophe ! Le pantalon lui tombe
aux chevilles. A demi dévêtu, a-t-il une chance de se faire entendre ?
Après De quoi parlez-vous ? de Jean Tardieu (au Lucernaire en 2014), la Compagnie C’est-pas-du-jeu présente une œuvre
du Bulgare Stanislas Stratiev qui, avec une fausse légèreté, dénonce les travers d’une société oppressive et montre les
questionnements d’un intellectuel étouffé par son environnement.
Note d’intention de Sophie Accard, la metteuse en scène
En découvrant La vie bien qu’elle soit courte, j’ai tout de suite éprouvé un sentiment de familiarité. Intelligence d’un texte qui
reste toujours « sur le fil », au bord de la vraisemblance ; situations absurdes ; humour grinçant ; étrangeté des atmosphères ;
poésie des répliques : tel est le théâtre qui me séduit. Rien de plus difficile que de provoquer le rire devant ces situations
tendues, impossibles, délirantes ou absurdes – mais à cela, Stratiev s’entend parfaitement. Bien sûr, à la première lecture, on
pourrait croire qu’il nous dépeint seulement un monde inerte, échoué, où toute action est vouée à l’échec. Cette première
impression ne résiste pas à un examen plus attentif du texte. La vie bien qu’elle soit courte n’est à mes yeux ni un pamphlet
politique, ni un drame individuel ; c’est le récit d’un rêve grandeur nature. À travers l’histoire absurde et ridicule du pantalon
de Stilianov, Stratiev pose des questions essentielles. Qui n’a jamais songé à tout abandonner pour voguer vers l’inconnu ?
Faut-il écouter ou étouffer nos voix intérieures ? Et comment vaincre les résistances apportées par toute une vie d’habitudes
plus ou moins acceptables ?
LA COMPAGNIE
La vie bien qu’elle soit courte est le troisième spectacle tout public de la Compagnie depuis sa création en 2010. Après
C’est au cinquième ! (écrit par Anne Vantal, auteur chez Actes Sud), De quoi parlez-vous ?, créé en 2013, réunit cinq courtes
pièces de Jean Tardieu mises en scène par Sophie Accard. Spectacle qui a été joué près de deux cents fois à Paris au Théâtre
Lucernaire, au Festival d’Avignon, en tournée en France et en Europe et qui a été extrêmement bien reçu par la presse
nationale et régionale. La vie bien qu’elle soit courte est la troisième mise en scène de Sophie Accard. C’est au Cours Simon à
Paris qu’elle rencontre Léonard Prain. Ils décident de monter leur propre Compagnie de théâtre.
Dates de tournée à venir
Festival d’Avignon du 7 au 31 juillet 2016, Théâtre Buffon, à 14h50.
Contact de la compagnie :
Léonard Prain (Dir Artistique)
06 66 94 55 45
[email protected]
www.cpdj.fr
© Tchavdar Pentchev
Stanislav Stratiev, l’auteur
Stanislav Stratiev est né en 1941 en Bulgarie. Il commence à travailler comme journaliste avant de devenir dramaturge. Sa
carrière décolle en 1974 avec sa première pièce Les thermes romaines. Il écrit La vie bien qu’elle soit courte en 1986. Ses
premières oeuvres sont souvent associées au genre dit du théâtre de l’absurde. Parallèlement à ses écritures théâtrales, il prend,
en 1975, la direction du Théâtre Satirique de Sofia qu’il gardera jusqu’à sa mort en 2000.
Il a également écrit de nombreux scénarios pour le cinéma, notamment Bande sans nom élu en 2005, meilleur film bulgare de
tous les temps.
Sophie Accard, la femme et la metteuse en scène
Formée aux Cours Simon, Sophie Accard passe très rapidement à la mise en scène avec C’est au 5e !, le premier
spectacle de la Compagnie. Elle joue dans La dispute (mis en scène par S. Cohen), Matakonda la terrible (mis en scène
par Jacques Dupont), C’est au 5e ! et De quoi parlez-vous ? (J. Tardieu) où elle signe sa deuxième mise en scène. On
la retrouve à la télévision dans Ma sœur est moi (réalisé par Didier Albert) et au cinéma dans 15 ans et demi (F .
Desagnat) ainsi que No et moi (Z. Breitman). La vie bien qu’elle soir courte est sa troisième mise en scène.
Tchavdar Pentchev, l’homme
Alors qu’il est aux Cours Simon, Tchavdar Pentchev rencontre Christian Suarez qui le dirigera pendant deux années
dans des spectacles classiques et contemporains. Il joue également au Petit Hebertot avec Xavier Jaillard, dans
Rouge à la Manufacture des Abbesses pour la compagnie les Mélodrames. Il entre en 2013 dans la compagnie
C’est-pas-du-jeu avec laquelle il joue un rôle dans C’est au 5e ! et dans De quoi parlez-vous ?.
Léonard Prain, l’architecte
Après les Cours Simon, Léonard Prain est reçu au Studio théâtre d’Asnières. Il crée la compagnie C’est-pas-du-jeu
en 2010 et interprète un rôle dans C’est au 5e ! ainsi que dans De quoi parlez-vous ? et Matakonda la terrible.
Christophe Deroo lui confie le rôle principal du film Nadatown. Il tourne également dans RIS police scientifique
(A. Choquart), Trop la classe ! (D. Bodianski), Tant pis (Joyce Jonathan), Doom and gloom (Rolling Stones), de
nombreuses publicités et récemment pour le cinéma dans Toute première fois de Noémie Saglio et Wei or die, de
Simon Bouisson.
LES RENCONTRES DU VENDREDI
Tous les vendredis soir, le Lucernaire vous donne rendez-vous pour prolonger votre expérience de spectateur autour d’un
verre. Rencontre avec l’équipe artistique le vendredi 15 avril 2016 à l’issue de la représentation.
L’agenda des rendez-vous du vendredi : www.lucernaire.fr
© Tchavdar Pentchev
INFORMATIONS PRATIQUES
Le Lucernaire
53, rue Notre-Dame-des-Champs 75006 Paris
Direction : Benoit Lavigne
Le Lucernaire est bien plus qu’un théâtre. C’est aussi trois salles de cinéma Art et Essai, un restaurant, un bar, une librairie
et une école de théâtre. Il appartient aux éditions de l’Harmattan. Il fonctionne à plus de 95% en recettes propres et est
membre de l’Association de Soutien pour le Théâtre Privé.
Comment venir ?
En Métro : ligne 12 (Notre-Dame-des-Champs), ligne 4 (Vavin ou Saint-Placide) et ligne 6 (Edgar Quinet)
En Bus : Lignes 58, 68, 82, 91, 94, 96 / En Train : Gare Montparnasse
Station Vélib : 41 rue Notre-Dame-des-Champs, 75006 Paris (88 m)
18 rue Bréa, 75006 Paris (190 m)
90 rue d’Assas, 75006 Paris (350 m)
Station Autolib : 136 boulevard Raspail, 75006 Paris (250 m)
15 rue Joseph Bara, 75006 Paris (350 m)
2 Rue Péguy, 75006 Paris (350 m)
120 boulevard du Montparnasse, 75014 Paris (400 m)
Parking : Vinci Park Services, 120 Boulevard du Montparnasse, 75014 Paris (318 m)
Horaires d’ouverture
Le Lucernaire est ouvert tous les jours de l’année, sans exception.
Retrouvez les horaires de l’ensemble de nos activités sur notre site internet.
Comment réserver ?
- vos places de théâtre et de cinéma :
• sur internet : www.lucernaire.fr
• par téléphone au 01 45 44 57 34
• sur place aux horaires d’ouvertures
- pour un groupe (CE, scolaire, association) :
• par téléphone au 01 42 22 66 87 du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 18h
• par email : [email protected]
- votre table au restaurant :
• par téléphone : 01 45 48 91 10
Accueil Handicap Sensible à l’accueil de tous les publics, le Lucernaire collabore avec des associations permettant aux spectateurs déficients
visuels et aveugles d’assister aux représentations et aux projections dans les meilleures conditions.
Pour le théâtre, contactez le Centre de Ressource Culture et Handicap pour réserver un souffleur au 01 42 74 17 87.
Au cinéma, un système d’audio description existe pour certains films, renseignez-vous sur notre site internet et à l’accueil.
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Notre environnement est fragile,
merci de n’imprimer ce dossier qu’en cas de nécessité.
5 3 R U E N OT R E - DA M E - D E S - C H A M P S 7 5 0 0 6 PA R I S . TÉ L : 0 1 4 2 2 2 6 6 8 7 W W W . LU C E R N A I R E . F R